Marie à Sulema : un des signes précurseurs du retour du Christ est l'opposition au Pape François

emma19 a écrit:

pax et bonum a écrit:Paragraphe 31 du décret:Il s'agit bien de couples et non de personnes individuelles.

"31. Dans l'horizon ainsi tracé, il est possible de bénir les couples en situation irrégulière et les couples de même sexe,..."

Si la bénédiction du couple met la lumière de Dieu dans la relation entre les deux êtres, peut-être que l’Esprit Saint aidera les deux membres du couple à comprendre profondément (le temps d’un cheminement intérieur) que cette union n’est pas voulue par Dieu ???

Un "couple irrégulier et un couple de même sexe" signifient quand même quelque chose. D'ailleurs un couple de même sexe est un couple irrégulier au regard de la Parole de Dieu car ce type de relation n'a pas été voulu par Dieu dans l'ordre de la création. Or Dieu n'a voulu que le bien. Cela veut dire que ce type de couple n'est pas bon. Dans le terme bénédiction veut dire "dire du bien". Dire du bien sur un couple qui n'est pas bon dans l'ordre naturel est bizarre quand même !

On ne peut pas non plus hypothéquer l'action de l'esprit saint. L'esprit saint ne peut pas agir sur ce qui est mal. Plutôt la bénédiction deviendrait une "malédiction" car contraire au dessein de Dieu. Par conséquent le risque est plus grand que l'intention de faire le bien. Le risque est de condamner des âmes.

Au final on en revient à l'essence même de la mission de l'église dans le monde : prêcher la Parole et convertir les pécheurs dans la vérité !
Aujourd'hui le monde refuse d'entendre la Vérité et exige un changement de la part de l'église qui ne devrait pas céder aux revendications du monde.
Or on a l'impression qu'elle cède de plus en plus.

Si ces personnes ont la foi, elles comprendront l'enseignement de l'église et se convertiront. Ici vous demandez que l'esprit saint agisse sur des personnes qui vivent manifestement dans le péché. Vous inversez les choses et surtout dangereux pour toutes ces âmes.
La seule manière d'agir de l'église est rester ferme sur son enseignement et surtout d'accompagner ces personnes homosexuelles dans une véritable conversion. Mais là on est rentré dans le domaine de l'utopie.

tlig77 a écrit:

emma19 a écrit:

pax et bonum a écrit:Paragraphe 31 du décret:Il s'agit bien de couples et non de personnes individuelles.

"31. Dans l'horizon ainsi tracé, il est possible de bénir les couples en situation irrégulière et les couples de même sexe,..."

Si la bénédiction du couple met la lumière de Dieu dans la relation entre les deux êtres, peut-être que l’Esprit Saint aidera les deux membres du couple à comprendre profondément (le temps d’un cheminement intérieur) que cette union n’est pas voulue par Dieu ???

C'est ce qui est aussi dans le décret. Cela revient à demander la guérison de la relation.

Mais le décret précise hélas : "que la grâce émonde ce qui est bon dans la relation" c'est la partie malade qui doit être guérie pas la partie saine.

Et peut-être mission impossible pour les prêtres, mais, comme vous disiez plus haut, en citant Garabandal, l'ampleur de la réaction peut amener à un sursaut inattendu, comme, plutôt que de se diviser, resserrer les coudes autour du Pape !  

“(…) L’histoire de l’Église est là pour nous rappeler que l’usurpation par des prêtres de leur pouvoir de bénir a pour conséquence de défigurer durablement le visage de Dieu auprès des hommes. Cette gravité oblige donc à faire preuve de prudence dans la pastorale des bénédictions. De ce point de vue, la déclaration Fiducia supplicans a placé tant le Magistère que les pasteurs dans une situation intenable, à trois titres.

Premièrement, en soutenant que les bénédictions de couples irréguliers et de même sexe sont possibles à condition de n’avoir ni rituel ni liturgie, le document promeut une pastorale tout en refusant que les pasteurs reçoivent des indications sur les paroles et les gestes propres à signifier les grâces dispensées par l’Église. (...) le seul fait qu’elle conduise, dans cette matière particulière, à décharger le Pontife romain et avec lui tous les évêques de leur responsabilité concernant la sanctification des fidèles (munus sanctificandi), à laquelle ils sont pourtant tenus par la constitution divine de l’Église, ne laisse pas d’interroger. La marge de manœuvre laissée aux pasteurs n’est pas ici en cause, mais l’instauration d’une “clandestinité institutionnalisée” pour tout un pan de l’activité ecclésiale.

“Deuxièmement, le principe introduit par Fiducia supplicans ne connaît de soi aucune limite. Certes, la déclaration vise en particulier « les couples en situation irrégulière et les couples de même sexe ». On laissera à chacun le soin d’imaginer la variété des situations qui rentrent dans ce cadre, des plus scabreuses aux plus objectivement scandaleuses, et qui pourront pourtant être bénies, aussi bien que des couples de bonne volonté et des blessés de la vie cherchant sincèrement les secours divins. En effet, en renonçant aux rites de bénédiction, on renonce aussi à leur préparation, durant laquelle les pasteurs jugent de l’opportunité, discernent les intentions et aident à les orienter droitement. De même, en rendant incontrôlable la pratique de ces bénédictions, on accepte par avance toutes les dérives qui surviendront.

(...)

“Troisièmement, lorsque les supérieurs se délestent de leur responsabilité sur les inférieurs, les inférieurs se retrouvent seuls à porter toute la charge. En l’occurrence, Fiducia supplicans invite les pasteurs à une plus grande sollicitude pastorale et les indications que le texte fournit leur sont précieuses. De ce point de vue, le Magistère aide les ministres ordonnés à exercer leur charge. En revanche, en institutionnalisant la clandestinité sur les cas les plus épineux, elle va susciter des demandes nouvelles de bénédiction tout en laissant ces mêmes ministres complètement démunis. (...)  Ils devront, à chaque cas difficile, porter sur leur conscience le poids de la décision qu’ils auront été obligés de prendre seul, en se demandant s’ils ont été des serviteurs fidèles ou bien des corrupteurs du visage de Dieu auprès des hommes”.

(…)

“Fiducia supplicans a eu lieu. Même en remontant plusieurs siècles en arrière, ce document ne connaît pas d’équivalent. Le trouble dans le peuple de Dieu est arrivé et cela ne peut être défait. Il faut maintenant œuvrer pour réparer les dommages, et pour que leurs causes, dont celles que nous avons relevées, soient résorbées avant que la déflagration ne s’étende. Cela ne sera possible qu’en restant unis autour du Saint-Père et en priant pour l’unité de l’Église.”

Source :

https://riposte-catholique.fr/archives/186154

Isabelle-Marie a écrit:


Et peut-être mission impossible pour les prêtres, mais, comme vous disiez plus haut, en citant Garabandal, l'ampleur de la réaction peut amener à un sursaut inattendu, comme, plutôt que de se diviser, resserrer les coudes autour du Pape !  



“Fiducia supplicans a eu lieu. Même en remontant plusieurs siècles en arrière, ce document ne connaît pas d’équivalent. Le trouble dans le peuple de Dieu est arrivé et cela ne peut être défait. Il faut maintenant œuvrer pour réparer les dommages, et pour que leurs causes, dont celles que nous avons relevées, soient résorbées avant que la déflagration ne s’étende. Cela ne sera possible qu’en restant unis autour du Saint-Père et en priant pour l’unité de l’Église.”

Source :

https://riposte-catholique.fr/archives/186154

Je reste unis autour de la papauté et je prie sans cesse pour la conversion du pape actuel et l'unité de l'église. 

Mais ce que je regrette c'est que pape François donne l'impression d'un laisser faire. 

FS est toujours actif. Le cardinal Fernandez est toujours préfet du DDF et plus de pouvoirs? Pape François est toujours entouré de personnes suspectes (père Martins, soeur CARAM, activistes pro-LGBT, cardinal Fernandez etc..).

Les interview à la télé et dans les journaux c'est bien mais là il faut agir rapidement et maintenant afin de mettre un terme à tout ce désordre. 

Et je doute qu'en détournant le regard ailleurs (ou en faisant l'autruche) que les choses se calment.

Ce sursaut autour de lui viendra lorsqu'il agira en conséquence.