Anne-Gabrielle Caron
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Anne-Gabrielle Caron
Anne-Gabrielle Caron est une petite fille qui était atteinte d'un cancer et qui en est morte à l'âge de 8 ans, en 2010. Elle avait une grande foi et s'est abandonnée à Dieu en lui offrant toutes ses souffrances pour les autres.
Mgr Rey a demandé l'ouverture de sa cause pour qu'elle soit canonisée. On peut trouver le témoignage de sa maman qui a aussi écrit un livre "Là où meurt l'espoir, brille l'espérance" :
Et l'histoire de la première communion d'Anne-Gabrielle racontée par un prêtre :
Plus d'informations aussi sur la page aleteia :
https://fr.aleteia.org/2019/06/05/le-diocese-de-toulon-ouvre-la-cause-de-canonisation-dune-enfant-de-8-ans/
Extraits :
" Emportée par un cancer, sa terrible épreuve a été l’occasion d’une ascension spirituelle impressionnante. Selon Mgr Dominique Rey, évêque de Toulon, Anne-Gabrielle Caron nous donne une magnifique leçon d’espérance. « C’était une enfant qui a vécu sa maladie à la ressemblance de la Passion du Christ. J’ai prié pour elle et j’ai pu voir cette petite personne qui — au cœur de sa souffrance — recevait la vie comme une offrande au Seigneur. Anne-Gabrielle était le témoin de Dieu. Elle était le signe de Dieu », a-t-il confié à Aleteia. "
https://www.magazine-zelie.com/single-post/2016/07/08/La-le%C3%A7on-desp%C3%A9rance-dAnneGabrielle-Caron
Extraits :
Le dernier mois de sa vie est ponctué par des moments de grâce. Anne-Gabrielle pardonne à ceux qui lui ont fait du mal ou se sont moqués d’elle et voudrait demander pardon à tous ceux qu’elle a pu blesser. Elle redit également son amour à l’égard de ses parents, de son frère et de ses deux sœurs. En tenant une image du Christ en croix, elle s’écrie : « Non ! C’est trop !... Jésus... Il a trop souffert... », alors qu’elle vit sa propre Passion. Ses prières prennent une telle valeur que certains confient des intentions et sont souvent exaucés. Un jour, l’évêque de Toulon, Mgr Dominique Rey, vient même lui porter la communion.
Une seule fois, en 18 mois d’épreuve, elle dit que c’est trop, que la coupe est trop remplie : la veille de sa mort. Quelques heures plus tard, on la retrouve en paix, et c’est ainsi qu’elle fait ses adieux. Elle s’éteint dans la soirée du 23 juillet 2010, après une agonie de 30 heures, restant consciente jusqu’au bout. « Voir Anne-Gabrielle, c’était voir Dieu » témoignera le prêtre à son enterrement.
On reste surpris de l’âge auquel Anne-Gabrielle a achevé sa course. Il n’a pas fallu plus de 8 ans pour qu’elle atteigne sa maturité spirituelle. En même temps, « Yaya » (comme l’appelait sa petite sœur) est restée jusqu’à la fin une enfant, aimant jouer. Il y a un contraste entre la forme de son écriture et ses écrits, entre son jeune visage et la sainteté de ses paroles. à moins que ce ne soit tout simplement la grâce de l’enfance, la grâce thérésienne de la confiance, qui puisse donner une telle sagesse. « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent » (Mt 19, 14).
Mgr Rey a demandé l'ouverture de sa cause pour qu'elle soit canonisée. On peut trouver le témoignage de sa maman qui a aussi écrit un livre "Là où meurt l'espoir, brille l'espérance" :
Et l'histoire de la première communion d'Anne-Gabrielle racontée par un prêtre :
Plus d'informations aussi sur la page aleteia :
https://fr.aleteia.org/2019/06/05/le-diocese-de-toulon-ouvre-la-cause-de-canonisation-dune-enfant-de-8-ans/
Extraits :
" Emportée par un cancer, sa terrible épreuve a été l’occasion d’une ascension spirituelle impressionnante. Selon Mgr Dominique Rey, évêque de Toulon, Anne-Gabrielle Caron nous donne une magnifique leçon d’espérance. « C’était une enfant qui a vécu sa maladie à la ressemblance de la Passion du Christ. J’ai prié pour elle et j’ai pu voir cette petite personne qui — au cœur de sa souffrance — recevait la vie comme une offrande au Seigneur. Anne-Gabrielle était le témoin de Dieu. Elle était le signe de Dieu », a-t-il confié à Aleteia. "
https://www.magazine-zelie.com/single-post/2016/07/08/La-le%C3%A7on-desp%C3%A9rance-dAnneGabrielle-Caron
Extraits :
Le dernier mois de sa vie est ponctué par des moments de grâce. Anne-Gabrielle pardonne à ceux qui lui ont fait du mal ou se sont moqués d’elle et voudrait demander pardon à tous ceux qu’elle a pu blesser. Elle redit également son amour à l’égard de ses parents, de son frère et de ses deux sœurs. En tenant une image du Christ en croix, elle s’écrie : « Non ! C’est trop !... Jésus... Il a trop souffert... », alors qu’elle vit sa propre Passion. Ses prières prennent une telle valeur que certains confient des intentions et sont souvent exaucés. Un jour, l’évêque de Toulon, Mgr Dominique Rey, vient même lui porter la communion.
Une seule fois, en 18 mois d’épreuve, elle dit que c’est trop, que la coupe est trop remplie : la veille de sa mort. Quelques heures plus tard, on la retrouve en paix, et c’est ainsi qu’elle fait ses adieux. Elle s’éteint dans la soirée du 23 juillet 2010, après une agonie de 30 heures, restant consciente jusqu’au bout. « Voir Anne-Gabrielle, c’était voir Dieu » témoignera le prêtre à son enterrement.
On reste surpris de l’âge auquel Anne-Gabrielle a achevé sa course. Il n’a pas fallu plus de 8 ans pour qu’elle atteigne sa maturité spirituelle. En même temps, « Yaya » (comme l’appelait sa petite sœur) est restée jusqu’à la fin une enfant, aimant jouer. Il y a un contraste entre la forme de son écriture et ses écrits, entre son jeune visage et la sainteté de ses paroles. à moins que ce ne soit tout simplement la grâce de l’enfance, la grâce thérésienne de la confiance, qui puisse donner une telle sagesse. « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent » (Mt 19, 14).
Scala-Coeli- MEDIATRICE
- Messages : 1793
Localisation : Sud de la France
Inscription : 04/07/2007
Re: Anne-Gabrielle Caron
Scala-Coeli a écrit:Anne-Gabrielle Caron est une petite fille qui était atteinte d'un cancer et qui en est morte à l'âge de 8 ans, en 2010. Elle avait une grande foi et s'est abandonnée à Dieu en lui offrant toutes ses souffrances pour les autres.
Mgr Rey a demandé l'ouverture de sa cause pour qu'elle soit canonisée. On peut trouver le témoignage de sa maman qui a aussi écrit un livre "Là où meurt l'espoir, brille l'espérance" :
Et l'histoire de la première communion d'Anne-Gabrielle racontée par un prêtre :
Plus d'informations aussi sur la page aleteia :
https://fr.aleteia.org/2019/06/05/le-diocese-de-toulon-ouvre-la-cause-de-canonisation-dune-enfant-de-8-ans/
Extraits :
" Emportée par un cancer, sa terrible épreuve a été l’occasion d’une ascension spirituelle impressionnante. Selon Mgr Dominique Rey, évêque de Toulon, Anne-Gabrielle Caron nous donne une magnifique leçon d’espérance. « C’était une enfant qui a vécu sa maladie à la ressemblance de la Passion du Christ. J’ai prié pour elle et j’ai pu voir cette petite personne qui — au cœur de sa souffrance — recevait la vie comme une offrande au Seigneur. Anne-Gabrielle était le témoin de Dieu. Elle était le signe de Dieu », a-t-il confié à Aleteia. "
https://www.magazine-zelie.com/single-post/2016/07/08/La-le%C3%A7on-desp%C3%A9rance-dAnneGabrielle-Caron
Extraits :
Le dernier mois de sa vie est ponctué par des moments de grâce. Anne-Gabrielle pardonne à ceux qui lui ont fait du mal ou se sont moqués d’elle et voudrait demander pardon à tous ceux qu’elle a pu blesser. Elle redit également son amour à l’égard de ses parents, de son frère et de ses deux sœurs. En tenant une image du Christ en croix, elle s’écrie : « Non ! C’est trop !... Jésus... Il a trop souffert... », alors qu’elle vit sa propre Passion. Ses prières prennent une telle valeur que certains confient des intentions et sont souvent exaucés. Un jour, l’évêque de Toulon, Mgr Dominique Rey, vient même lui porter la communion.
Une seule fois, en 18 mois d’épreuve, elle dit que c’est trop, que la coupe est trop remplie : la veille de sa mort. Quelques heures plus tard, on la retrouve en paix, et c’est ainsi qu’elle fait ses adieux. Elle s’éteint dans la soirée du 23 juillet 2010, après une agonie de 30 heures, restant consciente jusqu’au bout. « Voir Anne-Gabrielle, c’était voir Dieu » témoignera le prêtre à son enterrement.
On reste surpris de l’âge auquel Anne-Gabrielle a achevé sa course. Il n’a pas fallu plus de 8 ans pour qu’elle atteigne sa maturité spirituelle. En même temps, « Yaya » (comme l’appelait sa petite sœur) est restée jusqu’à la fin une enfant, aimant jouer. Il y a un contraste entre la forme de son écriture et ses écrits, entre son jeune visage et la sainteté de ses paroles. à moins que ce ne soit tout simplement la grâce de l’enfance, la grâce thérésienne de la confiance, qui puisse donner une telle sagesse. « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent » (Mt 19, 14).
Le sacrifice de cette petite va faire des merveilles, au Ciel et sur la terre, et commence déjà à évangéliser les jeunes de son âge (2è vidéo)
Son histoire fait penser à celle d'une italienne qui est morte juste après avoir reçu la première communion, très vénérée en Italie (j'essaierai de retrouver son nom)
Merci @Scala !
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
- Messages : 8712
Localisation : France
Inscription : 15/07/2016
Re: Anne-Gabrielle Caron
Elle s'appelle Sainte Imelda.
"C'était l'usage du pays de donner la première communion aux enfants qu'à l'âge de quatorze ans. Sainte Imelda, consumée par l'ardeur de ses désirs, suppliait d'être enfin admise à la sainte Table mais on ne croyait pas devoir faire exception pour la petite novice. Le jour de l'Ascension 1533, Imelda atteignit ses onze ans. De nouveau, elle conjura son confesseur de lui permettre de recevoir la sainte communion, mais ce dernier resta inflexible.
L'enfant s'en alla à la chapelle en pleurant, afin d'y entendre la messe. Le Seigneur Jésus, si faible contre l'amour, ne put résister davantage aux voeux de cette âme angélique. Au moment de la communion, une hostie s'échappa du ciboire, s'éleva dans les airs, franchit la grille du choeur et vint s'arrêter au-dessus de la tête de sainte Imelda. Aussitôt que les religieuses aperçurent l'hostie, elles avertirent le prêtre du prodige. Lorsque le ministre de Dieu s'approcha avec la patène, l'hostie immobile vint s'y poser. Ne doutant plus de la Volonté du Seigneur, le prêtre tremblant communia Imelda qui semblait un ange plutôt qu'une créature mortelle.
Les religieuses, saisies d'un étonnement inexprimable, restèrent longtemps à regarder cette enfant toute irradiée d'une joie surnaturelle, prosternée en adoration. Ressentant finalement une vague inquiétude, elles appellèrent Imelda, la prièrent de se relever, puis lui en donnèrent l'ordre. L'enfant toujours si prompte à obéir paraissait ne pas même les entendre. En allant la relever, les soeurs s'aperçurent avec stupéfaction qu'Imelda était morte: morte de joie et d'amour à l'heure de sa première communion.
Cette petite sainte italienne a été surnommée: la fleur de l'Eucharistie. Elle est la patronne des premiers communiants."
https://sanctoral.com/fr/saints/sainte_imelda_lambertini.html
L'histoire n'est pas tout à fait semblable, mais toutes deux sont mortes, consumées par l'amour ! il n'y a pas d'âge pour le Ciel !
"C'était l'usage du pays de donner la première communion aux enfants qu'à l'âge de quatorze ans. Sainte Imelda, consumée par l'ardeur de ses désirs, suppliait d'être enfin admise à la sainte Table mais on ne croyait pas devoir faire exception pour la petite novice. Le jour de l'Ascension 1533, Imelda atteignit ses onze ans. De nouveau, elle conjura son confesseur de lui permettre de recevoir la sainte communion, mais ce dernier resta inflexible.
L'enfant s'en alla à la chapelle en pleurant, afin d'y entendre la messe. Le Seigneur Jésus, si faible contre l'amour, ne put résister davantage aux voeux de cette âme angélique. Au moment de la communion, une hostie s'échappa du ciboire, s'éleva dans les airs, franchit la grille du choeur et vint s'arrêter au-dessus de la tête de sainte Imelda. Aussitôt que les religieuses aperçurent l'hostie, elles avertirent le prêtre du prodige. Lorsque le ministre de Dieu s'approcha avec la patène, l'hostie immobile vint s'y poser. Ne doutant plus de la Volonté du Seigneur, le prêtre tremblant communia Imelda qui semblait un ange plutôt qu'une créature mortelle.
Les religieuses, saisies d'un étonnement inexprimable, restèrent longtemps à regarder cette enfant toute irradiée d'une joie surnaturelle, prosternée en adoration. Ressentant finalement une vague inquiétude, elles appellèrent Imelda, la prièrent de se relever, puis lui en donnèrent l'ordre. L'enfant toujours si prompte à obéir paraissait ne pas même les entendre. En allant la relever, les soeurs s'aperçurent avec stupéfaction qu'Imelda était morte: morte de joie et d'amour à l'heure de sa première communion.
Cette petite sainte italienne a été surnommée: la fleur de l'Eucharistie. Elle est la patronne des premiers communiants."
https://sanctoral.com/fr/saints/sainte_imelda_lambertini.html
L'histoire n'est pas tout à fait semblable, mais toutes deux sont mortes, consumées par l'amour ! il n'y a pas d'âge pour le Ciel !
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
- Messages : 8712
Localisation : France
Inscription : 15/07/2016
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