le confilt israel /pays musulmans
2 participants
le confilt israel /pays musulmans
a lire iran israel psaume 83
israel gaza sophonie chap 2 v 1 a 7
israel gaza sophonie chap 2 v 1 a 7
Ezechiel- Va recevoir Jésus Christ
- Messages : 42
Inscription : 06/01/2008
Re: le confilt israel /pays musulmans
AT-TIRI, Liban - Nicolas Sarkozy a déclaré avoir un "petit espoir" de voir aboutir ses efforts pour tenter de trouver une issue au conflit entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza.
En tournée au Proche-Orient, Nicolas Sarkozy (ici avec le président syrien Bachar al Assad) a déclaré avoir un "petit espoir" de voir aboutir ses efforts pour tenter de trouver une issue au conflit entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza. (Reuters/Eric Feferberg/Pool)
Le président français, qui a entrepris lundi une tournée au Proche-Orient, est reparti mardi après-midi à Charm el-Cheikh pour revoir le président égyptien Hosni Moubarak.
"Je suis persuadé qu'il y a des solutions, on n'en est pas loin, il faut simplement qu'un des acteurs commence pour que ça aille dans le bon sens", a-t-il dit à l'issue d'une visite du bataillon français de la Finul à At-Tiri, dans le sud du Liban.
"Si chacun attend que ce soit l'autre qui fasse le premier pas, il y a des drames et encore des drames. Et quand il y a des drames, il y a de la haine, quand il y a de la haine, il y a encore plus de violence", a-t-il ajouté.
Après une rencontre avec Hosni Moubarak lundi matin à Charm el-Cheikh, Nicolas Sarkozy est allé à Ramallah en Cisjordanie, puis à Jérusalem, avant de se rendre mardi à Damas et à At-Tiri, où il était venu présenter ses voeux aux armées françaises.
"Je ne sais pas si ça va marcher. J'essaye et si j'y retourne c'est parce qu'il y a un petit espoir", a dit le président français.
"Je pense qu'il faut tout essayer et que l'Egypte peut jouer un rôle considérable. Il faut pousser les feux pour que tout ceci s'arrête."
Quant aux dirigeants israéliens, "ils sont parfaitement conscients que ça ne peut pas continuer comme cela", a-t-il dit.
Prié de dire s'il pourrait retourner également en Israël après Charm el-Cheikh, le président français a répondu : "J'espère qu'on n'aura pas besoin de ça."
A Damas, Nicolas Sarkozy a exhorté le président syrien Bachar al Assad à convaincre son allié du Hamas d'apporter des garanties de sécurité à Israël pour faire cesser les violences.
LES CONTOURS D'UNE SOLUTION
"Il s'agit (...), grâce aux efforts de la Syrie, de peser sur chacun des intervenants, notamment le Hamas, pour que la guerre cesse et que la paix revienne", a-t-il déclaré après des entretiens avec son homologue syrien.
"La Syrie doit nous aider à convaincre le Hamas de faire le choix de la raison, le choix de la paix et le choix de la réconciliation interpalestinienne", a ajouté Nicolas Sarkozy.
La Syrie est un acteur important dans la région. Le chef du Hamas, Khaled Mechaal, vit en exil à Damas.
Nicolas Sarkozy a esquissé les contours de ce qui pourrait être selon lui une sortie de crise, lors d'une conférence de presse conjointe avec Bachar al Assad.
Premier point : "Arrêt des hostilités et de l'offensive israélienne accompagné de garanties sérieuses pour la sécurité d'Israël, c'est-à-dire la cessation définitive et durable des tirs de roquettes" contre le territoire israélien.
Deuxième point : mise en oeuvre "sans délai" d'une aide humanitaire en faveur de la population palestinienne.
Enfin, "ouverture rapide de perspectives pour reprendre le chemin des négociations de paix" en favorisant "l'indispensable réconciliation interpalestinienne sans laquelle rien ne sera possible", entre le Hamas et l'Autorité palestinienne.
Bachar al Assad, dont c'était la première apparition publique depuis le début de l'offensive terrestre israélienne, a qualifié la situation d'"extrêmement grave et dangereuse".
"Ce qui se passe pour nous, c'est un crime de guerre", a-t-il déclaré.
Le président syrien a lancé un appel à un cessez-le-feu et un retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza. "Ensuite, il faut la levée du blocus" de la bande de Gaza, a poursuivi le président syrien.
"Nous sommes tout à fait prêts à faire les efforts nécessaires, à coopérer avec n'importe quelle partie dans la région ou sur la scène internationale afin de parvenir à une solution", a-t-il ajouté.
Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse
Gilles. Ville de Québec - Canada
En tournée au Proche-Orient, Nicolas Sarkozy (ici avec le président syrien Bachar al Assad) a déclaré avoir un "petit espoir" de voir aboutir ses efforts pour tenter de trouver une issue au conflit entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza. (Reuters/Eric Feferberg/Pool)
Le président français, qui a entrepris lundi une tournée au Proche-Orient, est reparti mardi après-midi à Charm el-Cheikh pour revoir le président égyptien Hosni Moubarak.
"Je suis persuadé qu'il y a des solutions, on n'en est pas loin, il faut simplement qu'un des acteurs commence pour que ça aille dans le bon sens", a-t-il dit à l'issue d'une visite du bataillon français de la Finul à At-Tiri, dans le sud du Liban.
"Si chacun attend que ce soit l'autre qui fasse le premier pas, il y a des drames et encore des drames. Et quand il y a des drames, il y a de la haine, quand il y a de la haine, il y a encore plus de violence", a-t-il ajouté.
Après une rencontre avec Hosni Moubarak lundi matin à Charm el-Cheikh, Nicolas Sarkozy est allé à Ramallah en Cisjordanie, puis à Jérusalem, avant de se rendre mardi à Damas et à At-Tiri, où il était venu présenter ses voeux aux armées françaises.
"Je ne sais pas si ça va marcher. J'essaye et si j'y retourne c'est parce qu'il y a un petit espoir", a dit le président français.
"Je pense qu'il faut tout essayer et que l'Egypte peut jouer un rôle considérable. Il faut pousser les feux pour que tout ceci s'arrête."
Quant aux dirigeants israéliens, "ils sont parfaitement conscients que ça ne peut pas continuer comme cela", a-t-il dit.
Prié de dire s'il pourrait retourner également en Israël après Charm el-Cheikh, le président français a répondu : "J'espère qu'on n'aura pas besoin de ça."
A Damas, Nicolas Sarkozy a exhorté le président syrien Bachar al Assad à convaincre son allié du Hamas d'apporter des garanties de sécurité à Israël pour faire cesser les violences.
LES CONTOURS D'UNE SOLUTION
"Il s'agit (...), grâce aux efforts de la Syrie, de peser sur chacun des intervenants, notamment le Hamas, pour que la guerre cesse et que la paix revienne", a-t-il déclaré après des entretiens avec son homologue syrien.
"La Syrie doit nous aider à convaincre le Hamas de faire le choix de la raison, le choix de la paix et le choix de la réconciliation interpalestinienne", a ajouté Nicolas Sarkozy.
La Syrie est un acteur important dans la région. Le chef du Hamas, Khaled Mechaal, vit en exil à Damas.
Nicolas Sarkozy a esquissé les contours de ce qui pourrait être selon lui une sortie de crise, lors d'une conférence de presse conjointe avec Bachar al Assad.
Premier point : "Arrêt des hostilités et de l'offensive israélienne accompagné de garanties sérieuses pour la sécurité d'Israël, c'est-à-dire la cessation définitive et durable des tirs de roquettes" contre le territoire israélien.
Deuxième point : mise en oeuvre "sans délai" d'une aide humanitaire en faveur de la population palestinienne.
Enfin, "ouverture rapide de perspectives pour reprendre le chemin des négociations de paix" en favorisant "l'indispensable réconciliation interpalestinienne sans laquelle rien ne sera possible", entre le Hamas et l'Autorité palestinienne.
Bachar al Assad, dont c'était la première apparition publique depuis le début de l'offensive terrestre israélienne, a qualifié la situation d'"extrêmement grave et dangereuse".
"Ce qui se passe pour nous, c'est un crime de guerre", a-t-il déclaré.
Le président syrien a lancé un appel à un cessez-le-feu et un retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza. "Ensuite, il faut la levée du blocus" de la bande de Gaza, a poursuivi le président syrien.
"Nous sommes tout à fait prêts à faire les efforts nécessaires, à coopérer avec n'importe quelle partie dans la région ou sur la scène internationale afin de parvenir à une solution", a-t-il ajouté.
Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Sujets similaires
» Non Israël, tu n’as pas le droit d’être un pays d’idéologie néo-nazie
» Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
» « Le régime iranien crie : ‘Mort à Israël’. Israël crie : ‘Vie au peuple iranien’. »
» OVNI AU PAYS BAS
» Nul n'est prophète en son pays
» Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
» « Le régime iranien crie : ‘Mort à Israël’. Israël crie : ‘Vie au peuple iranien’. »
» OVNI AU PAYS BAS
» Nul n'est prophète en son pays
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum