Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
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Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
Pour comprendre le monde actuel, il est nécessaire de remonter très loin dans le temps. C’est en s’appuyant sur les travaux de nos aïeux catholiques (voir par exemple l’excellent ouvrage de l’abbé Fleury : [url=https://books.google.fr/books?id=LzwZfGlo8zAC&printsec=frontcover&dq=moeurs+des+israelites+et+des+chr%C3%A9tiens+fleury&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiopYPy29zWAhXMzRoKHR4XB2oQ6AEIMTAB#v=onepage&q=moeurs des israelites et des chr%C3%A9tiens][size=18]« les mœurs des Israélites et des chrétiens »[/url]) que nous pouvons redécouvrir les vérités aujourd’hui oubliées. Israël, jusqu’aux temps de Jésus, fut une nation sainte. En effet, les Hébreux étaient les gardiens de la vraie foi. Les prophètes et la loi de Moïse guidaient les fidèles sur la voie droite. C’est lors de la naissance de Jésus-Christ que Israël fut à l’apogée de sa sainteté avant d’y mettre un terme en crucifiant l’unique Fils de Dieu. À partir de cette funeste date, le catholicisme se dispersa aux quatre coins du monde pour naître dans la douleur, notamment pendant les persécutions qui ont eu lieu du temps des derniers empereurs païens.[/size]
La sainte Église, fondée par Notre Seigneur et gardienne de la vraie foi, sut préserver le monde du chaos pendant deux millénaires. Même si, de nos jours, elle se trouve plongée dans une grande crise, l’Église ne saurait être détruite puisque les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. Celle-ci est seulement éclipsée par les ennemis du Christ qui sont à l’apogée de leur puissance. La décadence a perverti nos mœurs sur une très longue période, rythme qui s’est toutefois accéléré à partir de la fin du XX[size=14]esiècle.[/size]
Nous remarquons qu’au fil de l’histoire de l’Europe catholique, ceux qui ont perdu la vraie foi ont inventé toutes sortes de stratagèmes humains pour essayer d’anéantir les commandements de Notre Seigneur. C’est par les doctrines ésotériques (alchimie,hermétisme, kabbale, etc.), spirituelles (gnose, new age, orientalisme, philosophie,théosophie, etc.), politiques (capitalisme, jacobinisme, libéralisme, marxisme, etc.), économiques (keynésianisme, marxisme, etc.), sociales (anthropologie postmoderne héritée des Lumières), financières (finance de marché, finance d’entreprise, etc.) que les ennemis du Christ ont pu engendrer et maintenir le progrès indéfini dans une espèce de cycle perpétuel : la foi catholique, authentique héritière des commandements de Jésus-Christ, s’est retrouvée submergée au milieu de ces grands ensembles théoriques. Elle n’a pas disparu : elle s’est plutôt dissoute comme le ferait le sel (« vous êtes le sel de la terre ») dans un liquide composé d’eau, de vinaigre, d’huile, etc.
Lorsque ces théories trop humaines auront entraîné le monde dans le chaos, cet ensemble liquide disparaîtra dans les fissures qu’il aura lui-même provoquées. Le sel, quant à lui, c’est-à-dire la vraie foi catholique, se retrouvera déposé dans le fond et l’humanité saura reconnaîtra, pour un temps donné, la Vérité et l’appliquera. Il s’agit là du royaume du Sacré-Cœur : « je régnerai malgré mes ennemis » comme l’a annoncé Notre-Seigneur à Marguerite-Marie.
Les lois saintes de Jésus-Christ sont, plus que jamais, repoussées en ce XXI[size=14]e siècle : les lois naturelles qui sont le socle du surnaturalisme (lois divines enseignées par Jésus-Christ) sont en passe d’être supplantées par les découvertes dans le domaine de la science du génome et de l’intelligence artificielle. Les notions fondamentales de différenciation sexuée pourraient être détruites par la folie de cette science sans conscience et ennemie de Dieu : les enfants pourraient naître sans parents, l’homme pourrait devenir femme, la femme pourrait devenir homme.[/size]
Tout deviendrait sens dessus-dessous : le chaos profitant aux ennemis de Dieu, ceux-ci chercheraient à se constituer dans une despotique gouvernance mondiale, symbole du règne de Caïn (« je mettrai inimité entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité :celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon »). Cependant, il est évident, selon les promesses du vrai Dieu, que ce règne despotique est une utopie maléfique qui ne verra jamais le jour puisqu’il est dit que Satan blessera seulement le talon de la femme (symbole de la Vierge Marie) tandis qu’elle lui écrasera la tête (victoire de la vraie foi : Abel qui renverse le règne de Caïn).
L’œil aguerri qui connaît les mœurs des Israélites du temps de Jésus s’aperçoit que la science transhumaniste est opposée à celles-ci : la morale découlant des lois de Dieu interdit formellement l’immoralité, l’impureté, la perversité, le mensonge, la fainéantise, la convoitise, etc. Or, c’est au fil des siècles, à un rythme très lent, que la décadence a arraché l’ensemble des lois qui maintenaient l’humanité dans une authentique paix catholique. La puissance de cette force destructrice s’est accrue au moment de l’apparition de l’usure : les premiers instincts de convoitise humaine préparaient l’accumulation monétaire placée entre les mains d’une poignée d’individus.
Bien des siècles plus tard (après que les ennemis du Christ eurent accumulé secrètement leur fortune au fil du temps à partir du XII[size=14]e siècle), à l’apogée du matérialisme, l’essor des multinationales et de la finance a fini par octroyer une richesse inouïe à quelques individus, qui se sont vus hériter de la fortune de leurs aïeux malicieux, pour devenir les nouveaux empereurs païens de la civilisation du progrès indéfini. Ces mêmes individus ont pu prendre le contrôle des médias à travers leurs multinationales en s’appuyant sur les mécanismes théoriques de l’économie et de la finance tels que les fusions et les acquisitions. L’argent étant le socle de cette civilisation, il est tout à fait logique que le pouvoir revienne à ceux qui souhaitent l’obtenir à n’importe quel prix. Un enrichissement aussi malveillant qu’entêté ne peut se faire que par des lois scélérates dans une civilisation de type caïnique, puisque l’usure est interdite dans le catholicisme authentique (héritier des commandements surnaturels de Jésus-Christ).[/size]
Tant que l’humanité n’aura pas compris que c’est la pureté de cœur et la volonté de s’affranchir du péché qui peut la transcender, elle continuera de s’enfoncer dans les affres du malheur, de la guerre et des destructions violentes. Jésus-Christ est le Sauveur du monde : Il a porté tous les péchés de l’humanité sur lui ; Il nous a enseigné la Vérité qui peut nous affranchir de nos chaînes. Or, l’esprit du monde souhaite appliquer ses propres règles, ses propres lois, au détriment de l’intelligence la plus élémentaire (théorie du sel noyé dans un ensemble liquide qui a été évoquée plus haut). Ces principes ont été inventés afin que les richesses matérielles reviennent inévitablement à ceux qui possèdent déjà l’argent et le pouvoir : ce phénomène est comparable au jeu de bonneteau puisque les gagnants amassent toujours davantage tandis que les perdants voient leurs biens s’amoindrir d’autant (principe très-contemporain de la privatisation des bénéfices et de la socialisation des déficits).
Israël fut le berceau de la vraie foi : Jésus-Christ en est la plus noble expression. La beauté de la catholicité prouve que Notre Seigneur est le point de départ de toute chose pure et noble. Sans Jésus-Christ, le monde n’aurait jamais connu cette paix honnête que la plupart de nos contemporains ont oubliée, par méconnaissance de l’histoire et de la vraie religion.
Si l’on avance rapidement dans le temps, en partant de Jésus-Christ pour arriver en 2017, on voit apparaître deux mondes antonymes :
1) L’un, datant approximativement du I[size=14]er siècle, est basé sur les lois naturelles, surnaturelles et sur la précieuse conservation de la vraie foi en Dieu. Dans ce monde-là, la spiritualité est un trésor puisque la pureté du cœur est la chose la plus recherchée. L’homme sincèrement noble peut être élevé au rang des princes. Le gentilhomme médite sur la vie et sur la mort, sur les grandes questions qui guident l’humanité pour la faire avancer sur le bon chemin. Ceux qui cherchent la vertu sont moins nombreux que les autres, c’est pourquoi il est dit que les sentiers de la perdition sont larges. Toutefois, dans une époque très-chrétienne, les chercheurs des trésors célestes (synonyme de la vraie foi en Dieu) peuvent être nombreux : on les appelle les bienheureux. La foi catholique a engendré un grand nombre de saints au fil des siècles : c’est la preuve que la sève coule en abondance dans une époque authentiquement catholique.[/size]
2) L’autre, datant du XXI[size=14]e siècle, est basé sur la théorie du progrès indéfini. Ce dogme souhaite mettre un terme aux lois naturelles (socle des lois surnaturelles et donc gardiennes de la vraie foi dans une certaine mesure). Les rêveurs les plus fous sont ceux qui cherchent à atteindre l’immortalité par la modification du génome humain. Les milliardaires souhaiteraient s’affranchir de la mort afin de crier aux petites gens qu’ils sont les maîtres du monde. Ne serait-ce pas là une atroce injustice, le comble de l’horreur humaine ? Dans ce siècle si matérialiste, l’individu « rouleau compresseur », c’est-à-dire l’homme qui souhaite réussir en écrasant la tête de ceux qui se trouvent en dessous de lui, est celui qui obtient la gloire médiatique : l’homme immoral peut se hisser sur le haut du podium en levant triomphalement les bras. Pourtant cette gloriole n’est que passagère. Cette époque est donc celle des chimères et des cauchemars éveillés.[/size]
Si l’homme se souvenait subitement de sa mort, de sa courte vie sur terre, ne chercherait-il pas à s’améliorer ? Si l’homme se souvenait encore de Dieu, ne mettrait-il pas un terme aux recherches liées à l’intelligence artificielle, à la modification du génome humain ? Ne détruirait-il pas ces horreurs dans un grand feu de joie ? Ne chercherait-il pas à mettre fin aux injustices, ne se transformerait-il pas, finalement, en l’un de ces chevaliers qui allaient autrefois sauver la veuve, le vieillard, le pauvre, le malade et l’orphelin ? Où sont passés les héros de jadis ? La réponse est crue : l’égoïsme a temporairement triomphé de la fraternité catholique.
Finalement, le rejet de Dieu n’a-t-il pas entraîné les horreurs qui sont en train de naître sous nos yeux ? Combien faudra-t-il encore de morts (lors d’attaques terroriste, de guerres civiles, de partitions de pays européens à cause d’une indépendance régionaliste, de guerre nucléaire, etc.) et de châtiments (séismes, volcans, ouragans, pollutionstoxiques, destruction irréversible de la nature, modification des courants océaniques, etc.) pour que l’homme redevienne sage, à l’image de ses lointains aïeux Hébreux ? (pour ceux qui douteraient encore de leur sagesse, il faut lire « les mœurs des Israélites et des chrétiens »)
Concluons rapidement : Israël est au centre de l’histoire. Israël, autrefois nation sainte et gardienne de la foi, a donné naissance à Notre Seigneur Jésus-Christ, Sauveur de l’humanité. Désormais, Israël, nation déchue, vectrice du progrès indéfini et du transhumanisme, donnera potentiellement naissance à l’antéchrist. Mais, à la fin, lors du Jugement Dernier, Jésus-Christ fera paître Ses brebis au Paradis tandis qu’Il enverra les fils de la perdition brûler éternellement dans le feu de l’enfer. Qu’il en soit ainsipuisqu’il s’agit de la véritable finalité de l’humanité.
- Spoiler:
Source : https://lafrancechretienne.wordpress.com/2017/10/25/israel-nation-sainte-israel-nation-dechue/
Dernière édition par saint-michel le Dim 29 Oct 2017 - 18:04, édité 1 fois
Re: Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
N'oublions pas la France, qui fut choisie par Dieu (baptème de Clovis) pour être la Nouvelle Israel de Dieu sur terre (non pas pour supplanter, mais accomplir le sens de la mission d'Israël, qui est spirituel) !
La France, disait la Vierge Marie à la Salette, a corrompu le monde entier.
C'est un fait que beaucoup d'idéologies modernes trouvent leur source en France, chez les intellectuels, les philosophes français.
Aujourd'hui, avec les lois de libéralisation sur le clonage, elle a discrètement contourné l'interdit qui pèse sur le clonage humain.
Mais merci pour ce résumé de notre histoire, très éclairant.
Réduire l'homme à la machine, l'ère des robots, nous y arrivons.
Pour alimenter votre propos :
Le totalitarisme du XXIe siècle
La déchristianisation de l’Europe (et celle des États-Unis que nous évoquions la semaine dernière dans le sillage de Rod Dreher) est souvent évoquée sur le mode d’un changement de paradigme et sous les couleurs d’un optimisme progressiste. En régime de démocratie pluraliste, la société permettrait la coexistence de toutes les conceptions du monde possibles. La régulation par l’État de droit nous protégerait de toutes les dérives, notamment grâce à la laïcité qui garantit la liberté de conscience. Mais cet optimisme pèche peut-être par manque de lucidité. Le XXe siècle ne vivait-il pas déjà dans la trajectoire des Lumières ? Cela n’a pas empêché la naissance du nazisme et du communisme stalinien. Au désenchantement du monde religieux peut très bien correspondre un réenchantement idéologique, avec le surgissement de ce que Raymond Aron appelait les religions séculières. Le XXIe siècle peut très bien produire les siennes, aussi redoutables que celles qui les ont précédées, en dépit de leur absence apparente de dimension guerrière.
Chantal Delsol, dans un article remarquable du Figaro (16 octobre) vient de tirer la sonnette d’alarme, en attirant notre attention sur le néo-matérialisme scientiste en quoi consiste le dataïsme : « Les chercheurs de la Silicon Valley, les artisans de l’Université de la Singularité attendent les lendemains qui chantent et même les considèrent comme un destin grec. Les data résument tout et réduisent tous les champs vitaux, sociaux, disciplinaires en un seul point : les algorithmes biochimiques ou physico-chimiques qui nous définissent. » Les avancées vertigineuses de la technique nous placent sous l’empire de gigantesques données dont la gestion relève d’une raison purement calculatrice. L’humanité, dans cette logique, perd tous ses repères traditionnels, ceux que la philosophie et la religion lui conféraient, tels le libre arbitre, la réflexion sur les fins et sur les conduites morales. Tout cela serait dépassé dans le mouvement d’une transgression inévitable, celle du transhumanisme.
La vogue d’un auteur comme Yuval Noah Harari [1] devrait nous alerter, tant elle est significative des dérives graves qui sont en train de changer nos conditions de vivre et de penser. Le déclin de la foi dans nos pays nous expose ainsi à l’expansion d’une gnose scientiste qui ne se contente pas de susciter un nouvel imaginaire avec sa propre eschatologie, car elle veut prendre possession de la terre entière, avec les moyens redoutables que lui confèrent les avancées de la technique et l’intelligence artificielle. Il nous faudrait un nouveau Gaston Fessard pour écrire le manifeste nécessaire contre ce totalitarisme qui s’en prend à notre âme, à notre liberté, à notre corporéité et à notre art de vivre.
[1] Auteur des best-sellers Sapiens : une brève histoire de l’humanité et Homo deus : une brève histoire de l’avenir (Albin Michel).
https://www.france-catholique.fr/Le-totalitarisme-du-XXIe-siecle.html
La France, disait la Vierge Marie à la Salette, a corrompu le monde entier.
C'est un fait que beaucoup d'idéologies modernes trouvent leur source en France, chez les intellectuels, les philosophes français.
Aujourd'hui, avec les lois de libéralisation sur le clonage, elle a discrètement contourné l'interdit qui pèse sur le clonage humain.
Mais merci pour ce résumé de notre histoire, très éclairant.
Réduire l'homme à la machine, l'ère des robots, nous y arrivons.
Pour alimenter votre propos :
Le totalitarisme du XXIe siècle
La déchristianisation de l’Europe (et celle des États-Unis que nous évoquions la semaine dernière dans le sillage de Rod Dreher) est souvent évoquée sur le mode d’un changement de paradigme et sous les couleurs d’un optimisme progressiste. En régime de démocratie pluraliste, la société permettrait la coexistence de toutes les conceptions du monde possibles. La régulation par l’État de droit nous protégerait de toutes les dérives, notamment grâce à la laïcité qui garantit la liberté de conscience. Mais cet optimisme pèche peut-être par manque de lucidité. Le XXe siècle ne vivait-il pas déjà dans la trajectoire des Lumières ? Cela n’a pas empêché la naissance du nazisme et du communisme stalinien. Au désenchantement du monde religieux peut très bien correspondre un réenchantement idéologique, avec le surgissement de ce que Raymond Aron appelait les religions séculières. Le XXIe siècle peut très bien produire les siennes, aussi redoutables que celles qui les ont précédées, en dépit de leur absence apparente de dimension guerrière.
Chantal Delsol, dans un article remarquable du Figaro (16 octobre) vient de tirer la sonnette d’alarme, en attirant notre attention sur le néo-matérialisme scientiste en quoi consiste le dataïsme : « Les chercheurs de la Silicon Valley, les artisans de l’Université de la Singularité attendent les lendemains qui chantent et même les considèrent comme un destin grec. Les data résument tout et réduisent tous les champs vitaux, sociaux, disciplinaires en un seul point : les algorithmes biochimiques ou physico-chimiques qui nous définissent. » Les avancées vertigineuses de la technique nous placent sous l’empire de gigantesques données dont la gestion relève d’une raison purement calculatrice. L’humanité, dans cette logique, perd tous ses repères traditionnels, ceux que la philosophie et la religion lui conféraient, tels le libre arbitre, la réflexion sur les fins et sur les conduites morales. Tout cela serait dépassé dans le mouvement d’une transgression inévitable, celle du transhumanisme.
La vogue d’un auteur comme Yuval Noah Harari [1] devrait nous alerter, tant elle est significative des dérives graves qui sont en train de changer nos conditions de vivre et de penser. Le déclin de la foi dans nos pays nous expose ainsi à l’expansion d’une gnose scientiste qui ne se contente pas de susciter un nouvel imaginaire avec sa propre eschatologie, car elle veut prendre possession de la terre entière, avec les moyens redoutables que lui confèrent les avancées de la technique et l’intelligence artificielle. Il nous faudrait un nouveau Gaston Fessard pour écrire le manifeste nécessaire contre ce totalitarisme qui s’en prend à notre âme, à notre liberté, à notre corporéité et à notre art de vivre.
[1] Auteur des best-sellers Sapiens : une brève histoire de l’humanité et Homo deus : une brève histoire de l’avenir (Albin Michel).
https://www.france-catholique.fr/Le-totalitarisme-du-XXIe-siecle.html
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
l’égoïsme a temporairement triomphé de la fraternité catholique.
oui et surtout ce qui va avec, la peur de mourir, la peur de souffrir ,d'être abandonné et laissé crever sur le chemin sans aucun bon samaritain pour nous venir en aide !
Cette charité qui nous est imposée par Dieu est aussi notre soupape de sécurité; mais il faut qu'il nous reste quelquechose à donner et à partager c'est celà que les nouveaux hérodes cherchent à TUER et cette arme économique de destruction massive est très puissante TOUS LES PEUPLES EN SOUFFRENT et entrent dans la spirale infernale de la peur de manquer et du repli sur soi COMMENT BRISER ce cercle ? Prions le Seigneur Notre Dieu Lui A LA SOLUTION et nous restons VIVANTS en attendant
oui et surtout ce qui va avec, la peur de mourir, la peur de souffrir ,d'être abandonné et laissé crever sur le chemin sans aucun bon samaritain pour nous venir en aide !
Cette charité qui nous est imposée par Dieu est aussi notre soupape de sécurité; mais il faut qu'il nous reste quelquechose à donner et à partager c'est celà que les nouveaux hérodes cherchent à TUER et cette arme économique de destruction massive est très puissante TOUS LES PEUPLES EN SOUFFRENT et entrent dans la spirale infernale de la peur de manquer et du repli sur soi COMMENT BRISER ce cercle ? Prions le Seigneur Notre Dieu Lui A LA SOLUTION et nous restons VIVANTS en attendant
scapulaire- J'adore l'Eucharistie
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Re: Israël, nation sainte. Israël, nation déchue
Dans les années 2070, dans la citadelle de Libria, les émotions n'existent plus, supprimées par l'absorption quotidienne de Prozium. Cette drogue anti-anxiété rend les gens plus heureux et plus productifs. Les individus ont ainsi accepté de mettre de côté leur liberté pour vivre en harmonie avec leur dirigeant spirituel connu sous le nom de Père. Les personnes qui refusent de prendre leur dose sont considérées comme des rebelles et vivent en retrait de la ville. S'ils sont pris à jeun, c'est la peine de mort assurée.
John Preston travaille au service de Père et applique la loi à la lettre. Un jour, celui-ci brise le flacon de sa dose et n'a pas le temps de s'en procurer une de rechange. Il est alors submergé par toute une gamme d'émotions. Victime d'un revirement spirituel qui le confronte à ses supérieurs hiérarchiques, il mène l'enquête sur ce nouvel état de vie.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=26865.html
John Preston travaille au service de Père et applique la loi à la lettre. Un jour, celui-ci brise le flacon de sa dose et n'a pas le temps de s'en procurer une de rechange. Il est alors submergé par toute une gamme d'émotions. Victime d'un revirement spirituel qui le confronte à ses supérieurs hiérarchiques, il mène l'enquête sur ce nouvel état de vie.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=26865.html
Yeshoua- Avec Saint Joseph
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