Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
20 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTIÈME JOUR : ouvrir les bras à Marie qui va me réengendrer en Elle dans un remaniement massif: La Transformation royale immaculée arrive.
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2011.mp3 (10mn)
CINQ CENT CINQUANTIÈME JOUR : ouvrir les bras à Marie qui va me réengendrer en Elle dans un remaniement massif: La Transformation royale immaculée arrive.
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Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Je n'ai pas compris le 555è jour... aujourd'hui après le 1er lundi de pentecote (21 mai 2018) où est désormais fêtée Marie Mère de l'Eglise (promulguée par Paul VI au concile vatican II si je ne me trompe) : c'est lié donc à l'Immaculée Conception, Marie nous engendre et fait être enfants de Dieu , son enfant comme Jésus l'a vraiment été et comme l'Eglise l'est reellement ( Marie Mère de l'Eglise ) dans une fecondité sponsale et sacerdotale (Femme voici ton fils)
peut-on ré-expliquer ?
( de même 1er jour de neuvaine 21 novembre jusqu'au 29 novembre 9 jours après la fete de la presentation de la vierge Marie, demain je comprends , mais du 20 au 27 novembre ?... )
peut-on ré-expliquer ?
( de même 1er jour de neuvaine 21 novembre jusqu'au 29 novembre 9 jours après la fete de la presentation de la vierge Marie, demain je comprends , mais du 20 au 27 novembre ?... )
Dernière édition par azais le Mer 20 Nov 2019 - 17:15, édité 1 fois
azais- MEDIATEUR
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Le 27 novembre sera le 555ème jour depuis que la Très Sainte Vierge Marie a été proclamée Mère de l'Eglise le Lundi de Pentecôte 21 mai 2018, et aujourd'hui nous sommes le deuxième jour de la Neuvaine qui se termine le 27 novembre.
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
pourquoi une neuvaine pour le 27 novembre ?Catherine Jouenne a écrit:Le 27 novembre sera le 555ème jour depuis que la Très Sainte Vierge Marie a été proclamée Mère de l'Eglise le Lundi de Pentecôte 21 mai 2018, et aujourd'hui nous sommes le deuxième jour de la Neuvaine qui se termine le 27 novembre.
quant au 555è jour c'est bien sur à relever ... apres cette 1è Fête célébrée dans toute l'Eglise , en mémoire de Marie Mère de l'Eglise qui nous engendre tous et nous réunit dans par et avec cette "conception " parlaquelle nous sommes reconciliés et réuni substantiellement en la Vie et l'UN , le mouvement d'Amour qui habite la Très Sainte Trinité
Oui c'est tres beau 555 , Grâce dans les trois dimensions de notre Etre , corps , ame , esprit ( Foi, Espérance, Charité // voies de Purification, Illimination, Sanctification- Mariage spirituel)
azais- MEDIATEUR
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Présentation de Marie :Elle fut, enfant, consacrée au Temple jusqu'à l'age de 12 ans
qq Extraits de Bse AC Emmercich :La présentation de Marie et son séjour dans le temple sont attestés de plusieurs façons par l'autorité de l'Église. La commémoration de la Présentation de Marie est fixée au 21 novembre dans tous 1es missels c : les bréviaires. Dès les temps apostoliques, nous avons un garant de cette tradition dans la personne de l'évêque Evodius, cité par Nicéphore, Histoire ecclésiastique, Liv. II, C. 3. Saint Grégoire de Nysse, saint Épiphane, saint George de Nicomédie, saint Grégoire de Thessalonique, saint Jean Damascène et d'autres saints Pères rendent le même témoignage. L'Église grecque célèbre cette fête depuis onze siècles au moins. Même dans le Coran, .Sura Imram, v 3l, le séjour de Marie au temple est raconté avec détail.
Il se trouvait là des étrangers, des parents, des hommes, des femmes, même des enfants. Il y avait aussi trois prêtres présents, un de Séphoris, l'autre de Nazareth, le troisième d'un endroit situé sur une montagne, à quatre lieues environ de Nazareth.
Ces prêtres étaient venus pour examiner si la petite Marie était en état de venir au temple, et en outre pour la faire habiller suivant un certain modèle déterminé. Il y avait trois habillements de différentes couleurs, dont chacun se composait d'une robe, d'une pièce d'étoffe pour couvrir la poitrine et d'un manteau. A ce costume appartenaient aussi deux guirlandes en soie et en laine, et une couronne fermée par en haut.
L'un des prêtres coupa lui-même quelques parties de cet habillement, et arrangea tout conformément à la règle.
(.... )
J'ai vu aujourd'hui une grande fête dans la maison des parents de Marie.
Les trois prêtres étaient encore présents, ainsi que plusieurs parents et leurs petites filles, par exemple Marie Héli et son enfant, Marie de Cléophas, qui est beaucoup plus massive et plus forte que la sainte Vierge. Marie est très délicate ; elle a des cheveux d'un blond doré, légèrement bouclés à leur extrémité. Elle sait déjà lire, et tout le monde admire la sagesse de ses réponses.
Les habits de Marie, déjà taillés en partie par les prêtres, avaient été cousus par les femmes. On les mit à l'enfant à différentes reprises pendant cette fête, et on lui adressa alors plusieurs questions.
(... )
Après le repas, tout le monde se rendit dans la première chambre, devant l'autel, où on déshabilla encore l'enfant et où on lui mit l'habit de cérémonie. C'était une robe d'un bleu violet à fleurs jaunes, puis un scapulaire ou une espèce de fichu brodé de diverses couleurs, et enfin un manteau de la couleur de la robe. Le manteau était ouvert jusque sous la poitrine et tombait en plis majestueux qui commençaient à la hauteur des bras. On lui mit en outre un grand voile, blanc d'un côté et violet de l'autre.
La couronne qu'on lui plaça sur la tête se composait d'un cercle large et mince, dont le bord supérieur était découpé en pointes surmontées de boutons. Cette couronne était fermée par en haut et surmontée d'un bouton. Revêtue de cet habit de cérémonie dont le prêtre lui avait expliqué la signification, Marie fut conduite sur l'extrade à degrés qui était devant l'autel.
Les petites filles se tenaient à ses côtés.
Elle déclara alors à quoi elle s'engageait à renoncer en entrant dans le temple. Elle promettait de ne manger ni viande ni poisson et de ne pas boire de lait, mais seulement une boisson faite d'eau et de moelle de jonc, dont les gens pauvres faisaient usage. Elle se réservait seulement de mettre quelquefois dans son eau un peu de jus de térébinthe. C'est comme une huile blanche qui réconforte beaucoup, mais qui est moins agréable que le baume. Elle renonçait à toute espèce d'épices, et ne voulait pas manger de fruits, excepté une espèce de baies jaunes qui viennent en grappes. Je les connais bien ; les enfants et les pauvres gens en mangent. Elle voulait dormir sur la terre nue et se relever trois fois la nuit pour prier. Les autres vierges ne le faisaient qu'une fois toutes les nuits.
Les parents de Marie furent profondément émus de ses paroles.
Joachim serra l'enfant dans ses bras en pleurant, et dit : " Mon enfant, c'est trop sévère : si tu mènes une vie si dure, ton vieux père ne te reverra pas ".
Les prêtres lui dirent qu'elle ne devait se relever qu'une fois la nuit pour prier, comme faisaient les autres, et ils lui imposèrent encore d'autres adoucissements : par exemple, l'usage du poisson aux jours de grandes fêtes.
-Les prêtres dirent encore à Marie : " Plusieurs des autres vierges qui sont reçues gratuitement au temple s'engagent, avec le consentement de leurs parents, aussitôt que leurs forces le leur permettent, à laver les habits des prêtres tout souillés du sang des victimes' et d'autres grossières étoffes de laine. C'est un rude travail, qui met souvent les mains en sang ; tu n'es pas obligée de t'y soumettre, parce que tes parents se chargent de ton entretien au temple ".
Marie déclara alors qu'elle se chargerait volontiers de ce Travail si on l'en jugeait digne.
La cérémonie de la vêture s'acheva parmi beaucoup d'interrogations et de réponses de ce genre.
Pendant cette sainte cérémonie, Marie m'apparut tellement grande, que sa taille dépassait celle des prêtres. On me donnait par là une image de sa sagesse et de la grâce qui était en elle. Les prêtres étaient pleins d'un étonnement joyeux.
A la fin de la cérémonie, je vis le principal prêtre bénir Marie.
Elle était debout sur un petit trône entre deux prêtres. Celui qui bénissait était en face d'elle, l'autre derrière elle. Les prêtres récitaient des prières qu'ils lisaient sur les rouleaux de parchemin et se répandaient alternativement.
Le premier la bénit en étendant les mains sur elle.
J'eus, à cette occasion, le bonheur de voir l'intérieur de la sainte enfant.
Je la vis toute lumineuse pendant la bénédiction du prêtre, et, sous son coeur, je vis dans une gloire ce que j'avais vu en contemplant l'objet sacré contenu dans l'Arche d'alliance.
Dans une sphère lumineuse de la même forme que le calice de Melchisédech, je vis des symboles figuratifs de la bénédiction.
C'était comme du froment et du vin, de la chair et du sang, tendant à devenir une seule et même chose. Je vis aussi au-dessus de cette apparition son coeur s'ouvrir comme la porte d'un temple, et j'y vis entrer le symbole mystérieux, autour duquel il s'était formé comme un dais de pierres précieuses ayant toutes leur signification.
Il me semblait voir l'Arche d'alliance entrant dans le Saint des saints du temple.
Puis je ne vis plus que la sainte enfant inondée par la splendeur du feu qui brûlait au dedans d'elle.
Elle m'apparut comme transfigurée et s'élevant au-dessus du sol. Je connus pendant cette apparition qu'un des prêtres ' avait acquis par une illumination d'en haut la conviction intérieure que Marie était le vase d'élection renfermant le mystère du salut ; car je le vis recevoir un rayon de la bénédiction qui sembla entrer en lui.
Les prêtres reconduisirent alors l'enfant vers ses parents émus. Anne prit Marie dans ses bras et l'embrassa avec une tendresse mêlée de vénération. Joachim, profondément ému, lui prit la main avec gravité et respect.
Quand tous les assistants l'eurent complimentée, on lui ôta ses habits de fête, et elle reparut dans son costume ordinaire
XXVIII Départ de Marie pour le temple.
(...)
Marie, âgée d'un peu plus de trois ans, belle et délicate, était aussi avancée qu'un enfant de cinq ans chez nous.
Elle avait des cheveux d'un blond doré, lisses, bouclés à l'extrémité, et plus longs que ceux de Marie de Cléophas, enfant de sept ans, dont la blonde chevelure était courte et frisée. Les enfants comme les grandes personnes avaient tous pour la plupart des vêtements longs de laine brune sans teinture.
Parmi les assistants, je remarquai particulièrement deux jeunes garçons qui ne paraissaient pas être de la famille et qui ne s'entretenaient avec aucun de ses membres. Il semblait que personne ne les vit. Ils étaient beaux et aimables, avec leurs cheveux blonds et frisés, et ils me parlèrent. Ils avaient des livres, probablement pour leur instruction.
La petite Marie n'avait aucun livre, quoiqu'elle sût déjà lire. Ce n'étaient pas des livres comme les nôtres, mais de longues bandes, larges à peu près d'une demi aune, roulées autour d'un bâton, dont les bouts arrondis sortaient de chaque côté.
Le plus grand de ces deux garçons avait un rouleau déployé. Il s'approcha de moi, et lut quelque chose qu'il m'expliqua.
C'étaient des lettres d'or qui m'étaient tout à fait inconnues, écrites à rebours, et chaque lettre semblait représenter un mot entier.
La langue était tout à fait étrangère pour moi, mais pourtant je la comprenais.
Malheureusement j'ai oublié ce qu'il m'expliquait : c'était un texte de Moise Le plus petit portait son rouleau à la main comme un jouet. Il sautait ça et là comme font les enfants et agitait son rouleau en jouant. Je ne puis dire à quel point ces enfants me plaisaient.
Ils étaient tout autrement que les assistants, et ceux-ci ne paraissaient pas faire attention à eux.
" Ces garçons que je vis avaient une signification spirituelle ; leur présence là n'était pas selon l'ordre naturel. C'étaient seulement des figures symboliques de prophètes.
Le plus grand portait son rouleau avec beaucoup de gravité.
Il m'y montrait le passage du second livre de Moise où celui-ci voit, dans le buisson ardent, le Seigneur qui lui dit d'ôter sa chaussure. Il m'expliqua que, de même que le buisson brûlait sans se consumer, de même le feu du Saint Esprit brûlait dans la petite Marie, qui portait cette sainte flamme en elle comme un enfant, sans en avoir la conscience. Cela indiquait aussi l'union prochaine de la Divinité avec l'humanité.
Le feu signifiait Dieu, le buisson les hommes.
Il m'expliqua aussi l'ordre de se déchausser, mais je ne me souviens plus de son explication. Cela signifiait, je crois, que maintenant le voile était enlevé, et que la réalité se montrait ; que la loi recevait son accomplissement ; qu'il y avait ici plus que Moise et les prophètes.
L'autre enfant portait son rouleau au bout d'un bâton comme un petit drapeau flottant au vent : cela voulait dire que Marie entrait maintenant avec joie dans la carrière de mère du Rédempteur.
Ce garçon paraissait plein de naïveté et jouait avec son rouleau.
Cela représentait l'innocence enfantine de Marie, sur laquelle reposait une si grande promesse, et qui, avec cette sainte destination, jouait pourtant comme un enfant.
Ces jeunes garçons m'expliquèrent sept passages de leurs rouleaux.
XXIX Départ pour Jérusalem.
Je les vis se mettre en route pour Jérusalem dès le point du jour.
La petite Marie désirait vivement arriver au temple ; elle sortit de la maison en toute hâte et vint prés des bêtes de somme. Les jeunes garçons se montrèrent encore des textes sur leurs rouleaux. L'un de ces textes disait que le temple était magnifique, mais que cette enfant renfermait quelque chose de plus magnifique encore, etc. Il y avait deux bêtes de somme. L'un des ânes, qui était très chargé, était conduit par un serviteur ; il devait toujours se tenir un peu en avant des voyageurs. Sur l'autre âne, chargé aussi de paquets, qui se tenait devant la maison, on avait préparé une place pour s'asseoir, et Marie y fut mise.
Joachim conduisait l'âne, et portait un grand bâton avec une grosse pomme ronde au bout
(... )
Ici les deux enfants-prophètes avaient disparu.
L'un d'eux était Elie ; l'autre me parut être Moise.
La petite Marie les voyait bien, mais elle n'en dit rien.
(... )J'ai vu ce soir la petite Marie arriver avec ses parents dans une ville située à environ six lieues de Jérusalem dans la direction du nord-ouest. Elle s'appelle Bethoron et se trouve au pied d'une montagne.
Dans le voyage, ils ont travers une petite rivière qui se jette dans la mer, au couchant, dans les environs de Joppé, où saint Pierre enseigna après la descente au Saint Esprit. On a livré de grandes batailles près de Bethoron, je les ai oubliées. (Voyez Josué, X, 11 ; Macch. VII, 39-40). Il y avait de là encore deux lieues jusqu'à un endroit de la route d'où l'on pouvait voir Jérusalem.
On y trouve de très beaux raisins et beaucoup d'autres fruits. La sainte Famille entra chez des amis dans une maison bien disposée. Celui qui l'habitait était maître d'école.
On fit une vraie fête à la petite Marie : on la conduisit, en compagnie des autres enfants, dans une grande salle ; on la mit sur un siège élevé qui était comme un petit trône préparé pour elle. Alors le maître d'école et d'autres personnes présentes lui firent toutes sortes de questions et mirent des guirlandes sur sa tête.
J'appris que Marie avait tout juste trois ans et trois mois
Au temple
Lorsque le cortège arriva, je vis plusieurs serviteurs du temple occupés à ouvrir, avec de grands efforts, une porte très grande et très lourde, brillante comme de l'or, et sur laquelle étaient sculptés des têtes, des grappes de raisin et des bouquets d'épis'.
C'était la porte dorée.
Le cortège passa par cette porte Il fallait monter cinquante marches pour y arriver ; je ne sais plus s'il y avait entre elles des intervalles de plain-pied. On voulut conduire Marie par la main, mais elle s'y refusa. Elle monta les degrés rapidement et sans trébucher, pleine d'un joyeux enthousiasme. Tout le monde était vivement ému.
Sous la porte elle fut reçue par Zacharie, par Joachim et par quelques prêtres qui la conduisirent à droite sous la large arcade de la porte, dans des salles élevées où un repas était préparé pour quelqu'un. Le cortège se sépara ici. La plupart des femmes et des enfants se rendirent dans le temple à l'endroit où priaient les femmes ; Joachim et Zacharie allèrent au lieu du sacrifice. Les prêtres firent encore quelques questions à Marie dans l'une des salles ; et, quand ils se furent retirés, étonnés de la sagesse de l'enfant, Anne mit à sa fille le troisième vêtement de fête, qui était d'un bleu violet, ainsi que le manteau, son voile et sa couronne
Il est a remarquer que le tabernacle de Moise avait des couvertures de fête de trois espèces, dont celle de dessous, qui était la plus belle, était bleue et rouge. Il y avait encore par-dessus une quatrième couverture plus grossière. De même aussi la très sainte Vierge, dont le tabernacle de l'alliance était la figure, avait, outre ses habits de fête, un habillement de tous les jours. On peut consulter, quant à la triple, couverture du tabernacle et à la quatrième moins précieuse, le livre de l'Exode (XXVI, 1-14).
(... )
Je vis alors deux prêtres prendre Marie par la main et la conduire par plusieurs marches à une place élevée du mur qui séparait le vestibule du sanctuaire d'avec ce dernier lieu. Ils placèrent l'enfant dans une espèce de niche située au milieu de ce mur ... qu'elle pouvait voir dans le temple, où se tenaient rangés en ordre plusieurs hommes qui me parurent consacrés au temple. Deux prêtres étaient à ses côtés ; il y en avait sur les marches quelques autres qui récitaient à haute voix des prières écrites sur des rouleaux.
De l'autre côté du mur, un vieux prince des prêtres se tenait debout près d'un autel, à un endroit assez élevé pour qu'on pût le voir à moitié. Je le vis présenter de l'encens dont la fumée se répandit autour de Marie.
Pendant cette cérémonie, je vis autour de la sainte Vierge un tableau symbolique qui bientôt remplit le temple et l'obscurcit, pour ainsi dire.
Je vis une gloire lumineuse sous le coeur de Marie, et je connus qu'elle renfermait la promesse, la très sainte bénédiction de Dieu.
Je vis cette gloire se montrer comme entourée de l'arche de Noé, de façon que la tête de la sainte Vierge s'élevait au-dessus de l'arche.
Je vis ensuite cette arche de Noé prendre la forme de l'Arche d'alliance, et celle-ci à son tour comme renfermée dans le temple.
Puis je vis ces formes disparaître, et le calice de la sainte cène se montrer hors de la gloire devant la poitrine de Marie, et au-dessus de lui, devant la bouche de la Vierge, un pain marqué d'une croix.
A ses côtés brillaient des rayons à l'extrémité desquels se montraient, exprimés par des figures, plusieurs symboles mystiques de la sainte Vierge, comme, par exemple, tous les noms des litanies que l'Église lui adresse.
De ses deux épaules partaient, en se croisant, deux branches d'olivier et de cyprès, ou de cèdre et de cyprès au-dessus d'un beau palmier, avec un petit bouquet de feuilles que je vis apparaître derrière elle.
Dans les intervalles de ces branches, je vis tous les instruments de la Passion de Jésus-Christ.
Le Saint Esprit sous une forme ailée qui semblait se rapprocher plus de 1a forme humaine que de celle de la colombe, planait sur le tableau, au-dessus duquel je vis le ciel ouvert, et le centre de la Jérusalem céleste, la cité de Dieu avec tous ses palais, ses jardins et les places des saints futurs : tout cela était plein d'anges, de même que la gloire qui maintenant entourait la sainte Vierge était remplie de têtes d'anges'.
L'Eglise, dans les heures canoniques, répète souvent la prière Omnium nostrum habitatio est in sancta Dei Genitrix, ce qui s'accorde bien avec la représentation où Marie parait sous la figure de l'arche de Noé, dans laquelle habitait tout ce qui était sauvé du déluge.
Qui pourrait rendre ces choses par des expressions humaines.
Tout cela se montrait sous des formes si diverses, si multipliées, naissant les unes des autres avec de si continuelles transformations, que j'en ai oublié la plus grande partie.
Tout ce qui se rapporte à la sainte Vierge dans l'ancienne et la nouvelle alliance, et jusque dans l'éternité, se trouvait représenté par là
Lorsque je vis tout cela, toutes les magnificences et les beautés du temple, ainsi que les murs élégamment ornés qui étaient derrière la sainte Vierge, me parurent ternes et noircis : le temple lui-même sembla bientôt disparaître ; Marie et la gloire qui l'entourait remplissaient tout.
Pendant que toutes ces visions passaient sous mes yeux, je ne vis plus la sainte Vierge sous la forme d'une enfant ; elle m'apparut grande et planant en l'air, et je voyais pourtant les prêtres, le sacrifice de l'encens et tout le reste à travers cette image : on eût dit que le prêtre était placé derrière elle, annonçait l'avenir et invitait le peuple à remercier Dieu et à le prier, parce que de cette enfant il devait sortir quelque chose de grand.
Tous ceux qui étaient présents au temple, quoiqu'ils ne vissent pas ce que je voyais, étaient graves, recueillis et profondément émus
Le tableau s'évanouit par degrés, ainsi que je l'avais vu apparaître.
A la fin, je ne vis plus que la gloire sous le coeur de Marie, et la bénédiction de la promesse qui brillait au dedans ; puis cette vision aussi disparut, et je vis de nouveau la sainte enfant avec sa parure, seule entre deux prêtres.
Les prêtres prirent les couronnes qui étaient autour ce ses bras ainsi que le flambeau qu'elle avait à la main, et les donnèrent à ses compagnes.
Ils lui mirent sur la tête une espèce de voile brun, et, lui ayant fait descendre les degrés, ils la conduisirent par une porte dans une salle voisine où six autres vierges du temple, mais plus âgées, vinrent à sa rencontre en jetant des fleurs devant elle.
Elles étaient suivies de leurs maîtresses, Noémi, soeur de la mère de Lazare, la prophétesse Anne et une troisième.
Les prêtres reçurent entre leurs mains la petite Marie, après quoi ils se retirèrent.
Les père et mère de l'enfant, ainsi que leurs plus proches parents, se trouvaient là aussi ; on acheva les chants sacrés, et Marie prit congé de sa famille.
Joachim surtout était profondément ému ; il prit Marie dans ses bras, la serra contre son coeur, et lui dit avec larmes : " Souviens-toi de mon âme devant Dieu ".
Marie se rendit alors avec les maîtresses et plusieurs jeunes filles dans le logement des femmes, attenant au côté septentrional du temple proprement dit.
Elles habitaient des chambres qui avaient été pratiquées dans les gros murs du temple.
Elles pouvaient, par des passages et des escaliers, monter à de petits oratoires placés près du sanctuaire et du Saint des saints.
-Quelques-uns des assistants durent avoir un pressentiment des destinées de la sainte Vierge, car je me souviens de quelques paroles que sainte Anne, dans un moment d'enthousiasme joyeux, adressa à quelques femmes, et dont le sens était : " Voici l'Arche d'alliance, le Vase de la promesse, qui entre dans le temple. "
Les père et mère de Marie, ainsi que les autres parents, s'en retournèrent aujourd'hui jusqu'à Bethoron.
Les femmes du temple portaient de longs et amples vêtements blancs avec des ceintures, et des manches très - larges qu'elles relevaient pour travailler. Elles étaient voilées.
Je ne me souviens pas d'avoir jamais vu qu'Hérode ait fait rebâtir à neuf le temple entier. Je vis seulement qu'on y fit sous son règne divers changements.
Lorsque Marie vint au temple, onze ans avant la naissance de Jésus-Christ, on ne faisait pas de travaux dans le temple proprement dit, mais, comme toujours, on travaillait aux constructions extérieures : cela ne cessa jamais.
La chambre de Marie était l'une des plus reculées vis-à-vis du Saint des saints.
On passait du corridor en levant un rideau dans une pièce antérieure, qui était séparée de la chambre proprement dite par une cloison de forme convexe ou terminée en angle. Dans l'angle, à droite et à gauche, étaient des compartiments pour mettre des habits et des effets ; vis-à-vis de la porte pratiquée dans cette cloison, des marches conduisant plus haut à une ouverture devant laquelle était une tapisserie, et d'où l'on pouvait voir dans le temple. à gauche, contre le mur de la chambre était un tapis roulé qui, lorsqu'il était étendu, formait la couche où Marie reposait.
Dans une niche de la muraille était placée une lampe près de laquelle j'ai vu l'enfant debout sur un escabeau, lire des prières dans un rouleau de parchemin.
C'était très touchant.
Elle avait une petite robe rayée de blanc et de bleu et parsemée de fleurs jaunes.
Il y avait dans la chambre une table basse, de forme ronde. Je vis entrer la prophétesse Anne.
Elle plaça sur la table un plat où étaient des fruits de la grosseur d'une fève et une petite cruche.
Marie avait une adresse au-dessus de son âge ; je la vis déjà travailler à de petites pièces de toile blanche
XXXII De la vie de la sainte Vierge au temple.
Je vis la sainte Vierge au temple tantôt dans l'habitation des femmes avec les autres petites filles, tantôt dans sa petite chambre, grandissant dans l'étude, la prière et le travail.
Elle filait, tissait, tricotait pour le service du temple.
Elle lavait le linge et nettoyait les vases.
Je la vis souvent en prière et en méditation.
Comme tous les saints, elle ne mangeait que pour soutenir son existence, et jamais d'autres mets que ceux auxquels elle avait promis de se réduire.
Indépendamment des prières prescrites par la règle du temple, la vie de Marie était une aspiration incessante vers la rédemption, une prière intérieure continuelle.
Elle faisait tout cela paisiblement et en secret.
Quand tout le monde était endormi, elle se levait de sa couche et invoquait Dieu.
Je la vis souvent fondant en larmes et entourée de lumière pendant la prière. Elle priait voilée. Elle se voilait aussi quand elle parlait aux prêtres ou qu'elle descendait dans une chambre attenante au temple pour recevoir sa tâche ou livrer ce qu'elle avait fait.
Je vis la sainte Vierge au temple, continuellement ravie en extase dans la prière. Il semblait que son âme ne fût pas sur la terre, et elle recevait souvent des consolations célestes.
Elle soupirait ardemment après l'accomplissement de la promesse ; et dans son humilité elle osait à peine former le désir d'être la dernière des servantes de la Mère du Rédempteur.
La maîtresse qui prenait soin de Marie s'appelait Noémi, elle était soeur de la mère de Lazare et âgée de cinquante ans. Elle appartenait à la société des Esséniens, ainsi que les autres femmes attachées au service du temple.
Marie apprenait d'elle à travailler ; elle allait avec elle lorsqu'elle nettoyait le linge et les vases tachés par le sang des sacrifices, ou qu'elle partageait et préparait certaines portions de la chair des victimes réservées pour les prêtres et les femmes du temple. Plus tard, Marie s'occupa encore plus activement de ces soins de ménage.
Quand Zacharie était de service au temple, il la visitait
Siméon aussi la connaissait.
Les destinées auxquelles Marie était appelée ne pouvaient pas rester tout à fait inconnues des prêtres. Toute sa manière d'être, la grâce dont elle était pleine, sa sagesse extraordinaire, étaient si remarquables dès son enfance, que son extrême humilité ne pouvait cacher tout cela.
Je vis de vieux prêtres, renommés par leur sainteté, écrire sur de grands rouleaux diverses choses qui la concernaient. et j'ai vu ces écrits, je ne sais plus à quelle époque, parmi d'autres anciens manuscrits.
(.... )
qq Extraits de Bse AC Emmercich :La présentation de Marie et son séjour dans le temple sont attestés de plusieurs façons par l'autorité de l'Église. La commémoration de la Présentation de Marie est fixée au 21 novembre dans tous 1es missels c : les bréviaires. Dès les temps apostoliques, nous avons un garant de cette tradition dans la personne de l'évêque Evodius, cité par Nicéphore, Histoire ecclésiastique, Liv. II, C. 3. Saint Grégoire de Nysse, saint Épiphane, saint George de Nicomédie, saint Grégoire de Thessalonique, saint Jean Damascène et d'autres saints Pères rendent le même témoignage. L'Église grecque célèbre cette fête depuis onze siècles au moins. Même dans le Coran, .Sura Imram, v 3l, le séjour de Marie au temple est raconté avec détail.
Il se trouvait là des étrangers, des parents, des hommes, des femmes, même des enfants. Il y avait aussi trois prêtres présents, un de Séphoris, l'autre de Nazareth, le troisième d'un endroit situé sur une montagne, à quatre lieues environ de Nazareth.
Ces prêtres étaient venus pour examiner si la petite Marie était en état de venir au temple, et en outre pour la faire habiller suivant un certain modèle déterminé. Il y avait trois habillements de différentes couleurs, dont chacun se composait d'une robe, d'une pièce d'étoffe pour couvrir la poitrine et d'un manteau. A ce costume appartenaient aussi deux guirlandes en soie et en laine, et une couronne fermée par en haut.
L'un des prêtres coupa lui-même quelques parties de cet habillement, et arrangea tout conformément à la règle.
(.... )
J'ai vu aujourd'hui une grande fête dans la maison des parents de Marie.
Les trois prêtres étaient encore présents, ainsi que plusieurs parents et leurs petites filles, par exemple Marie Héli et son enfant, Marie de Cléophas, qui est beaucoup plus massive et plus forte que la sainte Vierge. Marie est très délicate ; elle a des cheveux d'un blond doré, légèrement bouclés à leur extrémité. Elle sait déjà lire, et tout le monde admire la sagesse de ses réponses.
Les habits de Marie, déjà taillés en partie par les prêtres, avaient été cousus par les femmes. On les mit à l'enfant à différentes reprises pendant cette fête, et on lui adressa alors plusieurs questions.
(... )
Après le repas, tout le monde se rendit dans la première chambre, devant l'autel, où on déshabilla encore l'enfant et où on lui mit l'habit de cérémonie. C'était une robe d'un bleu violet à fleurs jaunes, puis un scapulaire ou une espèce de fichu brodé de diverses couleurs, et enfin un manteau de la couleur de la robe. Le manteau était ouvert jusque sous la poitrine et tombait en plis majestueux qui commençaient à la hauteur des bras. On lui mit en outre un grand voile, blanc d'un côté et violet de l'autre.
La couronne qu'on lui plaça sur la tête se composait d'un cercle large et mince, dont le bord supérieur était découpé en pointes surmontées de boutons. Cette couronne était fermée par en haut et surmontée d'un bouton. Revêtue de cet habit de cérémonie dont le prêtre lui avait expliqué la signification, Marie fut conduite sur l'extrade à degrés qui était devant l'autel.
Les petites filles se tenaient à ses côtés.
Elle déclara alors à quoi elle s'engageait à renoncer en entrant dans le temple. Elle promettait de ne manger ni viande ni poisson et de ne pas boire de lait, mais seulement une boisson faite d'eau et de moelle de jonc, dont les gens pauvres faisaient usage. Elle se réservait seulement de mettre quelquefois dans son eau un peu de jus de térébinthe. C'est comme une huile blanche qui réconforte beaucoup, mais qui est moins agréable que le baume. Elle renonçait à toute espèce d'épices, et ne voulait pas manger de fruits, excepté une espèce de baies jaunes qui viennent en grappes. Je les connais bien ; les enfants et les pauvres gens en mangent. Elle voulait dormir sur la terre nue et se relever trois fois la nuit pour prier. Les autres vierges ne le faisaient qu'une fois toutes les nuits.
Les parents de Marie furent profondément émus de ses paroles.
Joachim serra l'enfant dans ses bras en pleurant, et dit : " Mon enfant, c'est trop sévère : si tu mènes une vie si dure, ton vieux père ne te reverra pas ".
Les prêtres lui dirent qu'elle ne devait se relever qu'une fois la nuit pour prier, comme faisaient les autres, et ils lui imposèrent encore d'autres adoucissements : par exemple, l'usage du poisson aux jours de grandes fêtes.
-Les prêtres dirent encore à Marie : " Plusieurs des autres vierges qui sont reçues gratuitement au temple s'engagent, avec le consentement de leurs parents, aussitôt que leurs forces le leur permettent, à laver les habits des prêtres tout souillés du sang des victimes' et d'autres grossières étoffes de laine. C'est un rude travail, qui met souvent les mains en sang ; tu n'es pas obligée de t'y soumettre, parce que tes parents se chargent de ton entretien au temple ".
Marie déclara alors qu'elle se chargerait volontiers de ce Travail si on l'en jugeait digne.
La cérémonie de la vêture s'acheva parmi beaucoup d'interrogations et de réponses de ce genre.
Pendant cette sainte cérémonie, Marie m'apparut tellement grande, que sa taille dépassait celle des prêtres. On me donnait par là une image de sa sagesse et de la grâce qui était en elle. Les prêtres étaient pleins d'un étonnement joyeux.
A la fin de la cérémonie, je vis le principal prêtre bénir Marie.
Elle était debout sur un petit trône entre deux prêtres. Celui qui bénissait était en face d'elle, l'autre derrière elle. Les prêtres récitaient des prières qu'ils lisaient sur les rouleaux de parchemin et se répandaient alternativement.
Le premier la bénit en étendant les mains sur elle.
J'eus, à cette occasion, le bonheur de voir l'intérieur de la sainte enfant.
Je la vis toute lumineuse pendant la bénédiction du prêtre, et, sous son coeur, je vis dans une gloire ce que j'avais vu en contemplant l'objet sacré contenu dans l'Arche d'alliance.
Dans une sphère lumineuse de la même forme que le calice de Melchisédech, je vis des symboles figuratifs de la bénédiction.
C'était comme du froment et du vin, de la chair et du sang, tendant à devenir une seule et même chose. Je vis aussi au-dessus de cette apparition son coeur s'ouvrir comme la porte d'un temple, et j'y vis entrer le symbole mystérieux, autour duquel il s'était formé comme un dais de pierres précieuses ayant toutes leur signification.
Il me semblait voir l'Arche d'alliance entrant dans le Saint des saints du temple.
Puis je ne vis plus que la sainte enfant inondée par la splendeur du feu qui brûlait au dedans d'elle.
Elle m'apparut comme transfigurée et s'élevant au-dessus du sol. Je connus pendant cette apparition qu'un des prêtres ' avait acquis par une illumination d'en haut la conviction intérieure que Marie était le vase d'élection renfermant le mystère du salut ; car je le vis recevoir un rayon de la bénédiction qui sembla entrer en lui.
Les prêtres reconduisirent alors l'enfant vers ses parents émus. Anne prit Marie dans ses bras et l'embrassa avec une tendresse mêlée de vénération. Joachim, profondément ému, lui prit la main avec gravité et respect.
Quand tous les assistants l'eurent complimentée, on lui ôta ses habits de fête, et elle reparut dans son costume ordinaire
XXVIII Départ de Marie pour le temple.
(...)
Marie, âgée d'un peu plus de trois ans, belle et délicate, était aussi avancée qu'un enfant de cinq ans chez nous.
Elle avait des cheveux d'un blond doré, lisses, bouclés à l'extrémité, et plus longs que ceux de Marie de Cléophas, enfant de sept ans, dont la blonde chevelure était courte et frisée. Les enfants comme les grandes personnes avaient tous pour la plupart des vêtements longs de laine brune sans teinture.
Parmi les assistants, je remarquai particulièrement deux jeunes garçons qui ne paraissaient pas être de la famille et qui ne s'entretenaient avec aucun de ses membres. Il semblait que personne ne les vit. Ils étaient beaux et aimables, avec leurs cheveux blonds et frisés, et ils me parlèrent. Ils avaient des livres, probablement pour leur instruction.
La petite Marie n'avait aucun livre, quoiqu'elle sût déjà lire. Ce n'étaient pas des livres comme les nôtres, mais de longues bandes, larges à peu près d'une demi aune, roulées autour d'un bâton, dont les bouts arrondis sortaient de chaque côté.
Le plus grand de ces deux garçons avait un rouleau déployé. Il s'approcha de moi, et lut quelque chose qu'il m'expliqua.
C'étaient des lettres d'or qui m'étaient tout à fait inconnues, écrites à rebours, et chaque lettre semblait représenter un mot entier.
La langue était tout à fait étrangère pour moi, mais pourtant je la comprenais.
Malheureusement j'ai oublié ce qu'il m'expliquait : c'était un texte de Moise Le plus petit portait son rouleau à la main comme un jouet. Il sautait ça et là comme font les enfants et agitait son rouleau en jouant. Je ne puis dire à quel point ces enfants me plaisaient.
Ils étaient tout autrement que les assistants, et ceux-ci ne paraissaient pas faire attention à eux.
" Ces garçons que je vis avaient une signification spirituelle ; leur présence là n'était pas selon l'ordre naturel. C'étaient seulement des figures symboliques de prophètes.
Le plus grand portait son rouleau avec beaucoup de gravité.
Il m'y montrait le passage du second livre de Moise où celui-ci voit, dans le buisson ardent, le Seigneur qui lui dit d'ôter sa chaussure. Il m'expliqua que, de même que le buisson brûlait sans se consumer, de même le feu du Saint Esprit brûlait dans la petite Marie, qui portait cette sainte flamme en elle comme un enfant, sans en avoir la conscience. Cela indiquait aussi l'union prochaine de la Divinité avec l'humanité.
Le feu signifiait Dieu, le buisson les hommes.
Il m'expliqua aussi l'ordre de se déchausser, mais je ne me souviens plus de son explication. Cela signifiait, je crois, que maintenant le voile était enlevé, et que la réalité se montrait ; que la loi recevait son accomplissement ; qu'il y avait ici plus que Moise et les prophètes.
L'autre enfant portait son rouleau au bout d'un bâton comme un petit drapeau flottant au vent : cela voulait dire que Marie entrait maintenant avec joie dans la carrière de mère du Rédempteur.
Ce garçon paraissait plein de naïveté et jouait avec son rouleau.
Cela représentait l'innocence enfantine de Marie, sur laquelle reposait une si grande promesse, et qui, avec cette sainte destination, jouait pourtant comme un enfant.
Ces jeunes garçons m'expliquèrent sept passages de leurs rouleaux.
XXIX Départ pour Jérusalem.
Je les vis se mettre en route pour Jérusalem dès le point du jour.
La petite Marie désirait vivement arriver au temple ; elle sortit de la maison en toute hâte et vint prés des bêtes de somme. Les jeunes garçons se montrèrent encore des textes sur leurs rouleaux. L'un de ces textes disait que le temple était magnifique, mais que cette enfant renfermait quelque chose de plus magnifique encore, etc. Il y avait deux bêtes de somme. L'un des ânes, qui était très chargé, était conduit par un serviteur ; il devait toujours se tenir un peu en avant des voyageurs. Sur l'autre âne, chargé aussi de paquets, qui se tenait devant la maison, on avait préparé une place pour s'asseoir, et Marie y fut mise.
Joachim conduisait l'âne, et portait un grand bâton avec une grosse pomme ronde au bout
(... )
Ici les deux enfants-prophètes avaient disparu.
L'un d'eux était Elie ; l'autre me parut être Moise.
La petite Marie les voyait bien, mais elle n'en dit rien.
(... )J'ai vu ce soir la petite Marie arriver avec ses parents dans une ville située à environ six lieues de Jérusalem dans la direction du nord-ouest. Elle s'appelle Bethoron et se trouve au pied d'une montagne.
Dans le voyage, ils ont travers une petite rivière qui se jette dans la mer, au couchant, dans les environs de Joppé, où saint Pierre enseigna après la descente au Saint Esprit. On a livré de grandes batailles près de Bethoron, je les ai oubliées. (Voyez Josué, X, 11 ; Macch. VII, 39-40). Il y avait de là encore deux lieues jusqu'à un endroit de la route d'où l'on pouvait voir Jérusalem.
On y trouve de très beaux raisins et beaucoup d'autres fruits. La sainte Famille entra chez des amis dans une maison bien disposée. Celui qui l'habitait était maître d'école.
On fit une vraie fête à la petite Marie : on la conduisit, en compagnie des autres enfants, dans une grande salle ; on la mit sur un siège élevé qui était comme un petit trône préparé pour elle. Alors le maître d'école et d'autres personnes présentes lui firent toutes sortes de questions et mirent des guirlandes sur sa tête.
J'appris que Marie avait tout juste trois ans et trois mois
Au temple
Lorsque le cortège arriva, je vis plusieurs serviteurs du temple occupés à ouvrir, avec de grands efforts, une porte très grande et très lourde, brillante comme de l'or, et sur laquelle étaient sculptés des têtes, des grappes de raisin et des bouquets d'épis'.
C'était la porte dorée.
Le cortège passa par cette porte Il fallait monter cinquante marches pour y arriver ; je ne sais plus s'il y avait entre elles des intervalles de plain-pied. On voulut conduire Marie par la main, mais elle s'y refusa. Elle monta les degrés rapidement et sans trébucher, pleine d'un joyeux enthousiasme. Tout le monde était vivement ému.
Sous la porte elle fut reçue par Zacharie, par Joachim et par quelques prêtres qui la conduisirent à droite sous la large arcade de la porte, dans des salles élevées où un repas était préparé pour quelqu'un. Le cortège se sépara ici. La plupart des femmes et des enfants se rendirent dans le temple à l'endroit où priaient les femmes ; Joachim et Zacharie allèrent au lieu du sacrifice. Les prêtres firent encore quelques questions à Marie dans l'une des salles ; et, quand ils se furent retirés, étonnés de la sagesse de l'enfant, Anne mit à sa fille le troisième vêtement de fête, qui était d'un bleu violet, ainsi que le manteau, son voile et sa couronne
Il est a remarquer que le tabernacle de Moise avait des couvertures de fête de trois espèces, dont celle de dessous, qui était la plus belle, était bleue et rouge. Il y avait encore par-dessus une quatrième couverture plus grossière. De même aussi la très sainte Vierge, dont le tabernacle de l'alliance était la figure, avait, outre ses habits de fête, un habillement de tous les jours. On peut consulter, quant à la triple, couverture du tabernacle et à la quatrième moins précieuse, le livre de l'Exode (XXVI, 1-14).
(... )
Je vis alors deux prêtres prendre Marie par la main et la conduire par plusieurs marches à une place élevée du mur qui séparait le vestibule du sanctuaire d'avec ce dernier lieu. Ils placèrent l'enfant dans une espèce de niche située au milieu de ce mur ... qu'elle pouvait voir dans le temple, où se tenaient rangés en ordre plusieurs hommes qui me parurent consacrés au temple. Deux prêtres étaient à ses côtés ; il y en avait sur les marches quelques autres qui récitaient à haute voix des prières écrites sur des rouleaux.
De l'autre côté du mur, un vieux prince des prêtres se tenait debout près d'un autel, à un endroit assez élevé pour qu'on pût le voir à moitié. Je le vis présenter de l'encens dont la fumée se répandit autour de Marie.
Pendant cette cérémonie, je vis autour de la sainte Vierge un tableau symbolique qui bientôt remplit le temple et l'obscurcit, pour ainsi dire.
Je vis une gloire lumineuse sous le coeur de Marie, et je connus qu'elle renfermait la promesse, la très sainte bénédiction de Dieu.
Je vis cette gloire se montrer comme entourée de l'arche de Noé, de façon que la tête de la sainte Vierge s'élevait au-dessus de l'arche.
Je vis ensuite cette arche de Noé prendre la forme de l'Arche d'alliance, et celle-ci à son tour comme renfermée dans le temple.
Puis je vis ces formes disparaître, et le calice de la sainte cène se montrer hors de la gloire devant la poitrine de Marie, et au-dessus de lui, devant la bouche de la Vierge, un pain marqué d'une croix.
A ses côtés brillaient des rayons à l'extrémité desquels se montraient, exprimés par des figures, plusieurs symboles mystiques de la sainte Vierge, comme, par exemple, tous les noms des litanies que l'Église lui adresse.
De ses deux épaules partaient, en se croisant, deux branches d'olivier et de cyprès, ou de cèdre et de cyprès au-dessus d'un beau palmier, avec un petit bouquet de feuilles que je vis apparaître derrière elle.
Dans les intervalles de ces branches, je vis tous les instruments de la Passion de Jésus-Christ.
Le Saint Esprit sous une forme ailée qui semblait se rapprocher plus de 1a forme humaine que de celle de la colombe, planait sur le tableau, au-dessus duquel je vis le ciel ouvert, et le centre de la Jérusalem céleste, la cité de Dieu avec tous ses palais, ses jardins et les places des saints futurs : tout cela était plein d'anges, de même que la gloire qui maintenant entourait la sainte Vierge était remplie de têtes d'anges'.
L'Eglise, dans les heures canoniques, répète souvent la prière Omnium nostrum habitatio est in sancta Dei Genitrix, ce qui s'accorde bien avec la représentation où Marie parait sous la figure de l'arche de Noé, dans laquelle habitait tout ce qui était sauvé du déluge.
Qui pourrait rendre ces choses par des expressions humaines.
Tout cela se montrait sous des formes si diverses, si multipliées, naissant les unes des autres avec de si continuelles transformations, que j'en ai oublié la plus grande partie.
Tout ce qui se rapporte à la sainte Vierge dans l'ancienne et la nouvelle alliance, et jusque dans l'éternité, se trouvait représenté par là
Lorsque je vis tout cela, toutes les magnificences et les beautés du temple, ainsi que les murs élégamment ornés qui étaient derrière la sainte Vierge, me parurent ternes et noircis : le temple lui-même sembla bientôt disparaître ; Marie et la gloire qui l'entourait remplissaient tout.
Pendant que toutes ces visions passaient sous mes yeux, je ne vis plus la sainte Vierge sous la forme d'une enfant ; elle m'apparut grande et planant en l'air, et je voyais pourtant les prêtres, le sacrifice de l'encens et tout le reste à travers cette image : on eût dit que le prêtre était placé derrière elle, annonçait l'avenir et invitait le peuple à remercier Dieu et à le prier, parce que de cette enfant il devait sortir quelque chose de grand.
Tous ceux qui étaient présents au temple, quoiqu'ils ne vissent pas ce que je voyais, étaient graves, recueillis et profondément émus
Le tableau s'évanouit par degrés, ainsi que je l'avais vu apparaître.
A la fin, je ne vis plus que la gloire sous le coeur de Marie, et la bénédiction de la promesse qui brillait au dedans ; puis cette vision aussi disparut, et je vis de nouveau la sainte enfant avec sa parure, seule entre deux prêtres.
Les prêtres prirent les couronnes qui étaient autour ce ses bras ainsi que le flambeau qu'elle avait à la main, et les donnèrent à ses compagnes.
Ils lui mirent sur la tête une espèce de voile brun, et, lui ayant fait descendre les degrés, ils la conduisirent par une porte dans une salle voisine où six autres vierges du temple, mais plus âgées, vinrent à sa rencontre en jetant des fleurs devant elle.
Elles étaient suivies de leurs maîtresses, Noémi, soeur de la mère de Lazare, la prophétesse Anne et une troisième.
Les prêtres reçurent entre leurs mains la petite Marie, après quoi ils se retirèrent.
Les père et mère de l'enfant, ainsi que leurs plus proches parents, se trouvaient là aussi ; on acheva les chants sacrés, et Marie prit congé de sa famille.
Joachim surtout était profondément ému ; il prit Marie dans ses bras, la serra contre son coeur, et lui dit avec larmes : " Souviens-toi de mon âme devant Dieu ".
Marie se rendit alors avec les maîtresses et plusieurs jeunes filles dans le logement des femmes, attenant au côté septentrional du temple proprement dit.
Elles habitaient des chambres qui avaient été pratiquées dans les gros murs du temple.
Elles pouvaient, par des passages et des escaliers, monter à de petits oratoires placés près du sanctuaire et du Saint des saints.
-Quelques-uns des assistants durent avoir un pressentiment des destinées de la sainte Vierge, car je me souviens de quelques paroles que sainte Anne, dans un moment d'enthousiasme joyeux, adressa à quelques femmes, et dont le sens était : " Voici l'Arche d'alliance, le Vase de la promesse, qui entre dans le temple. "
Les père et mère de Marie, ainsi que les autres parents, s'en retournèrent aujourd'hui jusqu'à Bethoron.
Les femmes du temple portaient de longs et amples vêtements blancs avec des ceintures, et des manches très - larges qu'elles relevaient pour travailler. Elles étaient voilées.
Je ne me souviens pas d'avoir jamais vu qu'Hérode ait fait rebâtir à neuf le temple entier. Je vis seulement qu'on y fit sous son règne divers changements.
Lorsque Marie vint au temple, onze ans avant la naissance de Jésus-Christ, on ne faisait pas de travaux dans le temple proprement dit, mais, comme toujours, on travaillait aux constructions extérieures : cela ne cessa jamais.
La chambre de Marie était l'une des plus reculées vis-à-vis du Saint des saints.
On passait du corridor en levant un rideau dans une pièce antérieure, qui était séparée de la chambre proprement dite par une cloison de forme convexe ou terminée en angle. Dans l'angle, à droite et à gauche, étaient des compartiments pour mettre des habits et des effets ; vis-à-vis de la porte pratiquée dans cette cloison, des marches conduisant plus haut à une ouverture devant laquelle était une tapisserie, et d'où l'on pouvait voir dans le temple. à gauche, contre le mur de la chambre était un tapis roulé qui, lorsqu'il était étendu, formait la couche où Marie reposait.
Dans une niche de la muraille était placée une lampe près de laquelle j'ai vu l'enfant debout sur un escabeau, lire des prières dans un rouleau de parchemin.
C'était très touchant.
Elle avait une petite robe rayée de blanc et de bleu et parsemée de fleurs jaunes.
Il y avait dans la chambre une table basse, de forme ronde. Je vis entrer la prophétesse Anne.
Elle plaça sur la table un plat où étaient des fruits de la grosseur d'une fève et une petite cruche.
Marie avait une adresse au-dessus de son âge ; je la vis déjà travailler à de petites pièces de toile blanche
XXXII De la vie de la sainte Vierge au temple.
Je vis la sainte Vierge au temple tantôt dans l'habitation des femmes avec les autres petites filles, tantôt dans sa petite chambre, grandissant dans l'étude, la prière et le travail.
Elle filait, tissait, tricotait pour le service du temple.
Elle lavait le linge et nettoyait les vases.
Je la vis souvent en prière et en méditation.
Comme tous les saints, elle ne mangeait que pour soutenir son existence, et jamais d'autres mets que ceux auxquels elle avait promis de se réduire.
Indépendamment des prières prescrites par la règle du temple, la vie de Marie était une aspiration incessante vers la rédemption, une prière intérieure continuelle.
Elle faisait tout cela paisiblement et en secret.
Quand tout le monde était endormi, elle se levait de sa couche et invoquait Dieu.
Je la vis souvent fondant en larmes et entourée de lumière pendant la prière. Elle priait voilée. Elle se voilait aussi quand elle parlait aux prêtres ou qu'elle descendait dans une chambre attenante au temple pour recevoir sa tâche ou livrer ce qu'elle avait fait.
Je vis la sainte Vierge au temple, continuellement ravie en extase dans la prière. Il semblait que son âme ne fût pas sur la terre, et elle recevait souvent des consolations célestes.
Elle soupirait ardemment après l'accomplissement de la promesse ; et dans son humilité elle osait à peine former le désir d'être la dernière des servantes de la Mère du Rédempteur.
La maîtresse qui prenait soin de Marie s'appelait Noémi, elle était soeur de la mère de Lazare et âgée de cinquante ans. Elle appartenait à la société des Esséniens, ainsi que les autres femmes attachées au service du temple.
Marie apprenait d'elle à travailler ; elle allait avec elle lorsqu'elle nettoyait le linge et les vases tachés par le sang des sacrifices, ou qu'elle partageait et préparait certaines portions de la chair des victimes réservées pour les prêtres et les femmes du temple. Plus tard, Marie s'occupa encore plus activement de ces soins de ménage.
Quand Zacharie était de service au temple, il la visitait
Siméon aussi la connaissait.
Les destinées auxquelles Marie était appelée ne pouvaient pas rester tout à fait inconnues des prêtres. Toute sa manière d'être, la grâce dont elle était pleine, sa sagesse extraordinaire, étaient si remarquables dès son enfance, que son extrême humilité ne pouvait cacher tout cela.
Je vis de vieux prêtres, renommés par leur sainteté, écrire sur de grands rouleaux diverses choses qui la concernaient. et j'ai vu ces écrits, je ne sais plus à quelle époque, parmi d'autres anciens manuscrits.
(.... )
Dernière édition par Père Nathan le Dim 5 Jan 2020 - 13:28, édité 1 fois
Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Merci pour ce partage des visions d'AC Emmerich pour l'entrée de la Vierge Marie au Temple,superbe..
doucenuit- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
22 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTIÈME JOUR : Marie engendre des PIERRES VIVANTES en Elle
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2211.mp3 (13mn)
Le Temple de pierre de Jérusalem, objet de transformation durant 9 années consécutives : Marie enfant EST "Vase et Arche d'Alliance", explication; adoration et prosternement devant les figures, transformation en vases de Conception par le Corps engendré dans le divin de Dieu, pénétration du Doigt de Dieu pour les enfants du Monde nouveau; la dernière semaine de notre temps est celle d'une divinisation royale immaculée reçue d'Elle
CINQ CENT CINQUANTIÈME JOUR : Marie engendre des PIERRES VIVANTES en Elle
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Le Temple de pierre de Jérusalem, objet de transformation durant 9 années consécutives : Marie enfant EST "Vase et Arche d'Alliance", explication; adoration et prosternement devant les figures, transformation en vases de Conception par le Corps engendré dans le divin de Dieu, pénétration du Doigt de Dieu pour les enfants du Monde nouveau; la dernière semaine de notre temps est celle d'une divinisation royale immaculée reçue d'Elle
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
23 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE ET UNIEME JOUR : Marie engendre l'Engendrant de la résurrection
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2311.mp3 (15mn)
Marie enfant EST "Vase, Arche d'Alliance, et Masharisation de la Conception de Dieu", explication; les quatre jours qui viennent devant nous, enfants du Monde nouveau; toutes les prophéties des derniers millénaires sont entre nos mains : appel pressant donné à la terre : accueillir, recevoir dans une prière sans trêve, en écartant vraiment tout le reste, nuit et jour, comme les Anges, dans une Disponibilité surnaturelle ouverte, le Don qui doit emporter notre Oui
CINQ CENT CINQUANTE ET UNIEME JOUR : Marie engendre l'Engendrant de la résurrection
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Marie enfant EST "Vase, Arche d'Alliance, et Masharisation de la Conception de Dieu", explication; les quatre jours qui viennent devant nous, enfants du Monde nouveau; toutes les prophéties des derniers millénaires sont entre nos mains : appel pressant donné à la terre : accueillir, recevoir dans une prière sans trêve, en écartant vraiment tout le reste, nuit et jour, comme les Anges, dans une Disponibilité surnaturelle ouverte, le Don qui doit emporter notre Oui
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
24 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE DEUXIÈME JOUR : Solennité du Christ Roi, dernier Dimanche
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2411.mp3 (27mn)
la Royauté de Jésus est une Royauté aspirante et communiquée dès le principe de la Grâce sanctifiante; Evangile du Roi : Evangile du Voile qui se déchire sur la Croix; communication de la Lumière de Gloire à la nature humaine toute entière dans l'immunité pricipielle : explication; cri de notre prière en la réception de ce Don aujourd'hui dans l'unité des trois Blancheurs décrétée par le St Père dans l'Eucharistie de Marie Mère et Reine pour nous; prière du Monde Nouveau pour s'en laisser emparer
CINQ CENT CINQUANTE DEUXIÈME JOUR : Solennité du Christ Roi, dernier Dimanche
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la Royauté de Jésus est une Royauté aspirante et communiquée dès le principe de la Grâce sanctifiante; Evangile du Roi : Evangile du Voile qui se déchire sur la Croix; communication de la Lumière de Gloire à la nature humaine toute entière dans l'immunité pricipielle : explication; cri de notre prière en la réception de ce Don aujourd'hui dans l'unité des trois Blancheurs décrétée par le St Père dans l'Eucharistie de Marie Mère et Reine pour nous; prière du Monde Nouveau pour s'en laisser emparer
Dans sa Dormition Jésus est Roi
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Je recommande, pour les derniers JOURS de cette année Liturgique de relire et se nourrir des pages du "333ème JOUR" de notre parcours vers le monde nouveau : il y a des secrets indispensables à pénétrer et faire surabonder qui nous ont été accordés pendant ces 222 jours depuis mars 2019 !!
Merci à notre modératrice de nous les avoir saisis de manière condensée si admirablement
http://catholiquesdu.free.fr/2019/2019Homelies.pdf
extrait :
" Quand notre chair s’engloutit dans le Corps spirituel vivant de Jésus grâce à Lui, avec Lui, elle vit du Monde Nouveau s’écoulant en elle, elle entre et grandit sans cesse dans l’Ombre fécondante de Joseph jusqu’à nous pour s’immaculiser en Marie son épouse.
Et voici, l’impureté a disparu.
Là, vivons la TransVerbération dans une Sponsalité d’une Jérusalem accomplie, communiquée, descendant jusqu’à nous en chacune de nos cellules de nos corps spirituels désormais engendrées d’en-haut, toujours principielles, des milliards de fois: devenons les engendrés du Carême de Dieu le Père, les traits d’union, les médiateurs entre Dieu et les hommes, entre les hommes et Dieu, entre les anges et la matière, et entre l’univers et l’humanité toute entière.
Que chaque chrétien devienne prêtre du Sacerdoce Nouveau de ce Royaume victimal d’Amour, que chaque chrétien devienne l’intermédiaire entre Dieu et tous les hommes en portant dans l’incarnation de toutes ses mémoires universelles d’innocence originelle, toutes cellules ouvertes comme un nid de ressemblance, Jésus, Marie et Joseph.
Voilà ton jugement, Jésus, Marie et Joseph sont là et tout est pur, tout est consacré, tout est déjà mis en place et va se réveiller dans le corps spirituel éclatant de la Jérusalem Nouvelle qui nous est donnée.
Recevons en Elle la Mère qui porte le monde et ses impuretés et que le monde à notre Union en Elle en soit déjà purifié.
Seigneur, je désire que rien en moi ne puisse interrompre cette fulgurante impression par laquelle je reçois en ma petitesse votre propre Consécration dans la Gloire du Temple, dans l’Émanation du Saint des Saints, dans l’Offrande éternelle, car vous m’avez choisi comme votre Temple moi aussi.
Enracinez au-dedans de moi une Présence de Lumière par laquelle je Vous sois relié et que de ce rayonnement les forces du mal soient détruites dès qu’elles s’en approchent.
Merci à notre modératrice de nous les avoir saisis de manière condensée si admirablement
http://catholiquesdu.free.fr/2019/2019Homelies.pdf
extrait :
" Quand notre chair s’engloutit dans le Corps spirituel vivant de Jésus grâce à Lui, avec Lui, elle vit du Monde Nouveau s’écoulant en elle, elle entre et grandit sans cesse dans l’Ombre fécondante de Joseph jusqu’à nous pour s’immaculiser en Marie son épouse.
Et voici, l’impureté a disparu.
Là, vivons la TransVerbération dans une Sponsalité d’une Jérusalem accomplie, communiquée, descendant jusqu’à nous en chacune de nos cellules de nos corps spirituels désormais engendrées d’en-haut, toujours principielles, des milliards de fois: devenons les engendrés du Carême de Dieu le Père, les traits d’union, les médiateurs entre Dieu et les hommes, entre les hommes et Dieu, entre les anges et la matière, et entre l’univers et l’humanité toute entière.
Que chaque chrétien devienne prêtre du Sacerdoce Nouveau de ce Royaume victimal d’Amour, que chaque chrétien devienne l’intermédiaire entre Dieu et tous les hommes en portant dans l’incarnation de toutes ses mémoires universelles d’innocence originelle, toutes cellules ouvertes comme un nid de ressemblance, Jésus, Marie et Joseph.
Voilà ton jugement, Jésus, Marie et Joseph sont là et tout est pur, tout est consacré, tout est déjà mis en place et va se réveiller dans le corps spirituel éclatant de la Jérusalem Nouvelle qui nous est donnée.
Recevons en Elle la Mère qui porte le monde et ses impuretés et que le monde à notre Union en Elle en soit déjà purifié.
Seigneur, je désire que rien en moi ne puisse interrompre cette fulgurante impression par laquelle je reçois en ma petitesse votre propre Consécration dans la Gloire du Temple, dans l’Émanation du Saint des Saints, dans l’Offrande éternelle, car vous m’avez choisi comme votre Temple moi aussi.
Enracinez au-dedans de moi une Présence de Lumière par laquelle je Vous sois relié et que de ce rayonnement les forces du mal soient détruites dès qu’elles s’en approchent.
Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
25 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE TROISIEME JOUR : Sainte Catherine d'Alexandrie
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2511.mp3 (17mn)
l'Homme a déployé tous ses fruits de la Terre dans sa lutte contre le VIDE de l'Aquilon par la CROIX ; pleine d'effroi,l'humidité glacée, l'arbre desséché, le souffle terrible déchainé avec une grande sauvagerie, et les hommes croient que le Soleil est en train de disparaitre ;souffle qui revêt "la Lune" d'une couleur noire, ce qui est pour "l'Homme" unterrible spectacle; Dieu a consigné dans l'Homme-Dieu de quoi proclamer la totalité de l'Oeuvre divine : lecture des dévoilements et révélations données à l'Eglise depuis 2012 par le St Père pour nourrir une nouvelle Viridité face aux jours qui viennent; et le Monde Nouveau s'ouvrira à,ceux qui s'y unissent pour s'en laisser emparer
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l'Homme a déployé tous ses fruits de la Terre dans sa lutte contre le VIDE de l'Aquilon par la CROIX ; pleine d'effroi,l'humidité glacée, l'arbre desséché, le souffle terrible déchainé avec une grande sauvagerie, et les hommes croient que le Soleil est en train de disparaitre ;souffle qui revêt "la Lune" d'une couleur noire, ce qui est pour "l'Homme" unterrible spectacle; Dieu a consigné dans l'Homme-Dieu de quoi proclamer la totalité de l'Oeuvre divine : lecture des dévoilements et révélations données à l'Eglise depuis 2012 par le St Père pour nourrir une nouvelle Viridité face aux jours qui viennent; et le Monde Nouveau s'ouvrira à,ceux qui s'y unissent pour s'en laisser emparer
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
26 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE QUATRIEME JOUR : Tout sera détruit
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2611.mp3 (15mn]
Contemplez ces pierres : tout sera détruit; la petite pierre lancée de la Montagne sans que personne ne l'ait touchée; la règle de la Fin : la grâce de Dieu doit augmenter en nous jusqu'à l'extrême; sainte Hildegarde explique : c'est en quoi Dieu seul décide de l'instant de la vie et de la mort de chacun; les jours qui viennent et la nuit des royaumes acquis
CINQ CENT CINQUANTE QUATRIEME JOUR : Tout sera détruit
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Contemplez ces pierres : tout sera détruit; la petite pierre lancée de la Montagne sans que personne ne l'ait touchée; la règle de la Fin : la grâce de Dieu doit augmenter en nous jusqu'à l'extrême; sainte Hildegarde explique : c'est en quoi Dieu seul décide de l'instant de la vie et de la mort de chacun; les jours qui viennent et la nuit des royaumes acquis
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
merci Père
apolline- Avec Saint Maximilien Kolbe
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
27 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE CINQUIEME JOUR : Tout s'ouvre
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2711.mp3 (17mn]
Reprise des lectures de Matines : 2pierre2,v.2svts, et homélie du 4ème siècle ; rue du Bac, ND du Signe, 555ème jour des trois Blancheurs, anniversaire de la mort du premier Roi du nouvel Israël de Dieu (Clovis) ; la lecture explicative du nouveau Prophète et roi du temps : "Mené, Mené, Tequel, Ou-Pharsin" ; tout ne se fait pas d'un seul coup, mais d'un seul coup, ces 555 jours s'inscrivent aujourd'hui dans l'au delà de l'Anastase, l'évènement en cette 19ème année du troisième millénaire ; comprendre ce qu'il y a en-dessous des temps qui sont manifestés aujourd'hui ; la grâce des 222 derniers jours derniers dans les trois Blancheurs ; les royaumes acquis laissent aujourd'hui la place au Réengendrement du Monde nouveau
CINQ CENT CINQUANTE CINQUIEME JOUR : Tout s'ouvre
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Reprise des lectures de Matines : 2pierre2,v.2svts, et homélie du 4ème siècle ; rue du Bac, ND du Signe, 555ème jour des trois Blancheurs, anniversaire de la mort du premier Roi du nouvel Israël de Dieu (Clovis) ; la lecture explicative du nouveau Prophète et roi du temps : "Mené, Mené, Tequel, Ou-Pharsin" ; tout ne se fait pas d'un seul coup, mais d'un seul coup, ces 555 jours s'inscrivent aujourd'hui dans l'au delà de l'Anastase, l'évènement en cette 19ème année du troisième millénaire ; comprendre ce qu'il y a en-dessous des temps qui sont manifestés aujourd'hui ; la grâce des 222 derniers jours derniers dans les trois Blancheurs ; les royaumes acquis laissent aujourd'hui la place au Réengendrement du Monde nouveau
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Catherine Jouenne a écrit: 27 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE CINQUIEME JOUR : Tout s'ouvre
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Reprise des lectures de Matines : 2pierre2,v.2svts, et homélie du 4ème siècle ; rue du Bac, ND du Signe, 555ème jour des trois Blancheurs, anniversaire de la mort du premier Roi du nouvel Israël de Dieu (Clovis) ; la lecture explicative du nouveau Prophète et roi du temps : "Mené, Mené, Tequel, Ou-Pharsin" ; tout ne se fait pas d'un seul coup, mais d'un seul coup, ces 555 jours s'inscrivent aujourd'hui dans l'au delà de l'Anastase, l'évènement en cette 19ème année du troisième millénaire ; comprendre ce qu'il y a en-dessous des temps qui sont manifestés aujourd'hui ; la grâce des 222 derniers jours derniers dans les trois Blancheurs ; les royaumes acquis laissent aujourd'hui la place au Réengendrement du Monde nouveau
Une Signe grandiose apparut dans le Ciel
Merci, mon père
Jeannedelamontagne- Avec l'Archange Gabriel
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
28 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE SIXIEME JOUR : Le Signe
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2811.mp3 (9mn)
Reprise des premiers jours du Monde nouveau : la véritable fosse aux lions ; méditation proposée de Pierre le Vénérable : le Signe de la Fin : explication pour le 556ème Jour
CINQ CENT CINQUANTE SIXIEME JOUR : Le Signe
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Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
29 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE SEPTIEME JOUR : La Porte du Ciel: l'Humilité
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H2911.mp3 (15mn)
Reprise explication pour le 557ème Jour avec le Père Ollier, "docteur" de "Saint Joseph" : La porte du Ciel"; les sept caractéristiques de l'état d'HUMILITE vérifiant que le catholique vit bien de la Grâce sanctifiante : notre vie doit changer complètement pour que commence à sourdre la grâce sanctifiante en nous pour le Monde Nouveau
CINQ CENT CINQUANTE SEPTIEME JOUR : La Porte du Ciel: l'Humilité
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Reprise explication pour le 557ème Jour avec le Père Ollier, "docteur" de "Saint Joseph" : La porte du Ciel"; les sept caractéristiques de l'état d'HUMILITE vérifiant que le catholique vit bien de la Grâce sanctifiante : notre vie doit changer complètement pour que commence à sourdre la grâce sanctifiante en nous pour le Monde Nouveau
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
FÊTE de Saint André Apôtre , 30 novembre 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE HUITIÈME JOUR : La Porte du Ciel: la CERTITUDE de la Charité
http://catholiquesdu.free.fr/2019/11/H3011.mp3 (12mn)
Reprise explication pour le 558ème Jour avec les exercices du DISCERNEMENT : La charité dans ceux qui ont la grâce sanctifiante : sept caractéristiques de l'état de charité manifeste vérifiant que le catholique vit bien de la Grâce sanctifiante : notre vie doit changer complètement pour que la Présence apostolique accomplie de St André dans son Effacement jusqu'à la FIN puisse sourdre en nous pour le Monde Nouveau
CINQ CENT CINQUANTE HUITIÈME JOUR : La Porte du Ciel: la CERTITUDE de la Charité
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Reprise explication pour le 558ème Jour avec les exercices du DISCERNEMENT : La charité dans ceux qui ont la grâce sanctifiante : sept caractéristiques de l'état de charité manifeste vérifiant que le catholique vit bien de la Grâce sanctifiante : notre vie doit changer complètement pour que la Présence apostolique accomplie de St André dans son Effacement jusqu'à la FIN puisse sourdre en nous pour le Monde Nouveau
Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
1er Dimanche de l'AVENT 2019 :
CINQ CENT CINQUANTE NEUVIEME JOUR : Humilité :Charité Mortification Glorification
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H0112.mp3 (20mn)
introduction avec le trappiste Thomas Merton: l'Avent et le temps de la fin
CINQ CENT CINQUANTE NEUVIEME JOUR : Humilité :Charité Mortification Glorification
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introduction avec le trappiste Thomas Merton: l'Avent et le temps de la fin
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
1er Lundi de l'AVENT 2019 :
CINQ CENT SOIXANTIÈME JOUR : Grâce totalement nouvelle
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H0212.mp3 (27mn)
introduction par l'Hymne du matin et une remarque de St Augustin; aujourd'hui, Il va venir, un cri se fait entendre et dans leur cœur ils le recevront comme étant le Dieu vivant Lui-même; comment entrer dans la véritable Maison où Il peut entrer parce qu'elle est en affinité et disposée à la Rosée du Verbe de Dieu en Sponsalité incréée jusque dans le Corps entier; recevoir Dieu en la Terre du corps de l'Image-ressemblance de Dieu Glorifié; corps ressuscité et sponsal de Marie et Joseph dans l'Anastase : encore 25 jours pour remplir nos réserves d'huile Nouvelle; virginalement adaptée, recevante, transformante et transformée, transsubstantiée, transActuée et transglorifiée, tout le reste est MORT pour nous : telle est la véritable mortification de notre "sainteté personnelle"; la sainteté du monde nouveau et engendrement du corps spirituel à l'Heure de l’Église : comment s'y remettre et s'y laisser engendrer merveilleusement dans la Tournée surnaturelle du OUI: cela s'apprend !
CINQ CENT SOIXANTIÈME JOUR : Grâce totalement nouvelle
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introduction par l'Hymne du matin et une remarque de St Augustin; aujourd'hui, Il va venir, un cri se fait entendre et dans leur cœur ils le recevront comme étant le Dieu vivant Lui-même; comment entrer dans la véritable Maison où Il peut entrer parce qu'elle est en affinité et disposée à la Rosée du Verbe de Dieu en Sponsalité incréée jusque dans le Corps entier; recevoir Dieu en la Terre du corps de l'Image-ressemblance de Dieu Glorifié; corps ressuscité et sponsal de Marie et Joseph dans l'Anastase : encore 25 jours pour remplir nos réserves d'huile Nouvelle; virginalement adaptée, recevante, transformante et transformée, transsubstantiée, transActuée et transglorifiée, tout le reste est MORT pour nous : telle est la véritable mortification de notre "sainteté personnelle"; la sainteté du monde nouveau et engendrement du corps spirituel à l'Heure de l’Église : comment s'y remettre et s'y laisser engendrer merveilleusement dans la Tournée surnaturelle du OUI: cela s'apprend !
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
1er Mardi de l'AVENT 2019 :
Germinat Virga ex Radice Iesse
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H0312.mp3 (25mn)
de la Racine de Jessé germe la "Virga" : principe du 3ème Avent ; Bossuet et le soupir d'Amour : notre esprit confondu à ce Souffle de l'Esprit Saint ; explication sur ce qu'il y a de totalement inédit dans les jours de cet Avent, à cause du Saint Père ; les trois Promesses des Ages du Peuple de Dieu, et le troisième Avènement dont nous sommes le Germe si nous le "recevons sans être vus" ; Virginité sponsale de Dieu et indivisibilité des Missions divines en notre âme lorsque celles-ci pénètrent le corps spirituel dans le troisième Fiat de l’Église de la Terre ; comment pénétrer la Terre du corps spirituel pour la communion des personnes et s'effacer dans la grâce de la Jérusalem de Paix incarnée ; toutes les spiritualités s'effacent pour laisser épanouir le parfum de la Toute-Puissance de Saint Joseph enfant et conçu et concevant le Règne du Sacré Cœur : dire oui pour devenir les instruments de sa réalisation promise ; être pris, et pas laissés, jusqu'à la Première résurrection comme et avec les myriades d'enfants qui l'attendent en le désirant explicitement
Germinat Virga ex Radice Iesse
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de la Racine de Jessé germe la "Virga" : principe du 3ème Avent ; Bossuet et le soupir d'Amour : notre esprit confondu à ce Souffle de l'Esprit Saint ; explication sur ce qu'il y a de totalement inédit dans les jours de cet Avent, à cause du Saint Père ; les trois Promesses des Ages du Peuple de Dieu, et le troisième Avènement dont nous sommes le Germe si nous le "recevons sans être vus" ; Virginité sponsale de Dieu et indivisibilité des Missions divines en notre âme lorsque celles-ci pénètrent le corps spirituel dans le troisième Fiat de l’Église de la Terre ; comment pénétrer la Terre du corps spirituel pour la communion des personnes et s'effacer dans la grâce de la Jérusalem de Paix incarnée ; toutes les spiritualités s'effacent pour laisser épanouir le parfum de la Toute-Puissance de Saint Joseph enfant et conçu et concevant le Règne du Sacré Cœur : dire oui pour devenir les instruments de sa réalisation promise ; être pris, et pas laissés, jusqu'à la Première résurrection comme et avec les myriades d'enfants qui l'attendent en le désirant explicitement
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
1er Mercredi de l'AVENT 2019 :
Métaphysique surnaturelle du Corps ?
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H0412.mp3 (20mn)
mercredi et saint Joseph pour une Métaphysique surnaturelle du Corps ? Les deux ailes du corps ajusté : notre chair fait notre "je suis" substantiellement : eau, air, terre et feu; Compassion de Jésus au sommet de la Mntagne : explication pour ETRE avec lui incarnation de la compassion; super-venue-dudedans et obombration pour le corps : secret de Marie pour le corps de l'Avent : explication; la mystique de l'Avent
Dessin chez Paul de Soos à Toulouse, source de litres d'huile sainte et parfumée, à coté de l'icone de Marie Porte du Ciel
Métaphysique surnaturelle du Corps ?
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mercredi et saint Joseph pour une Métaphysique surnaturelle du Corps ? Les deux ailes du corps ajusté : notre chair fait notre "je suis" substantiellement : eau, air, terre et feu; Compassion de Jésus au sommet de la Mntagne : explication pour ETRE avec lui incarnation de la compassion; super-venue-dudedans et obombration pour le corps : secret de Marie pour le corps de l'Avent : explication; la mystique de l'Avent
Dessin chez Paul de Soos à Toulouse, source de litres d'huile sainte et parfumée, à coté de l'icone de Marie Porte du Ciel
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
1er Jeudi de l'AVENT 2019 :
Induction de l'âme
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H0512.mp3 (20mn)
mot du patriarche syriaque Phyloxène de l'an 500 : le fondement de la maison intérieure du chrétien; le sable et le roc; la Gloire de Dieu domine la Terre ; relation quadruple entre l'esprit humain, le corps, la Kabod et le toucher sans voile du Créateur ; Cinq : ce fondement s'enfonce dans le Roc ouvert du seul Corps où ces quatre sont UN divinement; nous ne sommes pas DISPENSÉS de faire le travail de l'INDUCTION de l'âme: explication pour y conduire; l'édifice de notre vie chrétienne pourrait bien n'être que du sable sans le travail dans ce Principe : Abbah, ma mystique de l'Avent
Induction de l'âme
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mot du patriarche syriaque Phyloxène de l'an 500 : le fondement de la maison intérieure du chrétien; le sable et le roc; la Gloire de Dieu domine la Terre ; relation quadruple entre l'esprit humain, le corps, la Kabod et le toucher sans voile du Créateur ; Cinq : ce fondement s'enfonce dans le Roc ouvert du seul Corps où ces quatre sont UN divinement; nous ne sommes pas DISPENSÉS de faire le travail de l'INDUCTION de l'âme: explication pour y conduire; l'édifice de notre vie chrétienne pourrait bien n'être que du sable sans le travail dans ce Principe : Abbah, ma mystique de l'Avent
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
1er Samedi de l'AVENT 2019 :
Hymne Santissime
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H0712.mp3 (25mn)
St Ambroise de Milan et ses Hymnes, Santissima Bambina et Hymne de 153 milliards de contemporains; bis orat qui cantat; le chant du monde nouveau est celui étouffé de l'embryon baptisé dans la Santissima Bambina l'Avent; le souci de ce samedi de l'an 2019: appel à une date unique pour un chant à l'unisson; urgence et nécessité de ce travail de chacun et de cette mobilisation avec le St Père
Hymne Santissime
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St Ambroise de Milan et ses Hymnes, Santissima Bambina et Hymne de 153 milliards de contemporains; bis orat qui cantat; le chant du monde nouveau est celui étouffé de l'embryon baptisé dans la Santissima Bambina l'Avent; le souci de ce samedi de l'an 2019: appel à une date unique pour un chant à l'unisson; urgence et nécessité de ce travail de chacun et de cette mobilisation avec le St Père
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
pour la Solennité de l'Immaculée Conception, cet extrait du Rosaire du Monde Nouveau (Bonne Fête à tous !):
Enfant du Monde de l'Immaculée Conception, tu en deviens source avec Elle !
Elle a vécu en sa chair et son âme ces instants de Sa Source dans la Croix
Elle n’est pas morte, elle n’est pas partie.
Nous non plus : nous voici !
Lorsque Jésus est mort, la Source divine de grâce adoptante s’est retrouvée seule.
O Marie, merci !
Jusqu’alors, Dieu vivant , à travers Jésus Tu offrais tous les péchés du monde en les effaçant dans Ton Sang précieux et dans ses croix ; toutes tes plaies étaient offertes Toi encore vivant qui T’offrais Toi-même tout entier.
Une fois mort, Ton âme humaine remplie de grâce divine ne pouvait plus offrir Ta mort, ni l’eau, ni le sang, ni cette blessure mortelle infligée en Dieu-même à l’intérieur de Ton corps désormais cadavérique.
Cette œuvre-là a été réalisée pour Dieu le Père à travers l’Immaculée Conception au pied de la croix, et à travers nous comme Jean et avec lui dans le Monde Nouveau
Enfant de la Terre en ce dernier sommet des mystères du Roi, voici ta dignité dans la foi, de la corédemption des corédempteurs du monde : pouvoir offrir dans le sacrifice divin de Jésus crucifié ce qu’il y a de plus grand dans son sacrifice. Et l'engendrer dans la Fécondité décrétée par le Temps de Dieu Obombrée par Elle
Telle est la signification de la messe : l’eau, le sang, la blessure du cœur, Jésus ne peut plus les offrir (Il est mort)…
Cette œuvre est réservée au Fils de Dieu dans ses membres vivants en plénitude de grâce de corédemption.
Comme Marie seule deux mille ans avant a pu offrir ces dernières gouttes d’eau et de sang .
Toutes les blessures de la passion méditées dans les fruits des Mystères du Roi, comme la flagellation, nous sont insoutenables ?
Marie les a offertes, et nous aussi nous les offrons, soudés dans l’amour, la lumière et la chair et le sang avec Jésus crucifié, Oui nous les offrons encore et encore et jusqu’à la fin à jamais !
Mais que nous le voulions ou non, toutes ces croix ont été portées par l’âme humaine de Jésus, par le Saint des Saints du Dieu de l’univers.
Une fois qu’Il est mort, son âme humaine ne pouvait plus offrir, premièrement ..... Et deuxièmement, ce n’est plus son âme humaine mais sa propre Personne en Dieu qui reçoit le seul coup mortel, l’injure définitive.
Et c’est là où Dieu a voulu notre place pour nous établir en Royauté du Monde Nouveau pour tout l’Univers.
Il attend de nous non seulement que nous recevions l'Immaculée Conception en cette Place qui est la sienne, mais que nous le remettions Lui en Dieu : que ce soit par des enfants que soit donnée toute sa fécondité au ‘travail du Père’ pour le grand Sabbat de la fin.
Le remettre en Dieu comme une offrande de gratitude, d’efficacité et de fécondité éternelle.
Cette Royauté soit la nôtre !
Le sacerdoce du Christ n’est efficace dans l’incréé et fécond dans le créé que par ceux qui sont dans la vie divine créée par la foi :
« Il est grand, le mystère de la foi ».
Marie ce jour-là tu étais seule. ….
Avec Jean, nous sommes désormais en toi pour cela
Nous n’aurons plus de peine en entendant des enfants de la foi dire : «Ne dites donc pas que Marie est corédemptrice».
Nous comprenons ici ce que Dieu a fait en ces instants ténébreux par Elle… et … ce qu’Il fait désormais en nous avec Elle, Jérusalem spirituelle immaculée comme elle !
Corédemptrice, Eglise seule et seulement pour la blessure du cœur que Jésus nous a donné à offrir pour les derniers mystères des résurrections finales et du réenfantement avant le Dernier Jour final !
Que les dévoilements du Royaume dans la Sainte Famille Glorieuse avec le Père en Joseph glorieux nous fasse entendre, entrevoir le sommet des 1000 ans de la 1ère résurrection dans sa Source même : ici !
Source qu’elle fait déjà voir en nous dans le baiser de notre chair et du corps spirituel entier du Fils de Dieu entier…
Enfant de la terre, laisse toi déjà prendre dans le Ré-enfantement au terme Ultime de l’Immaculation royale du Temps lui-même, dans le terme terminant places toi aux confins tout bénis du Noël Glorieux :
Jésus à travers nous en Elle vient déposer la Royauté à son Père sur le Mont des Oliviers à Jérusalem. Il y remet à son Père sa Gloire pour que la Rédemption soit glorifiée et toute pleine :
Nous bercerons ce Mystère dans la prière dès que le Paraclet nous y transportera : la Rédemption est couronnée et glorifiée !
Voilà notre Joie sourde et profonde. En Nous elle ne s’effacera pas
Enfant du Monde de l'Immaculée Conception, tu en deviens source avec Elle !
Elle a vécu en sa chair et son âme ces instants de Sa Source dans la Croix
Elle n’est pas morte, elle n’est pas partie.
Nous non plus : nous voici !
Lorsque Jésus est mort, la Source divine de grâce adoptante s’est retrouvée seule.
O Marie, merci !
Jusqu’alors, Dieu vivant , à travers Jésus Tu offrais tous les péchés du monde en les effaçant dans Ton Sang précieux et dans ses croix ; toutes tes plaies étaient offertes Toi encore vivant qui T’offrais Toi-même tout entier.
Une fois mort, Ton âme humaine remplie de grâce divine ne pouvait plus offrir Ta mort, ni l’eau, ni le sang, ni cette blessure mortelle infligée en Dieu-même à l’intérieur de Ton corps désormais cadavérique.
Cette œuvre-là a été réalisée pour Dieu le Père à travers l’Immaculée Conception au pied de la croix, et à travers nous comme Jean et avec lui dans le Monde Nouveau
Enfant de la Terre en ce dernier sommet des mystères du Roi, voici ta dignité dans la foi, de la corédemption des corédempteurs du monde : pouvoir offrir dans le sacrifice divin de Jésus crucifié ce qu’il y a de plus grand dans son sacrifice. Et l'engendrer dans la Fécondité décrétée par le Temps de Dieu Obombrée par Elle
Telle est la signification de la messe : l’eau, le sang, la blessure du cœur, Jésus ne peut plus les offrir (Il est mort)…
Cette œuvre est réservée au Fils de Dieu dans ses membres vivants en plénitude de grâce de corédemption.
Comme Marie seule deux mille ans avant a pu offrir ces dernières gouttes d’eau et de sang .
Toutes les blessures de la passion méditées dans les fruits des Mystères du Roi, comme la flagellation, nous sont insoutenables ?
Marie les a offertes, et nous aussi nous les offrons, soudés dans l’amour, la lumière et la chair et le sang avec Jésus crucifié, Oui nous les offrons encore et encore et jusqu’à la fin à jamais !
Mais que nous le voulions ou non, toutes ces croix ont été portées par l’âme humaine de Jésus, par le Saint des Saints du Dieu de l’univers.
Une fois qu’Il est mort, son âme humaine ne pouvait plus offrir, premièrement ..... Et deuxièmement, ce n’est plus son âme humaine mais sa propre Personne en Dieu qui reçoit le seul coup mortel, l’injure définitive.
Et c’est là où Dieu a voulu notre place pour nous établir en Royauté du Monde Nouveau pour tout l’Univers.
Il attend de nous non seulement que nous recevions l'Immaculée Conception en cette Place qui est la sienne, mais que nous le remettions Lui en Dieu : que ce soit par des enfants que soit donnée toute sa fécondité au ‘travail du Père’ pour le grand Sabbat de la fin.
Le remettre en Dieu comme une offrande de gratitude, d’efficacité et de fécondité éternelle.
Cette Royauté soit la nôtre !
Le sacerdoce du Christ n’est efficace dans l’incréé et fécond dans le créé que par ceux qui sont dans la vie divine créée par la foi :
« Il est grand, le mystère de la foi ».
Marie ce jour-là tu étais seule. ….
Avec Jean, nous sommes désormais en toi pour cela
Nous n’aurons plus de peine en entendant des enfants de la foi dire : «Ne dites donc pas que Marie est corédemptrice».
Nous comprenons ici ce que Dieu a fait en ces instants ténébreux par Elle… et … ce qu’Il fait désormais en nous avec Elle, Jérusalem spirituelle immaculée comme elle !
Corédemptrice, Eglise seule et seulement pour la blessure du cœur que Jésus nous a donné à offrir pour les derniers mystères des résurrections finales et du réenfantement avant le Dernier Jour final !
Que les dévoilements du Royaume dans la Sainte Famille Glorieuse avec le Père en Joseph glorieux nous fasse entendre, entrevoir le sommet des 1000 ans de la 1ère résurrection dans sa Source même : ici !
Source qu’elle fait déjà voir en nous dans le baiser de notre chair et du corps spirituel entier du Fils de Dieu entier…
Enfant de la terre, laisse toi déjà prendre dans le Ré-enfantement au terme Ultime de l’Immaculation royale du Temps lui-même, dans le terme terminant places toi aux confins tout bénis du Noël Glorieux :
Jésus à travers nous en Elle vient déposer la Royauté à son Père sur le Mont des Oliviers à Jérusalem. Il y remet à son Père sa Gloire pour que la Rédemption soit glorifiée et toute pleine :
Nous bercerons ce Mystère dans la prière dès que le Paraclet nous y transportera : la Rédemption est couronnée et glorifiée !
Voilà notre Joie sourde et profonde. En Nous elle ne s’effacera pas
Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Saint Jean de la Croix:
Elie comme un feu
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H1412.mp3 (22mn)
texte de méditation de saint Jean de la Croix : la Sagesse parle à ceux qui sont attachés aux splendeurs créées de la Terre; Elie réconcilie les pères avec les enfants : diverses révélations sur la mission d’Élie; il baptisera les myriades pour arrêter la Colère et le Châtiment de Dieu; "Élie, Élie, notre Obombration, ton Char de Feu est notre obombration flamboyant d'Amour pour le Père"; avant qu'Il ne vienne
Elie comme un feu
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texte de méditation de saint Jean de la Croix : la Sagesse parle à ceux qui sont attachés aux splendeurs créées de la Terre; Elie réconcilie les pères avec les enfants : diverses révélations sur la mission d’Élie; il baptisera les myriades pour arrêter la Colère et le Châtiment de Dieu; "Élie, Élie, notre Obombration, ton Char de Feu est notre obombration flamboyant d'Amour pour le Père"; avant qu'Il ne vienne
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
3ème Dimanche de l'Avent
Enfant de la Femme
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H1512.mp3 (22mn)
Neuf jours avant Noël; visite dans l'intériorité de Jean le Baptiseur; le plus petit des enfants de la Femme est descendu dans le Temps primordial et dernier; cause méritoire de Marie, Joseph et Jean Baptiste pour des heures inoubliables; Isaïe 40, verset 30 : pas l'ombre de quoi que ce soit d'autre dans cette intrépide allégresse de ceux qui vieux et fatigués dépassent en vigueur les jeunes gens les plus vaillants : il rend toutes ses forces vives à celui qui est fatigué; il y a ceux qui reçoivent cette force nouvelle, et ceux qui ne le reçoivent pas ( même s'ils seront sauvés! la nature humaine se sent déshonorée quand elle entend quelqu'un se contenter d'être sauvée)
Enfant de la Femme
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Neuf jours avant Noël; visite dans l'intériorité de Jean le Baptiseur; le plus petit des enfants de la Femme est descendu dans le Temps primordial et dernier; cause méritoire de Marie, Joseph et Jean Baptiste pour des heures inoubliables; Isaïe 40, verset 30 : pas l'ombre de quoi que ce soit d'autre dans cette intrépide allégresse de ceux qui vieux et fatigués dépassent en vigueur les jeunes gens les plus vaillants : il rend toutes ses forces vives à celui qui est fatigué; il y a ceux qui reçoivent cette force nouvelle, et ceux qui ne le reçoivent pas ( même s'ils seront sauvés! la nature humaine se sent déshonorée quand elle entend quelqu'un se contenter d'être sauvée)
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
doucenuit a écrit:Je comprends surement mal quelque chose lorsque vous dîtes mon Père que tous seront sauvés ici et dans cette vidéo 'hors de l'église point de salut'?
http://catholiquedu.free.fr/videos/mp4/EntretiensDuPereNathan/04PreparationOraison.mp4
on peut s'effacer du Livre de la Vie
mais le Salut a été donné à tous
Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Merci mon Père pour cette réponse.
doucenuit- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Homélie Audio: vous avez 10 minutes ?
Lundi 16 Décembre 2019
Indicible Autorité
http://catholiquesdu.free.fr/2019/12/H1612.mp3 (16mn)
Deuxième jour avec le Noël glorieux devant nous, avec Elle, de manière immaculée, divine, transformée, avançante, procédante, avec les myriades envahies d'enfants envahis du baptême de l'Immaculée Conception procédante ; au rythme de l'Immaculée conception de Jésus pendant 9 mois : à cette nature humaine, Dieu donne toute autorité ; pour faire avancer la Sponsalité et la Spiration en un seul envol pacifique et souverain ; confiance au Roi, à ce rejeton de la racine de Jessé, dans un Royaume qui apaise quasi substantiellement la Détresse de Dieu : baptême que réalise cette Avancée prodigieuse parce qu'elle plonge en elle en la faisant disparaître en elle tout ce qui n'est pas cette Avancée prodigieuse de la Gratitude et de l'Invincibilité du Monde Nouveau et du Noël glorieux ; s'arrêter, regarder, voir Marie ici, Délicatesse et Lumière en affinité avec tous ceux qui sont là : on peut parfaitement voir à l'intérieur de Marie investir tous nos espaces intérieurs et, du dedans, pénétrant, on voit ce qui se passe en Elle, on voit cette Immaculée Conception prendre toute autorité sur le Noël glorieux en ces jours où nous sommes ; dans une Arche d'Alliance qui fait notre vie intérieure les cellules staminales de Jésus conçu en Elle déployées par millions, conservées en Elle : c'est toujours Jésus-venant-d'être-conçu qui produit en Elle par un pouvoir (une Autorité d'Amour de Dieu) une fécondité maternelle assumée en Dieu le Père pour engendrer Dieu vivant dans la Résurrection, la Croix Glorieuse, dans la Lumière de Gloire de sa moitié sponsale, dans chacun de ses enfants, dans la sainteté du Roi, dans notre vie intérieure : théâtre prodigieux d'Amour immaculé embryonnaire staminal, sponsal, et divin ; notre spiritualité, sans être vus, ces jours-ci
Merci, Mamourine pour ces 7 ans de grâces !
Indicible Autorité
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Deuxième jour avec le Noël glorieux devant nous, avec Elle, de manière immaculée, divine, transformée, avançante, procédante, avec les myriades envahies d'enfants envahis du baptême de l'Immaculée Conception procédante ; au rythme de l'Immaculée conception de Jésus pendant 9 mois : à cette nature humaine, Dieu donne toute autorité ; pour faire avancer la Sponsalité et la Spiration en un seul envol pacifique et souverain ; confiance au Roi, à ce rejeton de la racine de Jessé, dans un Royaume qui apaise quasi substantiellement la Détresse de Dieu : baptême que réalise cette Avancée prodigieuse parce qu'elle plonge en elle en la faisant disparaître en elle tout ce qui n'est pas cette Avancée prodigieuse de la Gratitude et de l'Invincibilité du Monde Nouveau et du Noël glorieux ; s'arrêter, regarder, voir Marie ici, Délicatesse et Lumière en affinité avec tous ceux qui sont là : on peut parfaitement voir à l'intérieur de Marie investir tous nos espaces intérieurs et, du dedans, pénétrant, on voit ce qui se passe en Elle, on voit cette Immaculée Conception prendre toute autorité sur le Noël glorieux en ces jours où nous sommes ; dans une Arche d'Alliance qui fait notre vie intérieure les cellules staminales de Jésus conçu en Elle déployées par millions, conservées en Elle : c'est toujours Jésus-venant-d'être-conçu qui produit en Elle par un pouvoir (une Autorité d'Amour de Dieu) une fécondité maternelle assumée en Dieu le Père pour engendrer Dieu vivant dans la Résurrection, la Croix Glorieuse, dans la Lumière de Gloire de sa moitié sponsale, dans chacun de ses enfants, dans la sainteté du Roi, dans notre vie intérieure : théâtre prodigieux d'Amour immaculé embryonnaire staminal, sponsal, et divin ; notre spiritualité, sans être vus, ces jours-ci
Merci, Mamourine pour ces 7 ans de grâces !
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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