LES COUPLES HORS-MARIAGE RELIGIEUX

J'ai jamais lus autant de BLASPHEMES en aussi peu de temps!

Seigneur je te demandes Pardon, aie pitié de nous.

Pardon, pardon, pardon....

Mais bon Dieu ,ou était la Modération???

La preuve est faite, que l'esprit du Malin est sur ce Forum.

Gaelle n'est pas sous la mouvence de l'ESPRIT SAINT !

S.V.P que la Modération relise ce fil en entier,S.V.P

Sommes nous OUI ou NON sur un site CATHOLIQUE ROMAIN ???

Est-ce que les Évangiles de JÉSUS CHRIST, Ca vous dit quel que choses???

La Sainte Bible de Jérusalem???

Les 10 Commendements???

Les SACREMENTS???

Est-ce que je parles en francais...

Ce Forum est OUI ou NON CATHOLIQUE ROMAIN????

Je demande aux MODÉRATEURS ou Charles-Édouard, une Réponse.

Merci!

céline

Bonjour Celine,

Je suis entiérement d'accord avec vous mais il faut savoir que les modérateur ne sont pas tout puissant bien au contraire.
Nous avons des pouvoir limité ce qui nous empéche de pouvoir modérer correctement.

C'est en partie ce qui à motivé d'ailleur Abaruah de quiter la modération. Les autres raisons sont l'irrespect du catholicisme et le culte rendu aux faux prophétes reconnus...

Je suis moi aussi lassé par cette situation et si rien ne change je pense suivre le chemin d'Abaruah.

Cher Silver 35

Mais les modérateurs sont plus puissant que les membres du Forum.

Silver il y a des reglements sur ce forum, et ces règlements sont pour protèger Contre les Blasphèmes.

Il y a 2 ou 3 membres qui font la pluie et le beau temps.
Ce n'est pas la Majorité.

Je vous remercie d'avoir intervenus l'autre jour.
ET je dit ceci non en MP mais devant tous.
Car il faut dénoncer Ceux qui veulent éloigné de Dieu.

Alors il faut que cela change ou laisser allé ce forum entre
les mains du Malin qui s'acharne à cela !

Moi et plusieurs nous nous sommes inscrit sur un forum
Catholique pour un échange respectueux entre Chrétien
Mais si cela n'est pas possible Alors....

Merci de M'avoir lit et répondus

J'attends maintenant des nouvelles de Charles- Édouard

Que Dieu vous Bénisse.
céline

Gaelle à écrit:

Jusqu'à plus ample informé j'ignore de quel(s) blasphème(s) on m'accuse ici

Mais c'est ca le Probleme, relisez le fil en entier
ils sont une dizaine à vous dire la Vérité et vous n'avez encore
RIEN COMPRIS...

C'est très, très malheureux.

Vous me paite Pitié et je prie pour vous...

Que Jésus Fils UNIQUE de Dieu et la très Sainte Vierge Marie,
Vous éclaire, vous protège et vous bénisse.
Amen
céline

La souffrance, je la vois souvent faire venir avec elle la déraison, l'exclusivité, le jugement, les menaces puis la réclusion.

La Bible nous raconte que Dieu salut les hébreux quand ils abandonnent à jamais toute manière de faire apparaître ou parler Dieu, ou encore ceux du ciel. Cette bénédiction est toujours d'actualité. C'est une grande joie et la libération d'un immense fardeau qui se produisit : désormais l'Homme aurait confiance en Dieu, n'écouterait plus ses oracles où se disent tout et rien, mais sa parole.

La souffrance n'est pas une raison valable pour voir Dieu, pour le voir apparaître et pointer son doigt de jugement. Nous savons la plus part d'entre nous où nous en sommes. Il est arrivé qu'on se triture fortement, puis qu'on revienne à nos valeurs communes aux discussions suivantes, en aillant progressé. Parfois l'un s'était trompé, parfais c'était l'autre, mais nous n'avons pas attendu de voyant pour arriver quand-même à faire la part des choses (parfois il a fallut attendre, patiemment). En fait, c'est parfois eux qui ont apporté la division et la puérilité, les voyants.

Je suis désolé, mais quand on souffre, on ne voit pas Dieu, on ne fait que le projeter, mais on ne peut même pas voir qu'il est en train de porter l'essentiel de notre être. Il ne vient pas dans ces moments de souffrance pour demander aux êtres de porter encore un plus grand fardeau. Nous sommes une communauté pour ça. Cette communauté est malgré tout intelligente. C'est désobligeant de penser qu'elle puisse avoir besoin de se faire sermonner sur des choses que l'accusateur ne saisi même pas.

Ce n'est pas de "repentir" que le forum a besoin, mais de persévérance dans le dialogue. C'est une chose beaucoup plus complexe et vivante, cela veut dire que nous avons encore tout à faire et à découvrir de nous-même dans la parole de Dieu. Il est très simple de casser tout cela avec 2 paroles, de nous détourner de nous-mêmes et de dévaloriser tout ce que nous partageons. Si le voyant ne le voit pas, s'il pense combler un trou là où en fait nous nous liions et apprenions à nous connaître, alors tout est absolument faux de sa part et il n'a pas la mesure de ce dans quoi il s'ingère ni même du manque de pertinence qu'il peut avoir, de ce qu'il est sur le point de briser (et qui était peut-être même fragile) sans en connaître la moindre valeur ni le parcours qu'il a pu y avoir.

Prenons l'exemple d'Agnès Mignoni, et bien elle fait parti de ces personnes qui n'ont vu que ce qu'elles voulaient, qui n'ont dit que ce qu'elles voulaient, qui ont projeter la souffrance que comme elles la ressentait et comme elle les arrange, mais qui jamais n'ont saisi les âmes de la communauté qu'elle vise et attaque et en quoi elle fait un plat magistral au beau milieu des croyants en imposant jusqu'à un jugement qui ne parle à personne, que personne n'identifie même chez son ennemi ou son contradicteur, c'est à dire un jugement parfaitement impertinent et négligeant, mais en tout cas sévère et méchant où le seul sourire recherché est en fait le sien, où toute accusation ne fait du bien qu'à soi. Hélas, là n'est même pas la réalité des personnes accusées ni les relations qu'elles ont entre elles, ni la fin de leur chemin.

Nous sommes en chemin, et je préfère le dire : personne n'a le pouvoir de nous faire arrêter, que ce soit en prière autistique, en réclusion, en accusations diverses, en jérémiade, en projection de souffrance ou en stigmates.

Et si l'on nous accuse au nom de Dieu, alors que ce jugement soit fait un par un, nom par nom, faute par faute, péché par péché, direction par direction, intention par intention, ou sinon, que l'accusateur se taise à jamais, lui qui n'a peut-être connu personne de ceux qu'il accusait mais qui se place pourtant au beau milieu du groupe sans arriver même à écouter ceux à qui il veut parler.

L'illusion divine prend fin quand la sentence est dite : "abrutis".

Ainsi, il ne s'agissait pas de Dieu ni de la persévérance des saints. Il s'agissait de souffrance solitaire Gaëlle. Le mieux, c'est d'en sortir, vraiment. D'autres l'on fait.

Mais je conseille aux gens qui souffrent d'arrêter de vouloir porter plus qu'eux-mêmes et de continuer à faire plaisir à Dieu en ne cherchant pas à le faire apparaître au beau milieu de la consternation et de l'ignorance, au beau milieu de la négligence de ce que sont vraiment les gens. Je ne sais même pas ce qu'ils voient ou cherchent en voulant regarder exclusivement les péchés. Est-ce une manière? C'est la foi, c'est l'autre qui leur échappe, tout le groupe même, un par un, à tous les coups et c'est toujours une catastrophe.

à gaellle

je n avais pas encore lu ce post mais je rejoins céline, vous blasphamez et vous ne parlez surement pas au nom de JESUS CHRIST ni de la Vierge MARIE et vos messages ne sont pas de Dieu

c est tout et pour moi le sujet est clos,

@Gaelle, vous blasphémez tout le long du fil, je viens de tout relire, et c'est infâme.

Il faut absolument que ce fil soit verrouillé.

C'est horrifiant, Gaëlle vous dites des hérésies.

Je viens de voir que Gaëlle a été bannie.

Alors tout est OK.

Fini les hérésies et les blasphèmes.

Merci Seigneur.

Bonjour,

Gaelle a écrit:Je n'ai strictement rien à dire, à échanger avec des abrutis de première.

Jésus nous rappelait que l'on reconnaîtrait ses disciples à l'Amour qu'ils auront les uns pour les autres. Or, ces messages de notre soeur Gaelle sont remplis de tant de mépris, et de méchanceté.

Ceux qui sont contre le catholiscisme disent qu'il faut "s'ouvrir les yeux". Ils utilisent les mêmes mots que dans la Genèse, après qu'Adam et Ève eûrent goûté du Fruit de l'arbre de la connaissance. "Ils ouvrirent les yeux... et ils virent qu'ils étaient nus"...

Satan donne une certaine connaissance, mais elle corrompt l'âme, elle est Mensonge.

Prions plutôt pour que ces âmes ouvrent les yeux à la véritable Lumière.

Union de prière,

Emmanuel

Gaëlle est bannie depuis quelques temps, je viens de vérifier.

J'ai une question, est ce que Dieu accepté une personne baptisée et une athée qui se sont mariées, je vous rassure c'est un homme et une femme mais qui se sont mariés à la commune.

Amicalement

Si en matière de dogme l'essentiel de la doctrine chrétienne a été révélé une fois pour toutes, il ne faut pas pour autant négliger que, ainsi que l'a indiqué Saint Vincent de Lérins, la religion des âmes imite la croissance physique du corps dont les éléments évoluent et grandissent au cours des années.

D'où la nécessité, pour toute Eglise locale, de faire parfois le point pour le plus grand bien de ses fidèles.
La religion est en perpétuel progrès; le nier serait aller contre toute logique.
"Peut-il," écrit encore Saint Vincent de Lérins, "se trouver quelqu'un assez jaloux des hommes, assez rempli de haine envers Dieu, pour tenter de s'opposer à ce progrès ?"

De cette progression, de cette croissance de l'Eglise, découle le besoin de réexaminer les conditions d'existence du couple chrétien en fonction des transformations sociales et de la présence du dogme.
Pascal a écrit dans ses Pensées que "la vraie morale se passe de morale."
En effet, alors que la morale mondaine a pour critère le jugement des hommes, la morale chrétienne, rejetant tout légalisme, n'a d'autres impératifs que ceux de la conscience.

L'Evangile insiste souvent sur les dangers de ce moralisme pharisaïque, de la lettre qui tue, qui ramène tout au niveau d'une psychologie infantile: ... Il est permis ... Il est interdit ...
Pourquoi, dit Saint Paul, vous impose-t'on ces préceptes: ne prends pas, ne touche pas, ne goûte pas ... qui tous deviennent pernicieux par l'abus, et qui sont fondés sur les ordonnances et les doctrines des hommes.

De la Genèse à l'Evangile, et même durant les premiers siècles de la vie de l'Eglise, la morale religieuse a été dominée par les exigences de la reproduction de l'espèce humaine. L'histoire des filles de Lot (Genèse 19) est un exemple très particulier de cette primauté du commandement de multiplier sur tout autre considération religieuse ou morale. D'où le malheur à toi stérile de l'Ancien Testament.
De là aussi, en raison du nombre plus réduit des hommes, la légalisation de la polygamie. Le livre du Deutéronome tient compte de cette polygamie dans l'établissement des lois d'Israël: - Si un homme a deux femmes... (Deut. 21,16). Mais une profonde modification de cette façon de voir allait être apportée par le Nouveau Testament.

Chez les premiers chrétiens, la croyance à une venue proche du Royaume rendait inutile le désir d'une postérité. Dans l'optique de Saint Paul, le mariage a pour objet d'éviter l'impudicité (1 Cor. 7,2). L'union de l'homme et de la femme n'est plus un devoir mais une tolérance: "Il vaut mieux se marier que de brûler" (1 Cor. 7,9).
Cependant, Paul prend soin de préciser qu'il s'agit là de conseils, et non d'une loi divine. Mais quand l'Apôtre ne donne pas cette précision elle coule de source, puisqu'il explique bien que le légalisme a été aboli par le Christ: "Morts à cette loi qui nous tenait asservis, nous en sommes affranchis..." (Rom. 7,6).

Après la prédication de l'Evangile aux divers peuples de la terre, les nouvelles Eglises qui s'établissent un peu partout sont loin d'aborder la même notion du couple.
Pourtant, un certain nombre d'entre elles ont tendance à se laisser influencer par les Eglises légalistes du judaïsme.
Ce n'est que lentement que s'établira un puritanisme sans véritable fondement dans les Ecritures. L'un des aspects du gallicanisme sera de lutter contre les exagérations romaines en ce qui concerne la morale sexuelle.
L'humanisme chrétien se rira bien volontiers des outrances ultramontaines. Il n'est que de citer Rabelais, curé de Meudon, qui fut délégué de l'Eglise Gallicane pour défendre les positions de l'Eglise d'Angleterre contre les prétentions romaines.

Pourtant, au fur et à mesure que l'Eglise de Rome établissait sa suprématie dans la Chrétienté, elle instaurait sa doctrine sexuelle, curieux mélange de manichéisme et de judaïsme: célibat des prêtres, interdiction de tout rapport sexuel avant le mariage, restriction des rapports à la seule procréation des enfants, idée de péché attachée à l'acte de chair, etc.

Il faut dire que cette doctrine ne fut pas le fait de la seule Eglise Romaine; l'ignorance et la superstition de la société forcèrent souvent les autorités ecclésiastiques à adopter une position légaliste.
En 1870, la prise de conscience d'un certain nombre d'ecclésiastiques gallicans allait amener une saine réaction. Sous l'influence du Rev. Père Hyacinthe Loyson, de l'Abbé Mouls, de Mgr Vilatte, l'Eglise Gallicane affirma la liberté de mariage pour le clergé, la possibilité de bénir certains mariages de divorcés.

Mais à la fin du XXème siècle, des faits nouveaux se sont présentés, qui amenèrent les Eglises à repenser certains aspects de la notion du couple.

Surpopulation -
Alors que durant des millénaires la morale du couple a été dominée par la nécessité de reproduire l'être humain, voici que la terre surpeuplée ne peut plus assurer la nourriture de ceux qui naissent... D'où un renversement des valeurs qui permet de légitimer le contrôle des naissances.
Là encore, seule la conscience des intéressés, après avoir prié et demandé aide à l'Esprit-Saint, peut librement trancher la question.

Emancipation de la femme -
Dans la société primitive (et de nos jours encore dans certaines contrées) l'homme achetait son épouse, qui devenait ainsi sa propriété. Il semble que la législation judaïque ait été dominée par ce souci d'empêcher le vol: "Tu ne convoiteras point ni la femme de ton voisin, ni sa maison, ni son champ, ni sa servante..."
De nos jours, cette notion de propriété n'existe plus. La femme n'est plus une chose, un objet de plaisir; elle est l'associée de l'homme, partage ses responsabilités et ses droits.
L'optique du couple s'en trouve donc transformée et il appartient aux Eglises d'en tenir compte.
On peut objecter que Saint Paul recommande aux épouses la soumission; mais là encore, il faut se placer dans le contexte de l'époque. Que Saint Paul ait demandé aux esclaves chrétiens l'obéissance ne signifie pas une approbation de l'esclavage...
Doctrine d'amour et de libertés, le christianisme a travaillé à l'émancipation de l'esclave et à celle de la femme. S'appuyer sur la lettre des textes pour en revenir à une conception judaïque du couple serait trahir l'esprit de l'Evangile.

Transformation de la société -

Aux temps médiévaux et jusqu'à la séparation de l'Eglise et de l'Etat, en France, l'Eglise tenait pour ainsi dire seule les registres de l'état-civil. Par ailleurs, seuls les enfants nés du mariage pouvaient jouir des droits sociaux. D'où une position très sévère de l'Eglise en ce qui concernait les rapports hors mariage. Tout au plus trouvons-nous quelques permissions de remariage accordées dans des cas très spéciaux.
Par exemple, nous voyons Grégoire II (715-731) autoriser Saint Boniface (675-754), évêque de Mayence, à bénir une nouvelle union dans le cas où une femme malade ne pouvait rendre le devoir conjugal à son époux (Oratio 18, caus. XXXII). Mais il est bien certain que l'évolution de la société moderne ne faisant plus de l'enfant né hors du mariage un déshérité, et ne discréditant plus la femme ayant eu des relations avant ou hors du mariage, la position de l'Eglise doit s'en trouver modifiée, sinon dans l'essentiel de sa doctrine, du moins dans les textes.

C'est ainsi que nous pensons que ce n'est pas discréditer - bien au contraire - le mariage religieux, que d'estimer qu'il ne doit être conclu qu'après mûre réflexion et certitude pour les époux d'entrer dans une vie commune solide et durable.
Au cas où l'un ou l'autre ne serait pas certain de tenir ses engagements, une union libre serait plus conforme à l'esprit de l'Evangile qu'un engagement mal fondé, donc sacrilège.
La position des Eglises chrétiennes sur le mariage est très différente:
l'Eglise Anglicane ne le reconnaît pas comme sacrement, mais comme pieuse coutume;
l'Eglise Vieille-Catholique le considère comme un sacrement mineur, qui n'est pas d'institution christique et ne doit pas être mis au rang des trois grands sacrements institués par le Christ;
l'Eglise Catholique Romaine voit en lui un sacrement indissoluble.
La position de l'Eglise Gallicane est beaucoup plus nuancée. Elle doit d'abord rappeler que les ministres du sacrement de mariage sont les époux eux-mêmes, et que l'engagement pris ne se maintient que par l'amour mutuel. Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l'Eglise... (Eph. 5,24-25).

En ce qui concerne la question précise du remariage des divorcés, notre Eglise a déjà pris position dans une mise au point du Synode des définiteurs de la Foi, parue en septembre 1963 dans le bulletin officiel gallican. Qu'il nous soit permis de rappeler ce qui a été dit:
"Refuser toute compréhension relative à une union, même si elle n'est pas parfaitement souhaitable, est prendre le risque de rejeter le couple dans une situation sans espoir. Nos prêtres se souviendront que le divin Maître n'a pas repoussé la femme adultère, la prostituée, la concubine; et que celles-ci peuvent parvenir aussi, après repentance, à la béatitude du royaume céleste. C'est le rôle de l'Eglise de conseiller la meilleure voie à suivre pour y accéder. Mais il sera, comme le dit l'Evangile, plus ou moins demandé à l'un ou à l'autre, selon qu'il aura plus ou moins reçu. C'est sur sa bonne volonté, sa Foi, son Amour, son Espérance que chacun sera jugé."

Par ailleurs, il est indéniable que la psychanalyse a apporté des lumières sur le comportement sexuel des individus. Les Eglises doivent en tenir compte aujourd'hui. La motivation de tel comportement, de tel complexe nous fait mieux comprendre la mentalité de l'un ou l'autre personnage du couple. La Parole du Christ mettant en relief le bon grain et l'ivraie dans le coeur de l'homme nous incite à ne pas juger autrui inconsidérément. Il est certain qu'entre l'exemple donné par les Saintes Ecritures de l'union parfaite entre le Christ et son Eglise, et les ébauches d'unions esquissées par la fragilité de la nature humaine, il y a un abîme à franchir, et que les théologiens de notre Eglise doivent avant tout écouter la voix de la charité.

http://www.gallican.org/couple.htm

Jean-Paul II:
Combattre le divorce en soulignant la beauté du mariage

Sans indissolubilité il n´y a pas de mariage, et sans mariage, pas de famille

CITE DU VATIVAN, lundi 28 janvier 2002 (ZENIT.org) –

Si le mariage n'est pas pour la vie, ce n'est pas un mariage, et sans le mariage, le fondement même de la société, la famille, est miné. C'est ce qu'a affirmé le pape Jean-Paul II ce matin, dans un discours au Tribunal de la Rote Romaine, à l'occasion de l'inauguration de la nouvelle année judiciaire. Le pape encourage à combattre la mentalité favorable au divorce.

La Rote Romaine est un tribunal romain exerçant essentiellement le rôle de tribunal d'appel. Il est constitué par douze juges qui siègent par groupe de trois tour à tour (d'où son nom, la rote, la ruota, la roue…qui tourne). Il se prononce entre autre dans les causes de nullité de mariage.

"Il faut dépasser la conception de l'indissolubilité comme une limite à la liberté des contractants, et donc comme un poids, qui peut parfois devenir insupportable" a affirmé le pape.

Le défi, pour l'Eglise et pour ceux qui croient en l'amour conjugal, est de donner une "présentation positive de l'union indissoluble pour redécouvrir sa beauté", a précisé le pape. Et on y arrivera si cette beauté est révélée "par les familles, 'Eglises domestiques' dans lesquelles le mari et la femme se reconnaissent mutuellement liés pour toujours, par un lien qui exige un amour toujours renouvelé, généreux et prêt au sacrifice".

Le pape a rappelé l'importance de ne pas se laisser prendre par la mentalité favorable au divorce. "On pourrait avoir l'impression que le divorce est tellement enraciné dans certains milieux sociaux, que ce n'est même plus la peine d'essayer de le combattre en diffusant une mentalité, une coutume sociale et une législation civile, en faveur de l'indissolubilité", a-t-il déclaré.

"Et pourtant, cela en vaut la peine! s'est exclamé Jean-Paul II. En réalité, ce bien fait partie de la base de toute la société, comme une condition nécessaire pour l'existence de la famille".

"Et son absence a donc des conséquences dévastatrices, qui se propagent dans le corps social comme un fléau – selon le terme utilisé par le Concile Vatican II pour décrire le divorce (cf. Gaudium et spes, n. 47), et qui ont une influence négative sur les nouvelles générations auxquelles on cache la beauté du mariage authentique".

"La valeur de l'indissolubilité ne peut pas être considérée comme l'objet d'une simple option privée: elle affecte l'un des piliers de toute la société", a poursuivi le Saint Père.

Jean-Paul II rejette ainsi "l'idée assez répandue que le mariage indissoluble est pour les croyants, si bien qu'ils ne peuvent pas "l'imposer" à la société civile dans son ensemble".

L'évêque de Rome ne demande pas seulement à ceux qui croient en l'indissolubilité du mariage de s'opposer aux mesures juridiques qui introduisent le divorce ou qui comparent le mariage aux unions de fait ("y compris les unions homosexuelles"), mais il les a aussi encouragés à avoir une "attitude positive" par rapport au mariage.

Cette nouvelle mentalité devrait promouvoir, a-t-il souligné, "des mesures juridiques qui tendent à améliorer la reconnaissance sociale du mariage authentique".


http://pastoralefamiliale.free.fr/epmindissolubilite.htm

Divorce et remariage dans l'Evangile

L'Eglise suit le Christ. Or, son enseignement sur le divorce n'a pas dû plaire aux foules : peu après, Jésus entre dans sa passion, rejeté aussi bien par les chefs religieux, l'autorité politique et les foules. Avant lui, Elie s'était retrouvé seul pour avoir refusé la compromission avec l'idolâtrie ambiante (2 R 19, 14). Pour avoir dit à Hérode qu'il n'a pas le droit de vivre avec la femme d'un autre (cf. Lv 20, 10), la femme de son frère (Lv 20, 21), Jean Baptiste a été décapité (Mc 6, 18 et Mt 14, 4-12).


Jésus a clairement appelé « adultère » le remariage qui suit un divorce :

« Et il leur dit: "Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet un adultère à son égard; et si une femme répudie son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère." » (Marc 10, 11-12)

« Tout homme qui répudie sa femme et en épouse une autre commet un adultère, et celui qui épouse une femme répudiée par son mari commet un adultère. » (Luc 16, 18)

« Eh bien! moi je vous dis: Tout homme qui répudie sa femme, hormis le cas de "prostitution" [cf. Lv 18, qui concerne surtout la consanguinité], l'expose à l'adultère; et quiconque épouse une répudiée, commet un adultère. » (Matthieu 5, 32)

« Or je vous le dis: quiconque répudie sa femme -- pas pour "prostitution" -- et en épouse une autre, commet un adultère. » (Matthieu 19, 9)

« Quant aux personnes mariées, voici ce que je prescris, non pas moi, mais le Seigneur: que la femme ne se sépare pas de son mari -- au cas où elle s'en séparerait, qu'elle ne se remarie pas ou qu'elle se réconcilie avec son mari -- et que le mari ne répudie pas sa femme. » (1Corinthiens 7, 10-11)

Dans le contexte de saint Matthieu et de saint Marc, juste après la parole sur le divorce vient une parole sur les enfants - la juxtaposition de ces paroles fait penser que le Seigneur et l'Eglise primitive ont pensé et senti ensemble ce qui concerne le divorce et ce qui concerne les enfants :

« On lui présentait des petits enfants pour qu'il les touchât, mais les disciples les rabrouèrent.

Ce que voyant, Jésus se fâcha et leur dit: "Laissez les petits enfants venir à moi; ne les empêchez pas, car c'est à leurs pareils qu'appartient le Royaume de Dieu. En vérité je vous le dis: quiconque n'accueille pas le Royaume de Dieu en petit enfant, n'y entrera pas."

Puis il les embrassa et les bénit en leur imposant les mains. » (Marc 10, 13-16 // Mt 19, 13-15)


Dans le contexte plus large de la prédication de Jésus

Saint Matthieu a placé entre les deux une parole sur la grâce de la continence. Cet appel évangélique, qui est aussi un don de Dieu, Jésus la désigne par l'expression « eunuques pour le royaume ». Placé par saint Matthieu juste après la parole sur le divorce, elle ouvre une espérance. Au cas où il y ait séparation, Jésus a prévu un appel, une grâce, et c'est celle de la continence. Or la grâce du Christ, c'est sa façon de faire de miséricorde : Jésus pardonne en reconstruisant le bien et en donnant de vivre une réalité bonne, en Lui, dans son Esprit.

L'ordre des paroles du Christ en saint Luc est aussi fort intéressant à observer. Avant la parole sur le divorce (Lc 16, 18), le chapitre 15 donne trois paraboles évoquant la miséricorde de Dieu. Le fils prodigue manifeste un repentir quelque peu ambigu, tandis que la drachme ou la brebis perdue sont passives. Attention, ces paraboles ne représentent pas le sacrement de baptême ou la première communion ou le sacrement de mariage qui, eux, demandent une préparation, un engagement. Mais, placées avant l'expression d'une très grande exigence, elles disposent le cœur à la miséricorde. Peu après la parole sur le divorce, nous avons une autre parole sur la miséricorde, mais cette fois exprimée comme une exigence pour le disciple : le disciple doit pardonner jusqu'à sept fois par jour : « Et si sept fois le jour il pèche contre toi et que sept fois il revienne à toi, en disant: Je me repens, tu lui remettras. » (Luc 17, 4). Il semble donc que Jésus soit tout à fait conscient de la difficulté de ne pas divorcer, il faut pardonner si souvent au conjoint... Mais avant ces paroles exigeantes, il a montré la source de la grâce, la miséricorde du Père. Il y a donc un malentendu à dissiper : la miséricorde de Jésus n'est pas une planche descendant « le cours des choses » en suivant le courant.

Si l'on lit le texte dans sa continuité, Jésus, dans l'évangile de saint Luc, semble aussi percevoir la difficulté de ne pas se remarier après une séparation. Il met en scène une veuve, cette veuve subit l'injustice, elle est dépourvue devant son adversaire, et le juge est inique... Jésus aurait pu mettre un conjoint abandonné - l'exemple de la veuve permet de souligner le contraste entre l'innocence et l'iniquité. Jésus conclut : « Je vous dis qu'il leur fera prompte justice. Mais le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre?" (Luc 18,.

Jésus semble aussi percevoir qu'il y aura toujours des pharisiens qui jugement de haut les autres, qui se flattent de ne pas être voleurs ou adultères (adultères comme sont les divorcés remariés, selon la parole de Jésus en Lc 16, 18). Jésus ne met pas en valeur le pharisien, mais bien un autre : « Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant: Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis! Je vous le dis: ce dernier descendit chez lui justifié, l'autre non. » (Luc 18, 13-14)


L'éclairage de la Samaritaine

Les divorcés remariés sont dans la situation de la Samaritaine : le conjoint qu'ils ont n'est pas leur conjoint : « Car tu as eu cinq maris et celui que tu as maintenant n'est pas ton mari. » (Jean 4, 18).

La comparaison a ses limites : la Samaritaine rencontre Jésus dans cette situation, elle n'a pas déjà reçu les sacrements.

L'appel de Jésus « Donne-moi à boire » (Jn 4, 7) se répète au calvaire « J'ai soif » (Jn 19, 28), donc à la sainte Messe qui en est le mémorial. Jésus demande de donner et de se donner à lui. Il le demande à tous, il le demande particulièrement aux divorcés remariés car Jn 19, 28 constitue un rappel de Jn 4, 18.

Notons qu'il n'y a pas d'immédiateté : Jésus parle de l'Eau vive au conditionnel quand il s'adresse à la Samaritaine (Jn 4, 10) et dont il parle au futur quand il pense à quiconque (Jn 4, 14). Et c'est au calvaire que Jésus donnera l'Eau vive. Ce manque d'immédiateté correspond sans doute aussi au manque d'immédiateté de la Samaritaine, sans doute ne peut-elle pas régulariser sa situation car le sixième mari lui est précieux pour éduquer les enfants qu'elle a conçu des cinq autres maris... Qu'importe, Jésus lui a promis l'eau vive si elle le lui demande. L'avenir lui est ouvert. Jésus ne reprendra pas sa parole.

Mais direz-vous, ce sont les sacrements que demandent les divorcés remariés. Or, Jésus ne dit pas à la Samaritaine « "Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus." (Jean 8, 11) et on ne voit pas la Samaritaine briser un flacon de nard pur en signe du don d'elle-même (Jean 12, 3)[1].

Jésus dit à la Samaritaine : "Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te dit: Donne-moi à boire, c'est toi qui l'aurais prié et il t'aurait donné de l'eau vive." (Jean 4, 10).

Jésus parle du don de Dieu au singulier, puis d'un don particulier, l'eau vive. En réalité, les dons de Jésus vont ensemble, recevoir tel don aide à recevoir les autres. Faisons le répertoire des dons de Jésus dans l'Evangile de Jean :

- « A tous ceux qui l'ont accueilli, il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom » (Jn 1,12) ;
- L'Eau vive : « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : Donne-moi à boire, c'est toi qui l'aurais prié et il t'aurait donné de l'eau vive. » (Jn 4,10) « mais qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif; l'eau que je lui donnerai deviendra en lui source d'eau jaillissant en vie éternelle. » (Jn 4,14)
- Le don du pain, parole et chair de Jésus : « Le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde » (Jn 6, 51)
- Le commandement nouveau : « Je vous donne un commandement nouveau: vous aimer les uns les autres; comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres. » (Jn 13,34)
(s'aimer les uns les autres est un commandement déjà présent dans l'AT ; la nouveauté ici est l'amour trinitaire : aimer comme Jésus nous a aimé).
- La paix : « Je vous laisse la paix; c'est ma paix que je vous donne » (Jn 14,27)
sa joie (Jn 15,11)
- Sa vie : « Nul n'a plus grand amour que celui-ci : donner sa vie pour ses amis. » (Jn 15,13)
- La vie éternelle (Jn 17,2)
- Sa gloire : « Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, pour qu'ils soient un comme nous sommes un. » (Jn 17,22) (sa gloire est d'être Fils de Dieu, il nous la communique)
- Sa mère (Jn 19,25-27)
- Son Esprit Saint (Jn 19,29 et Jn 20,22)

Devant tant de richesses, nul ne peut dire : j'ai accueilli tous ces dons, j'en ai fait ma vie. Pour accueillir le don de devenir fils de Dieu, il nous faut accueillir le don de sa parole. Pour que la Samaritaine aux cinq maris accueille l'Eau vive, il lui faut accueillir Marie, celle qui a vécu son mariage dans une si grande pureté... Pour accueillir le don de Marie, il faut accueillir le don de l'Esprit Saint... Sans doute aussi, plus on reçoit un don, et mieux on reçoit les autres.

Tout n'est pas immédiat, mais chaque don contient tous les autres puisque Jésus se donne lui-même en chacun de ses dons.

Si les Samaritaines de notre temps savaient demander le don qui leur est particulièrement adressé, l'Eau vive, alors peut être que toute l'Eglise saurait recevoir mieux aussi les autres dons, le don de l'Eucharistie dont la grandeur serait mieux mesurée (si l'on peut dire), le don de la parole (qui ne se plie jamais à nos lectures accommodantes), le don de Marie et de l'Esprit Saint.

On entend souvent : si les divorcés-remariés ne communient pas, les églises se videront... Est-ce si sûr ?

L'attitude de Jésus, - très peu complaisante, « celui que tu as n'est pas ton mari » (Jn 4, 18) - n'a pas du tout effondré la Samaritaine, elle a au contraire suscité un début de foi chez la Samaritaine qui a commencé à percevoir la grandeur de son interlocuteur, et elle qui venait puiser à midi par peur du regard d'autrui, elle trouve en elle-même l'audace de témoigner :

« Un bon nombre de Samaritains de cette ville crurent en lui à cause de la parole de la femme, qui attestait: "Il m'a dit tout ce que j'ai fait." Quand donc ils furent arrivés près de lui, les Samaritains le prièrent de demeurer chez eux. Il y demeura deux jours et ils furent bien plus nombreux à croire, à cause de sa parole, 42 et ils disaient à la femme: "Ce n'est plus sur tes dires que nous croyons; nous l'avons nous-mêmes entendu et nous savons que c'est vraiment lui le sauveur du monde." » (Jean 4, 38-42).


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Synthèse F. Breynaert


http://www.mariedenazareth.com/14055.0.html?&L=0

Selon les visions de Maria Valtorta, voici des instructions que Jésus a donné aux apôtres, après sa Résurrection, en vue de l'édification de l'Église. Jésus a fait, entre autres, un long exposé sur tous les Sacrements, et tant d'autres sujets. Voici les paroles du Seigneur à propos du mariage.

Maria Valtorta - L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - Tome 10
21. Jésus aux apôtres et aux disciples

(...)

"Dans la religion mosaïque le mariage est un contrat. Dans la nouvelle religion chrétienne qu’il soit un acte sacré et indissoluble sur lequel descend la grâce du Seigneur pour faire des conjoints deux de ses ministres dans la propagation de l’espèce humaine. Cherchez, dès les premiers moments, à conseiller au conjoint qui vient de la nouvelle religion qu’il convertisse son conjoint encore hors du nombre des fidèles afin qu’il entre pour en faire partie, pour éviter ces douloureuses séparations de pensées, et par conséquent de paix, que nous avons observées même parmi nous. Mais quand il s’agit de conjoints fidèles au Seigneur, qu’on ne sépare pour aucune raison ce que Dieu a uni. Dans le cas d’une partie qui se trouve, étant chrétienne, unie à un gentil, je conseille que cette partie porte sa croix avec patience et douceur et aussi avec force, jusqu’au point de savoir mourir pour défendre sa foi, mais sans quitter le conjoint auquel elle s’est unie avec un plein consentement. C’est mon conseil pour une vie plus parfaite dans l’état de mariage, jusqu’à ce qu’il soit possible, avec la diffusion du christianisme, d’avoir des mariages entre fidèles. Alors que le lien soit sacré et indissoluble, et l’amour saint.

Ce serait mal si à cause de la dureté des cœurs il devait arriver dans la nouvelle foi ce qui est arrivé dans l’ancienne : l’autorisation de la répudiation et de la dissolution pour éviter les scandales créés par la luxure de l’homme. Je vous dis en vérité que chacun doit porter sa croix en tout état, même dans l’état de mariage. Et je vous dis aussi en vérité qu’aucune pression ne doit faire fléchir votre autorité quand vous dites : "Cela n’est pas permis" à celui qui veut passer à de nouvelles noces avant que l’un des conjoints ne soit mort. Il vaut mieux, c’est Moi qui vous le dis, qu’une partie en décomposition se détache, seule ou suivie par d’autres, plutôt que, pour la retenir dans le Corps de l’Église, on accorde des choses contraires à la sainteté du mariage, en scandalisant les humbles et en leur faisant faire des réflexions défavorables à l’intégrité sacerdotal et sur la valeur de la richesse ou de la puissance. Les noces sont un acte grave et saint. Et pour vous le montrer j’ai pris part aux noces et j’y ai accompli mon premier miracle. Mais malheur si elles dégénèrent en luxure et en caprice. Le mariage, contrat naturel entre l’homme et la femme, qu’il s’élève dorénavant à un contrat spirituel par lequel les âmes de deux personnes qui s’aiment jurent de servir le Seigneur dans leur amour réciproque, offert à Lui pour obéir à son commandement de procréer pour donner des fils au Seigneur."

(...)

http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2010/10-021.htm

En ce qui me concerne, on peut vivre avec quelqu'un sans être marié, mais je pense à un des commandements de Dieu qui est tu ne seras pas impur avant le mariage.

Bonjour à tous c'est une grâce pour l'église atholique d'avoir des couple non-marié ou des couple de divorcé et veuve.
Là tous notre capacité de suivre Joseph et Marie est là pour nous montrer cette amour.
Je suis dans le cas je vis avec une femme veuve et je suis divorcé je vous donne la marche à suivre.
1 Allez voire un prêtre et lui demander la marche à suivre.
lorsque vous entrez dans les deux cas de divorce que la bible prévoit il faut faire une demande de nulité de mariage pour que ce coupe ce marie,
alors là il y a remariage. mais l'amour d'un homme pour femme n'a rien à voire avec le sexe on peux vivre avec une femme (ou un compagnon) cela s'appelle vivre d'un amour fraternel, il y a du respect de la fidélité mais il n'y a pas de sexe car si nous aimons notre moitié nous voulons qu'elle participe à l'Eucharitie alors on ne la touche pas on vi avec la prière qui nous aide à l'absnitence sexuelle dans nos prière nous demandons à Dieu la mortification du sexe et de nos sens, car participper à l'Eucharistie à une place primordiale dans notre vie, nous devons respecter ce que dit l'église: pas de sexe.
nous avons un livre qui vous parle de l'amour Fraternel de Marie et de Joseph Marie à été préservé du sexe Joseph faisait chambre à part avec Marie car il l'aimait et l'église catholique nous dit dans ces prière Sainte Marie toujours vierge.
En attendant que le couple se marie il n'y a pas de sexe cela s'appelle vivre de l'amour fraternelle il n'y a pas que le sexe dans la vie pour nous il y a la prière et l'église et le sexe ne nous manque pas car n ous avons confié ce couple à Dieu.
Tous les couples doit se marié pour avoir par aux sexe, mais ,la nulité de mariage prend du temps et il faut vivre dans la sainteté et non dans le péché.
Alors je demande à tous les couple non-marie les couple de concubinage mariez-vous sinon repentez-vous confesser vos péchés et vivez sans sexe
l'amour n'est pas synonimes de sexe chercher dabord à flaire à Dieu et vivez dans un amour de frère et soeur un AMOUR FRATERNEL

Gaëlle a écrit:Michael7 : oui... et alors ?

Qu'avez-vous à ajouter ? Je suis toute ouïe.

C'est l'heure d'aller dormir pour les Européens n'est-ce pas, demain est autre jour et j'espère que la paix (= l'éloignement du Malin) s'installera sur le forum.

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Lilia non laborant neque nent.

vivez d'un amour fraternel ceux qui ne sont pas marié arréter le sexe car cela est réservé aux couples mariés
moi je vie d'un amour fraternel je respect mon partenaire il n'y a pas de sexe dans notre couple il n'y a pas de baisé avec la langue. cela nous permet de vivre un amour fort respectieux sans sexe et la prière prend une grande place dans notre couple