Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
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Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
Celui qui reste fidèle au Saint Père François, est dans la Barque de Pierre protégé. C'est le Saint Évangile.
Par contre Satan fait tout pour que l'on désobéisse à Pierre en agitant nos fantômes intérieurs, notamment par la peur qui vient toujours de Satan.
C'est très simple, celui qui n'est pas avec Pierre, laisse aussi le Christ, quelles que soient les raisons qui lui semblent bonnes à cause de l'ego, du moi, qui croit tout maîtriser.
Justement, dans les temps qui sont les nôtres Dieu éprouve notre foi et malheureusement beaucoup tombent dans les filets de l'ennemi et croient être dans la Vérité, en pensant maîtriser le déroulement de leur vie et des évènements par leur propre force ou façon de penser.
Dieu seul est Maître du temps et de l'histoire. Tous nos repères et appuis humains tomberont afin que nous ne mettions notre confiance qu'en Dieu SEUL et en personne d'autre.
Le seul critère pour savoir en ce moment si on est dans la Vérité qu'est le Christ est l'union à Lui par la paix de l'âme.
Si nous sommes dans le trouble, la colère, la violence, bref dans l'absence de paix, c'est que nous ne laissons pas régner Dieu en nous, et voulons faire notre propre volonté au lieu de celle de Dieu...attention il en va de notre salut éternel par notre Oui à Dieu.
Si nous aimons le Saint Père, principe visible de l'Unité du Corps mystique, cela veut dire que nous aimons aussi le Chef invisible de la Saint Église, le Christ notre Dieu.
Dieu, en effet est simple. Les choses sont très simples pour celui qui est rendu simple par l'Esprit de Dieu et chaque fois très compliquée pour celui qui s'éloigne de Dieu.
Attention, la Grande Tribulation est proche, celui qui est fidèle à Pierre traversera la tempête, et qui n'est pas fidèle à Pierre, risque de se diriger vers l'abîme s'il persévère dans ses vues.
C'est très simple, la sûre boussole est le Saint Père...mais Satan fait tout pour le discréditer et surtout fait tout pour que l'on désobéisse à Dieu en lui désobéissant, ou au minimum se défier de lui, ce qui laisse une porte ouverte à l'ennemi pour s'infiltrer en nous, ainsi le mal est fait, le ver est entré dans le fruit pour le grignoter petit à petit. Le seul remède est de demander pardon dans le Sacrement de pénitence, prier le Rosaire et recevoir Jésus Eucharistie, qui saura nous guérir et nous restaurer avant que s'achève le temps de la Miséricorde Divine.
Qui sommes nous face à Dieu et au Saint Père ? Rien !
C'est Dieu qui a institué la Chaire de Pierre et personne n'est au-dessus, à moins d'être aveuglé par l'orgueil. Telle est la réalité.
Ainsi, il convient de toujours avoir bien à l'esprit Mt 16,18.
En Jésus et Marie, les deux Cœurs Unis triomphants et régnants.
Par contre Satan fait tout pour que l'on désobéisse à Pierre en agitant nos fantômes intérieurs, notamment par la peur qui vient toujours de Satan.
C'est très simple, celui qui n'est pas avec Pierre, laisse aussi le Christ, quelles que soient les raisons qui lui semblent bonnes à cause de l'ego, du moi, qui croit tout maîtriser.
Justement, dans les temps qui sont les nôtres Dieu éprouve notre foi et malheureusement beaucoup tombent dans les filets de l'ennemi et croient être dans la Vérité, en pensant maîtriser le déroulement de leur vie et des évènements par leur propre force ou façon de penser.
Dieu seul est Maître du temps et de l'histoire. Tous nos repères et appuis humains tomberont afin que nous ne mettions notre confiance qu'en Dieu SEUL et en personne d'autre.
Le seul critère pour savoir en ce moment si on est dans la Vérité qu'est le Christ est l'union à Lui par la paix de l'âme.
Si nous sommes dans le trouble, la colère, la violence, bref dans l'absence de paix, c'est que nous ne laissons pas régner Dieu en nous, et voulons faire notre propre volonté au lieu de celle de Dieu...attention il en va de notre salut éternel par notre Oui à Dieu.
Si nous aimons le Saint Père, principe visible de l'Unité du Corps mystique, cela veut dire que nous aimons aussi le Chef invisible de la Saint Église, le Christ notre Dieu.
Dieu, en effet est simple. Les choses sont très simples pour celui qui est rendu simple par l'Esprit de Dieu et chaque fois très compliquée pour celui qui s'éloigne de Dieu.
Attention, la Grande Tribulation est proche, celui qui est fidèle à Pierre traversera la tempête, et qui n'est pas fidèle à Pierre, risque de se diriger vers l'abîme s'il persévère dans ses vues.
C'est très simple, la sûre boussole est le Saint Père...mais Satan fait tout pour le discréditer et surtout fait tout pour que l'on désobéisse à Dieu en lui désobéissant, ou au minimum se défier de lui, ce qui laisse une porte ouverte à l'ennemi pour s'infiltrer en nous, ainsi le mal est fait, le ver est entré dans le fruit pour le grignoter petit à petit. Le seul remède est de demander pardon dans le Sacrement de pénitence, prier le Rosaire et recevoir Jésus Eucharistie, qui saura nous guérir et nous restaurer avant que s'achève le temps de la Miséricorde Divine.
Qui sommes nous face à Dieu et au Saint Père ? Rien !
C'est Dieu qui a institué la Chaire de Pierre et personne n'est au-dessus, à moins d'être aveuglé par l'orgueil. Telle est la réalité.
Ainsi, il convient de toujours avoir bien à l'esprit Mt 16,18.
En Jésus et Marie, les deux Cœurs Unis triomphants et régnants.
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
Re: Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
Ce n'est pas catholique. Dans les Actes, Paul reprend sévèrement Pierre. Pierre est un homme, imparfait. Il est sans rapport avec le Messie, enfin !Joannes Maria a écrit:C'est très simple, celui qui n'est pas avec Pierre, laisse aussi le Christ.
Vous sortez cela d'où ?Joannes Maria a écrit:Dieu, en effet est simple.
Je ne comprends pas. Le pape est infaillible ex cathedra uniquement. Il n'est pas parfait et n'a aucun preter naturel. Il a un confesseur, c'est un pécheur.Joannes Maria a écrit:Attention, la Grande Tribulation est proche, celui qui est fidèle à Pierre traversera la tempête, et qui n'est pas fidèle à Pierre, risque de se diriger vers l'abîme s'il persévère dans ses vues.
Vous comparez Dieu avec un être humain ? Ce n'est pas catholique. Ce pape est-il béatifié ? Canonisé ? Ce n'est pas catholique...Joannes Maria a écrit:Qui sommes nous face à Dieu et au Saint Père ? Rien !
Véritablement, il faut dans ces temps de duperies et de faux prophètes, plus que jamais, tenir ferme son catéchisme, faire la confession fréquente, respecter les commandements de la Sainte Eglise catholique romaine, et signaler ces messages étranges sortis sans aucune source vérifiable.
Concilio & prudencia.
Marmhonie- Avec Saint Benoit
- Messages : 121
Inscription : 28/11/2016
Re: Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
Voici la Vérité qu'est le Christ par le Saint Évangile en Mt 16,18, qui établit un lien nécessaire et définitif entre le Successeur de Pierre et le Christ notre Dieu :
"et ego dico tibi quia tu es Petrus et super hanc petram aedificabo ecclesiam meam et portae inferi non praevalebunt adversum ea".
Traduction française pour la liturgie (AELF) :
"Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle".
Si nous ne sommes pas d'accord avec cela, nous ne sommes pas ou plus catholique, car la Sainte Parole de Dieu est dogmatique.
"et ego dico tibi quia tu es Petrus et super hanc petram aedificabo ecclesiam meam et portae inferi non praevalebunt adversum ea".
Traduction française pour la liturgie (AELF) :
"Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle".
Si nous ne sommes pas d'accord avec cela, nous ne sommes pas ou plus catholique, car la Sainte Parole de Dieu est dogmatique.
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
Re: Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
Justement tenez ferme le Catéchisme de l’Église Catholique :
http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P24.HTM
I. La constitution hiérarchique de l’Église
Pourquoi le ministère ecclésial ?
874 Le Christ est lui-même la source du ministère dans l’Église. Il l’a instituée, lui a donné autorité et mission, orientation et finalité :
Le Christ Seigneur, pour assurer au Peuple de Dieu des pasteurs et les moyens de sa croissance, a institué dans son Église des ministères variés qui tendent au bien de tout le corps. En effet, les ministres qui disposent du pouvoir sacré, sont au service de leurs frères, pour que tous ceux qui appartiennent au Peuple de Dieu (...) parviennent au salut (LG 18).
875 " Comment croire sans d’abord entendre ? Et comment entendre sans prédicateur ? Et comment prêcher sans être d’abord envoyé ? " (Rm 10, 14-15). Personne, aucun individu ni aucune communauté, ne peut s’annoncer à lui-même l’Évangile. " La foi vient de l’écoute " (Rm 10, 17). Personne ne peut se donner lui-même le mandat et la mission d’annoncer l’Évangile. L’envoyé du Seigneur parle et agit non pas par autorité propre, mais en vertu de l’autorité du Christ ; non pas comme membre de la communauté, mais parlant à elle au nom du Christ. Personne ne peut se conférer à lui-même la grâce, elle doit être donnée et offerte. Cela suppose des ministres de la grâce, autorisés et habilités de la part du Christ. De Lui, les évêques et les prêtres reçoivent la mission et la faculté (le " pouvoir sacré ") d’agir in persona Christi Capitis, les Diacres, la force de servir le peuple de Dieu dans la " diaconie " de la liturgie, de la parole et de la charité, en communion avec l’évêque et son presbytérium. Ce ministère, dans lequel les envoyés du Christ font et donnent par don de Dieu ce qu’ils ne peuvent faire et donner d’eux-mêmes, la tradition de l’Église l’appelle " sacrement ". Le ministère de l’Église est conféré par un sacrement propre.
876 Intrinsèquement lié à la nature sacramentelle du ministère ecclésial est son caractère de service. En effet, entièrement dépendant du Christ qui donne mission et autorité, les ministres sont vraiment " esclaves du Christ " (Rm 1, 1), à l’image du Christ qui a pris librement pour nous " la forme d’esclave " (Ph 2, 7). Parce que la parole et la grâce dont ils sont les ministres ne sont pas les leurs, mais celles du Christ qui les leurs a confiées pour les autres, ils se feront librement esclaves de tous (cf. 1 Co 9, 19).
877 De même, il est de la nature sacramentelle du ministère ecclésial qu’il ait un caractère collégial. En effet, dès le début de son ministère, le Seigneur Jésus institua les Douze, " les germes du Nouvel Israël et en même temps l’origine de la hiérarchie sacrée " (AG 5). Choisis ensemble, ils sont aussi envoyés ensemble, et leur unité fraternelle sera au service de la communion fraternelle de tous les fidèles ; elle sera comme un reflet et un témoignage de la communion des personnes divines (cf. Jn 17, 21-23). Pour cela, tout évêque exerce son ministère au sein du collège épiscopal, en communion avec l’évêque de Rome, successeur de S. Pierre et chef du collège ; les prêtres exercent leur ministère au sein du presbyterium du diocèse, sous la direction de leur évêque.
878 Enfin il est de la nature sacramentelle du ministère ecclésial qu’il ait un caractère personnel. Si les ministres du Christ agissent en communion, ils agissent toujours aussi de façon personnelle. Chacun est appelé personnellement : " Toi, suis-moi " (Jn 21, 22 ; cf. Mt 4, 19. 21 ; Jn 1, 43) pour être, dans la mission commune, témoin personnel, portant personnellement responsabilité devant Celui qui donne la mission, agissant " en Sa personne " et pour des personnes : " Je te baptise au nom du Père... " ; " Je te pardonne... ".
879 Le ministère sacramentel dans l’Église est donc un service exercé au nom du Christ. Il a un caractère personnel et une forme collégiale. Cela se vérifie dans les liens entre le collège épiscopal et son chef, le successeur de S. Pierre, et dans le rapport entre la responsabilité pastorale de l’évêque pour son Église particulière et la sollicitude commune du collège épiscopal pour l’Église Universelle.
Le collège épiscopal et son chef, le Pape
880 Le Christ, en instituant les Douze, " leur donna la forme d’un collège, c’est-à-dire d’un groupe stable, et mit à leur tête Pierre, choisi parmi eux " (LG 19). " De même que S. Pierre et les autres apôtres constituent, de par l’institution du Seigneur, un seul collège apostolique, semblablement le Pontife romain, successeur de Pierre et les évêques, successeurs des apôtres, forment entre eux un tout " (LG 22 ; cf. ⇒ CIC, can. 330).
881 Le Seigneur a fait du seul Simon, auquel Il donna le nom de Pierre, la pierre de son Église. Il lui en a remis les clefs (cf. Mt 16, 18-19) ; Il l’a institué pasteur de tout le troupeau (cf. Jn 21, 15-17). " Mais cette charge de lier et de délier qui a été donnée à Pierre a été aussi donnée, sans aucun doute, au collège des apôtres unis à leur chef " (LG 22). Cette charge pastorale de Pierre et des autres apôtres appartient aux fondements de l’Église. Elle est continuée par les évêques sous la primauté du Pape.
882 Le Pape, évêque de Rome et successeur de S. Pierre, " est principe perpétuel et visible et fondement de l’unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles " (LG 23). " En effet, le Pontife romain a sur l’Église, en vertu de sa charge de Vicaire du Christ et de Pasteur de toute l’Église, un pouvoir plénier, suprême et universel qu’il peut toujours librement exercer " (LG 22 ; cf. CD 2 ; 9).
883 " Le collège ou corps épiscopal n’a d’autorité que si on l’entend comme uni au Pontife romain, comme à son chef ". Comme tel, ce collège est " lui aussi le sujet d’un pouvoir suprême et plénier sur toute l’Église, pouvoir cependant qui ne peut s’exercer qu’avec le consentement du Pontife romain " (LG 22 ; cf. ⇒ CIC, can. 336).
884 " Le Collège des Évêques exerce le pouvoir sur l’Église tout entière de manière solennelle dans le Concile Œcuménique " (⇒ CIC, can. 337, §1). " Il n’y a pas de Concile Œcuménique s’il n’est comme tel confirmé ou tout au moins accepté par le successeur de Pierre " (LG 22).
885 " Par sa composition multiple, ce collège exprime la variété et l’universalité du Peuple de Dieu ; il exprime, par son rassemblement sous un seul chef, l’unité du troupeau du Christ " (LG 22).
886 " Les évêques sont, chacun pour sa part, principe et fondement de l’unité dans leurs Églises particulières " (LG 23). Comme tels ils " exercent leur autorité pastorale sur la portion du Peuple de Dieu qui leur a été confiée " (LG 23), assistés des prêtres et des diacres. Mais, comme membres du collège épiscopal chacun d’entre eux a part à la sollicitude pour toutes les Églises (cf. CD 3), qu’ils exercent d’abord " en gouvernant bien leur propre Église comme une portion de l’Église universelle ", contribuant ainsi " au bien de tout le Corps mystique qui est aussi le Corps des Églises " (LG 23). Cette sollicitude s’étendra particulièrement aux pauvres (cf. Ga 2, 10), aux persécutés pour la foi, ainsi qu’aux missionnaires qui œuvrent sur toute la terre.
887 Les Églises particulières voisines et de culture homogène forment des provinces ecclésiastiques ou des ensembles plus vastes appelés patriarcats ou régions (cf. Canon des Apôtres 34). Les évêques de ces ensembles peuvent se réunir en synodes ou en conciles provinciaux. " De même, les Conférences épiscopales peuvent, aujourd’hui, contribuer de façon multiple et féconde à ce que l’esprit collégial se réalise concrètement " (LG 23).
La charge d’enseigner
888 Les évêques, avec les prêtres, leurs coopérateurs, " ont pour première tâche d’annoncer l’Évangile de Dieu à tous les hommes " (PO 4), selon l’ordre du Seigneur (cf. Mc 16, 15). Ils sont " les hérauts de la foi, qui amènent au Christ de nouveaux disciples, les docteurs authentiques " de la foi apostolique, " pourvus de l’autorité du Christ " (LG 25).
889 Pour maintenir l’Église dans la pureté de la foi transmise par les apôtres, le Christ a voulu conférer à son Église une participation à sa propre infaillibilité, Lui qui est la Vérité. Par le " sens surnaturel de la foi ", le Peuple de Dieu " s’attache indéfectiblement à la foi ", sous la conduite du Magistère vivant de l’Église (cf. LG 12 ; DV 10).
890 La mission du Magistère est liée au caractère définitif de l’alliance instaurée par Dieu dans le Christ avec son Peuple ; il doit le protéger des déviations et des défaillances, et lui garantir la possibilité objective de professer sans erreur la foi authentique. La charge pastorale du Magistère est ainsi ordonnée à veiller à ce que le Peuple de Dieu demeure dans la vérité qui libère. Pour accomplir ce service, le Christ a doté les pasteurs du charisme d’infaillibilité en matière de foi et de mœurs. L’exercice de ce charisme peut revêtir plusieurs modalités :
891 " De cette infaillibilité, le Pontife romain, chef du collège des évêques, jouit du fait même de sa charge quand, en tant que pasteur et docteur suprême de tous les fidèles, et chargé de confirmer ses frères dans la foi, il proclame, par un acte définitif, un point de doctrine touchant la foi et les mœurs (...). L’infaillibilité promise à l’Église réside aussi dans le corps des évêques quand il exerce son Magistère suprême en union avec le successeur de Pierre ", surtout dans un Concile Œcuménique (LG 25 ; cf. Vatican I : DS 3074). Lorsque par son Magistère suprême, l’Église propose quelque chose " à croire comme étant révélé par Dieu " (DV 10) et comme enseignement du Christ, " il faut adhérer dans l’obéissance de la foi à de telles définitions " (LG 25). Cette infaillibilité s’étend aussi loin que le dépôt lui-même de la Révélation divine (cf. LG 25).
892 L’assistance divine est encore donnée aux successeurs des apôtres, enseignant en communion avec le successeur de Pierre, et, d’une manière particulière, à l’évêque de Rome, Pasteur de toute l’Église, lorsque, sans arriver à une définition infaillible et sans se prononcer d’une " manière définitive ", ils proposent dans l’exercice du Magistère ordinaire un enseignement qui conduit à une meilleure intelligence de la Révélation en matière de foi et de mœurs. A cet enseignement ordinaire les fidèles doivent " donner l’assentiment religieux de leur esprit " (LG 25) qui, s’il se distingue de l’assentiment de la foi, le prolonge cependant.
La charge de sanctifier
893 L’évêque porte aussi " la responsabilité de dispenser la grâce du suprême sacerdoce " (LG 26), en particulier dans l’Eucharistie qu’il offre lui-même ou dont il assure l’oblation par les prêtres, ses coopérateurs. Car l’Eucharistie est le centre de la vie de l’Église particulière. L’évêque et les prêtres sanctifient l’Église par leur prière et leur travail, par le ministère de la parole et des sacrements. Ils la sanctifient par leur exemple, " non pas en faisant les seigneurs à l’égard de ceux qui vous sont échus en partage, mais en devenant les modèles du troupeau " (1 P 5, 3). C’est ainsi " qu’ils parviennent, avec le troupeau qui leur est confié, à la vie éternelle " (LG 26).
La charge de régir
894 " Les évêques dirigent leurs Églises particulières comme vicaires et légats du Christ par leurs conseils, leurs encouragements, leurs exemples, mais aussi par leur autorité et par l’exercice de leur pouvoir sacré " (LG 27), qu’ils doivent cependant exercer pour édifier, dans l’esprit de service qui est celui de leur Maître (cf. Lc 22, 26-27).
895 " Ce pouvoir qu’ils exercent personnellement au nom du Christ est un pouvoir propre, ordinaire et immédiat : il est soumis cependant dans son exercice à la régulation dernière de l’autorité suprême de l’Église " (LG 27). Mais on ne doit pas considérer les évêques comme des vicaires du Pape dont l’autorité ordinaire et immédiate sur toute l’Église n’annule pas, mais au contraire confirme et défend la leur. Celle-ci doit s’exercer en communion avec toute l’Église sous la conduite du Pape.
896 Le Bon Pasteur sera le modèle et la " forme " de la charge pastorale de l’évêque. Conscient de ses faiblesses, " l’évêque peut se montrer indulgent envers les ignorants et les égarés. Qu’il ne répugne pas à écouter ceux qui dépendent de lui, les entourant comme de vrais fils (...). Quant aux fidèles, ils doivent s’attacher à leur évêque comme l’Église à Jésus-Christ et comme Jésus-Christ à son Père " (LG 27) :
Suivez tous l’évêque, comme Jésus-Christ [suit] son Père, et le presbytérium comme les apôtres ; quant aux diacres, respectez-les comme la loi de Dieu. Que personne ne fasse en dehors de l’évêque rien de ce qui regarde l’Église (S. Ignace d’Antioche, Smyrn. 8, 1).
http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P24.HTM
I. La constitution hiérarchique de l’Église
Pourquoi le ministère ecclésial ?
874 Le Christ est lui-même la source du ministère dans l’Église. Il l’a instituée, lui a donné autorité et mission, orientation et finalité :
Le Christ Seigneur, pour assurer au Peuple de Dieu des pasteurs et les moyens de sa croissance, a institué dans son Église des ministères variés qui tendent au bien de tout le corps. En effet, les ministres qui disposent du pouvoir sacré, sont au service de leurs frères, pour que tous ceux qui appartiennent au Peuple de Dieu (...) parviennent au salut (LG 18).
875 " Comment croire sans d’abord entendre ? Et comment entendre sans prédicateur ? Et comment prêcher sans être d’abord envoyé ? " (Rm 10, 14-15). Personne, aucun individu ni aucune communauté, ne peut s’annoncer à lui-même l’Évangile. " La foi vient de l’écoute " (Rm 10, 17). Personne ne peut se donner lui-même le mandat et la mission d’annoncer l’Évangile. L’envoyé du Seigneur parle et agit non pas par autorité propre, mais en vertu de l’autorité du Christ ; non pas comme membre de la communauté, mais parlant à elle au nom du Christ. Personne ne peut se conférer à lui-même la grâce, elle doit être donnée et offerte. Cela suppose des ministres de la grâce, autorisés et habilités de la part du Christ. De Lui, les évêques et les prêtres reçoivent la mission et la faculté (le " pouvoir sacré ") d’agir in persona Christi Capitis, les Diacres, la force de servir le peuple de Dieu dans la " diaconie " de la liturgie, de la parole et de la charité, en communion avec l’évêque et son presbytérium. Ce ministère, dans lequel les envoyés du Christ font et donnent par don de Dieu ce qu’ils ne peuvent faire et donner d’eux-mêmes, la tradition de l’Église l’appelle " sacrement ". Le ministère de l’Église est conféré par un sacrement propre.
876 Intrinsèquement lié à la nature sacramentelle du ministère ecclésial est son caractère de service. En effet, entièrement dépendant du Christ qui donne mission et autorité, les ministres sont vraiment " esclaves du Christ " (Rm 1, 1), à l’image du Christ qui a pris librement pour nous " la forme d’esclave " (Ph 2, 7). Parce que la parole et la grâce dont ils sont les ministres ne sont pas les leurs, mais celles du Christ qui les leurs a confiées pour les autres, ils se feront librement esclaves de tous (cf. 1 Co 9, 19).
877 De même, il est de la nature sacramentelle du ministère ecclésial qu’il ait un caractère collégial. En effet, dès le début de son ministère, le Seigneur Jésus institua les Douze, " les germes du Nouvel Israël et en même temps l’origine de la hiérarchie sacrée " (AG 5). Choisis ensemble, ils sont aussi envoyés ensemble, et leur unité fraternelle sera au service de la communion fraternelle de tous les fidèles ; elle sera comme un reflet et un témoignage de la communion des personnes divines (cf. Jn 17, 21-23). Pour cela, tout évêque exerce son ministère au sein du collège épiscopal, en communion avec l’évêque de Rome, successeur de S. Pierre et chef du collège ; les prêtres exercent leur ministère au sein du presbyterium du diocèse, sous la direction de leur évêque.
878 Enfin il est de la nature sacramentelle du ministère ecclésial qu’il ait un caractère personnel. Si les ministres du Christ agissent en communion, ils agissent toujours aussi de façon personnelle. Chacun est appelé personnellement : " Toi, suis-moi " (Jn 21, 22 ; cf. Mt 4, 19. 21 ; Jn 1, 43) pour être, dans la mission commune, témoin personnel, portant personnellement responsabilité devant Celui qui donne la mission, agissant " en Sa personne " et pour des personnes : " Je te baptise au nom du Père... " ; " Je te pardonne... ".
879 Le ministère sacramentel dans l’Église est donc un service exercé au nom du Christ. Il a un caractère personnel et une forme collégiale. Cela se vérifie dans les liens entre le collège épiscopal et son chef, le successeur de S. Pierre, et dans le rapport entre la responsabilité pastorale de l’évêque pour son Église particulière et la sollicitude commune du collège épiscopal pour l’Église Universelle.
Le collège épiscopal et son chef, le Pape
880 Le Christ, en instituant les Douze, " leur donna la forme d’un collège, c’est-à-dire d’un groupe stable, et mit à leur tête Pierre, choisi parmi eux " (LG 19). " De même que S. Pierre et les autres apôtres constituent, de par l’institution du Seigneur, un seul collège apostolique, semblablement le Pontife romain, successeur de Pierre et les évêques, successeurs des apôtres, forment entre eux un tout " (LG 22 ; cf. ⇒ CIC, can. 330).
881 Le Seigneur a fait du seul Simon, auquel Il donna le nom de Pierre, la pierre de son Église. Il lui en a remis les clefs (cf. Mt 16, 18-19) ; Il l’a institué pasteur de tout le troupeau (cf. Jn 21, 15-17). " Mais cette charge de lier et de délier qui a été donnée à Pierre a été aussi donnée, sans aucun doute, au collège des apôtres unis à leur chef " (LG 22). Cette charge pastorale de Pierre et des autres apôtres appartient aux fondements de l’Église. Elle est continuée par les évêques sous la primauté du Pape.
882 Le Pape, évêque de Rome et successeur de S. Pierre, " est principe perpétuel et visible et fondement de l’unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles " (LG 23). " En effet, le Pontife romain a sur l’Église, en vertu de sa charge de Vicaire du Christ et de Pasteur de toute l’Église, un pouvoir plénier, suprême et universel qu’il peut toujours librement exercer " (LG 22 ; cf. CD 2 ; 9).
883 " Le collège ou corps épiscopal n’a d’autorité que si on l’entend comme uni au Pontife romain, comme à son chef ". Comme tel, ce collège est " lui aussi le sujet d’un pouvoir suprême et plénier sur toute l’Église, pouvoir cependant qui ne peut s’exercer qu’avec le consentement du Pontife romain " (LG 22 ; cf. ⇒ CIC, can. 336).
884 " Le Collège des Évêques exerce le pouvoir sur l’Église tout entière de manière solennelle dans le Concile Œcuménique " (⇒ CIC, can. 337, §1). " Il n’y a pas de Concile Œcuménique s’il n’est comme tel confirmé ou tout au moins accepté par le successeur de Pierre " (LG 22).
885 " Par sa composition multiple, ce collège exprime la variété et l’universalité du Peuple de Dieu ; il exprime, par son rassemblement sous un seul chef, l’unité du troupeau du Christ " (LG 22).
886 " Les évêques sont, chacun pour sa part, principe et fondement de l’unité dans leurs Églises particulières " (LG 23). Comme tels ils " exercent leur autorité pastorale sur la portion du Peuple de Dieu qui leur a été confiée " (LG 23), assistés des prêtres et des diacres. Mais, comme membres du collège épiscopal chacun d’entre eux a part à la sollicitude pour toutes les Églises (cf. CD 3), qu’ils exercent d’abord " en gouvernant bien leur propre Église comme une portion de l’Église universelle ", contribuant ainsi " au bien de tout le Corps mystique qui est aussi le Corps des Églises " (LG 23). Cette sollicitude s’étendra particulièrement aux pauvres (cf. Ga 2, 10), aux persécutés pour la foi, ainsi qu’aux missionnaires qui œuvrent sur toute la terre.
887 Les Églises particulières voisines et de culture homogène forment des provinces ecclésiastiques ou des ensembles plus vastes appelés patriarcats ou régions (cf. Canon des Apôtres 34). Les évêques de ces ensembles peuvent se réunir en synodes ou en conciles provinciaux. " De même, les Conférences épiscopales peuvent, aujourd’hui, contribuer de façon multiple et féconde à ce que l’esprit collégial se réalise concrètement " (LG 23).
La charge d’enseigner
888 Les évêques, avec les prêtres, leurs coopérateurs, " ont pour première tâche d’annoncer l’Évangile de Dieu à tous les hommes " (PO 4), selon l’ordre du Seigneur (cf. Mc 16, 15). Ils sont " les hérauts de la foi, qui amènent au Christ de nouveaux disciples, les docteurs authentiques " de la foi apostolique, " pourvus de l’autorité du Christ " (LG 25).
889 Pour maintenir l’Église dans la pureté de la foi transmise par les apôtres, le Christ a voulu conférer à son Église une participation à sa propre infaillibilité, Lui qui est la Vérité. Par le " sens surnaturel de la foi ", le Peuple de Dieu " s’attache indéfectiblement à la foi ", sous la conduite du Magistère vivant de l’Église (cf. LG 12 ; DV 10).
890 La mission du Magistère est liée au caractère définitif de l’alliance instaurée par Dieu dans le Christ avec son Peuple ; il doit le protéger des déviations et des défaillances, et lui garantir la possibilité objective de professer sans erreur la foi authentique. La charge pastorale du Magistère est ainsi ordonnée à veiller à ce que le Peuple de Dieu demeure dans la vérité qui libère. Pour accomplir ce service, le Christ a doté les pasteurs du charisme d’infaillibilité en matière de foi et de mœurs. L’exercice de ce charisme peut revêtir plusieurs modalités :
891 " De cette infaillibilité, le Pontife romain, chef du collège des évêques, jouit du fait même de sa charge quand, en tant que pasteur et docteur suprême de tous les fidèles, et chargé de confirmer ses frères dans la foi, il proclame, par un acte définitif, un point de doctrine touchant la foi et les mœurs (...). L’infaillibilité promise à l’Église réside aussi dans le corps des évêques quand il exerce son Magistère suprême en union avec le successeur de Pierre ", surtout dans un Concile Œcuménique (LG 25 ; cf. Vatican I : DS 3074). Lorsque par son Magistère suprême, l’Église propose quelque chose " à croire comme étant révélé par Dieu " (DV 10) et comme enseignement du Christ, " il faut adhérer dans l’obéissance de la foi à de telles définitions " (LG 25). Cette infaillibilité s’étend aussi loin que le dépôt lui-même de la Révélation divine (cf. LG 25).
892 L’assistance divine est encore donnée aux successeurs des apôtres, enseignant en communion avec le successeur de Pierre, et, d’une manière particulière, à l’évêque de Rome, Pasteur de toute l’Église, lorsque, sans arriver à une définition infaillible et sans se prononcer d’une " manière définitive ", ils proposent dans l’exercice du Magistère ordinaire un enseignement qui conduit à une meilleure intelligence de la Révélation en matière de foi et de mœurs. A cet enseignement ordinaire les fidèles doivent " donner l’assentiment religieux de leur esprit " (LG 25) qui, s’il se distingue de l’assentiment de la foi, le prolonge cependant.
La charge de sanctifier
893 L’évêque porte aussi " la responsabilité de dispenser la grâce du suprême sacerdoce " (LG 26), en particulier dans l’Eucharistie qu’il offre lui-même ou dont il assure l’oblation par les prêtres, ses coopérateurs. Car l’Eucharistie est le centre de la vie de l’Église particulière. L’évêque et les prêtres sanctifient l’Église par leur prière et leur travail, par le ministère de la parole et des sacrements. Ils la sanctifient par leur exemple, " non pas en faisant les seigneurs à l’égard de ceux qui vous sont échus en partage, mais en devenant les modèles du troupeau " (1 P 5, 3). C’est ainsi " qu’ils parviennent, avec le troupeau qui leur est confié, à la vie éternelle " (LG 26).
La charge de régir
894 " Les évêques dirigent leurs Églises particulières comme vicaires et légats du Christ par leurs conseils, leurs encouragements, leurs exemples, mais aussi par leur autorité et par l’exercice de leur pouvoir sacré " (LG 27), qu’ils doivent cependant exercer pour édifier, dans l’esprit de service qui est celui de leur Maître (cf. Lc 22, 26-27).
895 " Ce pouvoir qu’ils exercent personnellement au nom du Christ est un pouvoir propre, ordinaire et immédiat : il est soumis cependant dans son exercice à la régulation dernière de l’autorité suprême de l’Église " (LG 27). Mais on ne doit pas considérer les évêques comme des vicaires du Pape dont l’autorité ordinaire et immédiate sur toute l’Église n’annule pas, mais au contraire confirme et défend la leur. Celle-ci doit s’exercer en communion avec toute l’Église sous la conduite du Pape.
896 Le Bon Pasteur sera le modèle et la " forme " de la charge pastorale de l’évêque. Conscient de ses faiblesses, " l’évêque peut se montrer indulgent envers les ignorants et les égarés. Qu’il ne répugne pas à écouter ceux qui dépendent de lui, les entourant comme de vrais fils (...). Quant aux fidèles, ils doivent s’attacher à leur évêque comme l’Église à Jésus-Christ et comme Jésus-Christ à son Père " (LG 27) :
Suivez tous l’évêque, comme Jésus-Christ [suit] son Père, et le presbytérium comme les apôtres ; quant aux diacres, respectez-les comme la loi de Dieu. Que personne ne fasse en dehors de l’évêque rien de ce qui regarde l’Église (S. Ignace d’Antioche, Smyrn. 8, 1).
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
Re: Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
C'est sans rapport avec un message posant des questions et vous n'y répondez pas...
Poursuivez comme bon vous semble, je préfère me protéger en lisant chaque jour un peu de la Somme Théologique de Saint Thomas d'Aquin.
Extrait du catechisme :
"l’Eglise catholique est la vraie, parce que Jésus-Christ, auteur divin de cette doctrine, l’a confiée par ses Apôtres à l’Eglise qu’il fondait et constituait maîtresse infaillible de tous les hommes, lui promettant son assistance divine jusqu’à la fin des siècles.
.../...
Les membres de l’Eglise se trouvent partie au ciel, et ils forment l’Eglise triomphante ; partie au purgatoire et ils forment l’Eglise souffrante ; partie sur la terre, et ils forment l’Eglise militante.
Ces diverses parties de l’Eglise constituent-elles une seule Eglise ?
Oui, ces diverses parties de l’Eglise constituent une seule Eglise et un seul corps, parce qu’elles ont le même chef qui est Jésus-Christ, le même esprit qui les anime et les unit, et la même fin qui est la félicité éternelle dont les uns jouissent déjà et que les autres attendent.
.../...
La véritable Eglise est Une, parce que ses fils, à quelque temps et à quelque lieu qu’ils appartiennent, sont unis entre eux dans la même foi, le même culte, la même loi et la participation aux mêmes sacrements, sous un même chef visible, le Pontife Romain.
.../...
Suffit-il pour être sauvé d’être un membre quelconque de l’Eglise catholique ?
Non, il ne suffit pas pour être sauvé d’être un membre quelconque de l’Eglise catholique, il faut en être un membre vivant.
Quels sont les membres vivants de l’Eglise ?
Les membres vivants de l’Eglise sont tous les justes et eux seuls, c’est-à-dire ceux qui sont actuellement en état de grâce.
Et quels en sont les membres morts ?
Les membres morts de l’Eglise sont les fidèles qui se trouvent en état de péché mortel.
Peut-on se sauver en dehors de l’Eglise Catholique, Apostolique, Romaine ?
Non, hors de l’Eglise Catholique, Apostolique, Romaine, nul ne peut se sauver, comme nul ne put se sauver du déluge hors de l’Arche de Noé qui était la figure de cette Eglise.
Comment donc se sont sauvés les anciens Patriarches, les Prophètes et tous les autres justes de l’Ancien Testament ?
Tous les justes de l’Ancien Testament se sont sauvés en vertu de la foi qu’ils avaient au Christ à venir et par cette foi ils appartenaient déjà spirituellement à l’Eglise."
Source : Catéchisme pour adultes de l'Eglise catholique.
Poursuivez comme bon vous semble, je préfère me protéger en lisant chaque jour un peu de la Somme Théologique de Saint Thomas d'Aquin.
Extrait du catechisme :
"l’Eglise catholique est la vraie, parce que Jésus-Christ, auteur divin de cette doctrine, l’a confiée par ses Apôtres à l’Eglise qu’il fondait et constituait maîtresse infaillible de tous les hommes, lui promettant son assistance divine jusqu’à la fin des siècles.
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Les membres de l’Eglise se trouvent partie au ciel, et ils forment l’Eglise triomphante ; partie au purgatoire et ils forment l’Eglise souffrante ; partie sur la terre, et ils forment l’Eglise militante.
Ces diverses parties de l’Eglise constituent-elles une seule Eglise ?
Oui, ces diverses parties de l’Eglise constituent une seule Eglise et un seul corps, parce qu’elles ont le même chef qui est Jésus-Christ, le même esprit qui les anime et les unit, et la même fin qui est la félicité éternelle dont les uns jouissent déjà et que les autres attendent.
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La véritable Eglise est Une, parce que ses fils, à quelque temps et à quelque lieu qu’ils appartiennent, sont unis entre eux dans la même foi, le même culte, la même loi et la participation aux mêmes sacrements, sous un même chef visible, le Pontife Romain.
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Suffit-il pour être sauvé d’être un membre quelconque de l’Eglise catholique ?
Non, il ne suffit pas pour être sauvé d’être un membre quelconque de l’Eglise catholique, il faut en être un membre vivant.
Quels sont les membres vivants de l’Eglise ?
Les membres vivants de l’Eglise sont tous les justes et eux seuls, c’est-à-dire ceux qui sont actuellement en état de grâce.
Et quels en sont les membres morts ?
Les membres morts de l’Eglise sont les fidèles qui se trouvent en état de péché mortel.
Peut-on se sauver en dehors de l’Eglise Catholique, Apostolique, Romaine ?
Non, hors de l’Eglise Catholique, Apostolique, Romaine, nul ne peut se sauver, comme nul ne put se sauver du déluge hors de l’Arche de Noé qui était la figure de cette Eglise.
Comment donc se sont sauvés les anciens Patriarches, les Prophètes et tous les autres justes de l’Ancien Testament ?
Tous les justes de l’Ancien Testament se sont sauvés en vertu de la foi qu’ils avaient au Christ à venir et par cette foi ils appartenaient déjà spirituellement à l’Eglise."
Source : Catéchisme pour adultes de l'Eglise catholique.
Marmhonie- Avec Saint Benoit
- Messages : 121
Inscription : 28/11/2016
Re: Celui qui restera fidèle au Saint Père, traversera la Grande Tribulation
Il confesse sa messianité pourtant..Marmhonie Ce n'est pas catholique. Dans les Actes, Paul reprend sévèrement Pierre. Pierre est un homme, imparfait. Il est sans rapport avec le Messie, enfin !
L'imperfection (Du Pape, et de tout hommes..)tel que vous l'entendez ne remet pas en cause sa charge de Chef Visible, il s'y substitue.
Yeshoua- Avec Saint Joseph
- Messages : 1295
Inscription : 14/03/2017
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