On a retrouvé le premier Poilu de Verdun grâce à son ADN!!!!
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On a retrouvé le premier Poilu de Verdun grâce à son ADN!!!!
On a retrouvé le premier Poilu de Verdun grâce à son ADN
Un siècle après avoir disparu dans la bataille de Verdun, le sergent Claude Fournier, premier soldat français de 14-18, a été identifié génétiquement.
Il sera inhumé, mercredi, dans la nécropole nationale de Douaumont (Meuse) en présence de son petit-fils.
« Il y a toute une série de petites circonstances miraculeuses » qui ont permis à « cette belle histoire », débutée par un coup de pelleteuse le 6 mai 2015, de connaître un dénouement « extraordinaire », sourit Bruno Frémont, médecin légiste à Verdun.
Un siècle après avoir disparu dans la bataille de Verdun, le sergent Claude Fournier, premier soldat français de 14-18, a été identifié génétiquement.
Il sera inhumé, mercredi, dans la nécropole nationale de Douaumont (Meuse) en présence de son petit-fils.
« Il y a toute une série de petites circonstances miraculeuses » qui ont permis à « cette belle histoire », débutée par un coup de pelleteuse le 6 mai 2015, de connaître un dénouement « extraordinaire », sourit Bruno Frémont, médecin légiste à Verdun.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Age : 70
Localisation : Vendée (Marie du 85)
Inscription : 12/01/2016
Re: On a retrouvé le premier Poilu de Verdun grâce à son ADN!!!!
Fdes Jean Soulagnes avait 24 ans .
Une lettre émouvante du passé retrouvée :
http://www.bvoltaire.fr/ont-donne-vie-france/
Alors que les gendarmes d’Aix-en-Provence et les policiers de la division centre de Marseille, suite à un cambriolage, mènent en janvier dernier une perquisition dans le Ve arrondissement de Marseille, ils tombent, parmi les objets dérobés, sur un courrier très particulier qui les intrigue puis, en le lisant, qui les émeut au point de vouloir retrouver, non l’auteur, mais les descendants de l’ami à qui était adressée cette missive.
Écrite par un soldat français de la Première Guerre mondiale, un de ces 1,4 million de poilus qui laissèrent leur vie dans cette tragédie du début du XXe siècle, elle résume parfaitement l’état d’esprit de ces combattants héroïques.
Dans ce billet, le sergent Jean Soulagnes, du 75e régiment d’infanterie, s’adressait à son « seul ami »Jean Audiffen depuis la Somme, juste avant de partir au front.
En voici les extraits majeurs :
« Je m’adresse à vous comme au meilleur, au seul de mes amis. Je pars dans deux heures pour une destination incertaine où doivent se passer de grandes choses. Et c’est à vous que je m’adresse pour éviter à une famille la douloureuse nouvelle […] Je connais votre cœur et je n’hésite pas à lui faire un appel suprême : vous ne refuserez pas le pénible service, en cas d’événement grave, d’avertir ma famille et ma fiancée qu’avant de mourir, après avoir donné ma vie au pays, mon âme ne pense qu’à eux et leur envoie mon adieu suprême.
Je sais ce qu’est la guerre, mais je sais que de nous dépend la fin.
De cette bataille viendra peut-être ma fin, mais aussi la victoire, et l’affreux cauchemar aura vécu.
Dites-leur que c’est pour eux que j’ai la force de vaincre et de tout cœur je les presse sur mon cœur.
Adieu mon vieux, bien fraternellement à vous. Jean. »
Une lettre émouvante du passé retrouvée :
http://www.bvoltaire.fr/ont-donne-vie-france/
Alors que les gendarmes d’Aix-en-Provence et les policiers de la division centre de Marseille, suite à un cambriolage, mènent en janvier dernier une perquisition dans le Ve arrondissement de Marseille, ils tombent, parmi les objets dérobés, sur un courrier très particulier qui les intrigue puis, en le lisant, qui les émeut au point de vouloir retrouver, non l’auteur, mais les descendants de l’ami à qui était adressée cette missive.
Écrite par un soldat français de la Première Guerre mondiale, un de ces 1,4 million de poilus qui laissèrent leur vie dans cette tragédie du début du XXe siècle, elle résume parfaitement l’état d’esprit de ces combattants héroïques.
Dans ce billet, le sergent Jean Soulagnes, du 75e régiment d’infanterie, s’adressait à son « seul ami »Jean Audiffen depuis la Somme, juste avant de partir au front.
En voici les extraits majeurs :
« Je m’adresse à vous comme au meilleur, au seul de mes amis. Je pars dans deux heures pour une destination incertaine où doivent se passer de grandes choses. Et c’est à vous que je m’adresse pour éviter à une famille la douloureuse nouvelle […] Je connais votre cœur et je n’hésite pas à lui faire un appel suprême : vous ne refuserez pas le pénible service, en cas d’événement grave, d’avertir ma famille et ma fiancée qu’avant de mourir, après avoir donné ma vie au pays, mon âme ne pense qu’à eux et leur envoie mon adieu suprême.
Je sais ce qu’est la guerre, mais je sais que de nous dépend la fin.
De cette bataille viendra peut-être ma fin, mais aussi la victoire, et l’affreux cauchemar aura vécu.
Dites-leur que c’est pour eux que j’ai la force de vaincre et de tout cœur je les presse sur mon cœur.
Adieu mon vieux, bien fraternellement à vous. Jean. »
Dernière édition par Zamie le Lun 19 Fév 2018 - 23:42, édité 2 fois (Raison : Rajout texte Et image)
Zamie- Enfant de Dieu
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