"Au Quotidien"!!!
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"Au Quotidien"!!!
Les projets humanitaires intégrés dans les parcours des grandes écoles
De plus en plus de formations supérieures proposent aux étudiants de partir en mission humanitaire ou de créer une association caritative pendant ses études, tout en validant des crédits ECTS.
Depuis 2010, le service civique d’initiative permet aux jeunes de mener des missions au sein d’associations au service de l’éducation, de la solidarité ou de l’environnement.
Le dispositif est accessible non seulement aux étudiants lors d’une année de césure mais aussi en intégrant une école incluant qui propose dans son cursus un parcours civique obligatoire, ou une spécialisation dans le secteur humanitaire.
92.000 volontaires par an
S’engager au service d’une mission d’intérêt général a séduit 92.000 volontaires en 2016 selon l’Agence du service civique.
Les conditions sont intéressantes : tous les jeunes âgés de 16 à 25 ans, et jusqu’à 30 ans pour les handicapés, peuvent s’engager pour une mission de « service civique d’initiative » qui peut être réalisée en France ou à l’étranger, entre 6 et 12 mois, sans condition de diplôme.
Ces missions se font au sein d’une association, d’un établissement public, d’une collectivité territoriale ou dans les services de l’Etat, dans l’un des neuf domaines d’action reconnus prioritaires pour la Nation :
solidarité, environnement, sport, culture, éducation, santé, intervention d’urgence, mémoire et citoyenneté, aide humanitaire. Une mission indemnisée 580 euros net par mois.
Pour inciter les étudiants à mener un projet solidaire, la Conférence des grandes écoles et l’Agence du Service Civique ont signé une convention le 20 juin dernier, permettant d’intégrer pleinement ces missions au sein du cursus scolaire, notamment lors d’une année de césure, de bénéficier du soutien d’un tuteur de l’école, et de valider des crédits (ECTS).
Ces deux organismes estiment à 10.000 le potentiel de missions possibles d’ici 2020, si la pratique de l’année de césure se développe. Les étudiants sont de plus en plus nombreux à inscrire cette étape dans leur parcours : en 2017, plus de 200 000 jeunes ont réalisé une mission de service civique.
Depuis 2010, le service civique d’initiative permet aux jeunes de mener des missions au sein d’associations au service de l’éducation, de la solidarité ou de l’environnement.
Le dispositif est accessible non seulement aux étudiants lors d’une année de césure mais aussi en intégrant une école incluant qui propose dans son cursus un parcours civique obligatoire, ou une spécialisation dans le secteur humanitaire.
92.000 volontaires par an
S’engager au service d’une mission d’intérêt général a séduit 92.000 volontaires en 2016 selon l’Agence du service civique.
Les conditions sont intéressantes : tous les jeunes âgés de 16 à 25 ans, et jusqu’à 30 ans pour les handicapés, peuvent s’engager pour une mission de « service civique d’initiative » qui peut être réalisée en France ou à l’étranger, entre 6 et 12 mois, sans condition de diplôme.
Ces missions se font au sein d’une association, d’un établissement public, d’une collectivité territoriale ou dans les services de l’Etat, dans l’un des neuf domaines d’action reconnus prioritaires pour la Nation :
solidarité, environnement, sport, culture, éducation, santé, intervention d’urgence, mémoire et citoyenneté, aide humanitaire. Une mission indemnisée 580 euros net par mois.
Pour inciter les étudiants à mener un projet solidaire, la Conférence des grandes écoles et l’Agence du Service Civique ont signé une convention le 20 juin dernier, permettant d’intégrer pleinement ces missions au sein du cursus scolaire, notamment lors d’une année de césure, de bénéficier du soutien d’un tuteur de l’école, et de valider des crédits (ECTS).
Ces deux organismes estiment à 10.000 le potentiel de missions possibles d’ici 2020, si la pratique de l’année de césure se développe. Les étudiants sont de plus en plus nombreux à inscrire cette étape dans leur parcours : en 2017, plus de 200 000 jeunes ont réalisé une mission de service civique.
Cinq conseils pour pratiquer la charité à l’image du prince William
La semaine dernière, dans un discours exprimant une profonde gratitude envers sa mère, Lady Di et le prince Charles, le prince William s'est confié comme jamais sur ce qu'elle lui a appris. Une leçon très inspirante à enseigner à nos enfants.
Chaque année à la même période, le meeting annuel de la Charity Commission — la Commission de Charité — marque le coup d’envoi à Londres des actions caritatives engagées par le gouvernement britannique, sous le patronage de la famille royale.
Le 28 janvier dernier, le discours prononcé par le prince William a pris une dimension particulière.
En donnant à son intervention une tournure plus personnelle qu’à l’habitude, l’héritier de la Couronne britannique a expliqué les racines de son engagement caritatif.
Elles proviennent, a t-il expliqué, de l’exemple et des valeurs reçues de chacun de ses parents.
Dans ce qu’il a dit ce jour-là, chacun peut tirer de beaux enseignements à transmettre à ses enfants sans forcément avoir une couronne sur la tête ou un compte bancaire bien fourni.
« La charité n’est pas une option supplémentaire dans la société — les organisations caritatives réparent, elles fortifient et elles construisent.
Sans ce travail, notre société serait une coquille vide », a-t-il souligné.
La princesse Diana, dont il a évoqué le souvenir, s’est beaucoup préoccupée de la prise de conscience de William :
« Je me souviens que ma mère m’emmenait dans les foyers des sans-abris quand j’étais très jeune.
Elle m’expliquait pourquoi les gens que j’y rencontrais avaient de l’importance, pourquoi aucune société ne peut être saine si on ne prend pas les autres au sérieux ».
La semaine dernière, dans un discours exprimant une profonde gratitude envers sa mère, Lady Di et le prince Charles, le prince William s'est confié comme jamais sur ce qu'elle lui a appris. Une leçon très inspirante à enseigner à nos enfants.
Chaque année à la même période, le meeting annuel de la Charity Commission — la Commission de Charité — marque le coup d’envoi à Londres des actions caritatives engagées par le gouvernement britannique, sous le patronage de la famille royale.
Le 28 janvier dernier, le discours prononcé par le prince William a pris une dimension particulière.
En donnant à son intervention une tournure plus personnelle qu’à l’habitude, l’héritier de la Couronne britannique a expliqué les racines de son engagement caritatif.
Elles proviennent, a t-il expliqué, de l’exemple et des valeurs reçues de chacun de ses parents.
Dans ce qu’il a dit ce jour-là, chacun peut tirer de beaux enseignements à transmettre à ses enfants sans forcément avoir une couronne sur la tête ou un compte bancaire bien fourni.
« La charité n’est pas une option supplémentaire dans la société — les organisations caritatives réparent, elles fortifient et elles construisent.
Sans ce travail, notre société serait une coquille vide », a-t-il souligné.
La princesse Diana, dont il a évoqué le souvenir, s’est beaucoup préoccupée de la prise de conscience de William :
« Je me souviens que ma mère m’emmenait dans les foyers des sans-abris quand j’étais très jeune.
Elle m’expliquait pourquoi les gens que j’y rencontrais avaient de l’importance, pourquoi aucune société ne peut être saine si on ne prend pas les autres au sérieux ».
Dernière édition par Marie du 65 le Ven 9 Fév 2018 - 11:44, édité 1 fois
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "Au Quotidien"!!!
Le plus important dans la vie ?
La réponse édifiante d’enfants en soins palliatifs
Un pédiatre sud-africain a demandé à ses petits patients en soins palliatifs ce qui était le plus important pour eux dans la vie.
Leurs réponses émouvantes nous invitent à reconsidérer nos priorités.
Le 1er février, un pédiatre sud-africain, le Docteur Alastair McAlpine, exerçant dans un centre de soins palliatifs à Cape Town, a posté sur son compte Twitter les réponses données par ses petits patients à la question :
« Qu’avez-vous préféré dans la vie, et qu’est-ce qui lui a donné du sens ? ».
Avant de lister les retours des enfants dans thread, il prévient :
« Les enfants peuvent faire preuve de tellement de sagesse. »
Et effectivement, leurs réponses sont belles, émouvantes, et nous font réfléchir sur nous-mêmes, nos priorités et notre rapport à la vie.
La réponse édifiante d’enfants en soins palliatifs
Un pédiatre sud-africain a demandé à ses petits patients en soins palliatifs ce qui était le plus important pour eux dans la vie.
Leurs réponses émouvantes nous invitent à reconsidérer nos priorités.
Le 1er février, un pédiatre sud-africain, le Docteur Alastair McAlpine, exerçant dans un centre de soins palliatifs à Cape Town, a posté sur son compte Twitter les réponses données par ses petits patients à la question :
« Qu’avez-vous préféré dans la vie, et qu’est-ce qui lui a donné du sens ? ».
Avant de lister les retours des enfants dans thread, il prévient :
« Les enfants peuvent faire preuve de tellement de sagesse. »
Et effectivement, leurs réponses sont belles, émouvantes, et nous font réfléchir sur nous-mêmes, nos priorités et notre rapport à la vie.
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Re: "Au Quotidien"!!!
Comment soutenir les proches d’un malade en fin de vie ?
Ils doivent être forts pour accompagner un parent en soins palliatifs et sont en même temps confrontés à leurs propres angoisses.
Comment apporter du réconfort aux proches d'un malade en fin de vie ?
Que dire à ce moment-là ?
Les malades en fin de vie sont soutenus par leur famille, par l’équipe soignante, par des accompagnateurs bénévoles.
Mais qui soutient les membres de la famille, confrontés à cette période délicate qu’est la fin de vie d’un père ou d’une mère ?
Leur position est difficile car tout en étant confrontés à leurs propres angoisses face à la maladie et à la mort, ils se doivent d’être forts et présents pour soutenir le malade.
Comment leur apporter du réconfort lorsqu’ils sont affectés, bouleversés, parfois déboussolés, par l’idée de perdre bientôt un parent ?
Ce serait le rôle de tout un chacun, mais il arrive que l’on se sente mal à l’aise, mal placé, à ne pas savoir quoi dire, ni quoi faire, alors on ne dit rien.
Ce qui, soit dit en passant, nous rend encore plus indélicats que si on avait osé quelques mots !
note persoIls doivent être forts pour accompagner un parent en soins palliatifs et sont en même temps confrontés à leurs propres angoisses.
Comment apporter du réconfort aux proches d'un malade en fin de vie ?
Que dire à ce moment-là ?
Les malades en fin de vie sont soutenus par leur famille, par l’équipe soignante, par des accompagnateurs bénévoles.
Mais qui soutient les membres de la famille, confrontés à cette période délicate qu’est la fin de vie d’un père ou d’une mère ?
Leur position est difficile car tout en étant confrontés à leurs propres angoisses face à la maladie et à la mort, ils se doivent d’être forts et présents pour soutenir le malade.
Comment leur apporter du réconfort lorsqu’ils sont affectés, bouleversés, parfois déboussolés, par l’idée de perdre bientôt un parent ?
Ce serait le rôle de tout un chacun, mais il arrive que l’on se sente mal à l’aise, mal placé, à ne pas savoir quoi dire, ni quoi faire, alors on ne dit rien.
Ce qui, soit dit en passant, nous rend encore plus indélicats que si on avait osé quelques mots !
voici mon deuxième bénévolat après le forum, vous pouvez le faire vous aussi, cela nous montre à quel point nous ne sommes pas grand chose sur cette terre et vous verrez votre regard sur les autres changera!
Nos petits caprices de tous les jours, nos colères, notre jalousie, etc....n'est rien à côté de ce que l'on côtoie à travers ces êtres qui ont besoin de notre soutien!
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Re: "Au Quotidien"!!!
La réforme du bac ? Peut mieux faire en terme de simplification
Jean-Michel Blanquer a présenté ce matin en Conseil des ministres la nouvelle formule du baccalauréat.
Revalorisation du contrôle continu, limitation à quatre le nombre d’épreuves écrites, mise en place d’un grand oral, disparition des filières généralistes (L, ES, S)…
Claude Lelièvre, historien spécialiste des questions d’éducation, a décrypté pour Aleteia cette réforme.
Le nouveau baccalauréat, dont la première session aura lieu en 2021, ne comptera désormais plus que quatre épreuves écrites, dont le français et la philosophie ainsi qu’un grand oral, qui pèseront pour 60 % de la note finale, les 40 % restant provenant du contrôle continu.
En parallèle, les séries généralistes (L, ES, S) seront supprimées au profit d’un tronc commun et de « majeures », a indiqué ce 14 février le ministre de l’Éducation nationale en Conseil des ministres.
Claude Lelièvre, professeur honoraire d’histoire de l’éducation à la faculté des sciences humaines et sociale-Sorbonne (Paris V) et spécialiste dans l’histoire des politiques scolaires, a commenté cette nouvelle formule pour Aleteia.
Jean-Michel Blanquer a présenté ce matin en Conseil des ministres la nouvelle formule du baccalauréat.
Revalorisation du contrôle continu, limitation à quatre le nombre d’épreuves écrites, mise en place d’un grand oral, disparition des filières généralistes (L, ES, S)…
Claude Lelièvre, historien spécialiste des questions d’éducation, a décrypté pour Aleteia cette réforme.
Le nouveau baccalauréat, dont la première session aura lieu en 2021, ne comptera désormais plus que quatre épreuves écrites, dont le français et la philosophie ainsi qu’un grand oral, qui pèseront pour 60 % de la note finale, les 40 % restant provenant du contrôle continu.
En parallèle, les séries généralistes (L, ES, S) seront supprimées au profit d’un tronc commun et de « majeures », a indiqué ce 14 février le ministre de l’Éducation nationale en Conseil des ministres.
Claude Lelièvre, professeur honoraire d’histoire de l’éducation à la faculté des sciences humaines et sociale-Sorbonne (Paris V) et spécialiste dans l’histoire des politiques scolaires, a commenté cette nouvelle formule pour Aleteia.
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Re: "Au Quotidien"!!!
Ces expressions qui ont une origine biblique
« Le bouc émissaire »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge.
Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Le bouc émissaire
Voilà un rôle que personne ne souhaite avoir à endosser un jour !
Inévitablement associée à l’idée d’injustice, cette expression est utilisée pour désigner une personne (ou un groupe de personnes) sur laquelle on fait retomber les fautes des autres, une sorte de souffre-douleur, de victime expiatoire qui « paie pour tous les autres
Il y a eu dans l’Histoire des boucs émissaires plus ou moins célèbres, coupables idéaux, comme l’exprime Georges Clemenceau pour décrire l’affaire Dreyfus :
« Tel est le rôle historique de l’affaire Dreyfus.
Sur ce bouc émissaire du judaïsme, tous les crimes anciens se trouvent représentativement accumulés. »
L’expression du « bouc émissaire » trouve son origine dans une pratique ancestrale de sacrifice animal, le rite d’expiation, décrit dans le Lévitique.
Troisième des cinq livres composant le Pentateuque, ce livre tire son nom du terme « lévite », prêtre hébreu issu de la tribu de Lévi, l’une des douze tribus d’Israël, et développe les règles morales et les rituels religieux prescrits par Dieu à Moïse.
C’est ainsi que l’on peut y lire que chaque année, le grand prêtre d’Israël tirait au sort deux boucs, l’un pour le Seigneur, l’autre pour Azazel, ange déchu, démon des lieux arides (Lévitique 16, huit).
Le premier bouc était sacrifié en offrande à Dieu tandis que le second était envoyé vivant dans le désert (et donc vers une mort certaine) après que le grand prêtre ait posé ses mains sur sa tête, le chargeant ainsi symboliquement de tous les péchés des enfants d’Israël.
Le rôle du bouc était donc de servir d’émissaire (du latin emittere : envoyer) et d’expier les fautes de la communauté.
Le choix de l’animal n’était pas anodin, le bouc étant souvent associé à l’idée d’impureté, de luxure, de péché et d’activité démoniaque.
« Il posera ses deux mains sur la tête du bouc vivant et il prononcera sur celui-ci tous les péchés des fils d’Israël, toutes leurs transgressions et toutes leurs fautes ; il en chargera la tête du bouc, et il le remettra à un homme préposé qui l’emmènera au désert.
Ainsi le bouc emportera sur lui tous leurs péchés dans un lieu solitaire. Quand le bouc aura été emmené au désert » (Lévitique 16, 21-22)
Ce rite de l’expiation est devenu une fête juive très importante, le Yom Kippour, jour du Grand Pardon.
« Le bouc émissaire »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge.
Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Le bouc émissaire
Voilà un rôle que personne ne souhaite avoir à endosser un jour !
Inévitablement associée à l’idée d’injustice, cette expression est utilisée pour désigner une personne (ou un groupe de personnes) sur laquelle on fait retomber les fautes des autres, une sorte de souffre-douleur, de victime expiatoire qui « paie pour tous les autres
Il y a eu dans l’Histoire des boucs émissaires plus ou moins célèbres, coupables idéaux, comme l’exprime Georges Clemenceau pour décrire l’affaire Dreyfus :
« Tel est le rôle historique de l’affaire Dreyfus.
Sur ce bouc émissaire du judaïsme, tous les crimes anciens se trouvent représentativement accumulés. »
L’expression du « bouc émissaire » trouve son origine dans une pratique ancestrale de sacrifice animal, le rite d’expiation, décrit dans le Lévitique.
Troisième des cinq livres composant le Pentateuque, ce livre tire son nom du terme « lévite », prêtre hébreu issu de la tribu de Lévi, l’une des douze tribus d’Israël, et développe les règles morales et les rituels religieux prescrits par Dieu à Moïse.
C’est ainsi que l’on peut y lire que chaque année, le grand prêtre d’Israël tirait au sort deux boucs, l’un pour le Seigneur, l’autre pour Azazel, ange déchu, démon des lieux arides (Lévitique 16, huit).
Le premier bouc était sacrifié en offrande à Dieu tandis que le second était envoyé vivant dans le désert (et donc vers une mort certaine) après que le grand prêtre ait posé ses mains sur sa tête, le chargeant ainsi symboliquement de tous les péchés des enfants d’Israël.
Le rôle du bouc était donc de servir d’émissaire (du latin emittere : envoyer) et d’expier les fautes de la communauté.
Le choix de l’animal n’était pas anodin, le bouc étant souvent associé à l’idée d’impureté, de luxure, de péché et d’activité démoniaque.
« Il posera ses deux mains sur la tête du bouc vivant et il prononcera sur celui-ci tous les péchés des fils d’Israël, toutes leurs transgressions et toutes leurs fautes ; il en chargera la tête du bouc, et il le remettra à un homme préposé qui l’emmènera au désert.
Ainsi le bouc emportera sur lui tous leurs péchés dans un lieu solitaire. Quand le bouc aura été emmené au désert » (Lévitique 16, 21-22)
Ce rite de l’expiation est devenu une fête juive très importante, le Yom Kippour, jour du Grand Pardon.
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Re: "Au Quotidien"!!!
Sept activités manuelles pour occuper ses enfants pendant les vacances
À chaque vacances, la même question revient inévitablement : comment occuper les enfants ?
Pendant les vacances, pour occuper les enfants, les parents privilégie toujours les activités au grand-air.
Mais ils sont parfois à court d’idée dès que le mauvais temps les surprend.
Voici sept activités manuelles DIY faciles à faire.
Vous allez ainsi découper, peindre, recycler, inventer en passant d’excellents moments de création et de partage en famille !
1. Faire sa pâte à modeler maison !
À chaque vacances, la même question revient inévitablement : comment occuper les enfants ?
Pendant les vacances, pour occuper les enfants, les parents privilégie toujours les activités au grand-air.
Mais ils sont parfois à court d’idée dès que le mauvais temps les surprend.
Voici sept activités manuelles DIY faciles à faire.
Vous allez ainsi découper, peindre, recycler, inventer en passant d’excellents moments de création et de partage en famille !
1. Faire sa pâte à modeler maison !
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Re: "Au Quotidien"!!!
« Froid de canard », « ça pèle » : d’où viennent ces expressions frigorifiques ?
« Peler », « faire un froid de canard », « cailler », autant d’expressions, tout à fait de saison, qui semblent sorties de nulle part !
Et pourtant, elles ont bien des origines, latines, argotiques ou cynégétiques.
« Qu’est-ce que ça caille ! »
Vous l’avez répété au moins dix fois aujourd’hui, à votre conjoint, vos enfants, votre voisin, à chaque nouveau collègue rencontré dans l’ascenseur ou à la machine à café, dernière source de chaleur et de réconfort, à la boulangère et même au pharmacien.
Le type d’expression qui rassemble, fédère et étonne dès lors que l’on songe à leur origine. Alors, d’où viennent ces expressions bizarres liées au froid ?
« Il fait un froid de canard »
« Peler », « faire un froid de canard », « cailler », autant d’expressions, tout à fait de saison, qui semblent sorties de nulle part !
Et pourtant, elles ont bien des origines, latines, argotiques ou cynégétiques.
« Qu’est-ce que ça caille ! »
Vous l’avez répété au moins dix fois aujourd’hui, à votre conjoint, vos enfants, votre voisin, à chaque nouveau collègue rencontré dans l’ascenseur ou à la machine à café, dernière source de chaleur et de réconfort, à la boulangère et même au pharmacien.
Le type d’expression qui rassemble, fédère et étonne dès lors que l’on songe à leur origine. Alors, d’où viennent ces expressions bizarres liées au froid ?
« Il fait un froid de canard »
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Re: "Au Quotidien"!!!
Cinq astuces pour transmettre la foi à ses enfants
Quel plus beau cadeau que la foi peut-on avoir envie d’offrir à ses enfants ?
Comment transmettre la richesse de cette foi aux jeunes générations de façon concrète et féconde ?
D’après le Père Thierry-Dominique Humbrecht (o.p), « la meilleure manière pour que vos enfants n’aient pas la foi est de les inonder d’argent, de biens matériels et de ne surtout jamais parler de choses spirituelles, notamment à table.
» Sa propre foi doit faire partie du quotidien de sa vie de famille pour que l’enfant puisse être spontanément attiré par des interrogations spirituelles, auxquelles ses parents tâcheront de répondre au mieux.
Voici cinq conseils très concrets pour éveiller la foi quelquefois « dormante » des ses enfants.
Quel plus beau cadeau que la foi peut-on avoir envie d’offrir à ses enfants ?
Comment transmettre la richesse de cette foi aux jeunes générations de façon concrète et féconde ?
D’après le Père Thierry-Dominique Humbrecht (o.p), « la meilleure manière pour que vos enfants n’aient pas la foi est de les inonder d’argent, de biens matériels et de ne surtout jamais parler de choses spirituelles, notamment à table.
» Sa propre foi doit faire partie du quotidien de sa vie de famille pour que l’enfant puisse être spontanément attiré par des interrogations spirituelles, auxquelles ses parents tâcheront de répondre au mieux.
Voici cinq conseils très concrets pour éveiller la foi quelquefois « dormante » des ses enfants.
Ouvrir des livres, échanger, s’interroger… en famille
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Re: "Au Quotidien"!!!
Quand célèbre-t-on la mi-Carême en 2018 ?
Quand fête-t-on la mi-Carême ?
Savez-vous pourquoi on mange des crêpes et des beignets ce jour-là ?
On vous dit tout...
Le jeudi 8 mars 2017 marque la mi-carême cette année, et pour reprendre son souffle au milieu de cette période d’abstinence, on fait une pause !
Cela donne l’occasion de réjouissances dues autant au besoin de récréation qu’à des réalités pratiques.
L’observation très stricte du Carême allait même autrefois jusqu’à interdire les œufs.
Mais il ne fallait pas faire de gâchis.
Or les œufs ne se conservent que 20 jours, alors le troisième jeudi de carême, comme lors du Mardi-gras, on vide ses réserves et on fait des crêpes, bugnes et autres beignets !
Et durant les vingt jours suivants, on stockait les œufs en vue des fêtes de Pâques.
Quand fête-t-on la mi-Carême ?
Savez-vous pourquoi on mange des crêpes et des beignets ce jour-là ?
On vous dit tout...
Le jeudi 8 mars 2017 marque la mi-carême cette année, et pour reprendre son souffle au milieu de cette période d’abstinence, on fait une pause !
Cela donne l’occasion de réjouissances dues autant au besoin de récréation qu’à des réalités pratiques.
L’observation très stricte du Carême allait même autrefois jusqu’à interdire les œufs.
Mais il ne fallait pas faire de gâchis.
Or les œufs ne se conservent que 20 jours, alors le troisième jeudi de carême, comme lors du Mardi-gras, on vide ses réserves et on fait des crêpes, bugnes et autres beignets !
Et durant les vingt jours suivants, on stockait les œufs en vue des fêtes de Pâques.
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Re: "Au Quotidien"!!!
Les cinq conseils à donner à un jeune qui doute de son avenir
Le dimanche des Rameaux, le 25 mars marque cette année la journée mondiale de la jeunesse, journée préparatoire aux JMJ de Panama de janvier 2019.
À cette occasion, le Pape François a communiqué une magnifique feuille de route.
Voici cinq conseils simples, pratiques et efficaces pour réussir à briser la peur de son avenir, prendre courage et choisir comme modèle la figure de Marie.
À méditer !
1. « Sois sans crainte ! »
C’est le premier conseil, celui de surmonter sa peur et de faire comme Marie.
On pense ici à l’exhortation de Jean Paul II, « N’ayez pas peur ! ».
Cette parole est la première que l’ange adresse à Marie, alors bouleversée au moment de l’Annonciation.
La jeunesse se sent souvent désemparée.
Elle ressent le « frisson » face aux enjeux de la vie qui s’annoncent.
Les peurs et les incertitudes ne manquent pas.
Elles désorientent une jeunesse tentée de se conformer aux modèles imposés, à certains mirages que les réseaux sociaux dictent.
Face à la recherche de sécurité affective et la crainte de solitude souvent comblée par les like et amitiés trop virtuels, le pape François conseille de demander à Marie de nous montrer le chemin.
Celui d’une vie réussie car en réponse à notre vocation et à nos rêves profonds.
Le dimanche des Rameaux, le 25 mars marque cette année la journée mondiale de la jeunesse, journée préparatoire aux JMJ de Panama de janvier 2019.
À cette occasion, le Pape François a communiqué une magnifique feuille de route.
Voici cinq conseils simples, pratiques et efficaces pour réussir à briser la peur de son avenir, prendre courage et choisir comme modèle la figure de Marie.
À méditer !
1. « Sois sans crainte ! »
C’est le premier conseil, celui de surmonter sa peur et de faire comme Marie.
On pense ici à l’exhortation de Jean Paul II, « N’ayez pas peur ! ».
Cette parole est la première que l’ange adresse à Marie, alors bouleversée au moment de l’Annonciation.
La jeunesse se sent souvent désemparée.
Elle ressent le « frisson » face aux enjeux de la vie qui s’annoncent.
Les peurs et les incertitudes ne manquent pas.
Elles désorientent une jeunesse tentée de se conformer aux modèles imposés, à certains mirages que les réseaux sociaux dictent.
Face à la recherche de sécurité affective et la crainte de solitude souvent comblée par les like et amitiés trop virtuels, le pape François conseille de demander à Marie de nous montrer le chemin.
Celui d’une vie réussie car en réponse à notre vocation et à nos rêves profonds.
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Re: "Au Quotidien"!!!
10 citations inspirantes d’Albert Einstein
Fondateur de la théorie de la relativité et prix Nobel de Physique en 1921, Albert Einstein est né le 14 mars 1879.
À l’occasion de l’anniversaire de sa naissance, la rédaction d’Aleteia a sélectionné dix citations inspirantes du scientifique.
Physicien américain d’origine allemande, Albert Einstein est considéré comme l’un des plus grands scientifiques du XXe siècle.
Si sa théorie de la relativité a révolutionné la physique, il ne se résume pas à cela.
Profondément croyant, Albert Einstein a également marqué les esprits et les cœurs par la foi profonde qui l’animait tout autant que sa capacité à s’émerveiller et à s’interroger.
À l’occasion de l’anniversaire de sa naissance, la rédaction d’Aleteia vous propose de redécouvrir cet homme à travers dix de ses citations.
Fondateur de la théorie de la relativité et prix Nobel de Physique en 1921, Albert Einstein est né le 14 mars 1879.
À l’occasion de l’anniversaire de sa naissance, la rédaction d’Aleteia a sélectionné dix citations inspirantes du scientifique.
Physicien américain d’origine allemande, Albert Einstein est considéré comme l’un des plus grands scientifiques du XXe siècle.
Si sa théorie de la relativité a révolutionné la physique, il ne se résume pas à cela.
Profondément croyant, Albert Einstein a également marqué les esprits et les cœurs par la foi profonde qui l’animait tout autant que sa capacité à s’émerveiller et à s’interroger.
À l’occasion de l’anniversaire de sa naissance, la rédaction d’Aleteia vous propose de redécouvrir cet homme à travers dix de ses citations.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "Au Quotidien"!!!
Lorsque la vulnérabilité devient une force
Nous sommes tous, en tant qu’êtres humains, vulnérables.
Plus ou moins blessés par les aléas de la vie, plus ou moins fragiles, mais tous vulnérables et imparfaits.
Malgré cela, nous sommes capables, à l’instar de fortes personnalités telles que Frida Kahlo, Helen Keller ou encore Démosthène, de transcender nos faiblesses, et de faire de notre vulnérabilité une force féconde et créative.
« Vulnérable ! Voilà ce qui spécifie, avec la force de l’évidence, la condition humaine.
Voilà ce qui caractérise notre espèce. Ni les apparences de puissance, ni les velléités de grandeur ne parviennent à gommer cette précarité constitutive.
L’humanité, qui se voudrait forte et éternelle, fait un bruit de porcelaine brisée. » C’est ainsi que commence le livre Pascal, Frida Kahlo et les autres… (Erès), de Charles Gardou, anthropologue et professeur d’université.
Il y dresse le portrait de huit écrivains et artistes, qui, bien que souffrants ou handicapés, de naissance ou accidentellement, ont surmonté leur faiblesse et ont créé une œuvre gigantesque.
On y côtoie Robert Schumann, Frida Kahlo, Blaise Pascal, Jean-Jacques Rousseau, Fedor Dostoïevski, Joë Bousquet, Helen Keller et Démosthène.
Nous sommes tous, en tant qu’êtres humains, vulnérables.
Plus ou moins blessés par les aléas de la vie, plus ou moins fragiles, mais tous vulnérables et imparfaits.
Malgré cela, nous sommes capables, à l’instar de fortes personnalités telles que Frida Kahlo, Helen Keller ou encore Démosthène, de transcender nos faiblesses, et de faire de notre vulnérabilité une force féconde et créative.
« Vulnérable ! Voilà ce qui spécifie, avec la force de l’évidence, la condition humaine.
Voilà ce qui caractérise notre espèce. Ni les apparences de puissance, ni les velléités de grandeur ne parviennent à gommer cette précarité constitutive.
L’humanité, qui se voudrait forte et éternelle, fait un bruit de porcelaine brisée. » C’est ainsi que commence le livre Pascal, Frida Kahlo et les autres… (Erès), de Charles Gardou, anthropologue et professeur d’université.
Il y dresse le portrait de huit écrivains et artistes, qui, bien que souffrants ou handicapés, de naissance ou accidentellement, ont surmonté leur faiblesse et ont créé une œuvre gigantesque.
On y côtoie Robert Schumann, Frida Kahlo, Blaise Pascal, Jean-Jacques Rousseau, Fedor Dostoïevski, Joë Bousquet, Helen Keller et Démosthène.
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Re: "Au Quotidien"!!!
Ces expressions qui ont une origine biblique
« Gagner son pain à la sueur de son front »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge.
Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Gagner son pain à la sueur de son front
« Le travail c’est la santé, rien faire c’est la conserver », chantait Henri Salvador dans les années 1960.
Tout le contraire de « gagner son pain à la sueur de son front » qui signifie être obligé de travailler durement pour gagner sa vie !
Cette expression fait référence aux propos que Dieu adresse à Adam lorsqu’il le chasse du Paradis :
« C’est à la sueur de ton visage que tu gagneras ton pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre dont tu proviens ; car tu es poussière, et à la poussière tu retourneras. » (Gen 3, 19)
À l’époque où le travail de la terre occupait une place prépondérante et n’était pas mécanisé, c’est réellement à la sueur de leur front que les hommes se nourrissaient.
Aujourd’hui, la métaphore exprime plutôt la réalité parfois bien difficile du travail et de la vie active en général.
Le mot travail viendrait d’ailleurs du latin médiéval tripalium qui désignait un instrument de torture, alors qu’en latin, « travail » se disait labor.
Difficile de ne pas y associer une idée de tourment, d’épreuve.
« Gagner son pain à la sueur de son front »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge.
Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Gagner son pain à la sueur de son front
« Le travail c’est la santé, rien faire c’est la conserver », chantait Henri Salvador dans les années 1960.
Tout le contraire de « gagner son pain à la sueur de son front » qui signifie être obligé de travailler durement pour gagner sa vie !
Cette expression fait référence aux propos que Dieu adresse à Adam lorsqu’il le chasse du Paradis :
« C’est à la sueur de ton visage que tu gagneras ton pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre dont tu proviens ; car tu es poussière, et à la poussière tu retourneras. » (Gen 3, 19)
À l’époque où le travail de la terre occupait une place prépondérante et n’était pas mécanisé, c’est réellement à la sueur de leur front que les hommes se nourrissaient.
Aujourd’hui, la métaphore exprime plutôt la réalité parfois bien difficile du travail et de la vie active en général.
Le mot travail viendrait d’ailleurs du latin médiéval tripalium qui désignait un instrument de torture, alors qu’en latin, « travail » se disait labor.
Difficile de ne pas y associer une idée de tourment, d’épreuve.
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Re: "Au Quotidien"!!!
Comment apprendre à nos enfants à vivre mieux avec moins ?
Être ravi d’une cabane réalisée avec deux chiffons, heureux d’une chasse aux trésors ou comblé d’un cadeau longtemps désiré.
Avec peu de choses, un enfant peut être le plus heureux du monde.
La preuve avec ces dix pistes à suivre pour vivre mieux avec moins.
Sans jouets en pagaille ou tablette à disposition, les enfants apprennent à inventer, créer et participent un peu plus à la vie de famille.
Une autre éducation, prônant l’expérience pour capter la chance de vivre plutôt que d’avoir.
C’est aussi une nouvelle approche du quotidien pour tous, les parents étant le premier exemple.
Un rien devient un trésor et le bonheur à portée de main.
Découvrez dix nouveaux réflexes à adopter, suggérés par Pascale Morinière, vice-présidente des AFC (Associations familiales catholiques) et responsable nationale du secteur Éducation, et de Sioux Berger, auteur de « Mon défi minimaliste » (éditions Marabout) et naturopathe, pour donner le goût d’une vie plus simple aux enfants.
Accepter que les enfants s’ennuient
À vouloir tout le temps occuper les enfants, on les empêche de développer leur imagination et de s’inventer des jeux.
C’est un cercle vicieux.
« En abreuvant les enfants d’activités, sans laisser de temps mort, on leur apprend à solliciter tout le temps un adulte, prévient Sioux Berger.
Dès qu’ils ont fini, ils se retournent vers le parent pour demander “On fait quoi maintenant ?”.
Si les enfants ne savent pas quoi faire et qu’ils tâtonnent, on peut toujours lancer l’activité, un jeu ou une cabane et les laisser inventer la suite. »
Être ravi d’une cabane réalisée avec deux chiffons, heureux d’une chasse aux trésors ou comblé d’un cadeau longtemps désiré.
Avec peu de choses, un enfant peut être le plus heureux du monde.
La preuve avec ces dix pistes à suivre pour vivre mieux avec moins.
Sans jouets en pagaille ou tablette à disposition, les enfants apprennent à inventer, créer et participent un peu plus à la vie de famille.
Une autre éducation, prônant l’expérience pour capter la chance de vivre plutôt que d’avoir.
C’est aussi une nouvelle approche du quotidien pour tous, les parents étant le premier exemple.
Un rien devient un trésor et le bonheur à portée de main.
Découvrez dix nouveaux réflexes à adopter, suggérés par Pascale Morinière, vice-présidente des AFC (Associations familiales catholiques) et responsable nationale du secteur Éducation, et de Sioux Berger, auteur de « Mon défi minimaliste » (éditions Marabout) et naturopathe, pour donner le goût d’une vie plus simple aux enfants.
Accepter que les enfants s’ennuient
À vouloir tout le temps occuper les enfants, on les empêche de développer leur imagination et de s’inventer des jeux.
C’est un cercle vicieux.
« En abreuvant les enfants d’activités, sans laisser de temps mort, on leur apprend à solliciter tout le temps un adulte, prévient Sioux Berger.
Dès qu’ils ont fini, ils se retournent vers le parent pour demander “On fait quoi maintenant ?”.
Si les enfants ne savent pas quoi faire et qu’ils tâtonnent, on peut toujours lancer l’activité, un jeu ou une cabane et les laisser inventer la suite. »
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Re: "Au Quotidien"!!!
Pour changer un peu de registre voici quelques conseils qui peuvent vous aider dans votre vie de tous les jours!
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Re: "Au Quotidien"!!!
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Re: "Au Quotidien"!!!
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