conseils pour l'éducation des enfants
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les Grands Péchés :: A T-ON LE DROIT D'ABUSER DE SON AUTORITE ?
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conseils pour l'éducation des enfants
Cela a été écrit par un ancien général de l'armée Américaine :
12 CONSEILS POUR FAIRE DE VOTRE ENFANT
*UN BON DELINQUANT*
1. Dès sa petite enfance, donnez-lui tout ce qu’il désire. Qu’il n’ait qu’à mettre les pieds sous la table. Plus tard, il sera persuadé que tout le monde est à son service et lui doit tout.
2. De grâce, n’exigez pas qu’il dise « merci, s’il te plaît, bonjour, au revoir ». Vous êtes de votre temps.
3. S’il lance des grossièretés amusantes à vos voisins, éclatez de rire, il a de l’esprit. Dès lors il prendra confiance en lui.
4. Ne le contrariez pas. Ne lui dites jamais que c’est mal, il pourrait développer un complexe de persécution.
5. Si un enseignant lui a infligé une punition, allez immédiatement à l’école. Exigez que la punition soit levée au nom de la justice. Dans quelques temps, il sera convaincu de son impunité.
6. Donnez-lui l’argent qu’il réclame. Que tous ses désirs soient satisfaits. Sorties nocturnes, vêtements à la mode. Sinon, voyez-vous, il sera frustré.
7. Au collège, s’il a agressé un jeune élève. En bien, il n’a pas tous les tords. Dites vous que la vraie responsable, c’est la société dans laquelle nous vivons. Ainsi, il ne sera pas traumatisé par un sentiment de culpabilité.
8. S’il ne rentre pas de la nuit, ne vous inquiétez pas. Demain il dormira toute la journée.
9. Si, dans la rue, vous apercevez une bande de jeunes gens qui ressemble à votre fils, soyez effrayé et changez de trottoir. Qu’ils sachent une fois pour toute qu’on les craint et qu’ils sont tout-puissants.
10. A la maison, s’il vous menace, surtout ne répondez pas. Baissez les yeux. Sinon, il s’imaginerait que chez vous, il n’est pas encore le plus fort et il deviendra violent avec vous aussi. Proclamez plutôt que vous n’avez jamais rien pu en faire. C’était sa loi.
11. En dernier recours, appelez « Police secours ». D’avance, dites-lui pourquoi elle doit intervenir chez vous.
12. Préparez-vous à une vie de douleur. Vous l’aurez !
12 CONSEILS POUR FAIRE DE VOTRE ENFANT
*UN BON DELINQUANT*
1. Dès sa petite enfance, donnez-lui tout ce qu’il désire. Qu’il n’ait qu’à mettre les pieds sous la table. Plus tard, il sera persuadé que tout le monde est à son service et lui doit tout.
2. De grâce, n’exigez pas qu’il dise « merci, s’il te plaît, bonjour, au revoir ». Vous êtes de votre temps.
3. S’il lance des grossièretés amusantes à vos voisins, éclatez de rire, il a de l’esprit. Dès lors il prendra confiance en lui.
4. Ne le contrariez pas. Ne lui dites jamais que c’est mal, il pourrait développer un complexe de persécution.
5. Si un enseignant lui a infligé une punition, allez immédiatement à l’école. Exigez que la punition soit levée au nom de la justice. Dans quelques temps, il sera convaincu de son impunité.
6. Donnez-lui l’argent qu’il réclame. Que tous ses désirs soient satisfaits. Sorties nocturnes, vêtements à la mode. Sinon, voyez-vous, il sera frustré.
7. Au collège, s’il a agressé un jeune élève. En bien, il n’a pas tous les tords. Dites vous que la vraie responsable, c’est la société dans laquelle nous vivons. Ainsi, il ne sera pas traumatisé par un sentiment de culpabilité.
8. S’il ne rentre pas de la nuit, ne vous inquiétez pas. Demain il dormira toute la journée.
9. Si, dans la rue, vous apercevez une bande de jeunes gens qui ressemble à votre fils, soyez effrayé et changez de trottoir. Qu’ils sachent une fois pour toute qu’on les craint et qu’ils sont tout-puissants.
10. A la maison, s’il vous menace, surtout ne répondez pas. Baissez les yeux. Sinon, il s’imaginerait que chez vous, il n’est pas encore le plus fort et il deviendra violent avec vous aussi. Proclamez plutôt que vous n’avez jamais rien pu en faire. C’était sa loi.
11. En dernier recours, appelez « Police secours ». D’avance, dites-lui pourquoi elle doit intervenir chez vous.
12. Préparez-vous à une vie de douleur. Vous l’aurez !
P4572- Dans la prière
- Messages : 5078
Inscription : 01/08/2007
Re: conseils pour l'éducation des enfants
"bon" délinquant !
et pour faire un "mauvais" délinquant ?
et pour faire un "mauvais" délinquant ?
lau- Pour le roi
- Messages : 633
Inscription : 08/11/2007
Re: conseils pour l'éducation des enfants
Aleteia propose ceci
( très américain mais pas si bête)
Un truc magique pour gérer son enfant ingouvernable
Ainsi, concrètement par ex lors d’un accès de colère – parce que c’est l’heure du coucher, parce qu’il ne veut pas aller faire ses devoirs… – quel que soit le motif, il faut poser la question suivante à l’enfant, en le regardant dans les yeux et d’une voix apaisée : « Est-ce que c’est un grand, un moyen ou un petit problème ? »
L’effet est littéralement magique. Chaque fois que je lui pose cette question, ma fille me répond. En sondant son ressenti, elle parvient à trouver une solution au problème.
Un petit problème sera facilement résolu. Le problème moyen ne sera probablement pas résolu dans l’immédiat : l’enfant comprendra que, certaines choses, demandent des efforts particuliers et du temps. Si un problème est grave – les choses graves pour un enfant ne doivent pas être dédaignées ou survolées par les adultes – cela demandera sûrement un échange approfondi et une attention plus aiguë afin que l’enfant puisse comprendre qu’il y a des choses qui ne peuvent être exactement comme on les souhaite.
Je pourrais citer de nombreux exemples pour vous montrer de quelle manière j’applique cette méthode. Je me contenterais d’un cas récent : juste au moment de se préparer pour aller à l’école. Ma fille me fait souvent des scènes pour choisir sa tenue. Elle veut porter son pantalon préféré, alors qu’il est à la machine. Elle fond en larmes et je reste ferme : « Alice, est-ce qu’il s’agit d’un problème grand, moyen ou petit ? » Toute penaude, elle me regarde et chuchote : « Petit ». Je peux donc alors lui expliquer en quoi ce problème était effectivement petit, et donc facile à régler.
Je lui demande quelle solution nous pouvons trouver à ce petit souci (il est important de lui laisser le temps pour qu’elle réfléchisse et trouve une réponse). Elle me répond : « En choisissant un autre pantalon ». J’ajoute : « Et n’aurais-tu pas d’autres pantalons à choisir ? ». Elle me sourit et part chercher un autre pantalon.
Fabiana Santos est journaliste et la maman de Felipe, 11 ans, et d’Alice, 5 ans. Ils vivent à Washington DC. Les réponses aux « petits problèmes« sont désormais courantes, maintenant, Alice parvient même à rire de ses propres caprices. Elle est parvenue, à quelques reprises, à reconnaître sincèrement : « Maman, je crois que ceci n’est même pas un problème
( très américain mais pas si bête)
Un truc magique pour gérer son enfant ingouvernable
Ainsi, concrètement par ex lors d’un accès de colère – parce que c’est l’heure du coucher, parce qu’il ne veut pas aller faire ses devoirs… – quel que soit le motif, il faut poser la question suivante à l’enfant, en le regardant dans les yeux et d’une voix apaisée : « Est-ce que c’est un grand, un moyen ou un petit problème ? »
L’effet est littéralement magique. Chaque fois que je lui pose cette question, ma fille me répond. En sondant son ressenti, elle parvient à trouver une solution au problème.
Un petit problème sera facilement résolu. Le problème moyen ne sera probablement pas résolu dans l’immédiat : l’enfant comprendra que, certaines choses, demandent des efforts particuliers et du temps. Si un problème est grave – les choses graves pour un enfant ne doivent pas être dédaignées ou survolées par les adultes – cela demandera sûrement un échange approfondi et une attention plus aiguë afin que l’enfant puisse comprendre qu’il y a des choses qui ne peuvent être exactement comme on les souhaite.
Je pourrais citer de nombreux exemples pour vous montrer de quelle manière j’applique cette méthode. Je me contenterais d’un cas récent : juste au moment de se préparer pour aller à l’école. Ma fille me fait souvent des scènes pour choisir sa tenue. Elle veut porter son pantalon préféré, alors qu’il est à la machine. Elle fond en larmes et je reste ferme : « Alice, est-ce qu’il s’agit d’un problème grand, moyen ou petit ? » Toute penaude, elle me regarde et chuchote : « Petit ». Je peux donc alors lui expliquer en quoi ce problème était effectivement petit, et donc facile à régler.
Je lui demande quelle solution nous pouvons trouver à ce petit souci (il est important de lui laisser le temps pour qu’elle réfléchisse et trouve une réponse). Elle me répond : « En choisissant un autre pantalon ». J’ajoute : « Et n’aurais-tu pas d’autres pantalons à choisir ? ». Elle me sourit et part chercher un autre pantalon.
Fabiana Santos est journaliste et la maman de Felipe, 11 ans, et d’Alice, 5 ans. Ils vivent à Washington DC. Les réponses aux « petits problèmes« sont désormais courantes, maintenant, Alice parvient même à rire de ses propres caprices. Elle est parvenue, à quelques reprises, à reconnaître sincèrement : « Maman, je crois que ceci n’est même pas un problème
Re: conseils pour l'éducation des enfants
OkP4572 a écrit:Cela a été écrit par un ancien général de l'armée Américaine :
12 CONSEILS POUR FAIRE DE VOTRE ENFANT
*UN BON DELINQUANT*
1. Dès sa petite enfance, donnez-lui tout ce qu’il désire. Qu’il n’ait qu’à mettre les pieds sous la table. Plus tard, il sera persuadé que tout le monde est à son service et lui doit tout.
2. De grâce, n’exigez pas qu’il dise « merci, s’il te plaît, bonjour, au revoir ». Vous êtes de votre temps.
3. S’il lance des grossièretés amusantes à vos voisins, éclatez de rire, il a de l’esprit. Dès lors il prendra confiance en lui.
4. Ne le contrariez pas. Ne lui dites jamais que c’est mal, il pourrait développer un complexe de persécution.
5. Si un enseignant lui a infligé une punition, allez immédiatement à l’école. Exigez que la punition soit levée au nom de la justice. Dans quelques temps, il sera convaincu de son impunité.
6. Donnez-lui l’argent qu’il réclame. Que tous ses désirs soient satisfaits. Sorties nocturnes, vêtements à la mode. Sinon, voyez-vous, il sera frustré.
7. Au collège, s’il a agressé un jeune élève. En bien, il n’a pas tous les tords. Dites vous que la vraie responsable, c’est la société dans laquelle nous vivons. Ainsi, il ne sera pas traumatisé par un sentiment de culpabilité.
8. S’il ne rentre pas de la nuit, ne vous inquiétez pas. Demain il dormira toute la journée.
9. Si, dans la rue, vous apercevez une bande de jeunes gens qui ressemble à votre fils, soyez effrayé et changez de trottoir. Qu’ils sachent une fois pour toute qu’on les craint et qu’ils sont tout-puissants.
10. A la maison, s’il vous menace, surtout ne répondez pas. Baissez les yeux. Sinon, il s’imaginerait que chez vous, il n’est pas encore le plus fort et il deviendra violent avec vous aussi. Proclamez plutôt que vous n’avez jamais rien pu en faire. C’était sa loi.
11. En dernier recours, appelez « Police secours ». D’avance, dites-lui pourquoi elle doit intervenir chez vous.
12. Préparez-vous à une vie de douleur. Vous l’aurez !
jacques58fan- Combat l'antechrist
- Messages : 2263
Inscription : 22/01/2016
Re: conseils pour l'éducation des enfants
merci à Catherine de nous offrir les pages de catholiquedu net
pour ce FIL on va pouvoir puiser dans "Etapes de la croissance"
Les étapes de la croissance
extrait
L’embryon dans le sein maternel se donne déjà, il est livré à sa mère, son innocence divine lui permet de faire des actes réels où apparaît le mouvement centrifuge de don où Dieu se donne à travers lui à sa mère. C’est pour cela que l’embryon guérit souvent sa mère, si la mère est attentive et reçoit .
L’embryon , l’enfant, l’adolescent, l’adulte, le sage, se trouve avec ce mouvement centrifuge où Dieu se donne à travers lui, même s’il ne sait pas que c’est Dieu qui se donne à travers lui, et il compare sans arrêt ce qu’il donne et ce qu’il reçoit en échange, et ce qu’il reçoit et ce qu’il attend ne sont pas adaptés : il reçoit moins que ce qu’il donne, parce que Dieu donne tout, et il n’y a aucun mécanisme de défense chez l’embryon, aucun phénomène de protection.
Par contre chez la maman, à cause du péché originel, des péchés personnels, des atavismes et des blessures, il y a des phénomènes de protection qui font qu’elle ne donne pas.
Dans notre conscience d’amour, nous comparons toujours ce que nous recevons et ce que nous donnons, nous nous donnons et nous ne recevons pas, notre vase d’amour se donne tout entier, il est vide, il est tout accueil, et il n’est pas rempli. Le désir d’aimer et le désir d’être aimé font qu’il y a toujours ces deux mouvements centripète et centrifuge qui se comparent dans la conscience d’Amour embryonnaire, dans l’innocence divine.
La croissance de l’enfant, la croissance de l’homme se fait de cette manière-là, de sorte que dès la conception l’enfant reconnaît parfaitement lorsqu’il y a manque d’Amour et lorsqu’il y a Amour.
pour ce FIL on va pouvoir puiser dans "Etapes de la croissance"
Les étapes de la croissance
extrait
L’embryon dans le sein maternel se donne déjà, il est livré à sa mère, son innocence divine lui permet de faire des actes réels où apparaît le mouvement centrifuge de don où Dieu se donne à travers lui à sa mère. C’est pour cela que l’embryon guérit souvent sa mère, si la mère est attentive et reçoit .
L’embryon , l’enfant, l’adolescent, l’adulte, le sage, se trouve avec ce mouvement centrifuge où Dieu se donne à travers lui, même s’il ne sait pas que c’est Dieu qui se donne à travers lui, et il compare sans arrêt ce qu’il donne et ce qu’il reçoit en échange, et ce qu’il reçoit et ce qu’il attend ne sont pas adaptés : il reçoit moins que ce qu’il donne, parce que Dieu donne tout, et il n’y a aucun mécanisme de défense chez l’embryon, aucun phénomène de protection.
Par contre chez la maman, à cause du péché originel, des péchés personnels, des atavismes et des blessures, il y a des phénomènes de protection qui font qu’elle ne donne pas.
Dans notre conscience d’amour, nous comparons toujours ce que nous recevons et ce que nous donnons, nous nous donnons et nous ne recevons pas, notre vase d’amour se donne tout entier, il est vide, il est tout accueil, et il n’est pas rempli. Le désir d’aimer et le désir d’être aimé font qu’il y a toujours ces deux mouvements centripète et centrifuge qui se comparent dans la conscience d’Amour embryonnaire, dans l’innocence divine.
La croissance de l’enfant, la croissance de l’homme se fait de cette manière-là, de sorte que dès la conception l’enfant reconnaît parfaitement lorsqu’il y a manque d’Amour et lorsqu’il y a Amour.
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