Prières de Saint Jean de Damas
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Prières de Saint Jean de Damas
" Les prophètes de l’Ancien Testament Te chantent Marie, l'Echelle par qui Dieu est descendu vers nous"
de Saint Jean Damascène (676-749), surnommé aussi Saint Jean de Damas parce que né à Damas, déclaré Père et Docteur de l'Église Catholique par le pape Léon XIII en 1890, qui composa de nombreuses prières à la Vierge Marie dans la solitude de son Monastère de Saint-Sabas situé à quelques kilomètres de la ville de Bethléem dans le désert de Judée en Cisjordanie
La Prière de Saint Jean de Damas
"Les prophètes de l’Ancien Testament Te chantent Marie, l'Echelle par qui Dieu est descendu vers nous"
« Tu es le Trône royal, ô Marie, près de qui se tiennent les anges ; leur Maître et leur Créateur s'y trouve assis : ils le contemplent.
Tu es devenue l'Eden spirituel, plus sacré et plus divin que l'ancien ; dans le premier Paradis habitait l'Adam terrestre ; en toi, c'est le Seigneur venu du Ciel qui demeure.
L'Arche de Noé t'a préfigurée, elle qui sauva le germe de la seconde création : toi, tu as enfanté le Christ, celui qui sauve le monde.
N'est-ce pas toi que désignait par avance la fournaise au feu mêlé de rosée et de flammes ? C'était l'image du feu divin qui vint habiter en toi.
La tente d'Abraham est de toi un présage manifeste : à Dieu le Verbe, venu habiter en ton sein comme sous la tente, la nature humaine a offert le pain cuit sous la cendre, c'est-à-dire les prémices de l'humanité nouvelle.
Jacob vit le Ciel réuni à la terre par une échelle, et, par son moyen, les Anges descendre et monter ; ainsi, toi-même, tu es devenue la Médiatrice et l'Echelle, par qui Dieu est descendu vers nous.
Quel est donc ce regain, évoqué par David, sur qui est descendu, comme la bruine, le Fils du Roi et du Dieu de l'Univers ?
N'est-ce pas toi, la Vierge inépousée, la Mère de Dieu ?
Quelle est la Vierge dont Isaïe annonça qu'elle concevrait et enfanterait ce Fils qui serait : « Dieu avec nous » ? Ainsi, voulait-il dire que, devenu homme, il resterait Dieu.
Quelle est cette montagne de Daniel, dont la pierre d'angle, le Christ, fut détachée?
N'est-ce pas toi, qui conçus virginalement, et qui restas la toujours Vierge ?
Voilà pourquoi tous les prophètes te célèbrent, les Anges te sont soumis, les Apôtres te vénèrent et que nous, nous te chantons, toi, la Toujours-Vierge et la Mère de Dieu.
Amen. »
de Saint Jean Damascène (676-749), surnommé aussi Saint Jean de Damas parce que né à Damas, déclaré Père et Docteur de l'Église Catholique par le pape Léon XIII en 1890, qui composa de nombreuses prières à la Vierge Marie dans la solitude de son Monastère de Saint-Sabas situé à quelques kilomètres de la ville de Bethléem dans le désert de Judée en Cisjordanie
La Prière de Saint Jean de Damas
"Les prophètes de l’Ancien Testament Te chantent Marie, l'Echelle par qui Dieu est descendu vers nous"
« Tu es le Trône royal, ô Marie, près de qui se tiennent les anges ; leur Maître et leur Créateur s'y trouve assis : ils le contemplent.
Tu es devenue l'Eden spirituel, plus sacré et plus divin que l'ancien ; dans le premier Paradis habitait l'Adam terrestre ; en toi, c'est le Seigneur venu du Ciel qui demeure.
L'Arche de Noé t'a préfigurée, elle qui sauva le germe de la seconde création : toi, tu as enfanté le Christ, celui qui sauve le monde.
N'est-ce pas toi que désignait par avance la fournaise au feu mêlé de rosée et de flammes ? C'était l'image du feu divin qui vint habiter en toi.
La tente d'Abraham est de toi un présage manifeste : à Dieu le Verbe, venu habiter en ton sein comme sous la tente, la nature humaine a offert le pain cuit sous la cendre, c'est-à-dire les prémices de l'humanité nouvelle.
Jacob vit le Ciel réuni à la terre par une échelle, et, par son moyen, les Anges descendre et monter ; ainsi, toi-même, tu es devenue la Médiatrice et l'Echelle, par qui Dieu est descendu vers nous.
Quel est donc ce regain, évoqué par David, sur qui est descendu, comme la bruine, le Fils du Roi et du Dieu de l'Univers ?
N'est-ce pas toi, la Vierge inépousée, la Mère de Dieu ?
Quelle est la Vierge dont Isaïe annonça qu'elle concevrait et enfanterait ce Fils qui serait : « Dieu avec nous » ? Ainsi, voulait-il dire que, devenu homme, il resterait Dieu.
Quelle est cette montagne de Daniel, dont la pierre d'angle, le Christ, fut détachée?
N'est-ce pas toi, qui conçus virginalement, et qui restas la toujours Vierge ?
Voilà pourquoi tous les prophètes te célèbrent, les Anges te sont soumis, les Apôtres te vénèrent et que nous, nous te chantons, toi, la Toujours-Vierge et la Mère de Dieu.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Prière de Saint Jean Damascène à réciter avant la Communion :
« Maître et Seigneur, Jésus Christ, notre Dieu, toi qui seul as le pouvoir de remettre les péchés des hommes, dans ta bonté et ton amour pour les hommes, pardonne-moi tous les péchés commis sciemment ou par ignorance, et rends-moi digne de communier sans encourir de condamnation à tes Mystères divins, glorieux, immaculés et vivifiants, non pour mon châtiment ni pour l’aggravation de mes péchés, mais pour me purifier, me sanctifier et pour recevoir les arrhes de la vie et du Royaume à venir, comme rempart et secours, mettant en fuite mes ennemis et effaçant la multitude de mes péchés.
Car tu es un Dieu de miséricorde, de compassion et d’amour pour les hommes, et nous te rendons gloire, avec le Père et le Saint Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Prière de Saint Jean Damascène,lorsqu'il fut ordonné prêtre ,il est surnommé aussi Saint Jean de Damas :
Il fut ordonné Prêtre en 735 dans l’un des plus anciens monastères chrétiens : le Monastère Mar Saba situé à quelques kilomètres de la ville de Bethléem dans le désert de Judée en Cisjordanie.
Prière de Saint Jean Damascène lorsqu’il fut ordonné Prêtre :
« Seigneur, c’est toi qui a préparé par la bénédiction de l’Esprit Saint ma création et mon existence.
Tu as préparé ma naissance par une prévenance qui dépasse les lois de notre nature.
Tu m’as fait venir à la lumière en m’adoptant pour ton fils, et tu m’as inscrit parmi les membres de ton Église sainte et immaculée.
C’est toi qui m’as nourri du lait spirituel, c’est-à-dire du lait de tes paroles divines.
C’est toi qui m’as fortifié par un aliment solide : le corps de Jésus Christ notre Dieu, ton Fils unique, le très saint et tu m’as enivré à la coupe divine, c’est-à-dire à la coupe de son sang qui fait vivre, et qu’il a répandu pour le salut du monde entier.
Et maintenant, Seigneur, tu m’as appelé, par l’intermédiaire de ton grand prêtre au service de tes disciples. Donne-moi de dire hardiment ta parole, que la langue de feu de ton Esprit me donne une langue parfaitement libre, et me rende toujours attentif à ta présence.
Sois mon berger, Seigneur, et sois avec moi le berger de tes brebis.
Amen. »
« Seigneur, sois avec moi le berger de tes brebis »
Il fut ordonné Prêtre en 735 dans l’un des plus anciens monastères chrétiens : le Monastère Mar Saba situé à quelques kilomètres de la ville de Bethléem dans le désert de Judée en Cisjordanie.
Prière de Saint Jean Damascène lorsqu’il fut ordonné Prêtre :
« Seigneur, c’est toi qui a préparé par la bénédiction de l’Esprit Saint ma création et mon existence.
Tu as préparé ma naissance par une prévenance qui dépasse les lois de notre nature.
Tu m’as fait venir à la lumière en m’adoptant pour ton fils, et tu m’as inscrit parmi les membres de ton Église sainte et immaculée.
C’est toi qui m’as nourri du lait spirituel, c’est-à-dire du lait de tes paroles divines.
C’est toi qui m’as fortifié par un aliment solide : le corps de Jésus Christ notre Dieu, ton Fils unique, le très saint et tu m’as enivré à la coupe divine, c’est-à-dire à la coupe de son sang qui fait vivre, et qu’il a répandu pour le salut du monde entier.
Et maintenant, Seigneur, tu m’as appelé, par l’intermédiaire de ton grand prêtre au service de tes disciples. Donne-moi de dire hardiment ta parole, que la langue de feu de ton Esprit me donne une langue parfaitement libre, et me rende toujours attentif à ta présence.
Sois mon berger, Seigneur, et sois avec moi le berger de tes brebis.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
« « Prière avant la Communion » de Saint Jean - « Prières Mariales » de Saint Cyrille d’Alexandrie »
La Prière de Saint Jean Damascène :
« Ô Vierge Marie, si vous êtes irritée, c'est contre le péché et l'auteur du péché » :
« Ô Vierge Marie, si vous êtes irritée, c'est contre le péché et l'auteur du péché.
Vous aurez une vie supérieure à la nature, mais vous ne vivrez pas pour vous, car ce n'est pas pour vous que vous êtes née.
Cette vie, vous la consacrerez tout entière à Dieu, car c'est Lui qui vous a introduite dans le monde, pour servir au salut du genre humain, pour accomplir le plan de Dieu, c'est-à-dire l'Incarnation de votre Fils et notre déification.
Votre cœur se nourrira des paroles de Dieu : elles vous féconderont comme l'olivier fertile dans la maison de Dieu, comme l'arbre planté au bord des eaux vives de l'Esprit, comme l'arbre de vie qui a donné son fruit au moment prédit : le Dieu incarné, la vie de toutes choses.
Votre cœur très pur, exempt de toute souillure, contemplera toujours le Dieu de toute pureté et brûlera de désir pour lui.
Votre sein sera la demeure de Celui qu'aucun lieu ne peut contenir. Votre lait, dans le petit enfant Jésus, nourrira Dieu.
Vous êtes la porte de Dieu, éclatante d'une perpétuelle virginité. Vos mains porteront Dieu ; vos genoux seront pour lui un trône plus sublime que celui des Chérubins.
Vous êtes le temple du Saint-Esprit, la cité de Dieu vivant, que réjouissent les fleuves abondants de la grâce divine.
Vous êtes toute belle, toute proche de Dieu, plus haute que les Chérubins et les Séraphins, très proche de Dieu lui-même. Salut, Marie, douce enfant d'Anne !
De nouveau l'amour m'amène jusqu'à vous.
Comment pourrai-je décrire votre démarche pleine de sérieux, votre vêtement ; le charme de votre visage, cette sagesse que donne l'âge unie à la jeunesse du corps ?
Votre vêtement était plein de modestie, sans luxe comme sans mollesse. Votre démarche était grave, sans précipitation comme sans nonchalance. Votre conduite était austère, quoique tempérée par la joie, mais n'attirant jamais l'attention des hommes.
Ce qui le prouve, c'est votre crainte devant la visite inattendue de l'ange. Vous étiez soumise et docile à vos parents.
Votre âme restait humble au milieu des contemplations les plus sublimes. Votre parole était agréable, car elle traduisait la douceur de votre âme. Quelle demeure aurait été plus digne de Dieu ?
Il est juste que toutes les générations vous proclament bienheureuse, remarquable honneur du genre humain.
Vous êtes la gloire du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité.
C'est par vous que l'honneur de la virginité s'est partout répandu.
Que soient bénis ceux qui vous reconnaissent pour la Mère de Dieu, maudits ceux qui ne le veulent pas.
Ainsi soit-il. »
La Prière de Saint Jean Damascène :
« Ô Vierge Marie, si vous êtes irritée, c'est contre le péché et l'auteur du péché » :
« Ô Vierge Marie, si vous êtes irritée, c'est contre le péché et l'auteur du péché.
Vous aurez une vie supérieure à la nature, mais vous ne vivrez pas pour vous, car ce n'est pas pour vous que vous êtes née.
Cette vie, vous la consacrerez tout entière à Dieu, car c'est Lui qui vous a introduite dans le monde, pour servir au salut du genre humain, pour accomplir le plan de Dieu, c'est-à-dire l'Incarnation de votre Fils et notre déification.
Votre cœur se nourrira des paroles de Dieu : elles vous féconderont comme l'olivier fertile dans la maison de Dieu, comme l'arbre planté au bord des eaux vives de l'Esprit, comme l'arbre de vie qui a donné son fruit au moment prédit : le Dieu incarné, la vie de toutes choses.
Votre cœur très pur, exempt de toute souillure, contemplera toujours le Dieu de toute pureté et brûlera de désir pour lui.
Votre sein sera la demeure de Celui qu'aucun lieu ne peut contenir. Votre lait, dans le petit enfant Jésus, nourrira Dieu.
Vous êtes la porte de Dieu, éclatante d'une perpétuelle virginité. Vos mains porteront Dieu ; vos genoux seront pour lui un trône plus sublime que celui des Chérubins.
Vous êtes le temple du Saint-Esprit, la cité de Dieu vivant, que réjouissent les fleuves abondants de la grâce divine.
Vous êtes toute belle, toute proche de Dieu, plus haute que les Chérubins et les Séraphins, très proche de Dieu lui-même. Salut, Marie, douce enfant d'Anne !
De nouveau l'amour m'amène jusqu'à vous.
Comment pourrai-je décrire votre démarche pleine de sérieux, votre vêtement ; le charme de votre visage, cette sagesse que donne l'âge unie à la jeunesse du corps ?
Votre vêtement était plein de modestie, sans luxe comme sans mollesse. Votre démarche était grave, sans précipitation comme sans nonchalance. Votre conduite était austère, quoique tempérée par la joie, mais n'attirant jamais l'attention des hommes.
Ce qui le prouve, c'est votre crainte devant la visite inattendue de l'ange. Vous étiez soumise et docile à vos parents.
Votre âme restait humble au milieu des contemplations les plus sublimes. Votre parole était agréable, car elle traduisait la douceur de votre âme. Quelle demeure aurait été plus digne de Dieu ?
Il est juste que toutes les générations vous proclament bienheureuse, remarquable honneur du genre humain.
Vous êtes la gloire du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité.
C'est par vous que l'honneur de la virginité s'est partout répandu.
Que soient bénis ceux qui vous reconnaissent pour la Mère de Dieu, maudits ceux qui ne le veulent pas.
Ainsi soit-il. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
" Salut ,Ô Notre Dame ,Mëre de Dieu "
« Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui l'Eternel est né, l'Absolu devient et l'Eternel grandit !
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui l'Incorporel s'incarna pour nous, l'Intemporel commence et l'Inaccessible est contenu !
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui la Vie commence à vivre, celui qui est sans prix est mis à prix, celui qui est sans chair s'incarne !
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui l'incréé est créé, le Riche devient pauvre et le Très-Haut devient petit enfant.
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui le Fils et Verbe de Dieu, par indicible miséricorde, apparut Fils de l'Homme.
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui vint le plus beau des enfants des hommes !
Ainsi soit-il. »
« Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui l'Eternel est né, l'Absolu devient et l'Eternel grandit !
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui l'Incorporel s'incarna pour nous, l'Intemporel commence et l'Inaccessible est contenu !
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui la Vie commence à vivre, celui qui est sans prix est mis à prix, celui qui est sans chair s'incarne !
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui l'incréé est créé, le Riche devient pauvre et le Très-Haut devient petit enfant.
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui le Fils et Verbe de Dieu, par indicible miséricorde, apparut Fils de l'Homme.
Salut, Ô Notre-Dame, Mère de Dieu, par qui vint le plus beau des enfants des hommes !
Ainsi soit-il. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Voici une Prière sur la Nativité de la Très Sainte Vierge Marie
« Ô fille du roi David et Mère de Dieu »
« Ô fille du roi David et Mère de Dieu, roi universel.
Ô divin et vivant objet dont la beauté a charmé le Dieu créateur, vous dont l'âme est toute sous l'action divine et attentive à Dieu seul ; tous vos désirs sont tendus vers Celui-là seul qui mérite qu'on le cherche et qui est digne d'amour ; vous n'avez de colère que pour le péché et son auteur.
Vous aurez une vie supérieure à la nature mais vous ne l'aurez pas pour vous, vous qui n'avez pas été créée pour vous.
Vous l'aurez consacrée tout entière à Dieu qui vous a introduite dans le monde afin de servir au salut du genre humain, afin d'accomplir le dessein de Dieu, l'Incarnation de son Fils et la déification du genre humain.
Votre coeur se nourrira des paroles de Dieu : elles vous féconderont, comme l'olivier fertile dans la maison de Dieu, comme l'arbre planté au bord des eaux vives de l'Esprit, comme l'arbre de vie qui a donné son fruit au temps fixé : le Dieu incarné, la vie de toutes choses.
Vos pensées n'auront d'autre objet que ce qui profite à l'âme, et toute idée non seulement pernicieuse, mais inutile, vous la rejetterez avant même d'en avoir senti le goût.
Vos yeux seront toujours tournés vers le Seigneur, vers la lumière éternelle et inaccessible ; vos oreilles attentives aux paroles divines et au son de la harpe de l'Esprit par qui le Verbe est venu assumer notre chair.
Ô Vous qui êtes à la fois fille et souveraine de Joachim et d'Anne, accueillez la prière de votre pauvre serviteur : il n'est qu'un pécheur, et, pourtant, de tout son cœur, il vous aime et vous honore.
C'est en vous qu'il veut trouver la seule espérance de son bonheur, le guide de sa vie, la réconciliation auprès de votre Fils et le gage assuré de son salut.
Délivrez-moi du poids de mes fautes, dispersez l'obscurité accumulée autour de mon esprit, débarrassez-moi de mon épaisse boue, arrêtez mes tentations, gouvernez ma vie avec bonheur et conduisez-moi au bonheur du ciel.
Accordez la paix au monde.
Donnez à tous les chrétiens de cette ville la joie parfaite et le salut éternel.
Nous vous en supplions, obtenez-nous d'être sauvés, d'être délivrés des passions de nos âmes, d'être guéris des maladies de nos corps, d'être délivrés de nos difficultés ; obtenez-nous une vie tranquille dans la lumière de l'Esprit.
Enflammez-nous d'amour pour votre Fils.
Que notre vie lui soit agréable, pour que, établis dans la béatitude du ciel, nous puissions vous voir un jour resplendir dans la gloire de votre Fils, pour que nous puissions chanter, dans une joie sans fin, des hymnes saintes d'une manière digne de l'Esprit, au milieu de l'assemblée des élus, en l'honneur de Celui qui, par vous, nous a sauvés, le Christ, Fils de Dieu et notre Dieu.
A lui soient la puissance et la gloire, avec le Père et l'Esprit, maintenant et toujours, dans les siècles des siècles.
Amen. »
« Ô fille du roi David et Mère de Dieu »
« Ô fille du roi David et Mère de Dieu, roi universel.
Ô divin et vivant objet dont la beauté a charmé le Dieu créateur, vous dont l'âme est toute sous l'action divine et attentive à Dieu seul ; tous vos désirs sont tendus vers Celui-là seul qui mérite qu'on le cherche et qui est digne d'amour ; vous n'avez de colère que pour le péché et son auteur.
Vous aurez une vie supérieure à la nature mais vous ne l'aurez pas pour vous, vous qui n'avez pas été créée pour vous.
Vous l'aurez consacrée tout entière à Dieu qui vous a introduite dans le monde afin de servir au salut du genre humain, afin d'accomplir le dessein de Dieu, l'Incarnation de son Fils et la déification du genre humain.
Votre coeur se nourrira des paroles de Dieu : elles vous féconderont, comme l'olivier fertile dans la maison de Dieu, comme l'arbre planté au bord des eaux vives de l'Esprit, comme l'arbre de vie qui a donné son fruit au temps fixé : le Dieu incarné, la vie de toutes choses.
Vos pensées n'auront d'autre objet que ce qui profite à l'âme, et toute idée non seulement pernicieuse, mais inutile, vous la rejetterez avant même d'en avoir senti le goût.
Vos yeux seront toujours tournés vers le Seigneur, vers la lumière éternelle et inaccessible ; vos oreilles attentives aux paroles divines et au son de la harpe de l'Esprit par qui le Verbe est venu assumer notre chair.
Ô Vous qui êtes à la fois fille et souveraine de Joachim et d'Anne, accueillez la prière de votre pauvre serviteur : il n'est qu'un pécheur, et, pourtant, de tout son cœur, il vous aime et vous honore.
C'est en vous qu'il veut trouver la seule espérance de son bonheur, le guide de sa vie, la réconciliation auprès de votre Fils et le gage assuré de son salut.
Délivrez-moi du poids de mes fautes, dispersez l'obscurité accumulée autour de mon esprit, débarrassez-moi de mon épaisse boue, arrêtez mes tentations, gouvernez ma vie avec bonheur et conduisez-moi au bonheur du ciel.
Accordez la paix au monde.
Donnez à tous les chrétiens de cette ville la joie parfaite et le salut éternel.
Nous vous en supplions, obtenez-nous d'être sauvés, d'être délivrés des passions de nos âmes, d'être guéris des maladies de nos corps, d'être délivrés de nos difficultés ; obtenez-nous une vie tranquille dans la lumière de l'Esprit.
Enflammez-nous d'amour pour votre Fils.
Que notre vie lui soit agréable, pour que, établis dans la béatitude du ciel, nous puissions vous voir un jour resplendir dans la gloire de votre Fils, pour que nous puissions chanter, dans une joie sans fin, des hymnes saintes d'une manière digne de l'Esprit, au milieu de l'assemblée des élus, en l'honneur de Celui qui, par vous, nous a sauvés, le Christ, Fils de Dieu et notre Dieu.
A lui soient la puissance et la gloire, avec le Père et l'Esprit, maintenant et toujours, dans les siècles des siècles.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
La Prière du soir de Saint Jean Damascène
« Maître ami des hommes, ce lit ne sera-t-il pas mon tombeau ? » :
« Maître ami des hommes, ce lit ne sera-t-il pas mon tombeau ?
Éclaireras-Tu de nouveau avec le jour mon âme misérable ?
Voici que devant moi gît la tombe, que devant moi se dresse la mort.
Je crains Ton jugement et l'éternelle peine, et néanmoins je ne cesse de faire le mal: je T'irrite sans cesse, Toi, Seigneur mon Dieu, et Ta Mère toute pure, les Puissances célestes et mon Ange gardien.
Je sais que je suis indigne de Ton amour des hommes, je suis digne plutôt de toute condamnation et de tout châtiment.
Mais, Seigneur, que je le désire ou non, sauve-moi.
Car si Tu sauves le juste, cela n'a rien d'étonnant ; que le pur obtienne Ta miséricorde, il n'y a là rien d'extraordinaire, puisqu'ils sont dignes de Ton amour.
Mais en moi, pécheur, montre les merveilles de Ta miséricorde : manifeste en cela Ton amour pour les hommes, afin que le mal qui est en moi ne triomphe pas de Ton ineffable bonté et de Ta mansuétude ; agis donc envers moi selon Ta volonté.
Amen. »
« Maître ami des hommes, ce lit ne sera-t-il pas mon tombeau ? » :
« Maître ami des hommes, ce lit ne sera-t-il pas mon tombeau ?
Éclaireras-Tu de nouveau avec le jour mon âme misérable ?
Voici que devant moi gît la tombe, que devant moi se dresse la mort.
Je crains Ton jugement et l'éternelle peine, et néanmoins je ne cesse de faire le mal: je T'irrite sans cesse, Toi, Seigneur mon Dieu, et Ta Mère toute pure, les Puissances célestes et mon Ange gardien.
Je sais que je suis indigne de Ton amour des hommes, je suis digne plutôt de toute condamnation et de tout châtiment.
Mais, Seigneur, que je le désire ou non, sauve-moi.
Car si Tu sauves le juste, cela n'a rien d'étonnant ; que le pur obtienne Ta miséricorde, il n'y a là rien d'extraordinaire, puisqu'ils sont dignes de Ton amour.
Mais en moi, pécheur, montre les merveilles de Ta miséricorde : manifeste en cela Ton amour pour les hommes, afin que le mal qui est en moi ne triomphe pas de Ton ineffable bonté et de Ta mansuétude ; agis donc envers moi selon Ta volonté.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
"Les prophètes de l’Ancien Testament Te chantent Marie, l'Echelle par qui Dieu est descendu vers nous " :
« Tu es le Trône royal, ô Marie, près de qui se tiennent les anges ; leur Maître et leur Créateur s'y trouve assis : ils le contemplent.
Tu es devenue l'Eden spirituel, plus sacré et plus divin que l'ancien ; dans le premier Paradis habitait l'Adam terrestre ; en toi, c'est le Seigneur venu du Ciel qui demeure.
L'Arche de Noé t'a préfigurée, elle qui sauva le germe de la seconde création : toi, tu as enfanté le Christ, celui qui sauve le monde.
N'est-ce pas toi que désignait par avance la fournaise au feu mêlé de rosée et de flammes ?
C'était l'image du feu divin qui vint habiter en toi.
La tente d'Abraham est de toi un présage manifeste : à Dieu le Verbe, venu habiter en ton sein comme sous la tente, la nature humaine a offert le pain cuit sous la cendre, c'est-à-dire les prémices de l'humanité nouvelle.
Jacob vit le Ciel réuni à la terre par une échelle, et, par son moyen, les Anges descendre et monter ; ainsi, toi-même, tu es devenue la Médiatrice et l'Echelle, par qui Dieu est descendu vers nous.
Quel est donc ce regain, évoqué par David, sur qui est descendu, comme la bruine, le Fils du Roi et du Dieu de l'Univers ?
N'est-ce pas toi, la Vierge inépousée, la Mère de Dieu ?
Quelle est la Vierge dont Isaïe annonça qu'elle concevrait et enfanterait ce Fils qui serait : « Dieu avec nous » ?
Ainsi, voulait-il dire que, devenu homme, il resterait Dieu.
Quelle est cette montagne de Daniel, dont la pierre d'angle, le Christ, fut détachée?
N'est-ce pas toi, qui conçus virginalement, et qui restas la toujours Vierge ?
Voilà pourquoi tous les prophètes te célèbrent, les Anges te sont soumis, les Apôtres te vénèrent et que nous, nous te chantons, toi, la Toujours-Vierge et la Mère de Dieu.
Amen. »
« Tu es le Trône royal, ô Marie, près de qui se tiennent les anges ; leur Maître et leur Créateur s'y trouve assis : ils le contemplent.
Tu es devenue l'Eden spirituel, plus sacré et plus divin que l'ancien ; dans le premier Paradis habitait l'Adam terrestre ; en toi, c'est le Seigneur venu du Ciel qui demeure.
L'Arche de Noé t'a préfigurée, elle qui sauva le germe de la seconde création : toi, tu as enfanté le Christ, celui qui sauve le monde.
N'est-ce pas toi que désignait par avance la fournaise au feu mêlé de rosée et de flammes ?
C'était l'image du feu divin qui vint habiter en toi.
La tente d'Abraham est de toi un présage manifeste : à Dieu le Verbe, venu habiter en ton sein comme sous la tente, la nature humaine a offert le pain cuit sous la cendre, c'est-à-dire les prémices de l'humanité nouvelle.
Jacob vit le Ciel réuni à la terre par une échelle, et, par son moyen, les Anges descendre et monter ; ainsi, toi-même, tu es devenue la Médiatrice et l'Echelle, par qui Dieu est descendu vers nous.
Quel est donc ce regain, évoqué par David, sur qui est descendu, comme la bruine, le Fils du Roi et du Dieu de l'Univers ?
N'est-ce pas toi, la Vierge inépousée, la Mère de Dieu ?
Quelle est la Vierge dont Isaïe annonça qu'elle concevrait et enfanterait ce Fils qui serait : « Dieu avec nous » ?
Ainsi, voulait-il dire que, devenu homme, il resterait Dieu.
Quelle est cette montagne de Daniel, dont la pierre d'angle, le Christ, fut détachée?
N'est-ce pas toi, qui conçus virginalement, et qui restas la toujours Vierge ?
Voilà pourquoi tous les prophètes te célèbrent, les Anges te sont soumis, les Apôtres te vénèrent et que nous, nous te chantons, toi, la Toujours-Vierge et la Mère de Dieu.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
« L'Arche du Seigneur aujourd'hui est entrée dans son repos » :
« Avec Mariam la prophétesse, ô jeunes âmes, formons des chœurs de danse avec des tambourins en mortifiant nos membres terrestres, car tel est le sens mystique du tambourin.
Poussons un cri de guerre, élevons la clameur de nos âmes devant l'Arche du Seigneur Dieu, et nous verrons tomber les murs de Jéricho, c'est-à-dire les forteresses hostiles des puissances adverses.
Avec David bondissons dans l'Esprit : car l'Arche du Seigneur aujourd'hui est entrée dans son repos.
Avec Gabriel, le chef des anges, écrions-nous :
« Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi ».
Réjouis-toi, inépuisable océan de la joie !
Réjouis-toi, seul remède capable de chasser la tristesse !
Sois dans la joie, toi le baume qui apaise la douleur de tous les cœurs ! Sois dans la joie, toi par qui la mort est expulsée, tandis que la vie fait son entrée !
Amen. »
« Avec Mariam la prophétesse, ô jeunes âmes, formons des chœurs de danse avec des tambourins en mortifiant nos membres terrestres, car tel est le sens mystique du tambourin.
Poussons un cri de guerre, élevons la clameur de nos âmes devant l'Arche du Seigneur Dieu, et nous verrons tomber les murs de Jéricho, c'est-à-dire les forteresses hostiles des puissances adverses.
Avec David bondissons dans l'Esprit : car l'Arche du Seigneur aujourd'hui est entrée dans son repos.
Avec Gabriel, le chef des anges, écrions-nous :
« Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi ».
Réjouis-toi, inépuisable océan de la joie !
Réjouis-toi, seul remède capable de chasser la tristesse !
Sois dans la joie, toi le baume qui apaise la douleur de tous les cœurs ! Sois dans la joie, toi par qui la mort est expulsée, tandis que la vie fait son entrée !
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
La Prière de Consécration Mariale de Saint Jean de Damas
« Ô Souveraine Mère de Dieu, nous Te consacrons notre âme et notre corps » :
« Nous nous tenons en ta Présence, ô Souveraine, oui, je le répète, Souveraine, Mère de Dieu et Vierge : nous attachons nos âmes à l'espérance que Tu es pour nous, une ancre absolument ferme et infrangible (He 6, 19), nous Te consacrons notre âme, notre corps, chacun de nous en toute sa personne : nous voulons T'honorer « par des psaumes, des hymnes, des cantiques inspirés » (Ep 5, 19), autant qu'il est en nous : car Te rendre honneur selon ta Dignité dépasse nos forces.
S'il est vrai, selon la Parole sacrée, que l'honneur rendu aux autres serviteurs est une preuve d'amour envers le Maître commun, l'honneur qui T'est rendu, à Toi la Mère de ton Maître, peut-il être négligé ?
Ne faut-il pas le rechercher avec zèle ?
N'est-il pas préférable même au souffle vital, et, ne donne-t-il pas la vie ?
Ainsi nous marquerons mieux notre attachement à notre propre Maître.
Que dis-je ?
Il suffit, en réalité, à ceux qui gardent pieusement ta Mémoire, d'avoir le don inestimable de ton Souvenir : il devient le comble de la joie impérissable.
De quelle allégresse n'est-il pas rempli, de quels biens, Celui qui a fait de son esprit la secrète demeure de ton très saint souvenir ?
Voilà le témoignage de notre reconnaissance, les prémices de nos discours, l'essai de notre misérable pensée, qui, animée par ton Amour, a oublié sa propre faiblesse.
Mais reçois avec bienveillance notre ardent désir, sachant qu'il va plus loin que nos forces. Jette tes yeux sur nous, ô Souveraine excellente, Mère de notre bon Souverain ; gouverne et conduis à ton gré notre destinée, apaise les mouvements de nos honteuses passions, guide notre route jusqu'au port sans orages de la divine volonté ; et gratifie-nous de la félicité future, cette douce illumination par la face même du Verbe de Dieu (Ps 67,2 ; Ps 119, 135), qui s'est incarné par Toi.
Avec Lui, au Père, gloire, honneur, force, majesté et magnificence, en la compagnie de son Esprit très saint, bienveillant et vivifiant, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles.
Amen. »
« Ô Souveraine Mère de Dieu, nous Te consacrons notre âme et notre corps » :
« Nous nous tenons en ta Présence, ô Souveraine, oui, je le répète, Souveraine, Mère de Dieu et Vierge : nous attachons nos âmes à l'espérance que Tu es pour nous, une ancre absolument ferme et infrangible (He 6, 19), nous Te consacrons notre âme, notre corps, chacun de nous en toute sa personne : nous voulons T'honorer « par des psaumes, des hymnes, des cantiques inspirés » (Ep 5, 19), autant qu'il est en nous : car Te rendre honneur selon ta Dignité dépasse nos forces.
S'il est vrai, selon la Parole sacrée, que l'honneur rendu aux autres serviteurs est une preuve d'amour envers le Maître commun, l'honneur qui T'est rendu, à Toi la Mère de ton Maître, peut-il être négligé ?
Ne faut-il pas le rechercher avec zèle ?
N'est-il pas préférable même au souffle vital, et, ne donne-t-il pas la vie ?
Ainsi nous marquerons mieux notre attachement à notre propre Maître.
Que dis-je ?
Il suffit, en réalité, à ceux qui gardent pieusement ta Mémoire, d'avoir le don inestimable de ton Souvenir : il devient le comble de la joie impérissable.
De quelle allégresse n'est-il pas rempli, de quels biens, Celui qui a fait de son esprit la secrète demeure de ton très saint souvenir ?
Voilà le témoignage de notre reconnaissance, les prémices de nos discours, l'essai de notre misérable pensée, qui, animée par ton Amour, a oublié sa propre faiblesse.
Mais reçois avec bienveillance notre ardent désir, sachant qu'il va plus loin que nos forces. Jette tes yeux sur nous, ô Souveraine excellente, Mère de notre bon Souverain ; gouverne et conduis à ton gré notre destinée, apaise les mouvements de nos honteuses passions, guide notre route jusqu'au port sans orages de la divine volonté ; et gratifie-nous de la félicité future, cette douce illumination par la face même du Verbe de Dieu (Ps 67,2 ; Ps 119, 135), qui s'est incarné par Toi.
Avec Lui, au Père, gloire, honneur, force, majesté et magnificence, en la compagnie de son Esprit très saint, bienveillant et vivifiant, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
La Prière de Saint Jean de Damas
« Je Vous salue Marie » :
« Je Vous salue, Marie, dont le nom semble indiquer l'abondance infinie des louanges que Vous méritez. Car quelque innombrables que soient les éloges que l'on puisse faire de Vous, jamais on ne parviendra à exprimer ce qui convient à votre Dignité.
Je Vous salue, grande Reine, qui avez obtenu de dominer, par l'autorité maternelle, le Dominateur de l'univers ; assurer que tout Vous est soumis, ce n'est pas s'éloigner beaucoup de la vérité.
Je Vous salue, Buisson environné de flammes, qui ne portent aucun préjudice et aucune atteinte à sa tige miraculeuse ; ainsi inaccessible au péché, Vous avez, par votre enfantement divin, rouvert aux mortels l'accès du royaume céleste.
Je Vous salue, Arche sacrée, Sanctuaire construit par la main de Dieu, où le Créateur du siècle nouveau a déposé ses trésors, et d'où est sorti Jésus le nouveau Noé qui a rempli de sainteté le monde de ces derniers temps.
Je Vous salue, Tige sacrée, Rameau planté par le Seigneur Lui-même, Vous qui seule féconde entre toutes les vierges, avez fait sans aucun secours humain germer comme une belle Fleur, un Fils tout-puissant qui est le Maître de l'univers.
Je Vous salue, Urne fabriquée de l'or le plus pur, Vase séparé de tout autre vase, d'où le monde entier reçoit le don de la manne céleste, je veux dire le Pain de vie, cuit aux saintes ardeurs de la divinité.
Je Vous salue, Tabernacle élevé par la puissance de Dieu, nouvelle création, Ciel nouveau mille fois supérieur à la voûte du firmament, d'où est sorti le Très-Haut pour habiter en personne avec les hommes, et d'où a découlé sur la terre, l'éternelle propitiation.
Je Vous salue Encensoir d'or, mais d'un or tout spirituel, qui portant en Vous un charbon divin, exhalez les doux parfums de l'esprit et dissipez l'odeur infecte de la corruption mondaine.
Je Vous salue, Temple du Seigneur, séjour de pureté, Vous dont David a dit : « Seigneur, votre temple est saint et admirable par sa justice » ; Vous à qui Jésus-Christ a emprunté le tabernacle de son Corps pour faire des mortels le tabernacle du Dieu vivant.
Je Vous salue, Source expiatrice, Fontaine abondante en eaux célestes, Ruisseau qui roulez des flots de sainteté, et d'où surgit le Saint des saints, qui efface les péchés du genre humain. Je Vous salue, Lieu ineffable où repose le Seigneur, terre que ses Pieds ont doucement foulée, qui avez attaché à un lieu, en Le revêtant de la chair, Celui qui était libre de tout lieu, qui avez rendu composé Celui qui était simple, temporel, Celui qui était éternel, borné Celui qui ne connaissait point de bornes.
Je Vous salue, Porte tournée à l'orient, d'où s'élance le soleil levant de la vie, dont les rayons diminuent pour l'homme le triste couchant de la mort.
Je Vous salue, Trône glorieux dont le faîte s'élève jusqu'aux nues, Siège animé, où prend place le Roi du ciel, et où Il goûte un repos plus doux que dans les célestes intelligences elles-mêmes.
Je Vous salue, vrai chérubin, âme embrasée d'ardeurs, riche en sentiments divins qui sont comme autant d'yeux pour Vous ; Centre de clarté, qui lancez des traits multipliés de grâce, et dont la libéralité transmet aux hommes la lumière qui ne se couche jamais.
Je Vous salue, Mère étrangère aux douceurs du Mariage, seule Immaculée parmi les mères, qui avez obtenu les joies de la maternité, en conservant les privilèges de la virginité ; Prodige singulier, Prodige nouveau qui surpasse tous les miracles.
Je Vous salue, Vierge féconde, seule Mère parmi les vierges, qui avez gardé le trésor de la virginité en recevant les consolations de la maternité, merveille qui, par la grandeur de l'étonnement qu'elle inspire, éclipse toutes les autres merveilles.
Je Vous salue, Sceau royal, qui avez formé de votre substance le Roi de l'univers qui naît de Vous dans un petit corps semblable à celui de sa mère ; car c'est une loi invariable, que telle est la mère, tel doit être le fils.
Je Vous salue, Livre scellé, étranger à toutes les pensées des passions, où se laisse entrevoir, mais seulement à l'œil virginal, Celui qui est l'arbitre de la Loi divine.
Je Vous salue, Volume pur et incorruptible, où est gravé le nouveau mystère, où le Verbe exempt de toute forme a pris un corps dessiné d'après la forme et les couleurs humaines, en se rendant semblable à nous sous tous les rapports, excepté sous celui du péché.
Je Vous salue, Fontaine scellée, Source d'innocence d'où a découlé, sans porter atteinte aux sceaux de la virginité, Jésus le ruisseau de la vie, qui par la participation de ses biens, nous a rappelés à l'immortalité et ramenés à ce paradis qui ne vieillit jamais.
Je Vous salue, Jardin fermé, Bosquet fertile, mais où la virginité n'a jamais donné aucun accès, et dont l'odeur est comme celle d'un champ en plein rapport, qu'a béni le Seigneur à qui Vous avez communiqué la vie.
Je Vous salue, Rose incorruptible, dont le parfum est si suave qu'on ne saurait en exprimer la douceur ; le Seigneur l'a senti, et Il est venu se reposer en elle, Il a germé d'elle comme une fleur qui a réduit au néant la vaine odeur du monde...
Je Vous salue, ô Lys, dont le Fils Jésus revêt de splendeur les lys de nos campagnes, ô Parterre odoriférant, où ce divin Sauveur a, sans culture et sans travail mortel, revêtu cette robe éclatante qui fait pâlir les ornements d'un Salomon.
Je Vous salue, céleste Aromate dont les gouttes embaumées exhalent une odeur si douce à celui qui a dit dans le Cantique des Cantiques : « Mon nard a donné son odeur ».
Je Vous salue, Fille auguste, jeune Prêtresse du Dieu vivant, dont la pureté excite les désirs, et dont la parure attire l'admiration du Seigneur, comme Il le témoigne dans le même livre par ces paroles : « Que vos pas sont beaux, que votre chaussure est brillante, fille d'Aminadab ».
Je Vous salue, illustre Sœur, Amour suprême de ce noble frère dont Vous partagez le titre et la beauté, et qui Vous dit encore: « Vous avez blessé mon cœur, ô ma sœur, ô mon épouse, vous avez blessé mon cœur ».
Je Vous salue, chaste Epouse, dont l'Esprit-Saint a présidé les noces, et dont l'époux est Jésus-Christ même qui chante dans les Cantique des Cantiques : « Vous êtes toute belle, ô ma bien-aimée, et il n y a point de tache en vous ; venez, ô mon épouse, venez du Liban ».
Je Vous salue, Or très pur, éprouvé par le feu du Saint Esprit dans le creuset du siècle, et que la rouille de la malice n'a jamais souillé, or mystérieux dont se composaient le chandelier, la table et tous les autres objets qui, selon les prescriptions de la loi, faits de ce précieux métal, représentaient, dans un sens allégorique et nullement ambigu, votre personne sacrée sous des noms divers et multipliés.
Je Vous salue, Bois incorruptible, qui n'avez jamais admis en Vous de vers rongeur, Vous qui avez fourni la matière pour élever à Dieu un tribunal et un autel spirituels formés, non d'un bois impérissable, mais de votre sein immaculé.
Je Vous salue, Pourpre royale, qui de votre sang virginal avez tissé un vêtement écarlate au Dieu qui a dit : « Les plis de votre Me sont comme la pourpre qui a été liée et teinte dans les canaux du roi ; que vous êtes belle ! Que vous êtes aimable ! »
Je Vous salue, lien fortement filé, qui renfermez dans vos nœuds les hautes pensées et les sentiments sublimes, qui ne mollissez jamais, et jamais ne cédez aux attaques de la séduction... ; Pourpre sacrée, Or précieux qui se confondent dans un même tissu, pour former l'éphod du Pontife suprême des vertus célestes...
Je Vous salue, Nuée légère, qui, comme à l'autel, avez caché le Pain de vie, et sur laquelle s'est assis le Seigneur, ainsi qu'Isaïe l'a prophétisé.
Je Vous salue, Vierge sans tache, Honneur de la sainte intégrité, qui avez enfanté le Verbe Immaculé, et fait luire la splendeur de la virginité qui abrège la durée du monde, en multipliant les élus.
Je Vous salue, Modèle de pureté, qui pouvez seule Vous glorifier d'avoir un cœur sans souillure, Montagne vraiment agréable à Dieu, du haut de laquelle est communiqué au nouvel Israël une sainteté plus excellente et plus durable que l'ancienne.
Je Vous salue, Toison de Gédéon, Symbole de victoire, de laquelle a coulé en figure la rosée immortelle, qui a tenu ce langage : « Ayez confiance, j'ai vaincu le monde... »
Je Vous salue, Nuée lumineuse, qui couvra de l'ombre de votre intercession le nouvel Israël dans la solitude de cette vie, et du fond de laquelle ont retenti les décrets de la grâce...
Je Vous salue, Chandelier d'or, Vase solide de la virginité, dont l'inspiration du Saint-Esprit est la mèche mystérieuse, et dont l'huile est le corps sacré emprunté à votre chair immaculée, heureuse combinaison d'où procède la lumière qui ne connaît pas de couchant, et qui allumé par votre saint ministère a brillé sur les peuples assis dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort, pour les conduire à la vie éternelle.
Je Vous salue, pleine de grâce ; que peut-il y avoir, et quant au nom et quant à la réalité, de plus consolant, de plus gracieux que Vous, par qui est venu au monde Jésus-Christ la joie immortelle, le remède à la tristesse attirée par Adam sur nos têtes.
Je Vous salue, Paradis de délices, Jardin plus fortuné que l'Éden, où a germé la plante verdoyante de toute vertu, et brillé l'arbre de la vie ; car c'est par le saint commerce que Vous avez eu avec Dieu, que nous sommes rappelés à la vie primitive, malgré les menaces du glaive flamboyant dont parle l'Écriture, et qui cède et fuit devant Vous.
Je Vous salue, Cité du grand Roi, pour emprunter les oracles de David, cité célèbre et glorieuse, où s'ouvre le palais des cieux, où les habitants de la terre inscrits comme citoyens, tressaillent d'une joie perpétuelle, et dont l'esprit enfin et la langue de tous font de grandes et admirables peintures en Jésus-Christ duquel Vous m'obtiendrez grâce pour la faute que j'ai commise en osant, malgré ma misère et mon peu de talent pour la parole, essayer de chanter Vos louanges innombrables. A Lui soit, comme il convient, gloire, honneur et adoration, maintenant et toujours et dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il. »
« Je Vous salue Marie » :
« Je Vous salue, Marie, dont le nom semble indiquer l'abondance infinie des louanges que Vous méritez. Car quelque innombrables que soient les éloges que l'on puisse faire de Vous, jamais on ne parviendra à exprimer ce qui convient à votre Dignité.
Je Vous salue, grande Reine, qui avez obtenu de dominer, par l'autorité maternelle, le Dominateur de l'univers ; assurer que tout Vous est soumis, ce n'est pas s'éloigner beaucoup de la vérité.
Je Vous salue, Buisson environné de flammes, qui ne portent aucun préjudice et aucune atteinte à sa tige miraculeuse ; ainsi inaccessible au péché, Vous avez, par votre enfantement divin, rouvert aux mortels l'accès du royaume céleste.
Je Vous salue, Arche sacrée, Sanctuaire construit par la main de Dieu, où le Créateur du siècle nouveau a déposé ses trésors, et d'où est sorti Jésus le nouveau Noé qui a rempli de sainteté le monde de ces derniers temps.
Je Vous salue, Tige sacrée, Rameau planté par le Seigneur Lui-même, Vous qui seule féconde entre toutes les vierges, avez fait sans aucun secours humain germer comme une belle Fleur, un Fils tout-puissant qui est le Maître de l'univers.
Je Vous salue, Urne fabriquée de l'or le plus pur, Vase séparé de tout autre vase, d'où le monde entier reçoit le don de la manne céleste, je veux dire le Pain de vie, cuit aux saintes ardeurs de la divinité.
Je Vous salue, Tabernacle élevé par la puissance de Dieu, nouvelle création, Ciel nouveau mille fois supérieur à la voûte du firmament, d'où est sorti le Très-Haut pour habiter en personne avec les hommes, et d'où a découlé sur la terre, l'éternelle propitiation.
Je Vous salue Encensoir d'or, mais d'un or tout spirituel, qui portant en Vous un charbon divin, exhalez les doux parfums de l'esprit et dissipez l'odeur infecte de la corruption mondaine.
Je Vous salue, Temple du Seigneur, séjour de pureté, Vous dont David a dit : « Seigneur, votre temple est saint et admirable par sa justice » ; Vous à qui Jésus-Christ a emprunté le tabernacle de son Corps pour faire des mortels le tabernacle du Dieu vivant.
Je Vous salue, Source expiatrice, Fontaine abondante en eaux célestes, Ruisseau qui roulez des flots de sainteté, et d'où surgit le Saint des saints, qui efface les péchés du genre humain. Je Vous salue, Lieu ineffable où repose le Seigneur, terre que ses Pieds ont doucement foulée, qui avez attaché à un lieu, en Le revêtant de la chair, Celui qui était libre de tout lieu, qui avez rendu composé Celui qui était simple, temporel, Celui qui était éternel, borné Celui qui ne connaissait point de bornes.
Je Vous salue, Porte tournée à l'orient, d'où s'élance le soleil levant de la vie, dont les rayons diminuent pour l'homme le triste couchant de la mort.
Je Vous salue, Trône glorieux dont le faîte s'élève jusqu'aux nues, Siège animé, où prend place le Roi du ciel, et où Il goûte un repos plus doux que dans les célestes intelligences elles-mêmes.
Je Vous salue, vrai chérubin, âme embrasée d'ardeurs, riche en sentiments divins qui sont comme autant d'yeux pour Vous ; Centre de clarté, qui lancez des traits multipliés de grâce, et dont la libéralité transmet aux hommes la lumière qui ne se couche jamais.
Je Vous salue, Mère étrangère aux douceurs du Mariage, seule Immaculée parmi les mères, qui avez obtenu les joies de la maternité, en conservant les privilèges de la virginité ; Prodige singulier, Prodige nouveau qui surpasse tous les miracles.
Je Vous salue, Vierge féconde, seule Mère parmi les vierges, qui avez gardé le trésor de la virginité en recevant les consolations de la maternité, merveille qui, par la grandeur de l'étonnement qu'elle inspire, éclipse toutes les autres merveilles.
Je Vous salue, Sceau royal, qui avez formé de votre substance le Roi de l'univers qui naît de Vous dans un petit corps semblable à celui de sa mère ; car c'est une loi invariable, que telle est la mère, tel doit être le fils.
Je Vous salue, Livre scellé, étranger à toutes les pensées des passions, où se laisse entrevoir, mais seulement à l'œil virginal, Celui qui est l'arbitre de la Loi divine.
Je Vous salue, Volume pur et incorruptible, où est gravé le nouveau mystère, où le Verbe exempt de toute forme a pris un corps dessiné d'après la forme et les couleurs humaines, en se rendant semblable à nous sous tous les rapports, excepté sous celui du péché.
Je Vous salue, Fontaine scellée, Source d'innocence d'où a découlé, sans porter atteinte aux sceaux de la virginité, Jésus le ruisseau de la vie, qui par la participation de ses biens, nous a rappelés à l'immortalité et ramenés à ce paradis qui ne vieillit jamais.
Je Vous salue, Jardin fermé, Bosquet fertile, mais où la virginité n'a jamais donné aucun accès, et dont l'odeur est comme celle d'un champ en plein rapport, qu'a béni le Seigneur à qui Vous avez communiqué la vie.
Je Vous salue, Rose incorruptible, dont le parfum est si suave qu'on ne saurait en exprimer la douceur ; le Seigneur l'a senti, et Il est venu se reposer en elle, Il a germé d'elle comme une fleur qui a réduit au néant la vaine odeur du monde...
Je Vous salue, ô Lys, dont le Fils Jésus revêt de splendeur les lys de nos campagnes, ô Parterre odoriférant, où ce divin Sauveur a, sans culture et sans travail mortel, revêtu cette robe éclatante qui fait pâlir les ornements d'un Salomon.
Je Vous salue, céleste Aromate dont les gouttes embaumées exhalent une odeur si douce à celui qui a dit dans le Cantique des Cantiques : « Mon nard a donné son odeur ».
Je Vous salue, Fille auguste, jeune Prêtresse du Dieu vivant, dont la pureté excite les désirs, et dont la parure attire l'admiration du Seigneur, comme Il le témoigne dans le même livre par ces paroles : « Que vos pas sont beaux, que votre chaussure est brillante, fille d'Aminadab ».
Je Vous salue, illustre Sœur, Amour suprême de ce noble frère dont Vous partagez le titre et la beauté, et qui Vous dit encore: « Vous avez blessé mon cœur, ô ma sœur, ô mon épouse, vous avez blessé mon cœur ».
Je Vous salue, chaste Epouse, dont l'Esprit-Saint a présidé les noces, et dont l'époux est Jésus-Christ même qui chante dans les Cantique des Cantiques : « Vous êtes toute belle, ô ma bien-aimée, et il n y a point de tache en vous ; venez, ô mon épouse, venez du Liban ».
Je Vous salue, Or très pur, éprouvé par le feu du Saint Esprit dans le creuset du siècle, et que la rouille de la malice n'a jamais souillé, or mystérieux dont se composaient le chandelier, la table et tous les autres objets qui, selon les prescriptions de la loi, faits de ce précieux métal, représentaient, dans un sens allégorique et nullement ambigu, votre personne sacrée sous des noms divers et multipliés.
Je Vous salue, Bois incorruptible, qui n'avez jamais admis en Vous de vers rongeur, Vous qui avez fourni la matière pour élever à Dieu un tribunal et un autel spirituels formés, non d'un bois impérissable, mais de votre sein immaculé.
Je Vous salue, Pourpre royale, qui de votre sang virginal avez tissé un vêtement écarlate au Dieu qui a dit : « Les plis de votre Me sont comme la pourpre qui a été liée et teinte dans les canaux du roi ; que vous êtes belle ! Que vous êtes aimable ! »
Je Vous salue, lien fortement filé, qui renfermez dans vos nœuds les hautes pensées et les sentiments sublimes, qui ne mollissez jamais, et jamais ne cédez aux attaques de la séduction... ; Pourpre sacrée, Or précieux qui se confondent dans un même tissu, pour former l'éphod du Pontife suprême des vertus célestes...
Je Vous salue, Nuée légère, qui, comme à l'autel, avez caché le Pain de vie, et sur laquelle s'est assis le Seigneur, ainsi qu'Isaïe l'a prophétisé.
Je Vous salue, Vierge sans tache, Honneur de la sainte intégrité, qui avez enfanté le Verbe Immaculé, et fait luire la splendeur de la virginité qui abrège la durée du monde, en multipliant les élus.
Je Vous salue, Modèle de pureté, qui pouvez seule Vous glorifier d'avoir un cœur sans souillure, Montagne vraiment agréable à Dieu, du haut de laquelle est communiqué au nouvel Israël une sainteté plus excellente et plus durable que l'ancienne.
Je Vous salue, Toison de Gédéon, Symbole de victoire, de laquelle a coulé en figure la rosée immortelle, qui a tenu ce langage : « Ayez confiance, j'ai vaincu le monde... »
Je Vous salue, Nuée lumineuse, qui couvra de l'ombre de votre intercession le nouvel Israël dans la solitude de cette vie, et du fond de laquelle ont retenti les décrets de la grâce...
Je Vous salue, Chandelier d'or, Vase solide de la virginité, dont l'inspiration du Saint-Esprit est la mèche mystérieuse, et dont l'huile est le corps sacré emprunté à votre chair immaculée, heureuse combinaison d'où procède la lumière qui ne connaît pas de couchant, et qui allumé par votre saint ministère a brillé sur les peuples assis dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort, pour les conduire à la vie éternelle.
Je Vous salue, pleine de grâce ; que peut-il y avoir, et quant au nom et quant à la réalité, de plus consolant, de plus gracieux que Vous, par qui est venu au monde Jésus-Christ la joie immortelle, le remède à la tristesse attirée par Adam sur nos têtes.
Je Vous salue, Paradis de délices, Jardin plus fortuné que l'Éden, où a germé la plante verdoyante de toute vertu, et brillé l'arbre de la vie ; car c'est par le saint commerce que Vous avez eu avec Dieu, que nous sommes rappelés à la vie primitive, malgré les menaces du glaive flamboyant dont parle l'Écriture, et qui cède et fuit devant Vous.
Je Vous salue, Cité du grand Roi, pour emprunter les oracles de David, cité célèbre et glorieuse, où s'ouvre le palais des cieux, où les habitants de la terre inscrits comme citoyens, tressaillent d'une joie perpétuelle, et dont l'esprit enfin et la langue de tous font de grandes et admirables peintures en Jésus-Christ duquel Vous m'obtiendrez grâce pour la faute que j'ai commise en osant, malgré ma misère et mon peu de talent pour la parole, essayer de chanter Vos louanges innombrables. A Lui soit, comme il convient, gloire, honneur et adoration, maintenant et toujours et dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il. »
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
« Fille de Joachim et d'Anne, ô Souveraine, accueille la parole d'un serviteur pécheur » :
« Joachim et Anne, couple béni, recevez de moi ce discours d'anniversaire.
Fille de Joachim et d'Anne, ô Souveraine, accueille la parole d'un serviteur pécheur, mais que l'amour enflamme, pour qui Tu es le seul espoir de joie, la Protectrice de la vie, et, auprès de ton Fils, la Réconciliatrice et la Garantie ferme du Salut.
Puisses-Tu écarter le fardeau de mes péchés, dissiper le nuage qui obscurcit mon esprit et la lourdeur qui m'attache à la matière.
Puisses-Tu arrêter les tentations, gouverner heureusement ma vie et me conduire par la main jusqu'à la Béatitude d'en haut.
Accorde au monde la paix, et à tous les habitants orthodoxes de cette cité, une joie parfaite et le salut éternel, par les prières de tes parents et de tout le corps de l'Église. Ainsi soit-il ! Ainsi soit-il !
« Salut, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi; tu es bénie entre les femmes, et béni le fruit de ton sein, Jésus-Christ, le Fils de Dieu ».
A Lui la gloire, avec le Père et le Saint-Esprit, dans toute l'infinité des siècles.
Amen. »
« Joachim et Anne, couple béni, recevez de moi ce discours d'anniversaire.
Fille de Joachim et d'Anne, ô Souveraine, accueille la parole d'un serviteur pécheur, mais que l'amour enflamme, pour qui Tu es le seul espoir de joie, la Protectrice de la vie, et, auprès de ton Fils, la Réconciliatrice et la Garantie ferme du Salut.
Puisses-Tu écarter le fardeau de mes péchés, dissiper le nuage qui obscurcit mon esprit et la lourdeur qui m'attache à la matière.
Puisses-Tu arrêter les tentations, gouverner heureusement ma vie et me conduire par la main jusqu'à la Béatitude d'en haut.
Accorde au monde la paix, et à tous les habitants orthodoxes de cette cité, une joie parfaite et le salut éternel, par les prières de tes parents et de tout le corps de l'Église. Ainsi soit-il ! Ainsi soit-il !
« Salut, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi; tu es bénie entre les femmes, et béni le fruit de ton sein, Jésus-Christ, le Fils de Dieu ».
A Lui la gloire, avec le Père et le Saint-Esprit, dans toute l'infinité des siècles.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
« Je Te salue, ô Marie, fille très douce d'Anne » :
« Je Te salue, ô Marie, fille très douce d'Anne.
Vers Toi de nouveau l'amour m'attire.
Comment dépeindre ta démarche pleine de gravité, ton vêtement ?
Et la grâce de ton visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Ta tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; ta démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : ton caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin le trouble qui te saisit aux propos inattendus de l'ange.
A tes parents docile et obéissante, tu avais d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en toi, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations te proclament bienheureuse, toi la gloire insigne de l'humanité.
Tu es l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par toi que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
"Tu es bénie entre les femmes, et le fruit de ton sein est béni. "
Ceux qui confessent ta maternité divine sont bénis, et maudits ceux qui la nient.
Amen. »
« Je Te salue, ô Marie, fille très douce d'Anne.
Vers Toi de nouveau l'amour m'attire.
Comment dépeindre ta démarche pleine de gravité, ton vêtement ?
Et la grâce de ton visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Ta tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; ta démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : ton caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin le trouble qui te saisit aux propos inattendus de l'ange.
A tes parents docile et obéissante, tu avais d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en toi, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations te proclament bienheureuse, toi la gloire insigne de l'humanité.
Tu es l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par toi que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
"Tu es bénie entre les femmes, et le fruit de ton sein est béni. "
Ceux qui confessent ta maternité divine sont bénis, et maudits ceux qui la nient.
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
« Je Te salue, précieux Portique des brebis, que se multiplie ta Grâce ! » :
« Je Te salue, ô Portique des brebis, Demeure très sainte de la Mère de Dieu.
Je Te salue, Portique des brebis, domicile ancestral de la Reine, autrefois l'enclos des brebis de Joachim, devenu aujourd'hui l'Eglise du troupeau spirituel du Christ, cette imitation du ciel.
Jadis Tu recevais une fois par an l'ange de Dieu, qui agitait les eaux et rendait la santé à un seul homme en le délivrant du mal qui le paralysait (Jn 5, 4). Aujourd'hui Tu as ici des multitudes de puissances célestes qui célèbrent avec nous la Mère de Dieu, l'abîme des merveilles, la source de l'universelle guérison.
Tu as reçu, non un ange serviteur (Hb 1, 14), mais « l'Ange du grand conseil », descendu sans bruit sur la toison comme une pluie de bonté (Is 9, 5 ; Ps 72, 6), Celui qui a rétabli la nature entière, malade et penchant vers sa perte, dans une santé inaltérable et une vie sans vieillesse : par Lui, le paralytique qui gisait en toi a bondi comme un cerf (Is 35, 6 ; Ac 3, 7) ).
Je Te salue, précieux Portique des brebis, que se multiplie ta Grâce !
Amen. »
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Merci zamie très bel hommage à notre Maman du Ciel!!
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Je vous salue, ô Marie, fille très douce d'Anne.
Vers vous de nouveau l'amour nous attire.
Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en vous, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations vous proclament bienheureuse, vous la gloire insigne de l'humanité.
Vous êtes l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par vous que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
"Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. "
Ceux qui confessent votre maternité divine sont bénis, et maudits sont ceux qui la nient et la rejettent.
Ainsi soit-il. »
Vers vous de nouveau l'amour nous attire.
Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
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"Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. "
Ceux qui confessent votre maternité divine sont bénis, et maudits sont ceux qui la nient et la rejettent.
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Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en vous, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations vous proclament bienheureuse, vous la gloire insigne de l'humanité.
Vous êtes l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par vous que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
"Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. "
Ceux qui confessent votre maternité divine sont bénis, et maudits sont ceux qui la nient et la rejettent.
Ainsi soit-il. »
AnneLÉA- En adoration
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Bonjour et merciZamie a écrit:" Les prophètes de l’Ancien Testament Te chantent Marie, l'Echelle par qui Dieu est descendu vers nous"
de Saint Jean Damascène (676-749), surnommé aussi Saint Jean de Damas parce que né à Damas, déclaré Père et Docteur de l'Église Catholique par le pape Léon XIII en 1890, qui composa de nombreuses prières à la Vierge Marie dans la solitude de son Monastère de Saint-Sabas situé à quelques kilomètres de la ville de Bethléem dans le désert de Judée en Cisjordanie
La Prière de Saint Jean de Damas
"Les prophètes de l’Ancien Testament Te chantent Marie, l'Echelle par qui Dieu est descendu vers nous"
« Tu es le Trône royal, ô Marie, près de qui se tiennent les anges ; leur Maître et leur Créateur s'y trouve assis : ils le contemplent.
Tu es devenue l'Eden spirituel, plus sacré et plus divin que l'ancien ; dans le premier Paradis habitait l'Adam terrestre ; en toi, c'est le Seigneur venu du Ciel qui demeure.
L'Arche de Noé t'a préfigurée, elle qui sauva le germe de la seconde création : toi, tu as enfanté le Christ, celui qui sauve le monde.
N'est-ce pas toi que désignait par avance la fournaise au feu mêlé de rosée et de flammes ? C'était l'image du feu divin qui vint habiter en toi.
La tente d'Abraham est de toi un présage manifeste : à Dieu le Verbe, venu habiter en ton sein comme sous la tente, la nature humaine a offert le pain cuit sous la cendre, c'est-à-dire les prémices de l'humanité nouvelle.
Jacob vit le Ciel réuni à la terre par une échelle, et, par son moyen, les Anges descendre et monter ; ainsi, toi-même, tu es devenue la Médiatrice et l'Echelle, par qui Dieu est descendu vers nous.
Quel est donc ce regain, évoqué par David, sur qui est descendu, comme la bruine, le Fils du Roi et du Dieu de l'Univers ?
N'est-ce pas toi, la Vierge inépousée, la Mère de Dieu ?
Quelle est la Vierge dont Isaïe annonça qu'elle concevrait et enfanterait ce Fils qui serait : « Dieu avec nous » ? Ainsi, voulait-il dire que, devenu homme, il resterait Dieu.
Quelle est cette montagne de Daniel, dont la pierre d'angle, le Christ, fut détachée?
N'est-ce pas toi, qui conçus virginalement, et qui restas la toujours Vierge ?
Voilà pourquoi tous les prophètes te célèbrent, les Anges te sont soumis, les Apôtres te vénèrent et que nous, nous te chantons, toi, la Toujours-Vierge et la Mère de Dieu.
Amen. »
est-ce bien le Jean de l'Apocalypse qui a dicté cette prière,svp?
jacques58fan- Combat l'antechrist
- Messages : 2263
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Je vous salue, ô Marie, fille très douce d'Anne.
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Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en vous, que la digne demeure de Dieu ?
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"Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. "
Ceux qui confessent votre maternité divine sont bénis, et maudits sont ceux qui la nient et la rejettent.
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Vers vous de nouveau l'amour nous attire.
Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en vous, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations vous proclament bienheureuse, vous la gloire insigne de l'humanité.
Vous êtes l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par vous que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
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AnneLÉA- En adoration
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Inscription : 23/06/2014
Re: Prières de Saint Jean de Damas
Bonsoir
Que signifie l'expression" traverser le chemin de Damas" dans le langage courant,svp?
Que signifie l'expression" traverser le chemin de Damas" dans le langage courant,svp?
jacques58fan- Combat l'antechrist
- Messages : 2263
Inscription : 22/01/2016
Re: Prières de Saint Jean de Damas
Si on fait quelques recherches , pour répondre à ta première question, il semble bien que cette prière soit effectivement de Saint Jean Damascène (676-749, non l'apôtre Saint Jean de l'apocalypse.
Traverser son chemin de Damas, serait plutôt trouver son chemin de Damas,
trouver sa voie , si on pense è St Paul se fut un chemin de conversion, donc c'est un chemin de conversion, ou on peut dire traverser d'une route qui n'est pas la meilleure ou la bonne pour arriver à la bonne.
Traverser son chemin de Damas, serait plutôt trouver son chemin de Damas,
trouver sa voie , si on pense è St Paul se fut un chemin de conversion, donc c'est un chemin de conversion, ou on peut dire traverser d'une route qui n'est pas la meilleure ou la bonne pour arriver à la bonne.
AnneLÉA- En adoration
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Inscription : 23/06/2014
Re: Prières de Saint Jean de Damas
Ok merciAnneLÉA a écrit:Si on fait quelques recherches , pour répondre à ta première question, il semble bien que cette prière soit effectivement de Saint Jean Damascène (676-749, non l'apôtre Saint Jean de l'apocalypse.
Traverser son chemin de Damas, serait plutôt trouver son chemin de Damas,
trouver sa voie , si on pense è St Paul se fut un chemin de conversion, donc c'est un chemin de conversion, ou on peut dire traverser d'une route qui n'est pas la meilleure ou la bonne pour arriver à la bonne.
jacques58fan- Combat l'antechrist
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Inscription : 22/01/2016
Re: Prières de Saint Jean de Damas
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
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Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
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Vous êtes l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par vous que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
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Re: Prières de Saint Jean de Damas
Je vous salue, ô Marie, fille très douce d'Anne.
Vers vous de nouveau l'amour nous attire.
Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en vous, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations vous proclament bienheureuse, vous la gloire insigne de l'humanité.
Vous êtes l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par vous que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
"Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. "
Ceux qui confessent votre maternité divine sont bénis, et maudits sont ceux qui la nient et la rejettent.
Ainsi soit-il. »
Vers vous de nouveau l'amour nous attire.
Comment dépeindre votre démarche pleine de gravité, ainsi que vos vêtements ?
Et la grâce de votre visage ?
La maturité du jugement dans un corps juvénile ?
Votre tenue fut modeste, éloignée de tout luxe et de toute mollesse; votre démarche grave, sans précipitation, exempte de toute indolence : votre caractère sérieux, tempéré d'enjouement, d'une parfaite réserve à l'égard des hommes : témoin du trouble qui vous saisit aux propos inattendus de l'ange.
A vos parents docile et obéissante, vous aviez d'humbles sentiments dans les contemplations les plus hautes, une parole aimable, venant d'une âme paisible.
En résumé quoi d'autre en vous, que la digne demeure de Dieu ?
Avec raison toutes les générations vous proclament bienheureuse, vous la gloire insigne de l'humanité.
Vous êtes l'honneur du sacerdoce, l'espoir des chrétiens, la plante féconde de la virginité, car c'est par vous que le renom de la virginité s'est étendu au loin.
"Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. "
Ceux qui confessent votre maternité divine sont bénis, et maudits sont ceux qui la nient et la rejettent.
Ainsi soit-il. »
AnneLÉA- En adoration
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