Balladur prône un nouvel ordre mondial
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Balladur prône un nouvel ordre mondial
Crise : Balladur prône un nouvel ordre
Source : AFP
02/10/2008 | Mise à jour : 12:42 | Commentaires 3
.
L'ancien Premier ministre Edouard Balladur (UMP) estime qu'il faut "imaginer un nouvel ordre mondial" face à la crise financière, avec des réunions régulières entre responsables de l'Union européenne et des Etats-Unis en vue de "règles communes", dans un entretien à Paris-Match.
"Il s'agit d'imaginer un nouvel ordre mondial. Dans une première étape, cela peut être atteint entre l'Europe et les Etats-Unis, qui émettent les deux monnaies les plus importantes et produisent la moitié de la richesse mondiale", déclare M. Balladur.
"Leurs responsables devraient se réunir, par exemple tous les trois mois, d'abord pour imaginer des règles communes en matière économique et monétaire, puis pour veiller à leur application", ajoute-t-il.
Côté américain "le président, le secrétaire au Trésor et le président de la Fed" animeraient ces réunions, suggère-t-il. Côté européen, "c'est moins aisé, d'autant que la Grande-Bretagne n'est pas dans la zone euro".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/02/01011-20081002FILWWW00517-crise-balladur-prone-un-nouvel-ordre.php
Source : AFP
02/10/2008 | Mise à jour : 12:42 | Commentaires 3
.
L'ancien Premier ministre Edouard Balladur (UMP) estime qu'il faut "imaginer un nouvel ordre mondial" face à la crise financière, avec des réunions régulières entre responsables de l'Union européenne et des Etats-Unis en vue de "règles communes", dans un entretien à Paris-Match.
"Il s'agit d'imaginer un nouvel ordre mondial. Dans une première étape, cela peut être atteint entre l'Europe et les Etats-Unis, qui émettent les deux monnaies les plus importantes et produisent la moitié de la richesse mondiale", déclare M. Balladur.
"Leurs responsables devraient se réunir, par exemple tous les trois mois, d'abord pour imaginer des règles communes en matière économique et monétaire, puis pour veiller à leur application", ajoute-t-il.
Côté américain "le président, le secrétaire au Trésor et le président de la Fed" animeraient ces réunions, suggère-t-il. Côté européen, "c'est moins aisé, d'autant que la Grande-Bretagne n'est pas dans la zone euro".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/02/01011-20081002FILWWW00517-crise-balladur-prone-un-nouvel-ordre.php
Invité- Invité
Re: Balladur prône un nouvel ordre mondial
il y a qques mois lors d une inerview pendant un journal televise ( france 2 ou tf1) il avait deja souhaiter appele a un Nouvel Ordre Mondial
il quelques jours cest Jacques Attali qui appelle à la mise en place d un gouvernment Mondial
http://fr.youtube.com/watch?v=ymHS2Nj9M5M
il quelques jours cest Jacques Attali qui appelle à la mise en place d un gouvernment Mondial
http://fr.youtube.com/watch?v=ymHS2Nj9M5M
damien- Avec les chérubins
- Messages : 56
Inscription : 02/03/2007
Re: Balladur prône un nouvel ordre mondial
excuser pour les fautes orthographes , sui alle un peu vite
damien- Avec les chérubins
- Messages : 56
Inscription : 02/03/2007
Re: Balladur prône un nouvel ordre mondial
http://www.parismatch.com/parismatch/dans-l-oeil-de-match/reportages/edouard-balladur-le-liberalisme-est-le-meilleur-des-systemes-mais-sans-regles-c-est-la-loi-de-la-jungle/(gid)/52165
Edouard Balladur : «Le libéralisme est le meilleur des systèmes, mais sans règles c’est la loi de la jungle»
L'événement. Le diagnostic de l’ancien Premier ministre sur la panique financière
Interview Laurent Valdiguié et François de Labarre
Paris Match. Quelle est votre réaction face à ce nouveau lundi noir?Edouard Balladur. La situation est grave : la crise financière peut devenir une crise globale. La solution se trouve principalement aux Etats-Unis. Les dirigeants européens doivent se réunir d’urgence, coordonner leur action pour permettre la distribution du crédit à l’économie, convaincre les Etats-Unis qu’il est urgent qu’ils adoptent un nouveau plan qui sauvegarde leur système financier. C’est un moment décisif. De son côté, la Banque centrale européenne doit s’interroger sur son action en matière de taux d’intérêt.
Vous rentrez des Etats-Unis. La crise de l’économie américaine révèle les défaillances du système capitaliste mondial que vous aviez dénoncées il y a dix-sept ans...
J’ai toujours dit que le libéralisme était le meilleur des systèmes, à condition d’être soumis à des règles ; sinon, c’est la loi de la jungle. Nous y sommes. Dans un rapport publié en 1991, “Avant qu’il ne soit trop tard”, je soulignais les risques de désordre résultant du flottement des monnaies et de la distribution sans freins du crédit. “Si le monde devait connaître une crise monétaire et financière grave qui détruirait sa prospérité, c’est un libéralisme qui se serait montré incapable de se discipliner et de s’ordonner qui en serait rendu responsable.” Nous y voilà! On constate les conséquences de l’anarchie dans laquelle nous avons trop longtemps vécu : instabilité des taux de change des monnaies, faillites bancaires, crise du crédit, affaissement de la production, baisse du pouvoir d’achat, évolution désordonnée du prix des matières premières. C’est une crise de confiance aux effets incalculables.
La crise actuelle est-elle due au système libéral ou aux hommes qui le pilotent, les banquiers?
Si le système empêchait les hommes de mal se comporter, ce serait un bon système. Il ne le permet pas. Une liberté sans principes ni contrôles ne constitue pas un système durable.
Que pensez-vous des rémunérations pharaoniques de certains dirigeants malgré les faillites de leurs entreprises?
Il y a quelques années, j’ai proposé une réforme des stock-options, afin qu’elles puissent profiter à tous les salariés et qu’elles ne puissent pas être vendues avant plusieurs années. Par la suite, j’ai fait voter une proposition de loi favorisant la distribution d’actions gratuites à tous les salariés, système beaucoup moins favorable à la spéculation que les stock-options. Pour les parachutes dorés qui choquent les Français, je constate que le discours patronal évolue dans le bon sens. Attendons les résultats. Sinon, là aussi, il faudra une réforme.
C’est tout le “libéralisme sauvage” qu’il faut donc encadrer. Que proposez-vous?
Il n’est pas question de revenir sur la mondialisation : c’est un fait qui s’impose à tous ; mais à une mondialisation économique doit correspondre une mondialisation de la réglementation, indispensable pour éviter le désordre. Quelques exemples : recréer un véritable système monétaire international en harmonisant l’évolution des parités monétaires et des taux d’intérêt ; élaborer un statut des organismes de crédit et veiller à ce que les règles prudentielles, qui s’appliquent à tous, soient le plus uniformes possible ; faire en sorte que les banques centrales ne pratiquent pas, dans la distribution des crédits, une politique de facilité qui génère l’explosion que nous constatons aujourd’hui. En somme, il s’agit d’organiser le marché. Mais si l’idée que les marchés ont toujours raison est une idée folle, celle que l’Etat ne se trompe jamais ne l’est pas moins. Gardons l’équilibre entre l’anarchie et l’étatisme, élaborons un libéralisme ordonné.
Cela ne peut pas se faire sans volonté politique forte...
Bien entendu.Il s’agit d’imaginer un nouvel ordre mondial. Dans une première étape, cela peut être atteint entre l’Europe et les Etats-Unis, qui émettent les deux monnaies les plus importantes et produisent la moitié de la richesse mondiale. Leurs responsables devraient se réunir, par exemple tous les trois mois, d’abord pour imaginer des règles communes en matière économique et monétaire, puis pour veiller à leur application.
Qui animerait ces réunions?
Du côté américain, c’est simple, le président, le secrétaire au Trésor et le président de la Fed ; du côté de l’Europe, c’est moins aisé, d’autant que la Grande-Bretagne n’est pas dans la zone euro. En attendant la ratification du traité de Lisbonne, il faut désigner des mandataires européens habilités à dialoguer avec les Etats-Unis.
Pourquoi les Américains accepteraient-ils de s’associer avec les Européens?
Parce qu’ils voient que c’est nécessaire et que, seuls, ils ne peuvent rien résoudre. Ils ont, comme nous, besoin d’une coopération internationale. Si les gouvernements ne parviennent pas à convaincre l’opinion mondiale que la situation est prise en main, rien ne sera possible.
N’y a-t-il pas déjà suffisamment de coopération transatlantique?
Croyez-vous? En tout cas, elle n’a pas montré son efficacité. L’Europe doit prouver qu’elle a une volonté commune, et les Etats-Unis, se convaincre qu’ils ne sont pas seuls au monde.
On dit que vous êtes celui que Nicolas Sarkozy écoute le plus en matière économique. L’avez-vous vu récemment pour lui faire part de vos propositions?
Il peut arriver que nous nous parlions au téléphone. La France doit se garder de deux écueils : trop réglementer, comme si l’intervention de l’Etat était en toute circonstance préférable à la liberté économique ; ou bien ne rien faire et laisser le désordre s’étendre. La France doit appeler ses partenaires à décider une position commune.
Pensez-vous que la France, du fait de son relatif protectionnisme, est à l’abri?
Personne n’est à l’abri, pas plus la France que n’importe quel autre pays. On le constate aujourd’hui. J’approuve Nicolas Sarkozy de l’avoir dit. Il a raison de continuer les réformes pour redonner du muscle à notre société, développer la productivité des entreprises et notre capacité à créer des emplois et du pouvoir d’achat.
Dans ce contexte, est-ce faisable? Le budget de l’Etat présenté cette semaine vous paraît-il adapté?
Nous sommes dans une situation difficile : nos déficits publics sont trop importants et l’endettement trop lourd, mais, en même temps, nous devons éviter, par une réduction trop brutale des dépenses, d’aggraver la stagnation de l’économie.
«Pour une Union occidentale entre l’Europe et les Etats-Unis», éd. Fayard.
Edouard Balladur : «Le libéralisme est le meilleur des systèmes, mais sans règles c’est la loi de la jungle»
L'événement. Le diagnostic de l’ancien Premier ministre sur la panique financière
Interview Laurent Valdiguié et François de Labarre
Paris Match. Quelle est votre réaction face à ce nouveau lundi noir?Edouard Balladur. La situation est grave : la crise financière peut devenir une crise globale. La solution se trouve principalement aux Etats-Unis. Les dirigeants européens doivent se réunir d’urgence, coordonner leur action pour permettre la distribution du crédit à l’économie, convaincre les Etats-Unis qu’il est urgent qu’ils adoptent un nouveau plan qui sauvegarde leur système financier. C’est un moment décisif. De son côté, la Banque centrale européenne doit s’interroger sur son action en matière de taux d’intérêt.
Vous rentrez des Etats-Unis. La crise de l’économie américaine révèle les défaillances du système capitaliste mondial que vous aviez dénoncées il y a dix-sept ans...
J’ai toujours dit que le libéralisme était le meilleur des systèmes, à condition d’être soumis à des règles ; sinon, c’est la loi de la jungle. Nous y sommes. Dans un rapport publié en 1991, “Avant qu’il ne soit trop tard”, je soulignais les risques de désordre résultant du flottement des monnaies et de la distribution sans freins du crédit. “Si le monde devait connaître une crise monétaire et financière grave qui détruirait sa prospérité, c’est un libéralisme qui se serait montré incapable de se discipliner et de s’ordonner qui en serait rendu responsable.” Nous y voilà! On constate les conséquences de l’anarchie dans laquelle nous avons trop longtemps vécu : instabilité des taux de change des monnaies, faillites bancaires, crise du crédit, affaissement de la production, baisse du pouvoir d’achat, évolution désordonnée du prix des matières premières. C’est une crise de confiance aux effets incalculables.
La crise actuelle est-elle due au système libéral ou aux hommes qui le pilotent, les banquiers?
Si le système empêchait les hommes de mal se comporter, ce serait un bon système. Il ne le permet pas. Une liberté sans principes ni contrôles ne constitue pas un système durable.
Que pensez-vous des rémunérations pharaoniques de certains dirigeants malgré les faillites de leurs entreprises?
Il y a quelques années, j’ai proposé une réforme des stock-options, afin qu’elles puissent profiter à tous les salariés et qu’elles ne puissent pas être vendues avant plusieurs années. Par la suite, j’ai fait voter une proposition de loi favorisant la distribution d’actions gratuites à tous les salariés, système beaucoup moins favorable à la spéculation que les stock-options. Pour les parachutes dorés qui choquent les Français, je constate que le discours patronal évolue dans le bon sens. Attendons les résultats. Sinon, là aussi, il faudra une réforme.
C’est tout le “libéralisme sauvage” qu’il faut donc encadrer. Que proposez-vous?
Il n’est pas question de revenir sur la mondialisation : c’est un fait qui s’impose à tous ; mais à une mondialisation économique doit correspondre une mondialisation de la réglementation, indispensable pour éviter le désordre. Quelques exemples : recréer un véritable système monétaire international en harmonisant l’évolution des parités monétaires et des taux d’intérêt ; élaborer un statut des organismes de crédit et veiller à ce que les règles prudentielles, qui s’appliquent à tous, soient le plus uniformes possible ; faire en sorte que les banques centrales ne pratiquent pas, dans la distribution des crédits, une politique de facilité qui génère l’explosion que nous constatons aujourd’hui. En somme, il s’agit d’organiser le marché. Mais si l’idée que les marchés ont toujours raison est une idée folle, celle que l’Etat ne se trompe jamais ne l’est pas moins. Gardons l’équilibre entre l’anarchie et l’étatisme, élaborons un libéralisme ordonné.
Cela ne peut pas se faire sans volonté politique forte...
Bien entendu.Il s’agit d’imaginer un nouvel ordre mondial. Dans une première étape, cela peut être atteint entre l’Europe et les Etats-Unis, qui émettent les deux monnaies les plus importantes et produisent la moitié de la richesse mondiale. Leurs responsables devraient se réunir, par exemple tous les trois mois, d’abord pour imaginer des règles communes en matière économique et monétaire, puis pour veiller à leur application.
Qui animerait ces réunions?
Du côté américain, c’est simple, le président, le secrétaire au Trésor et le président de la Fed ; du côté de l’Europe, c’est moins aisé, d’autant que la Grande-Bretagne n’est pas dans la zone euro. En attendant la ratification du traité de Lisbonne, il faut désigner des mandataires européens habilités à dialoguer avec les Etats-Unis.
Pourquoi les Américains accepteraient-ils de s’associer avec les Européens?
Parce qu’ils voient que c’est nécessaire et que, seuls, ils ne peuvent rien résoudre. Ils ont, comme nous, besoin d’une coopération internationale. Si les gouvernements ne parviennent pas à convaincre l’opinion mondiale que la situation est prise en main, rien ne sera possible.
N’y a-t-il pas déjà suffisamment de coopération transatlantique?
Croyez-vous? En tout cas, elle n’a pas montré son efficacité. L’Europe doit prouver qu’elle a une volonté commune, et les Etats-Unis, se convaincre qu’ils ne sont pas seuls au monde.
On dit que vous êtes celui que Nicolas Sarkozy écoute le plus en matière économique. L’avez-vous vu récemment pour lui faire part de vos propositions?
Il peut arriver que nous nous parlions au téléphone. La France doit se garder de deux écueils : trop réglementer, comme si l’intervention de l’Etat était en toute circonstance préférable à la liberté économique ; ou bien ne rien faire et laisser le désordre s’étendre. La France doit appeler ses partenaires à décider une position commune.
Pensez-vous que la France, du fait de son relatif protectionnisme, est à l’abri?
Personne n’est à l’abri, pas plus la France que n’importe quel autre pays. On le constate aujourd’hui. J’approuve Nicolas Sarkozy de l’avoir dit. Il a raison de continuer les réformes pour redonner du muscle à notre société, développer la productivité des entreprises et notre capacité à créer des emplois et du pouvoir d’achat.
Dans ce contexte, est-ce faisable? Le budget de l’Etat présenté cette semaine vous paraît-il adapté?
Nous sommes dans une situation difficile : nos déficits publics sont trop importants et l’endettement trop lourd, mais, en même temps, nous devons éviter, par une réduction trop brutale des dépenses, d’aggraver la stagnation de l’économie.
«Pour une Union occidentale entre l’Europe et les Etats-Unis», éd. Fayard.
lau- Pour le roi
- Messages : 633
Inscription : 08/11/2007
Re: Balladur prône un nouvel ordre mondial
Je découvre un peu tard que Balladur appelle de ses voeux le N-O-M .
Donc, pour moi si la crise financière et économique a pour solution le N-O-M ;il me paraît clair que la crise était voulue et même programmée juste avant les élections Américaines pour favoriser l'accession à la maison blanche d'un jeune poulain qui aura son rôle à jouer : " le lancement de l'Améro ?
".
Le plan illumino-maçonnique avance vite.
La parade semble désorganisée.
Les Chrétiens devraient se réconcilier et contrer l'ennemi.
Seulement, bien peu de Chrétiens sont au courant de ce qui se passe en coulisse, quand ils ne participent pas déjà à l'avancée de la bête.
Donc, pour moi si la crise financière et économique a pour solution le N-O-M ;il me paraît clair que la crise était voulue et même programmée juste avant les élections Américaines pour favoriser l'accession à la maison blanche d'un jeune poulain qui aura son rôle à jouer : " le lancement de l'Améro ?
".
Le plan illumino-maçonnique avance vite.
La parade semble désorganisée.
Les Chrétiens devraient se réconcilier et contrer l'ennemi.
Seulement, bien peu de Chrétiens sont au courant de ce qui se passe en coulisse, quand ils ne participent pas déjà à l'avancée de la bête.
P4572- Dans la prière
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Inscription : 01/08/2007
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