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Que dit l'islam à propos du terrorisme?

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islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? Empty Ce que disent nos frères Rabbins sur l'Islam (Soumission à Dieu)

Message par Fils d'Adam Jeu 12 Mai 2016 - 17:11

Paix à vous, mes chers frères et sœurs en Dieu d’Abraham, d’Ismaël, d’Isaac et de Jacob  Flower white  


Dans cette vidéo, des frères Rabbins nous parlent de la proximité entre les cousins juifs et muslims (soumis à Dieu)    Chapelet  Bon visionnage  Kisses

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Message par sainttenma Jeu 12 Mai 2016 - 20:11

Disons que pour eux, l'islam est une religion noachide, des fils de Noé, pour tous les hommes, oú il n y as pas d'adoration des idoles. Mais ils pensent que le judaïsme est une religion particulière pour un peuple particuliers, prêtres des autres religions, cqfd, y as les idolatres, puis les noachides pour la masse croyante comme l'islam, le judaïsme pour l'élite, quand aux chrétiens soit ce sont des idolatres, soit c'est paul qui as inventé une religion sur jesus, soit ils sont polytheistes, soit ils sont en recherche du vrai Dieu.
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Message par Fils d'Adam Ven 13 Mai 2016 - 2:15

Paix à vous, mes chers frères et sœurs en Dieu d’Abraham, d’Ismaël, d’Isaac et de Jacob  Flower white  


L'islam, qui est une religion de miséricorde, ne permet pas le terrorisme.  Dans le Coran, Dieu a dit:

Dieu ne vous défend pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures.  Car Dieu aime les équitables.  (Coran, 60:8 )

Le prophète Mohammed  interdisait aux soldats de tuer des femmes et des enfants, et il leur conseillait: {... Ne trahissez pas, ne soyez pas excessifs, ne tuez pas un nouveau-né.} Et il a aussi dit: {Quiconque a tué une personne qui avait fait un pacte (de non-agression) avec les musulmans ne sentira pas l'odeur du Paradis, même si son parfum peut être senti à une distance équivalant à quarante ans.}

Le prophète Mohammed  a aussi interdit de punir les gens par le feu.

Une fois, il a classé le meurtre comme deuxième péché majeur, et il a même averti les gens que: {Les premiers cas à être jugés entre les gens au Jour du Jugement seront les cas d'effusions de sang.}

Les musulmans sont même encouragés à être bons envers les animaux et il leur est interdit de leur faire du mal.  Une fois, le prophète Mohammed  a raconté: {Une femme a été punie pour avoir emprisonné un chat jusqu'à ce qu'il meure.  À cause de cela, elle a été condamnée à l'Enfer.  Elle l'avait emprisonné sans lui donner à manger ni à boire, et sans le libérer pour qu'il puisse manger les insectes de la terre.}

Il a aussi raconté qu'un homme ayant donné à boire à un chien assoiffé, Dieu lui pardonna ses péchés pour cette action.  On demanda au prophète : "Ô messager de Dieu, sommes-nous récompensés pour le bien que nous faisons aux animaux?"  Il répondit: {Pour toute créature vivante, il y a une récompense à qui leur fait du bien.}

Par ailleurs, lorsque les musulmans tuent un animal pour se nourrir, ils doivent le faire de la façon qui cause le moins de frayeur et de douleur possible.  Le prophète Mohammed  a dit: {Lorsque vous égorgez un animal, faites-le de la meilleure façon.  Vous devez bien aiguiser votre couteau afin de faire souffrir l'animal le moins possible.}

À la lumière de ces textes et d'autres textes islamiques, le fait de provoquer la terreur dans les coeurs de civils sans défense, la destruction massive d'édifices et de propriétés, le bombardement et la mutilation d'hommes, de femmes et d'enfants innocents sont tous des actes interdits et détestables aux yeux de l'islam et des musulmans.  Les musulmans pratiquent une religion basée sur la paix, la miséricorde et le pardon, et la vaste majorité d'entre eux n'ont rien à voir avec les violents événements que certains associent aux musulmans.  Si un musulman commettait un acte de terrorisme, il serait coupable d'avoir violé les lois de l'islam.
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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 2:30

Le Coran est un ouvrage grandement haineux, et affirmer qu'on parle d'une religion de miséricorde est un mensonge.
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Message par Fils d'Adam Ven 13 Mai 2016 - 2:56

Paix à vous mon frère en Dieu d’Abraham, d’Ismaël, d’Isaac et de Jacob   Flower white  

Le deuxième péché majeur en Islam : TUER UNE VIE HUMAINE (peu importe sa religion)

Dieu dit : «Quiconque tue intentionnellement un croyant, Sa rétribution alors sera l'Enfer, pour y demeurer éternellement. ALLAH l'a frappé de Sa colère, l'a maudit et LUI a préparé un énorme châtiment.»
[Sourate 4, Verset 93]

 Dieu dit aussi : « Qui n'invoquent pas d'autre dieu avec ALLAH et ne tuent pas la vie qu'ALLAH a rendue sacrée, sauf à bon droit; qui ne commettent pas de fornication - car quiconque fait cela encourra une punition
et le châtiment lui sera doublé, au Jour de la Résurrection, et il y demeurera éternellement couvert d'ignominie; »
[Sourate 25, Verset 68-69]

Dieu dit encore : «C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israïl que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre . »
[Sourate 5, Versets 32]

 Dieu dit encore : «et qu'on demandera à la fillette enterrée vivante
pour quel péché elle a été tuée.»
[Sourate 81, Versets 8-9]

L'Envoyé de DIEU  a dit : «Ne redevenez pas mécréants après ma mort, vous tuant les uns les autres»
[rapporté par Boukhari et Mouslim d'après Abou Bakr]

L'Envoyé de DIEU  a dit aussi : «Le serviteur ne cesse d'être dans une situaton aisée en matière de religion tant qu'il ne s'est pas entaché les mains d'un sang d'interdit.»
[rapporté par Boukhari, Mouslim, Tirmidhi, Nassa-i et Ibn Madjah, d'après Abd ALLAH Ibn Massoud]

Dans un hadith, l'Envoyé de DIEU  a dit : «L'assassinat d'un musulman est plus grave pour DIEU que la disparition de ce monde.»
[rapporté par Nassa-i, et Al Baihaqi d'après Bouraïda]

L'Envoyé de DIEU  a dit aussi : «Les péchés majeurs sont : L'association à DIEU, le fait de tuer une vie humaine sans juste raison et le serment "qui enfonce".»
(Ce serment est appelé ainsi car il enfonce la personne en Enfer.»
[rapporté par Boukhari, Mouslim et Nassa-i d'après Abd ALLAH Ibn 'Amr Ibn Al 'Ass]

L'Envoyé de DIEU  a dit également : «Ne tue jamais injustement, excepté ce qui fut du premier fils d'Adam qui, lui, fut cautionné, étant le premier à perpétrer un meutre.»
[rapporté par Boukhari et Mouslim]

Il  dit aussi :
«Celui qui tue un non-musulman contractuel ("dhimmi") ne sentira pas l'odeur du Paradis, or l'odeur du Paradis se sent déjà à une distance équivalente à quarante années de marche.»
[rapporté par Boukhari et Nassa-i d'après Ibn -Amr]

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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 3:02

Le Coran commande aussi de tuer.

L'Islam n'a aucune miséricorde, puisque la charia tue les fautifs. Pas de repentence possible. C'est indiscutable.

Ce forum n'est pas un endroit pour faire du prosélytisme anti-chrétien.
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Message par Fils d'Adam Ven 13 Mai 2016 - 3:14

Paix à vous Flower white

Au contraire, comme le montre les versets et les hadiths que j'ai mit en haut et pleins d'autres que j'ai pas eu le temps de chercher, l'islam interdit de tuer ou faire du mal aux autres humains, sauf ceux qui tuent les innocents et les combattent, et ne veulent pas s’arrêter. Une fois qui'ils s’arrêtent de tuer et de faire du mal, et se repentent, on doit les pardonner Smile

Paix à vous flower
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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 3:30

Sourate 4.89 :

« Ils voudraient qu’à leur instar vous sombriez dans la mécréance afin que vous en soyez au même point (sawâ’) qu’eux. Ne les prenez pas pour alliés tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu (ndlr : le Allah musulman seulement) et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne les prenez ni pour alliés ni pour partisans ! »


Dernière édition par Vent Nouveau le Ven 13 Mai 2016 - 4:18, édité 1 fois
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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 3:40

Fils d'Adam a écrit:Une fois qui'ils s’arrêtent de tuer et de faire du mal, et se repentent, on doit les pardonner Smile

De qui vous moquez vous ? La taqya ne prendra pas ici.
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Message par Fils d'Adam Ven 13 Mai 2016 - 3:49

Paix à vous frère en Dieu, créateur de l'univers  Flower white

Explication des versets 89 et 90 de Sourate 4 (An-Nisaa)

Commençons par une traduction littérale de ces versets :

4.89 : « Ils voudraient qu’à leur instar vous sombriez dans la mécréance afin que vous en soyez au même point (sawâ’) qu’eux. Ne les prenez pas pour alliés tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne les prenez ni pour alliés ni pour partisans ! »

4.90 : « [tuez-les où que vous les trouviez] à l’exception de ceux qui visitent une tribu (qawn) à laquelle vous êtes liés par un traité ou de ceux qui viennent vous trouver le cœur serré à l’idée de vous combattre ou de combattre leur tribu ; si Dieu l’avait voulu, Il les aurait rendus maîtres de vous et ils vous auraient combattus. Aussi, s’ils vous évitent, ne vous combattent pas et vous offrent leur soumission, Dieu ne vous permet pas de leur témoigner de l’hostilité. »

A partir de cette traduction littérale et d’une lecture réfléchie des versets cités ci-dessus, il apparait clairement que l’ordre de tuer est contraint et conditionné à certaines circonstances particulières. Normalement, les versets du Coran doivent être compris dans un certain contexte. Lu hors de ce contexte, le sens est alors faussé. Les Chrétiens ainsi que d’autres antagonistes de l’Islam interprètent le Coran de manière erronée et déformée, car ils ignorent le contexte des versets et ils le font soit par négligence pure, soit par dissimulation délibérée. Par contexte, nous entendons le sens commun dérivé d’un groupe de versets. Au lieu de prendre un verset et de le citer hors contexte, la procédure correcte consiste à examiner les versets se trouvant avant et après dans le but d’obtenir une signification correcte de ce que dit réellement le Coran. En second lieu, pour comprendre certains versets complexes, il est nécessaire que le lecteur recoure à des commentaires officiels et authentiques du Coran.

Nos amis non-Musulmans doivent aussi réaliser que le Saint Coran contient des principes fondamentaux et généraux sur la façon de gouverner, le culte, les transactions et ainsi de suite. Mais les détails sont fournis par les hadiths du Prophète Muhammad (salallâhou ‘alayhi wassalaam). La raison de cette diversification est de veiller à ce que la nation Musulmane ne se limite pas au Saint Coran pour être guidée, mais intègre également les Hadith (ou traditions du Prophète). Ainsi, le Prophète Muhammad devient une figure de proue majeure dans l’Islam et une personnalité qui doit être vénérée.

La parole du Prophète Muhammad (c.-à-d. ses Traditions) a été tenue à l’écart et séparée de la Parole de Dieu (c.-à-d. Le Coran) afin de mettre en évidence la grande différence entre la Parole Pure de Dieu et la parole de l’homme. Finalement, il devient difficile de faire la différence. Le système Islamique a protégé les Musulmans afin qu’ils ne tombent pas dans le même piège.

Dans les versets se trouvant ci-dessus, il y a plusieurs indicateurs qui montrent clairement le contexte et l’application du sens transmis. L’explication qui suit va éclairer ce fait :

1. Ces versets ont été révélés à Médine, après que le Messager d’Allâh ait posé les fondations du nouvel Etat Musulman. C’est dans le contexte de ce jeune État Musulman que les versets ci-dessus ont été révélés. Par conséquent, le premier principe qui apparait est que ces versets sont adressés à l’Etat Musulman et non à des Musulmans individuels. Toute personne intelligente comprendra que le pouvoir donné à un Etat ou à l’administration est beaucoup plus ferme, global et étendu que celui dont jouit un individu. Cependant, même dans ces règles, l’Etat Musulman n’a pas reçu carte blanche pour tuer les non-croyants selon ses quatre volontés, comme cela sera ensuite expliqué.

2. La partie « tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu » nous donne une autre indication de l’application de ce verset. Le verset ne peut pas se référer à des non-Musulmans car la migration dans le sentier d’Allâh n’est pas un acte que peuvent faire les mécréants ou les non-Musulmans. Nulle part dans le Saint Coran il est demandé aux non-Musulmans d’émigrer ou de quitter leur ville natale pour le bien de l’Islam. Il est donc évident que « tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu » fait référence à des gens qui prétendent être Musulmans. Ceci fait référence aux hypocrites, c’est-à-dire les gens qui proclamaient extérieurement être Musulmans, mais qui intérieurement ne l’étaient pas. Ils étaient parmi la communauté Musulmane des imposteurs et des espions, présents pour semer la zizanie et créer des conflits. Ces traîtres se sont également rendus coupables d’inciter d’autres communautés et nations à attaquer les Musulmans, comme cela mentionné dans plusieurs livres d’histoire. Le verset avant celui-ci, qui est le verset 88 stipule clairement : « Qu’avez-vous donc à vous scinder en deux partis au sujet des hypocrites …….? » Le contexte de cette section du chapitre nous montre clairement que le verset 89 fait référence aux hypocrites et non pas aux non-croyants comme les Juifs, les Chrétiens ou Arabes païens.

3. Le verset 89 dit : « et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux … » Cette instruction signifie que si ces hypocrites, après avoir embrassé la foi Islamique, renoncent à la Religion et se rebellent contre la communauté Musulmane, alors ils doivent être saisis, c’est-à-dire arrêtés, puis tués. Mais la mise à mort ne prend pas la forme d’une exécution sommaire. Les commentaires stipulent qu’ils seront arrêtés, jugés, et [seulement] si reconnus coupables, exécutés. Ils seront exécutés car ils auront commis le péché impardonnable de trahison, qui, dans tout Gouvernement ou Pays est un crime grave puni de mort. Cette loi s’applique à l’Etat Islamique et n’est pas une autorisation faite à tout Musulman d’aller tuer librement les non-Musulmans. Certains pourraient argumenter que ces détails ne sont pas mentionnés dans le Coran et que par conséquent les Musulmans qui lisent le Coran pourraient être induits en erreur et croire que toute personne peut aller tuer tout non-Musulman qui renonce à sa religion. Eh bien, il doit être bien entendu que ces détails sont donnés aux communautés Musulmanes à travers différents moyens tels que les madrassas (écoles religieuses), les plates-formes de questions/réponses, les conférences publiques, les brochures, les écrits, et les bulletins d’informations publiés de manière régulière. Les Musulmans sont donc bien au courant des règles qui s’appliquent et c’est la raison pour laquelle vous ne trouverez pas de Musulmans recourant à de telles méthodes malgré plusieurs incidents connus de prétendus Musulmans se détournant de l’Islam.

4. Les mots « où que vous les trouviez » doivent être pris conjointement avec les deux phrases citées avant, à savoir « emparez-vous d’eux et tuez-les ». Cela signifie que les auteurs de la trahison doivent être pourchassés et capturés partout où ils se cachent, et que la peine de mort doit être prononcée. Il s’agit d’une injonction dédiée au gouvernement compétent et à l’application des lois. N’importe quel gouvernement devra avoir la capacité et l’expertise permettant de traquer les grands criminels au sein de ses structures. Une administration qui n’est pas en mesure d’atteindre cet objectif devient la risée de tout un chacun.

5. Le verset 90 est un autre indicateur clair de la justice et de l’équité défendues par l’Islam et réfute la notion que les Non-musulmans ont faussement déduits du verset précédent, selon laquelle les Musulmans ont pour ordre de tuer les non-croyants où qu’ils se trouvent. Dans ce verset, il est demandé au Gouvernement Musulman de suivre les directives suivantes :

a) honorer ses traités, pactes et engagements pris avec les autres nations.

b) Respecter également les amis de ceux avec qui un pacte ou un traité existe.

c) Même les renégats et les traîtres doivent être épargnés et honorés s’ils sont liés d’amitié avec une nation qui a un pacte avec les Musulmans.

d) Ne pas combattre ou tuer ceux qui viennent à eux avec des intentions pacifiques et offrent leur amitié.

e) Il est interdit aux Musulmans de combattre les gens qui proposent une trêve.

f) On ne recourt au combat que quand il y a un acte de violence ou d’agression venant de l’autre partie.

Les susdits éléments font partie de la justice Divine qui est réellement profonde en Islam. Sur cette base, les critiques adressées à l’Islam par ses antagonistes sont totalement abusives, injustifiées, et découlent de l’ignorance de la véritable signification du Saint Coran.

6. Dans le verset qui suit (91), une autre règle claire est mentionnée : « S’ils ne vous évitent pas, s’ils ne vous offrent pas leur soumission et ne cessent de vous combattre, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez ». Ce commandement confirme ce qui est rapporté ci-dessus, à savoir que même pour les hypocrites et les renégats la paix est garantie à condition qu’ils s’abstiennent de l’agression et de la violence. Encore une fois, c’est le mandat accordé à un Etat, dont le devoir est de maintenir l’ordre public et de protéger les droits des personnes.

B : Voici quelques-uns des Versets du Saint Coran commandant le bon traitement envers les non-croyants :

1. « Supporte avec patience les propos des infidèles et au moment de les quitter, prends soin de ménager leurs susceptibilités ! » [Sourate 73, verset 10]

2. «  … fais donc preuve d’une noble indulgence » [Sourate 15, verset 85]

3. « Ne discutez avec les gens du Livre (Juifs et Chrétiens) que de la manière la plus courtoise » [Sourate 29, verset 46]

4. « Appelle à la Voie de ton Seigneur avec sagesse et par de persuasives exhortations. Sois modéré dans ta discussion avec eux » [Sourate 16, verset 125]

5. « Sois bon envers les autres comme Dieu l’a été envers toi ! Ne favorise pas la corruption sur la Terre » [Sourate 28, verset 77]  

6. « Ne prends pas un air arrogant en abordant tes semblables et ne marche pas sur terre avec insolence car Dieu n’aime pas les vaniteux insolents » [Sourate 31, verset 18]

7. « Dieu ne vous défend pas d’être bons et équitables envers ceux qui ne vous attaquent pas à cause de votre religion et qui ne vous expulsent pas de vos foyers. Dieu aime ceux qui sont équitables » [Sourate 60, verset 8]

8. « Et s’ils (les païens) renoncent (à vous combattre), alors ne leur témoignez plus d’hostilité, sauf contre ceux qui ont un comportement inique » [Sourate 2, verset 193]

9. « Et s’ils (les ennemis) sont enclins à la paix, accède à leur requête » [Sourate 8, verset 61]

10. « Et si l’un des non-croyants demande ta protection accorde-la afin qu’il écoute la parole de Dieu puis fais-le reconduire en lieu sûr » [Sourate 9, verset 6]

Il ne s’agit là que d’un petit échantillon des nombreux versets qui expliquent les relations cordiales à tenir envers les non-croyants, qu’ils soient épris d’amour et de paix ou bien  qu’ils fassent preuve d’hostilité.

Le Messager d’Allâh a dit : « Le véritable croyant, c’est celui dont l’humanité n’a à craindre ni la langue, ni la main » [Hadith authentique rapporté par Boukhari et Mouslim]


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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 3:52

Un courant islamiste non négligeable :

"Les Frères Musulmans égyptiens sont aussi bien plus que cela. Ils sont le mouvement islamiste le plus influent du monde arabe, celui qui a donné naissance au djihad (guerre sainte) moderne et l'a marié au salafisme (le désir de retour à un Islam des origines) venu d'Arabie saoudite. La devise des Frères Musulmans résume bien leur idéologie: «Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance".


http://www.slate.fr/story/33757/freres-musulmans-egypte-djihad-islamistes


Dernière édition par Vent Nouveau le Ven 13 Mai 2016 - 4:17, édité 1 fois
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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 3:59

@Fils d'Adam (ou Fils de Mahomet)

Vous devriez sans doute trouver un forum en conformité aux croyances que vous avez.
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Message par Fils d'Adam Ven 13 Mai 2016 - 4:00

Paix à vous Flower white

Vous ne prenez même plus le temps de lire mes réponses à vos questions Smile ce n'est plus un dialogue, mais de l'acharnement !  I don\'t want that

Le Messager d’Allâh a dit : « Le véritable croyant, c’est celui dont l’humanité n’a à craindre ni la langue, ni la main » [Hadith authentique rapporté par Boukhari et Mouslim]

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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 4:09

@Fils d'Adam

Mais je ne souhaite aucun dialogue si vous n'éprouvez pas le désir de vous convertir au christianisme. Ce forum n'a pas pour objectif de faire la promotion de l'Islam, ni de détourner les croyants du Christ.
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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 5:02

@Fils d'Adam

Par expérience, les débats islam-christianisme sont souvent stériles, et les gens restent sur leurs positions. Si d'autres veulent en débattre qu'ils le fassent.

Que la paix vous accompagne sur votre route.
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Message par Coowar Claude Ven 13 Mai 2016 - 7:02

Il ne s'agit pas, me  semblerait-il, d'avoir à débattre. Ce serait stérile. Nous avons à faire

- soit à des adeptes ignorant même le contenu vénéneux de leu livre saint, afin qu'ils aillent béatement prêcher en toute bonne foi que l'Islam est une religion de paix, d'amour et de tolérance;

- soit à des lettrés de la"science du coran", qui mentent et ne recherchent que des conversions à l'islam, chez les plus paumés et angéliques d'entre nous.

Il n'y a qu'une manière, me semblerait-il, de répondre aux attentes de débats qu'ils espèreraient de nous: c'est leur démontrer que le Coran contient en réalité le contraire de ce qu'ils prétendent.

Nos hommes politiques sont malhonnêtes et capitulards parce qu'ils défendent de manière "politiquement correcte" ce message angélique islamique.

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islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? Empty Re: Que dit l'islam à propos du terrorisme?

Message par Pécheur Ven 13 Mai 2016 - 8:50

Moi je trouve ce dialogue intéressant et nécessaire.

Je ne crois pas que ce soit l'islam qui soit derrière le terrorisme actuel, cependant cela n'en reste pas moins une fausse religion. Nous ne devons pas avoir peur du dialogue avec lui, je trouve que c'est l'islam qui a tout à y perdre (mais les musulmans tout à y gagner pour être sauvés), tant les choses me semblent évidentes.

Paix à vous Fils d'Adam islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? 812538islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? 812538islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? 812538

J'aimerais vous demander, entre Jésus qui n'a jamais versé le sang et n'a pas eu de femmes, et votre prophète qui a guerroyé, donc tué des gens, et qui a eu de nombreuses femmes, lequel a eu la vie la plus sainte ?

Votre prophète et Jésus ont tous deux été confrontés au cas d'une femme adultère. Le premier l'a fait lapider, le deuxième l'a laissé repartir en lui demandant de ne plus pécher. "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre" a-t-il enjoint à l'assistance.

Selon vous, lequel des deux a témoigné le plus de la miséricorde de Dieu dans cette affaire ?

Bien à vous dans le Christ,

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Message par Pécheur Ven 13 Mai 2016 - 9:02

Cher ami,
votre religion a été créée par les Juifs, votre prophète n'a fait que transmettre une sous-religion juive aux Arabes, par l'intermédiaire de sa femme juive Kadidja et du rabbin de Médine.

Rien d'étonnant donc à cette proximité affichée.

Pour plus d'infos :

https://legrandsecretdelislam.com/

Bien à vous dans le Christ ressuscité,

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Message par M1234 Ven 13 Mai 2016 - 9:40

Sujet fusionné!!
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Message par Vent Nouveau Ven 13 Mai 2016 - 10:28

@Coowar Claude
AMEN

@Pécheur
25% du Coran serait une recopie d'apocryphes gnostiques rejetés du christianisme.
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Message par Pécheur Sam 14 Mai 2016 - 8:55

Vent Nouveau a écrit:@Coowar Claude
AMEN

@Pécheur
25% du Coran serait une recopie d'apocryphes gnostiques rejetés du christianisme.

un peu de talmud, un peu d'hérésie, un peu de tout, une belle bouillie qui parle à peine de Mohamed et dont chaque sourate contredit l'autre.
Le meilleur moyen de convertir les musulmans et de les inciter à lire le Coran.
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islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? Empty Re: Que dit l'islam à propos du terrorisme?

Message par Coowar Claude Mer 18 Mai 2016 - 1:32

En Christ venu pour racheter l'humanité.

Mon frère fils d'Adam qui êtes en état de recherche, et qui ne le serait certainement pas si vous ne l'aviez pas déjà trouvé.

Permettez-moi sans animosité aucune que vos argumentations ne sont pas celles d'anciens de vos coreligionnaires, frappés mainteant par l'apostat.


8/11/2011

L'islam est la tromperie la plus réussie de l'histoire de l'humanité (Amil Imani)
Amil Imani est un Américain d'origine iranienne. Ancien musulman, il tente d'alerter le monde au danger de l'islam radical et de libérer ses coreligionnaires de l'emprise de l'islam. Écrivain, essayiste, poète, traducteur, conférencier et analyste politique, Imani collabore à la rédaction de FamilySecurityMatters.org et est l'auteur de Obama Meets Ahmadinejad et du thriller Operation Persian Gulf.
(Amil Imani) Dans le primitif désert d’Arabie, est apparu il y a quatorze siècles, un employé illettré d’une riche veuve, Khadija, prétendant être porteur de préceptes de vie parfaits dictés par Allah : le coran.

Il proclama que l’humanité n’avait rien de mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient adopter l’islam – se soumettre - en inféodant leur liberté à Mahomet.

L’islam est la tromperie ayant rencontré le succès le plus énorme de l’histoire de l’humanité. Des millions de mollahs et d’imams entretiennent cette arnaque et un milliard et demi de croyants en paient le prix. Ils paient en argent, en labeur et même de leur vie pour les reconnaissances de dette des organisations musulmanes qui se faufilent dans la vie sans jamais la moindre goutte de sueur pour gagner leur pain quotidien.

L’islam est une arnaque et les musulmans en sont les victimes.

Mahomet, pendant sa période mecquoise, était ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les Quraychites, pour ses propos incohérents. Ils le surnommaient le « shaeron majnoon », le poète cinglé.

Le décès de sa première épouse, et très riche patronne, laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il a pris la fuite vers Médine, et dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.

Arrivé à Médine, Mahomet imagina une formule à succès plus performante : il justifia tout en prétendant que c’était la volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère. Il détient les clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer.

L’obéissance aveugle aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule magique a très bien marché avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce aux pillages et aux meurtres. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un temps record.

Alors que Mahomet rassemblait de plus en plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme esclaves. C’était la naissance du « djihad ». Etre tout mielleux et cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en puissance.

Cela marchait à l’époque et cela marche encore.

En un temps record, ces sauvages du désert arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet – soit tu assassines et tu as le butin dans ce bas-monde, soit tu es tué et tu demeures pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis d’Allah – se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres lointaines.

Contrôle mental

Les êtres humains se déplacent sur leurs deux pieds, mais c’est l’esprit qui dicte la direction à prendre dans la vie et ce qu’il convient de faire. Là où l’esprit ordonne d’aller, là on va. Cependant, l’esprit humain n’arrive pas dans ce monde avec la marche à suivre. Contrairement à certaines opinions, nous ne sommes nés ni anges ni démons. Chacun de nous a le potentiel de devenir ange ou démon. La plupart évoluent vers un mélange des deux, quelques rares spécimens évoluent vers une voie angélique, d’autres deviennent l’incarnation du Mal. La programmation mentale joue un rôle crucial dans ce que nous devenons.

L’islam, dès son origine, a découvert le secret crucial de formater les très jeunes esprits, selon l’adage : instruire dans la petite enfance c’est comme sculpter dans le roc. Dans la même veine, les Jésuites disent « Donnez-moi un enfant jusqu’à ses sept ans et je vous rendrai un homme », c’est une application de la philosophie et de la théologie de Saint Augustin. L’importance immense de s’adresser à des enfants très jeunes est également soulignée par des doctrines non-religieuses, allant de la psychanalyse freudienne à la psychologie behavioriste de Watson.

Les apologistes de l’islam

Et nous voilà, au 21ème siècle, face aux assauts des islamistes, des djihadistes et des apologistes de l’islam dans notre culture et notre mode de vie. Voici les fruits nocifs de l’arbre fallacieux planté par Mahomet il y a 1400 ans.

Les docteurs autoproclamés de la religion musulmane pratiquent universellement un enrobage mielleux pour camoufler la vaste escroquerie de l’islam. Ils affirment haut et fort l’importance d’accepter les choses sans discuter, dénigrent la raison, alternent la carotte et le bâton et exigent une soumission inconditionnelle en contrepartie de la promesse du bonheur et du salut. Les masses marchent au pas, entretiennent un clergé parasitaire au mode de vie somptueux, et le manège continue à tourner. Cela fonctionne comme un envoûtement. Tu utilises le djihad de l’épée si tu peux, ou sinon le djihad soft puis tu dégaines le sabre pour terminer le boulot. Et surtout, n’oublie pas : « La fin justifie les moyens », prêchent sans cesse les apologistes de l’islam à leurs hordes.

Les apologistes de l’islam n’exposent jamais la vérité nue de l’islam. Ils ne mentionnent jamais cet islam qui se nourrit de haine, jette de l’acide au visage des femmes qui ont omis leur voile et aux fillettes sur le chemin de l’école, fouette ceux qui arborent des coiffures non-islamiques, lapident à mort ceux qui dévient de ses normes sexuelles et toutes ces sortes d’atrocités comme les crimes d’honneur. Ils ne disent jamais non plus que la pédophilie est institutionnalisée par l’islam.

Le prophète Mahomet a « épousé » une fillette de six ans et a consommé ce mariage quand Aicha avait seulement neuf ans, alors qu’il allait sur ses 60 ans. Quand les apologistes sont confrontés au sujet de ce comportement répugnant du fondateur de leur si « parfaite religion », certains exercent le mécanisme de défense du déni et prétendent que cela ne s’est jamais passé, reniant leurs propres sources historiques les plus fiables. D’autres prétendent que ce n’était pas vraiment un mariage mais une alliance seulement politique, une action de l’émissaire parfait d’Allah. Et depuis lors, des cas innombrables d’enfants violées ont lieu dans le monde musulman, copiant l’exemple de Mahomet. Des fillettes pré pubères sont mariées à des vieillards. Il y a peu de temps, le Dr Salih bin Fawzan, un religieux éminent et membre du plus haut Conseil religieux saoudien, a émis une fatwa proclamant qu’il n’y a pas d’âge minimum pour le mariage et que les fillettes peuvent être mariées « même lorsqu’elles sont encore au berceau ».

Pour aggraver le tout, l’islam a des alliés puissants et inconscients dans la masse des braves mais naïfs Américains qui se mettent en quatre pour protéger leur cher principe de liberté de religion. Et toute cette frange bien-pensante de notre société incite Hillary Clinton, par exemple, à accorder un visa à des types comme Tariq Ramadan, qui viennent chez nous pour exploiter le filon d’un système généreux et ouvert afin d’y établir la servitude musulmane.

L’islam politique

L’islam est politique jusqu’au noyau. Dans l’islam, la mosquée et l’Etat ne sont qu’une seule et même chose, la mosquée est l’Etat et cela remonte au temps de Mahomet. L’islam est également radical à l’extrême. Même l’islam « modéré » est radical dans ses croyances et dans ses actes. Les musulmans sont convaincus que tous les non-musulmans, absolument tous, sont condamnés aux feux de l’enfer et méritent d’être maltraités, comparés aux croyants.

Un vrai musulman ne croit pas à la liberté et il ne le peut pas. Tout est volonté d’Allah, répète Mahomet. Tout ce que fait un musulman est en référence à un ordre ou à un décret d’Allah. C’est pour cette raison que la phrase « Inch Allah » (si Allah veut) accompagne toujours une promesse ou une décision que font les croyants. En acceptant Mahomet en tant qu’émissaire éternel et infaillible d’Allah, le musulman abandonne toute liberté de décider par lui-même.

Les musulmans et la liberté

L’abdication totale de leur liberté n’est pas une simple question de choix personnel pour les musulmans. Ils renoncent à leurs plus précieux droits et s’efforcent que les autres y renoncent aussi, de gré ou de force. On dit que la misère adore avoir de la compagnie. Or ce genre de misère que l’escroquerie de l’islam impose aux musulmans est une peste envahissante et doit être combattue par tous ceux qui chérissent leur liberté innée.

Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.
Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie.

Source : The Fraud of Islam, par Amil Imani, 24 novembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille
Lire aussi :
Amil Imani : L'islam n'est pas une religion mais une forme d'esclavage
Rédigé le 28/11/2011 dans Islam, Paroles de musulmans/ex musulmans | Lien permanent

Commentaires

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¨L'islam est une arnaque et les musulmans en sont les victimes¨ ? Non monsieur, les victimes c'est nous les non-musulmans et l'ontarienne Rosemarie et les Coptes et tous ceux qui ne font pas partie de cette secte envahissante et dangereuse.
Eux ils sont tout content, ils ont la grâce d'Allâh, ils ont la haine au cœur et en veulent à tout le monde !
Rédigé par : Madeleine G. | 28/11/2011 à 02:21

ISLAM = ISLAMISTE = TERRORISTE
Rédigé par : zarmagh | 28/11/2011 à 07:46

L'islam est, il me semble, davantage un moyen qu'un but.
Un moyen d'unir des populations disparates, un moyen de les tenir en les faisant converger vers un but commun, un outil de contrôle social.
C'est une doctrine politique qui se répand par la force, se maintient par la peur.
L'islam a ceci de "parfait" qu'il transforme la plupart de ses victimes en bourreaux qui deviennent leurs propres geôliers. Des esclaves volontaires qui, non seulement refusent la liberté, mais demandent toujours plus de soumission...
N'est-ce pas d'ailleurs le sens réel de ce que nos médias appellent le "printemps arabe » ? Lorsque l'on constate le résultat des élections démocratiques...
Rédigé par : Cyril | 28/11/2011 à 07:57

Moi je suis d'accord avec l'auteur de l'article. En effet, à la lumière de mes lectures jusqu'à ce jour sur l'Islam, ce que j'en comprends c'est que l'Islam est un état totalitaire dirigé par des individus pervers, sanguinaire, psychopathes, pédophiles qui se servent de la religion musulmane pour justifier leur insanité, leurs actes cruels et barbares et les femmes n'ont que leur voile et leur tombe dans cet état. De plus les pays comme le Canada sont en train de tomber dans le piège de cet Islam radical avec la charte des droits de la liberté religieuse. Dernièrement l'Ontarienne qui a été condamnée à aller faire des travaux communautaires dans une mosquée ! Ça n'a pas de sens. Le Canada s'en vient comme l'Angleterre et le reste de l'Europe.
Rédigé par : Bélanger | 28/11/2011 à 08:04

LIRE ABSOLUMENT LA SUITE SUR L'HYPERLIEN;

Claude Jésus Croix

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Message par Fils d'Adam Mar 24 Mai 2016 - 20:55

Paix à vous frères en Dieu, notre unique créateur   Flower white

Pécheur a écrit:Votre prophète et Jésus ont tous deux été confrontés au cas d'une femme adultère. Le premier l'a fait lapider, le deuxième l'a laissé repartir en lui demandant de ne plus pécher. "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre" a-t-il enjoint à l'assistance.

Selon vous, lequel des deux a témoigné le plus de la miséricorde de Dieu dans cette affaire ?

Pécheur.

La femme dont tu parles était venue se dénoncer, et a reconnue qu'elle a forniqué, et c'est elle qui est venue voir le prophète pour le lui dire (hadith). Elle voulait se repentir de son péché, qu'elle soit puni selon la loi, le prophète l’a renvoyé plusieurs fois, mais elle a insistée.

celui qui commet la fornication doit se repentir à Allah et ne pas se dénoncer. Si Allah cache les péchés de Son serviteur aux gens, il doit saisir cette occasion de repentir qu’Allah lui donne.  le prophète (Paix et bénédiction sur lui) a dit : « N’entrera pas au paradis celui dont Allah couvre le péché pendant la nuit et qui le matin venu, va le révéler aux gens »

Pour ceux qui ont commis la fornication, la porte du repentir est ouverte, et Allah dit : « Allah ne pardonne pas qu’on lui donne d’associé, en deçà Il pardonne à qui Il veut »

« Les serviteurs du Tout Miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur terre, qui, lorsque les ignorants s’adressent à eux, disent : “Paix”, qui passent les nuits prosternés et debout devant leur Seigneur; qui disent : “Seigneur, écarte de nous le châtiment de l’Enfer”. - car son châtiment est permanent. Quels mauvais gîte et lieu de séjour ! Qui, lorsqu’ils dépensent, ne sont ni prodigues ni avares mais se tiennent au juste milieu. Ceux qui n’invoquent avec Allah aucune autre divinité, ne tuent pas la vie qu’Allah a rendue sacrée sauf dans les limites de la légalité et qui ne  s’adonnent pas à la fornication. Car quiconque fait cela encourre une punition. Le châtiment lui sera multiplié le jour de la Résurrection et il y restera éternellement, couvert d’humiliation .Sauf celui qui repent à Allah et accomplit une bonne œuvre, ceux-là Allah changera leurs mauvaises actions en bonnes, et Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».(25. 63-70)

Donc le repentir efface le péché, quel qu’il soit. Et le prophète (Paix sur lui) a dit : « Le plus grand des grands péchés est d’associer à Allah ». Donc le polythéisme est le plus grand des grands péchés et Allah a décrit Ses serviteurs par certaines qualités : ils n’associent rien à Allah, puis ils ne tuent pas sans raison légale et ne pratiquent pas la fornication. Puis Il a rappelé que celui qui se repent et accomplit une bonne action, Allah lui pardonne et change ses mauvaises actions en bonnes actions. Donc, le polythéiste, s’il se repent, Allah lui pardonne, et la fornication vient après le polythéisme et l’assassinat, en troisième position dans le verset. Ceux qui se repentent du polythéisme, de l’assassinat, de la fornication, il n’y a aucun doute qu’Allah leur pardonne. ».

L’imam ‘Abderahman As-Sa’di dit à propos du verset « Et n’approchez pas de la fornication » (Al-Isra 32) : « L’interdiction de s’approcher de la fornication est plus claire encore que l’interdiction de l’acte, car cela englobe tout ce qui y amène car « celui qui fait paître (son troupeau) près du territoire réservé (interdit) peut rapidement y tomber » (Al-Bukhari, Muslim). Surtout concernant la fornication vers laquelle appellent la plupart des âmes. » (Taysir Al-Karim Ar-Rahman p.477). L’imam Ibn Kathir rapporte en explication de ce verset, un hadith rapporté par l’imam Ahmad d’après Abu Umama qui dit : « Un jeune homme est venu voir le prophète (Paix et bénédiction sur lui) et lui a dit : permets-moi la fornication. Les gens se sont alors retournés et lui ont crié dessus. Le prophète (Paix et bénédiction sur lui) lui dit : approche, il s’approcha, puis il lui dit : assieds-toi. Puis il lui dit : voudrais-tu cela pour ta mère ? Il dit : non, par Allah qui accepterait cela pour sa mère. Il dit : voudrais-tu cela pour ta fille ? Il dit : non, par Allah qui accepterait cela pour sa fille. Il dit : voudrais-tu cela pour ta sœur ? Il dit : non, par Allah qui accepterait cela pour sa sœur. Il dit : voudrais-tu cela pour ta tante maternelle ? Il dit : non, par Allah qui accepterait cela pour sa tante maternelle. Il dit : voudrais-tu cela pour ta tante paternelle ? Il dit : non, par Allah qui accepterait cela pour sa tante paternelle. Puis le prophète (Paix et bénédiction sur lui) posa sa main sur lui et dit : « Ö Allah, pardonne son péché, purifie son cœur et préserve son sexe ». Abu Umama dit : Après cela, ce jeune ne se détournait plus. »

Pécheur a écrit:J'aimerais vous demander, entre Jésus qui n'a jamais versé le sang et n'a pas eu de femmes, et votre prophète qui a guerroyé, donc tué des gens, et qui a eu de nombreuses femmes, lequel a eu la vie la plus sainte ?

Pour ce qui est du "sang sur les mains" de notre prophète (asws) c’est complètement faux. Il faut lire sa vie (sira nabawiya) par soi même et non pas prendre au sérieux tout ce qu'on trouve sur internet, ou à la télévision parce que la vérité est et sera toujours enterrée. http://www.islamreligion.com/fr/category/82/sa-biographie/

De la révélation au second émigration des musulmans de la Mecque vers Médine cette fois ci, les musulmans leur était formellement interdit de lever la main sur qui que ce soit. Même quand ils étaient a Médine, il leur était interdit de constituer une armée afin d'aller protéger et défendre leur famille resté a la Mecque.
Ils ont reçu l'ordre de constituer une armée que lorsque les quraychites ont voulu venir a Médine pour tuer les musulmans. Allah leur a donner des règles strict a respecter pendant les guerres (ne pas toucher aux enfants, femmes, vieillard, aux personnes qui ne vous combattent pas, ne pas déraciner les arbres, détruire des maisons....etc.). Il ne s'agit pas seulement de se défendre n'importe comment mais il y a des règles.

Pour ceux qui font la comparaison entre notre prophète Mohammed et Jésus (Paix et bénédictions sur eux) en disant que Jésus ne parlait que de l'amour et de paix, tandis-que Mohammed a fait et ordonné des guerres, ils oublient plusieurs choses :

1- Que Mohammed était un chef d'état tant dis que Jésus était un simple enseignant, il n'avait pas d'état ou des terres à défendre, et si il était un chef d'état il aurait fait la même chose que notre prophète Mohammed, car parmi les raisons d'être d'un état, c'est se défendre au moment de guerre.
2- Que la Bible elle même reconnu des prophètes qui ont été des chefs d'état, et ils ont fait des guerres comme David et Salomon.
3- Que la Bible comme le Coran contient des versets qui ordonnent la guerre, la différence que les versets de la Bible ordonnent même le massacre des femmes, des enfants, des bébés et des animaux.
Et voilà quelque versets de la Bible de guerre et de massacre :

Samuel 15
1 Samuel dit à Saül: C'est moi que l'Eternel a envoyé pour t'oindre roi sur son peuple, sur Israël: écoute donc ce que dit l'Eternel.
2 Ainsi parle l'Eternel des armées: Je me souviens de ce qu'Amalek fit à Israël, lorsqu'il lui ferma le chemin à sa sortie d'Egypte.
3 Va maintenant, frappe Amalek, et dévouez par interdit tout ce qui lui appartient; tu ne l'épargneras point, et tu feras mourir hommes et femmes, enfants et nourrissons, boeufs et brebis, chameaux et ânes.

Deutéronome 2
31 L'Eternel me dit: Vois, je te livre dès maintenant Sihon et son pays.
32 Sihon sortit à notre rencontre, avec tout son peuple, pour nous combattre à Jahats.
33 L'Eternel, notre Dieu, nous le livra, et nous le battîmes, lui et ses fils, et tout son peuple.
34 Nous prîmes alors toutes ses villes, et nous les dévouâmes par interdit, hommes, femmes et petits enfants, sans en laisser échapper un seul.

Les controverses à l’encontre du Prophète (PSL) visent à la fois son message et sa personne. Les mensonges proférés contre son message consistent à véhiculer l’idée selon laquelle l’islam serait une religion violente et sanguinaire. Quant à la personne du Prophète (PSL), on prétend, selon cette vision, qu’il fût un homme à femmes sous prétexte qu’il épousa plusieurs femmes. Pour réfuter cette vision à la fois injuste et erronée, analysons les différentes phases de la vie conjugale du prophète.

La première phase : Jusqu’à l’âge de vingt-cinq ans : le Prophète (PSL) est alors célibataire et n’a point connu de femmes, ce qui n’est pas habituel dans un environnement où la prostitution fût répandue, sinon normalisée.

Deuxième phase : de vingt-cinq à cinquante ans : Le Prophète (PSL) est marié à une seule femme qui est son aînée de quinze ans, qui plus est, a déjà été mariée à deux reprises avant lui et avait des enfants des deux précédents mariages. Le Prophète (PSL) a vécu avec elle durant vingt-cinq ans sans penser à se remarier, bien qu’il fût en âge où les passions sont les plus ardentes, et que la polygamie était répandue en Arabie sans aucune répréhension.

La troisième phase : entre cinquante et cinquante-deux ans : Triste, le Prophète (PSL) demeura sans mariage par amour et fidélité pour Khadija.

La quatrième phase : de cinquante-deux ans à soixante ans : Le Prophète (PSL) épousa plusieurs femmes pour des raisons politiques, stratégiques, sociales et humanistes. La première femme qu’il épousa est Sawda bintou Zam’a, une femme plus âgée que Khadija, elle avait entre 65 et 80 ans ! Le Prophète aurait-il agit par pure passion ?! Sawda fût la première femme veuve de la nouvelle ère islamique. Son mari mourut lors du retour de la première immigration en Abyssinie. Sa famille n’était pas musulmane. Qui pourrait prendre en charge cette pauvre femme sans défense, qui épouserait une femme âgée ? Il fallait être prophète pour le faire… Ainsi, les détracteurs du Prophète (PSL) le dénigrent dans ce qui fait sa grandeur. De plus, serait-il sensé que la passion duProphète (PSL) pour les femmes ne se soit manifestée qu’après l’âge de cinquante-deux ans ?! Et de quel plaisir s’agit-il pour un homme qui n’a pas connu un jour de repos ; pris constamment par ses différentes responsabilités au plus haut niveau de l’état musulman ?
Certains seront tentés de penser que la multitude d’épouses rime avec le bien-être matériel, le luxe et la vie d’aisance à l’instar des palais royaux de l’époque. Or, la vie du Prophète (PSL) était toute autre. La « sira » nous fait découvrir le Prophète (PSL) comme un homme qui a constamment connu une vie dure et rude. Sa vie aux côtés de ses épouses fut une vie difficile, ascète et insupportable pour beaucoup. Aïsha, que Dieu l’agrée, dit : « Il nous arrivait d’observer la nouvelle lune, puis la suivante, trois nouvelles lunes en deux mois sans qu’aucun feu ne soit allumé dans les foyers du Prophète (PSL) ». « De quoi viviez-vous alors ? » lui demanda son neveu ‘Ourwa ibn az-Zoubeïr . Elle répondit : « De dattes et d’eau ».

La cinquième phase : de soixante à soixante-trois ans. En lui révélant « Il ne t’est plus permis désormais de prendre d’autres femmes » (Coran s 33 v 52), Dieu lui interdit de se marier à nouveau.
D’après toutes ces phases, il parait évident que les différents mariages du Prophète (PSL) n’ont guère été motivés par une soi-disant passion ardente qu’il éprouverait pour les femmes. La question est alors : qu’en étaient les motivations ? Le Prophète (PSL) s’est marié ave plusieurs femmes pour multiples raisons dont :

La diffusion de l’Islam : Il était indispensable qu’un groupe de personnes puissent transmettre les différents détails de la vie quotidienne du Prophète (PSL), ce qui ne pouvait être assuré que par ses épouses … Qui nous a transmis sa manière d’accomplir le « ghosl » (les grandes ablutions), l’attitude que doit avoir le mari avec son épouse indisposée et d’autres détails que seules les épouses du Prophète (PSL) pouvaient connaître ? C’est d’ailleurs pour cette raison que le Prophète(PSL) épousa ‘Aïsha malgré son jeune âge, qui était la seule femme qui n’a pas connu de mariage auparavant « bikr », mais qui pourtant ne lui donna aucun enfant. Elle était prédestinée à se consacrer entièrement au savoir et à la transmission du savoir. D’ailleurs, elle vécut quarante-deux ans après la mort du Prophète (PSL) pendant lesquels elle ne cessa de diffuser son savoir. En relatant deux mille-deux-cent-dix hadiths, elle prend la quatrième place des compagnons qui ont transmis le plus de hadiths prophétiques.
2- L’unité et la stabilité de l’état après la mort du prophète (PSL) : Les quatre hommes qui succèderont au prophète (PSL) en devenant califes sont Abou Bakr, ‘Omar, ‘Othman et ‘Ali, que Dieu les agrée, les quatre piliers centraux de l’état musulman. Il fallait donc créer un lien qui les unit au Prophète (PSL) et qui les unit les uns aux autres. C’est dans ce sens que le Prophète (PSL) épousa ‘Aïsha fille de Abou Bakr et Hafsa fille de ‘Omar, et maria sa fille Fatima à ‘Ali, sa fille Rouqayya à ‘Othman, et lorsque celle-ci décéda, il le proposa à sa fille Oum Kalthoum.

3- La compassion : Faire preuve de compassion envers les veuves. Le Prophète (PSL) s’employait à ne laisser aucune veuve sans essayer de la remarier. C’était le seul moyen de les prendre efficacement en charge, surtout dans le contexte de l’époque. C’est ainsi qu’il se maria avec Oummou salama, une femme âgée avec des enfants, et Sawda comme nous l’avons évoqué ci-dessus.

4- Des raisons politiques : le Prophète (PSL) se maria avec Oummou Habiba lorsque le mari de celle-ci décéda. Oummou Habiba était la fille de Abou Soufiane, le chef de Qouraysh. Laisser cette femme noble épouser n’importe quel musulman, aurait été vécu par Abou Sofiane comme une humiliation et un affront. D’ailleurs, Abou Soufiane accepta volontiers ce mariage, et pour leProphète, ce fut une façon d’adoucir le cœur de Abou Sofiane, farouche détracteur des musulmans. De même, le Prophète (PSL) épousa Safiyya fille de Houyay qui était considéré comme le roi des juifs. Il fallait donc honorer cette dame.

5- L’humanisme : Le Prophète (PSL) épousa Jouwayriya bintoul-Harith. Son père fut le chef de la tribu des Banou al-Moustaliq. Sa lutte acharnée contre les musulmans a fini par une si lourde défaite que toute la tribu fût capturée par les musulmans. Le Prophète (PSL) épousa alors Jouwayriya pour éveiller chez les musulmans les sentiments de noblesse et d’humanisme. Voyant que leurs captifs devinrent les beaux-parents du prophète (PSL), les musulmans remirent toute la tribu en liberté. Cette action humaniste changea complètement le regard des Banou al-Moustaliq au point de finir par embrasser l’islam.

6- Des raisons législatives : Les arabes avaient pour habitude d’interdire au père adoptif d’épouser la femme répudiée par son fils adoptif. Le Coran est venu abolir cette tradition d’une manière pratique en ordonnant au Prophète (PSL) d’épouser Zeyneb bintou Jahsh, la femme répudiée par son fils adoptif Zeyd ibn Haritha, mettant un terme par la même au système d’adoption plénière pratiqué chez les arabes (Seule l’adoption ne rompant pas les liens avec les parents biologiques est autorisé en Islam).

Par conséquent, nous pouvons conclure que le Prophète (PSL) s’est marié de deux façons : Mohammad, l’homme. Il épousa de son choix une seule femme qui est Khadija. Et Mohammad leProphète (PSL). A ce titre, il épousa plusieurs épouses pour des raisons toutes liées à sa mission prophétique.

En réalité, toutes ces controverses dont fait l’objet le Prophète (PSL) reflètent un sentiment de racisme, et de haine de l’Islam, et des musulmans. Leurs auteurs ne font qu’inventer des prétextes, fussent-ils infondés et insensés pour essayer de justifier leur racisme et leur islamophobie.
En savoir plus sur http://almoraabit.e-monsite.com/pages/biographie-mohamad-psl/pourquoi-le-prophete-mohammed-avait-il-plusieurs-femmes.html#8mcQid3dtvMV2FkG.99
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islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? Empty Re: Que dit l'islam à propos du terrorisme?

Message par Fils d'Adam Mar 24 Mai 2016 - 20:56

Et pour ce qui est de tuer les non musulmans vivant sur le sol musulman c'est faux aussi.
"Nul contrainte dans la religion" (Coran, 2:256)

Coowar Claude a écrit:ce que j'en comprends c'est que l'Islam est un état totalitaire dirigé par des individus pervers, sanguinaire, psychopathes, pédophiles qui se servent de la religion musulmane pour justifier leur insanité, leurs actes cruels et barbares...

Les relations du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) avec les gens d’autres religions sont résumées dans ce verset du Coran :
« À vous votre religion et à moi la mienne. » (Coran 109:6)

À l’époque du Prophète, la Péninsule arabe comptait plusieurs religions sur son territoire.  Il y avait des chrétiens, des juifs, des zoroastriens et des polythéistes, de même que des gens qui n’étaient affiliés à aucune religion.  Un coup d’œil à la biographie du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous fait découvrir plusieurs exemples démontrant son haut niveau de tolérance envers les gens d’autres confessions.

Afin de comprendre et d’apprécier cette tolérance, on doit la remettre dans son contexte, à l’époque où l’islam était un État officiel, avec des lois spécifiques établies par le Prophète et conformes aux principes de la religion.  Il existe de nombreux exemples, au cours des treize années de sa mission qu’il a passées à la Mecque, où le Prophète a fait preuve de tolérance.  Comme certains pourraient croire qu’il cherchait par là à améliorer l’image des musulmans et le statut social de l’islam en général, nous ne tirerons nos exemples que de l’époque qui commence avec la migration du Prophète à Médine et, plus précisément, à partir du moment où la constitution fut établie.

La Sahifah

Le meilleur exemple de tolérance dont le Prophète fit preuve envers des membres d’autres religions fut sans doute la constitution elle-même, appelée « Sahifah » par les premiers historiens. Quand le Prophète émigra à Médine, cela mit fin à son rôle de simple leader religieux; il devint le leader politique d’un État gouverné selon les préceptes de l’islam, ce qui exigeait l’établissement de lois claires afin d’assurer l’harmonie et la stabilité dans une société qui sortait à peine de décennies de guerres de toutes sortes.  Il était donc essentiel d’assurer une coexistence paisible entre musulmans, juifs, chrétiens et polythéistes.  Le Prophète rédigea une constitution détaillant les responsabilités de chaque groupe résidant à Médine, de même que leurs obligations les uns envers les autres et certaines restrictions pour chacun.  Chaque groupe se devait de respecter les détails de cette constitution et toute violation de l’un de ses articles était considéré comme une trahison.

Une seule nation

Le premier article de cette constitution stipulait que tous les habitants de Médine, c’est-à-dire les musulmans et tous les juifs, chrétiens et idolâtres qui avaient signé le traité de paix, constituaient « une seule nation, à l’exclusion de toutes les autres ».  Ils étaient tous considérés comme membres et citoyens de Médine, indépendamment de leur race, religion ou lignée.  Les non-musulmans jouissaient de la même protection et de la même sécurité que les musulmans, tel que stipulé dans un autre article qui disait : « Les juifs qui sont avec nous recevront de l’aide et seront traité de façon équitable.  Ils ne seront point lésés et aucun soutien ne sera apporté à leurs ennemis. »  Auparavant, chaque tribu avait des alliés et des ennemis à l’intérieur et à l’extérieur de Médine.  Le Prophète rassembla ces différentes tribus sous un seul système de gouvernance dans lequel furent maintenus les pactes d’alliances existant déjà entre elles.  Toutes les tribus devaient se considérer comme une seule nation, sans égard aux alliances individuelles.  Toute attaque contre une autre tribu ou contre des membres d’une autre religion était considérée comme une attaque contre l’État et contre les musulmans.

Les membres des autres religions au sein de la société musulmane jouissaient également d’une protection dans la pratique quotidienne de leur culte.  Le Prophète dit :
« Quiconque tue une personne qui a signé une trêve avec les musulmans ne sentira jamais l’odeur du Paradis. » (Sahih Mouslim)

Comme les musulmans étaient en position d’avantage, le Prophète émit une stricte mise en garde contre toute forme de mauvais traitement contre les membres des autres confessions.

À chacun sa religion

Un autre article de cette constitution stipulait que : « les juifs ont leur religion et les musulmans, la leur. ».  Il est donc clair que le Prophète ne supportait aucun acte d’intolérance à l’égard des autres religions et que bien qu’ils faisaient tous partie de la même société, ils pouvaient pratiquer chacun sa religion, un droit qui ne pouvait être violé sans conséquences graves.  Ils étaient tous libres de pratiquer leur religion sans être lésés ni avoir à subir de provocations ou de harcèlement.

Nous pourrions discuter de plusieurs autres articles de cette constitution, mais comme l’espace nous manque, nous aimerions mettre l’accent sur l’article suivant, que nous considérons important : « Si une dispute ou une controverse susceptibles de provoquer des problèmes éclatent, il faut le renvoyer à Dieu et à Son messager. »

 Selon cette clause, tous les habitants de l’État devaient reconnaître cette autorité supérieure et, dans les litiges qui impliquaient diverses tribus et religions, la justice ne devait pas être du ressort de leaders individuels, mais du leader de l’État lui-même ou de ses représentants.  Il était toutefois permis aux tribus non-musulmanes de régler leurs différends internes à l’aide de leurs propres écritures religieuses ou de leurs guides spirituels.  Elles avaient également le choix, si elles le souhaitaient, de demander au Prophète d’agir comme juge pour elles.  Dieu dit, dans le Coran :
« S’ils viennent à toi, (ô Mohammed), juge entre eux ou alors refuse poliment d’intervenir. » (Coran 5:42)

Le Prophète permettait donc aux membres des diverses religions de juger entre eux de leurs propres affaires, tant que leurs décisions ne contredisaient pas les articles de la constitution, un pacte qui tenait compte des avantages d’une paisible coexistence entre les divers groupes formant la société de Médine.

Liberté de tenir des assemblées religieuses et autonomie religieuse

De par la constitution, les juifs jouissaient d’une totale liberté de pratiquer leur religion.  À l’époque du Prophète, les juifs de Médine avaient leur propre école, appelée Bait-oul-Midras, où ils adoraient Dieu, recevaient une éducation générale et apprenaient à réciter la Torah.
Dans plusieurs lettres envoyés à ses émissaires, le Prophète mettait l’accent sur le fait que les institutions religieuses ne devaient être attaquées en aucune circonstance.  Dans une lettre adressée aux leaders religieux de Sainte Catherine, au Mont Sinaï, qui avaient demandé la protection des musulmans, il dit :

« Ceci est un message de la part de Mohammed ibn Abdoullah, constituant une alliance avec ceux dont la religion est le christianisme; que nous soyons proches ou éloignés, nous sommes avec eux.  Moi-même, les auxiliaires [de Médine] et mes fidèles, nous nous portons à leur défense, car les chrétiens sont mes citoyens.  Et par Dieu, je résisterai contre quoi que ce soit qui les contrarie.  Nulle contrainte sur eux, à aucun moment.  Leurs juges ne seront point démis de leurs fonctions ni leurs moines expulsés de leurs monastères.  Nul ne doit jamais détruire un édifice religieux leur appartenant ni l’endommager ni en voler quoi que ce soit pour ensuite l’apporter chez les musulmans.  Quiconque en vole quoi que ce soit viole l’alliance de Dieu et désobéit à Son prophète.  En vérité, les chrétiens sont mes alliés et sont assurés de mon soutien contre tout ce qui les indispose.  Nul ne doit les forcer à voyager ou à se battre contre leur gré.  Les musulmans doivent se battre pour eux si besoin est.  Si une femme chrétienne est mariée à un musulman, ce mariage ne doit pas avoir lieu sans son approbation.  Une fois mariée, nul ne doit l’empêcher d’aller prier à l’église.  Leurs églises sont sous la protection des musulmans.  Nul ne doit les empêcher de les réparer ou de les rénover, et le caractère sacré de leur alliance ne doit être violé en aucun cas.  Nul musulman ne doit violer cette alliance jusqu’au Jour Dernier. »

Comme on peut le constater, cette constitution comportait plusieurs clauses qui couvraient tous les aspects importants des droits humains, incluant la protection des minorités vivant sous un gouvernement islamique, la liberté de culte et de mouvement, la liberté de nommer leurs propres juges et de posséder leurs propriétés, exemption du service militaire et droit à la protection de l’État en temps de guerre.

À une autre occasion, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) reçut dans sa mosquée une délégation de soixante chrétiens de la région de Najran, qui faisait alors partie du Yémen.  Lorsque vint l’heure de leurs prières, ils se tournèrent vers l’est et prièrent.  Le Prophète ordonna qu’on les laisse tranquille et qu’on ne leur cause aucun préjudice.

Politique

Il existe également des exemples tirés de la vie du Prophète où ce dernier a coopéré, au niveau politique, avec des gens de confessions différentes.  Par exemple, il nomma un non-musulman, Amr ibn Omayah ad-Damri, comme ambassadeur et l’envoya rendre visite à Négus, roi d’Éthiopie.

Ce ne sont là que quelques exemples démontrant la tolérance du Prophète envers les autres religions.  L’islam reconnaît la diversité des religions et accorde à chaque individu le droit de choisir la voie qui lui semble la meilleure.  La religion ne doit pas être imposée contre leur gré aux individus et ces exemples tirés de la vie du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) résument parfaitement le verset du Coran qui fait autorité en matière de tolérance religieuse en islam.  Dieu dit :

« Nulle contrainte en religion. » (Coran 2:256)

Paix Kisses
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Message par Fils d'Adam Mar 24 Mai 2016 - 20:56

Paix à vous  Flower white

Coowar Claude a écrit:ISLAM = ISLAMISTE = TERRORISTE

Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a été décrit, dans le Coran, comme une miséricorde pour l’univers :
« Et Nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers. » (Coran 21:107)

Cette miséricorde ne se limitait pas qu’aux musulmans; elle touchait aussi les non-musulmans, dont certains n’avaient ménagé aucun effort pour tenter de lui nuire et de faire obstacle à sa mission.  Cette miséricorde et cette indulgence sont évidentes lorsque l’on considère le fait que le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) n’a jamais cherché à se venger à un niveau personnel et a toujours pardonné à ses ennemis les plus acharnés.  ‘Aisha, son épouse, a rapporté qu’il ne se vengeait jamais pour des raisons personnelles.  Elle a aussi déclaré qu’il ne répondait jamais au mal par le mal, mais qu’il pardonnait aux autres.  Ce trait de caractère, chez lui, apparaîtra encore plus clairement à la suite de l’étude de certains épisodes de sa vie.

Au début de sa mission, le Prophète entreprit un voyage à Taïf, ville située dans les montagnes près de la Mecque, afin d’y inviter ses habitants à embrasser l’islam.  Les leaders de Taïf, cependant, se montrèrent impolis et discourtois envers  le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui).  Et non contents de leur insolence à son égard, ils poussèrent même certaines bandes de la ville à le harceler.  Cette racaille suivait le Prophète en lui criant des insultes, allant même jusqu’à lui jeter des pierres, jusqu’à ce qu’il soit obligé de trouver refuge dans un verger.  Ainsi, il eut à essuyer à Taïf autant de rejet et de mépris qu’à la Mecque.  Ces voyous se postaient de chaque côté du chemin, lui lançant des pierres jusqu’à ce que ses pieds en soient blessés et ensanglantés.  Ces attaques découragèrent tant le Prophète, et le plongèrent dans un tel état de dépression qu’une prière, dans laquelle il mentionnait son impuissance et sa situation pitoyable, monta spontanément à ses lèvres.  Implorant l’aide de Dieu, il dit :

« Ô Allah!  À Toi je me plains de ma faiblesse, de mon manque de ressources et de mon humiliation devant ces gens. Tu es le plus miséricordieux, le Seigneur des faibles et mon Maître.  À qui Me confieras-Tu?  À un étranger mal intentionné, ou à un ennemi qui aura le dessus sur moi?  Si Tu ne m’attribues aucun mérite, peu m’importe; car Ton bienfait sur moi est grand.  Je cherche refuge dans la lumière de Ton visage par laquelle l’obscurité se dissipe et par laquelle chaque affaire de ce monde et de l’au-delà est dirigée, de crainte que Ta colère descende sur moi ou que Ton déplaisir s’abatte sur moi.  Je n’ai besoin que de Ta satisfaction car Toi seul fais en sorte que je fasse le bien et que j’évite le mal.  Il n’y a de force et de puissance qu’en Toi. »

Le Seigneur lui envoya alors l’ange des montagnes, qui lui demanda la permission de joindre les deux montagnes, ce qui aurait eu pour effet d’écraser toute la ville de Taïf, qui était située entre les deux.  Mais de par sa grande tolérance et sa compassion, le Messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) répondit :
« Non!  Car j’espère que Dieu fera naître d’eux des gens qui L’adoreront exclusivement sans rien Lui associer. » (Sahih Mouslim)

Sa miséricorde et son indulgence étaient si grandes qu’à plusieurs occasions, Dieu Lui-même le lui reprocha.  Un des plus grands opposants à l’islam, en plus d’être un ennemi personnel, était Abdoullah bin Oubayy, leader des hypocrites de Médine.  Proclamant l’islam en apparence, il causait sournoisement beaucoup de tort aux musulmans et à la mission du Prophète.  Sachant cela, le Prophète accomplit quand même la prière funéraire sur lui, à sa mort, et pria Dieu de lui pardonner.  Le Coran mentionne cet incident en ces termes :
« Et n’accomplis jamais, (ô Mohammed), la prière (funéraire) sur l’un d’entre eux qui meurt, et ne te tiens pas debout auprès de sa tombe.  Ils n’ont pas cru en Dieu et en Son Messager et ils sont morts en transgresseurs. » (Coran 9:84)

Et pourtant, Abdoullay bin Oubayy avait œuvré toute sa vie contre Mohammed et l’islam et n’avait ménagé aucun effort pour le discréditer et nuire à sa mission.  Il avait retiré ses trois cents partisans du champ de bataille lors de la bataille d’Ouhoud et avait faillit mettre les musulmans en échec d’un seul coup.  Il était toujours mêlé à des complots ou engagé dans des hostilités contre le Prophète et les musulmans.  C’est lui qui avait tenté de jeter le Prophète dans l’humiliation en incitant ses alliés à accuser faussement son épouse, ‘Aisha, d’adultère afin de les discréditer, lui et le message qu’il prêchait.

La miséricorde du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) s’est aussi étendue à ceux qui avaient brutalement tué, puis mutilé le corps de son oncle Hamzah, une des personnes qui lui étaient le plus chères.  Il avait été l’un des premiers à embrasser l’islam et, grâce à son pouvoir et à sa position au sein de la hiérarchie de Qouraish, il avait évité bien des maux aux musulmans.  Un esclave abyssinien appartenant à la femme d’Abou Soufyan, Hind, chercha et tua Hamzah sur le champ de bataille durant la bataille d’Ouhoud.  

Durant la nuit qui avait précédé la victoire de la Mecque, Abou Soufyan avait accepté l’islam, craignant la vengeance du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui).  Ce dernier lui pardonna et ne lui demanda aucune compensation pour toutes les années de souffrance qu’il lui avait infligées.

Après la mort de Hamzah, Hind alla mutiler son corps.  Elle ouvrit sa poitrine, en retira son foie et son cœur et les déchiqueta.  Elle alla même jusqu’à mâcher un morceau de son foie, sans toutefois l’avaler.

Plus tard, lorsqu’elle vint calmement trouver le Prophète pour lui dire qu’elle acceptait l’islam, il la reconnut mais ne dit pas un mot.  Elle fut si impressionnée par sa magnanimité et sa stature qu’elle dit : «Ô Messager de Dieu, aucune tente ne fut plus détestée par moi que la tienne; mais aujourd’hui, nulle n’est plus chère à mes yeux que la tienne. »
Ikrama, le fils d’Abou Jahl, était un grand ennemi du Prophète et de l’islam.  Il s’enfuit au Yémen après la victoire de la Mecque.  Après que sa femme eut embrassé l’islam, elle l’amena voir le Prophète.  Ce dernier fut si content de le voir qu’il l’accueillit en ces termes :
« Bienvenue, ô cavalier émigrant. »

Safwan ibn Oumaya, un des leaders de la Mecque, était aussi un grand ennemi de Mohammed et de l’islam.  Il avait promis une récompense à Oumayr ibn Wahab s’il arrivait à tuer Mohammed.  Lorsque la Mecque fut conquise, Safwan s’enfuit à Jeddah dans l’espoir de trouver un bateau qui le conduirait au Yémen.  Oumayr ibn Wahab vint voir le Prophète et lui dit : « Ô Messager de Dieu!  Safwan ibn Oumaya, chef de tribu, s’est enfuit de crainte de ce que tu pourrais lui infliger, et il menace de se jeter à la mer. »  Le Prophète lui envoya une garantie de protection et lorsqu’il revint, il demanda à Mohammed un délai de deux mois pour prendre une décision.  Ce dernier lui accorda quatre mois, après lesquels Safwan ibn Oumaya devint musulman de son propre chef.

Habbar ibn al-Aswad était un autre ennemi acharné contre Mohammed et l’islam.  Il blessa gravement Zaynab, la fille du Prophète, lors de son émigration à Médine.  Elle était enceinte au début de son émigration et les polythéistes de la Mecque tentèrent de l’empêcher de partir.  Mais alors qu’elle partait, cet homme, Habbar ibn al-Aswad, l’agressa et la fit tomber de son chameau.  Sa chute entraîna la mort du fœtus qu’elle portait en plus de la blesser sérieusement.  Par ailleurs, il commit de nombreux autres crimes contre les musulmans.  Après la conquête de la Mecque, il pensa d’abord à fuir en Perse, mais décida finalement de se rendre à Mohammed, qui lui pardonna avec beaucoup de magnanimité.

La tribu de Qouraish elle-même était ennemie de l’islam.  Et, durant une période de treize ans, durant laquelle le Prophète est demeuré à la Mecque, les membres de Qouraish le réprimandaient, le provoquaient et se moquaient de lui, le frappaient et le harcelaient, à la fois physiquement et mentalement.  Une fois, ils jetèrent le placenta d’une chamelle sur son dos alors qu’il priait.  Ils le boycottaient, lui et les siens, jusqu’à ce qu’un jour, ce mauvais traitement devienne tout à fait insupportable.  Ils complotèrent et tentèrent de le tuer à plusieurs reprises, et lorsque le Prophète s’enfuit finalement à Médine, ils mobilisèrent la plupart des tribus arabes et menèrent plusieurs guerres contre lui et ses fidèles.  Malgré tout cela, lorsqu’il revint finalement à la Mecque avec une armée de 10 000 musulmans, il ne chercha à se venger de personne.  Il dit plutôt à Qouraish :
« Ô peuple de Qouraish!  Que pensez-vous que je vais vous faire? »

Espérant une réponse positive, ils dirent : « Tu ne nous feras que du bien.  Tu es un frère noble, fils d’un frère noble. »

Alors le Prophète dit :
« Je vous dis ce que Joseph dit à ses frères : « Je ne vous fais aucun reproche.  Allez!  Vous êtes tous libres! »

Un tel exemple de pardon se trouve rarement dans les annales de l’histoire.  Même son ennemi le plus acharné, Abou Soufyan, qui avait mené de nombreuses guerres contre l’islam, reçut son pardon.

Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) aimait le pardon, et aucun crime ni agression contre lui n’était trop horrible pour qu’il le pardonne.  Il était un exemple parfait d’indulgence et de bonté, tel que le mentionne le verset coranique suivant :
« Pardonne-leur, (ô Mohammed), commande ce qui est convenable et détourne-toi des ignorants. » (Coran 7:199)

Il répondait toujours au mal par le pardon et la gentillesse car, à ses yeux, un antidote était préférable à un poison.  Il croyait et appliquait le précepte selon lequel l’amour peut venir à bout de la haine et qu’il est possible de venir à bout des agressions par le pardon.  Il surmonta l’ignorance des gens par le savoir de l’islam, et la folie et la malveillance des gens par le pardon et la gentillesse.  Par son pardon, il a libéré les gens de leur servitude envers le péché et le crime, en plus de les rendre plus tolérants envers l’islam.  Il était l’exemple même de ce verset du Coran qui dit :
« La bonne action et la mauvaise ne sont pas égales.  Repousse le mal par ce qui est meilleur, et voilà que celui qui te traitait en ennemi (devient) un ami intime. » (Coran 41:34)

http://www.islamreligion.com/fr/category/82/sa-biographie/

Paix Smile
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Message par Fils d'Adam Mar 24 Mai 2016 - 20:57

Paix à vous mes frères en Dieu d'Abraham, d’Ismaël, d'Isaac et de Jacob  Flower white

Pécheur a écrit:votre religion a été créée par les Juifs, votre prophète n'a fait que transmettre une sous-religion juive aux Arabes

Questions préliminaires

La Bible est le livre sacré du judaïsme et du christianisme.  La Bible chrétienne est constituée de l’Ancien et du Nouveau Testament, mais les versions catholique romaine et orthodoxe de l’Ancien Testament sont légèrement plus volumineuses parce que ces églises acceptent certains livres que les protestants n’acceptent pas.  La Bible juive ne comprend que les livres que les chrétiens connaissent sous le nom d’Ancien Testament.  De plus, la disposition des canons juif et chrétien diffèrent considérablement.  La venue du prophète Mohammed a été prophétisée à la fois dans l’Ancien et le Nouveau Testament.

Il est communément admis que Jésus et ses apôtres parlaient l’araméen.  L’araméen a été couramment parlé jusqu’en l’an 650, environ, puis a été supplanté par l’arabe.  La Bible que l’on retrouve de nos jours n’est cependant pas fondée sur les manuscrits araméens, mais sur des versions grecques et latines.
(Le fait de citer des prophéties de la Bible ne signifie pas que les musulmans acceptent la Bible contemporaine comme révélation divine dans toute son intégralité.)

Le fait que sa venue soit prophétisée par un autre prophète n’est pas une condition requise pour qu’un prophète soit accepté et reconnu.  Moïse, qui était un prophète envoyé au peuple de Pharaon, n’avait été annoncé par aucun prophète avant lui.  Abraham a été envoyé par Dieu à Nimrod, mais aucun prophète n’avait prédit sa venue.  De même pour Noé, Lot et d’autres qui étaient tous de vrais prophètes envoyés par Dieu sans que leur venue n’ait  jamais été prophétisée par un autre prophète.  La preuve de l’authenticité d’un prophète ne se limite donc pas à des prophéties faites sur lui; elle inclut le message qu’il a à transmettre, les miracles qu’il accomplit, etc.

Discuter des prophéties demeure un exercice délicat, car il implique de faire le tri parmi de nombreuses versions et traductions de la Bible et des manuscrits récemment découverts, et de faire des recherches sur des mots hébreux, grecs et araméens.  La tâche devient particulièrement difficile lorsque l’on sait que « toutes les copies de la Bible émises avant l’invention de l’imprimerie (au 15esiècle) présentent des variantes textuelles ».  Voilà qui n’est pas un sujet facile pour les non initiés.  Les meilleurs témoignages nous viennent donc d’experts dans le domaine, contemporains ou non, qui ont reconnu ces prophéties.

Nous avons des témoignages d’individus parmi les premiers juifs et les premiers chrétiens, des rabbins et des moines, qui témoignent du fait que Mohammed était bel et bien l’homme auxquelles faisaient allusion des prophéties bibliques bien spécifiques.  En voici quelques exemples.
Le prophète attendu

Les juifs et les chrétiens de l’ère pré-islamique, en Arabie, attendaient un prophète.  Avant la venue de Mohammed, l’Arabie était un pays partagé par des juifs, des chrétiens et des païens, et les trois groupes se faisaient la guerre à l’occasion.  Les juifs et les chrétiens disaient aux païens : « Le temps est venu pour que le prophète illettré apparaisse parmi nous afin de faire revivre la religion d’Abraham.  Nous nous joindrons à lui et nous vous livrerons une guerre acharnée à ses côtés. »  Mais lorsque Mohammed apparut pour de bon, certains crurent en lui et d’autres le rejetèrent.  C’est pourquoi Dieu a révélé :

« Et quand leur vient, de Dieu, un Livre confirmant celui qu’ils ont déjà entre leurs mains – alors qu’auparavant ils priaient pour obtenir une victoire décisive sur les mécréants –  et lorsque leur vient ce qu’ils savent, au fond, (être la vérité), ils refusent d’y croire. Que la malédiction de Dieu soit sur les mécréants! » (Coran 2:89)

Le premier témoin fut Bahira, un moine chrétien qui reconnut que Mohammed était un prophète alors que ce dernier était encore tout jeune. Il dit à l’oncle de Mohammed :
« …un brillant avenir attend ton neveu; alors ramène-le rapidement chez lui. »

Le second témoin fut Waraqah bin Nawfal, un érudit chrétien qui mourut peu de temps après une rencontre seul à seul avec Mohammed.  Waraqah reconnut que Mohammed était le prophète de son époque et qu’il avait reçu la révélation comme l’avaient reçue Moïse et Jésus.

Les juifs de Médine attendaient avec impatience la venue d’un prophète.  Les troisième et quatrième témoins furent leurs deux grands rabbins, Abdoullah bin Salam et Moykhayriq.

Les cinquième et sixième témoins furent deux rabbins yéménites, Wahb ibn Mounabbih et Ka’b al-Ahbar.  Ka’b trouva dans la Bible de long passages de louanges et la description du prophète par Moïse.
Le Coran dit :
« N’est-ce pas pour eux un signe que les savants des enfants d’Israël en soient informés? » (Coran 26:197)

Une discussion sur la prophétie contenue dans le verset 18:18 du Deutéronome et la façon dont Mohammed y correspond mieux que quiconque.

Deutéronome 18:18  « Je leur susciterai, du milieu de leurs frères, un prophète semblable à toi; Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. »

De nombreux chrétiens croient que cette prophétie faite par Moïse faisait référence à Jésus.  Bien que la venue de Jésus ait été annoncée dans l’Ancien Testament, ce verset et cette prophétie ne s’appliquent pas à lui, mais plutôt à Mohammed, comme nous le démontrerons clairement.  Moïse a prédit ce qui suit :

1.         Que ce prophète serait comme Moïse

Domaines de comparaison :
-Moïse         : Naissance normale, Prophète, Mère et père, Marié avec enfants, Accepté par les juifs
-Jésus         : Naissance miraculeuse, Prétendument fils de Dieu, Mère, Jamais marié, Rejeté par les juifs
-Mohammed : Naissance normale, Prophète, Mère et père, Marié avec enfants, Accepté par les Arabes

-Moïse        : Autorité politique : Moïse la possédait (Nombres, 15:36)
-Jésus        : Autorité politique : Jésus l’a refusée
-Mohammed : Autorité politique : Mohammed la possédait

-Moïse        : Victoire sur ses opposants : Pharaon a été noyé
-Jésus        : Victoire sur ses opposants : On prétend qu’il a été crucifié
-Mohammed : Victoire sur ses opposants :Les Mecquois ont été défaits

-Moïse        : Mort naturelle, Enterré, Ne possède pas de caractère divin, Non-ressuscité
-Jésus        : On prétend qu’il a été crucifié, Tombe vide, Divin selon les chrétiens, Prétendument ressuscité
-Mohammed : Mort naturelle, Enterré, Ne possède pas de caractère divin, Non-ressuscité

-Moïse        : Âge au début de sa mission : 40
-Jésus        : Âge au début de sa mission : 30
-Mohammed : Âge au début de sa mission : 40

2.         Que le prophète attendu serait frère des juifs

Le verset est explicite quant au fait que le prophète attendu sera issu des frères des juifs.  Abraham eut deux fils : Ismaël et Isaac.  Les juifs sont les descendants du fils d’Isaac, Jacob.  Les Arabes, quant à eux, sont les descendants d’Ismaël.  Les Arabes sont donc les frères des juifs.  La Bible affirme :

« … il (Ismaël) assurera sa place en face de tous ses semblables. » (Genèse 16:12)

« Il (Ismaël) s’établit en présence de tous ses frères. » (Genèse 25:18)

Les enfants d’Isaac sont les frères des Ismaélites.  De même, Mohammed est issu des frères des Israélites car il était un descendant d’Ismaël, le fils d’Abraham.

3.         Dieu mettra Ses paroles dans la bouche du prophète attendu

Le Coran dit, au sujet de Mohammed :

« Et il ne prononce rien selon ses propres désirs.  Ce n’est rien d’autre qu’une révélation [qui lui est] inspirée par (l’ange Gabriel) » (Coran 53:3-4)

C’est très similaire à ce que dit le verset 18:18 du Deutéronome:

« Je leur susciterai, du milieu de leurs frères, un prophète semblable à toi; Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. » (Deutéronome 18:18)

Le prophète Mohammed a été envoyé avec un message à transmettre à toute l’humanité, y compris les juifs.  Tous les hommes, y compris les juifs, doivent accepter sa mission prophétique, affirmation qui est soutenue par les paroles suivantes :

« Le Seigneur suscitera pour vous un prophète comme moi, issu de votre peuple, l'un de vos frères: écoutez-le. » (Deutéronome 18:15)

4.         Un avertissement à ceux qui rejetteront ce prophète

La prophétie continue ainsi:

Deutéronome 18:19 : « Si un homme n'écoute pas Mes paroles que ce prophète aura prononcées en Mon nom, alors c'est Moi-même qui en demanderai compte à cet homme. »

Voici le témoignage de certains érudits qui ont cru que cette prophétie faisait référence à Mohammed.

Premier témoignage

Abdoul-Ahad Daoud, l’ex-révérend et prêtre catholique romain David Benjamin Keldani de la secte des chaldéens unis a écrit, après sa conversion à l’islam, un livre intitulé « Muhammad in the Bible » (Mohammed dans la Bible).  Au sujet de cette prophétie, il a écrit :

« Si ces mots ne faisaient pas référence à Mohammed, cela signifierait que cette prophétie ne s’est jamais réalisée.  Jésus lui-même n’a jamais prétendu être le prophète auquel il est fait allusion dans ce verset.  Même ses disciples étaient d’accord; ils attendaient la seconde venue de Jésus pour voir se réaliser la prophétie (Actes 3:17-24).  Cela demeure un fait incontesté que Jésus, lors de sa première venue sur terre, n’était pas un prophète semblable à Moïse, et que lors de sa deuxième venue, cette prophétie ne pourra correspondre à ce qu’il sera alors.  Selon l’Église, Jésus reviendra en tant que juge et non comme législateur.  Or, celui dont parle la prophétie viendra avec la loi dans sa main droite. »

Deuxième témoignage

Muhammad Asad est né Leopold Weiss en juillet 1900, dans la ville de Lvov, en Pologne (qui faisait alors partie de l’empire autrichien).  Il était descendant d’une longue lignée de rabbins, lignée rompue par son père, qui avait décidé de devenir avocat.  Asad lui-même reçut une éducation religieuse approfondie, ce qui allait permettre, croyait-on, de garder bien vivante la tradition rabbinique familiale.  Il était devenu expert en hébreu assez tôt dans sa vie et il connaissait assez bien l’araméen.  Il avait étudié l’Ancien Testament dans sa forme originale, de même que les textes du Talmud, de la Mishna et la Gémara, et avait approfondi ses connaissances de la compliquée exégèse biblique, le Targum.
Au sujet de ce verset du Coran :

« Ne mêlez pas la vérité au mensonge et ne cachez pas sciemment la vérité. »  (Coran 2:42)

Muhammad Asad écrit :

« Mêler la vérité au mensonge signifie altérer les textes bibliques, ce dont le Coran accuse les juifs à plusieurs reprises (et qui a d’ailleurs été prouvé par un examen textuel objectif), tandis que cacher sciemment la vérité fait référence à leur mépris ou à leur interprétation délibérément erronée des paroles de Moïse dans le passage biblique qui dit :

« Le Seigneur suscitera pour vous un prophète comme moi, issu de votre peuple, l'un de vos frères: écoutez-le. » (Deutéronome 18:15)

et des paroles attribuées à Dieu Lui-même :
« Je leur susciterai, du milieu de leurs frères, un prophète semblable à toi;Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. » (Deutéronome 18:18)

Les « frères » des enfants d’Israël sont évidemment les Arabes, et plus particulièrement les mousta’ribah (« arabisés ») parmi eux, dont la descendance remonte à Ismaël et Abraham.  Et comme c’est à ce groupe qu’appartenait la tribu (Qouraish) de laquelle faisait partie le prophète Mohammed, le passage biblique cité plus haut ne peut faire référence qu’à sa venue. »

Une discussion sur la prophétie mentionnée dans Jean 14:16 au sujet du « paraclet » ou « consolateur », et la façon dont Mohammed correspond à cette prophétie.

John 14:16  “Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous. »

Dans ce verset, Jésus promet qu’un autre « consolateur » viendra.  Dans cet article, nous discuterons donc de ce « consolateur ».

Le mot grec paravklhtoß, ho parakletos, a été traduit comme « consolateur ». Parakletos signifie plus précisément « celui qui plaide la cause de quelqu’un d’autre, un intercesseur. »  Le mot grec paravklhtoß, ho parakletos, a été traduit comme « consolateur ». Parakletos signifie plus précisément « celui qui plaide la cause de quelqu’un d’autre, un intercesseur. »  Le ho parakletos est une personne, en langue grecque, et non une entité incorporelle.  En langue grecque, chaque nom possède un genre, c’est-à-dire masculin, féminin ou neutre.  Dans les chapitres 14, 15 et 16 de l’Évangile selon Jean, le ho parakletos est une personne.  Tous les pronoms, en grec, s’accordent en genre avec les noms auxquels ils réfèrent et ici, le pronom « il » est utilisé en référence au parakletos.  Le Nouveau Testament utilise le mot pneuma, qui signifie « souffle » ou « esprit », qui est l’équivalent grec de ruah, le mot hébreu pour « esprit » utilisé dans l’Ancien Testament.  Pneuma est un mot grammaticalement neutre et est toujours représenté par un « il » impersonnel.

Toutes les Bibles d’aujourd’hui sont tirées d’« anciens manuscrits », le plus ancien datant du quatrième siècle.  Il n’y a pas deux anciens manuscrits qui soient identiques.  Toutes les Bibles imprimées de nos jours sont constituées de manuscrits qui ont été rassemblés, mais qui ne proviennent pas d’une source unique et définitive.  Les traducteurs de la Bible tentent habituellement de « choisir » la version qu’ils croient être la bonne.  En d’autres termes, comme ils ne savent pas quel « ancien manuscrit » est le bon, ils décident, pour nous, de la meilleure « version » pour un verset donné.  Prenez  Jean 14:26, par exemple.  Jean 14:26 est le seul verset de la Bible qui associe le parakletos au Saint Esprit.  Mais les « anciens manuscrits » ne vont pas du tout dans le même sens.  Par exemple, dans le fameux Codex Syriacus, écrit aux environs du cinquième siècle et découvert en 1812 sur le Mont Sinaï, le texte de 14:26 dit « paraclet, l’esprit » et non « paraclet, le Saint Esprit ».

Pourquoi devons-nous accorder autant d’importance à cela?  Parce que dans la langue biblique, un « esprit » signifie tout simplement un « prophète ».

« Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.»

Il est intéressant de savoir que plusieurs érudits bibliques ont considéré leparakletos comme une « personnalité indépendante ayant le pouvoir de sauver » et non comme le Saint Esprit.

La question est donc : le parakletos, le consolateur annoncé par Jésus était-il le « Saint Esprit » ou une personne – un prophète?  Pour répondre à cette question, nous devons bien comprendre la description du ho parakletos et voir si elle correspond à un esprit ou à un être humain.

Si nous poursuivons notre lecture au-delà de 14:16 et de 16:7, nous découvrons que Jésus avait prédit les détails de l’arrivée et de l’identité duparakletos.  Ainsi, dans le contexte de Jean 14 et 16, nous découvrons les faits suivants :

1       Jésus a dit que le parakletos était un être humain :

John 16:13  «… il vous annoncera les choses à venir. »

John 16:7   « En effet, si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas à vous. »

Il est impossible que le consolateur soit le « Saint Esprit », parce que celui-ci était présent bien avant la venue de Jésus et tout au long de son ministère.

Jean 16:13 réfère au paraclet en utilisant le pronom « il » sept fois et non le « il » impersonnel.  Aucun autre verset de la Bible ne contient sept pronoms masculins.  Par conséquent, le paraclet est une personne et non un esprit.

2.      Jésus est appelé « parakletos » :

« Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat (parakletos) auprès du Père, Jésus Christ le juste. » (1 Jean 2:1)

Ici, nous voyons que le parakletos est un intercesseur physique, un être humain.

3.      La « divinité » de Jésus est une invention qui est venue plus tard :

Jésus n’a jamais été perçu comme « divin » jusqu’au Concile de Nicée, en 325.  Avant cela, tous, à l’exception des juifs, le reconnaissaient comme un prophète de Dieu, tel qu’indiqué par la Bible :

Matthieu 21:11   « ...Et la foule qui l'accompagnait répondait: « C'est Jésus le prophète, de Nazareth en Galilée. »

Luc 24:19    « … Jésus de Nazareth. C'était un prophète qui agissait et parlait avec puissance, devant Dieu et devant tout le peuple. »

4.      Jésus a prié Dieu d’envoyer un autre parakletos :

John 14:16   « Et moi, je demanderai au Père de vous donner un autre consolateur de sa cause, afin qu'il reste pour toujours avec vous. »

5.      Jésus décrit le rôle de cet autre parakletos :

Jean 16:13 « il vous conduira dans la vérité tout entière. »

Dans le Coran, Dieu dit, au sujet de Mohammed :

« Ô gens!  Le Messager est venu à vous avec la vérité de la part de votre Seigneur.  Alors croyez; c’est bien meilleur pour vous. »  (Coran 4:170)

Jean 16:14    « Il me glorifiera. »

Le Coran, révélé à Mohammed, glorifie Jésus :

« … Son nom sera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre en ce monde comme dans l’au-delà et l’un des rapprochés (de Dieu). »  (Coran 3:45)

Mohammed a aussi glorifié Jésus :

« Quiconque témoigne que nul ne mérite d’être adoré en dehors de Dieu, l'Unique qui n'a point d'associés; que Muhammad est Son serviteur et Son messager; que Jésus est le serviteur de Dieu, Son messager et Sa parole qu'Il envoya à Marie et Son esprit; et que le Paradis est vrai et que l'Enfer est vrai, Dieu le fera accéder au Paradis en fonction de ses actions. » (Sahih al-Boukhari, sahih Mouslim)

Jean 16:8    «… il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement. »

Le Coran affirme :

« Ce sont certes des mécréants ceux qui disent : « En vérité, Dieu est le Messie, fils de Marie. », alors que le Messie (lui-même) a dit : « Ô enfants d’Israël !  Adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur. »  Certes, quiconque attribue des associés à Dieu, Dieu lui interdit le Paradis, et son refuge sera le Feu.  Et les injustes ne seront point secourus. »  (Coran 5:72)

Jean 16:13    « … il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu , et il vous annoncera les choses à venir. »

Le Coran affirme, au sujet de Mohammed :

« Et il ne prononce rien selon ses propres désirs.  Ce n’est rien d’autre qu’une révélation [qui lui est] inspirée par (l’ange Gabriel). » (Coran 53:3-4)

Jean 14:26    «…(il) vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. »

Les paroles du Coran :

« … alors que le Messie (lui-même) a dit : « Ô enfants d’Israël !  Adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur. » (Coran 5:72)

… rappellent aux gens le premier et plus important commandement de Jésus, qu’ils semblent avoir oublié :

“Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu’” (Marc 12:29)

Jean 16:13   « …il vous annoncera les choses à venir. »

Le Coran affirme :

« Ce sont là des récits inconnus de toi, que Nous te révélons, (ô Mohammed). »  (Coran 12:102)

Houdhaïfa, un des compagnons du prophète Mohammed, a dit :

« Une fois, le Prophète a prononcé un sermon devant nous, dans lequel il a mentionné tout ce qui allait arriver jusqu’au moment de l’Heure (du Jugement). » (Sahih al-Boukhari)

Jean 14:16    «…afin qu'il reste pour toujours avec vous. »

… c’est-à-dire que ses enseignements restent pour toujours avec vous.  Mohammed a été le dernier prophète envoyé par Dieu à l’humanité.  Ses enseignements sont parfaitement préservés.  Il continue de vivre dans le cœur et dans l’esprit de ses fidèles qui adorent Dieu de la même façon qu’il L’adorait.  Aucun homme ne vit éternellement sur cette terre, et cela s’applique aussi à Jésus et à Mohammed.  Et le parakletos n’y fait pas exception non plus.  Donc ce passage ne peut être relatif au Saint Esprit, car la place qu’il occupe actuellement au sein de l’Église n’existait pas avant le Concile de Chalcedon, en l’an 451, c’est-à-dire quatre siècles et demi après Jésus.

John 14:17   «…c'est l'Esprit de vérité … »

… c’est-à-dire qu’il sera un véritable prophète, voir 1 Jean 4:1-3

John 14:17    « … (celui) que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point … »

De nombreuses personnes, aujourd’hui, dans le monde, ne connaissent pas Mohammed, et encore moins de gens le reconnaissent comme prophète.

Jean 14:26    « …le Défenseur (ou consolateur) (parakletos)… »

Mohammed sera le défenseur de l’ensemble de l’humanité et des croyants qui auront commis des péchés, au Jour du Jugement.

Les gens, ce Jour-là, chercheront des personnes qui pourront intercéder en leur faveur auprès de Dieu afin de soulager leur détresse et leur souffrance.  Adam, Noé, Abraham, Moïse et Jésus s’excuseront de ne pouvoir les aider.

Alors ils viendront voir le prophète Mohammed et il leur dira : « je suis celui qui peut vous aider ».  Il intercèdera donc en faveur des gens dans la grande plaine du Rassemblement, et le jugement commencera.

« … afin que ton Seigneur te ressuscite dans une position glorieuse. » (Coran 17:79)

Le prophète Mohammed a dit :

« Mon intercession se fera en faveur de ceux qui auront commis des péchés majeurs. » (at-Tirmidhi)

« Je serai le premier intercesseur et le premier à frapper aux portes du Paradis. » (Sahih Mouslim)

Certains érudits musulmans ont suggéré que la signification de ce que Jésus a réellement dit, en araméen, pourrait être plus proche de celle du mot grec periklytos, qui signifie « celui qui est admiré ».  En arabe, le nom « Mohammed » signifie « le digne d’éloges ».  En d’autres termes, periklytossignifierait « Mohammed », en grec.  Il existe de bonnes raisons de croire en cette interprétation.  Comme les substitutions de mots, dans la Bible, sont des faits réels et documentés, il est parfaitement possible que les deux mots aient fait partie du texte original mais qu’un copiste ait décidé d’en laisser tomber un à cause de l’ancienne coutume qui consistait à écrire les mots de façon très rapprochée, avec très peu ou pas d’espace entre eux.  Dans un tel cas, le texte original aurait été « et il vous donnera un autre consolateur (parakletos), un [homme] admirable (periklytos) ».

Les personnes suivantes ont affirmé que le « paraclet » constitue bel et bien une allusion à Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui).

Premier témoignage

Anselm Turmeda (1352/55-1425), prêtre et érudit chrétien, a reconnu cette prophétie.  Après s’être converti à l’islam, il a rédigé un livre intitulé Touhfat al-arib fi al-radd ‘ala Ahl al-Salib.

Deuxième témoignage

Abdoul-Ahad Daoud, anciennement révérend David Abdou Benjamin Keldani, prêtre catholique romain de la secte des chaldéens unis.  Après s’est converti à l’islam, il a rédigé un livre intitulé « Muhammad in the Bible » (Mohammed dans la Bible).  Dans ce livre, il écrit, entre autres :

« Il ne fait aucun doute que le « paraclet » est en réalité le prophète Mohammed (Ahmad). »

Troisième témoignage

Nous avons déjà donné un bref résumé de la vie de Mohammed Asad, ci-dessus.  Au sujet de ce verset :

« … un messager qui viendra après moi et dont le nom sera « Ahmed ».  (Coran 61:6)

… dans lequel Jésus prédit la venue de Mohammed, Asad explique que le terme parakletos :

« … est presque certainement une corruption du mot periklytos (« celui qui est admiré »), qui est la traduction grecque exacte du terme ou nom araméen Mawhamana.  (Il faut garder à l’esprit que l’araméen était la langue utilisée en Palestine à l’époque de Jésus et qu’elle a continué de l’être durant quelques siècles après sa mort.  C’était donc la langue dans laquelle les textes originaux de l’Évangile  – maintenant perdus – ont été écrits.)  Considérant la similitude phonétique entre periklytos et parakletos, il est facile d’imaginer comment un traducteur – ou, plus probablement, un scribe – a pu confondre les deux.  Il est intéressant de noter que l’araméen Mawhamana et le grec periklytos ont la même signification que les deux noms du dernier prophète, Mohammed et Ahmad, le premier dérivé du verbe hébreu hamida (« il a loué » - ou fait l’éloge de) et le second, du mot hébreu hamd (« louange » ou « éloge »). »

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Message par Fils d'Adam Mar 24 Mai 2016 - 20:57

Paix à vous mes frères en Dieu d'Abraham, d’Ismaël, d'Isaac et de Jacob Flower white

Les chrétiens parlent souvent de développer un lien avec Jésus (psl) et de l’accepter dans leur vie.  Ils affirment que Jésus était bien plus qu’un homme et qu’il est mort sur la croix pour délivrer les hommes du péché originel.  Les chrétiens parlent de Jésus avec amour et respect et il est évident qu’il occupe une place très spéciale dans leur vie et leur cœur.  Mais qu’en est-il des musulmans?  Que pensent-ils de Jésus et quelle place ce dernier occupe-t-il au sein de l’islam?

Celui qui n’est pas familier avec l’islam sera sans doute surpris d’apprendre que les musulmans aussi aiment Jésus.  Habituellement, le musulman n’omet jamais de faire suivre la mention du nom de Jésus de la formule « que la paix soit sur lui ».  En islam, Jésus est un homme aimé et estimé, un prophète et messager qui a appelé son peuple à l’adoration du seul Dieu véritable.

Les musulmans et les chrétiens partagent des croyances très similaires sur Jésus.  Ils croient tous qu’il est né de la vierge Marie et qu’il était le Messie envoyé au peuple d’Israël.  Ils croient également que Jésus reviendra sur terre peu avant le Jour Dernier.  Mais il y a un détail, sur Jésus, qui crée un monde de distance entre les musulmans et les chrétiens : les musulmans ont la certitude que Jésus n’était ni l’incarnation de Dieu ni le fils de Dieu, et qu’il ne faisait partie d’aucune trinité.

Dans le Coran, Dieu s’adresse directement aux chrétiens :

« Ô gens du Livre!  N’exagérez pas dans votre religion et ne dites, sur Dieu, que la vérité.  Le Messie, Jésus fils de Marie, n’était qu’un messager de Dieu, Sa parole qu’Il transmit à Marie et un esprit provenant de Lui.  Croyez donc en Dieu et en Ses messagers, et ne dites plus « Trois ».  Cessez!  Ce sera bien mieux pour vous.  Votre Dieu est un Dieu unique.  Il est trop parfait pour avoir un fils.  C’est à Lui qu’appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre.  Et Il suffit comme protecteur. »  (Coran 4:171)

Tout comme l’islam nie catégoriquement que Jésus fût l’incarnation de Dieu, il rejette également la notion selon laquelle les hommes naîtraient en portant en eux un quelconque péché originel.  Le Coran nous dit qu’il est impossible, pour une personne, de porter le fardeau des péchés d’une autre personne et que nous sommes tous responsables de nos propres actions devant Dieu : « Nulle âme ne portera le fardeau d’une autre, en plus du sien. » (Coran 35:18).  Dieu, cependant, dans Son infinie miséricorde et sagesse, n’a pas abandonné les hommes à eux-mêmes.  Il a fait descendre des messages et des lois qui leur expliquent comment L’adorer et vivre selon Ses commandements.  Les musulmans doivent croire en tous les prophètes et les aimer; en rejeter un revient à rejeter l’islam.  Jésus faisait partie de la longue lignée de prophètes et messagers qui ont, à travers les âges, appelé les gens à n’adorer qu’un seul Dieu.  Il a été envoyé au peuple d’Israël spécifiquement, car ce dernier s’était, à l’époque, éloigné du sentier de Dieu.  Jésus a dit :

« Et (je viens) vous confirmer ce qu’il y avait avant moi, dans la Torah, et je vous rends licite une partie de ce qui vous était interdit.  Je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur; alors craignez Dieu et obéissez-moi.  Certes, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur; alors adorez-Le.  Voilà le droit chemin. » (Coran 3:50-51)

Les musulmans aiment et admirent Jésus.  Mais la perception qu’ils en ont demeure fidèle à celle du Coran et à celle qui transparaît dans les paroles du prophète Mohammed.  Trois sourates du Coran parlent de la vie de Jésus, de sa mère, Marie, et de leur famille, et chacune révèle des détails que l’on ne retrouve pas dans la Bible.

Le prophète Mohammed a souvent parlé de Jésus et l’a même décrit comme son frère.

« De tous, je suis le plus proche du fils de Marie.  Tous les prophètes sont des frères paternels et il n’y a eu aucun autre prophète entre lui [Jésus] et moi. »  (sahih al-Boukhari)

Suivons donc l’histoire de Jésus telle qu’elle apparaît à travers les différentes sources islamiques; nous comprendrons alors comment et pourquoi il occupe, en islam, une place aussi importante.

Le premier miracle

Le Coran nous apprend que Marie, la fille d’Imran, était une jeune femme célibataire, chaste et pieuse, dévouée à l’adoration de Dieu.  Un jour, alors qu’elle profitait de la solitude, l’ange Gabriel vint la voir pour lui annoncer qu’elle serait bientôt mère.  Choquée et consternée par cette nouvelle, elle ressentit une grande frayeur.  Dieu dit, dans le Coran :

« Et Nous ferons de lui un signe pour les gens et une miséricorde émanant de Nous.  C’est une affaire déjà décrétée. » (Coran 19:21)

Marie devint donc enceinte de Jésus, et lorsque vint le temps d’accoucher, elle s’éloigna de sa famille et se dirigea vers Bethléem.  Au pied d’un dattier, elle donna naissance à son fils.

Après s’être reposée et remise de la douleur et de la peur qu’elle avait ressenties en donnant naissance toute seule, elle comprit qu’elle devait retourner chez les siens.  C’est avec crainte et angoisse qu’elle emmitoufla l’enfant pour le bercer dans ses bras.  Comment pourrait-elle expliquer cette naissance à sa famille?  C’est alors qu’elle entendit les paroles de Dieu, suite à quoi elle décida de retourner à Jérusalem.

« Si tu vois quelqu’un d’entre les humains, dis-lui : « J’ai fait vœu de jeûne, à mon Seigneur; je ne peux donc parler à aucun être humain, aujourd’hui. »  Puis elle revint auprès des siens, portant son bébé. » (Coran 19:26-27)

Dieu savait que si Marie essayait de fournir des explications, son peuple ne la croirait pas.  Alors, dans Son infinie sagesse, Il lui dit de ne pas parler.  Dès qu’ils aperçurent Marie avec un bébé, les siens se mirent à l’accuser; mais elle suivit les instructions de Dieu et s’abstint de répondre.  Cette femme timide et chaste pointa tout simplement son doigt en direction du nourrisson qu’elle tenait dans ses bras.
Les gens qui l’entouraient la regardèrent avec incrédulité et lui demandèrent comment ils étaient censés parler à un nouveau-né.  C’est alors que par la permission de Dieu, Jésus, le fils de Marie nouvellement né, accomplit son premier miracle.  Il parla et dit :

« Je suis vraiment le serviteur de Dieu.  Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai.  Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable.  Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)

Les musulmans croient que Jésus était un serviteur et messager de Dieu envoyé spécifiquement au peuple d’Israël de son époque.  Il a accompli de nombreux miracles par la permission de Dieu.  Les paroles suivantes, du prophète Mohammed, résument la position importante qu’occupe Jésus au sein de l’islam :

« Quiconque atteste qu’il n’y a pas de divinité à part Dieu, sans partenaire ni associé, que Mohammed est Son serviteur et messager, que Jésus est Son serviteur et messager de même que la parole de Dieu descendue sur Marie et un esprit créé par Lui, que le Paradis est réel et que l’Enfer est réel, Dieu le fera entrer au Paradis par la porte qu’il choisira parmi les huit portes par lesquelles il est possible d’y entrer. » (sahih al-Boukhari et sahih Mouslim)

Nous avons déjà dit que Jésus, le fils de Marie, avait accompli son premier miracle alors que Marie le berçait dans ses bras.  Par la permission de Dieu, il parla à ce moment-là, et ses premières paroles furent : « Je suis vraiment le serviteur de Dieu. » (Coran 19:30).  Il ne dit pas « je suis Dieu » ni même « je suis le fils de Dieu ».  Par ses premières paroles, il posa les assises mêmes de son message et de sa mission, qui était de ramener les gens vers l’adoration exclusive de Dieu.

À l’époque de Jésus, le concept d’un Dieu unique n’était pas nouveau pour les enfants d’Israël.  La Torah disait déjà « Écoute, ô Israël!  Ton Seigneur, Dieu, est unique ».   Mais avec le temps, les hommes interprétèrent différemment les révélations de Dieu et leurs cœurs s’endurcirent.  Jésus fut envoyé pour dénoncer les dirigeants des enfants d’Israël qui s’étaient détournés de Dieu pour mener une vie basée sur le matérialisme, et pour confirmer la loi de Moïse qui se trouve dans la Torah, mais qu’ils avaient modifiée à leur avantage.

La mission de Jésus consistait à confirmer la Torah, à rendre licites certaines choses qui étaient auparavant illicites et à réaffirmer la croyance en un Créateur unique.  Le prophète Mohammed a dit :

« Chaque prophète a été envoyé exclusivement à sa nation, tandis que j’ai été envoyé à toute l’humanité. » (sahih al-Boukhari)

Jésus a donc été envoyé aux Israélites.

Dieu dit, dans le Coran, qu’Il a enseigné à Jésus la Torah et l’Évangile, de même que les Écritures et la sagesse :

« Dieu lui enseignera les Écritures et la sagesse, ainsi que la Torah et l’Évangile. »  (Coran 3:48)

Afin qu’il puisse transmettre correctement son message, Dieu a enseigné la Torah à Jésus et a fait descendre sur lui l’Évangile.  Dieu a également doté Jésus d’une facilité à guider et à influencer les gens, et l’a renforcé de signes et de miracles divers.

En fait, Dieu a soutenu tous Ses messagers à l’aide de miracles observables que les gens arrivaient à comprendre dans le contexte où ils leur apparaissaient.  À l’époque de Jésus, les Israélites étaient très versés en médecine.  Par conséquent, les miracles accomplis par Jésus (avec la permission de Dieu) étaient de cette nature et incluaient le fait de redonner la vue à l’aveugle, de guérir les lépreux et de ressusciter les morts.  Dieu dit :

« Et tu guérissais, par Ma permission, l’aveugle-né et le lépreux.  Et par Ma permission, tu faisais revivre les morts. » (Coran 5:110)

Jésus enfant

Ni le Coran ni la Bible ne font référence à Jésus alors qu’il était enfant.  Toutefois, nous pouvons aisément imaginer qu’en tant que fils de la famille d’Imran, il ne pouvait être que pieux, studieux et désireux d’influencer vers le bien les enfants et adultes de son entourage.  Tout de suite après la mention de Jésus parlant au berceau, le Coran raconte l’histoire de Jésus façonnant un oiseau dans la glaise, puis soufflant dedans pour lui donner la vie, par la permission de Dieu :

« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)

L’évangile de l’enfance selon Thomas, qui fait partie des textes rédigés par les premiers chrétiens (mais non acceptés dans la Bible) fait également référence à cette histoire.  Il raconte en détail l’histoire du jeune Jésus façonnant des oiseaux dans la glaise et soufflant la vie en eux.  Bien que cette histoire soit fascinante, les musulmans ne croient au message de Jésus que de la façon dont il est rapporté dans le Coran et par le prophète Mohammed.

Les musulmans ont l’obligation de croire en tous les livres révélés par Dieu à l’humanité.  Cependant, la Bible, telle qu’elle existe de nos jours, ne peut être considérée comme l’Évangile véritable qui fut révélé à Jésus.  Les paroles et la sagesse de Dieu qui furent révélées à Jésus ont été perdues, dissimulées, modifiées et détournées de leur sens.  Le sort qui fut réservé aux textes apocryphes dont fait partie l’évangile de l’enfance selon Thomas en est un exemple frappant.  En l’an 325, l’empereur Constantin tenta d’unifier l’église chrétienne alors divisée en convoquant une réunion des archevêques des quatre coins du monde.  Cette réunion est connue sous le nom de Concile de Nicée et nous a légué la doctrine de la trinité auparavant inexistante, de même que la perte de 270 à 400 évangiles.  Le concile ordonna que soient brûlés tous les évangiles jugés indignes d’apparaître dans la nouvelle Bible, et l’évangile de l’enfance selon Thomas en faisait partie.  Cependant, les copies de nombreux évangiles échappèrent aux flammes et, bien que ceux-ci ne se trouvent pas dans la Bible, ils sont respectés pour leur valeur historique.

Le Coran nous libère

Les musulmans croient que Jésus a bel et bien reçu une révélation de Dieu, mais qu’il ne l’a pas mise par écrit, pas plus qu’il n’a demandé à ses disciples de le faire.  Le musulman ne gagne rien à essayer de réfuter le contenu des ouvrages chrétiens.  Le Coran nous libère de cela, car Dieu dit :

« Il t’a révélé, (ô Mohammed), le Livre avec la vérité, confirmant [les Écritures] qui avaient été (révélées) avant lui. » (Coran 3:3)

Et :

« Et à toi, (ô Mohammed), Nous avons révélé le Livre avec la vérité, pour confirmer les Écritures qui étaient là avant lui et pour prévaloir sur elles.  Alors juge entre eux sur la base de ce que Dieu a révélé... » (Coran 5:48)

Tout enseignement utile aux musulmans que l’on pourrait trouver dans la Torah ou dans l’Évangile est déjà clairement mentionné dans le Coran.  Toute bonne chose qui se trouvait dans les Livres précédents se trouve maintenant dans le Coran. Donc si les paroles du Nouveau Testament portent le même message que celles du Coran, alors elles font probablement partie des paroles de Jésus qui n’ont pas subi d’altération avec le temps.  Le message de Jésus était le même que ceux transmis par tous les prophètes de Dieu à leur peuple : Dieu est unique, n’adorez que Lui.  Et Dieu dit, dans le Coran :

« Voilà, certes, le récit véridique (de Jésus).  Nul ne doit être adoré à part Dieu.  Certes, Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 3:62)

La sourate 5 du Coran est intitulée Al-Maidah, c’est-à-dire « la table servie ».  C’est l’une des trois sourates du Coran qui traite plus en détail de la vie de Jésus et de sa mère, Marie.  Les autres sourates sont la troisième, ‘Aal Imran (la famille d’Imran) et la dix-neuvième,Maryam (Marie).  Les musulmans aiment Jésus et honorent sa mère, mais ils ne les adorent pas.  Le Coran, qui contient les véritables paroles de Dieu, tient Jésus, sa mère Marie et toute la famille d’Imran en très haute estime.

Nous savons que Jésus a vécu parmi son peuple, les Israélites, de nombreuses années, les appelant à revenir à l’adoration d’un Dieu unique et accomplissant devant eux de nombreux miracles (par la permission de Dieu).  Nombreux furent ceux, parmi son peuple, qui ne tinrent pas compte de son appel et qui ignorèrent son message.  Toutefois, Jésus avait réussi à rassembler autour de lui un groupe d’apôtres appelés al-Hawariyine, en arabe.

Dieu dit, dans le Coran :

« Puis, quand Je révélai aux apôtres : « Croyez en Moi et en Mon messager », ils dirent : « Nous croyons.  Et sois témoin que nous sommes musulmans, [que nous sommes entièrement soumis à Toi]. »  (Coran 5:111)

Les apôtres, donc, s’identifiaient eux-mêmes comme musulmans; comment cela est-il possible, puisque l’islam n’allait être révélé que 600 ans plus tard?  Dieu, bien entendu, fait référence au sens général du mot « musulman », un musulman étant celui qui se soumet entièrement au Dieu unique et Lui obéit, et qui est fidèle envers Dieu et envers les croyants avant qui que ce soit d’autre.  Les termes « musulman » et « islam » proviennent de la même racine arabe – sa la ma – car la paix et la sécurité (salam) sont inhérentes à la soumission à Dieu.  Il faut donc comprendre que tous les prophètes de Dieu et leurs disciples étaient musulmans.

Une table servie

Les apôtres de Jésus lui demandèrent :

« Ô Jésus, fils de Marie!  Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » (Coran 5:112)

Demandaient-ils à Jésus d’accomplir un miracle?  Les apôtres de Jésus, qui s’identifiaient eux-mêmes comme musulmans, avaient-ils des doutes quant à la capacité de Dieu de produire des miracles à volonté?  C’est bien peu probable, car c’aurait été là un acte d’incroyance.  Les apôtres de Jésus ne demandaient pas si cela était possible, mais plutôt si Jésus pouvait demander à Dieu, à ce moment précis, de faire descendre une table servie.  Mais Jésus répondit :

« Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Coran 5:112)

Lorsqu’ils virent la réaction de Jésus, ils tentèrent de s’expliquer.  Ils dirent d’abord : « Nous voulons en manger ».

Peut-être avaient-ils très faim et voulaient-ils que Dieu satisfasse leur besoin.  Demander à Dieu de nous apporter notre subsistance est acceptable en soi, car Dieu est Celui qui pourvoit aux besoins de Sa création.  Mais les apôtres poursuivirent ainsi : « ... afin de rassurer nos cœurs ».

Ils entendaient par là que leur foi s’affermirait davantage s’ils voyaient un tel miracle de leurs propres yeux, ce qu’ils confirmèrent par la suite en ajoutant : « [et pour] savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. ».

Bien qu’ils l’aient mentionné à la fin, témoigner de la vérité et voir des miracles soutenant cette vérité étaient les raisons principales de leur demande.  Les apôtres ont donc demandé à Jésus d’accomplir ce miracle, avec la permission de Dieu, afin d’en être témoins pour l’humanité.  Ils souhaitaient pouvoir prêcher le message de Jésus en parlant des miracles vus de leurs propres yeux.

« (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. »  Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur!  Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part.  Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:113-114)

Jésus demanda le miracle à Dieu.  Il Le pria, Lui demandant qu’une table servie et pleine de victuailles soit descendue.  Il demanda également qu’il y en ait pour tous et que cet événement devienne une célébration annuelle.  Le mot arabe utilisé dans le Coran est Eid, ce qui signifie une fête qui revient annuellement.  Jésus souhaitait que ses apôtres et ceux qui allaient venir après eux se souviennent des bienfaits et de la générosité de Dieu et qu’ils en soient reconnaissants.

Nous avons beaucoup à apprendre des supplications que faisaient les prophètes et autres personnes croyantes et vertueuses.  Jésus ne demanda pas qu’une table servie, mais demanda, de façon générale, à ce que Dieu leur donne leur subsistance.  Cela parce que la nourriture n’est qu’une partie de tout ce que nous offre Celui qui pourvoit à nos besoins, qui comprennent toute chose essentielle à notre vie, sur terre, comme la nourriture, le logement et le savoir.  Dieu répondit donc :

« Je la ferai descendre pour vous.  Et quiconque d’entre vous refuse de croire après cela, Je lui ferai sûrement subir un châtiment tel que nulle autre de (Mes) créatures n’en connaîtra de pareil! » (Coran 5:115)

Le savoir implique une responsabilité

La raison pour laquelle Dieu a répondu à la demande de Jésus si promptement est que si une personne refuse de croire après que Dieu lui ait clairement fait voir un miracle, cela est pire que si une personne refuse de croire sans avoir vu de miracle.  La personne qui a été témoin d’un miracle de Dieu a fait l’expérience directe de Son omnipotence; et mieux une personne connaît Dieu, plus grande est sa responsabilité envers Lui.  Quand Dieu présente un miracle devant vos yeux, votre obligation de croire et de transmettre Son message est plus grande.  Dieu a donc demandé aux apôtres de Jésus d’être conscients de la grande responsabilité qu’ils prenaient sur eux-mêmes en demandant ce miracle.

Par la suite, ce jour devint effectivement une fête annuelle pour les apôtres et autres disciples de Jésus, mais avec le temps, la réelle signification et l’essence même de ce miracle se perdirent peu à peu.  Puis, on en vint à adorer Jésus comme un dieu.  Au Jour de la Résurrection, quand toute l’humanité se tiendra debout devant Dieu, Dieu parlera à Jésus directement et lui dira :

« Ô Jésus, fils de Marie!  Est-ce toi qui as dit aux gens : « Prenez-nous, ma mère et moi, pour deux divinités en dehors de Dieu » ?  Il dira : « Gloire à Toi!  Il ne m’appartenait pas de déclarer ce que je n’avais aucun droit de dire.  Si je l’avais dit, Tu l’aurais su, certes.  Tu sais ce qu’il y a en moi, mais je ne sais pas ce qu’il y a en Toi.  Certes, Toi et Toi seul connais l’invisible. Je ne leur ai dit que ce que Tu m’avais commandé (de dire), à savoir : « Adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur. » (Coran 5:116-117)

Ceux d’entre nous qui auront eu la chance de connaître le véritable message de Jésus, ce même message qui fut transmis par tous les prophètes incluant le dernier d’entre eux, Mohammed, auront également une grande responsabilité, ce Jour-là.

L’image de Jésus mourant sur la croix est au cœur de la croyance chrétienne et elle à la source de cette conviction profonde selon laquelle il serait mort pour racheter les péchés des hommes.  La crucifixion de Jésus est une doctrine centrale dans le christianisme.  Les musulmans, cependant, la rejettent totalement.  Avant d’aborder le point de vue de l’islam sur la crucifixion de Jésus, il est essentiel de comprendre d’abord le point de vue de l’islam sur la notion de péché originel.

Quand Adam et Ève mangèrent de l’arbre défendu, au Paradis, ils ne furent pas tentés par un serpent.  C’est le diable qui les poussa à désobéir.  Cependant, ils utilisèrent leur libre-arbitre pour le faire et pour commettre, manifestement, une erreur de jugement.  Ève ne porte pas à elle seule le poids de cette erreur.  C’est ensemble qu’Adam et Ève réalisèrent l’erreur qu’ils venaient de commettre, suite à quoi ils éprouvèrent des remords et implorèrent le pardon de Dieu.  Dieu, dans Son infinie sagesse et Sa grande miséricorde, leur accorda Son pardon.  On ne retrouve pas, dans l’islam, le concept du péché originel; chaque personne est responsable de ses propres actions.

« Nulle âme ne portera le fardeau d’une autre, en plus du sien. » (Coran 35:18)

Il n’y a aucune raison pour que Dieu, ou un « fils » de Dieu, ou encore un prophète se sacrifie lui-même pour racheter les péchés des hommes.  L’islam rejette totalement cette idée.  Le fondement même de l’islam consiste à savoir avec certitude et à reconnaître que rien ni personne ne doit être adoré à part Dieu.  Le pardon ne peut provenir que de Dieu.  Alors quand une personne cherche le pardon, elle doit le faire auprès de Dieu en se tournant vers Lui avec humilité, le cœur empli de regrets, et demander pardon en ayant la ferme intention de ne pas répéter le péché commis.  Ce n’est qu’ainsi qu’elle a une chance de voir ses péchés pardonnés.

Maintenant que nous connaissons le point de vue de l’islam sur le concept du péché originel et du pardon, nous comprenons qu’il ne peut enseigner que Jésus est venu pour racheter les péchés des hommes, mais qu’il a été envoyé pour confirmer le message des prophètes qui l’ont précédé :

« Nul ne doit être adoré à part Dieu. » (Coran 3:62)

Les musulmans ne croient pas en la crucifixion de Jésus et ne croient pas qu’il ait goûté à la mort.

La crucifixion

Le message de Jésus fut rejeté par la plupart des Israélites, de même que par les autorités romaines.  Ceux qui crurent en lui formèrent un petit groupe qu’on appela les apôtres.  Les Israélites complotèrent contre Jésus et planifièrent son assassinat : il devait être exécuté en public, d’une façon particulièrement horrible et bien connue dans l’empire romain, c’est-à-dire par crucifixion.

Mourir par crucifixion, à l’époque, était considéré comme une humiliation; et les « citoyens » de l’empire romain jouissaient d’une protection contre ce châtiment.  La crucifixion était conçue non seulement pour prolonger l’agonie, mais aussi pour mutiler le corps.  Les Israélites planifièrent donc cette mort humiliante pour leur messie, Jésus.  Mais Dieu, dans Son infinie miséricorde, empêcha la réalisation de leur plan maléfique en transposant sur un criminel l’apparence physique de Jésus et en élevant ce dernier vers Lui, alors qu’il était encore vivant.  Le Coran est avare de détails sur l’identité exacte de la personne qui fut crucifiée à la place de Jésus, mais nous savons avec certitude que ce n’est pas le prophète Jésus qui fut crucifié.

Les musulmans croient que le Coran et les paroles du prophète Mohammed (hadith) contiennent toutes les connaissances dont a besoin l’humanité pour adorer Dieu et vivre en conformité avec Ses commandements.  Par conséquent, si certains détails ne nous sont pas expliqués, c’est que Dieu, dans Son infinie sagesse, a jugé que ces détails ne nous apporteraient rien.  Le Coran raconte, dans les paroles mêmes de Dieu, la conspiration contre Jésus, la façon dont les Israélites ont été trompés, de même que l’élévation de Jésus jusqu’au ciel.

« Alors (les mécréants) complotèrent [contre Jésus]; mais Dieu fit échouer leur complot.  C’est Lui le Meilleur des planificateurs. » (Coran 3:54)

« Et (Nous les avons également maudits) à cause de leur incroyance et de l’énorme calomnie qu’ils ont proférée à l’encontre de Marie, et parce qu’ils ont dit: « Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. »  Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi.  Et certes, ceux qui sont en désaccord à ce sujet sont remplis d’incertitude ; ils n’en ont aucune connaissance (certaine) et ne font que suivre des conjectures.  Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui.  Et Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:157-Cool

Jésus n’a pas goûté à la mort

Les Israélites et les autorités romaines ne sont jamais parvenus à tuer Jésus.  Dieu affirme clairement qu’Il a élevé Jésus vers Lui.

« Et quand Dieu dit: « Ô Jésus!  Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. » (Coran 3:55)

Dans le verset ci-dessus, quand Dieu dit qu’Il mettra fin à la vie de Jésus, Il utilise le mot moutawaffika.  Ceux qui ne connaissent pas la richesse de la langue arabe et qui n’ont pas une idée claire des divers degrés de signification de plusieurs mots de cette langue peuvent avoir de la difficulté à comprendre le sens réel de ce terme.  En arabe, de nos jours, le mot moutawaffika est parfois utilisé pour faire référence à la mort, ou encore au sommeil.  Dans ce verset coranique, cependant, il est utilisé dans son sens original et signifie que Dieu a élevé Jésus vers Lui, corps et âme.  Il était donc vivant et dans son état habituel lors de son ascension.

Les musulmans croient que Jésus n’a pas goûté à la mort et qu’il reviendra sur terre quelque temps avant le Jour du Jugement.  Le prophète Mohammed a dit à ses compagnons :

« Jésus, le fils de Marie, descendra parmi vous et jugera selon la loi coranique et non pas selon la loi de l’Évangile. » (sahih al-Boukhari)

Dans le Coran, Dieu nous rappelle que le Jour du Jugement est un jour que nul ne pourra éviter et que le retour de Jésus sur terre sera un signe de l’imminence de ce Jour.

« [Jésus] sera un signe de [l’arrivée imminente de] l’Heure.  N’ayez donc aucun doute au sujet [de l’Heure] et suivez-Moi : voilà le droit chemin. » (Coran 43:61)

Le point de vue de l’islam sur la crucifixion de Jésus et sa mort est donc clair.  Un complot a été ourdi pour crucifier Jésus, mais Dieu l’a fait échouer; Jésus n’est pas mort, mais a été élevé vers Dieu.  Peu avant la venue du Jour du Jugement, Jésus reviendra sur terre et continuera de prêcher son message.

Après avoir lu et compris le point de vue islamique sur Jésus, certaines questions demeurent peut-être et d’autres ont sans doute besoin d’être clarifiées.  Vous avez peut-être déjà lu l’expression « gens du Livre » et vous vous êtes demandé à quoi cela faisait référence.  De même, en lisant certains ouvrages islamiques sur Jésus, vous avez peut-être lu le nom ‘Eissa et vous vous êtes demandé s’il référait à Jésus.  Si vous avez l’intention de pousser plus loin vos recherches ou même de lire le Coran, ce qui suit pourrait vous intéresser.

Qui est ‘Eissa?

‘Eissa est tout simplement Jésus.  Beaucoup de gens ne savent pas que lorsqu’un musulman parle de ‘Eissa, il parle en fait du prophète Jésus.  ‘Eissa s’écrit aussi ‘Isa, ‘Esa ou ‘Essa.  La langue arabe utilisant des caractères différents, toute translitération ne peut être parfaite.  Mais peu importe celle utilisée, elle fait référence à Jésus, le prophète de Dieu.

Jésus et son peuple parlaient l’araméen, une langue sémitique.  Parlées par plus de 300 millions de personnes à travers le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et la Corne de l’Afrique, les langues sémitiques incluent, entre autres, l’arabe et l’hébreu.  Le nom ‘Eissa est en fait une traduction plus proche du nom araméen de Jésus : Eeshou.  En hébreu, on dit plutôt Yeshoua.

Traduire le nom de Jésus en langue non-sémitique complique les choses.  Le « j » n’existait dans aucune langue jusqu’au quatorzième siècle, alors quand le nom de Jésus fut traduit en grec, il devint Iesous et, en latin, Iesus.  Plus tard, le « i » et le « j » devinrent souvent interchangeables et c’est la raison pour laquelle le nom devint Jésus (en anglais et en français, entre autres).  Le « s » final (prononcé en anglais mais pas en français) dénote son origine grecque, car en grec, la majorité des noms masculins se terminent par un « s ».

Araméen : Eeshou
Arabe : Eisa
Hébreux : Yeshoua
Grec : Iesous
Latin : Iesus
Anglais : Jesus


Qui sont les gens du livre?

Quand Dieu fait référence aux gens du Livre, Il parle des juifs et des chrétiens.  Dans le Coran, le peuple juif est appelé Bani Israïl (litt. enfants d’Israël), ou Israélites.  Ils suivaient, à l’époque, les révélations de Dieu telles qu’elles apparaissaient dans la Torah.  Les juifs et les chrétiens sont aussi parfois appelés « gens de l’Écriture ».

Les musulmans croient que les livres révélés avant le Coran ont été soit perdus en partie, soit altérés, mais ils reconnaissent par ailleurs que les véritables disciples de Moïse et de Jésus étaient musulmans et n’adoraient qu’un seul Dieu, auquel ils étaient entièrement soumis.  Jésus, le fils de Marie, fut envoyé pour confirmer le message de Moïse et pour ramener les enfants d’Israël sur le droit chemin.  Les musulmans croient que les juifs (i.e. les enfants d’Israël) rejetèrent Jésus et son message, tandis que les chrétiens l’élevèrent au statut de Dieu.

« Ô gens du Livre!  N’exagérez pas dans votre religion en dépassant les limites de la vérité.  Et ne suivez pas les vaines passions des gens qui se sont égarés, dans le passé, qui ont égaré beaucoup de gens et qui se sont écartés du droit chemin. »  (Coran 5:77)

Nous avons déjà mentionné le fait que le Coran parle à plusieurs reprises du prophète Jésus et de sa mère, Marie.  Le Coran comprend également plusieurs versets dans lesquels Dieu s’adresse directement aux gens du Livre, et plus particulièrement à ceux qui s’identifient comme chrétiens.

Le Coran demande aux juifs et aux chrétiens de ne pas critiquer les musulmans.  Mais il souligne également le fait que les chrétiens (ceux qui suivent les véritables enseignements de Jésus) et les musulmans ont beaucoup en commun, dont leur amour et leur respect pour Jésus et pour les prophètes en général.

« Et tu trouveras que les plus disposés à aimer les croyants sont ceux qui disent : « Nous sommes chrétiens. »  C’est qu’ils comptent parmi eux des prêtres et des moines, et qu’ils ne sont point orgueilleux.  Quand ils écoutent ce qui a été révélé au messager, tu vois leurs yeux déborder de larmes, parce qu’ils ont reconnu la vérité.  Ils disent : « Seigneur !  Nous croyons!  Inscris-nous parmi ceux qui témoignent (de la vérité). » (Coran 5:82-3)

Comme Jésus, le prophète Mohammed a été envoyé pour confirmer le message transmis par tous les autres prophètes avant lui, i.e. le message du monothéisme pur.  Sa mission était toutefois différente de celles des prophètes précédents (tels que Noé, Abraham, Moïse et Jésus, entre autres), car il a été envoyé à l’humanité tout entière, tandis que les autres avaient été envoyés à leurs peuples respectifs.  La mission de Mohammed et la révélation du Coran sont venus compléter la religion qui avait été révélée aux gens du Livre et y mettre un sceau définitif.

Dans le Coran, Dieu demande au prophète Mohammed d’appeler les gens du Livre en leur disant :

« Ô gens du Livre!  Convenons d’un point commun entre vous et nous: que nous n’adorions que Dieu sans Lui attribuer d’associés, et que nous ne nous prenions pas les uns les autres comme seigneurs en dehors de Lui. » (Coran 3:64)

Le prophète Mohammed a dit à ses compagnons et à toute l’humanité :

« De tous, je suis le plus proche du fils de Marie.  Tous les prophètes sont frères et il n’y a eu aucun prophète en lui et moi. »

Et aussi :

« Celui qui croyait en Jésus et qui croit en moi par la suite recevra une double rétribution. » (sahih al-Boukhari)

L’islam est une religion de paix, de respect et de tolérance, juste et compatissante envers les autres religions, et plus particulièrement envers les gens du Livre.

http://www.islamreligion.com/fr/category/82/sa-biographie/

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islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? Empty Re: Que dit l'islam à propos du terrorisme?

Message par BENEDICTE 2 Mar 24 Mai 2016 - 21:22

vous ne répondez pas à la question du fil....

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Message par Coowar Claude Jeu 26 Mai 2016 - 12:44

Comment affirmer que l'islam est une religion de paix, d'amour et de tolérance, alors qu'il dit tantôt une chose et son contraire, selon l'humeur et les intérêts politiques du Prophète?

8.39. « Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s'ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu'ils œuvrent ».

Le Coran Sourate II La Génisse, verset 187/191 : TUEZ-LES partout où vous les atteindrez ! EXPULSEZ-LES d'où ils vous ont expulsés ! La persécution [des croyants] (fitna) est pire que le meurtre. [Toutefois], ne les combattez point près de la Mosquée Sacrée avant qu'ils vous y aient combattus ! S'ils vous y combattent, TUEZ-LES ! telle est la 'récompense' des Infidèles.[/color

Le Coran sourate IX Revenir de l'erreur ou l'immunité, verset 5 : Quand les mois sacrés seront expirés, TUEZ les Infidèles quelque part que vous les trouviez ! Prenez-les ! Assiégez-les ! Dressez pour eux des embuscades ! S'ils reviennent [de leur erreur], s'ils font la Prière et donnent l'aumône (zakât), laissez-leur le champ libre !


Le Coran sourate IV les Femmes verset 91/89 : [Les hypocrites] aimeraient que vous soyez impies comme ils l'ont été et que vous soyez à égalité [avec eux]. Ne prenez pas parmi eux de patrons ('awliyâ') avant qu'ils émigrent (sic) dans le Chemin d'Allah ! sils vous tournent le dos, prenez-les et TUEZ-LES où que vous les trouviez ! Ne prenez, parmi eux, ni patron ni auxiliaire.

Le Coran, Al-Maidah 51. Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.

Le Coran sourate IV Les Femmes verset 93/91 : Vous trouverez d'autres [hypocrites] qui désirent vivre tranquilles avec vous et tranquilles avec les leurs... Sils ne se rendent pas à vous et ne déposent pas les armes, prenez-les et TUEZ-LES où que vous les acculiez ! Sur ceux-là, Nous vous accordons un pouvoir éclatant.

Le Coran sourate IX, 29 : Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son apôtre ont défendu, et à ceux d’entre les hommes des Écritures qui ne professent pas la vraie religion. Faites-leur la guerre jusqu’à ce qu’ils payent le tribut de leurs propres mains et qu’ils soient soumis.

Le Coran Sourate IV Les Femmes verset 102/101 : Les Infidèles sont pour vous un ennemi déclaré.

Le Coran sourate VIII Le Butin, verset 40/39. Appel aux armes : Et combattez-les jusqu’à ce que le culte entier soit rendu à Allah.

Le Coran sourate VIII Le Butin, verset 47/45 : O vous qui croyez ! quand vous rencontrez une troupe (ennemie) soyez fermes ! invoquez beaucoup Allah ! Peut-être serez-vous bienheureux !



Le Coran sourate VIII Le Butin, verset 62/60. Préparez contre (ces Infidèles) ce que vous pourrez de force et de chevaux par quoi vous effraierez l'ennemi d'Allah !

Le Coran sourate IX verset 30 : Les juifs ont dit : Ozaïr est fils d'Allah. Les Chrétiens ont dit : Le Messie est le fils d'Allah. Tel est ce qu'ils disent. Qu'Allah les anéantisse !

Le Coran sourate VIII Le Butin verset 17 : (Croyants !) vous n'avez donc point tué ces Infidèles, mais c’est Allah qui
les a tués.


On peut être en droit de se poser la question de savoir si c'est vraiment l'Esprit de Dieu qui a insufflé ce Livre Incréé quand il lui aurait écrit ses versets sataniques?

"Le prophète était soucieux du bien-être de ces gens (les païens Quraysh) et recherchait une façon de les attirer".

Finalement, ce sont les dirigeants Quraysh qui vinrent à lui avec une proposition. Ils lui offrirent des femmes et de l'argent, et étaient même prêts à le couronner roi, si en contrepartie, il acceptait leurs conditions.

"C'est ce que nous te demandons, Mahomet : cesse d'insulter nos divinités et ne dit pas du mal d'elles. Si tu es d'accord, nous te proposons une possibilité qui sera à ton avantage et au nôtre."


"Quelle est-elle ?", demanda Mahomet.

"Tu honoreras nos divinités, al-Lat et al-'Uzza, pendant un an, et nous ferons de même avec ton Dieu l'année suivante."

Après avoir initialement rejeté cette offre, Mahomet eut une révélation, disant que les musulmans étaient autorisés à vénérer al-Lat, al-Uzza et Manat, les trois divinités préférées des Quraysh, comme médiatrices auprès d'Allah. Les Quraysh furent enchantés et s’agenouillèrent avec Mahomet et les musulmans devant Allah, après que Mahomet leur ait récité sa nouvelle révélation. Ibn Ishaq relate :


["Alors les gens s'en sont allés et les Quraysh sont partis, stupéfaits de ce qu'il avait été dit sur leurs divinités, déclarant : "Mahomet a parlé de nos dieux d'une remarquable.

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islam - Que dit l'islam à propos du terrorisme? Empty Re: Que dit l'islam à propos du terrorisme?

Message par Pécheur Ven 27 Mai 2016 - 13:26

Merci pour vos réponses Fils d'Adam, que j'ai lues attentivement.

je reste dubitatif sur certaines, par exemple qu'il faille épouser la femme de son fils adoptif si celui-ci décède pour pouvoir s'en occuper.
Pareil pour Aicha qui d'après les hadiths a été épousée à 6 ans et dont le mariage a été consommé à 9 ans alors que votre prophète en avait 54 ans.

Dans tous les cas, même si ces mariages étaient vraiment pour rendre service comme vous le dites, et non par concupiscence, pourquoi alors aller jusqu'à la relation sexuelle ?

J'ai plein d'autres questions mais allons-y doucement.

Pourquoi les musulmans se prosternaient-ils avant vers Jérusalem et ensuite vers la Mecque ?


Paix à vous dans le Christ ressuscité.

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