Le romarin dans la vie de Jésus, Marie et Joseph...
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Le romarin dans la vie de Jésus, Marie et Joseph...
7 décembre 2015
Le romarin dans la vie de Jésus, Marie et Joseph
Joseph aurait ajouté des brins de romarin à la paille de l’étable pour protéger l’Enfant Jésus des insectes.
La pourpre de l’Avent et du Carême est la couleur qui marque le début et la fin de la vie de Jésus. Ces deux saisons sacrées sont des temps de pénitence et de préparation à la venue du Christ. Selon les tissus qui recouvrent l’autel, nous savons à quelle saison nous sommes. Le pourpre de la pénitence et de la préparation, les teintes rouges du sacrifice, les tonalités blanches de la vertu et de la victoire, le vert de l’espoir et de la liberté.
Il y a également toute une symbolique dans les plantes utilisées dans nos rituels ; les plus connues sont les feuilles de palmier pour le Dimanche des Rameaux (brûlées pour fournir les Cendres du mercredi marquant le début du Carême) et les conifères tout au long de l’Avent et de Noël.
Et puis, il y a l’herbe aux fleurs pourpres, le romarin. Je me sens investie d’une mission toute personnelle, qui consiste à vérifier la présence de cette plante dans tous les foyers et paroisses catholiques à Noël !
Rosemary officinalis était une plante courante dans tout le Moyen-Orient, à l’époque de Marie et de Joseph. Pourquoi n’en est-il pas fait mention dans la Bible ? Ce qui serait revenu à parler de savon à vaisselle — c’est-à-dire, de quelque chose de fonctionnel mais d’aucune importance pour l’histoire.
En ce temps-là, le romarin était une herbe aromatique employée au quotidien. L’une de ses nombreuses utilisations consistait à repousser les insectes. On en mettait sur les sols à l’intérieur des maisons et, plus particulièrement, dans les couches en paille. Dans la mesure où Joseph avait vécu seul la majeure partie de sa vie, il devait connaître fort bien l’utilité de cette plante pour sa literie personnelle.
Lorsque vint l’heure pour Marie de donner la vie, Joseph s’est vraisemblablement occupé de préparer une couche pour le nouveau-né dans la crèche. Il est plus que probable qu’il n’ait eu qu’à faire quelques pas devant l’étable pour trouver des brins de cet arbuste à Bethléem. Détachant quelques brindilles douces et odorantes, on dit que Joseph les aurait ajoutées à la paille de l’étable pour protéger l’enfant Jésus des insectes.
La Sainte Famille a vécu comme toutes les autres familles de l’époque, les tâches ménagères, comme le soin du linge, revenant à la mère ; dans notre histoire, il s’agit de Marie. Là encore, le romarin intervenait. Le linge fraîchement lavé était mis à sécher sur l’arbuste. La chaleur du soleil en captait les huiles de façon à, là encore, protéger le linge. Tout au long de la vie de Jésus, de Son enfance à Son ministère, les vêtements propres étaient imprégnés du parfum du romarin.
Dans la pratique religieuse des Juifs en ce temps-là, on répandait du romarin dans les tombes de ceux qui étaient partis. Il semblerait que les saintes femmes qui vinrent après le sabbat oindre le corps de Jésus aient apporté avec elles de grandes quantités de romarin et qu’elles les aient très probablement jetées en découvrant le Christ ressuscité.
En langage des fleurs, cette plante symbolise le souvenir. Quelle belle plante à installer chez soi pendant les fêtes de Noël. Elle nous aidera à nous remémorer la vie de Jésus, et celle de sa Sainte Mère Marie, depuis la Nativité jusqu’au tombeau vide.
J’espère que vous ajouterez ce joli romarin à vos décorations de Noël ; il rehausse non seulement nos plats, mais nos vies toutes entières, même la vie de l’esprit !
Le romarin dans la vie de Jésus, Marie et Joseph
Joseph aurait ajouté des brins de romarin à la paille de l’étable pour protéger l’Enfant Jésus des insectes.
La pourpre de l’Avent et du Carême est la couleur qui marque le début et la fin de la vie de Jésus. Ces deux saisons sacrées sont des temps de pénitence et de préparation à la venue du Christ. Selon les tissus qui recouvrent l’autel, nous savons à quelle saison nous sommes. Le pourpre de la pénitence et de la préparation, les teintes rouges du sacrifice, les tonalités blanches de la vertu et de la victoire, le vert de l’espoir et de la liberté.
Il y a également toute une symbolique dans les plantes utilisées dans nos rituels ; les plus connues sont les feuilles de palmier pour le Dimanche des Rameaux (brûlées pour fournir les Cendres du mercredi marquant le début du Carême) et les conifères tout au long de l’Avent et de Noël.
Et puis, il y a l’herbe aux fleurs pourpres, le romarin. Je me sens investie d’une mission toute personnelle, qui consiste à vérifier la présence de cette plante dans tous les foyers et paroisses catholiques à Noël !
Rosemary officinalis était une plante courante dans tout le Moyen-Orient, à l’époque de Marie et de Joseph. Pourquoi n’en est-il pas fait mention dans la Bible ? Ce qui serait revenu à parler de savon à vaisselle — c’est-à-dire, de quelque chose de fonctionnel mais d’aucune importance pour l’histoire.
En ce temps-là, le romarin était une herbe aromatique employée au quotidien. L’une de ses nombreuses utilisations consistait à repousser les insectes. On en mettait sur les sols à l’intérieur des maisons et, plus particulièrement, dans les couches en paille. Dans la mesure où Joseph avait vécu seul la majeure partie de sa vie, il devait connaître fort bien l’utilité de cette plante pour sa literie personnelle.
Lorsque vint l’heure pour Marie de donner la vie, Joseph s’est vraisemblablement occupé de préparer une couche pour le nouveau-né dans la crèche. Il est plus que probable qu’il n’ait eu qu’à faire quelques pas devant l’étable pour trouver des brins de cet arbuste à Bethléem. Détachant quelques brindilles douces et odorantes, on dit que Joseph les aurait ajoutées à la paille de l’étable pour protéger l’enfant Jésus des insectes.
La Sainte Famille a vécu comme toutes les autres familles de l’époque, les tâches ménagères, comme le soin du linge, revenant à la mère ; dans notre histoire, il s’agit de Marie. Là encore, le romarin intervenait. Le linge fraîchement lavé était mis à sécher sur l’arbuste. La chaleur du soleil en captait les huiles de façon à, là encore, protéger le linge. Tout au long de la vie de Jésus, de Son enfance à Son ministère, les vêtements propres étaient imprégnés du parfum du romarin.
Dans la pratique religieuse des Juifs en ce temps-là, on répandait du romarin dans les tombes de ceux qui étaient partis. Il semblerait que les saintes femmes qui vinrent après le sabbat oindre le corps de Jésus aient apporté avec elles de grandes quantités de romarin et qu’elles les aient très probablement jetées en découvrant le Christ ressuscité.
En langage des fleurs, cette plante symbolise le souvenir. Quelle belle plante à installer chez soi pendant les fêtes de Noël. Elle nous aidera à nous remémorer la vie de Jésus, et celle de sa Sainte Mère Marie, depuis la Nativité jusqu’au tombeau vide.
J’espère que vous ajouterez ce joli romarin à vos décorations de Noël ; il rehausse non seulement nos plats, mais nos vies toutes entières, même la vie de l’esprit !
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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