Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
@vero57
Cessez de consulter les sites ridicules de "théorie du complot" !
Sinon, vous allez "perdre la tête" , et vous verrez même la CIA dans votre soupe !
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Gilles
Je ne consulte pas les sites de "théorie du complot", si tant est qu' il en existe...Je relie des informations les unes aux autres tout en observant les événements en essayant d' avoir le plus de recul possible.
Tout le monde avec un sens moyen de l' observation a même compris que l' argent dirige le monde et ce n' est rien de nouveau puisque Jésus a été confronté aux marchands du Temple et que le Veau d' Or n' est pas apparu comme par enchantement il y a quelques années.
Des centaines de chercheurs, d' historiens, de journalistes d' investigation ont passé des années entières de leur vie à informer ceux qui cherchent à voir clair dans un monde où il est plus facile de suivre une masse consumériste que de réfléchir sereinement et de s' engager personnellement pour créer un monde meilleur et plus fraternel.
Certains ont même payé cet engagement de leur vie, c 'est dire si le sujet n' est pas anodin.
Comme je l' ai déjà dit, les complots sont pratique courante au niveau politique.Dire le contraire est un déni de la réalité car si l' on suit l' Histoire, les complots des uns contre les autres-il suffit de suivre l' Histoire des monarchies (ou d 'autres formes de pouvoir) au fil des siècles pour s' en rendre compte!
Il suffit de suivre la vie politicienne dans tous les pays du globe pour le voir aussi.
Il n' y a que la pratique du complot.Les complots ne sont pas théoriques, ils sont réels.
Que certaines thèses soient farfelues est justement le résultat de ce flou artistique qui arrange tellement les comploteurs.
Car si la transparence régissait les relations entre les uns et les autres, il n' y aurait aucune place pour des théories dites conspirationnistes.
Je ne consulte pas les sites de "théorie du complot", si tant est qu' il en existe...Je relie des informations les unes aux autres tout en observant les événements en essayant d' avoir le plus de recul possible.
Tout le monde avec un sens moyen de l' observation a même compris que l' argent dirige le monde et ce n' est rien de nouveau puisque Jésus a été confronté aux marchands du Temple et que le Veau d' Or n' est pas apparu comme par enchantement il y a quelques années.
Des centaines de chercheurs, d' historiens, de journalistes d' investigation ont passé des années entières de leur vie à informer ceux qui cherchent à voir clair dans un monde où il est plus facile de suivre une masse consumériste que de réfléchir sereinement et de s' engager personnellement pour créer un monde meilleur et plus fraternel.
Certains ont même payé cet engagement de leur vie, c 'est dire si le sujet n' est pas anodin.
Comme je l' ai déjà dit, les complots sont pratique courante au niveau politique.Dire le contraire est un déni de la réalité car si l' on suit l' Histoire, les complots des uns contre les autres-il suffit de suivre l' Histoire des monarchies (ou d 'autres formes de pouvoir) au fil des siècles pour s' en rendre compte!
Il suffit de suivre la vie politicienne dans tous les pays du globe pour le voir aussi.
Il n' y a que la pratique du complot.Les complots ne sont pas théoriques, ils sont réels.
Que certaines thèses soient farfelues est justement le résultat de ce flou artistique qui arrange tellement les comploteurs.
Car si la transparence régissait les relations entre les uns et les autres, il n' y aurait aucune place pour des théories dites conspirationnistes.
vero57- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Publié le 05/05/2015 - 15:37
Carly Fiorina, une rivale sérieuse pour Hillary Clinton
Déjà bien encombré, le camp républicain vient de s’enrichir de deux nouveaux candidats à la présidentielle de 2016 : l’ancienne patronne de Hewlett-Packard, Carly Fiorina, et le neurochirurgien africain-américain, Ben Carson.
C’était attendu, elle l’a fait le 4 mai. L’ancienne patronne de la société Hewlett-Packard, Carly Fiorina, a annoncé sa candidature à l’investiture républicaine en vue de la présidentielle de 2016.
Le même jour, le neurochirurgien africain-américain Ben Carson s’est lui aussi officiellement déclaré. Et l’ex-gouverneur de l’Arkansas et candidat malheureux aux primaires républicaines de 2008, Mike Huckabee, devrait leur emboîter le pas ce mardi 5 mai.
Mais de ces trois nouveaux candidats, “seule Carly compte vraiment”, souligne The Washington Post.
Une femme candidate
Pour la chroniqueuse maison, Jennifer Rubin, “Mike Huckabee comme Ben Carson ne feront que diviser un peu plus un camp républicain déjà bien encombré”. Carly Fiorina, en revanche, “a la capacité de rassembler les différentes tendances qui coexistent au sein du parti conservateur”.
Tout d’abord, note le quotidien de la capitale, “elle s’y connaît vraiment en technologie, en économie et en commerce international”, mais également “sur les questions de sécurité nationale”.
Enfin et surtout, c’est une femme, et avec elle l’argument du genre sur lequel est en partie fondée la campagne de la candidate démocrate Hillary Clinton a du plomb dans l’aile.
Désormais, “les républicains ont une femme candidate, les démocrates itou. Tout comme le facteur argent, le facteur genre s’annule en politique lorsque les deux camps sont armés de la même façon”, souligne la chroniqueuse. Et de conclure : “Carly Fiorina vient surtout rappeler que le Parti républicain n’est pas qu'un club d’hommes blancs et vieux.”
Carly Fiorina, une rivale sérieuse pour Hillary Clinton
Déjà bien encombré, le camp républicain vient de s’enrichir de deux nouveaux candidats à la présidentielle de 2016 : l’ancienne patronne de Hewlett-Packard, Carly Fiorina, et le neurochirurgien africain-américain, Ben Carson.
C’était attendu, elle l’a fait le 4 mai. L’ancienne patronne de la société Hewlett-Packard, Carly Fiorina, a annoncé sa candidature à l’investiture républicaine en vue de la présidentielle de 2016.
Le même jour, le neurochirurgien africain-américain Ben Carson s’est lui aussi officiellement déclaré. Et l’ex-gouverneur de l’Arkansas et candidat malheureux aux primaires républicaines de 2008, Mike Huckabee, devrait leur emboîter le pas ce mardi 5 mai.
Mais de ces trois nouveaux candidats, “seule Carly compte vraiment”, souligne The Washington Post.
Une femme candidate
Pour la chroniqueuse maison, Jennifer Rubin, “Mike Huckabee comme Ben Carson ne feront que diviser un peu plus un camp républicain déjà bien encombré”. Carly Fiorina, en revanche, “a la capacité de rassembler les différentes tendances qui coexistent au sein du parti conservateur”.
Tout d’abord, note le quotidien de la capitale, “elle s’y connaît vraiment en technologie, en économie et en commerce international”, mais également “sur les questions de sécurité nationale”.
Enfin et surtout, c’est une femme, et avec elle l’argument du genre sur lequel est en partie fondée la campagne de la candidate démocrate Hillary Clinton a du plomb dans l’aile.
Désormais, “les républicains ont une femme candidate, les démocrates itou. Tout comme le facteur argent, le facteur genre s’annule en politique lorsque les deux camps sont armés de la même façon”, souligne la chroniqueuse. Et de conclure : “Carly Fiorina vient surtout rappeler que le Parti républicain n’est pas qu'un club d’hommes blancs et vieux.”
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
samedi 13 juin 2015
© Fournis par Le Soir
Hillary Clinton: «Je serai la plus jeune femme présidente des États-Unis»
La candidate démocrate à la Maison Blanche Hillary Clinton, 67 ans, a écarté d’une phrase les questions sur son âge samedi lors de son premier grand discours de campagne, en rappelant qu’elle serait la première femme présidente des États-Unis.
« Je ne suis peut-être pas la plus jeune parmi les candidats à cette élection », a-t-elle ironisé à New York, devant plusieurs milliers de sympathisants. « Mais je serai la plus jeune femme présidente de l’histoire des États-Unis… Et la première grand-mère ! »
Des réformes avant tout économiques
Avec les gratte-ciels de Manhattan en toile de fond, elle s’est présentée comme une « championne » de la classe moyenne, promettant une série de réformes économiques, sociales et politiques.
« Je suis candidate pour que l’économie soit au service de vous et de chaque Américain », a déclaré Hillary Clinton, citant pêle-mêle ouvriers, infirmières de nuit, camionneurs, agriculteurs, anciens militaires… « La prospérité ne peut pas être seulement pour les dirigeants d’entreprises et les patrons de fonds d’investissement. La démocratie ne peut pas être seulement au service des milliardaires », a dit la démocrate, en multipliant les critiques contre Wall Street, relevant que les 25 premiers gestionnaires de fonds d’investissement gagnaient plus que tous les enseignants de maternelle du pays.
Pour le droit des enfants et des femmes
Pour ce premier grand discours, deux mois après sa déclaration officielle de candidature, Hillary Clinton avait choisi symboliquement l’île Franklin Roosevelt, l’ancien président démocrate du New Deal, à New York.
Hillary Clinton a déclaré qu’elle dévoilerait une série de propositions ciblées dans les prochaines semaines, mais elle en a donné un aperçu : réforme fiscale pour inciter les entreprises à investir aux États-Unis, aides aux entrepreneurs et créateurs d’entreprises, augmentation des budgets de recherche, investissements dans la recherche et faire des États-Unis « la superpuissance des énergies propres du 21e siècle ».
Mais, citant la difficile enfance de sa mère, elle a consacré les plus longs moments de son discours aux droits des enfants et des femmes, proposant de généraliser la pré-scolarisation avant l’école primaire, et d’aider les familles pour la garde d’enfants en bas âge.
Le Soir
© Fournis par Le Soir
Hillary Clinton: «Je serai la plus jeune femme présidente des États-Unis»
La candidate démocrate à la Maison Blanche Hillary Clinton, 67 ans, a écarté d’une phrase les questions sur son âge samedi lors de son premier grand discours de campagne, en rappelant qu’elle serait la première femme présidente des États-Unis.
« Je ne suis peut-être pas la plus jeune parmi les candidats à cette élection », a-t-elle ironisé à New York, devant plusieurs milliers de sympathisants. « Mais je serai la plus jeune femme présidente de l’histoire des États-Unis… Et la première grand-mère ! »
Des réformes avant tout économiques
Avec les gratte-ciels de Manhattan en toile de fond, elle s’est présentée comme une « championne » de la classe moyenne, promettant une série de réformes économiques, sociales et politiques.
« Je suis candidate pour que l’économie soit au service de vous et de chaque Américain », a déclaré Hillary Clinton, citant pêle-mêle ouvriers, infirmières de nuit, camionneurs, agriculteurs, anciens militaires… « La prospérité ne peut pas être seulement pour les dirigeants d’entreprises et les patrons de fonds d’investissement. La démocratie ne peut pas être seulement au service des milliardaires », a dit la démocrate, en multipliant les critiques contre Wall Street, relevant que les 25 premiers gestionnaires de fonds d’investissement gagnaient plus que tous les enseignants de maternelle du pays.
Pour le droit des enfants et des femmes
Pour ce premier grand discours, deux mois après sa déclaration officielle de candidature, Hillary Clinton avait choisi symboliquement l’île Franklin Roosevelt, l’ancien président démocrate du New Deal, à New York.
Hillary Clinton a déclaré qu’elle dévoilerait une série de propositions ciblées dans les prochaines semaines, mais elle en a donné un aperçu : réforme fiscale pour inciter les entreprises à investir aux États-Unis, aides aux entrepreneurs et créateurs d’entreprises, augmentation des budgets de recherche, investissements dans la recherche et faire des États-Unis « la superpuissance des énergies propres du 21e siècle ».
Mais, citant la difficile enfance de sa mère, elle a consacré les plus longs moments de son discours aux droits des enfants et des femmes, proposant de généraliser la pré-scolarisation avant l’école primaire, et d’aider les familles pour la garde d’enfants en bas âge.
Le Soir
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
promesses ...promesses ....,mais la suite ???
BENEDICTE 2- Aime la Divine Volonté
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
BENEDICTE 2 a écrit:promesses ...promesses ....,mais la suite ???
Les promesses n'engagent que ceux qui les font. A mon avis, on est dans le mensonge habituelle.
LeGuerrierMonarchiste- Contre la puce électronique
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
De toute façon, de nos jours la politique n'est qu'un ramassis de mensonges, des personnes attirées par le pouvoir donné par une position plutôt que la réelle motivation de changer le quotidien des gens, de nous autres, la plèbe !
WorshipYlios- J'adore l'Eucharistie
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
jeudi 18 juin 2015
© PHOTO SPENCER PLATT/GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP
Etats-Unis: Les tenues d'Hillary Clinton, un enjeu pour la présidentielle ?
“Les vêtements sont des outils politiques comme tout autre”, souligne le New York Times. La candidate Hillary Clinton le sait et c'est pourquoi sa tenue vestimentaire lors du discours de lancement de sa campagne, le samedi 13 juin à New York, importe aux yeux des Américains. Ce jour-là, elle portait un tailleur pantalon. Mais pas n’importe lequel : un “tailleur bleu vif Ralph Lauren”.
Selon la journaliste, Vanessa Friedman, la marque Ralph Lauren a un avantage : l’itinéraire de son fondateur, un “garçon du Bronx” qui a réussi, “incarne le rêve américain”. Les vêtements de Ralph Lauren sont en outre “basés sur l’esthétique de ce rêve”. “Hillary Clinton prend tout cela en compte, et l’utilise pour manipuler la perception” des électeurs américains, “comme le font tous ses concurrents”, précise la journaliste.
La candidate du peuple ?
Dans son discours de samedi, la candidate Hillary Clinton a affirmé : “Je ne me présente pas pour quelques Américains, mais pour tous les Américains.” Vanessa Friedman remarque donc le “possible point faible” de ce choix vestimentaire : “Pour une candidate qui insiste sur sa compréhension de la classe moyenne et sur son lien avec elle [...], Ralph Lauren est une marque relativement inaccessible”.
Un défaut d’autant plus gênant que la candidate est connue pour être hors de portée de ceux qu’elle représente, rappelle le New York Times. Et que son choix vestimentaire “pourrait fournir des munitions à l’opposition”.
Courrier International
© PHOTO SPENCER PLATT/GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP
Etats-Unis: Les tenues d'Hillary Clinton, un enjeu pour la présidentielle ?
“Les vêtements sont des outils politiques comme tout autre”, souligne le New York Times. La candidate Hillary Clinton le sait et c'est pourquoi sa tenue vestimentaire lors du discours de lancement de sa campagne, le samedi 13 juin à New York, importe aux yeux des Américains. Ce jour-là, elle portait un tailleur pantalon. Mais pas n’importe lequel : un “tailleur bleu vif Ralph Lauren”.
Selon la journaliste, Vanessa Friedman, la marque Ralph Lauren a un avantage : l’itinéraire de son fondateur, un “garçon du Bronx” qui a réussi, “incarne le rêve américain”. Les vêtements de Ralph Lauren sont en outre “basés sur l’esthétique de ce rêve”. “Hillary Clinton prend tout cela en compte, et l’utilise pour manipuler la perception” des électeurs américains, “comme le font tous ses concurrents”, précise la journaliste.
La candidate du peuple ?
Dans son discours de samedi, la candidate Hillary Clinton a affirmé : “Je ne me présente pas pour quelques Américains, mais pour tous les Américains.” Vanessa Friedman remarque donc le “possible point faible” de ce choix vestimentaire : “Pour une candidate qui insiste sur sa compréhension de la classe moyenne et sur son lien avec elle [...], Ralph Lauren est une marque relativement inaccessible”.
Un défaut d’autant plus gênant que la candidate est connue pour être hors de portée de ceux qu’elle représente, rappelle le New York Times. Et que son choix vestimentaire “pourrait fournir des munitions à l’opposition”.
Courrier International
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Hilary Clinton
Bonjour ,
malheureusement , comme on s'est fait grugés en France , les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent . Nous savons depuis belle lurette avec l'UMPS que les promesses n'engagent jamais ceux qui les font !!!Et idem pour les States !
Et il faut lire sur quoi peut se baser l'opinion !!!
Bretagne
malheureusement , comme on s'est fait grugés en France , les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent . Nous savons depuis belle lurette avec l'UMPS que les promesses n'engagent jamais ceux qui les font !!!Et idem pour les States !
Et il faut lire sur quoi peut se baser l'opinion !!!
Bretagne
Bretagne- Pour le roi
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Bush, Clinton, quelle importance ?
Pourquoi il n’est pas si important que ça de savoir si le prochain président des États-Unis sera démocrate ou républicain.
La perspective d’un affrontement électoral entre une Clinton et un Bush désole la plupart des Américains. Si aucun des deux partis, Républicain ou Démocrate, ne suscite de candidatures plus innovantes, il est probable que l’abstention aux élections présidentielles de 2017 sera majoritaire : le futur Président sera alors l’élu d’une minorité et sans grande légitimité. Dans le propre camp de Hillary Clinton, on ne se rallie à elle, avec son mari en prime, qu’avec résignation : même le New York Times, soutien indéfectible des Démocrates, appelle à des candidatures plus innovantes. Il semble bien que nul à gauche n’est persuadé qu’entrer dans l’avenir, avec un couple si usé pour « champion », l’expression choisie par Hillary Clinton pour s’autodésigner, soit le meilleur choix possible. On se demande d’ailleurs par quel mystère les candidats à la Présidence ne sont pas plus nombreux dans ce vaste pays où tant de citoyens participent spontanément à des activités civiques ? Mais ils le font essentiellement dans des organisations philanthropiques ou par l’exercice des mandats locaux, tandis que la politique nationale n’attire pas les meilleurs esprits. Une brillante carrière d’entrepreneur ou d’universitaire apporte aux États-Unis plus de satisfaction personnelle sans l’obligation de soumettre les moindres détails de votre vie privée à un examen de détails par tous les médias. Bien des candidats potentiels préfèrent renoncer plutôt que de révéler tout de leurs conversations téléphoniques ou de leurs transactions financières. De surcroît, la longue marche vers la Présidence passe, en première instance, par la recherche de financements auprès des riches et des lobbies, et non par une réflexion intelligente sur l’avenir des États-Unis.
Le camp Républicain est, cette fois-ci, un peu mieux achalandé, les candidats plus nombreux, paradoxalement parce que ce parti est divisé à l’extrême et que chaque courant de pensée – des plus conservateurs aux plus libertariens – tient à être représenté dans les primaires. Pour cette prochaine élection, la gauche Démocrate n’ayant aucune idée neuve à faire valoir ressemble bien à Hillary Clinton, alors que la Droite Républicaine ayant trop d’idées à la fois, se reconnaît dans la multitude des candidats. Au bout du compte, il n’empêche que Jeb Bush, parce qu’il a un nom, des fonds et des positions moyennes sur tout, paraît aussi inévitable que Hillary Clinton. Cette joute dynastique probable n’est aux États-Unis pas si nouvelle qu’il n’y paraît : John Adams père et fils furent Présidents, Franklin Roosevelt était le cousin de Théodore Roosevelt, et les Kennedy ont occupé, pendant trente ans, les postes clés du Parti Démocrate.
Mais ce choix si crucial du futur « leader du monde libre », est-il si décisif que les candidats voudraient le faire croire ? Les États-Unis ne sont pas une monarchie et le Président n’est que le Président. L’économie libre lui échappe totalement, bien que les Présidents s’en attribuent souvent les succès ou se défaussent de ses échecs. Le dollar est géré par une Banque fédérale, indépendante, plus influente sur la croissance que ne l’est le Président. La politique intérieure est davantage l’œuvre des États fédérés que de la Maison Blanche. L’évolution des mœurs (mariage homosexuel, avortement, port d’armes, lutte contre les discriminations) dépend avant tout des magistrats et de la Cour suprême. Il reste au Président, avant tout, la politique étrangère et militaire, mais tout de même sous le contrôle d’un Congrès vigilant, de l’Armée elle-même qui tend à dicter ses choix et à distiller les informations, et de l’opinion publique qui oscille entre agressivité et pacifisme. Si bien qu’au total, l’influence réelle du Président est difficile à déterminer. À la manière dont Napoléon exigeait de ses maréchaux qu’ils aient de la chance, l’image et la réputation des Présidents des États-Unis dépendent beaucoup de leur chance ou de son absence. Ronald Reagan comme Bill Clinton eurent la chance d’être Présidents en un temps de prospérité économique qu’ils enjolivèrent de leurs discours, mais sans plus. George W. Bush ne se sera jamais remis d’avoir été Président lors des attentats du 11 septembre 2001. Et Barack Obama ? Faute d’avoir été confronté à des épreuves majeures, il restera dans l’Histoire le Premier Président noir des États-Unis, mais quoi d’autre ? Avec un peu de chance, il réintégrera Cuba et l’Iran dans le concert des nations civilisées, mais on ne le sait pas encore de manière certaine.
Peu importe au fond qui sera le prochain Président ou Présidente : ce qui est plutôt rassurant. Cela signifie que le monde ne sera pas à la merci des humeurs de tel ou telle. La société américaine, en tout état de cause, continuera à progresser, l’économie américaine restera le moteur de la croissance mondiale, les laboratoires continueront à déposer la plupart des brevets qui annoncent notre futur, l’armée et la marine américaines garantiront que les conflits restent locaux et que nul ne fera obstacle à la mondialisation des échanges. Milton Friedman, il y a environ quarante ans, suggérait que le Président des États-Unis soit sélectionné au hasard dans un annuaire téléphonique : il ne niait pas la démocratie, mais il entendait par là qu’une démocratie qui fonctionne peut s’accommoder de n’importe quel Président, même de politiciens aussi usés que Bush et Clinton. Et peu importe leur prénom.
Par Guy Sorman
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
3 choses à savoir sur la Foi chrétienne d’Hillary Clinton...
Hillary Clinton se lance à nouveau dans la course à la présidentielle et une des facettes qui est restée inchangée avec le temps, c’est celle de sa foi.
Voici 3 faits que vous ignoriez peut-être sur la foi de Mme Clinton:
1) Elle a été façonnée par un dicton populaire parmi les méthodistes: «Faites tout le bien que vous pouvez, par tous les moyens que vous pouvez, de toutes les façons, vous pouvez, dans tous les endroits où vous pouvez, à toutes les époques, vous pouvez, à tous les personnes que vous pouvez, aussi longtemps que vous pourrez jamais », dit Paul Kengor dans son livre » Dieu et Hillary Clinton « .
2) Clinton a été connue pour toujours avoir une Bible dans son sac. Lorsqu’on lui a demandé lors du forum pourquoi elle pensait que Dieu permet la souffrance, Clinton hésita, puis tourna rapidement sa réponse à l’activisme: «L’existence de la souffrance nous appelle à l’action. »
Dans un discours de 1993 à l’Université du Texas, Clinton a déclaré: «Nous devons une nouvelle politique de sens. … Nous devons rassembler ce que nous croyons moralement, éthiquement et spirituellement correct et faisons du mieux que nous pouvons avec l’aide de Dieu. »
3) Clinton a plaisanté au Forum de la Foi que parfois son plaidoyer est, « Oh, Seigneur, pourquoi vous ne m’aidez pas à perdre du poids? » Mais son habitude quotidienne, dit-elle, est en train de prier, « pour le discernement, la sagesse, la force, pour courage … »
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Hilary Clinton
Mais en même temps elle s'adonne au channeling!
Bretagne- Pour le roi
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Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
mardi 8 décembre 2015
Un mot sur Trump: Vous ne nous faites plus rire
INTERNATIONAL - Hier, lundi 7 décembre, le candidat que les sondages estiment actuellement le mieux placé pour les primaires républicaines a appelé à "un arrêt total et complet de l'entrée des musulmans aux États-Unis". Il s'agit, bien entendu, de Donald Trump. Comme Jeffrey Goldberg vient de l'écrire dans un tweet, "Donald Trump constitue à présent une véritable menace pour la sécurité nationale. Il fournit des arguments aux djihadistes pour leur campagne de diabolisation des États-Unis."
Tout comme M. Trump souhaite "changer l'Amérique", nous avons décidé de modifier la manière dont le Huffington Post rapporte ses propos. Nous avions déjà annoncé, en juillet, notre intention de traiter de sa campagne présidentielle dans la rubrique divertissement. "La raison en est simple", écrivaient à l'époque Ryan Grim et Danny Shea. "La campagne de M. Trump est un spectacle de foire."
Elle n'a pas manqué de leur donner raison. Mais comme le prouvent amplement ses propos malveillants d'aujourd'hui, elle a pris une autre forme pour devenir une force répugnante et dangereuse dans le discours politique américain. Nous n'allons donc plus traiter de cette campagne dans la rubrique divertissement. Mais nous ne prétendrons pas pour autant qu'elle a quoi que ce soit de normal.
La décision que nous avions prise en juillet était basée sur le refus d'accepter, sur la seule foi des sondages, que la candidature de M. Trump constituait un programme sérieux et sincère sur la manière de gouverner le pays. Notre opinion n'a pas changé, et nous continuerons à couvrir le sujet en conséquence. Cependant, les choses ont beaucoup changé.
Bien sûr, dès le début, il a tenu des propos ignobles sur les Mexicains. Mais cette xénophobie outrée, bien que répugnante, lui donnait au départ le rôle de l'affreux de service dans une parodie de mauvais goût. A présent qu'il fait de la surenchère, avec l'aide des médias, manifestant la cruauté et l'ignorance qui caractérisaient le début de sa campagne, l'incrédulité presque amusée qu'il suscitait a pris un tour franchement amer. M. Trump est aujourd'hui une menace hideuse, symptomatique d'une certaine politique américaine.
Nous sommes convaincus que ce changement doit se refléter dans la manière dont nous évoquons sa campagne. Cela nécessite de rappeler en permanence à nos lecteurs qui est vraiment M. Trump, et ce que sa campagne représente.
Comme l'a récemment fait remarquer Jay Rosen:
Cela ne veut pas dire que nous, les médias, devons témoigner la moindre indulgence envers M. Trump et ceux qui aspirent à l'imiter. Nous prendrons donc soin, dans nos articles sur sa campagne, de rappeler constamment ses idées à nos lecteurs, citations à l'appui.
Quelques exemples:
Et nous sommes ravis de voir que nous ne sommes pas les seuls à souhaiter montrer le vrai visage de M. Trump, sans excuses ni faux-semblants. La semaine dernière, Dana Milbank, du Washington Post, a ouvert sa rubrique sur cette phrase: "N'ayons pas peur des mots: Donald Trump est intolérant et raciste." Il l'a démontré - ce qui n'était pas difficile - dans son article, comme devrait le faire tout journaliste soucieux de dire la vérité à ses lecteurs.
Si M. Trump tient des propos racistes, nous le dénoncerons. S'il fait preuve de sexisme, nous le dénoncerons. Nous n'hésiterons pas à faire toute la lumière sur ses agissements, et nous ne nous laisserons pas distraire par sa politique spectacle.
Évidemment, il n'est pas le seul candidat à débiter un message extrémiste et irresponsable mais son énorme couverture médiatique - de ses apparitions à Meet the Press ou Saturday Night Live - le place dans une position unique. En s'abstenant de dénoncer le vrai message de sa campagne, beaucoup de journalistes, enivrés par les audiences incroyables qu'il ne cesse de susciter, en finissent par donner une forme de légitimité à ses opinions hideuses.
Comme nous avons pu le constater jusqu'à présent dans la campagne républicaine, les pires déclarations de M. Trump ne se font pas en vase clos, et elles ne sont pas sans conséquences. Elles affectent tout le débat, ne cessant de repousser la limite qui sépare les discours habituels d'un extrémisme éhonté et inacceptable.
Nous ne nous contenterons donc pas de montrer ce que sa campagne a de particulier dans le contexte politique américain de ces dernières années. Nous aborderons aussi l'impact désastreux qu'elle continue d'avoir sur les autres candidats, et sur le débat national.
Ce blog, publié à l'origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Guillemette Allard-Bares pour Fast for Word.
Arianna Huffington - Présidente et fondatrice du Huffington Post
Un mot sur Trump: Vous ne nous faites plus rire
INTERNATIONAL - Hier, lundi 7 décembre, le candidat que les sondages estiment actuellement le mieux placé pour les primaires républicaines a appelé à "un arrêt total et complet de l'entrée des musulmans aux États-Unis". Il s'agit, bien entendu, de Donald Trump. Comme Jeffrey Goldberg vient de l'écrire dans un tweet, "Donald Trump constitue à présent une véritable menace pour la sécurité nationale. Il fournit des arguments aux djihadistes pour leur campagne de diabolisation des États-Unis."
Tout comme M. Trump souhaite "changer l'Amérique", nous avons décidé de modifier la manière dont le Huffington Post rapporte ses propos. Nous avions déjà annoncé, en juillet, notre intention de traiter de sa campagne présidentielle dans la rubrique divertissement. "La raison en est simple", écrivaient à l'époque Ryan Grim et Danny Shea. "La campagne de M. Trump est un spectacle de foire."
Elle n'a pas manqué de leur donner raison. Mais comme le prouvent amplement ses propos malveillants d'aujourd'hui, elle a pris une autre forme pour devenir une force répugnante et dangereuse dans le discours politique américain. Nous n'allons donc plus traiter de cette campagne dans la rubrique divertissement. Mais nous ne prétendrons pas pour autant qu'elle a quoi que ce soit de normal.
La décision que nous avions prise en juillet était basée sur le refus d'accepter, sur la seule foi des sondages, que la candidature de M. Trump constituait un programme sérieux et sincère sur la manière de gouverner le pays. Notre opinion n'a pas changé, et nous continuerons à couvrir le sujet en conséquence. Cependant, les choses ont beaucoup changé.
Bien sûr, dès le début, il a tenu des propos ignobles sur les Mexicains. Mais cette xénophobie outrée, bien que répugnante, lui donnait au départ le rôle de l'affreux de service dans une parodie de mauvais goût. A présent qu'il fait de la surenchère, avec l'aide des médias, manifestant la cruauté et l'ignorance qui caractérisaient le début de sa campagne, l'incrédulité presque amusée qu'il suscitait a pris un tour franchement amer. M. Trump est aujourd'hui une menace hideuse, symptomatique d'une certaine politique américaine.
Nous sommes convaincus que ce changement doit se refléter dans la manière dont nous évoquons sa campagne. Cela nécessite de rappeler en permanence à nos lecteurs qui est vraiment M. Trump, et ce que sa campagne représente.
Comme l'a récemment fait remarquer Jay Rosen:
En résumé, la plupart des responsables politiques se gardaient bien de faire des déclarations à l'emporte-pièce, révoltantes ou dangereuses, car ils savaient qu'ils devraient en assumer les conséquences. Et Rosen de conclure: "Ces règles ne sont à présent plus de mise, parce que la plupart ont été ʻmises à mal' ou carrément violées par M. Trump, qui est pourtant toujours en tête des sondages.""Nous ne nous étions jamais rendu compte, avant cette année, à quel point le rôle de la presse dans les campagnes présidentielles reposait sur une idée toute faite, partagée par la classe politique et toute la machine électorale, des règles à suivre et des conséquences pour qui les enfreindrait (...) Cette idée n'était que très rarement contestée, car le jeu ne semblait pas en valoir la chandelle, et parce que les campagnes étaient gérées par des professionnels - les stratèges politiques - hostiles à toute prise de risque."
Cela ne veut pas dire que nous, les médias, devons témoigner la moindre indulgence envers M. Trump et ceux qui aspirent à l'imiter. Nous prendrons donc soin, dans nos articles sur sa campagne, de rappeler constamment ses idées à nos lecteurs, citations à l'appui.
Quelques exemples:
- Son enthousiasme pour un fichier répertoriant tous les musulmans des États-Unis.
- Ses mensonges récurrents sur les manifestations de joie de certains musulmans du New Jersey lors des attentats du 11-Septembre.
- Son statut de chef de file de la polémique sur la citoyenneté d'Obama, et le cynisme dont il a fait preuve pour semer le doute sur la légitimité du président des États-Unis.
- Sa misogynie. Citons, par exemple, cet article du HuffPost. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
- Sa xénophobie et sa tendance à se servir des immigrés comme de boucs émissaires, notamment par ses mensonges sur les immigrés mexicains et son fervent désir d'expulser des millions de sans-papiers.
- Son amour incontestable de la violence, verbale ou physique. Encore une fois, les exemples sont légion, mais on pourrait commencer par sa manière de justifier la brutalité de ses partisans envers un manifestant lors d'un de meeting, ou de se moquer d'un journaliste handicapé du New York Times.
Et nous sommes ravis de voir que nous ne sommes pas les seuls à souhaiter montrer le vrai visage de M. Trump, sans excuses ni faux-semblants. La semaine dernière, Dana Milbank, du Washington Post, a ouvert sa rubrique sur cette phrase: "N'ayons pas peur des mots: Donald Trump est intolérant et raciste." Il l'a démontré - ce qui n'était pas difficile - dans son article, comme devrait le faire tout journaliste soucieux de dire la vérité à ses lecteurs.
Si M. Trump tient des propos racistes, nous le dénoncerons. S'il fait preuve de sexisme, nous le dénoncerons. Nous n'hésiterons pas à faire toute la lumière sur ses agissements, et nous ne nous laisserons pas distraire par sa politique spectacle.
Évidemment, il n'est pas le seul candidat à débiter un message extrémiste et irresponsable mais son énorme couverture médiatique - de ses apparitions à Meet the Press ou Saturday Night Live - le place dans une position unique. En s'abstenant de dénoncer le vrai message de sa campagne, beaucoup de journalistes, enivrés par les audiences incroyables qu'il ne cesse de susciter, en finissent par donner une forme de légitimité à ses opinions hideuses.
Comme nous avons pu le constater jusqu'à présent dans la campagne républicaine, les pires déclarations de M. Trump ne se font pas en vase clos, et elles ne sont pas sans conséquences. Elles affectent tout le débat, ne cessant de repousser la limite qui sépare les discours habituels d'un extrémisme éhonté et inacceptable.
Nous ne nous contenterons donc pas de montrer ce que sa campagne a de particulier dans le contexte politique américain de ces dernières années. Nous aborderons aussi l'impact désastreux qu'elle continue d'avoir sur les autres candidats, et sur le débat national.
Ce blog, publié à l'origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Guillemette Allard-Bares pour Fast for Word.
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Pour la Maison-Blanche, Trump est indigne d'être président
Aussi un article des plus intéressants !
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Pour la Maison-Blanche, Trump est indigne d'être président ...
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Ce n'est pas un guignol, mais un visionnaire!
Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
mardi 8 décembre 2015
Etats-Unis: la Maison Blanche juge Trump "disqualifié" pour la présidence
La Maison Blanche a estimé mardi que le candidat républicain Donald Trump s'était "disqualifié" pour la présidence des Etats-Unis en proposant de barrer l'entrée des musulmans aux Etats-Unis.
"Ce qu'a dit Donald Trump le disqualifie pour être président", a déclaré, sur un ton inhabituellement ferme, Josh Earnest, porte-parole de Barack Obama.
"C'est moralement répréhensible et cela a des conséquences pour notre sécurité nationale", a-t-il poursuivi.
"La vraie question pour le parti républicain est de savoir s'ils se laisseront entraîner dans les poubelles de l'histoire avec Donald Trump", a-t-il encore lancé.
Les autres candidats en lice dans le camp républicain "ont-ils le courage de leurs convictions?", s'est-il interrogé.
"Nous parlons des valeurs fondamentales de ce pays", a-t-il martelé, dénonçant avec force le "cynisme" du magnat de l'immobilier qui fait la course en tête dans le camp républicain.
Donald Trump veut interdire aux musulmans d... par ITELE
Etats-Unis: la Maison Blanche juge Trump "disqualifié" pour la présidence
La Maison Blanche a estimé mardi que le candidat républicain Donald Trump s'était "disqualifié" pour la présidence des Etats-Unis en proposant de barrer l'entrée des musulmans aux Etats-Unis.
"Ce qu'a dit Donald Trump le disqualifie pour être président", a déclaré, sur un ton inhabituellement ferme, Josh Earnest, porte-parole de Barack Obama.
"C'est moralement répréhensible et cela a des conséquences pour notre sécurité nationale", a-t-il poursuivi.
"La vraie question pour le parti républicain est de savoir s'ils se laisseront entraîner dans les poubelles de l'histoire avec Donald Trump", a-t-il encore lancé.
Les autres candidats en lice dans le camp républicain "ont-ils le courage de leurs convictions?", s'est-il interrogé.
"Nous parlons des valeurs fondamentales de ce pays", a-t-il martelé, dénonçant avec force le "cynisme" du magnat de l'immobilier qui fait la course en tête dans le camp républicain.
Donald Trump veut interdire aux musulmans d... par ITELE
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
bonsoir
de tout les façon a 99 % des cas les puissents de ce monde sont contre Dieu ... ils le rejette et ce voue au diable .
et les plus petit les moin puissent de ce monde , les humbles , ce sont ceux qui aime Dieu et qui sont avec Dieu .
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Je trouve que le guignol Trump est moins mal que le guignol Obama. Oui, la politique au Etats Unis prend des accents de foire. Mais en est-il autrement en France ? La fanfaronnade remplace les idées, les cries remplacent le débat, l'invective remplace la réflexion.
La principale préoccupation de la classe politique est comment empêcher Trump d'accéder au pouvoir. Comment empêcher Marine Le Pen. Les mêmes petites figures pensent se succéder les uns les autres. La femme de Clinton à la place du fils de Bush et ainsi de suite. Et malheur à celui qui ose venir avec des projets.
À mon avis, on assiste pas seulement à l'effondrement de la classe politique de tel ou tel pays, mais à l'effondrement du système démocratique, qui montre bien ses limites.
La principale préoccupation de la classe politique est comment empêcher Trump d'accéder au pouvoir. Comment empêcher Marine Le Pen. Les mêmes petites figures pensent se succéder les uns les autres. La femme de Clinton à la place du fils de Bush et ainsi de suite. Et malheur à celui qui ose venir avec des projets.
À mon avis, on assiste pas seulement à l'effondrement de la classe politique de tel ou tel pays, mais à l'effondrement du système démocratique, qui montre bien ses limites.
Fortunatus- Hosanna au plus haut des cieux!
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Si Donald Trump avait vécu dans les années 1930, il serait devenu sans l'ombre d'un doute un autre Hitler !
Donald Trump comparé à Hitler et à un "déséquilibré" après ses propos sur les musulmans
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Publié le 09/12/2015 à 07:00
Pour J. K. Rowling, Donald Trump est pire que Voldemort
L'auteur de la saga Harry Potter a réagi à la proposition du candidat républicain à la Maison-Blanche de fermer les frontières aux musulmans.
Habile internaute, lorsque J. K. Rowling publie un tweet, c'est généralement pour réagir à l'actualité. Elle utilise alors dans ses messages des références explicites à la saga qu'elle a créée il y a près de vingt ans maintenant, Harry Potter.
Le 8 décembre, l'auteur britannique n'a donc pas pu rester muette face à la proposition du candidat républicain à la Maison-Blanche, Donald Trump. Celui-ci a en effet annoncé sa volonté, s'il est élu, de fermer les frontières des États-Unis aux personnes de confession musulmane.
Dans un message sur Twitter associé à un article de la BBC qui révèle que le milliardaire américain est surnommé Lord Voldemort, J. K. Rowling répond: «C'est horrible. Voldemort était loin d'être aussi mauvais».
J. K. Rowling
Le tweet a depuis été partagé plus de 86.000 fois et regroupe près de 80.000 «j'aime». Il faut dire que la comparaison est audacieuse. Dans la saga, Lord Voldemort est le «Seigneur des Ténèbres», un terrible magicien qui tue à tour de bras et provoque le chaos dans la célèbre école de Poudlard où étudient Harry Potter et Hermione Granger.
Pour J. K. Rowling, Donald Trump est pire que Voldemort
L'auteur de la saga Harry Potter a réagi à la proposition du candidat républicain à la Maison-Blanche de fermer les frontières aux musulmans.
Habile internaute, lorsque J. K. Rowling publie un tweet, c'est généralement pour réagir à l'actualité. Elle utilise alors dans ses messages des références explicites à la saga qu'elle a créée il y a près de vingt ans maintenant, Harry Potter.
Le 8 décembre, l'auteur britannique n'a donc pas pu rester muette face à la proposition du candidat républicain à la Maison-Blanche, Donald Trump. Celui-ci a en effet annoncé sa volonté, s'il est élu, de fermer les frontières des États-Unis aux personnes de confession musulmane.
Dans un message sur Twitter associé à un article de la BBC qui révèle que le milliardaire américain est surnommé Lord Voldemort, J. K. Rowling répond: «C'est horrible. Voldemort était loin d'être aussi mauvais».
J. K. Rowling
Le tweet a depuis été partagé plus de 86.000 fois et regroupe près de 80.000 «j'aime». Il faut dire que la comparaison est audacieuse. Dans la saga, Lord Voldemort est le «Seigneur des Ténèbres», un terrible magicien qui tue à tour de bras et provoque le chaos dans la célèbre école de Poudlard où étudient Harry Potter et Hermione Granger.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Et que dire de Charles Martel? lui a repoussé l'invasion musulmane, maintenant on les accepte, et en plus il se radicalisent et tuent ou veulent tuer bon nombres de nos concitoyen..
Je peut comprendre cette homme, il a peur pour demain.
De là à le considérer comme Hitler ou un personnage démoniaque, je trouve sa gros.
Mais bon si vous aimez vous faire assassiner, c'est votre choix, à la là au moins à l'époque on faisait tout pour protéger les habitants, maintenant...c'est flop..
PS: il veut protéger son pays..
Je peut comprendre cette homme, il a peur pour demain.
De là à le considérer comme Hitler ou un personnage démoniaque, je trouve sa gros.
Mais bon si vous aimez vous faire assassiner, c'est votre choix, à la là au moins à l'époque on faisait tout pour protéger les habitants, maintenant...c'est flop..
PS: il veut protéger son pays..
Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Bonjour @Charles-Edouard !
Tu sais mon ami, ce Donald Trump est vraiment un déséquilibré !
Il s'en prend à tout le monde, et pas seulement aux musulmans... Noirs, mexicains, handicapés, russes et j'en passe.
Un type de ce genre serait le premier à appuyer sur le bouton nucléaire contre la Russie ou toute autre nation qui lui tiendrait tête.
Je ne sais pas si tu as lu le premier article au tout début de la Présidente et fondatrice du Huffington Post, mais elle a parfaitement raison :
Quelques exemples:
Je te souhaite une excellente journée Charles-Édouard !
Amicalement...
Gilles.
Tu sais mon ami, ce Donald Trump est vraiment un déséquilibré !
Il s'en prend à tout le monde, et pas seulement aux musulmans... Noirs, mexicains, handicapés, russes et j'en passe.
Un type de ce genre serait le premier à appuyer sur le bouton nucléaire contre la Russie ou toute autre nation qui lui tiendrait tête.
Je ne sais pas si tu as lu le premier article au tout début de la Présidente et fondatrice du Huffington Post, mais elle a parfaitement raison :
Quelques exemples:
- Son enthousiasme pour un fichier répertoriant tous les musulmans des États-Unis.
- Ses mensonges récurrents sur les manifestations de joie de certains musulmans du New Jersey lors des attentats du 11-Septembre.
- Son statut de chef de file de la polémique sur la citoyenneté d'Obama, et le cynisme dont il a fait preuve pour semer le doute sur la légitimité du président des États-Unis.
- Sa misogynie. Citons, par exemple, cet article du HuffPost. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
- Sa xénophobie et sa tendance à se servir des immigrés comme de boucs émissaires, notamment par ses mensonges sur les immigrés mexicains et son fervent désir d'expulser des millions de sans-papiers.
- Son amour incontestable de la violence, verbale ou physique. Encore une fois, les exemples sont légion, mais on pourrait commencer par sa manière de justifier la brutalité de ses partisans envers un manifestant lors d'un de meeting, ou de se moquer d'un journaliste handicapé du New York Times.
Je te souhaite une excellente journée Charles-Édouard !
Amicalement...
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Gilles a écrit:
Un type de ce genre serait le premier à appuyer sur le bouton nucléaire contre la Russie ou toute autre nation qui lui tiendrait tête.
Ce type ne peut pas être le premier à appuyer sut le bouton nucléaire, car le premier a déjà été Harry Truman. C'est vrai, non pas contre la Russie, mais contre une autre nation qui lui tenait tête: le Japon.
J'ai du mal à croire que quelqu'un qui a fait d'excellentes affaires soit si imprudent que ça. Quand on fait des affaires, on prend toujours des risques, mais des risques bien calculés. Prenez soin de ne pas tomber victime de la propagande politique qui agit les Etats Unis dans ce temps préélectoral. Je ne connaît pas du tout ce Trump, mais je connaît un peu Obama par les actes qu'il a accompli depuis plusieurs années. C'est difficile de trouver un fou plus fou que lui.
Fortunatus- Hosanna au plus haut des cieux!
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Fortunatus a écrit:Je ne connaît pas du tout ce Trump, mais je connaît un peu Obama par les actes qu'il a accompli depuis plusieurs années. C'est difficile de trouver un fou plus fou que lui.
Sachez cher @Fortunatus que Monsieur le Président Obama a empêché un 3ième conflit mondial en août 2014...
Il a renoncé à bombarder le régime syrien, ce qui aurait eu d'inimaginables conséquences.
De plus, il a mis tous ses efforts pour en arriver à une entente respectable dans le nucléaire iranien.
Alors si Monsieur Obama est fou comme vous le dites, vous auriez peut-être avantage à vous renseigner sur ce Donald Trump, qui est nul autre qu'une copie conforme d'Adolf Hitler !
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
vendredi 11 décembre 2015
© Utilisé avec la permission de © Rogers Media Inc. 2015. Photo: Mic Smith/AP Photo
Donald Trump est un menteur (et ça lui réussit)
Dire que Donald Trump n’a pas de filtre est un euphémisme. Le magnat de l’immobilier, reconverti en aspirant président, a tout du cauchemar pour un conseiller en communications. À cela près que ses interventions, tantôt saugrenues, tantôt choquantes, font mouche auprès de l’électorat républicain, dont il brigue l’investiture. Au pays de l’infotainment, on semble vouloir pousser le vice jusqu’à porter un hurluberlu dans l’antichambre de la Maison-Blanche. Car les frasques de Donald Trump font un malheur dans les médias américains, qui s’indignent et se délectent en même temps des «perles» de l’ancien animateur de l’émission de télé-réalité The Apprentice. À tel point qu’il existe un vif débat, au sud de la frontière, sur le rôle joué par les médias dans cette «Trumpmania».
Mardi soir, l’émission satirique The Daily Show a rassemblé des images de Trump laissant entendre qu’il avait des vues sur sa propre fille. Dans de nombreux pays, tel que le Canada, on s’arrêterait là pour dire que le débat a tellement touché le fond qu’il commence à attaquer la croûte terrestre.
Pourtant, nul n’ignore que Donald Trump a encore de nombreuses provocations derrière son toupet, et que sa proposition d’interdire toute nouvelle entrée de personnes musulmanes aux États-Unis – qui a même provoqué la désapprobation du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou – n’est pas un point de non-retour dans son parcours électoral.
Pourquoi? Parce qu’aux États-Unis, Donald Trump s’est mué en porte-voix d’une frange de la population envahie par une certaine anxiété, tel qu’en a fait état le sondeur républicain Frank Luntz à l’issue d’un groupe de discussion qu’il a organisé et qui laissait la parole à 29 électeurs pro-Trump. Certains des propos tenus étaient révélateurs. «Je crois que les plus beaux jours de notre pays sont derrière nous.» «Je suis frustrée au-delà du possible. J’ai l’impression qu’on m’a menti.» «Il n’y a aucun doute, tout ce qu’il fait, il le fait dans un but: rendre sa grandeur à l’Amérique.»
Mark Cuban, autre célèbre entrepreneur américain et ami de Donald Trump, est peut-être celui qui a le mieux résumé le phénomène, cet été. «Je me fiche de ce que sont réellement ses positions. Je me fiche de savoir s’il dit de mauvaises choses. Il dit ce qu’il pense. Il donne des réponses honnêtes, et non des réponses préparées. C’est déjà bien plus que ce qu’a fait n’importe lequel des candidats depuis des années.» (Depuis lors, Mark Cuban semble avoir quelque peu changé son fusil d’épaule.)
Les électeurs de Donald Trump ont été séduits par des promesses énoncées sans plus d’explication, telles que: «Je serai le plus grand président de l’emploi que Dieu ait jamais créé». Ou encore: «Notre armée sera si forte que personne ne viendra nous embêter.»
Mais celui que Frank Luntz qualifie de «punition pour une élite républicaine n’ayant pas été à l’écoute de ses bases» ne s’est pas contenté de nourrir son électorat de clichés rassurants. Il a parfois redessiné les frontières de la vérité selon sa convenance, sans jamais le payer dans les sondages. Voici trois exemples de mensonges flagrants recensés par le site de fact-checking PolitiFact:
Mensonge n°1: «J’ai vu le World Trade Center s’effondrer. Et j’ai vu qu’à Jersey City, dans le New Jersey, des milliers et des milliers de personnes célébraient lorsque les tours se sont écroulées.»
Une vidéo montrant les acclamations de personnes en Cisjordanie a circulé à l’époque, mais après une recherche exhaustive, PolitiFact a indiqué n’avoir trouvé aux États-Unis que deux «articles de presse décrivant des rumeurs de célébrations qui ont été démystifiées ou qui n’ont apporté aucune preuve». Le maire de Jersey City a également réfuté avec vigueur cette version de l’histoire voulant que des milliers de musulmans américains aient sympathisé bruyamment avec la cause des terroristes.
Mensonge n°2: les Noirs sont responsables de 81 % des homicides ayant fait des victimes blanches
Un jour après qu’un manifestant criant «Black Lives Matter» ait été roué de coups par ses partisans lors d’un rassemblement en Alabama, Donald Trump a tweeté un tableau de statistiques erronées laissant croire qu’en 2015, les Afro-Américains étaient responsables de 81 % des homicides ayant fait des victimes blanches, et de 97 % des homicides ayant fait des victimes noires. Or, non seulement ces statistiques sont attribuées à une organisation qui n’a jamais existé (Crime Statistics Bureau – San Francisco), mais les chiffres ont en plus été sciemment manipulés: les dernières données officielles du FBI montrent par exemple qu’en 2014, 82 % des victimes blanches avaient en fait été tuées par d’autres Blancs.
Mensonge n°3: «Notre président veut ouvrir nos portes à 250 000 réfugiés syriens.»
Au lendemain des attentats du 13 novembre à Paris, Donald Trump a tenu un rassemblement au cours duquel il a affirmé que l’un des assaillants était originaire de Syrie. Il s’est par la suite indigné de la politique de Barack Obama, à qui il a prêté l’intention d’accueillir 250 000 réfugiés syriens aux États-Unis. En septembre, le secrétaire d’État John Kerry avait indiqué que le nombre de réfugiés qui seraient admis aux États-Unis passerait de 70 000 en 2015 à 85 000 en 2016, et qu’il serait plus proche de 100 000 l’année suivante. Mais cette déclaration visait les réfugiés provenant de tous les pays, et non pas les Syriens en particulier. La remarque de Donald Trump n’a eu pour conséquence que d’attiser la peur de ses concitoyens.
Malgré tous ses mensonges et ses errements, Donald Trump est toujours gaillard et ses appuis ne faiblissent pas. Il est plus que jamais le grand favori de la primaire républicaine.
L'actualité par Vincent Destouches
© Utilisé avec la permission de © Rogers Media Inc. 2015. Photo: Mic Smith/AP Photo
Donald Trump est un menteur (et ça lui réussit)
Dire que Donald Trump n’a pas de filtre est un euphémisme. Le magnat de l’immobilier, reconverti en aspirant président, a tout du cauchemar pour un conseiller en communications. À cela près que ses interventions, tantôt saugrenues, tantôt choquantes, font mouche auprès de l’électorat républicain, dont il brigue l’investiture. Au pays de l’infotainment, on semble vouloir pousser le vice jusqu’à porter un hurluberlu dans l’antichambre de la Maison-Blanche. Car les frasques de Donald Trump font un malheur dans les médias américains, qui s’indignent et se délectent en même temps des «perles» de l’ancien animateur de l’émission de télé-réalité The Apprentice. À tel point qu’il existe un vif débat, au sud de la frontière, sur le rôle joué par les médias dans cette «Trumpmania».
Mardi soir, l’émission satirique The Daily Show a rassemblé des images de Trump laissant entendre qu’il avait des vues sur sa propre fille. Dans de nombreux pays, tel que le Canada, on s’arrêterait là pour dire que le débat a tellement touché le fond qu’il commence à attaquer la croûte terrestre.
Pourtant, nul n’ignore que Donald Trump a encore de nombreuses provocations derrière son toupet, et que sa proposition d’interdire toute nouvelle entrée de personnes musulmanes aux États-Unis – qui a même provoqué la désapprobation du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou – n’est pas un point de non-retour dans son parcours électoral.
Pourquoi? Parce qu’aux États-Unis, Donald Trump s’est mué en porte-voix d’une frange de la population envahie par une certaine anxiété, tel qu’en a fait état le sondeur républicain Frank Luntz à l’issue d’un groupe de discussion qu’il a organisé et qui laissait la parole à 29 électeurs pro-Trump. Certains des propos tenus étaient révélateurs. «Je crois que les plus beaux jours de notre pays sont derrière nous.» «Je suis frustrée au-delà du possible. J’ai l’impression qu’on m’a menti.» «Il n’y a aucun doute, tout ce qu’il fait, il le fait dans un but: rendre sa grandeur à l’Amérique.»
Mark Cuban, autre célèbre entrepreneur américain et ami de Donald Trump, est peut-être celui qui a le mieux résumé le phénomène, cet été. «Je me fiche de ce que sont réellement ses positions. Je me fiche de savoir s’il dit de mauvaises choses. Il dit ce qu’il pense. Il donne des réponses honnêtes, et non des réponses préparées. C’est déjà bien plus que ce qu’a fait n’importe lequel des candidats depuis des années.» (Depuis lors, Mark Cuban semble avoir quelque peu changé son fusil d’épaule.)
Les électeurs de Donald Trump ont été séduits par des promesses énoncées sans plus d’explication, telles que: «Je serai le plus grand président de l’emploi que Dieu ait jamais créé». Ou encore: «Notre armée sera si forte que personne ne viendra nous embêter.»
Mais celui que Frank Luntz qualifie de «punition pour une élite républicaine n’ayant pas été à l’écoute de ses bases» ne s’est pas contenté de nourrir son électorat de clichés rassurants. Il a parfois redessiné les frontières de la vérité selon sa convenance, sans jamais le payer dans les sondages. Voici trois exemples de mensonges flagrants recensés par le site de fact-checking PolitiFact:
Mensonge n°1: «J’ai vu le World Trade Center s’effondrer. Et j’ai vu qu’à Jersey City, dans le New Jersey, des milliers et des milliers de personnes célébraient lorsque les tours se sont écroulées.»
Une vidéo montrant les acclamations de personnes en Cisjordanie a circulé à l’époque, mais après une recherche exhaustive, PolitiFact a indiqué n’avoir trouvé aux États-Unis que deux «articles de presse décrivant des rumeurs de célébrations qui ont été démystifiées ou qui n’ont apporté aucune preuve». Le maire de Jersey City a également réfuté avec vigueur cette version de l’histoire voulant que des milliers de musulmans américains aient sympathisé bruyamment avec la cause des terroristes.
Mensonge n°2: les Noirs sont responsables de 81 % des homicides ayant fait des victimes blanches
Un jour après qu’un manifestant criant «Black Lives Matter» ait été roué de coups par ses partisans lors d’un rassemblement en Alabama, Donald Trump a tweeté un tableau de statistiques erronées laissant croire qu’en 2015, les Afro-Américains étaient responsables de 81 % des homicides ayant fait des victimes blanches, et de 97 % des homicides ayant fait des victimes noires. Or, non seulement ces statistiques sont attribuées à une organisation qui n’a jamais existé (Crime Statistics Bureau – San Francisco), mais les chiffres ont en plus été sciemment manipulés: les dernières données officielles du FBI montrent par exemple qu’en 2014, 82 % des victimes blanches avaient en fait été tuées par d’autres Blancs.
Mensonge n°3: «Notre président veut ouvrir nos portes à 250 000 réfugiés syriens.»
Au lendemain des attentats du 13 novembre à Paris, Donald Trump a tenu un rassemblement au cours duquel il a affirmé que l’un des assaillants était originaire de Syrie. Il s’est par la suite indigné de la politique de Barack Obama, à qui il a prêté l’intention d’accueillir 250 000 réfugiés syriens aux États-Unis. En septembre, le secrétaire d’État John Kerry avait indiqué que le nombre de réfugiés qui seraient admis aux États-Unis passerait de 70 000 en 2015 à 85 000 en 2016, et qu’il serait plus proche de 100 000 l’année suivante. Mais cette déclaration visait les réfugiés provenant de tous les pays, et non pas les Syriens en particulier. La remarque de Donald Trump n’a eu pour conséquence que d’attiser la peur de ses concitoyens.
Malgré tous ses mensonges et ses errements, Donald Trump est toujours gaillard et ses appuis ne faiblissent pas. Il est plus que jamais le grand favori de la primaire républicaine.
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Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
vendredi 11 décembre 2015
Une pétition pour envoyer Donald Trump dans l'espace !
Il dérange. Donald Trump, candidat aux primaires républicaines aux Etats-Unis, multiplie les provocations. La dernière en date concerne les musulmans. Le milliardaire veut leur interdire l'accès au territoire américain et ce parce que, selon lui, ils ont "la haine de l'Amérique". Cette sortie a provoqué un tollé dans le monde entier, à commencer par son parti où les critiques s'accumulent.
Mais pour certains, ces critiques ou même des sanctions ne suffisent plus pour faire taire celui qui est pourtant favori pour l'investiture républicaine en vue de la course à la Maison-Blanche. Une pétition vient d'être lancée sur le site change.org pour envoyer le loufoque homme d'affaires le plus loin possible des Etats-Unis: dans l'espace.
Près de 15.000 signatures
Lancée depuis Détroit aux Etats-Unis, cette requête, qui s'intitule "Pétition pour envoyer Donald Trump dans l'espace et le laisser là-bas", s'adresse à la Nasa. "Nous sommes fatigués d'entendre les paroles, les actes, les propositions outrageantes de Donald Trump. Ma solution est de l'envoyer dans l'espace et le laisser là-bas."
En à peine quelques heures, elle a déjà reçu le soutien de plus de 14.000 personnes. Dans un sondage Wall Street Journal et NBC, la proposition de Trump de fermer temporairement les frontières aux musulmans était soutenue par seulement un Américain sur quatre.
Plus sérieusement, une autre pétition a été lancée contre Donald Trump pour lui interdire l'accès à la Grande-Bretagne. En quelques jours, celle-ci, adressée au Parlement britannique, a recueilli plus de 520.000 signatures.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
Gilles,
Obama veux forcer les hopitaux catholique à avorter.
Cela suffit à faire de lui un homme indigne de sa fonction.
bonne journée.
Neb- Pour le roi
- Messages : 696
Age : 35
Localisation : Paris
Inscription : 12/01/2015
Re: Donald Trump sera t-il élu Président des États-Unis?
@neb
Avez-vous consulté vraiment tous les articles que j'ai postés plus haut au sujet de ce fasciste nazi Donald Trump ?
Sachez qu'il étale ouvertement sa haine pour tous les gens qui ne sont pas des blancs américains.
Il est 100 fois plus dangereux que ne peut l'être Monsieur Obama.
Comme je l'ai mentionné, ce bouffon du XXIe siècle est un "copier-coller" du mégalomane Adolf Hitler !
C'est son portrait tout craché :
"La mégalomanie consiste en la surestimation de ses capacités, elle se traduit par un désir immodéré de puissance et un amour exclusif de soi. Elle peut être le signe d'un manque affectif. En psychologie, la mégalomanie est classée dans la famille des psychoses délirantes chroniques. On la nomme couramment « folie des grandeurs » ou « délire des grandeurs»"
Avez-vous consulté vraiment tous les articles que j'ai postés plus haut au sujet de ce fasciste nazi Donald Trump ?
Sachez qu'il étale ouvertement sa haine pour tous les gens qui ne sont pas des blancs américains.
Il est 100 fois plus dangereux que ne peut l'être Monsieur Obama.
Comme je l'ai mentionné, ce bouffon du XXIe siècle est un "copier-coller" du mégalomane Adolf Hitler !
C'est son portrait tout craché :
"La mégalomanie consiste en la surestimation de ses capacités, elle se traduit par un désir immodéré de puissance et un amour exclusif de soi. Elle peut être le signe d'un manque affectif. En psychologie, la mégalomanie est classée dans la famille des psychoses délirantes chroniques. On la nomme couramment « folie des grandeurs » ou « délire des grandeurs»"
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
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