1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
+6
Scala-Coeli
carine
Fortunatus
chercher-dieu
Charles-Edouard
Gilles
10 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
29 novembre 2015
Un couple offre d’adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Nicole et Kevin Cook, jeune couple vivant au Kentucky, proposent aux femmes qui souhaitent avorter d’adopter leur bébé.
Cette proposition, que le couple affirme très sérieuse, fait suite aux vidéos du Planned Parenthood (équivalent du Planning Familial français). Nicole, qui a souffert d’une fausse couche il y a un an et lutte depuis contre l’infertilité, s’est dite bouleversée en voyant ces vidéos sur l’avortement.
Kevin G. Cook écrit sur son blog un billet intitulé « C’est un autre garçon ! » dans lequel il dit : «J’ai tant prié, espéré, attendu, pleuré Dieu pour un enfant depuis près de deux ans maintenant. Je suis vraiment sérieux. Si vous êtes enceinte et que vous ne voulez pas de votre enfant, nous le voulons. Ce n’est pas un fœtus. C’est une bénédiction. La vie est importante. » Il dénonce également le profit que l’association Planned Parenthood fait de la vente d’organes des fœtus.
Un message qui a été entendu puisque Kevin et son épouse ont été submergés par des centaines de réponses provenant de tout le pays : « Des centaines de femmes nous ont envoyé des messages disant qu’elles préféreraient renoncer à leur bébé en le faisant adopter plutôt que d’avorter, mais qu’elles ne savaient pas comment faire» dit-il.
Depuis, Kevin et Nicole font tout leur possible pour fournir les informations à connaître sur l’adoption à ces femmes. «Nous sommes toujours à la recherche de la façon dont Dieu nous utilisera pour sauver la vie d’un enfant qui, autrement, aurait été avorté ; et nous aimerions être en mesure d’en sauver deux si Dieu nous le permet ! » explique Kevin.
Le couple espère un changement d’envergure nationale en mettant en contact ces mères avec des agences d’adoptions locales. « Si nous pouvons doubler le nombre de mères qui choisissent la vie et prennent contact avec les organismes d’adoption, nous sauverions des milliers de vies innocentes et donnerions à des familles aimantes les enfants que leurs cœurs espèrent depuis si longtemps. Nous aimerions aussi faire baisser le temps d’attente et les frais généraux de l’adoption. Seigneur, écoute notre prière! Jésus, rend tout cela possible! »
Source : Christian Today
Un couple offre d’adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Nicole et Kevin Cook, jeune couple vivant au Kentucky, proposent aux femmes qui souhaitent avorter d’adopter leur bébé.
Cette proposition, que le couple affirme très sérieuse, fait suite aux vidéos du Planned Parenthood (équivalent du Planning Familial français). Nicole, qui a souffert d’une fausse couche il y a un an et lutte depuis contre l’infertilité, s’est dite bouleversée en voyant ces vidéos sur l’avortement.
Kevin G. Cook écrit sur son blog un billet intitulé « C’est un autre garçon ! » dans lequel il dit : «J’ai tant prié, espéré, attendu, pleuré Dieu pour un enfant depuis près de deux ans maintenant. Je suis vraiment sérieux. Si vous êtes enceinte et que vous ne voulez pas de votre enfant, nous le voulons. Ce n’est pas un fœtus. C’est une bénédiction. La vie est importante. » Il dénonce également le profit que l’association Planned Parenthood fait de la vente d’organes des fœtus.
Un message qui a été entendu puisque Kevin et son épouse ont été submergés par des centaines de réponses provenant de tout le pays : « Des centaines de femmes nous ont envoyé des messages disant qu’elles préféreraient renoncer à leur bébé en le faisant adopter plutôt que d’avorter, mais qu’elles ne savaient pas comment faire» dit-il.
Depuis, Kevin et Nicole font tout leur possible pour fournir les informations à connaître sur l’adoption à ces femmes. «Nous sommes toujours à la recherche de la façon dont Dieu nous utilisera pour sauver la vie d’un enfant qui, autrement, aurait été avorté ; et nous aimerions être en mesure d’en sauver deux si Dieu nous le permet ! » explique Kevin.
Le couple espère un changement d’envergure nationale en mettant en contact ces mères avec des agences d’adoptions locales. « Si nous pouvons doubler le nombre de mères qui choisissent la vie et prennent contact avec les organismes d’adoption, nous sauverions des milliers de vies innocentes et donnerions à des familles aimantes les enfants que leurs cœurs espèrent depuis si longtemps. Nous aimerions aussi faire baisser le temps d’attente et les frais généraux de l’adoption. Seigneur, écoute notre prière! Jésus, rend tout cela possible! »
Source : Christian Today
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Excellente idée!
C'est mieux que la poubelle des hôpitaux, je suis cru mais c'est comme sa que sa se passe..
C'est mieux que la poubelle des hôpitaux, je suis cru mais c'est comme sa que sa se passe..
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
super beau!
prions pour eux et prions aussi pour qu'il y en ait d'autres qui soient prêts à faire ce genre d'initiative
chercher-dieu- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
- Messages : 163
Age : 35
Localisation : belgique
Inscription : 12/02/2012
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Jolie et noble idée. Mais, je me demande si ce couple s'est informé des démarches à faire. Car ce n'est pas si simple que ça. L'état met beaucoup de bâtons à ceux qui veulent adopter, en espérant qu'il se laissent décourager.
Fortunatus- Hosanna au plus haut des cieux!
- Messages : 499
Inscription : 18/05/2013
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
La quatrième d’une série de vidéos d’enquête filmées en caméra cachée montrait une employée de Planned Parenthood trier négligemment les restes en morceaux d’un fœtus avorté, à la recherche de pièces à vendre. « C’est un bébé, un autre petit garçon », s’amuse-t-elle en saisissant une jambe déchiquetée.
Après avoir vu cette vidéo, Kevin Cook, étudiant d’Asbury Theological Seminary, dans le Kentucky, a posté la réponse suivante :
Cela fait presque deux ans à présent que je prie, j’espère, j’attends et je crie vers Dieu pour qu’Il me donne un enfant. Les problèmes de fertilité font partie des expériences les plus pénibles et les plus éprouvantes auxquelles j’ai été confronté au cours de ma courte vie commencée il y a 30 ans. Nicole a fait une fausse couche il y a environ un an et demi et nous tentons depuis désespérément d’avoir un enfant, en vain pour l’instant.
Quand je vois l’horreur abjecte de ces vidéos de Planned Parenthood et que je constate qu’ils profitent de la vente d’organes de fœtus, je n’ai pas le cœur brisé… j’ai le cœur totalement fracassé. (…)
Je suis consterné de voir que ceux qui se vantent de lutter pour les droits civils et la justice sociale n’ouvrent pas la bouche sur ce sujet. Que dit la gauche évangélique à propos de l’avortement ?! (…)
Si, parmi ceux qui lisent ces lignes, certains envisagent d’avorter leur bébé, je suis prêt à le prendre. Mon épouse et moi prendrons bien volontiers tous vos bébés ! Je suis très sérieux. Si vous êtes enceinte et que vous ne voulez pas de votre enfant, nous le voulons. Ce n’est pas un fœtus, c’est une bénédiction. La vie a du prix.
Pour Kevin et sa femme, Nicole, ce n’était pas de vaines promesses. Le 30 octobre, Kevin a posté un autre message sur son blog, avec la photo ci-dessous :
Après des mois de prières et de discernement, Nicole et moi avons décidé d’agir. La semaine dernière, nous avons commencé à nous renseigner sur le processus d’adoption. Nous avons fait des recherches et avons pris contact avec plusieurs agences. Bien que cela semble difficile, nous espérons pouvoir adopter un bébé qui sinon aurait été avorté.
A Lexington, nous avions vu des gens avec des pancartes qui donnaient des informations aux passants devant une clinique d’avortement. Il y a deux semaines, Nicole était dans le quartier et elle s’est arrêtée pour leur parler. Elle a appris qu’il s’agissait de la seule clinique d’avortement à Lexington, qu’elle était ouverte les jeudis et vendredis matin, pour pratiquer seulement des avortements sur ou sans rendez-vous.
Nous avons donc décidé de sortir pour témoigner de notre foi. Nous avons préparé nos pancartes et, ce matin, nous nous sommes rendus sur place pour prier et révéler aux gens l’amour de Dieu.
Ce jour-là, debout devant la clinique d’avortement, Kevin et Nicole ont été moqués et largement ignorés. Mais ils n’ont pas renoncé. Ils sont rentrés chez eux et ont publié la photo sur Facebook, en racontant leur rêve d’adoption.
Leur histoire a immédiatement trouvé écho auprès d’autres. Bientôt, des dizaines de milliers de personnes avaient partagé leur message. Les commentaires ont commencé à fuser.
Quatre jours après leur première publication, Kevin a de nouveau posté sur son blog :
Nous avons été en contact avec des dizaines de femmes enceintes qui envisageaient d’avorter, mais qui ont réfléchi en voyant notre message et sont entrées en contact avec nous. (…)
Nous cherchons toujours la solution la plus adaptée pour que Dieu nous utilise pour sauver la vie d’un enfant en danger d’être avorté, et nous serions ravis d’en sauver deux si Dieu le voulait ! Des femmes continuent de nous envoyer des messages et nous lisons chacun dans l’espoir de sauver une vie, soit en adoptant nous-mêmes l’enfant, soit en les mettant en contact avec une agence d’adoption locale. Nous savons que c’est un long processus et que beaucoup de choses peuvent changer avec le temps, mais nous espérons bientôt trouver nos deux enfants et commencer notre aventure ensemble !
Nous avons pris contact avec une avocate spécialisée en adoption et avons hâte de travailler avec elle ! (…)
Des centaines de femmes nous ont écrit pour nous dire qu’elles préfèreraient donner leur enfant à l’adoption plutôt que de l’avorter, mais qu’elles ne savaient pas comment faire. Nous avons passé beaucoup de temps, ces derniers jours, à mettre ces mères en relation avec des agences d’adoption locales. Nous comptons mettre en place une base de données d’agences d’adoption solides, nationales et régionales, destinée à être distribuée aux femmes qui envisagent d’avorter. Pour venir à bout de l’avortement, il faut aussi présenter aux femmes enceintes les étapes simples à suivre pour choisir une alternative à la mort. (…)
Nous espérons submerger littéralement les agences d’adoption dans tout le pays de demandes de mères naturelles qui ont vu notre message et qui ont choisi la vie !
Le lendemain, un ami de Kevin a raconté sur Facebook :
Je viens juste d’être témoin de ça. Kevin et moi travaillons au Starbucks et une femme l’a reconnu après avoir vu sa publication sur l’adoption. Elle nous a dit qu’une autre femme avait renoncé à l’avortement grâce à leur message et qu’elle voulait donner son bébé à cette femme et à son mari !!!
Kevin et Nicole cherchent toujours à adopter et ont également ouvert un compte GoFundMe pour recevoir une aide financière dans leur processus.
Reproduit avec la permission de LiveActionNews
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
« Des centaines de femmes nous ont envoyé des messages disant qu’elles préféreraient renoncer à leur bébé en le faisant adopter plutôt que d’avorter, mais qu’elles ne savaient pas comment faire»
Culture de mort alors que d'autres solutions peuvent être mises en place ! Tant de couples ne peuvent avoir d'enfants alors qu'il y a tant d'avortements.Des centaines de femmes nous ont écrit pour nous dire qu’elles préfèreraient donner leur enfant à l’adoption plutôt que de l’avorter, mais qu’elles ne savaient pas comment faire. Nous avons passé beaucoup de temps, ces derniers jours, à mettre ces mères en relation avec des agences d’adoption locales. Nous comptons mettre en place une base de données d’agences d’adoption solides, nationales et régionales, destinée à être distribuée aux femmes qui envisagent d’avorter. Pour venir à bout de l’avortement, il faut aussi présenter aux femmes enceintes les étapes simples à suivre pour choisir une alternative à la mort. (…)
Merci @Gilles pour cette info. Que Dieu bénisse toutes les actions qui luttent contre la mort de ces enfants à naître.
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4319
Localisation : France
Inscription : 28/10/2009
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Publié par Pour une Culture de Vie le 06/05/2015 09:17
Un avorteur avec plus de 40 000 avortements à son actif devient un militant pro-vie
Ce devait être un avortement de routine en début de deuxième trimestre. La femme en était à son neuvième avortement, comme l’explique l’ancien avorteur Stojan Adasevic dans le documentaire The First Hour (« La première heure »).
M. Adasevic, devenu aujourd’hui l’un des chefs du mouvement pro-vie en Serbie, avait pratiqué plus de 48 000 avortements avant que des doutes sur la procédure ne le poussent à arrêter cette pratique. D’autres sources estiment ce nombre à 60 000.
Il attribue sa conversion pro-vie à deux éléments : une succession inhabituelle de rêves et une expérience particulièrement troublante au cours de ce qui devait être un avortement de routine. Il décrit ainsi la procédure :
J’ai ouvert le ventre, déchiré le placenta, après quoi la poche des eaux s’est rompue et j’ai pu travailler avec mon forceps d’avortement. J’ai attrapé quelque chose, que j’ai brisé, extrait et jeté sur un linge. Je regarde et je vois une main – une main assez grande. L’enfant avait 3 mois, peut-être 4. Je n’avais rien pour mesurer.
A trois mois de grossesse, le bébé est entièrement formé, y compris ses doigts et ses orteils. Tous ses organes et les systèmes de son corps sont présents. Il a des empreintes digitales et respire du liquide amniotique pour se préparer à sa vie en dehors du corps de la maman. M. Adasevic poursuit :
Quelqu’un avait versé de l’iode sur la table et la main est tombée de telle façon que les terminaisons nerveuses sont entrées en contact avec le liquide. Et que s’est-il passé ? J’ai regardé et je me suis dit : « Mon Dieu, la main bouge toute seule. » Je continue malgré tout avec mon forceps, j’attrape autre chose, je le brise, je l’extrais. Je me dis : « J’espère que ce n’est pas une jambe. » Je tire, je regarde : une jambe.
Je veux poser la jambe sur la table, doucement, afin qu’elle ne se place pas près de la main qui bouge. Mon bras se baisse et j’entends un coup dans mon dos. Je sursaute et, automatiquement, mon emprise sur le forceps se détend. A ce moment, la jambe fait une culbute et vient tomber près de la main.
Je regarde – la main et la jambe bougent toutes seules. Je poursuis tout de même en dirigeant mon instrument vers le ventre et je commence à briser tout ce qui se trouve à l’intérieur. Je me dis en moi-même que tout ce dont j’ai besoin pour compléter le tableau, c’est de tomber sur le cœur. Je continue de broyer, je broie, je broie, jusqu’à être sûr d’avoir fait de la bouillie de tout ce qu’il reste à l’intérieur, et je retire à nouveau mon forceps.
J’extrais cette bouillie en me disant qu’il doit s’agir de fragments osseux et je la pose sur le linge. Je regarde et je vois un cœur humain, qui se contracte, qui se relâche et qui bat, qui bat, qui bat. Je crois devenir fou. Je vois les battements du cœur ralentir, plus lentement, encore plus lentement, jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent complètement. Personne n’a pu voir ce que j’ai vu de mes yeux et être plus convaincu que moi de ce que je venais de faire : j’ai tué un être humain.
Cette étrange et terrible expérience a ouvert les yeux de Stojan Adasevic sur le caractère horrible de l’acte qu’il pratiquait. Cette puissante rencontre avec l’humanité de l’enfant à naître était en net contraste avec la formation qu’il avait reçue. Dans le documentaire, M. Adasevic décrit ses journées de travail en tant qu’avorteur :
Il m’arrivait de pratiquer 20, 25, 30 ou même 35 avortements par jour. Nous travaillions cinq jours par semaine…
Au cours de sa formation, on lui avait enseigné que l’enfant à naître était un sous-homme et que la vie ne commençait pas avant la naissance du bébé.
Ils nous martelaient que la vie ne commençait qu’à partir du premier cri du bébé, que, jusqu’à ce moment, cet être humain n’était qu’un autre organe du corps de la mère, comme un appendice. L’ablation de l’appendice du corps de la mère n’est pas un meurtre.
Seul un enfant né et qui avait crié pouvait être tué. S’il n’avait pas crié, on ne pouvait pas parler de meurtre. C’est pourquoi, immédiatement après la naissance, on plongeait la tête de certains enfants dans un seau d’eau. L’enfant qui respirait de l’eau au lieu de l’air ne pleurerait jamais, et donc, cela n’était pas considéré comme un meurtre. C’est terrible, mais les choses étaient ainsi.
L’avortement et l’infanticide étaient donc moralement admissibles. Ces pratiques étaient légales. Stojan Adasevic explique qu’il a commencé à avoir des doutes sur l’avortement après avoir fait des rêves étranges. Le documentaire raconte :
Il rêvait à un magnifique champ rempli d’enfants et de jeunes gens qui jouaient et riaient, âgés entre 4 et 24 ans, mais qui prenaient peur à sa vue et s’enfuyaient. Un homme vêtu de noir et de blanc le fixait en silence.
Ce rêve revenait chaque nuit et il se réveillait avec des sueurs froides. Une nuit, il demanda à l’homme en noir et blanc qui il était. « Je m’appelle Thomas d’Aquin. »
« Pourquoi ne me demandes-tu pas qui sont ces enfants ? » m’a demandé St Thomas dans un rêve.
« Ce sont ceux que tu as tués en les avortant », m’a-t-il répondu. (...)
L’échographie faisait ses débuts et montrait des images de bébés à naître. Cette nouvelle technologie n’a pas influencé Stojan Adasevic, mais il a commencé à avoir une série de rêves.
Après les songes troublants et la terrible expérience de cet avortement, M. Adasevic a annoncé à l’hôpital où il travaillait qu’il ne pratiquerait plus d’avortements. Sa conversion pro-vie lui a coûté cher.
C’était la première fois qu’un médecin en Yougoslavie communiste refusait de pratiquer cet acte. Ils ont divisé mon salaire par deux, licencié ma fille et empêché mon fils d’entrer à l’université.
M. Adasevic s’emploie depuis à changer les cœurs et les mentalités. Il a fait diffuser un documentaire pro-vie à la télévision serbe. Sa conversion fulgurante est glaçante, mais aussi enthousiasmante. Un avorteur acharné est devenu un héros pro-vie.
Soulignons d’ailleurs que Stojan Adasevic doit sa vie à un avortement raté. Sa mère, alors enceinte, avait demandé à se faire avorter, mais l’avorteur a manqué son acte et l’enfant est né vivant.
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Un avorteur avec plus de 40 000 avortements à son actif devient un militant pro-vie
Ce devait être un avortement de routine en début de deuxième trimestre. La femme en était à son neuvième avortement, comme l’explique l’ancien avorteur Stojan Adasevic dans le documentaire The First Hour (« La première heure »).
M. Adasevic, devenu aujourd’hui l’un des chefs du mouvement pro-vie en Serbie, avait pratiqué plus de 48 000 avortements avant que des doutes sur la procédure ne le poussent à arrêter cette pratique. D’autres sources estiment ce nombre à 60 000.
Il attribue sa conversion pro-vie à deux éléments : une succession inhabituelle de rêves et une expérience particulièrement troublante au cours de ce qui devait être un avortement de routine. Il décrit ainsi la procédure :
J’ai ouvert le ventre, déchiré le placenta, après quoi la poche des eaux s’est rompue et j’ai pu travailler avec mon forceps d’avortement. J’ai attrapé quelque chose, que j’ai brisé, extrait et jeté sur un linge. Je regarde et je vois une main – une main assez grande. L’enfant avait 3 mois, peut-être 4. Je n’avais rien pour mesurer.
A trois mois de grossesse, le bébé est entièrement formé, y compris ses doigts et ses orteils. Tous ses organes et les systèmes de son corps sont présents. Il a des empreintes digitales et respire du liquide amniotique pour se préparer à sa vie en dehors du corps de la maman. M. Adasevic poursuit :
Quelqu’un avait versé de l’iode sur la table et la main est tombée de telle façon que les terminaisons nerveuses sont entrées en contact avec le liquide. Et que s’est-il passé ? J’ai regardé et je me suis dit : « Mon Dieu, la main bouge toute seule. » Je continue malgré tout avec mon forceps, j’attrape autre chose, je le brise, je l’extrais. Je me dis : « J’espère que ce n’est pas une jambe. » Je tire, je regarde : une jambe.
Je veux poser la jambe sur la table, doucement, afin qu’elle ne se place pas près de la main qui bouge. Mon bras se baisse et j’entends un coup dans mon dos. Je sursaute et, automatiquement, mon emprise sur le forceps se détend. A ce moment, la jambe fait une culbute et vient tomber près de la main.
Je regarde – la main et la jambe bougent toutes seules. Je poursuis tout de même en dirigeant mon instrument vers le ventre et je commence à briser tout ce qui se trouve à l’intérieur. Je me dis en moi-même que tout ce dont j’ai besoin pour compléter le tableau, c’est de tomber sur le cœur. Je continue de broyer, je broie, je broie, jusqu’à être sûr d’avoir fait de la bouillie de tout ce qu’il reste à l’intérieur, et je retire à nouveau mon forceps.
J’extrais cette bouillie en me disant qu’il doit s’agir de fragments osseux et je la pose sur le linge. Je regarde et je vois un cœur humain, qui se contracte, qui se relâche et qui bat, qui bat, qui bat. Je crois devenir fou. Je vois les battements du cœur ralentir, plus lentement, encore plus lentement, jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent complètement. Personne n’a pu voir ce que j’ai vu de mes yeux et être plus convaincu que moi de ce que je venais de faire : j’ai tué un être humain.
Cette étrange et terrible expérience a ouvert les yeux de Stojan Adasevic sur le caractère horrible de l’acte qu’il pratiquait. Cette puissante rencontre avec l’humanité de l’enfant à naître était en net contraste avec la formation qu’il avait reçue. Dans le documentaire, M. Adasevic décrit ses journées de travail en tant qu’avorteur :
Il m’arrivait de pratiquer 20, 25, 30 ou même 35 avortements par jour. Nous travaillions cinq jours par semaine…
Au cours de sa formation, on lui avait enseigné que l’enfant à naître était un sous-homme et que la vie ne commençait pas avant la naissance du bébé.
Ils nous martelaient que la vie ne commençait qu’à partir du premier cri du bébé, que, jusqu’à ce moment, cet être humain n’était qu’un autre organe du corps de la mère, comme un appendice. L’ablation de l’appendice du corps de la mère n’est pas un meurtre.
Seul un enfant né et qui avait crié pouvait être tué. S’il n’avait pas crié, on ne pouvait pas parler de meurtre. C’est pourquoi, immédiatement après la naissance, on plongeait la tête de certains enfants dans un seau d’eau. L’enfant qui respirait de l’eau au lieu de l’air ne pleurerait jamais, et donc, cela n’était pas considéré comme un meurtre. C’est terrible, mais les choses étaient ainsi.
L’avortement et l’infanticide étaient donc moralement admissibles. Ces pratiques étaient légales. Stojan Adasevic explique qu’il a commencé à avoir des doutes sur l’avortement après avoir fait des rêves étranges. Le documentaire raconte :
Il rêvait à un magnifique champ rempli d’enfants et de jeunes gens qui jouaient et riaient, âgés entre 4 et 24 ans, mais qui prenaient peur à sa vue et s’enfuyaient. Un homme vêtu de noir et de blanc le fixait en silence.
Ce rêve revenait chaque nuit et il se réveillait avec des sueurs froides. Une nuit, il demanda à l’homme en noir et blanc qui il était. « Je m’appelle Thomas d’Aquin. »
« Pourquoi ne me demandes-tu pas qui sont ces enfants ? » m’a demandé St Thomas dans un rêve.
« Ce sont ceux que tu as tués en les avortant », m’a-t-il répondu. (...)
L’échographie faisait ses débuts et montrait des images de bébés à naître. Cette nouvelle technologie n’a pas influencé Stojan Adasevic, mais il a commencé à avoir une série de rêves.
Après les songes troublants et la terrible expérience de cet avortement, M. Adasevic a annoncé à l’hôpital où il travaillait qu’il ne pratiquerait plus d’avortements. Sa conversion pro-vie lui a coûté cher.
C’était la première fois qu’un médecin en Yougoslavie communiste refusait de pratiquer cet acte. Ils ont divisé mon salaire par deux, licencié ma fille et empêché mon fils d’entrer à l’université.
M. Adasevic s’emploie depuis à changer les cœurs et les mentalités. Il a fait diffuser un documentaire pro-vie à la télévision serbe. Sa conversion fulgurante est glaçante, mais aussi enthousiasmante. Un avorteur acharné est devenu un héros pro-vie.
Soulignons d’ailleurs que Stojan Adasevic doit sa vie à un avortement raté. Sa mère, alors enceinte, avait demandé à se faire avorter, mais l’avorteur a manqué son acte et l’enfant est né vivant.
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Scala-Coeli- MEDIATRICE
- Messages : 1793
Localisation : Sud de la France
Inscription : 04/07/2007
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
10/11/2015
Un bébé sauvé lors de l'inversion de son avortement chimique
Bill Melugin, présentateur sur la chaîne Fox 46, à Charlotte, en Caroline du Nord a partagé une information sur Facebook au sujet du 'choix' et de l'avortement, et ce d'une manière tout à fait nouvelle.
Melugin a interviewé Autumn Barnes, qui a pris la première pilule abortive (le mifépristone) connue sous le nom de RU-486 et le regretta, elle se demanda ensuite s'il y avait un moyen d'inverser le processus. Elle trouva le Dr. Matt Harrison, un des inventeurs de la pilule pouvant annuler l'avortement chimique, qui lui a donc injecté de la progestérone, dans l'intention de contrer les effets du médicament. Autumn Barnes a pu ensuite donner naissance à un petit garçon en parfaite santé. De nouvelles statistiques rapportent qu'il y a 300 médecins qui travaillent sur le traitement de la seconde chance, et à l'heure de la vidéo, 137 bébés sont nés grâce à cette intervention d'urgence.
De Bill Melugin Fox 46 ;
Autumn Barnes a paniqué quand elle s'est rendu compte qu'elle était enceinte à l'automne dernier. Elle a déjà une fille. Elle a des factures à payer. Et elle s'inquiète au sujet de sa stabilité financière. Sans en parler à personne, elle a pris la pilule abortive à 8 semaines de grossesse. Elle a immédiatement ressenti qu'elle avait fait une erreur. Elle a essayé le traitement pour inverser l'avortement, promu par un docteur de Charlotte. Cela a fonctionné et elle a désormais un enfant de 5 mois en pleine forme nommé Walker.
C'est son histoire...
Le Dr. Harrison et son équipe défendent le droit des femmes à changer d'avis, et qu'aucune femme ne soit contrainte de poursuivre un avortement contre sa volonté.
La pilule pour inverser l'avortement, selon Harrison, est efficace à 60%.
Un bébé sauvé lors de l'inversion de son avortement chimique
Bill Melugin, présentateur sur la chaîne Fox 46, à Charlotte, en Caroline du Nord a partagé une information sur Facebook au sujet du 'choix' et de l'avortement, et ce d'une manière tout à fait nouvelle.
Melugin a interviewé Autumn Barnes, qui a pris la première pilule abortive (le mifépristone) connue sous le nom de RU-486 et le regretta, elle se demanda ensuite s'il y avait un moyen d'inverser le processus. Elle trouva le Dr. Matt Harrison, un des inventeurs de la pilule pouvant annuler l'avortement chimique, qui lui a donc injecté de la progestérone, dans l'intention de contrer les effets du médicament. Autumn Barnes a pu ensuite donner naissance à un petit garçon en parfaite santé. De nouvelles statistiques rapportent qu'il y a 300 médecins qui travaillent sur le traitement de la seconde chance, et à l'heure de la vidéo, 137 bébés sont nés grâce à cette intervention d'urgence.
De Bill Melugin Fox 46 ;
Autumn Barnes a paniqué quand elle s'est rendu compte qu'elle était enceinte à l'automne dernier. Elle a déjà une fille. Elle a des factures à payer. Et elle s'inquiète au sujet de sa stabilité financière. Sans en parler à personne, elle a pris la pilule abortive à 8 semaines de grossesse. Elle a immédiatement ressenti qu'elle avait fait une erreur. Elle a essayé le traitement pour inverser l'avortement, promu par un docteur de Charlotte. Cela a fonctionné et elle a désormais un enfant de 5 mois en pleine forme nommé Walker.
C'est son histoire...
Le Dr. Harrison et son équipe défendent le droit des femmes à changer d'avis, et qu'aucune femme ne soit contrainte de poursuivre un avortement contre sa volonté.
La pilule pour inverser l'avortement, selon Harrison, est efficace à 60%.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Prière d'une maman pour un enfant avorté
La vie de tout être humain est entre tes mains, Seigneur Jésus, et tu as dit : “Celui qui accueillera un enfant comme celui-ci en mon nom, c’est moi qu’il accueillera” (Mt 18,5)
Petit bébé je te demande pardon de t’avoir refusé.
Père du Ciel je te demande pardon d’avoir refusé ton cadeau de vie.
Le nom que je choisis pour mon bébé est :
]le nommer]
Père Créateur, j’accepte maintenant l’enfant que tu m’as donné, je l’accueille dans Ton amour et je déclare que je l’aime comme tu l’aimes ; je le reçois de Toi comme un grand cadeau, dans mon sein, pour qu’il grandisse mois après mois, jusqu’à sa naissance.
Je désire lui donner la vie pour qu’il soit heureux.
Cet enfant bien-aimé, je Te le redonne de tout mon cœur. (...)
Comble-le de Ta paix et de Ta joie afin qu’il jubile de Toi, éternellement.
Garde-le Marie sur ton Cœur Immaculé de Mère, jusqu’à ce qu’à nouveau, je puisse, moi aussi, le prendre dans mes bras et lui donner un baiser. Amen !
D’après la prière écrite par Jean Pliya et adaptée par Thierry Fourchaud, in Je serai guéri, Editions Marie Reine de la Paix, 2005
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
TÉMOIGNAGE : Claudia a avorté et dit la vérité sur l'avortement (IVG & regrets)...
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
06/10/2015
Des triplés miraculés fêtent leur premier anniversaire après que le docteur de leur maman lui ait dit d'avorter deux d'entre eux
En Angleterre, une femme qui refusa l'avortement se prépare à célébrer le premier anniversaire de ses triplés. En 2014, on a dit à Liz Brewer qu’il était improbable que ses enfants survivent à moins qu’elle n’en tue deux pour en sauver un. Cette pratique est connue comme « une réduction sélective » et est commune quand une femme conçoit par fertilisation in vitro. Toutefois, Liz conçut naturellement après avoir souffert deux fausses-couches. Brewer donna naissance à des jumeaux quelques années avant d’être enceinte de triplés mais un d’entre eux mourut 16 jours après sa naissance.
Tel que LifeNews l’avait auparavant rapporté, la technique générale utilisée pour la réduction sélective consiste à plonger une aiguille remplie de chlorure de potassium dans le cœur du bébé visé. Peu de temps après que le produit chimique pénètre le cœur du bébé, le bébé cesse de bouger et son cœur s’arrête. Ce type d’avortement est pratiqué de 9 à 13 semaines de la grossesse pour s’assurer que les corps des bébés morts soient dissous et dans certains cas, le bébé se déplace avant de mourir.
Dr Mark Evans, un avorteur célèbre pour ses avortements de réduction sélective, admet que cette méthode réduit les chances de survie des autres bébés de 7% à 22%. Il a aussi dit que la fausse-couche est probable dans les grossesses multiples même après « réduction ».
Liz en a dit plus au journal The Daily Mail au sujet de sa grossesse de triplés.
Elle a dit, « J’ai eu une échographie à cinq semaines et ils ont pensé que c’était une grossesse extra-utérine à cause de la douleur que je ressentais, mais j’étais heureuse d’apprendre qu’il s’agissait de jumeaux. Deux semaines plus tard, nous sommes retournés pour une autre échographie et j’ai dit à la dame qui l’a faite que j’avais toujours eu le sentiment que j’aurais des triplés, mais je savais que tout irait bien puisque c’était des jumeaux à nouveau. Elle se retourna et dit ‘C’est drôle que vous me disiez cela, car je pense qu’il y en a un troisième et je dois aller chercher quelqu’un pour le vérifier.’ Elle me laissait moi et mon mari tout étonnés dans la pièce, mais nous ne pouvions nous empêcher de sourire à ce miracle et comment c’était fabuleux. »
Remarquablement, Liz portait une paire de jumeaux identiques issus d’un seul œuf et un bébé séparé. La grossesse était inquiétante pour la famille de Liz parce qu’elle avait souffert de grandes pertes sanguines à 13 et 16 semaines et ils crurent qu’elle allait faire une autre fausse-couche.
Elle expliqua, « Il y avait une forte chance que le bébé séparé soit atteint du Syndrôme de Down et le test devait avoir lieu ce jour-là. J’avais une forte perte sanguine la nuit précédent le test. J’aurais pu perdre tous les bébés si j’avais eu l’amniosynthèse, mais on aurait dit que c’était mon corps qui me disait de ne pas l’avoir. Ils m’ont offert une réduction sélective pour avorter les jumeaux et garder le bébé à haut risque de Down. Ça vous fait penser soudainement quand on met les bébés à risque. Si je donnais naissance à 25 semaines, seraient-ils tous capables de survivre? »
Apparemment, les docteurs de Liz lui demandèrent aussi si elle se croyait capable d’élever des triplés. Elle dit, « Ils demandèrent si je serais capable d’endurer trois enfants, mais ce n’est même pas quelque chose qui nous traversa l’esprit. Je ne pouvais pas lâcher, j’étais bénie avec trois enfants. »
Liz dit que les triplés sont nés en bonne santé à 34 semaines et qu’ils l’ont aidée à guérir de ses fausses- couches précédentes et de la mort d’un de ses fils. Elle expliqua, « Ce fut une fin extraordinaire à nos grossesses et ça nous a aidé à guérir. Nous n’oublierons jamais notre garçon premier-né mais les triplés nous ont permis de connaître une fin vraiment différente de notre histoire et nous savons que nous ne les aurions jamais eus si nous n’avions pas perdu notre fils. »
Elle conclut, « Nous avons eu deux petits garçons et une fille, laquelle a été un choc parce que nous avions assumé que nous aurions trois garçons de plus. Tous les bébés vinrent à l’étage des naissances avec nous, mais plus tard cette journée-là le taux de sucre de Deacon diminua et il dut être placé en soins spéciaux. Il y passa sept jours et ensuite vint nous retrouver. Nous sommes partis ensemble pour la maison et ils ont tous adhéré à l’allaitement naturel. »
Par Sarah Zagorski de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Des triplés miraculés fêtent leur premier anniversaire après que le docteur de leur maman lui ait dit d'avorter deux d'entre eux
En Angleterre, une femme qui refusa l'avortement se prépare à célébrer le premier anniversaire de ses triplés. En 2014, on a dit à Liz Brewer qu’il était improbable que ses enfants survivent à moins qu’elle n’en tue deux pour en sauver un. Cette pratique est connue comme « une réduction sélective » et est commune quand une femme conçoit par fertilisation in vitro. Toutefois, Liz conçut naturellement après avoir souffert deux fausses-couches. Brewer donna naissance à des jumeaux quelques années avant d’être enceinte de triplés mais un d’entre eux mourut 16 jours après sa naissance.
Tel que LifeNews l’avait auparavant rapporté, la technique générale utilisée pour la réduction sélective consiste à plonger une aiguille remplie de chlorure de potassium dans le cœur du bébé visé. Peu de temps après que le produit chimique pénètre le cœur du bébé, le bébé cesse de bouger et son cœur s’arrête. Ce type d’avortement est pratiqué de 9 à 13 semaines de la grossesse pour s’assurer que les corps des bébés morts soient dissous et dans certains cas, le bébé se déplace avant de mourir.
Dr Mark Evans, un avorteur célèbre pour ses avortements de réduction sélective, admet que cette méthode réduit les chances de survie des autres bébés de 7% à 22%. Il a aussi dit que la fausse-couche est probable dans les grossesses multiples même après « réduction ».
Liz en a dit plus au journal The Daily Mail au sujet de sa grossesse de triplés.
Elle a dit, « J’ai eu une échographie à cinq semaines et ils ont pensé que c’était une grossesse extra-utérine à cause de la douleur que je ressentais, mais j’étais heureuse d’apprendre qu’il s’agissait de jumeaux. Deux semaines plus tard, nous sommes retournés pour une autre échographie et j’ai dit à la dame qui l’a faite que j’avais toujours eu le sentiment que j’aurais des triplés, mais je savais que tout irait bien puisque c’était des jumeaux à nouveau. Elle se retourna et dit ‘C’est drôle que vous me disiez cela, car je pense qu’il y en a un troisième et je dois aller chercher quelqu’un pour le vérifier.’ Elle me laissait moi et mon mari tout étonnés dans la pièce, mais nous ne pouvions nous empêcher de sourire à ce miracle et comment c’était fabuleux. »
Remarquablement, Liz portait une paire de jumeaux identiques issus d’un seul œuf et un bébé séparé. La grossesse était inquiétante pour la famille de Liz parce qu’elle avait souffert de grandes pertes sanguines à 13 et 16 semaines et ils crurent qu’elle allait faire une autre fausse-couche.
Elle expliqua, « Il y avait une forte chance que le bébé séparé soit atteint du Syndrôme de Down et le test devait avoir lieu ce jour-là. J’avais une forte perte sanguine la nuit précédent le test. J’aurais pu perdre tous les bébés si j’avais eu l’amniosynthèse, mais on aurait dit que c’était mon corps qui me disait de ne pas l’avoir. Ils m’ont offert une réduction sélective pour avorter les jumeaux et garder le bébé à haut risque de Down. Ça vous fait penser soudainement quand on met les bébés à risque. Si je donnais naissance à 25 semaines, seraient-ils tous capables de survivre? »
Apparemment, les docteurs de Liz lui demandèrent aussi si elle se croyait capable d’élever des triplés. Elle dit, « Ils demandèrent si je serais capable d’endurer trois enfants, mais ce n’est même pas quelque chose qui nous traversa l’esprit. Je ne pouvais pas lâcher, j’étais bénie avec trois enfants. »
Liz dit que les triplés sont nés en bonne santé à 34 semaines et qu’ils l’ont aidée à guérir de ses fausses- couches précédentes et de la mort d’un de ses fils. Elle expliqua, « Ce fut une fin extraordinaire à nos grossesses et ça nous a aidé à guérir. Nous n’oublierons jamais notre garçon premier-né mais les triplés nous ont permis de connaître une fin vraiment différente de notre histoire et nous savons que nous ne les aurions jamais eus si nous n’avions pas perdu notre fils. »
Elle conclut, « Nous avons eu deux petits garçons et une fille, laquelle a été un choc parce que nous avions assumé que nous aurions trois garçons de plus. Tous les bébés vinrent à l’étage des naissances avec nous, mais plus tard cette journée-là le taux de sucre de Deacon diminua et il dut être placé en soins spéciaux. Il y passa sept jours et ensuite vint nous retrouver. Nous sommes partis ensemble pour la maison et ils ont tous adhéré à l’allaitement naturel. »
Par Sarah Zagorski de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Dans ce film, Bernard Nathanson, ancien avorteur repenti, sert à la fois d'expert médical et de narrateur. Il décrit les événements de l'avortement « du point de vue de la victime ». Nathanson montre au grand public les instruments utilisés pour un avortement typique et prétend que la tête, même à la gestation de 12 semaines, sera trop grande pour entrer dans le dispositif d'aspiration ; il montre alors comment les forceps sont utilisés pour écraser le crâne, où les ondes cérébrales, d'après lui, ont été actives pendant six semaines.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Témoignage émouvant d'une jeune femme qui a survécu à un avortement...
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
bien entendu c'est mieux quand un enfant peut rester avec ses parents, mais ça peut être une idée de donner à ses femmes de pouvoir avoir le bébé en sachant qu'il y a des personnes qui peuvent adopter.
malheureusement le système a ses ambiguïtés ! on met des enfants dans des institutions, alors qu'il y a tant d'enfants qui auraient besoin du cœur d'un foyer avec un père et une mère.
malheureusement le système a ses ambiguïtés ! on met des enfants dans des institutions, alors qu'il y a tant d'enfants qui auraient besoin du cœur d'un foyer avec un père et une mère.
namita- Contre la Franc Maconnerie
- Messages : 340
Age : 68
Localisation : france région aquitaine porte du médoc
Inscription : 06/08/2015
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
14/12/2015 10:22
L’incroyable lettre ouverte d’une femme à un avorteur : Vous avez tué mon frère jumeau et m’avez laissée mutilée
29 avril 2014 (LifeSiteNews)
Cher Dr. Patel,
C’est avec beaucoup de tristesse que je vous écris aujourd’hui. J’ai récemment appris votre existence en voyant votre clinique d’avortement passer aux nouvelles à cause des règlements qu’elle aurait entravés. J’ai finalement découvert que je partageais avec vous un lien plus étroit que ce que je croyais initialement.
En 1988, ma mère, alors enceinte et âgée de treize ans, s’est confiée à vos soins pour que vous performiez son avortement… Elle était rendue à vingt semaines de gestation. Elle était persuadée que cet avortement viendrait régler son problème et que sa vie reviendrait à la normale, mais ça n’a pas été le cas. Lorsqu’elle est revenue vous voir, elle a été informée que l’avortement avait été un succès, du moins, en partie puisqu’elle était encore enceinte. Elle portait en effet initialement des jumeaux, mais avait été mal informée à ce sujet. On lui a aussi dit que durant l’avortement, le sac amniotique s’était rupturé, occasionnant ainsi une perte de liquide pendant des semaines. Ceci a entraîné beaucoup de complications pour ma mère biologique. De plus, à cause de cet avortement bâclé, je suis née prématurément de deux mois et demi, avec des complications qui allaient me suivre toute ma vie.
En lisant l’historique de votre pratique médicale, j’ai découvert que mon témoignage était compatible avec l’histoire de beaucoup de vos anciennes patientes. Ma mère biologique avait treize ans. Elle était jeune et naïve; pour vous, c’était une personne facilement manipulable à qui il était aisé de mentir. Elle ne connaissait rien de mieux que ce que vous lui offriez. À cause de son avortement qui a été bâclé, ma mère biologique a souffert de privations et de regrets pendant vingt-six ans. Je ne peux qu’imaginer les choses qui se sont peut-être déroulées, mais dont ma mère n’a pas osé souffler mot…Le genre de choses que d’autres femmes n’ont pas hésité à confesser, parlant de ce que vous leur faisiez subir lorsqu’elles étaient sous vos soins.
Ma mère n’était cependant pas la seule concernée par cet avortement manqué. Ma vie, la vie de ma famille et la vie de mes enfants allaient toutes être éventuellement touchées par cette «erreur», ou plutôt ce seul «avortement bâclé» performé il y a déjà si longtemps. Non seulement suis-je née prématurément de deux mois et demi, mais je suis aussi née avec des complications physiques importantes : hanches disloquées, pieds bots et assistance médicale immédiate pour me maintenir en vie à l’hôpital. J’ai eu plusieurs plâtres pour mon pied, un harnais pour aider au soutien de mes hanches en attendant une chirurgie et un autre plâtre recouvrant mon corps en entier pour réparer les dommages que l’avortement m’avait causés. En fait, je souffre encore aujourd’hui de complications au niveau de mes hanches et de mes pieds dues à cet avortement. Ce qui est malheureux, c’est que je ne suis pas seule. Des centaines d’autres survivants d’avortements s’expriment à ce sujet, laissant savoir au monde entier qu’ils ont ÉTÉ des enfants, qu’ils ont RÉELLEMENT mérité une chance dans la vie et que l’avortement n’est clairement PAS SÉCURITAIRE.
J’ai passé vingt et une années de ma vie à me demander si j’avais un frère ou une sœur. Je sentais ce manque dans mon cœur. Ma mère biologique a confirmé ce sentiment en me parlant de son avortement lorsque je l’ai rencontrée. Réaliser que j’avais vécu ma vie entière sans mon frère jumeau a été une réalité difficile à accepter. Cependant, la partie la plus difficile a été de réaliser que vous aviez pris à mon père son fils unique. Sa vie aurait été encore plus pleine et joyeuse s’il avait eu ce fils qui aurait contribué à la transmission de son nom et aurait fait les activités qu’il aime avec lui- la chasse et la pêche. Mais à cause de l’égoïsme que l’avortement a amené à notre monde d’aujourd’hui, notre famille va demeurer incomplète, et je pleure les magnifiques aventures que mon père ne pourra jamais vivre avec mon frère.
Au mois de février 2013, un autre miracle est arrivé… Ma fille est née! Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’elle ne serait pas là si l’avortement avait eu du succès sur ma vie. Elle est sur terre depuis quelque temps seulement et déjà, elle touche beaucoup de vies avec sa personnalité charmante et amusante. Je ne peux m’empêcher de penser au nombre d’enfants qui ont été tués à cause de la désinformation que leurs mères ont vécu lorsqu’on leur a expliqué que la meilleure, et seule, solution était l’avortement.
Dr. Patel, je vous écris non seulement pour mettre de la lumière sur les conséquences sévères qui peuvent survenir suite à un avortement, mais aussi pour vous exprimer mon pardon pour tout ce qui est arrivé. J’ai vécu une vie merveilleuse et j’ai été aimée durant mes 26 années de vie en dépit des circonstances. J’ai été adoptée par une famille incroyable qui a donné plus de grâces et de pardons que je n’aurais osé demander. De la même façon que Dieu m’a pardonnée pour beaucoup de choses, je choisis de vous pardonner. Je vous pardonne d’avoir performé cet avortement en 1988 et pour l’énorme impact que cela a eu sur ma mère biologique et sur moi.
Je prie aussi pour vous. Je prie pour que vous soyez en mesure de voir au-delà de la médecine, de l’argent et de votre façon usuelle de vivre votre vie… Et que vous vous rappeliez de mon visage (et celui de ma fille, qui ne serait pas de ce monde si l’avortement de ma mère avait réussi) lorsque vous allez performer d’autres avortements. Je prie qu’en vous rappelant de mon visage, vous soyez tellement touché que vous décidiez de quitter à tout jamais la pratique d’avortements afin d’utiliser vos talents en dehors de cette industrie. Je vous assure que plusieurs d’entre nous, moi-même incluse, vous aideront à quitter cette industrie en vous encourageant et en vous supportant. Je vous accueillerai à bras ouverts, car je crois pleinement que votre vie et ce que vous en faites ont autant de valeurs que la vie de tous les enfants à naître pour lesquels je me bats. Je vais continuer de prier pour vous, pour votre passé et vos anciennes patientes.
Sincèrement,
Claire Culwell
Mise-à-jour du 14 décembre 2014: Dr. Patel a été arrêté cette semaine et fait face à trois chefs d’accusation pour avoir obtenu de l’argent sous un faux prétexte après avoir été surpris en train de dire à une femme, qui n’était pas enceinte, qu’elle attendait un enfant, tout en lui prescrivant un avortement induit par médicaments. Patel a aussi été accusé à plusieurs reprises d’abus sexuels sur ses patientes et détient une enfilade d’accusation au sujet de mauvaises pratiques qu’il aurait eues.
L’incroyable lettre ouverte d’une femme à un avorteur : Vous avez tué mon frère jumeau et m’avez laissée mutilée
29 avril 2014 (LifeSiteNews)
Cher Dr. Patel,
C’est avec beaucoup de tristesse que je vous écris aujourd’hui. J’ai récemment appris votre existence en voyant votre clinique d’avortement passer aux nouvelles à cause des règlements qu’elle aurait entravés. J’ai finalement découvert que je partageais avec vous un lien plus étroit que ce que je croyais initialement.
En 1988, ma mère, alors enceinte et âgée de treize ans, s’est confiée à vos soins pour que vous performiez son avortement… Elle était rendue à vingt semaines de gestation. Elle était persuadée que cet avortement viendrait régler son problème et que sa vie reviendrait à la normale, mais ça n’a pas été le cas. Lorsqu’elle est revenue vous voir, elle a été informée que l’avortement avait été un succès, du moins, en partie puisqu’elle était encore enceinte. Elle portait en effet initialement des jumeaux, mais avait été mal informée à ce sujet. On lui a aussi dit que durant l’avortement, le sac amniotique s’était rupturé, occasionnant ainsi une perte de liquide pendant des semaines. Ceci a entraîné beaucoup de complications pour ma mère biologique. De plus, à cause de cet avortement bâclé, je suis née prématurément de deux mois et demi, avec des complications qui allaient me suivre toute ma vie.
En lisant l’historique de votre pratique médicale, j’ai découvert que mon témoignage était compatible avec l’histoire de beaucoup de vos anciennes patientes. Ma mère biologique avait treize ans. Elle était jeune et naïve; pour vous, c’était une personne facilement manipulable à qui il était aisé de mentir. Elle ne connaissait rien de mieux que ce que vous lui offriez. À cause de son avortement qui a été bâclé, ma mère biologique a souffert de privations et de regrets pendant vingt-six ans. Je ne peux qu’imaginer les choses qui se sont peut-être déroulées, mais dont ma mère n’a pas osé souffler mot…Le genre de choses que d’autres femmes n’ont pas hésité à confesser, parlant de ce que vous leur faisiez subir lorsqu’elles étaient sous vos soins.
Ma mère n’était cependant pas la seule concernée par cet avortement manqué. Ma vie, la vie de ma famille et la vie de mes enfants allaient toutes être éventuellement touchées par cette «erreur», ou plutôt ce seul «avortement bâclé» performé il y a déjà si longtemps. Non seulement suis-je née prématurément de deux mois et demi, mais je suis aussi née avec des complications physiques importantes : hanches disloquées, pieds bots et assistance médicale immédiate pour me maintenir en vie à l’hôpital. J’ai eu plusieurs plâtres pour mon pied, un harnais pour aider au soutien de mes hanches en attendant une chirurgie et un autre plâtre recouvrant mon corps en entier pour réparer les dommages que l’avortement m’avait causés. En fait, je souffre encore aujourd’hui de complications au niveau de mes hanches et de mes pieds dues à cet avortement. Ce qui est malheureux, c’est que je ne suis pas seule. Des centaines d’autres survivants d’avortements s’expriment à ce sujet, laissant savoir au monde entier qu’ils ont ÉTÉ des enfants, qu’ils ont RÉELLEMENT mérité une chance dans la vie et que l’avortement n’est clairement PAS SÉCURITAIRE.
J’ai passé vingt et une années de ma vie à me demander si j’avais un frère ou une sœur. Je sentais ce manque dans mon cœur. Ma mère biologique a confirmé ce sentiment en me parlant de son avortement lorsque je l’ai rencontrée. Réaliser que j’avais vécu ma vie entière sans mon frère jumeau a été une réalité difficile à accepter. Cependant, la partie la plus difficile a été de réaliser que vous aviez pris à mon père son fils unique. Sa vie aurait été encore plus pleine et joyeuse s’il avait eu ce fils qui aurait contribué à la transmission de son nom et aurait fait les activités qu’il aime avec lui- la chasse et la pêche. Mais à cause de l’égoïsme que l’avortement a amené à notre monde d’aujourd’hui, notre famille va demeurer incomplète, et je pleure les magnifiques aventures que mon père ne pourra jamais vivre avec mon frère.
Au mois de février 2013, un autre miracle est arrivé… Ma fille est née! Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’elle ne serait pas là si l’avortement avait eu du succès sur ma vie. Elle est sur terre depuis quelque temps seulement et déjà, elle touche beaucoup de vies avec sa personnalité charmante et amusante. Je ne peux m’empêcher de penser au nombre d’enfants qui ont été tués à cause de la désinformation que leurs mères ont vécu lorsqu’on leur a expliqué que la meilleure, et seule, solution était l’avortement.
Dr. Patel, je vous écris non seulement pour mettre de la lumière sur les conséquences sévères qui peuvent survenir suite à un avortement, mais aussi pour vous exprimer mon pardon pour tout ce qui est arrivé. J’ai vécu une vie merveilleuse et j’ai été aimée durant mes 26 années de vie en dépit des circonstances. J’ai été adoptée par une famille incroyable qui a donné plus de grâces et de pardons que je n’aurais osé demander. De la même façon que Dieu m’a pardonnée pour beaucoup de choses, je choisis de vous pardonner. Je vous pardonne d’avoir performé cet avortement en 1988 et pour l’énorme impact que cela a eu sur ma mère biologique et sur moi.
Je prie aussi pour vous. Je prie pour que vous soyez en mesure de voir au-delà de la médecine, de l’argent et de votre façon usuelle de vivre votre vie… Et que vous vous rappeliez de mon visage (et celui de ma fille, qui ne serait pas de ce monde si l’avortement de ma mère avait réussi) lorsque vous allez performer d’autres avortements. Je prie qu’en vous rappelant de mon visage, vous soyez tellement touché que vous décidiez de quitter à tout jamais la pratique d’avortements afin d’utiliser vos talents en dehors de cette industrie. Je vous assure que plusieurs d’entre nous, moi-même incluse, vous aideront à quitter cette industrie en vous encourageant et en vous supportant. Je vous accueillerai à bras ouverts, car je crois pleinement que votre vie et ce que vous en faites ont autant de valeurs que la vie de tous les enfants à naître pour lesquels je me bats. Je vais continuer de prier pour vous, pour votre passé et vos anciennes patientes.
Sincèrement,
Claire Culwell
Mise-à-jour du 14 décembre 2014: Dr. Patel a été arrêté cette semaine et fait face à trois chefs d’accusation pour avoir obtenu de l’argent sous un faux prétexte après avoir été surpris en train de dire à une femme, qui n’était pas enceinte, qu’elle attendait un enfant, tout en lui prescrivant un avortement induit par médicaments. Patel a aussi été accusé à plusieurs reprises d’abus sexuels sur ses patientes et détient une enfilade d’accusation au sujet de mauvaises pratiques qu’il aurait eues.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
15 janvier 2016
Icône du droit à l’avortement, elle se convertit à Jésus-Christ et se bat aujourd’hui pour la vie
Si Norma McCorvey, plus connue sous le nom d’emprunt « Jane Roe », se bat aujourd’hui contre la légalisation de l’avortement, il n’en a pas toujours été ainsi. Il y a plus de quarante ans, l’arrêt de justice Roe contre Wade faisait jurisprudence et mettait fin aux lois anti-avortement aux États-Unis.
Icône du droit à l’avortement, elle se convertit à Jésus-Christ et se bat aujourd’hui pour la vie
Si Norma McCorvey, plus connue sous le nom d’emprunt « Jane Roe », se bat aujourd’hui contre la légalisation de l’avortement, il n’en a pas toujours été ainsi. Il y a plus de quarante ans, l’arrêt de justice Roe contre Wade faisait jurisprudence et mettait fin aux lois anti-avortement aux États-Unis.
McCorvey attaqua Henri Wade, alors procureur du comté de Dallas, concernant l’application d’une loi du Texas qui interdisait l’avortement (sauf pour sauver la vie de la mère), arguant que cette loi était contraire à plusieurs articles de la Constitution des États-Unis.
Dans les années 90, Norma travaille plusieurs années dans un centre d’avortement. Jusqu’au jour où le Révérend Phillip Benham installe les locaux de son association à côté du centre où elle travaille. L’association Operation Rescue est aujourd’hui l’une des principales organisations militantes chrétiennes pro-vie des États-Unis.
Cette rencontre va littéralement bouleverser sa vie puisqu’elle découvre alors la parole du Christ, puis décide de se convertir au catholicisme. Ce changement profond dans sa vie va avoir d’autres répercussions : elle ne veut plus défendre le droit à l’avortement (mouvement américain pro-choix) mais plutôt défendre la vie (mouvement américain pro-vie).
Norma McCorvey expliquera plus tard qu’elle ne savait pas exactement ce que signifiait avorter. Cela peu paraître incongru, mais la jeune femme avait alors reçu peu d’éducation et avait eu une histoire difficile : l’abandon de son père, une mère alcoolique, violée par un membre de sa famille, mariée à tout juste 16 ans…
Lorsqu’elle se retrouva au milieu de ce procès, c’était une jeune femme sans repère. Elle était enceinte d’un troisième enfant, alors que les deux précédents avaient été placés à l’adoption. À l’époque, Norma entretenait une relation de longue date avec une femme, et se définissait comme lesbienne. Elle reviendra également plus tard sur son orientation sexuelle.
En 2005, Norma demande à la Cour Suprême d’annuler la décision rendue en 1973, mais sa demande sera déboutée. Des années après, Norma McCorvey accusera également les deux avocates qui plaidèrent cette affaire de l’avoir manipulée pour abolir les lois anti-avortement dans l’état du Texas et plus largement aux États-Unis.
Le débat sur l’avortement avait notamment été relancé il y a quelques années par Gianna Jessen, survivante d’un avortement : « Si l’avortement concerne les droits de la femme, alors quels étaient les miens ? »
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
08/04/2016 07:47
Un bébé de 24 semaines survit à l'avortement en Pologne, pleure pendant une heure alors qu’on le laisse mourir
Les membres de l’industrie de l'avortement ne veulent pas admettre que les bébés peuvent survivre à l'avortement. Ils appellent cela un mythe et prétendent que ça ne se produit pas - mais pourtant, ça arrive. Et ce qui se passe quand les bébés survivent aux avortements fait frissonner. Trop souvent, on laisse les bébés mourir, sans confort ou compassion, seuls, dans la douleur et le froid. C’est exactement ce que vient de se produire en Pologne, où un bébé atteint du syndrome de Down a été victime d'un avortement raté, et a ensuite été abandonné à son sort, pleurant pendant près d'une heure avant de mourir alors que les médecins ne faisaient rien.
Les médecins et le personnel médical de l'Hôpital Sainte-Famille à Varsovie, en Pologne, ont laissé un enfant mourir après un avortement bâclé, selon les rapports des médias locaux détaillant l’horrible scène.
Le bébé est né le 7 mars, 2016 à 24 semaines de gestation, après qu’une tentative d’avortement ait échoué. L'enfant a pleuré et crié pendant une heure avant de mourir, selon les témoins, comme rapporté par la Télévision Republika.
Le personnel médical n'a aucunement essayé d'aider l'enfant.
Par Cassy Fiano de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Oh quelle tristesse Mon Dieu!!!
Pauvre petit!!!
Pauvre petit!!!
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 26371
Age : 69
Localisation : Vendée (Marie du 85)
Inscription : 12/01/2016
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Avertissement : Photo troublante
Cliquer sur ce lien :
Un avorteur démissionne après un face à face avec un bébé avorté
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Marche Nationale pour la Vie 2016 au Canada (Ottawa - Ontario)
Colline parlementaire à Ottawa à Ottawa, ON, Canada
Vidéo :
Nous croyons que la vie humaine a un caractère sacré - depuis la conception/fertilisation jusqu'à la mort naturelle. La majorité des Canadiens et des Canadiennes sont en faveur de restrictions concernant l'avortement. Toutefois, il n'en existe aucune au Canada. Toute femme enceinte peut faire avorter son enfant jusqu'au dernier moment avant la naissance, et ce, sans danger de répercussions juridiques. Alors un grand rassemblement, fort de plusieurs milliers de participants (l'an dernier, nous étions près de 25 000), se tiendra sur la colline parlementaire le jeudi, 12 mai à 12h00, afin de protester l'absence de mesures juridiques pour protéger nos enfants à naître. La Marche de cette année a pour thème: « Cessons la tuerie ! ». Sur la colline parlementaire, des membres du caucus parlementaire pro-vie, plusieurs évêques canadiens, et des dirigeants d'organismes pro-vie s'adresseront à la foule.
Soyez des nôtres ce 12 mai, 2016 !
>> Téléchargez la circulaire pour la Marche 2016, avec l'horaire complet de tous les événements, y compris le souper du 12 mai et les conférences du 13 !
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
15/04/2016
Violée par des membres de sa famille, Wendi a refusé de se faire avorter et élève maintenant sa fille toute seule
New York, 23 mars 2016 – Bien que l’Afrique ait le taux de mortalité maternelle le plus élevé dans le monde, un groupe de pression international pro-avortement détourne désespérément les soins médicaux nécessaires aux mères africaines. Ce groupe se bat plutôt pour multiplier l’accès à la contraception et à l’avortement légalisé à travers le continent, selon les participants à une conférence des Nations Unies sur la Condition des Femmes, CCF60 (soixantième session de la Commission de la condition de la femme); conférence de deux semaines qui s’achève jeudi.
“À cause de la tradition et des normes culturelles, la plupart des communautés africaines croient réellement que l’avortement est une attaque directe contre la vie humaine,” a déclaré Obianuju Ekeocha, fondatrice de la Culture de la Vie en Afrique, à environ 400 participants lors de l’exposé du 17 mars sur la “meilleure pratique des soins de santé maternelle en Afrique.”
“Nous sommes donc déchirés entre cela,” et la suggestion des pays développés “qui se trouvent être aussi des donateurs aux pays africains,” suggestion selon laquelle la légalisation de l’avortement réduira la mortalité maternelle, a déclaré la nigériane Ekeocha.
Lire la suite de cet article : http://www.cqv.qc.ca/comme_le_taux_de_mortalite_maternelle_en_afrique_est_le_plus_eleve_dans_le_monde
Adresse du site : Campagne Québec-Vie
Violée par des membres de sa famille, Wendi a refusé de se faire avorter et élève maintenant sa fille toute seule
New York, 23 mars 2016 – Bien que l’Afrique ait le taux de mortalité maternelle le plus élevé dans le monde, un groupe de pression international pro-avortement détourne désespérément les soins médicaux nécessaires aux mères africaines. Ce groupe se bat plutôt pour multiplier l’accès à la contraception et à l’avortement légalisé à travers le continent, selon les participants à une conférence des Nations Unies sur la Condition des Femmes, CCF60 (soixantième session de la Commission de la condition de la femme); conférence de deux semaines qui s’achève jeudi.
“À cause de la tradition et des normes culturelles, la plupart des communautés africaines croient réellement que l’avortement est une attaque directe contre la vie humaine,” a déclaré Obianuju Ekeocha, fondatrice de la Culture de la Vie en Afrique, à environ 400 participants lors de l’exposé du 17 mars sur la “meilleure pratique des soins de santé maternelle en Afrique.”
“Nous sommes donc déchirés entre cela,” et la suggestion des pays développés “qui se trouvent être aussi des donateurs aux pays africains,” suggestion selon laquelle la légalisation de l’avortement réduira la mortalité maternelle, a déclaré la nigériane Ekeocha.
Lire la suite de cet article : http://www.cqv.qc.ca/comme_le_taux_de_mortalite_maternelle_en_afrique_est_le_plus_eleve_dans_le_monde
Adresse du site : Campagne Québec-Vie
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
Une mère australienne enceinte de quintuplés refuse l’avortement
Kim Tucci et son mari étaient déjà les fiers parents de deux petites filles quand ils ont décidé d’avoir un autre bébé, espérant ajouter un garçon à leur famille. Ils n’auraient jamais pensé qu’elle tomberait enceinte de cinq bébés : le garçon qu’ils espéraient en plus de quatre petites filles.
Tucci était transportée de joie d’apprendre qu’elle était enceinte malgré l’endométriose diagnostiquée auparavant. Cependant, comme elle le partage sur Facebook, quand elle a appris qu’elle attendait des quintuplés, elle ne pouvait pas s’empêcher de rire. « [Le médecin] a commencé à compter, UN, DEUX, TROIS, QUATRE, CINQ!!! Est-ce que j’ai bien entendu?? CINQ?? Mes jambes ont commencé à trembler de manière incontrôlable et je ne pouvais m’arrêter de rire. […] Je pouvais lire l’excitation dans le visage de mon mari lorsqu’il m’a dit : “On peut le faire” », raconte-t-elle.
Capture d’écran de la vidéo de l’échographie sur Facebook.
Mais Tucci a révélé le 26 septembre qu’elle avait « peur de l’inconnu », et que les médecins leur conseillaient d’avorter quelques-uns de leurs bébés. « Après ma première échographie, on m’a dit que je pouvais envisager la méthode de sélection qui accorderait la meilleure chance de survie à deux de mes bébés, explique-t-elle. J’ai regardé une vidéo de la procédure sur YouTube et je me suis mise à pleurer. Je ne pourrais jamais faire cela! Est-ce que c’était égoïste de ma part de ne pas accorder la chance certaine de survie à deux des bébés?? Tout ce que je savais, c’est que je les aimais déjà, et que chaque battement de leur cœur nous connectait de plus en plus.
Pour moi, la vie commence dès que le cœur bat. Tout ce que je sais, c’est que je ferai tout en mon pouvoir pour les faire naître dans ce monde en bonne santé. »
Tucci en est maintenant à sa 29e semaine de grossesse. Elle se sent « très inconfortable » et a « mal partout ». Mais elle est reconnaissante pour le déluge de messages d’appui que sa famille a reçus, ainsi que pour la bonne santé de ses bébés.
« Mon mari me rappelle toujours que je dois être fière de mes vergetures et de ce que mon corps a accompli, écrit-elle sur Facebook. Sans lui, je me serais probablement effondrée il y a longtemps. […] Est-ce que tout ça en vaut la peine? Oui!!!! Je vais continuer à me battre. »
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
J'ai lu le premier témoignage de ce médecin Stojan Adasevic . C'est bouleversant. Je vais certainement regarder les autres vidéos dans le court de la journée. Quel abomination ces avortements. Nous sommes vraiment dans une culture de mort et les médecins sont devenus ministres de la mort au lieu d'être des ministres de la vie.. Quelle tristesse...
Ginette Boudreau- Avec Saint Thomas d'Aquin
- Messages : 354
Age : 69
Localisation : Québec, Canada
Inscription : 25/01/2016
Re: 1 couple veut adopter les bébés de femmes qui veulent se faire avorter
18/04/2016 10:23
Une affiche de clinique d'avortement dit: "L'équipe de ce bureau fait du travail sacré."
Voici ce que dit une affiche de la salle d'attente au Summit Women's Center, propriété de David Lipton, un centre d'avortement au Connecticut:
Lisez sur les les conséquences physiques et émotionnelles pour les femmes (pdf).
Et voici une vidéo du ''travail sacré'' des cliniques d'avortements : https://vimeo.com/104694134
Note : Sarah Terzo est une pro-vie qui dirige ClinicQuotes.com, un site web qui se dévoue à mettre en lumière l'industrie de l'avortement. Elle est membre des groupes Pro-Life Alliance of Gays and Lesbians et de Secular Pro-Life. Vous pouvez la suivre sur Twitter et Facebook.
Une affiche de clinique d'avortement dit: "L'équipe de ce bureau fait du travail sacré."
Voici ce que dit une affiche de la salle d'attente au Summit Women's Center, propriété de David Lipton, un centre d'avortement au Connecticut:
(Tel que cité dans Eleanor J. Bader, ''40 ans après Roe V. Wade, obtenir un avortement demeure un défi majeur.'' On the Issues, Winter 2013.)L'Équipe de ce bureau fait un travail sacré et quoique vous espérez ne jamais y revenir, nous y revenons chaque jour pour entendre vos histoires, vous prendre par la main, et diminuer vos craintes. Nos vies se passent à prendre soin de la vôtre. Entre ces murs et dans nos cœurs vous serez toujours appréciée, chérie, respectée et en sécurité.
Lisez sur les les conséquences physiques et émotionnelles pour les femmes (pdf).
Et voici une vidéo du ''travail sacré'' des cliniques d'avortements : https://vimeo.com/104694134
Note : Sarah Terzo est une pro-vie qui dirige ClinicQuotes.com, un site web qui se dévoue à mettre en lumière l'industrie de l'avortement. Elle est membre des groupes Pro-Life Alliance of Gays and Lesbians et de Secular Pro-Life. Vous pouvez la suivre sur Twitter et Facebook.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» Couple refusée à adopter, raison: convictions chrétiennes
» Quand les femmes se font avorter, c'est la pire forme de contraception
» A toi qui veut ou doit avorter écoute ceci avant
» LES PUCES IMPLANTABLES& LE LIBERTICIDE:ARTICLES DE SYNTH
» Istambul, les mulsumanls veulent faire de Ste Sophie une mosquée
» Quand les femmes se font avorter, c'est la pire forme de contraception
» A toi qui veut ou doit avorter écoute ceci avant
» LES PUCES IMPLANTABLES& LE LIBERTICIDE:ARTICLES DE SYNTH
» Istambul, les mulsumanls veulent faire de Ste Sophie une mosquée
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum