Que faire face à la violence de ma fille ?

Je ne peux qu'approuver Philon. J'ai l'immense chance d'avoir un mari "traditionnel", qui allie la fermeté et les câlins.... main de fer dans un gant de velours , rien de tel.

Oui,
d'ailleurs mon mari a pris les choses en main et remis ma fille à sa place. Ouf !
Souvent hélas il est épuisé par le stress du travail.
Et dimanche elles ont accepté de venir avec nous à la messe.
Ca c'est une grande joie car d'habitude elles ne veulent pas y aller.

Très bonne chose. Je pense que les enfants ont besoin de cette sécurité qu'est la fermeté.
Maintenant, il faut continuer à prier car le combat n'est pas terminé.
Pour ma part, lorsque je prie, je fais ma liste de personnes pour qui prier, j'y ai inclus maintenant les membres du peuple de la paix ainsi les bénédictions vont pour chacun car tout le monde en a besoin.
Bonne continuation.

Vous savez, les féministes, ce sont avant tout des hommes qui ont réussis a faire passer des lois pour eux.
Que la femme puisse travailler, ca augmentera à la fois le PIB et l'homme pourra travailler moins pour gagner tout autant.
Que la femme soit libre d'utiliser son corps comme elle l'entend. Qu'elle se sente libérée de faire l'amour quand elle le veut avec qui elle veut. Et l'homme profitera bien d'avantage du corps des femmes.

Si vous regardez bien la situation, vous constaterez qu’enfaîte, rien n'a été fait pour les femmes, mais tout a été fait pour qu'elle pensent que c'est fait pour elles, alors que les premiers profiteurs de la situation sont des hommes.

Il y a déjà plusieurs études sur le sujet. Essayez de les trouvez et vous verrez quel complot ignoble a été réalisé contre les femmes sous le nom de "féminisme".

Gregory :
VOUS DITES TOUT HAUT CE QUE JE PENSE TOUT BAS SANS OSER LE DIRE DEPUIS TOUTE GAMINE !
C'est aux hommes (riches...) que ça profite ça saute aux yeux !
Pouvoir coucher sans épouser, être infidèle, tester "plusieurs partenaires", quelle aubaine.
Quelle tristesse pour nous, quelles angoisses et, souvent, quelles humiliations. Nous devons galérer pour obtenir une bonne situation(études, recherche d'emploi...); retarder le moment du mariage et de l'enfantement (vers la trentaine alors que le pic de fécondité est à 20_25 ans); essuyer des ruptures, des rejets; galérer pour trouver un homme sérieux; faire d'abord l'expérience d'un tocard et une thérapie (où l'on nous "fait comprendre" que ce mauvais choix est de notre faute); et quand on le trouve, même mariés, on sait que 50% des mariages aboutissent à un divorce; donc continuer de travailler (on ne sait jamais), avoir double journée=double peine; et si on arrête de travailler, qu'on élève ses enfants, que le temps passe... on sait qu'au travail le mari est exposé à des tentations (employées de 25-30 ans qui gagnent leur vie et apporteraient jeunesse +salaire...).

Je ne dis pas merci aux féministes.
Gregory, si vous avez des titres d'essais à conseiller, ils sont les bienvenus.

personnellement je ne suis pas pour les coups, mais une bonne punition !
quand je disais quelque chose, je le faisais, surtout quand il y avait danger !
un exemple parmi tant d'autres
Un jour, j'ai dit à mon fils jamais faire de skate sans que je sois avec toi, si tu le fais ça te sera supprimé, bien entendu en expliquant le pourquoi du comment. Un jour il a pris le skate avec un copain et en faisait dans la rue ! j'ai pris le skate et plus jamais il ne l'a eu.

Par contre mon mari punissait direct sans expliquer pourquoi, ou disait des phrases par dépit. Du coup c'est beaucoup moi qui prenait les rênes !
Mon fils n'a jamais vraiment communiquer avec son père.

Mon mari m'a eu dit, tu punissais suffisamment, je n'allais pas en rajouter !

Mais il est vrai que le papa doit être très présents dans l'éducation. Si mon mari avait pris la peine d'établir des dialogues, je n'y aurais vu aucun soucis. Bien au contraire.

Car nous les mamans ont a trop de sensibilité, on punit, mais à côté on compense par autre chose. une main ferme est nécessaire.

Gregory dit quelque chose que je n'avais pas traduit.
Et ça rejoint ma pensée.

bonjour,
un enfant violent ce n'est pas normal. Et toujours affaire sérieuse.
Soyons direct : un enfant violent est un enfant qui subit des violences.
Le chemin vers les réponses se trouve ici : http://www.alice-miller.com/index_fr.php
Ne tentez pas de consulter les psys, vous obtiendrez la même réponse globale qu'ici, "une tarte dans la gueule et tout rentrera dans l'ordre", soit une proposition de dressage. Mais les psys la donneraient avec pression, autorité, vous écrasant.
En termes chrétiens, je vous dirai : cet enfant a une blessure d'amour, a subi la trahison de l'amour. Et ne demande en réponse que cela : l'amour.
Je doute que vous en sortiez facilement... mais tentez d'apprivoiser ce que contient le lien ci-dessus.
bien à vous

Disons qu'à la base, le féminisme voulait mettre la femme sur un pied d'égalité d'un point de vue social et salarial. Hors, elles gagnent toujours moins que les hommes et sont moins bien considérées.
Mais par contre, on leur bassine la tête avec le droit d'utiliser leur corps comme elle le souhaite (pour la plus grande joie des hommes) et de pouvoir avorter de plus en plus facilement.
On n'inverserait pas les choses la ?

On leur promet tout un tas de choses, mais l'argent et la reconnaissance au travail, jamais elle ne l'auront. Cela fait partie de la carotte qu'on leur agite sous le nez, et quant à la récompense qu'on leur donne, c'est un droit à la soumission de plus en plus important, et une pression de plus en plus grande en soulignant les inégalité qui existent entre les hommes et les femmes. Remarque, il est fort possible qu'une femme accède rapidement a une situation très avantageuse, si avec son patron, elle use de son droit à utiliser son corps comme un jouet à promotion. Voilà, elle en ont le droit, maintenant si elles veulent être a égalité sur un plan social et salarial, elle n'ont qu'à l'utiliser. Merci le faux féminisme qui rend les femmes qui veulent s'en sortir, encore plus esclave.

Pour les source, elle provenait de magazine. Mais une rapide recherche vous donnera ce genre d'article avec des points de vues éclairé sur la réalité de la chose.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-le-feminisme-tua-la-femme-56294

prier_chanter_adorer a écrit:
Soyons direct : un enfant violent est un enfant qui subit des violences.

Oui, et c'est aussi le cas d'un enfant qui se croit intouchable, et qui s'amuse a faire le mal, croyant que rien ne lui sera jamais fait. Il teste ainsi son "pouvoir" sur son entourage et prend goût à la domination. Il n'y a qu'avec une bonne paire de claque qu'il réalisera qu'il n'est pas au-dessus des autres et apprendra le respect. Ceci n'est valable que pour les enfants a un stade avancé. Les gentils petits bambins peuvent apprendre cela en douceur

Ce pseudo féminisme n'a profité qu'aux hommes car les femmes n'ont jamais été autant "esclaves!

Alice Miller n'a aucune crédibilité à mes yeux car cette personnalité obstinée ne confrontait jamais ses thèses, son interprétation "unilatérale" des choses avec la réalité. Ses thèses sont donc allées trop loin en se durcissant. Elle est passée à côté de la complexité de la réalité et a livré, par manque de rigueur scientifique, une image faussée de l'enfance mais aussi de notre religion.
Elle a préféré à cause de cela se retirer et ne travailler que sur des biographies de personnes célèbres décédées qui ne pouvaient la contester.
Son fils Martin témoigne de cela dans une biographie de sa mère. L'"avocate" des enfants a surtout manqué sa relation à son fils et fait la promotion de l'infantilisme.
Au début c'était bien de dénoncer des violences réelles, physiques et sexuelles, que subissent certains enfants.
Mais avant de m'accuser de "faire subir" des violences à ma fille, je voudrais qu'il y ait une enquête menée avec rigueur.
L'idéologie psychanalytique est une idéologie. Elle ne traduit qu'une approche possible de la réalité humaine. Miller en a fait un dogme rigide qui disqualifie les parents a priori.
Consulter et tomber sur des "psys" qui ne démordent pas de ce type de pensée est, croyez mon expérience, très éprouvant.
Merci à Martin Miller pour son livre sur sa mère qui contribue à faire descendre le personnage Alice Miller du piédestal où la hisse toute une culture "psy" (en grande partie responsable de nos actuels "enfants-tyrans").
A mon tour de conseiller un auteur :
Didier Pleux "De l'enfant-roi à l'enfant tyran", un livre de bon sens !

Coller parfois une bonne claque à une pré-ado qui casse les meubles, je le répète, je ne l'ai fait que 2 ou 3 fois mais je ne pense pas que ce soit du "dressage". Ca arrive et ce n'est pas un "drame".
Rousseau-l'enfant millérien-gentil-par-nature-les petits-oiseaux d'un côté  et les méchants adultes de l'autre, qui "reproduisent une blessure" et qui le "dressent", ce n'est pas la réalité de notre société où c'est au contraire l'enfant (et les psys) qui fait tourner ses parents en bourriques.

Récitez votre rosaire tous les jours et donnez lui une médaille miraculeuse, vous allez voir des changements.
jc

Les psys ont pris le créneau des prêtres dans notre monde, hélas, déchristianisé!
Prenez rdv avec un prêtre , racontez-lui tout et faites dire des messes pour vos filles.(au besoin des messes perpétuelles: Montligeon ou Sainte Rita)
Rien n'a plus de valeur qu'un messe.
Et de plus ce prêtre priera pour vous gratuitement, ne cherchera pas à vous culpabiliser mais le contraire, vous vous sentirez déjà mieux et ça aussi les enfants le ressentent!N'attendez pas, lancez-vous! Bon courage!

Nos prières sont entendues :
hier ma fille commence à nouveau à entrer dans une colère noire parce qu'à midi, j'étais fatiguée par les travaux domestiques (avec un point d'arthrose chronique qui fait mal) je lui ai demandé exceptionnellement de se servir le plat du jour à elle et sa soeur (des raviolis tomate). Tout de suite elle se fâche et dit que c'est à moi de les servir (le plat était sur la table) et je lui répète que non, j'avais déjà le débarrassage et la vaisselle (essuyage, rangement, repassage...et nous ne pouvons pas nous payer une aide de maison), alors sa soeur devait servir l'eau et elle les pâtes.
Elle a hurlé, jeté ses couverts par terre, essayé de fracasser sa chaise contre le sol et s'est roulée par terre. Je commence tout bas à prier, plus exactement à demander l'aide de Dieu et j'"entend" comme une parole intérieure qui me dit "ne crains rien, reste calme".
Je m'adresse à mon autre fille qui sert l'eau.
Ma fille furieuse alors quitte la pièce.
C'est sa soeur qui a servi les raviolis et elle est revenue au bout de deux minutes, calmée, elle a ramassé ses couvert et a déjeuné sans heurts.
Il faut dire que leur meilleure amie devait venir dans l'après-midi et que ma fille ne souhaitait pas que son amie la voie dans une de ses crises de colère (qui peuvent durer plusieurs heures) car il est souvent arrivé que ses copines en visite lui reprochent son comportement agressif avec moi ("mais comment tu lui parles, à ta mère !" etc.)
Elle se rend probablement compte que son comportement est inadapté.

Comportement inadapté?????
"Tu honoreras ton père et ta mère"! (à mettre de côté si les parents sont infects avec leurs enfants) mais là c'est toi qui subis alors.......

Ce Commandement m'a paru délicat dans l'application pour ma propre relation avec mes parents "gay-friendly" et par certains aspects carrément infects avec moi, mais très bien par d'autres aspects.
J'ai opté pour l'éloignement, les contacts par lettres, espacés. Mes jumelles ne les ont jamais vus (tels que je les connais ils les auraient "séduites" par la gentillesse cool, les cadeaux et l'argent de poche, dressées contre moi(qui suis selon eux "rigide"), mis de leur côté et convaincues aux idées gay-friendly et féministes).
Je n'ai pas dit à mes filles pourquoi on ne les voyait pas, sauf un évasif "ils ont fait quelque chose que je désapprouve", je leur ai parlé de leurs grands-parents en termes neutres : où ils vivent, leurs métiers passés, etc.
Des psys ont donc dit que c'était le "secret de famille" la cause de la violence de mes filles et qu'il fallait leur parler "de tout" !!!!!
Jamais de la vie, certains sujets ne sont pas faits pour de jeunes oreilles, et certainement pas les motifs de ma séparation d'avec ma famille d'origine...

Le problème c'est que je subis mais que, si je parle de ce Commandement à mes filles, elles répondent : "on n'a plus la foi et on s'en tape" et ensuite "et toi, tu ne les as pas honorés, tes parents". J'ai l'air de leur dire "faites ce que je dis, pas ce que j'ai fait".

Ben oui il faut lui dire, c'est bien là mon erreur !!! peut-être qu'un jour tu le sauras mais qu'à ce moment là, ça soit trop tard. on ne sait jamais ce que la vie nous donne !

en tout cas, je vous le dis, ce que vous vous n'arrivez pas à faire, la vie se chargera de le faire à votre place

Philon,
je n'ai pas lu votre premier message que vous avez réédité.
Mais vous pouvez aussi évoquer avec vos filles les valeurs que vous avez voulu leur transmettre. L'éducation que vous leur avez donnée consiste à voir plus loin, pour qu'elles deviennent des adultes responsables et que tout n'est pas toujours simple, il faut à la fois protéger les enfants et les mettre en garde.
L'adolescence peut être difficile à vivre pour les parents. Le fait de rester calme est une bonne solution, cela permet à votre fille de prendre du recul dans son attitude.
Courage à vous

Le problème c'est bien ça comme le voit Namita :
les Commandements, les interdits...soit on les apprend et on les accepte petit; soit c'est une fois adulte qu'on prend des "gamelles" que l'on n'aurait pas prises si on avait cru et respecté les interdits. Donc la vie vous l'apprend. Elle m'a très cruellement appris dans les faits pourquoi la sexualité hors mariage est considérée comme un désordre, un péché par l' Eglise.
J'aurais respecté la Volonté de Dieu: des années de malheur ne me seraient pas arrivées.
Je tente donc de transmettre des valeurs à mes filles pour leur épargner ce que j'ai subi.
Mais toute notre culture (l'école, les médias, les copines, les psys...) leur dit en substance que c'est ringard et qu'elles peuvent n'en faire qu'à leur tête.
Qu'ilbfaut rejeter les traditions, s'"assumer", avoir le courage d'être "libre", etc.
Et moi j'ai peur pour elles.
Ce qui est sûr c'est que je ne leur laisserait pas, comme jeunes filles, autant de "libertés" que mes parents m'ont laissé, ce serait complètement irresponsable.

Pour cela voir ce qu.en dit le saint cure d'Ars!

La vie est beauté, admire-la
La vie est félicité, profites-en
La vie est un rêve, réalise-le
La vie est un défi, relève-le
La vie est un devoir, fais-le
La vie est un jeu, joue-le
La vie est précieuse, soigne-la bien
La vie est richesse, conserve-la
La vie est amour, jouis-en
La vie est un mystère, pénètre-le
La vie est une promesse, tiens-la
La vie est tristesse, dépasse-la
La vie est un hymne, chante-le
La vie est un combat, accepte-le
La vie est une tragédie, lutte avec elle
La vie est une aventure, ose-la
La vie est bonheur , mérite-le
La vie est la vie, défends-la

mère thérésa

malheureusement certains ne retiennent que ce qui les arrange

"comme la vie est aventure ose-la"

Namita: ouah, c'est très beau, je ne connaissais pas ce texte de Mère Térésa!
Boh, c'est comme ceux qui ne prennent que ce qui les arrangent et délaissent le tout!
Philon: mais de quel droit tes filles te diraient-elles que tu n'as pas respecté tes parents? s'éloigner est parfois nécessaire voir salutaire!

Azur : mes filles savent trouver les talons d'Achille des gens.
Ma décision d'éloignement, je l'ai prise seule, dans l'hésitation et la culpabilité, désapprouvée par mon mari ,et mes filles l'ont "senti". Leurs grands-parents abonderaient dans leur sens et me disqualifieraient à leurs yeux encore davantage.
Tout le monde : merci de vos réponses !

Lyne : pouvez-vous indiquer ce qu'en dit le curé d'Ars ?

il faudrait peut-être que tu montres que tu regrettes ton geste envers tes parents

peut-être que te sentais offensée, je ne connais pas la raison de ta décision envers vos parents  

mais sache aussi

si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.

autrement dit, comme nous sommes enfants de Dieu et fait à son image, si on ne pardonne pas, à notre tour on ne nous pardonnera pas !

quoique te parents aient pu faire, il faut montrer à ses enfants combien on pardonne, mais aussi combien on peut regretter nos décisions tranchantes, montrer du  regret, car le regret attendrit les cœurs !

C'est que vous ne connaissez pas toute l'histoire.
Ni les protagonistes.
Rester à l'abri, éloigné, ne veut pas dire forcément ne pas pardonner.
Et "pardonner" veut dire pour certaines personnes
"revenir en rampant sous la domination de", "reconnaitre qu'on a eu tous les torts".
Il faut faire attention.
On ne refait pas confiance à ceux qui vous ont trahi.
Enfin , je sais ce que je risque et fais courir comme risque à mes enfants si je reprends des contacts trop rapprochés.

Je me demande s'il me faut regretter ce geste.
C'est une de ces situation comme on en rencontre avec des maladies très graves, des conflits politiques épineux et qu'un médecin, un dirigeant doit prendre une décision en sachant qu'il n'y en a aucune de bonne et qu'il est difficile de trouver la "moins pire".
Avant de la prendre, j'ai hésité deux années durant.
Je suis allée voir une juriste dans une association de droits et protection de l'enfant .
Bon et finalement je l'ai prise , ce n'était pas dans le tranchant d'un coup de tête.

Mes parents se sont portés au secours d'un père accusé de pédophilie et cité en justice.
Mais la fille (partie civile) n'avait de témoins que sa soeur.
Le père fut relaxé car il avait de nombreux témoins. Mes parents, et plein d'autres.
Le témoignage de mes parents est celui de personnes qui ont permis/ ont fait des choses assez semblables (article 227_25 du code pénal mais il y avait prescription de toutes façons) et cela, j'en avais parlé.
L'accusé relaxé a été invité par eux à mon mariage religieux alors qu'on ne le connaissait pas (on vit dans une autre région) et qu'il ne veut jamais entrer dans une église.
Et comme "cadeau" il m'a donné un énorme chèque où je n'ai pu m'empêcher de voir une injonction à me taire et à fermer les yeux.
Je n'ai pas pu voir la petite à qui j'aurais désiré parler ! Mon père m'a dit qu'elle était aux urgences après une TS.
Et cela juste au moment où on la retirait de son foyer d'accueil pour la remettre chez son père...
Je ne voulais pas être complice et comprenais que mes parents se "vengeaient" ainsi de moi, des années plus tard, parce que j'avais, jeune, publié une pièce sur ce sujet largement inspirée de mon enfance.