La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
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Delsanto
tous artisans de paix
WorshipYlios
G7852
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La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
Belgique : « Laura », 24 ans, sera euthanasiée cet été. Elle est en excellente santé
La Belgique est en train de devenir folle. Et ceux qui prévenaient, lorsqu’elle adoptait l’une des premières lois d’euthanasie au monde, qu’elle s’engageait sur une pente glissante qui l’enfonce de plus en plus loin dans l’horreur voient leurs avertissements confirmés. La dernière histoire en date est contée par De Morgen, qui a rencontré « Laura », 24 ans, candidate à l’euthanasie. Elle est en excellente santé physique. De nombreux amis l’entourent. Elle apprécie de sortir – au théâtre notamment – et elle aime le bon café. Sa vie prendra fin cet été. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas envie de vivre. Les dépressions la tourmentent : depuis trop longtemps, elle s’imagine que « vivre, ce n’est pas son truc ».
L’histoire de la jeune femme est terrible. Elle naît dans une famille qui éclatera du fait de la violence et de l’alcoolisme de son père : la séparation s’imposera en raison du dangercet la petite passera beaucoup de temps chez ses grands-parents maternels, qui lui offrent sécurité, affection, structure. Malgré tout, dès la grande section, elle se demande se qu’elle fait sur terre. A six ans, elle rêve de se tuer. C’est le début d’un long tunnel, qui passera par l’automutilation, l’incompréhension, les souffrances.
Laura a besoin de croire que ce n’est pas son enfance chaotique qui lui a donné ce désir d’autodestruction : « Même si elle a contribué à ma souffrance, je suis convaincue que j’aurais eu ce désir de mort si j’avais grandi dans une famille tranquille et stable. Je n’ai tout simplement jamais voulu vivre. »
Après une scolarité difficile, marqué par les comportements autodestructeurs dont la gravité n’a pas frappé les responsables de l’école, « Laura » se lance dans le théâtre, emménage avec une amie : « J’avais tout en fait : un appartement sympa, une passion amoureuse très agréable, j’étais occupée à plein temps par le théâtre ». La voilà donc au sein d’une relation homosexuelle qu’elle lâche après s’être disputée avec son amie en raison de sa dépression.
A ce moment-là un psychiatre la met au défi de se faire interner, en abandonnant le théâtre. Elle se laisse convaincre et découvre une vie « lourde » : ses automutilations augmentent en intensité, elle se frappe contre les murs. Elle a l’impression d’abriter un monstre qui cherche à s’échapper de son corps. L’agressivité, la colère, la douleur ne sont en rien soignés par les psychiatres et Laura est une patiente si difficile qu’elle est régulièrement renvoyée chez elle pour que le personnel puisse souffler.
C’est à l’asile psychiatrique qu’elle rencontre « Sarah », qui organise précisément sa propre euthanasie. « Laura » est séduite : les deux femmes parlent de la mort et elle décide de réclamer elle aussi une piqûre mortelle.
Entre la demande et l’exécution, il faut compter entre un an et dix-huit mois. Laura l’a faite ; l’échéance est pour l’été. Il lui a fallu d’abord acquérir la conviction – à l’aide de sa thérapie – que son enfance n’était pas la cause de ses souffrances, mais quelque chose qu’elle porte en elle.
Poignant récit… Abîmée par la vie, par la désespérance qui la hante, par on ne sait quelles thérapies et autres pédagogies qui ont peut-être aggravé sa situation. Laura ne se supporte pas… Elle souffre d’un mal de notre temps, lié à l’identité et à l’être.
Trois médecins ont décidé qu’elle souffrait de manière insupportable et qu’elle doit pouvoir mourir.
A l’heure actuelle, Laura s’efforce d’offrir à ses proches – sa mère, ses grands-parents – le plus de présence possible. Et elle organise tout : sa mort dans le studio où elle passe deux jours par semaine, ses funérailles… « Je trouve cela agréable d’y penser. » Elle prépare ses dernières paroles.
Voilà où mène l’autonomie du patient, poussée à l’extrême.
Voilà où mène la faillite d’un système qui ne sait plus donner de raisons de vivre.
http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/2015/06/belgique-laura-24-ans-sera-euthanasiee.html
La Belgique est en train de devenir folle. Et ceux qui prévenaient, lorsqu’elle adoptait l’une des premières lois d’euthanasie au monde, qu’elle s’engageait sur une pente glissante qui l’enfonce de plus en plus loin dans l’horreur voient leurs avertissements confirmés. La dernière histoire en date est contée par De Morgen, qui a rencontré « Laura », 24 ans, candidate à l’euthanasie. Elle est en excellente santé physique. De nombreux amis l’entourent. Elle apprécie de sortir – au théâtre notamment – et elle aime le bon café. Sa vie prendra fin cet été. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas envie de vivre. Les dépressions la tourmentent : depuis trop longtemps, elle s’imagine que « vivre, ce n’est pas son truc ».
L’histoire de la jeune femme est terrible. Elle naît dans une famille qui éclatera du fait de la violence et de l’alcoolisme de son père : la séparation s’imposera en raison du dangercet la petite passera beaucoup de temps chez ses grands-parents maternels, qui lui offrent sécurité, affection, structure. Malgré tout, dès la grande section, elle se demande se qu’elle fait sur terre. A six ans, elle rêve de se tuer. C’est le début d’un long tunnel, qui passera par l’automutilation, l’incompréhension, les souffrances.
Laura a besoin de croire que ce n’est pas son enfance chaotique qui lui a donné ce désir d’autodestruction : « Même si elle a contribué à ma souffrance, je suis convaincue que j’aurais eu ce désir de mort si j’avais grandi dans une famille tranquille et stable. Je n’ai tout simplement jamais voulu vivre. »
Après une scolarité difficile, marqué par les comportements autodestructeurs dont la gravité n’a pas frappé les responsables de l’école, « Laura » se lance dans le théâtre, emménage avec une amie : « J’avais tout en fait : un appartement sympa, une passion amoureuse très agréable, j’étais occupée à plein temps par le théâtre ». La voilà donc au sein d’une relation homosexuelle qu’elle lâche après s’être disputée avec son amie en raison de sa dépression.
A ce moment-là un psychiatre la met au défi de se faire interner, en abandonnant le théâtre. Elle se laisse convaincre et découvre une vie « lourde » : ses automutilations augmentent en intensité, elle se frappe contre les murs. Elle a l’impression d’abriter un monstre qui cherche à s’échapper de son corps. L’agressivité, la colère, la douleur ne sont en rien soignés par les psychiatres et Laura est une patiente si difficile qu’elle est régulièrement renvoyée chez elle pour que le personnel puisse souffler.
C’est à l’asile psychiatrique qu’elle rencontre « Sarah », qui organise précisément sa propre euthanasie. « Laura » est séduite : les deux femmes parlent de la mort et elle décide de réclamer elle aussi une piqûre mortelle.
Entre la demande et l’exécution, il faut compter entre un an et dix-huit mois. Laura l’a faite ; l’échéance est pour l’été. Il lui a fallu d’abord acquérir la conviction – à l’aide de sa thérapie – que son enfance n’était pas la cause de ses souffrances, mais quelque chose qu’elle porte en elle.
Poignant récit… Abîmée par la vie, par la désespérance qui la hante, par on ne sait quelles thérapies et autres pédagogies qui ont peut-être aggravé sa situation. Laura ne se supporte pas… Elle souffre d’un mal de notre temps, lié à l’identité et à l’être.
Trois médecins ont décidé qu’elle souffrait de manière insupportable et qu’elle doit pouvoir mourir.
A l’heure actuelle, Laura s’efforce d’offrir à ses proches – sa mère, ses grands-parents – le plus de présence possible. Et elle organise tout : sa mort dans le studio où elle passe deux jours par semaine, ses funérailles… « Je trouve cela agréable d’y penser. » Elle prépare ses dernières paroles.
Voilà où mène l’autonomie du patient, poussée à l’extrême.
Voilà où mène la faillite d’un système qui ne sait plus donner de raisons de vivre.
http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/2015/06/belgique-laura-24-ans-sera-euthanasiee.html
G7852- J'adore l'Eucharistie
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Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
Seigneur, au secours !
WorshipYlios- J'adore l'Eucharistie
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Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
Guillaumec a écrit:Belgique : « Laura », 24 ans, sera euthanasiée cet été. Elle est en excellente santé
La Belgique est en train de devenir folle. Et ceux qui prévenaient, lorsqu’elle adoptait l’une des premières lois d’euthanasie au monde, qu’elle s’engageait sur une pente glissante qui l’enfonce de plus en plus loin dans l’horreur voient leurs avertissements confirmés. La dernière histoire en date est contée par De Morgen, qui a rencontré « Laura », 24 ans, candidate à l’euthanasie. Elle est en excellente santé physique. De nombreux amis l’entourent. Elle apprécie de sortir – au théâtre notamment – et elle aime le bon café. Sa vie prendra fin cet été. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas envie de vivre. Les dépressions la tourmentent : depuis trop longtemps, elle s’imagine que « vivre, ce n’est pas son truc ».
L’histoire de la jeune femme est terrible. Elle naît dans une famille qui éclatera du fait de la violence et de l’alcoolisme de son père : la séparation s’imposera en raison du dangercet la petite passera beaucoup de temps chez ses grands-parents maternels, qui lui offrent sécurité, affection, structure. Malgré tout, dès la grande section, elle se demande se qu’elle fait sur terre. A six ans, elle rêve de se tuer. C’est le début d’un long tunnel, qui passera par l’automutilation, l’incompréhension, les souffrances.
Laura a besoin de croire que ce n’est pas son enfance chaotique qui lui a donné ce désir d’autodestruction : « Même si elle a contribué à ma souffrance, je suis convaincue que j’aurais eu ce désir de mort si j’avais grandi dans une famille tranquille et stable. Je n’ai tout simplement jamais voulu vivre. »
Après une scolarité difficile, marqué par les comportements autodestructeurs dont la gravité n’a pas frappé les responsables de l’école, « Laura » se lance dans le théâtre, emménage avec une amie : « J’avais tout en fait : un appartement sympa, une passion amoureuse très agréable, j’étais occupée à plein temps par le théâtre ». La voilà donc au sein d’une relation homosexuelle qu’elle lâche après s’être disputée avec son amie en raison de sa dépression.
A ce moment-là un psychiatre la met au défi de se faire interner, en abandonnant le théâtre. Elle se laisse convaincre et découvre une vie « lourde » : ses automutilations augmentent en intensité, elle se frappe contre les murs. Elle a l’impression d’abriter un monstre qui cherche à s’échapper de son corps. L’agressivité, la colère, la douleur ne sont en rien soignés par les psychiatres et Laura est une patiente si difficile qu’elle est régulièrement renvoyée chez elle pour que le personnel puisse souffler.
C’est à l’asile psychiatrique qu’elle rencontre « Sarah », qui organise précisément sa propre euthanasie. « Laura » est séduite : les deux femmes parlent de la mort et elle décide de réclamer elle aussi une piqûre mortelle.
Entre la demande et l’exécution, il faut compter entre un an et dix-huit mois. Laura l’a faite ; l’échéance est pour l’été. Il lui a fallu d’abord acquérir la conviction – à l’aide de sa thérapie – que son enfance n’était pas la cause de ses souffrances, mais quelque chose qu’elle porte en elle.
Poignant récit… Abîmée par la vie, par la désespérance qui la hante, par on ne sait quelles thérapies et autres pédagogies qui ont peut-être aggravé sa situation. Laura ne se supporte pas… Elle souffre d’un mal de notre temps, lié à l’identité et à l’être.
Trois médecins ont décidé qu’elle souffrait de manière insupportable et qu’elle doit pouvoir mourir.
A l’heure actuelle, Laura s’efforce d’offrir à ses proches – sa mère, ses grands-parents – le plus de présence possible. Et elle organise tout : sa mort dans le studio où elle passe deux jours par semaine, ses funérailles… « Je trouve cela agréable d’y penser. » Elle prépare ses dernières paroles.
Voilà où mène l’autonomie du patient, poussée à l’extrême.
Voilà où mène la faillite d’un système qui ne sait plus donner de raisons de vivre.
http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/2015/06/belgique-laura-24-ans-sera-euthanasiee.html
C'est malheureux!
Une jeune femme de 24 ans, en parfaite santé et qui traverse une mauvaise passe et n'a pas encore trouvé sa voie.
Prions pour sa conversion, afin qu'elle se découvre une raison de vivre et qu'elle connaisse la vraie joie et la vraie paix qui viennent de Dieu, avant qu'il ne soit trop tard!
Il y avait un autre cas, comme celui-là: il était question d'une femme qui avait subi une opération chirurgicale pour "changer" de sexe et qui était déçue du résultat. Elle avait donc obtenu de se faire euthanasier.
Je cite le début de l'article:
Né femme, Nathan Verhelst, Belge de 44 ans, cherchait depuis de nombreuses années à devenir physiquement un homme. Après avoir subi une amputation de la poitrine, l’opération destinée à lui fabriquer un pénis avait échoué, le laissant dans une profonde détresse. Il a demandé l’euthanasie. Et il est mort, le 1er octobre, avec l’aide des médecins.
Source: http://www.lavie.fr/actualite/monde/la-belgique-repousse-les-limites-de-l-euthanasie-08-10-2013-45092_5.php
Les dérives de l'Euthanasie - et parfois aussi de la médecine - sont terribles!
Il fut un temps où on faisait tout pour soulager les personnes dépressives, où on essayer de les empêcher de se suicider et où on essayait de les sauver après une tentative de suicide.
Aujourd'hui, on en vient à les encourager!
Sinon, toujours dans les dérives de l'Euthanasie, il y avait aussi cette affaire où un magistrat s'était fait euthanasier parce qu'il se croyait condamné, alors que les médecins avaient en fait commis une erreur de diagnostic. L'autopsie avait révélé qu'il était tout à fait sain.
Source: http://www.zenit.org/fr/articles/suisse-tragedie-de-l-euthanasie-sur-erreur-de-diagnostic
Nous vivons dans une société où les gens sont habitués à leur confort, à tout avoir tout de suite. Ils ont, de plus, perdu la foi.
Résultat: ils ne vivent que pour profiter à fond de la vie, ils ne savent plus accepter la croix, ils craignent par-dessus tout la souffrance et sont prêts à tout pour la fuir.
C'est triste.
A nous, par la grâce de Dieu et avec de la bonne volonté, de raviver le brasier de la foi, dans nos sociétés consuméristes.
Paix
tous artisans de paix- Enfant de Dieu
- Messages : 3430
Inscription : 17/06/2014
Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
Et personne ne pense qu'elle abrite un Esprit de mort???
Je dirais donc que cette jeune femme aurait sans doute besoin d'être exorcisée!!!
Par contre, relisant le texte, je m'étonne de lire qu'elle "apprécie de sortir au théâtre".
Une personne réellement dépressive n'apprécie jamais rien!
Jamais et rien!
Je dirais donc que cette jeune femme aurait sans doute besoin d'être exorcisée!!!
Par contre, relisant le texte, je m'étonne de lire qu'elle "apprécie de sortir au théâtre".
Une personne réellement dépressive n'apprécie jamais rien!
Jamais et rien!
Dernière édition par Delsanto le Dim 21 Juin 2015 - 8:40, édité 1 fois
Delsanto- En adoration
- Messages : 2530
Inscription : 05/02/2013
Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
@Delsanto et vous chers amis
Ceci est bien triste
Souhaitons pour cette jeune femme qu'elle retrouve Espérance en la Vie
Joignons la dans nos intentions de prières aujourd'hui ... demain et les autres jours
Amicalement
Ceci est bien triste
Souhaitons pour cette jeune femme qu'elle retrouve Espérance en la Vie
Joignons la dans nos intentions de prières aujourd'hui ... demain et les autres jours
Amicalement
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
Tu as tout juste, artisan de paix, c'est vraiment triste que cette jeune fille décide de choisir la mort alors qu'elle est à l'aube de sa vie...Nous vivons dans une société où les gens sont habitués à leur confort, à tout avoir tout de suite. Ils ont, de plus, perdu la foi.
Résultat: ils ne vivent que pour profiter à fond de la vie, ils ne savent plus accepter la croix, ils craignent par-dessus tout la souffrance et sont prêts à tout pour la fuir.
Je croise vraiment les doigts pour que sa demande soit refusée, ce serait vraiment terrible pour elle, même si elle ne s'en rend pas compte...
Nous sommes fait pour la vie, et celle-mérite toujours d'être vécue, quoi qu'il arrive...
Anayel- Avec Saint Thomas d'Aquin
- Messages : 392
Age : 29
Inscription : 17/04/2013
Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
C'est comme un suicide.
Liza2028- Avec Saint Joseph
- Messages : 1366
Inscription : 26/09/2013
Re: La mort comme remède: jeune, en bonne santé, elle se fait euthanasier
Bonsoir,
je me joins à vos prières
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sga- MEDIATEUR
- Messages : 1336
Inscription : 13/06/2014
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