Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
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Sofoyal
Elysé
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Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
* * * * NOUVEAU Dimanche 24/5/2015 :
Concernant les évêques d’Allemagne, de France et de Suisse qui se rencontrent à Rome, Gersdorff les qualifie ouvertement de représentants de la “branche gauchiste”. En outre, il cible directement les pseudo théologiens favorables à une ouverture de la communion pour les divorcés-remariés : ils ont remplacé la foi par leur conscience.
Mais dans Eglise où la formation et l’étude des textes, des enseignements pontificaux et du catéchisme sont mis à l’écart, peut-on encore parler de “conscience” si celle-ci n’est plus que alimentée par des idéologies et des intuitions circulant dans des cercles où ne se rencontrent que ceux qui pensent pareil ?
Dans ces cercles, au demeurant, tout ce qui est liturgique est remplacé par des habitudes qui se succèdent les unes aux autres, sans cohérence et selon les humeurs du moments ; quant à la foi, elle est remplacée par des intuitions, des désirs qui n’ont pas davantage de cohérence.
Le Cardinal Sarah fait déjà comprendre - très subtilement - qu’il pourrait bien y avoir un choc de civilisation entre l’Occident et le reste du monde. Il vient notamment de rappeler que “les divisions liées au prochain Synode proviennent des Occidentaux. En Afrique - dit encore le Cardinal - nous sommes fermes ! Nous avons vu des gens mourir pour leur foi, nous nous ne pouvons pas plaisanter avec la foi”.
http://proliturgia.pagesperso-orange.fr/actu.html
* * * * NOUVEAU Dimanche 24/5/2015 : A Strasbourg, à l’occasion de la Pentecôte, une messe pontificale sera célébrée sous le chapiteau du cirque Gruss monté derrière le stade de la Meinau. Il est certain que cette messe connaîtra un franc succès... mais uniquement auprès des gens qui ont perdu tout sens du sacré et de la liturgie.
N.B. Les hosties tombées à terre devront être remises à Monsieur Loyal à l’issue de la célébration...
cirque-gruss
* * * * NOUVEAU Dimanche 24/5/2015 : On se doutait depuis longtemps que les évêques de France n’avaient pas de grandes affinités avec Rome. On avait consté qu’ils s’employaient à passer sous silence tous les documents magistériels. On savait qu’ils s’étaient employés à ne pas mettre en pratique les grandes décisions du concile Vatican II. On savait qu’entre eux et la papauté régnait un lourd climat de défiance que le Cardinal Vingt-Trois avait bien illustré dans un propos tenu aux journalistes suite à la visite de Benoît XVI en France. On savait aussi qu’ils étaient majoritairement pour ce qu’on appelle pudiquement une “pastorale d’ouverture” impliquant de nouvelles orientations théologiques. Ne s’étaient-ils pas donnés, comme conseiller théologique, Mgr Doré, l’ex-archevêque de Strasbourg aux positions très proches de Mmes Soupa et Pedotti ? N’avaient-ils pas donné aux fidèles un catéchisme - “Pierres vivantes” - dont le contenu reflétait les déficiences de leur pensée théologique ?
On se doutait depuis longtemps que... On en a maintenant la confirmation. Depuis que Mgr Pontier - élu par ses pairs à la tête de la Conférence des évêques de France - est allé à Rome, en compagnie de Mgr Brunin, pour participer à une rencontre à huis clos avec des représentants les plus progressistes des épiscopats suisses et allemands.
De quoi a-t-il été question au cours de cette rencontre ? Entre autres choses, de la possibilité de réduire le pape à un simple distributeur de bénédictions et de la possibilité de séparer la doctrine de la pastorale afin que chacun puisse (enfin !) se fabriquer sa propre religion comme il se fabrique déjà sa propre liturgie sous l’égide d’ “équipes d’animation pastorale” dont les membres sont choisis parmi les fidèles assez naïfs pour mettre en application des orientations diocésaines qui contredisent les enseignements du Magistère.
Le Pape François avait demandé à ses proches collaborateurs d’avoir des visages souriants capables d’exprimer la joie chrétienne. Mais lui-même, a-t-il encore envie de sourire lorsqu’il apprend ce que trament les représentants des épiscopats français, allemands et suisses ? Lorsqu’il apprend qu’en Belgique l’Eglise est en plein effondrement tandis qu’aux Pays-Bas elle n’est déjà plus qu’un vague souvenir ?
La réunion qui s’est tenue en catimini à Rome révèle enfin le vrai visage de nos pasteurs. Questions : quel crédit pourra-t-on encore leur accorder lorsqu’on les entendra se dire, à la messe, “en union avec le pape...” ? Comment ne pas douter de leur attachement à l'Eglise romaine ? Comment ne pas imaginer qu'ils seront durablement aigris si, comme le pense le Cardinal Pell, le prochain synode restera sur les positions traditionnelles de la foi catholique ?
Peut-être sans vraiment le vouloir, le Pape François a-t-il ouvert le bal des tartuffes ? Et pourquoi ne pas souhaiter que le prochain synode puisse devenir l'occasion d'un coup de balais dans les rangs d'un certain clergé ?
Réaction d’un internaute à ce qui est dit ci-dessus : « On a fustigé l’initiative des 5 cardinaux (+ d’autres) qui ont écrit leur livre “Demeurer dans la vérité du Christ”, mais on trouve très bien que des prélats se réunissent en catimini à Rome pour établir un Magistère parallèle à celui du Pape.
Au moins, le livre cité ne fait-il que rappeler la doctrine de l’Eglise et tout le monde peut le lire, tandis que personne ne sait pas ce que trament tous ces “mini-Luther” avides de pouvoir dans le domaine doctrinal.
Quant au boycott des papes, on l’a senti surtout sous Benoît XVI. Dans ma paroisse, on n’a jamais mentionné la sortie de ses encycliques, ni ses voyages. Et notre curé nous a dissuadés de vendre “Caritas in veritate” à la sortie de la messe. J’ai entendu plusieurs prêtres insulter le pape devant des groupes de fidèles.
Aujourd’hui, François est boycotté d’une autre manière. On craint qu’il ne soit pas encore assez révolutionnaire et on tente de le mettre à l’avance sous tutelle. »
Concernant les évêques d’Allemagne, de France et de Suisse qui se rencontrent à Rome, Gersdorff les qualifie ouvertement de représentants de la “branche gauchiste”. En outre, il cible directement les pseudo théologiens favorables à une ouverture de la communion pour les divorcés-remariés : ils ont remplacé la foi par leur conscience.
Mais dans Eglise où la formation et l’étude des textes, des enseignements pontificaux et du catéchisme sont mis à l’écart, peut-on encore parler de “conscience” si celle-ci n’est plus que alimentée par des idéologies et des intuitions circulant dans des cercles où ne se rencontrent que ceux qui pensent pareil ?
Dans ces cercles, au demeurant, tout ce qui est liturgique est remplacé par des habitudes qui se succèdent les unes aux autres, sans cohérence et selon les humeurs du moments ; quant à la foi, elle est remplacée par des intuitions, des désirs qui n’ont pas davantage de cohérence.
Le Cardinal Sarah fait déjà comprendre - très subtilement - qu’il pourrait bien y avoir un choc de civilisation entre l’Occident et le reste du monde. Il vient notamment de rappeler que “les divisions liées au prochain Synode proviennent des Occidentaux. En Afrique - dit encore le Cardinal - nous sommes fermes ! Nous avons vu des gens mourir pour leur foi, nous nous ne pouvons pas plaisanter avec la foi”.
http://proliturgia.pagesperso-orange.fr/actu.html
* * * * NOUVEAU Dimanche 24/5/2015 : A Strasbourg, à l’occasion de la Pentecôte, une messe pontificale sera célébrée sous le chapiteau du cirque Gruss monté derrière le stade de la Meinau. Il est certain que cette messe connaîtra un franc succès... mais uniquement auprès des gens qui ont perdu tout sens du sacré et de la liturgie.
N.B. Les hosties tombées à terre devront être remises à Monsieur Loyal à l’issue de la célébration...
cirque-gruss
* * * * NOUVEAU Dimanche 24/5/2015 : On se doutait depuis longtemps que les évêques de France n’avaient pas de grandes affinités avec Rome. On avait consté qu’ils s’employaient à passer sous silence tous les documents magistériels. On savait qu’ils s’étaient employés à ne pas mettre en pratique les grandes décisions du concile Vatican II. On savait qu’entre eux et la papauté régnait un lourd climat de défiance que le Cardinal Vingt-Trois avait bien illustré dans un propos tenu aux journalistes suite à la visite de Benoît XVI en France. On savait aussi qu’ils étaient majoritairement pour ce qu’on appelle pudiquement une “pastorale d’ouverture” impliquant de nouvelles orientations théologiques. Ne s’étaient-ils pas donnés, comme conseiller théologique, Mgr Doré, l’ex-archevêque de Strasbourg aux positions très proches de Mmes Soupa et Pedotti ? N’avaient-ils pas donné aux fidèles un catéchisme - “Pierres vivantes” - dont le contenu reflétait les déficiences de leur pensée théologique ?
On se doutait depuis longtemps que... On en a maintenant la confirmation. Depuis que Mgr Pontier - élu par ses pairs à la tête de la Conférence des évêques de France - est allé à Rome, en compagnie de Mgr Brunin, pour participer à une rencontre à huis clos avec des représentants les plus progressistes des épiscopats suisses et allemands.
De quoi a-t-il été question au cours de cette rencontre ? Entre autres choses, de la possibilité de réduire le pape à un simple distributeur de bénédictions et de la possibilité de séparer la doctrine de la pastorale afin que chacun puisse (enfin !) se fabriquer sa propre religion comme il se fabrique déjà sa propre liturgie sous l’égide d’ “équipes d’animation pastorale” dont les membres sont choisis parmi les fidèles assez naïfs pour mettre en application des orientations diocésaines qui contredisent les enseignements du Magistère.
Le Pape François avait demandé à ses proches collaborateurs d’avoir des visages souriants capables d’exprimer la joie chrétienne. Mais lui-même, a-t-il encore envie de sourire lorsqu’il apprend ce que trament les représentants des épiscopats français, allemands et suisses ? Lorsqu’il apprend qu’en Belgique l’Eglise est en plein effondrement tandis qu’aux Pays-Bas elle n’est déjà plus qu’un vague souvenir ?
La réunion qui s’est tenue en catimini à Rome révèle enfin le vrai visage de nos pasteurs. Questions : quel crédit pourra-t-on encore leur accorder lorsqu’on les entendra se dire, à la messe, “en union avec le pape...” ? Comment ne pas douter de leur attachement à l'Eglise romaine ? Comment ne pas imaginer qu'ils seront durablement aigris si, comme le pense le Cardinal Pell, le prochain synode restera sur les positions traditionnelles de la foi catholique ?
Peut-être sans vraiment le vouloir, le Pape François a-t-il ouvert le bal des tartuffes ? Et pourquoi ne pas souhaiter que le prochain synode puisse devenir l'occasion d'un coup de balais dans les rangs d'un certain clergé ?
Réaction d’un internaute à ce qui est dit ci-dessus : « On a fustigé l’initiative des 5 cardinaux (+ d’autres) qui ont écrit leur livre “Demeurer dans la vérité du Christ”, mais on trouve très bien que des prélats se réunissent en catimini à Rome pour établir un Magistère parallèle à celui du Pape.
Au moins, le livre cité ne fait-il que rappeler la doctrine de l’Eglise et tout le monde peut le lire, tandis que personne ne sait pas ce que trament tous ces “mini-Luther” avides de pouvoir dans le domaine doctrinal.
Quant au boycott des papes, on l’a senti surtout sous Benoît XVI. Dans ma paroisse, on n’a jamais mentionné la sortie de ses encycliques, ni ses voyages. Et notre curé nous a dissuadés de vendre “Caritas in veritate” à la sortie de la messe. J’ai entendu plusieurs prêtres insulter le pape devant des groupes de fidèles.
Aujourd’hui, François est boycotté d’une autre manière. On craint qu’il ne soit pas encore assez révolutionnaire et on tente de le mettre à l’avance sous tutelle. »
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Sofoyal- Combat l'antechrist
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Famille: évêques français, allemands et suisses se concertent à Rome
AFP 24 mai 2015 à 11:55
Des évêques et cardinaux participent à une messe papale pour fêter la Pentecôte dans la basilique Saint-Pierre de Rome le 24 mai 2015
Des évêques d’Allemagne, de France et de Suisse organisent lundi à huis clos à Rome une réunion de réflexion sur les thèmes délicats du prochain synode sur la famille comme les divorcés et les homosexuels, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
Une cinquantaine d’invités dont des évêques mais aussi des théologiens laïcs connus pour leurs vues réformatrices, vont participer à cette journée de réflexion à l’Université jésuite grégorienne, à cinq mois du synode.
Une lettre d’invitation, datée du 27 avril, a été signée par les trois présidents des trois conférences épiscopales, selon ce document que l’AFP a pu consulter et dont le quotidien français Le Figaro a fait état.
Le cardinal allemand Reinhard Marx, président de la conférence des évêques allemands, est un des artisans de cette réunion restreinte et non officielle à laquelle tous les évêques n’ont pas été conviés.
Ce cardinal est l’une des chevilles ouvrières d’une tentative d’ouverture de l’Eglise sur ces sujets qui divisent l’Eglise.
Mgr Marx, membre du groupe de conseillers du pape François, le «C9», est notamment partisan de solutions pour permettre, dans des conditions très cadrées et limitées, l’accès aux sacrements des divorcés remariés, et aussi pour une meilleure reconnaissance de la place des couples homosexuels dans l’Eglise.
Selon le Figaro, certains évêques ont été étonnés de n’avoir pas été informés de cette initiative.
Les théologiens qui seront présents militent pour une nette évolution de la pastorale vis-à-vis des divorcés remariés et des personnes homosexuelles.
Parmi eux, selon le Figaro, le jésuite français Alain Thomasset estime que la «conscience chrétienne» a le droit d’entrer en conflit avec le magistère dans «un dissentiment responsable».
La théologienne allemande Eva-Maria Faber, critique pour sa part la notion «d’indissolubilité» du mariage qui lui paraît trop rigide.
Le théologien moraliste allemand Eberhard Schockenhoff milite entre autres pour une nouvelle approche des personnes homosexuelles qui «méritent un soutien et une réponse positive» de l’Église.
Cette réunion de théologiens de trois pays où la contestation des positions traditionnelles de l’Eglise est déjà bien ancrée se produit dans un climat de tensions autour de ce prochain synode.
Une pétition circule, qui a recueilli quelque 230.000 signatures, pour demander au pape François de ne pas céder à ces demandes de réformes qui seraient autant de «trahisons» des dogmes institués par Jésus.
Les cardinaux du Sud, notamment africains, sont vent debout contre ces réformes. Le pape ne se prononce pas et reste en retrait, même si on sait que le sujet des divorcés remariés lui tient très à coeur.
AFP
http://www.liberation.fr/monde/2015/05/24/famille-eveques-francais-allemands-et-suisses-se-concertent-a-rome_1315663
AFP 24 mai 2015 à 11:55
Des évêques et cardinaux participent à une messe papale pour fêter la Pentecôte dans la basilique Saint-Pierre de Rome le 24 mai 2015
Des évêques d’Allemagne, de France et de Suisse organisent lundi à huis clos à Rome une réunion de réflexion sur les thèmes délicats du prochain synode sur la famille comme les divorcés et les homosexuels, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
Une cinquantaine d’invités dont des évêques mais aussi des théologiens laïcs connus pour leurs vues réformatrices, vont participer à cette journée de réflexion à l’Université jésuite grégorienne, à cinq mois du synode.
Une lettre d’invitation, datée du 27 avril, a été signée par les trois présidents des trois conférences épiscopales, selon ce document que l’AFP a pu consulter et dont le quotidien français Le Figaro a fait état.
Le cardinal allemand Reinhard Marx, président de la conférence des évêques allemands, est un des artisans de cette réunion restreinte et non officielle à laquelle tous les évêques n’ont pas été conviés.
Ce cardinal est l’une des chevilles ouvrières d’une tentative d’ouverture de l’Eglise sur ces sujets qui divisent l’Eglise.
Mgr Marx, membre du groupe de conseillers du pape François, le «C9», est notamment partisan de solutions pour permettre, dans des conditions très cadrées et limitées, l’accès aux sacrements des divorcés remariés, et aussi pour une meilleure reconnaissance de la place des couples homosexuels dans l’Eglise.
Selon le Figaro, certains évêques ont été étonnés de n’avoir pas été informés de cette initiative.
Les théologiens qui seront présents militent pour une nette évolution de la pastorale vis-à-vis des divorcés remariés et des personnes homosexuelles.
Parmi eux, selon le Figaro, le jésuite français Alain Thomasset estime que la «conscience chrétienne» a le droit d’entrer en conflit avec le magistère dans «un dissentiment responsable».
La théologienne allemande Eva-Maria Faber, critique pour sa part la notion «d’indissolubilité» du mariage qui lui paraît trop rigide.
Le théologien moraliste allemand Eberhard Schockenhoff milite entre autres pour une nouvelle approche des personnes homosexuelles qui «méritent un soutien et une réponse positive» de l’Église.
Cette réunion de théologiens de trois pays où la contestation des positions traditionnelles de l’Eglise est déjà bien ancrée se produit dans un climat de tensions autour de ce prochain synode.
Une pétition circule, qui a recueilli quelque 230.000 signatures, pour demander au pape François de ne pas céder à ces demandes de réformes qui seraient autant de «trahisons» des dogmes institués par Jésus.
Les cardinaux du Sud, notamment africains, sont vent debout contre ces réformes. Le pape ne se prononce pas et reste en retrait, même si on sait que le sujet des divorcés remariés lui tient très à coeur.
AFP
http://www.liberation.fr/monde/2015/05/24/famille-eveques-francais-allemands-et-suisses-se-concertent-a-rome_1315663
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Elysé a écrit:Famille: évêques français, allemands et suisses se concertent à Rome
AFP 24 mai 2015 à 11:55
Des évêques et cardinaux participent à une messe papale pour fêter la Pentecôte dans la basilique Saint-Pierre de Rome le 24 mai 2015
Des évêques d’Allemagne, de France et de Suisse organisent lundi à huis clos à Rome une réunion de réflexion sur les thèmes délicats du prochain synode sur la famille comme les divorcés et les homosexuels, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
Une cinquantaine d’invités dont des évêques mais aussi des théologiens laïcs connus pour leurs vues réformatrices, vont participer à cette journée de réflexion à l’Université jésuite grégorienne, à cinq mois du synode.
Une lettre d’invitation, datée du 27 avril, a été signée par les trois présidents des trois conférences épiscopales, selon ce document que l’AFP a pu consulter et dont le quotidien français Le Figaro a fait état.
Le cardinal allemand Reinhard Marx, président de la conférence des évêques allemands, est un des artisans de cette réunion restreinte et non officielle à laquelle tous les évêques n’ont pas été conviés.
Ce cardinal est l’une des chevilles ouvrières d’une tentative d’ouverture de l’Eglise sur ces sujets qui divisent l’Eglise.
Mgr Marx, membre du groupe de conseillers du pape François, le «C9», est notamment partisan de solutions pour permettre, dans des conditions très cadrées et limitées, l’accès aux sacrements des divorcés remariés, et aussi pour une meilleure reconnaissance de la place des couples homosexuels dans l’Eglise.
Selon le Figaro, certains évêques ont été étonnés de n’avoir pas été informés de cette initiative.
Les théologiens qui seront présents militent pour une nette évolution de la pastorale vis-à-vis des divorcés remariés et des personnes homosexuelles.
Parmi eux, selon le Figaro, le jésuite français Alain Thomasset estime que la «conscience chrétienne» a le droit d’entrer en conflit avec le magistère dans «un dissentiment responsable».
La théologienne allemande Eva-Maria Faber, critique pour sa part la notion «d’indissolubilité» du mariage qui lui paraît trop rigide.
Le théologien moraliste allemand Eberhard Schockenhoff milite entre autres pour une nouvelle approche des personnes homosexuelles qui «méritent un soutien et une réponse positive» de l’Église.
Cette réunion de théologiens de trois pays où la contestation des positions traditionnelles de l’Eglise est déjà bien ancrée se produit dans un climat de tensions autour de ce prochain synode.
Une pétition circule, qui a recueilli quelque 230.000 signatures, pour demander au pape François de ne pas céder à ces demandes de réformes qui seraient autant de «trahisons» des dogmes institués par Jésus.
Les cardinaux du Sud, notamment africains, sont vent debout contre ces réformes. Le pape ne se prononce pas et reste en retrait, même si on sait que le sujet des divorcés remariés lui tient très à coeur.
AFP
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" Devant la situation de l'Église d'aujourd'hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu...."- Paul VI
P+
pedroso- Aime la Divine Volonté
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Bonjour,
Je reviens un peu sur ce gentil forum (ou plutôt forum de gens gentils) à propos de ce sujet qui me tient énormément à cœur. M'étant déjà fait remarqué par des critiques à peine voilées du pape et de certains prélats français, je vais essayer d'être plus modéré !
En fait, je souffre beaucoup de voir cet affrontement latent au sein de l'église de Rome entre "progressistes" et "conservateurs".
En ce qui concerne l'accès à la communion des divorcés remariés et la bénédiction des couples homosexuels, prônés par le monde qui presse l'église de les promouvoir au nom de la modernité, je pense que là les "progressistes" sont dans l'hérésie et le rejet des enseignements du Christ.
D'un côté, il semble qu'il y ait les pays riches, en particulier l'Allemagne, dont beaucoup de fidèles et une partie de l'épiscopat (Cdl Kasper) sont déjà acquis à cette hérésie.
De l'autre, les pays du Sud, en particulier l'Afrique (Cdl Sarah) qui veulent rester fidèles à la doctrine catholique.
La cassure est si forte que certains parlent déjà d'un futur schisme de l'église catholique.
Le pape François qui en apparence était ouvert à certains aspects des thèses progressistes, semble avoir "resserré les boulons" depuis les conclusions du dernier synode, mais certaines nominations ou évictions laissent planer le doute. Ses déclarations semblent malgré tout claires : accueil, miséricorde mais pas révolution !
Cette dernière réunion secrète des pires tenants de l'hérésie est malgré tout inquiétante : jusqu'à quand les tenants de la vérité de l'Evangile vont-ils tenir sous la pression de certaines fractions décadentes de l'Occident catholique qui ont les médias ennemis des chrétiens pour eux?
Y aura-t-il un moment où les croyants fidèles n'auront plus de lieu de culte qu'ils pourront fréquenter l'esprit en paix, gangrénés qu'ils seront par cet esprit derébellion modernité ?
Mais l'inquiétude est un péché, alors prions que l'Esprit, le vrai, éclaire Son église de Rome !
Je reviens un peu sur ce gentil forum (ou plutôt forum de gens gentils) à propos de ce sujet qui me tient énormément à cœur. M'étant déjà fait remarqué par des critiques à peine voilées du pape et de certains prélats français, je vais essayer d'être plus modéré !
En fait, je souffre beaucoup de voir cet affrontement latent au sein de l'église de Rome entre "progressistes" et "conservateurs".
En ce qui concerne l'accès à la communion des divorcés remariés et la bénédiction des couples homosexuels, prônés par le monde qui presse l'église de les promouvoir au nom de la modernité, je pense que là les "progressistes" sont dans l'hérésie et le rejet des enseignements du Christ.
D'un côté, il semble qu'il y ait les pays riches, en particulier l'Allemagne, dont beaucoup de fidèles et une partie de l'épiscopat (Cdl Kasper) sont déjà acquis à cette hérésie.
De l'autre, les pays du Sud, en particulier l'Afrique (Cdl Sarah) qui veulent rester fidèles à la doctrine catholique.
La cassure est si forte que certains parlent déjà d'un futur schisme de l'église catholique.
Le pape François qui en apparence était ouvert à certains aspects des thèses progressistes, semble avoir "resserré les boulons" depuis les conclusions du dernier synode, mais certaines nominations ou évictions laissent planer le doute. Ses déclarations semblent malgré tout claires : accueil, miséricorde mais pas révolution !
Cette dernière réunion secrète des pires tenants de l'hérésie est malgré tout inquiétante : jusqu'à quand les tenants de la vérité de l'Evangile vont-ils tenir sous la pression de certaines fractions décadentes de l'Occident catholique qui ont les médias ennemis des chrétiens pour eux?
Y aura-t-il un moment où les croyants fidèles n'auront plus de lieu de culte qu'ils pourront fréquenter l'esprit en paix, gangrénés qu'ils seront par cet esprit de
Mais l'inquiétude est un péché, alors prions que l'Esprit, le vrai, éclaire Son église de Rome !
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clofer- Avec les chérubins
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Cinq jeunes évêques allemands, groupés autour de Mgr Oster, évêque de Passau, ont affirmé la foi catholique en ce qui concerne le mariage et la sexualité:
Source
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Fortunatus- Hosanna au plus haut des cieux!
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Fait étrange ou pas d'ailleurs c'est que l'unique journal italien invité dans cette réunion "secrète" - entre progressistes - fut le journal la Republica l'unique journal lu - dit-il - par le le pape François. Je rappelle que la Republica est l'équivalent de Libération en France. Vous voyez le genre !
http://www.repubblica.it/esteri/2015/05/25/news/il_papa_non_guardo_la_tv_leggo_repubblica_-115198336/?ref=HREC1-2
Et concernant ladite réunion secrète en voici quelques éléments issu d'un blog (Benoit et moi.fr) et de sources italiennes (la bussola) :
"...Avant tout, la question des unions gays. Parce que l'occasion du référendum irlandais était trop belle. Et, en fait, un très anonyme «prêtre et théologien allemand» aurait dit que «la question n'est pas le thème du Synode, mais elle est de toute façon matière culturelle. Si entre deux personnes du même sexe, il y a une relation très forte, portant à une reconnaissance, elle doit devenir une contrainte pour l'Eglise aussi». Il suffit de ne pas l'appeler mariage.
Un «professeur», en revanche, aurait exposé une idée très personnelle de la fidélité conjugale. «Avec l'allongement de la vie - rapporte le seul média italien admis - la frontière de la fidélité se déplace elle aussi. Mais la discipline de l'Eglise, [est] loin d'être immobile. Après un échec, un abandon, on peut s'engager dans une nouvelle vie avec une autre personne. Ces problèmes nous viennent aussi de personnes engagéss dans le magistères, en plus des fidèles». Applaudissements.
La question, on le sait, tourne autour d'une interprétation du développement du dogme qui va au-delà de l'homogénéité, pour pousser vers la transformation. Un «évêque allemand» a dit que «les dogmatiques disent que l'enseignement de l'église est fixe. Au contraire, il y a un développement. Et nous avons besoin d'un développement de la sexualité». Le problème est précisément de savoir où on veut en venir avec le «développement», le cardinal Muller, préfet de la Doctrine de la Foi, l'a répété maintes et maintes fois. À cet égard, les paroles d'Anne Marie Pelletier à Vatican Insider sont significatives. La bibliste françaisa, qui a assisté à la réunion, a déclaré que «si, à la fin du Synode, l'Église continue à affirmer ce qu'elle a toujours dit, ceserait un échec» (et elle a eu le Prix Ratzinger!!!)
Mais revenons à l'amphi de la Grégorienne, où sont cités généreusement Freud et Fromm, parmi les gourous de la révolution sexuelle, et certains théologiens ne font pas dans le subtil pour placer leurs arguments. «L'absence de sexualité - a dit l'un des intervenants - peut être comparée à la faim, à la soif. La question qui la caractérise est: "Tu veux avoir des relations sexuelles"? Mais cela ne signifie pas désirer l'autre, si l'autre ne veut pas. La question devrait être: "Tu me désires"?. C'est comme cela que le désir sexuel de l'autre peut se joindre à l'amour». Dans un certain sens, donc, nous pourrions dire que dans le domaine de la sexualité, ce qui importe, c'est que l'autre soit d'accord. Pas vraiment nouveau, tout au plus quelque peu réducteur pour expliquer l'amour.
Mais, d'autre part, les participants ont été honnêtes, puisqu'un «prêtre qui est également professeur», admet que «notre vie étant le célibat, pour nous, prêtres, il est difficile de parler à d'autres de leur vie de couple». (ndt: arme à double tranchant car elle revient à dire que l'Eglise n'a aucune compétence pour aborder le problème du mariage)
La discussion a ensuite porté sur la manière dont est possible un «développement» du dogme, parce qu'on ne peut pas perdre le contact avec les gens. Au fond, tout est contenu dans une question lancée par un «prêtre et professeur», un dilemme qui a secoué les tables où les participants étaient assis. «Que pouvons-nous dire à une jeunesse qui ne se retrouve pas dans les orientations de l'Eglise? Comment mettre en place une pratique de l'eros? Ici, nous sommes confrontés à des problèmes avec lesquels nous devons compter, sinon les gens finiront par s'éloigner».
A partir de cette orientation de base, trois thèmes ont été abordés: l'interprétation biblique des paroles de Jésus sur le divorce, la sexualité comme langage de l'amour et don précieux de Dieu et, enfin, les conditions de la biographie des personnes individuelles comme histoire de grâce. En particulier ce dernier point a tenu compte du «contexte social pluraliste et complexe de notre société», dans lequel «l'individu est confronté à des difficultés croissantes, sans pause dans la construction responsable de sa propre vie. La prise de distance des héritages traditionnels rend cette construction encore plus délicate. Les projets personnels et les jugements de conscience jouent un rôle beaucoup plus important. Cela a un impact fort dans la compréhension morale de la vie et représenteautant de défis pour la pastorale du mariage et de la famille»...blablablabla...
P+
http://www.repubblica.it/esteri/2015/05/25/news/il_papa_non_guardo_la_tv_leggo_repubblica_-115198336/?ref=HREC1-2
Et concernant ladite réunion secrète en voici quelques éléments issu d'un blog (Benoit et moi.fr) et de sources italiennes (la bussola) :
"...Avant tout, la question des unions gays. Parce que l'occasion du référendum irlandais était trop belle. Et, en fait, un très anonyme «prêtre et théologien allemand» aurait dit que «la question n'est pas le thème du Synode, mais elle est de toute façon matière culturelle. Si entre deux personnes du même sexe, il y a une relation très forte, portant à une reconnaissance, elle doit devenir une contrainte pour l'Eglise aussi». Il suffit de ne pas l'appeler mariage.
Un «professeur», en revanche, aurait exposé une idée très personnelle de la fidélité conjugale. «Avec l'allongement de la vie - rapporte le seul média italien admis - la frontière de la fidélité se déplace elle aussi. Mais la discipline de l'Eglise, [est] loin d'être immobile. Après un échec, un abandon, on peut s'engager dans une nouvelle vie avec une autre personne. Ces problèmes nous viennent aussi de personnes engagéss dans le magistères, en plus des fidèles». Applaudissements.
La question, on le sait, tourne autour d'une interprétation du développement du dogme qui va au-delà de l'homogénéité, pour pousser vers la transformation. Un «évêque allemand» a dit que «les dogmatiques disent que l'enseignement de l'église est fixe. Au contraire, il y a un développement. Et nous avons besoin d'un développement de la sexualité». Le problème est précisément de savoir où on veut en venir avec le «développement», le cardinal Muller, préfet de la Doctrine de la Foi, l'a répété maintes et maintes fois. À cet égard, les paroles d'Anne Marie Pelletier à Vatican Insider sont significatives. La bibliste françaisa, qui a assisté à la réunion, a déclaré que «si, à la fin du Synode, l'Église continue à affirmer ce qu'elle a toujours dit, ceserait un échec» (et elle a eu le Prix Ratzinger!!!)
Mais revenons à l'amphi de la Grégorienne, où sont cités généreusement Freud et Fromm, parmi les gourous de la révolution sexuelle, et certains théologiens ne font pas dans le subtil pour placer leurs arguments. «L'absence de sexualité - a dit l'un des intervenants - peut être comparée à la faim, à la soif. La question qui la caractérise est: "Tu veux avoir des relations sexuelles"? Mais cela ne signifie pas désirer l'autre, si l'autre ne veut pas. La question devrait être: "Tu me désires"?. C'est comme cela que le désir sexuel de l'autre peut se joindre à l'amour». Dans un certain sens, donc, nous pourrions dire que dans le domaine de la sexualité, ce qui importe, c'est que l'autre soit d'accord. Pas vraiment nouveau, tout au plus quelque peu réducteur pour expliquer l'amour.
Mais, d'autre part, les participants ont été honnêtes, puisqu'un «prêtre qui est également professeur», admet que «notre vie étant le célibat, pour nous, prêtres, il est difficile de parler à d'autres de leur vie de couple». (ndt: arme à double tranchant car elle revient à dire que l'Eglise n'a aucune compétence pour aborder le problème du mariage)
La discussion a ensuite porté sur la manière dont est possible un «développement» du dogme, parce qu'on ne peut pas perdre le contact avec les gens. Au fond, tout est contenu dans une question lancée par un «prêtre et professeur», un dilemme qui a secoué les tables où les participants étaient assis. «Que pouvons-nous dire à une jeunesse qui ne se retrouve pas dans les orientations de l'Eglise? Comment mettre en place une pratique de l'eros? Ici, nous sommes confrontés à des problèmes avec lesquels nous devons compter, sinon les gens finiront par s'éloigner».
A partir de cette orientation de base, trois thèmes ont été abordés: l'interprétation biblique des paroles de Jésus sur le divorce, la sexualité comme langage de l'amour et don précieux de Dieu et, enfin, les conditions de la biographie des personnes individuelles comme histoire de grâce. En particulier ce dernier point a tenu compte du «contexte social pluraliste et complexe de notre société», dans lequel «l'individu est confronté à des difficultés croissantes, sans pause dans la construction responsable de sa propre vie. La prise de distance des héritages traditionnels rend cette construction encore plus délicate. Les projets personnels et les jugements de conscience jouent un rôle beaucoup plus important. Cela a un impact fort dans la compréhension morale de la vie et représenteautant de défis pour la pastorale du mariage et de la famille»...blablablabla...
P+
pedroso- Aime la Divine Volonté
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Une dernière tentative des progressistes pour influencer le synode, sachant que les pères synodaux autres que ceux des pays riches et décadents sont en majorité opposés à ces évolutions complètement en opposition aux enseignements du Christ ?
Aussi une tentative de noyer le poisson et de faire avaler l'évolution souhaitée, bien camouflée sous un verbiage incompréhensible ?
Prions pour que notre église reste fidèle, nous ne pouvons plus rien faire par nous mêmes, comme toujours c'est le Père Céleste qui aura le dernier mot, invoquons son secours pour l'église catholique !
Aussi une tentative de noyer le poisson et de faire avaler l'évolution souhaitée, bien camouflée sous un verbiage incompréhensible ?
Prions pour que notre église reste fidèle, nous ne pouvons plus rien faire par nous mêmes, comme toujours c'est le Père Céleste qui aura le dernier mot, invoquons son secours pour l'église catholique !
clofer- Avec les chérubins
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Prions aussi pour les intégristes trop intègres.
Sofoyal- Combat l'antechrist
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Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Trop n'est pas assez!
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Sofoyal a écrit:Prions aussi pour les intégristes trop intègres.
Je prie surtout pour l'intégrité de la doctrine multiséculaire de l'Eglise Catholique. Je suis donc intégriste dans ce cas et cela ne me gène pas du tout. On y reviendra tous tôt ou tard car les délires de théologiens et de beaucoup d'évêques essentiellement européens vont trop loin à mon avis.
P+
pedroso- Aime la Divine Volonté
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Sofoyal- Combat l'antechrist
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Inscription : 03/11/2013
Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
La Doctrine catholique, c'est comme l'Évangile, on ne peut pas la changer selon la mode.
La beauté avec "l'intégrisme" chrétien est qu'il pousse à l'amour total et au don total de soi.
Fraternellement,
Emmanuel
La beauté avec "l'intégrisme" chrétien est qu'il pousse à l'amour total et au don total de soi.
Fraternellement,
Emmanuel
Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
Merci d'avoir mis des guillements!
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Réunion à Rome des évêques de France, d'Allemagne et de Suisse
L'intégrisme qui consiste en l'amour total et le don de soi est le bon, il suppose aussi de pouvoir s'appuyer sur des repères incontestables : la fidélité aux enseignements du Christ et à la doctrine de l'église patiemment mise au point au cours des siècles.
C'est pour cela qu'il peut arriver que l'on ait l'impression de mieux voir ces repères avec les célébrations des intégristes au sens des médias. Mais alors il faut veiller à garder intactes l'humilité et la miséricorde.
C'est pour cela qu'il peut arriver que l'on ait l'impression de mieux voir ces repères avec les célébrations des intégristes au sens des médias. Mais alors il faut veiller à garder intactes l'humilité et la miséricorde.
clofer- Avec les chérubins
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Inscription : 08/04/2015
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