La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
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La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
La fin de l'Homme viendra-t-elle des choix de vie des femmes modernes ?
Toujours plus actives et indépendantes, les femmes sont de moins en moins pressées de trouver un mari et de faire des enfants. Leurs critères de sélection pour choisir un époux sont de plus en plus difficiles à remplir. Ont-elles aujourd'hui mieux à faire que de fonder une famille?
L'écrivain Kate Bolick signait récemment une tribune dans The Atlantic, sur ce thème : s'instruire ou se marier, il faut choisir. Selon l'auteur, Les femmes, font aujourd’hui de longues études, et deviennent financièrement indépendantes. Dans ces conditions, le nombre d’hommes qu’elles pourraient épouser s'est réduit comme peau de chagrin.
Mais l'écrivain va plus loin : selon elle, les partenaires potentiels doivent absolument être plus éduqués et avoir un salaire supérieur aux femmes. Celles qui opteraient malgré tout par amour pour un homme gagnant moins qu'elles s'exposeraient à un mariage malheureux ! Un point de vue pour le moins sexiste ...
L'auteur parle de "marché romantique" appauvri, mais se félicite de l'opportunité de "reconnaître la fin du mariage traditionnel". "Aussi longtemps qu'on refusait aux femmes les mêmes opportunités éducatives et financières que les hommes, elles étaient obligées de "trouver un mari" – que ferait-elles d'autre seules ? Maintenant que nous pouvons prendre en charge notre propre statut et notre sécurité, et sommes donc libérées de la nécessité des hommes, nous somme slibres de les aimer davantage, au du moins de façon moins intéressée, ce qui est le but de l'amour, non ?".
Mais tout le monde n'est pas de cet avis. Un article du New York Times qualifie cette thérie "d'absurde" : "Pour une femme qui cherche à concilier vie personnelle satisfaisante et sécurité économique, il n’y a jamais eu d’époque plus favorable pour faire de hautes études", avance même l'auteur, Stephanie Coontz.
Au contraire, l'impossible conciliation entre vie professionnelle et vie de famille est un problème ancien, en voie d'extinction : " Pendant plus d’un siècle, les femmes ont été obligées de choisir entre les études et le mariage ", " Parmi les Américaines qui ont obtenu un diplôme supérieur avant 1900, plus des trois quarts sont restées célibataires ".
La raison : les préjugés masculins, qui enfermaient le rôle d'épouse dans une définition très stricte. Les femmes éduquées n'étaient pas perçues comme des mères de famille potentielles, en raison de leur "caractère indépendant, qui les empêchait d’aimer, d’honorer et d’obéir comme une épouse le devrait". Entre les années 40 et 70, les hommes ont donc essentiellement épousé des femmes de classes sociales inférieures à la leur.
Une tendance en régression depuis la libéralisation des années 70. A l'inverse, le niveau d’éducation est devenu une des qualités principales convoitées par les hommes pour leur future épouse, comme le montre une récente étude. "Vers 30 ans, une femme qui a fait des études supérieures a beaucoup plus de chances d’être mariée que dans n’importe quel autre groupe social. Dans presque 30% des couples, la femme a fait plus d’études que son mari, contre 20% où l’homme est toujours le plus diplômé" note Coontz.
Ces mariages ne sont pas plus malheureux que les autres, bien heureusement. Au contraire, dans un couple dans lequel la femme est plus éduquée, le partage des tâches ménagères serait plus équitable, selon certaines recherches. Le Boston Globe encourage même les femmes éduquées à se marier, car avoir un statut supérieur à son mari fournit une sécurité supplémentaire au sein du couple : "Le pouvoir économique dans le mariage est très important. Aujourd’hui si elle la femme n’est pas heureuse dans son mariage, elle peut partir. Cette indépendance est un vrai progrès."
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/fin-homme-viendra-t-elle-choix-vie-femmes-modernes-337079.html#vKTI8guztHTIYVTZ.99
Toujours plus actives et indépendantes, les femmes sont de moins en moins pressées de trouver un mari et de faire des enfants. Leurs critères de sélection pour choisir un époux sont de plus en plus difficiles à remplir. Ont-elles aujourd'hui mieux à faire que de fonder une famille?
L'écrivain Kate Bolick signait récemment une tribune dans The Atlantic, sur ce thème : s'instruire ou se marier, il faut choisir. Selon l'auteur, Les femmes, font aujourd’hui de longues études, et deviennent financièrement indépendantes. Dans ces conditions, le nombre d’hommes qu’elles pourraient épouser s'est réduit comme peau de chagrin.
Mais l'écrivain va plus loin : selon elle, les partenaires potentiels doivent absolument être plus éduqués et avoir un salaire supérieur aux femmes. Celles qui opteraient malgré tout par amour pour un homme gagnant moins qu'elles s'exposeraient à un mariage malheureux ! Un point de vue pour le moins sexiste ...
L'auteur parle de "marché romantique" appauvri, mais se félicite de l'opportunité de "reconnaître la fin du mariage traditionnel". "Aussi longtemps qu'on refusait aux femmes les mêmes opportunités éducatives et financières que les hommes, elles étaient obligées de "trouver un mari" – que ferait-elles d'autre seules ? Maintenant que nous pouvons prendre en charge notre propre statut et notre sécurité, et sommes donc libérées de la nécessité des hommes, nous somme slibres de les aimer davantage, au du moins de façon moins intéressée, ce qui est le but de l'amour, non ?".
Mais tout le monde n'est pas de cet avis. Un article du New York Times qualifie cette thérie "d'absurde" : "Pour une femme qui cherche à concilier vie personnelle satisfaisante et sécurité économique, il n’y a jamais eu d’époque plus favorable pour faire de hautes études", avance même l'auteur, Stephanie Coontz.
Au contraire, l'impossible conciliation entre vie professionnelle et vie de famille est un problème ancien, en voie d'extinction : " Pendant plus d’un siècle, les femmes ont été obligées de choisir entre les études et le mariage ", " Parmi les Américaines qui ont obtenu un diplôme supérieur avant 1900, plus des trois quarts sont restées célibataires ".
La raison : les préjugés masculins, qui enfermaient le rôle d'épouse dans une définition très stricte. Les femmes éduquées n'étaient pas perçues comme des mères de famille potentielles, en raison de leur "caractère indépendant, qui les empêchait d’aimer, d’honorer et d’obéir comme une épouse le devrait". Entre les années 40 et 70, les hommes ont donc essentiellement épousé des femmes de classes sociales inférieures à la leur.
Une tendance en régression depuis la libéralisation des années 70. A l'inverse, le niveau d’éducation est devenu une des qualités principales convoitées par les hommes pour leur future épouse, comme le montre une récente étude. "Vers 30 ans, une femme qui a fait des études supérieures a beaucoup plus de chances d’être mariée que dans n’importe quel autre groupe social. Dans presque 30% des couples, la femme a fait plus d’études que son mari, contre 20% où l’homme est toujours le plus diplômé" note Coontz.
Ces mariages ne sont pas plus malheureux que les autres, bien heureusement. Au contraire, dans un couple dans lequel la femme est plus éduquée, le partage des tâches ménagères serait plus équitable, selon certaines recherches. Le Boston Globe encourage même les femmes éduquées à se marier, car avoir un statut supérieur à son mari fournit une sécurité supplémentaire au sein du couple : "Le pouvoir économique dans le mariage est très important. Aujourd’hui si elle la femme n’est pas heureuse dans son mariage, elle peut partir. Cette indépendance est un vrai progrès."
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/fin-homme-viendra-t-elle-choix-vie-femmes-modernes-337079.html#vKTI8guztHTIYVTZ.99
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
Dieu soit loué!
La fin des femmes ne viendra pas des vieux passéistes mysogines!!
La fin des femmes ne viendra pas des vieux passéistes mysogines!!
Sofoyal- Combat l'antechrist
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
Moralité : le malheur est dans les taches menageres
Neb- Pour le roi
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
la fin de l'homme ne viendra pas par l'instruction des femmes mais par la marchandisation et la superficialité des relations de couple encouragées par l'internet et tout ce qui est sites de rencontres. en effet on ne prend plus le temps de se connaître dans la vraie vie, on sélectionne son partenaire sur des critères physiques ou financiers, on se met en couple sur un coup de tête et peu arrivent jusqu'au mariage...
fellowyn.rd- Avec Saint Maximilien Kolbe
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
D'autres sons de cloche moins élogieux de la modernité pourraient bien se faire entendre.
La sociologue Eva Illouz ("Pourquoi l'amour fait mal") constate une pluralité de facteurs dans la vie moderne (tertiairisation du travail, techniques médicales abortives et contraceptives, exode rural, libération sexuelle, déconnection entre sexualité et procréation, entre sexualité et valeurs morales, individualisme entrainant une subjectivité des critères de choix, plus grand brassage de populations et de classes sociales, logique entrepreunariale appliquée à l'amour,niveau d'étude plus élevé des femmes, inflation de médias véhiculant l'image du "sex appeal"...)
pluralité de changements appelés "progrès" mais qui qui contribuent à réduire l'offre matrimoniale pour les femmes et à l'augmenter pour les hommes, d'où le phénomène largement répandu actuellement d'une inégalité affective : la femme veut s'engager (horloge biologique, souhait d'enfants), pas l'homme(il a tout le temps et une large offre de femmes, du moins dans les classes moyennes/supérieures).
Depuis très petite mes expériences et lectures me conduisent à penser que le passé patriarcal de la France n'était pas si misogyne qu'on le dit.
Et que notre époque favorise l'apparition de souffrances féminines inédites(double journée, tromperies masculines cyniques, mères seules, abandon, solitude, précarité, insécurité relationnelle, passivité masculine, parcours de la combattante pour trouver un homme qui reste avec vous...), phénomènes de masse directement liées aux changements introduits par la modernité, mais que l'on occulte à l'aide du discours féministe et des explications psychologiques (ça vient de l'individu) de ces souffrances.
Ayant vécu à l'étranger j'atteste que ce que je décris là est plus prononcé dans les pays anglo-saxons-germano-nordique que dans les pays "latins".
La sociologue Eva Illouz ("Pourquoi l'amour fait mal") constate une pluralité de facteurs dans la vie moderne (tertiairisation du travail, techniques médicales abortives et contraceptives, exode rural, libération sexuelle, déconnection entre sexualité et procréation, entre sexualité et valeurs morales, individualisme entrainant une subjectivité des critères de choix, plus grand brassage de populations et de classes sociales, logique entrepreunariale appliquée à l'amour,niveau d'étude plus élevé des femmes, inflation de médias véhiculant l'image du "sex appeal"...)
pluralité de changements appelés "progrès" mais qui qui contribuent à réduire l'offre matrimoniale pour les femmes et à l'augmenter pour les hommes, d'où le phénomène largement répandu actuellement d'une inégalité affective : la femme veut s'engager (horloge biologique, souhait d'enfants), pas l'homme(il a tout le temps et une large offre de femmes, du moins dans les classes moyennes/supérieures).
Depuis très petite mes expériences et lectures me conduisent à penser que le passé patriarcal de la France n'était pas si misogyne qu'on le dit.
Et que notre époque favorise l'apparition de souffrances féminines inédites(double journée, tromperies masculines cyniques, mères seules, abandon, solitude, précarité, insécurité relationnelle, passivité masculine, parcours de la combattante pour trouver un homme qui reste avec vous...), phénomènes de masse directement liées aux changements introduits par la modernité, mais que l'on occulte à l'aide du discours féministe et des explications psychologiques (ça vient de l'individu) de ces souffrances.
Ayant vécu à l'étranger j'atteste que ce que je décris là est plus prononcé dans les pays anglo-saxons-germano-nordique que dans les pays "latins".
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
Le dénominateur commun de ces changements (système économique marchand mondialisé, précarisation de l'emploi et fragilisation de la famille,rejet des traditions,féminisme, foi en la science, individualisme...) entrainant tant de souffrances (l'individualisme des plus forts écrabouillant l'individualisme des plus faibles),
c'est l'éloignement d'avec Dieu.
La femme "peut" partir, le mari "peut" donc tromper, et c'est supergénial pour les gosses...
c'est l'éloignement d'avec Dieu.
La femme "peut" partir, le mari "peut" donc tromper, et c'est supergénial pour les gosses...
Dernière édition par Philon le Mar 19 Mai 2015 - 10:57, édité 1 fois
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
Neb : j'ai ouvert un sujet sur les tâches ménagères.
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
"La femme est l'avenir de l'Homme!"
Delsanto- En adoration
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
L'homme est l'avenir de la femme et le Père celui de l'humanité.
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: La fin de l'homme viendra des femmes dites"modernes"
On va réconcilier tout le monde.
S'il n'y a plus de femme... il n'y a plus d'enfant et il n'y a plus d'homme (ni d'Homme).
S'il n'y a plus d'homme... il n'y a plus d'enfant et il n'y a plus de femme. (donc, plus d'Homme)
L'homme est l'avenir de la femme. La femme est l'avenir de l'homme. L'homme et la femme sont l'avenir de l'Homme (humanité) et Dieu sauve les uns comme les autres.
"homme et femme, il les créa"... ce n'est peut-être pas pour rien?
L'harmonie devait régner!
Les problèmes ont commencé quand Eve s'est faite avoir par le serpent et qu'Adam s'est fait avoir aussi: tous deux, ils ont désobéi.
Et là, on a commencé à s'accuser et à se montrer du doigt: "c'est pas moi c'est l'autre".
Dieu dit: "Je t'avais interdit"
--> Eve aurait dû dire "non".
--> Adam aurait dû dire "non" aussi, car Dieu le lui avait interdit.
Chacun est responsable de sa propre désobéissance. Les deux ont chuté.
Il serait bon, désormais, que les deux soient solidaires, dans le salut en Christ, non?
Nous sommes complémentaires, non ennemis! Chacun commet des bêtises, chacun a son utilité, chacun est aimé de Dieu.
Que Dieu nous vienne en aide et nous donne Sa paix! A l'extérieur, comme sur le forum!
Sujet verrouillé.
S'il n'y a plus de femme... il n'y a plus d'enfant et il n'y a plus d'homme (ni d'Homme).
S'il n'y a plus d'homme... il n'y a plus d'enfant et il n'y a plus de femme. (donc, plus d'Homme)
L'homme est l'avenir de la femme. La femme est l'avenir de l'homme. L'homme et la femme sont l'avenir de l'Homme (humanité) et Dieu sauve les uns comme les autres.
"homme et femme, il les créa"... ce n'est peut-être pas pour rien?
L'harmonie devait régner!
Les problèmes ont commencé quand Eve s'est faite avoir par le serpent et qu'Adam s'est fait avoir aussi: tous deux, ils ont désobéi.
Et là, on a commencé à s'accuser et à se montrer du doigt: "c'est pas moi c'est l'autre".
Genèse 2
11 Le Seigneur reprit : « Qui donc t’a dit que tu étais nu ? Aurais-tu mangé de l’arbre dont je t’avais interdit de manger ? »
12 L’homme répondit : « La femme que tu m’as donnée, c’est elle qui m’a donné du fruit de l’arbre, et j’en ai mangé. »
Dieu dit: "Je t'avais interdit"
--> Eve aurait dû dire "non".
--> Adam aurait dû dire "non" aussi, car Dieu le lui avait interdit.
Chacun est responsable de sa propre désobéissance. Les deux ont chuté.
Il serait bon, désormais, que les deux soient solidaires, dans le salut en Christ, non?
Nous sommes complémentaires, non ennemis! Chacun commet des bêtises, chacun a son utilité, chacun est aimé de Dieu.
Que Dieu nous vienne en aide et nous donne Sa paix! A l'extérieur, comme sur le forum!
Sujet verrouillé.
tous artisans de paix- Enfant de Dieu
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