Prends ton brancard et marche... dans la joie!
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Prends ton brancard et marche... dans la joie!
Bonsoir à tous,
En parcourant un passage de l'évangile de Jean, une réflexion m'est venue à l'esprit et j'ai tenu à la partager avec vous.
"Prends ton brancard et marche!"
Jésus voit un pauvre infirme, qui attend depuis déjà 38 ans, de pouvoir guérir de son infirmité. Jésus prend la généreuse initiative de le guérir, puis il lui dit:
"Lève-toi, prends ton brancard et marche!"
L'homme obéit.
Sur son chemin, il croise des pharisiens.
Et quelle est donc la première chose que ces derniers trouvent à lui dire?
Ils lui disent: "C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard."
C'est incroyable, tout de même! Vous ne trouvez pas?
Nous avons là un homme qui est infirme depuis pas moins de 38 ans. Un homme que ces pharisiens devaient connaître, au moins de vue.
Et le voilà soudainement miraculeusement guéri!
Comment est-ce possible, sinon par un miracle de Dieu?
Mais quelle est la première chose que les pharisiens trouvent à lui dire, en le voyant debout?
"C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard."
Pas une seule seconde, il ne leur viendrait à l'esprit que, si cet homme a été miraculeusement guéri pendant le sabbat, c'est que Dieu est d'accord pour cela!
Et c'est donc que Dieu est également d'accord pour qu'il transporte son brancard (l'infirme ne va tout de même pas laisser le brancard au beau milieu de la rue!)
Les pharisiens étaient très zélés, mais ils avaient un défaut,: ils étaient complètement obnubilés par "la règle", la tradition des ancêtres, la façon dont il faut faire les choses.
Et ils étaient tellement obsédés par leurs règlements, qu'au lieu d'être à l'écoute de Dieu, ils ne voyaient plus que leurs règles:
Dieu guérit un homme. Mais cela, les pharisiens ne le voient pas!
Tout ce qu'ils voient, c'est qu'une infraction a été commise par rapport à leurs règlements: on ne peut pas transporter son brancard le sabbat! C'est interdit! Point.
Au lieu de se réjouir pour l'infirme, au lieu de rendre gloire à Dieu pour le miracle qui a été accompli, ces pharisiens s'indignent: on a violé le règlement!
L'ancien infirme tente alors de se justifier:
"Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !”
Voilà un élément intéressant!
L'infirme a été guéri par quelqu'un.
Un homme, avec un tel pouvoir, c'est sans doute au moins un prophète! Un homme de Dieu.
Cela aurait dû amener les pharisiens à réfléchir: Si un homme est capable de guérir quelqu'un de la sorte, c'est que Dieu est avec lui.
Et si Dieu est avec lui - et que cet homme dit "Prends ton brancard, et marche !” - alors c'est que Dieu est d'accord pour que l'infirme prenne son brancard et qu'il marche.
Mais que vont faire ces pharisiens?
Eh bien, au lieu de se poser toutes ces questions, ils vont simplement essayer de retrouver celui qui - ô crime! - s'est permis de commettre une infraction en guérissant un homme le jour du sabbat et en disant: "prends ton brancard et marche!"
Et lorsqu'ils découvrent que l'homme qui a guéri l'infirme est Jésus, que font-ils?
Quelle est alors la réponse du Seigneur?
"Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre"
Jésus leur met les faits sous les yeux:
Si cet infirme a pu être guéri, c'est que Dieu est à l'oeuvre! Forcément!
Et Jésus - qui fait la volonté de Dieu le Père - est donc à l'oeuvre, lui aussi!
Les pharisiens auraient pu en tirer au moins trois conclusions:
- C'est Dieu qui a permis cette guérison, un jour de sabbat. Dieu était nécessairement d'accord pour cela.
- Jésus sert Dieu le Père, il Lui obéit et fait Sa volonté. Il a donc tout à fait le droit d'agir le jour du sabbat, si c'est là ce que Dieu veut.
- L'homme qui fut guéri par Dieu un jour de sabbat avait parfaitement le droit de porter son brancard, puisque c'est Dieu qui le lui a demandé.
Seulement voilà: au lieu de tirer toutes ces conclusions, les pharisiens vont rester aveuglés par leurs règlements.
La réglementation dit "non", alors c'est "non":
- on ne transporte pas son brancard le jour du shabbat,
- on ne vient pas se faire guérir le jour du shabbat et on ne guérit pas le jour du sabbat,
- on ne cueille pas des épis pour les manger, le jour du sabbat,
- on doit impérativement avoir les mains parfaitement propres pour ne pas rendre la nourriture impure,
- il faut faire comme ceci,
- il faut faire comme cela,
- et c'est pas autrement!
A chaque fois, c'est la même chose!
Mais qui sommes nous, pauvres humains, pour dicter des ordres à Dieu et Lui dire comment Il doit faire les choses?
N'est-Il pas libre de faire comme Il veut, après tout?
Peut-on dire à Dieu: "Non! Ce n'est pas comme ça qu'il faut faire!" ?
Je ne connais pas bien Vassula Ryden (je ne sais pas grand chose d'elle, aussi je resterai prudente): j'ai juste vu une conférence qu'elle a donné.
Mais au cours de cette conférence, une phrase a retenu mon attention; à un moment, elle nous dit:
"Dieu n'est pas compliqué. Mais on le complique".
C'est bien vrai!
N'avons-nous pas tendance, parfois, à "pharisianiser", nous aussi?
N'avons-nous pas parfois tendance à faire passer nos petites règles, notre petite tradition - auxquelles nous sommes attachés - avant tout? A "compliquer" un peu les choses, par rapport à ce que Dieu nous demande réellement? (et qu'on ne fait déjà pas, en plus!)
J'ai le sentiment que nous sommes nombreux à commettre, tantôt, la même erreur que les pharisiens.
Et du coup, nous en perdons notre joie: nous devenons inquiets, nous sommes préoccupés, nous sommes facilement agacés par ceci, par cela... et nous avons bien du mal à produire les fruits que nous voudrions!
Le pape disait, fort justement:
Source: https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t31277-le-pape-francois-denonce-les-docteurs-de-la-loi-qui-ont-perdu-la-foi
Saint Paul écrivait:
Les cris de joie ont accompagné l'arche d'alliance, le roi David s'est mis à danser devant le Seigneur:
Saint Jean Bosco disait au jeune Saint Dominique Savio:
Le jeune Saint Dominique Savio - qui a bien compris le conseil - disait à son tour:
Qu'il serait agréable, dans l'Eglise du Seigneur, que l'on "pharisianise" un peu moins, que l'on aime un peu plus et que l'on soit davantage joyeux, que l'on soit des chrétiens plus "lumineux"!
Que Dieu nous donne sa joie! C'est elle qui nous rend lumineux, c'est elle qui nous permet de porter la lumière du Christ aux autres!
Amitiés
En parcourant un passage de l'évangile de Jean, une réflexion m'est venue à l'esprit et j'ai tenu à la partager avec vous.
Jean 5
01 Après cela, il y eut une fête juive, et Jésus monta à Jérusalem.
02 Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades,
03 sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents. [ 3b- 4]
05 Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans.
06 Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
07 Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
08 Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
09 Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat.
10 Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pieds : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
11 Il leur répliqua : « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” »
12 Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? »
13 Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, Jésus s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit.
14 Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. »
15 L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri.
16 Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
17 Jésus leur déclara : « Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre. »
"Prends ton brancard et marche!"
Jésus voit un pauvre infirme, qui attend depuis déjà 38 ans, de pouvoir guérir de son infirmité. Jésus prend la généreuse initiative de le guérir, puis il lui dit:
"Lève-toi, prends ton brancard et marche!"
L'homme obéit.
Sur son chemin, il croise des pharisiens.
Et quelle est donc la première chose que ces derniers trouvent à lui dire?
Ils lui disent: "C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard."
C'est incroyable, tout de même! Vous ne trouvez pas?
Nous avons là un homme qui est infirme depuis pas moins de 38 ans. Un homme que ces pharisiens devaient connaître, au moins de vue.
Et le voilà soudainement miraculeusement guéri!
Comment est-ce possible, sinon par un miracle de Dieu?
Mais quelle est la première chose que les pharisiens trouvent à lui dire, en le voyant debout?
"C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard."
Pas une seule seconde, il ne leur viendrait à l'esprit que, si cet homme a été miraculeusement guéri pendant le sabbat, c'est que Dieu est d'accord pour cela!
Et c'est donc que Dieu est également d'accord pour qu'il transporte son brancard (l'infirme ne va tout de même pas laisser le brancard au beau milieu de la rue!)
Les pharisiens étaient très zélés, mais ils avaient un défaut,: ils étaient complètement obnubilés par "la règle", la tradition des ancêtres, la façon dont il faut faire les choses.
Et ils étaient tellement obsédés par leurs règlements, qu'au lieu d'être à l'écoute de Dieu, ils ne voyaient plus que leurs règles:
06 Jésus leur répondit : « Isaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites, ainsi qu’il est écrit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi.
07 C’est en vain qu’ils me rendent un culte ; les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains.
08 Vous aussi, vous laissez de côté le commandement de Dieu, pour vous attacher à la tradition des hommes. »
Dieu guérit un homme. Mais cela, les pharisiens ne le voient pas!
Tout ce qu'ils voient, c'est qu'une infraction a été commise par rapport à leurs règlements: on ne peut pas transporter son brancard le sabbat! C'est interdit! Point.
Au lieu de se réjouir pour l'infirme, au lieu de rendre gloire à Dieu pour le miracle qui a été accompli, ces pharisiens s'indignent: on a violé le règlement!
L'ancien infirme tente alors de se justifier:
"Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !”
Voilà un élément intéressant!
L'infirme a été guéri par quelqu'un.
Un homme, avec un tel pouvoir, c'est sans doute au moins un prophète! Un homme de Dieu.
Cela aurait dû amener les pharisiens à réfléchir: Si un homme est capable de guérir quelqu'un de la sorte, c'est que Dieu est avec lui.
Et si Dieu est avec lui - et que cet homme dit "Prends ton brancard, et marche !” - alors c'est que Dieu est d'accord pour que l'infirme prenne son brancard et qu'il marche.
Mais que vont faire ces pharisiens?
Eh bien, au lieu de se poser toutes ces questions, ils vont simplement essayer de retrouver celui qui - ô crime! - s'est permis de commettre une infraction en guérissant un homme le jour du sabbat et en disant: "prends ton brancard et marche!"
12 Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? »
Et lorsqu'ils découvrent que l'homme qui a guéri l'infirme est Jésus, que font-ils?
16 Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
Quelle est alors la réponse du Seigneur?
"Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre"
Jésus leur met les faits sous les yeux:
Si cet infirme a pu être guéri, c'est que Dieu est à l'oeuvre! Forcément!
Et Jésus - qui fait la volonté de Dieu le Père - est donc à l'oeuvre, lui aussi!
Les pharisiens auraient pu en tirer au moins trois conclusions:
- C'est Dieu qui a permis cette guérison, un jour de sabbat. Dieu était nécessairement d'accord pour cela.
- Jésus sert Dieu le Père, il Lui obéit et fait Sa volonté. Il a donc tout à fait le droit d'agir le jour du sabbat, si c'est là ce que Dieu veut.
- L'homme qui fut guéri par Dieu un jour de sabbat avait parfaitement le droit de porter son brancard, puisque c'est Dieu qui le lui a demandé.
Seulement voilà: au lieu de tirer toutes ces conclusions, les pharisiens vont rester aveuglés par leurs règlements.
La réglementation dit "non", alors c'est "non":
- on ne transporte pas son brancard le jour du shabbat,
- on ne vient pas se faire guérir le jour du shabbat et on ne guérit pas le jour du sabbat,
- on ne cueille pas des épis pour les manger, le jour du sabbat,
- on doit impérativement avoir les mains parfaitement propres pour ne pas rendre la nourriture impure,
- il faut faire comme ceci,
- il faut faire comme cela,
- et c'est pas autrement!
A chaque fois, c'est la même chose!
Matthieu 12
02 Voyant cela, les pharisiens lui dirent : « Voilà que tes disciples font ce qu’il n’est pas permis de faire le jour du sabbat ! »
Mais qui sommes nous, pauvres humains, pour dicter des ordres à Dieu et Lui dire comment Il doit faire les choses?
N'est-Il pas libre de faire comme Il veut, après tout?
Peut-on dire à Dieu: "Non! Ce n'est pas comme ça qu'il faut faire!" ?
Je ne connais pas bien Vassula Ryden (je ne sais pas grand chose d'elle, aussi je resterai prudente): j'ai juste vu une conférence qu'elle a donné.
Mais au cours de cette conférence, une phrase a retenu mon attention; à un moment, elle nous dit:
"Dieu n'est pas compliqué. Mais on le complique".
C'est bien vrai!
N'avons-nous pas tendance, parfois, à "pharisianiser", nous aussi?
N'avons-nous pas parfois tendance à faire passer nos petites règles, notre petite tradition - auxquelles nous sommes attachés - avant tout? A "compliquer" un peu les choses, par rapport à ce que Dieu nous demande réellement? (et qu'on ne fait déjà pas, en plus!)
J'ai le sentiment que nous sommes nombreux à commettre, tantôt, la même erreur que les pharisiens.
Et du coup, nous en perdons notre joie: nous devenons inquiets, nous sommes préoccupés, nous sommes facilement agacés par ceci, par cela... et nous avons bien du mal à produire les fruits que nous voudrions!
Le pape disait, fort justement:
Ce n'est pas la doctrine froide qui donne de la joie, mais la foi et l'espérance de rencontrer Jésus. Il est triste de voir un croyant qui ne sait pas se réjouir. La joie d'Abraham qui exulte dans l'espérance de devenir père, comme promesse de Dieu, a donc guidé la réflexion du Pape François dans le commentaire des lectures du jour lors de la messe célébrée à Sainte-Marthe. Abraham est vieux, tout comme sa femme Sarah, mais il croit, il ouvre « le coeur à l'espérance » et il est « rempli de consolations ». Jésus rappelle aux docteurs de la loi que Abraham exulte dans l'espérance de voir son jour « et fut rempli de joie ».
« Et ceci est ce que ne comprennent pas ces docteurs de la loi, a expliqué le Pape. Ils ne comprennent pas la joie de la promesse. Ils ne comprennent pas la joie de l'alliance. Il ne comprennent pas ! Ils ne savent pas se réjouir, parce qu'ils ont perdu le sens de la joie, qui ne vient que de la foi. Notre père Abraham a été capable de se réjouir parce qu'il avait la foi, alors que les docteurs de la loi, eux, avaient perdu la foi ! Parce que le centre de la loi, c'est l'amour, l'amour pour Dieu et pour le prochain. »
« Ils n'avaient qu'un système de doctrine précise et qu'ils précisaient chaque jour pour que personne n'y touche, a poursuivi le Pape. Des hommes sans foi, sans loi, attachés aux doctrines, qui deviennent aussi une attitude casuistique : est-ce qu'on peut payer l'impôt à César, est-ce qu'on ne peut pas ? Cette femme, qui s'est marié sept fois, quand elle ira au Ciel, sera-t-elle l'épouse de ces sept hommes ? Cette casuistique, c'était leur monde, un monde abstrait, un monde sans amour, un monde sans foi, un monde sans espérance, un monde sans confiance, un monde sans Dieu. Et donc, ils ne pouvaient pas se réjouir ! »
« Peut-être que les docteurs de la loi, a observé le Pape avec ironie, peuvent aussi se divertir, mais sans joie, et avec peur. Ceci est la vie sans foi en Dieu, sans confiance en Dieu, sans espérance en Dieu. Et leur coeur était pétrifié. C'est triste, souligne François, d'être croyant sans joie. La joie, il n'y en a pas quand il n'y pas de foi, pas d'espérance, pas de loi, mais seulement les prescriptions, la doctrine froide. »
« La joie dans la foi, la joie de l'Évangile, est la pierre d'angle de la foi d'une personne, a conclu le Pape. Sans joie cette personne n'est pas un vrai croyant. Nous retournons à la maison, mais d'abord nous faisons la célébration avec ces paroles de Jésus : "Abraham, votre père, a exulté dans l'espérance de voir mon jour, il l'a vu, et fut rempli de joie". Et nous demandons au Seigneur la grâce de pouvoir voir Jésus, et la grâce de la joie. »
Source: https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t31277-le-pape-francois-denonce-les-docteurs-de-la-loi-qui-ont-perdu-la-foi
Saint Paul écrivait:
Galates 5
22 Mais voici le fruit de l’Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité,
23 douceur et maîtrise de soi. En ces domaines, la Loi n’intervient pas.
1 Thessaloniciens 5
16 Soyez toujours dans la joie,
17 priez sans relâche,
18 rendez grâce en toute circonstance : c’est la volonté de Dieu à votre égard dans le Christ Jésus.
Les cris de joie ont accompagné l'arche d'alliance, le roi David s'est mis à danser devant le Seigneur:
2 Samuel 6
2 On rapporta au roi David : « Le Seigneur a béni la maison d’Obed-Édom et tout ce qui lui appartient, à cause de l’arche de Dieu. » David partit alors et fit monter l’arche de Dieu de la maison d’Obed-Édom jusqu’à la Cité de David, au milieu des cris de joie.
13 Quand les porteurs de l’Arche eurent avancé de six pas, il offrit en sacrifice un taureau et un veau gras.
14 David, vêtu d’un pagne de lin, dansait devant le Seigneur, en tournoyant de toutes ses forces.
15 David et tout le peuple d’Israël firent monter l’arche du Seigneur parmi les ovations, au son du cor.
Psaume 9
03 pour toi, j'exulterai, je danserai, je fêterai ton nom, Dieu Très-Haut.
Saint Jean Bosco disait au jeune Saint Dominique Savio:
Ton devoir d’étudiant, la joie permanente au service des autres, voilà ta sainteté.
Le jeune Saint Dominique Savio - qui a bien compris le conseil - disait à son tour:
« ICI NOUS FAISONS CONSISTER LA SAINTETE A NOUS MAINTENIR TRES JOYEUX ». Notre mot d’ordre est : « Servez le Seigneur dans la joie »
Qu'il serait agréable, dans l'Eglise du Seigneur, que l'on "pharisianise" un peu moins, que l'on aime un peu plus et que l'on soit davantage joyeux, que l'on soit des chrétiens plus "lumineux"!
Que Dieu nous donne sa joie! C'est elle qui nous rend lumineux, c'est elle qui nous permet de porter la lumière du Christ aux autres!
Amitiés
tous artisans de paix- Enfant de Dieu
- Messages : 3430
Inscription : 17/06/2014
Re: Prends ton brancard et marche... dans la joie!
Merci , @tous artisans de paix , pour cette belle inspiration partagée qui invite à la méditation
Amicalement
Qu'il serait agréable, dans l'Eglise du Seigneur, que l'on "pharisianise" un peu moins, que l'on aime un peu plus et que l'on soit davantage joyeux, que l'on soit des chrétiens plus "lumineux"!
Amicalement
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Prends ton brancard et marche... dans la joie!
Merci tous artisans de paix C'est vrai que parfois on est plus comme Marthe a s'occuper des choses du quotidien que comme sa soeur Marie qui ne s'occupe que de la joie de la présence du Seigneur. Merci de nous avoir remis les idées en place
Elmalina- Aime le Rosaire
- Messages : 740
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Localisation : Gard
Inscription : 30/06/2014
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