Rêves sur les 3 hommes et les feuilles de papier d'un blanc lumineux

Dans mon rêve, Il y avait 3 hommes dans le noirs ( l'obscurité totale) et il avait été donné à chacun de ces trois hommes une feuille de papier d'un blanc lumineux identique qui donnait de sa lumière. Parmi ces trois hommes, deux ont pris leur feuille de papier et sont allé chacun dans un coin et ils faisaient ce qui semblait ressembler à des devoirs. Le troisième homme avait décidé de poser sa feuille de papier à terre, il s'est éloigné de sa feuille de papier et a choisi de faire la fête, de profiter de la vie, d'avoir du plaisir pendant que les deux autres, chacun dans leur coin faisaient leur devoirs. Après un moment, les cieux se sont ouvert et une silhouette d'un blanc aux éclats lumineux est descendu ( Il m'était impossible de voir le visage de celui qui était descendu). Par la suite, les deux hommes qui faisaient leur devoir, se sont approché de la silhouette et ont rendu leur feuille de papier, après un moment, leur feuille de papier se sont envolé dans les cieux et eux avec. En voyant ces choses, celui qui profitait de la vie, faisait la fête a été saisie d'une grande frayeur, il s'est empressé d'aller prendre sa feuille de papier et s'est présenté devant la silhouette lumineuse. Au moment où il a fait le geste de tendre sa feuille, une puissante voix s'est fait entendre. Cette voix avait dit: Aucun homme n'héritera du royaume des cieux à moins qu'il n'ait accomplit ces devoirs.
En entendant ces paroles, celui qui aimait profiter de la vie s'est aussitôt prosterné devant lui et il s'est mis à pleurer très amèrement. Il suppliait pour avoir une deuxième chance, il demandait pardon. Mais, la silhouette lumineuse est parti et les cieux se sont fermé sur cet homme. La feuille de papier blanche lumineuse qu'il avait avec lui ne donnait plus de lumière et cet homme s'est retrouvé dans une noirceur encore plus ténébreuse qu'avant. Et mon rêve s'est arrêté.

C'est un rêve rejouant la parabole des talents.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 25,14-30.