Le secrétaire d'État américain attendu au Vatican
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Le secrétaire d'État américain attendu au Vatican
Le secrétaire d'État américain attendu au Vatican
News.va
Hier à 21:09
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry est attendu ce mardi au Vatican où il rencontrera son homologue Mgr Pietro Parolin, ainsi que Mgr Dominique Mamberti, secrétaire des relations avec les Etats. Une visite diplomatique dont les discussions centrales devraient porter sur la Syrie, , à quelques jours de l’ouverture de la conférence internationale ‘Genève2. John Kerry était d’ailleurs ce lundi à Paris pour une conférence préparatoire à la réunion suisse, en compagnie de Serguei Lavrov, le chef de la diplomatie russe et de l’envoyé des Nations unies et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi.
Cette visite au Vatican est une reconnaissance des efforts du Saint-Siège dans le dossier de la crise syrienne. “Les Etats-Unis estiment que le Vatican joue un rôle important dans les efforts de paix à travers le monde“, précise un communiqué du porte-parole du secrétaire d’Etat américain, qui évoque également le “leadership“ du pape François dans ses prises de position sur le Moyen-Orient. Selon le communiqué, les principaux points abordés entre les 2 diplomates devraient être le processus de paix au Moyen-Orient ainsi que la pauvreté et la situation humanitaire de la région.
Trente ans de relations diplomatiques
Le Saint-Siège ne ménage pas en effet ses efforts pour aider à trouver une sortie de crise en Syrie. A l'initiative du Pape François, une conférence d'experts venus du monde entier était organisée ce lundi au siège de l’Académie pontificale des Sciences au Vatican pour apporter des contributions et des pistes à une solution de paix en Syrie. Cette conférence à huis clos était présidée par le cardinal Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux.
Mais cette venue du secrétaire d’état américain au Vatican n’est pas dictée uniquement par les dossiers chauds de la diplomatie internationale.
Cette visite marque également le 30e anniversaire des relations diplomatiques établies entre le Saint-Siège et les Etats-Unis.
A noter que John Kerry est le premier secrétaire d’Etat américain catholique depuis Edmund Muskie, qui a exercé son mandat de 1980 à 1981.(Avec Apic)
Photo: John Kerry.
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Hier à 21:09
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry est attendu ce mardi au Vatican où il rencontrera son homologue Mgr Pietro Parolin, ainsi que Mgr Dominique Mamberti, secrétaire des relations avec les Etats. Une visite diplomatique dont les discussions centrales devraient porter sur la Syrie, , à quelques jours de l’ouverture de la conférence internationale ‘Genève2. John Kerry était d’ailleurs ce lundi à Paris pour une conférence préparatoire à la réunion suisse, en compagnie de Serguei Lavrov, le chef de la diplomatie russe et de l’envoyé des Nations unies et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi.
Cette visite au Vatican est une reconnaissance des efforts du Saint-Siège dans le dossier de la crise syrienne. “Les Etats-Unis estiment que le Vatican joue un rôle important dans les efforts de paix à travers le monde“, précise un communiqué du porte-parole du secrétaire d’Etat américain, qui évoque également le “leadership“ du pape François dans ses prises de position sur le Moyen-Orient. Selon le communiqué, les principaux points abordés entre les 2 diplomates devraient être le processus de paix au Moyen-Orient ainsi que la pauvreté et la situation humanitaire de la région.
Trente ans de relations diplomatiques
Le Saint-Siège ne ménage pas en effet ses efforts pour aider à trouver une sortie de crise en Syrie. A l'initiative du Pape François, une conférence d'experts venus du monde entier était organisée ce lundi au siège de l’Académie pontificale des Sciences au Vatican pour apporter des contributions et des pistes à une solution de paix en Syrie. Cette conférence à huis clos était présidée par le cardinal Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux.
Mais cette venue du secrétaire d’état américain au Vatican n’est pas dictée uniquement par les dossiers chauds de la diplomatie internationale.
Cette visite marque également le 30e anniversaire des relations diplomatiques établies entre le Saint-Siège et les Etats-Unis.
A noter que John Kerry est le premier secrétaire d’Etat américain catholique depuis Edmund Muskie, qui a exercé son mandat de 1980 à 1981.(Avec Apic)
Photo: John Kerry.
Visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry au Vatican
La paix dans le monde et la lutte contre la pauvreté
Rome, 14 janvier 2014 (Zenit.org) Anita Bourdin
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry – un catholique - a été reçu mardi 14 janvier au Vatican par Mgr Pietro Parolin, son homologue au Saint-Siège, avec pour intérêts communs la paix dans le monde – spécialement au Moyen Orient -, la réconciliation entre les peuples et la lutte contre la pauvreté.
L’entretien a duré une heure quarante : de quoi faire taire les rumeurs de refroidissement des relations avec les Etats-Unis.
Ceux-ci reconnaissent au contraire le leadearship du pape et du Vatican pour la gestion de la crise syrienne notamment.
Mgr Dominique Mamberti, le secrétaire pour les relations avec les Etats – un Français -, ainsi que l’ambassadeur des Etats-Unis près le Saint-Siège, M. Ken Francis Hackett, ont participé à la rencontre.
A l’ordre du jour des entretiens : la Syrie et la conférence Genève-2, le Moyen Orient – dont les négociations entre Israéliens et Palestiniens, alors que M. Kerry achève un voyage dans la région -, le Soudan du Sud, mais aussi la situation à l’intérieur des Etats-Unis et les 30 ans de relations diplomatiques, établies sous le pontificat de Jean-Paul II en 1984. C'est en effet le 10 janvier 1984 que les Etats-Unis établissaient des relations diplomatiques avec le Saint-Siège et que le représentant personnel du président Ronald Reagan auprès du pape Jean-Paul II, son ami de Californie William Wilson, était nommé ambassadeur.
Le défi de la paix en Syrie
Pour le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, le P. Federico Lombardi, « la rencontre a été fructueuse, constructive et riche de contenu », selon Radio Vatican.
Une rencontre préparée en quelque sorte par le discours du pape aux ambassadeurs, hier, 13 janvier : le P. Lombardi a rappelé les propos du pape en précisant que « le désir d’une solution pacifique du conflit et l’engagement en faveur de l'aide humanitaire pour les populations éprouvées ».
Pour ce qui est de la crise du Soudan du Sud, également évoquée dans le discours du pape, et de la médiation actuelle, le Saint-Siège espère qu’une « entente entre les acteurs puisse aboutir à de bons résultats », ajoute la même source.
Pour ce qui est de la situation aux Etats-Unis, le Vatican a apporté son soutien à la position des évêques pour ce qui est« des règlements de la réforme de la santé en rapport avec la garantie de la liberté religieuse et de l’objection de conscience ». Les entretiens ont aussi porté sur le plan de lutte contre la pauvreté du président Barack Obama.
De la Syrie au Soudan en passant par Cuba
Le site Internet du secrétaire d’Etat américain indique pour sa part son « privilège » en tant que premier secrétaire d’Etat catholique depuis 32 ou 33 ans (Edmund Muskie a exercé son mandat en 1980- 1981, ndlr) et de rencontrer son homologue. Il a confié qu’il avait été servant d’autel et qu’alors il ne pouvait pas imaginer une telle rencontre au Vatican.
Il qualifie les conversations de « très, très intéressantes », d’abord, à propos de la Syrie, il a évoqué les paroles du pape le 13 janvier et a dit apprécier le soutien du Vatican à la conférence de Génève 2. Le pape dit-il est très préoccupé par le sort des réfugiés et le grand nombre de morts : 130.000.
Il dit avoir pu parler avec Mgr Parolin du processus de paix au Moyen Orient, alors que le voyage du pape est annoncé pour le mois de mai. Le Saint-Siège n’est pas seulement intéressé par ce qui concerne la paix, mais aussi le libre accès aux lieux saints par les croyants à Jérusalem.
En Afrique il cite la situation au Soudan du Sud : il rappelle que le président Kiir, est catholique et que le Saint-Siège et les Etats-Unis peuvent travailler ensemble à la paix dans ce pays aussi.
A propos de Cuba, « et du besoin de liberté religieuse », de « liberté», et de « respect des droits humains, John Kerry a cité le nom d’un prisonnier, Alan Gross, arrêté en décembre 2009. On se souvient que les voyages des papes Jean-Paul II et Benoît XVI avaient été l’occasion pour Cuba de libérer des prisonniers politiques.
Le secrétaire d’Etat américain souligne aussi, dans le discours du pape, son appel à la responsabilité dans la gestion de la création.
La situation aux Etats-Unis
Autre thème à l’ordre du jour : la lutte contre la pauvreté aux Etats-Unis et le plan Obama, mais aussi l’engagement humanitaire des Etats-Unis pour d’autres régions du monde (Afrique, Asie). Il y voit un autre « intérêt commun » avec le Saint-Siège et l’Eglise catholique, avec la paix et le travail en faveur de la réconciliation entre les peuples : c’est important, dit-il que tous les peuples soient des « artisans de paix ».
Enfin, toujours dans ce communiqué au terme de la rencontre, M. John Kerry annonce la préparation d’une visite du président Obama. Il a aussi félicité Mgr Parolin pour sa prochaine élévation au cardinalat.
Fin novembre 2013 la nouvelle du déménagement de l’ambassade des Etats-Unis près le Saint-Siège avait fait couler beaucoup d’encre : on y voyait un refroidissement des relations. Mais la décision était inspirée par un besoin de plus de sécurité : l’ambassade près le Saint-Siège se trouvait dans une villa assez isolée, et il était difficile de la protéger convenablement contre d’éventuelles attaques. Ses bureaux ont été transférés auprès de l’ambassade des Etats-Unis en Italie. L’ambassadeur Hackett avait expliqué les circonstances de ce déménagement dans un entretien accordé à Zenit.
(14 janvier 2014) © Innovative Media Inc.
Rome, 14 janvier 2014 (Zenit.org) Anita Bourdin
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry – un catholique - a été reçu mardi 14 janvier au Vatican par Mgr Pietro Parolin, son homologue au Saint-Siège, avec pour intérêts communs la paix dans le monde – spécialement au Moyen Orient -, la réconciliation entre les peuples et la lutte contre la pauvreté.
L’entretien a duré une heure quarante : de quoi faire taire les rumeurs de refroidissement des relations avec les Etats-Unis.
Ceux-ci reconnaissent au contraire le leadearship du pape et du Vatican pour la gestion de la crise syrienne notamment.
Mgr Dominique Mamberti, le secrétaire pour les relations avec les Etats – un Français -, ainsi que l’ambassadeur des Etats-Unis près le Saint-Siège, M. Ken Francis Hackett, ont participé à la rencontre.
A l’ordre du jour des entretiens : la Syrie et la conférence Genève-2, le Moyen Orient – dont les négociations entre Israéliens et Palestiniens, alors que M. Kerry achève un voyage dans la région -, le Soudan du Sud, mais aussi la situation à l’intérieur des Etats-Unis et les 30 ans de relations diplomatiques, établies sous le pontificat de Jean-Paul II en 1984. C'est en effet le 10 janvier 1984 que les Etats-Unis établissaient des relations diplomatiques avec le Saint-Siège et que le représentant personnel du président Ronald Reagan auprès du pape Jean-Paul II, son ami de Californie William Wilson, était nommé ambassadeur.
Le défi de la paix en Syrie
Pour le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, le P. Federico Lombardi, « la rencontre a été fructueuse, constructive et riche de contenu », selon Radio Vatican.
Une rencontre préparée en quelque sorte par le discours du pape aux ambassadeurs, hier, 13 janvier : le P. Lombardi a rappelé les propos du pape en précisant que « le désir d’une solution pacifique du conflit et l’engagement en faveur de l'aide humanitaire pour les populations éprouvées ».
Pour ce qui est de la crise du Soudan du Sud, également évoquée dans le discours du pape, et de la médiation actuelle, le Saint-Siège espère qu’une « entente entre les acteurs puisse aboutir à de bons résultats », ajoute la même source.
Pour ce qui est de la situation aux Etats-Unis, le Vatican a apporté son soutien à la position des évêques pour ce qui est« des règlements de la réforme de la santé en rapport avec la garantie de la liberté religieuse et de l’objection de conscience ». Les entretiens ont aussi porté sur le plan de lutte contre la pauvreté du président Barack Obama.
De la Syrie au Soudan en passant par Cuba
Le site Internet du secrétaire d’Etat américain indique pour sa part son « privilège » en tant que premier secrétaire d’Etat catholique depuis 32 ou 33 ans (Edmund Muskie a exercé son mandat en 1980- 1981, ndlr) et de rencontrer son homologue. Il a confié qu’il avait été servant d’autel et qu’alors il ne pouvait pas imaginer une telle rencontre au Vatican.
Il qualifie les conversations de « très, très intéressantes », d’abord, à propos de la Syrie, il a évoqué les paroles du pape le 13 janvier et a dit apprécier le soutien du Vatican à la conférence de Génève 2. Le pape dit-il est très préoccupé par le sort des réfugiés et le grand nombre de morts : 130.000.
Il dit avoir pu parler avec Mgr Parolin du processus de paix au Moyen Orient, alors que le voyage du pape est annoncé pour le mois de mai. Le Saint-Siège n’est pas seulement intéressé par ce qui concerne la paix, mais aussi le libre accès aux lieux saints par les croyants à Jérusalem.
En Afrique il cite la situation au Soudan du Sud : il rappelle que le président Kiir, est catholique et que le Saint-Siège et les Etats-Unis peuvent travailler ensemble à la paix dans ce pays aussi.
A propos de Cuba, « et du besoin de liberté religieuse », de « liberté», et de « respect des droits humains, John Kerry a cité le nom d’un prisonnier, Alan Gross, arrêté en décembre 2009. On se souvient que les voyages des papes Jean-Paul II et Benoît XVI avaient été l’occasion pour Cuba de libérer des prisonniers politiques.
Le secrétaire d’Etat américain souligne aussi, dans le discours du pape, son appel à la responsabilité dans la gestion de la création.
La situation aux Etats-Unis
Autre thème à l’ordre du jour : la lutte contre la pauvreté aux Etats-Unis et le plan Obama, mais aussi l’engagement humanitaire des Etats-Unis pour d’autres régions du monde (Afrique, Asie). Il y voit un autre « intérêt commun » avec le Saint-Siège et l’Eglise catholique, avec la paix et le travail en faveur de la réconciliation entre les peuples : c’est important, dit-il que tous les peuples soient des « artisans de paix ».
Enfin, toujours dans ce communiqué au terme de la rencontre, M. John Kerry annonce la préparation d’une visite du président Obama. Il a aussi félicité Mgr Parolin pour sa prochaine élévation au cardinalat.
Fin novembre 2013 la nouvelle du déménagement de l’ambassade des Etats-Unis près le Saint-Siège avait fait couler beaucoup d’encre : on y voyait un refroidissement des relations. Mais la décision était inspirée par un besoin de plus de sécurité : l’ambassade près le Saint-Siège se trouvait dans une villa assez isolée, et il était difficile de la protéger convenablement contre d’éventuelles attaques. Ses bureaux ont été transférés auprès de l’ambassade des Etats-Unis en Italie. L’ambassadeur Hackett avait expliqué les circonstances de ce déménagement dans un entretien accordé à Zenit.
(14 janvier 2014) © Innovative Media Inc.
Satisfaction de l'ambassadeur après la visite de John Kerry
Etats-Unis : satisfaction de l'ambassadeur après la visite de John Kerry
Espoirs de paix en Syrie
Rome, 16 janvier 2014 (Zenit.org) Anita Bourdin
L'ambassadeur des Etats-Unis près le Saint-Siège, Kenneth Hackett, se dit, au micro de Radio Vatican, très satisfait de la rencontre au Vatican, dans le cadre du 30e anniversaire des relations diplomatiques avec le Saint-Siège, marqué par la visite de John Kerry.
Le secrétaire d’État des États-Unis, John Kerry, a rencontré le Secrétaire d’État du Saint-Siège, Mgr Pietro Parolin, mardi 14 janvier: parmi les points à l'ordre du jour, comme Zenit l'indiquait alors, la situation en Syrie et la Conférence de paix Genève II qui s'ouvrira le 22 janvier, en vue de mettre fin au conflit.
Pour l’ambassadeur des États-Unis près le Saint-Siège qui y a participé, la renconre a été un succès : « C’était une rencontre très importante, qui a duré très longtemps (...). Nous avons abordé de nombreux sujets, en particulier celui de la Syrie, avec tous les espoirs et les attentes que suscite cette Conférence de paix ».
L'ambassadeur exprime sa conviction que la violence et la guerre ne sont pas la réponse aux problèmes du pays et ajoute: « Il n’y a pas eu le moindre désaccord entre nous sur la manière de procéder, quel que soit le sujet abordé ».
Pource qui est de Genève II, « les choses ne sont pas encore complètement arrêtées », a indiqué M. Hackett: « Je ne pense que tous les acteurs soient déjà fixés, mais on peut espérer que, des deux côtés, les bonnes personnes viendront à la table des négociations avec de bonnes intentions et qu’elles pourront lancer un processus capable d’aboutir à une transition dans ce pays et à la cessation des hostilités. »
Espoirs de paix en Syrie
Rome, 16 janvier 2014 (Zenit.org) Anita Bourdin
L'ambassadeur des Etats-Unis près le Saint-Siège, Kenneth Hackett, se dit, au micro de Radio Vatican, très satisfait de la rencontre au Vatican, dans le cadre du 30e anniversaire des relations diplomatiques avec le Saint-Siège, marqué par la visite de John Kerry.
Le secrétaire d’État des États-Unis, John Kerry, a rencontré le Secrétaire d’État du Saint-Siège, Mgr Pietro Parolin, mardi 14 janvier: parmi les points à l'ordre du jour, comme Zenit l'indiquait alors, la situation en Syrie et la Conférence de paix Genève II qui s'ouvrira le 22 janvier, en vue de mettre fin au conflit.
Pour l’ambassadeur des États-Unis près le Saint-Siège qui y a participé, la renconre a été un succès : « C’était une rencontre très importante, qui a duré très longtemps (...). Nous avons abordé de nombreux sujets, en particulier celui de la Syrie, avec tous les espoirs et les attentes que suscite cette Conférence de paix ».
L'ambassadeur exprime sa conviction que la violence et la guerre ne sont pas la réponse aux problèmes du pays et ajoute: « Il n’y a pas eu le moindre désaccord entre nous sur la manière de procéder, quel que soit le sujet abordé ».
Pource qui est de Genève II, « les choses ne sont pas encore complètement arrêtées », a indiqué M. Hackett: « Je ne pense que tous les acteurs soient déjà fixés, mais on peut espérer que, des deux côtés, les bonnes personnes viendront à la table des négociations avec de bonnes intentions et qu’elles pourront lancer un processus capable d’aboutir à une transition dans ce pays et à la cessation des hostilités. »
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