L'intégralité des apparitions de FATIMA - N° 1
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L'intégralité des apparitions de FATIMA - N° 1
Très chers amis, la situation désastreuse du Portugal et du monde émeut de pitié le Cœur de Marie.
A ALJUSTREL, elle jette son regard maternel sur deux familles cousines : les dos santos, dont la dernière fille, née en 1907, est Lucia, et les Marto, quelques maisons plus loins, où les deux derniers sont Francisco, né en 1908 et sa sœur Jacinta, née en 1910.
Grâce au catéchisme de Maria-Rosa, la maman de Lucie, les 3 enfants sont très pieux. Lucie catéchise à son tour, pour le plus grand bonheur de Jacinthe, suspendue à ses lèvres. François écoute et médite.
Chers frères et sœurs, nous devons l’histoire exacte des apparitions à l’aînée de ces trois cousins, devenue sœur Lucie, laquelle, à la demande de son évêque, en écrira le récit (de 1941 à 1989).
Ses cinq mémoires et autres documents écrits par elle suffisent à étayer l’essentiel des visions dont les trois enfants ont bénéficié.
Les dire de Lucie – responsable et peu communicative – corroborés par le témoignage de ses deux cousins, des familles, des témoins et des villageois, non moins que par celui de ses confesseurs et de son évêque, suffisent à en garantir l’authenticité.
Les historiens ultérieures n’apportent rien d’autre à la substance originelle connue seulement de Lucie, après la mort prématurée de ses deux compagnons.
Très chers frères et sœurs, aux abords de 1915, quant tout commence, les trois enfants sont très jeunes (8, 7 et 5 ans).
Déjà, Lucie se signale par son sérieux précoce, son entrain, qui la font reconnaître par toutes les fillettes du voisinage comme leur animatrice.
Elle devient bergère du petit troupeau de brebis paternel.
François et Jacinthe ne la rejoignent dans cet emploi qu’en 1916.
Maintenant, si vous le voulez bien, je souhaite vous parler des diverses apparitions célestes :
Tout d’abord, celle de l’ange en 1916 :
Alors dès 1915, par trois fois, Lucie et trois compagnes de jeux voient une forme humaine indistincte et brillante au-dessus des arbres.
Bien qu’intigrées, elles n’y prêtent guère attention. Et l’année passe sans incident.
En 1916, trois apparitions angéliques très précises inaugurent les communications célestes, destinées aux seuls trois petits cousins.
Elles ont lieu chaque fois à midi.
La première se passe un jour de printemps. Désormais, réunis, les trois petits bergers gardent leurs bêtes à l’ouest d’ALJUSTREL, sur le revers sud d’une colline appelée les VALINHOS, quand, aux alentours d’une grotte naturelle à ciel ouvert, dite la « loca du cabeço », leurs activités c.a.d jeux, déjeuner, chapelet ultrarapide sont arrêtées par la venue d’un ange, éclatant et jeûne.
Se dénommant « L’Ange de la paix, il leur demande de prier pour elles, se prosterne jusqu’au sol et leur apprend une première prière, théologale.
Il conclut son monologue en les incitant à avoir confiance dans les saints Cœurs de Jésus et de Marie.
Et voici ce que dit l’Ange de la Paix :
« Ne craignez pas, je suis l’Ange de la Paix. Priez avec moi !
Puis, s’agenouillant à terre, il baissa le front jusqu’au sol. Poussés par un mouvement surnaturel, les enfants l’ont imité et ils ont répété les paroles qu’ils lui entendaient prononcer :
Mon Dieu ! Je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon, pour ceux qui ne vous croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui n’aiment pas.
Après avoir répété trois fois cette prière, il se releva et nous dit :
Priez comme cela ! Les saints Cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs à la voix de vos supplications.
L’ange parti, les enfants, enveloppés par la Présence intime de Dieu, continuèrent à l’adorer ainsi prosternés. Ils obéirent au céleste messager et prirent l’habitude de réciter les prières demandées.
La deuxième se produit au milieu de l’été, vraisemblablement le jour de la fête de l’Ange gardien du Portugal (fixée traditionnellement au 3ème dimanche de juillet), près du puits de la maison de Lucie : « Soudain, nous vîmes le même ange … » se déclarant l’Ange gardien du pays. Il leur recommanda la prière et des sacrifices constants pour réparer le péché universel et attirer la miséricordieuse paix de Dieu sur leur patrie.
Ainsi, il a amorcé le dialogue avec les pastoureaux.
Voici ce qui a été dit :
L’ange dit : Que faites-vous ?
Les petits bergers, surpris, restent interdits.
Priez, priez beaucoup . Les Cœurs de Jésus et de Marie ont sur vous des desseins de miséricorde ! Offrez constamment au Très-Haut des prières et des sacrifices.
Lucie demanda alors au nom des trois, ingénument : « Comment ferons nous des sacrifices ? » L’ange reprit, à la manière d’un curé d’Ars :
« De tout ce que vous pourrez, offrez un sacrifice au Seigneur en acte de réparation pour les péchés par lesquels il est offensé et de supplication pour la conversion des pêcheurs : attirez aussi la paix sur votre patrie. J’en suis l’ange gardien, l’ange du Portugal. Surtout, acceptez et supportez avec soumission les souffrances que le Seigneur vous enverra ;
Dès ce moment, nous dit Lucie, nous avons commencé à offrir à Dieu tout ce qui nous mortifiait, mais sans chercher des pénitences particulières, sauf que nous restions des heures prosternés sur le sol à répéter la prière que l’ange nous avait apprise ».
Suite au N° 2
FABIENNE GUERRERO
A ALJUSTREL, elle jette son regard maternel sur deux familles cousines : les dos santos, dont la dernière fille, née en 1907, est Lucia, et les Marto, quelques maisons plus loins, où les deux derniers sont Francisco, né en 1908 et sa sœur Jacinta, née en 1910.
Grâce au catéchisme de Maria-Rosa, la maman de Lucie, les 3 enfants sont très pieux. Lucie catéchise à son tour, pour le plus grand bonheur de Jacinthe, suspendue à ses lèvres. François écoute et médite.
Chers frères et sœurs, nous devons l’histoire exacte des apparitions à l’aînée de ces trois cousins, devenue sœur Lucie, laquelle, à la demande de son évêque, en écrira le récit (de 1941 à 1989).
Ses cinq mémoires et autres documents écrits par elle suffisent à étayer l’essentiel des visions dont les trois enfants ont bénéficié.
Les dire de Lucie – responsable et peu communicative – corroborés par le témoignage de ses deux cousins, des familles, des témoins et des villageois, non moins que par celui de ses confesseurs et de son évêque, suffisent à en garantir l’authenticité.
Les historiens ultérieures n’apportent rien d’autre à la substance originelle connue seulement de Lucie, après la mort prématurée de ses deux compagnons.
Très chers frères et sœurs, aux abords de 1915, quant tout commence, les trois enfants sont très jeunes (8, 7 et 5 ans).
Déjà, Lucie se signale par son sérieux précoce, son entrain, qui la font reconnaître par toutes les fillettes du voisinage comme leur animatrice.
Elle devient bergère du petit troupeau de brebis paternel.
François et Jacinthe ne la rejoignent dans cet emploi qu’en 1916.
Maintenant, si vous le voulez bien, je souhaite vous parler des diverses apparitions célestes :
Tout d’abord, celle de l’ange en 1916 :
Alors dès 1915, par trois fois, Lucie et trois compagnes de jeux voient une forme humaine indistincte et brillante au-dessus des arbres.
Bien qu’intigrées, elles n’y prêtent guère attention. Et l’année passe sans incident.
En 1916, trois apparitions angéliques très précises inaugurent les communications célestes, destinées aux seuls trois petits cousins.
Elles ont lieu chaque fois à midi.
La première se passe un jour de printemps. Désormais, réunis, les trois petits bergers gardent leurs bêtes à l’ouest d’ALJUSTREL, sur le revers sud d’une colline appelée les VALINHOS, quand, aux alentours d’une grotte naturelle à ciel ouvert, dite la « loca du cabeço », leurs activités c.a.d jeux, déjeuner, chapelet ultrarapide sont arrêtées par la venue d’un ange, éclatant et jeûne.
Se dénommant « L’Ange de la paix, il leur demande de prier pour elles, se prosterne jusqu’au sol et leur apprend une première prière, théologale.
Il conclut son monologue en les incitant à avoir confiance dans les saints Cœurs de Jésus et de Marie.
Et voici ce que dit l’Ange de la Paix :
« Ne craignez pas, je suis l’Ange de la Paix. Priez avec moi !
Puis, s’agenouillant à terre, il baissa le front jusqu’au sol. Poussés par un mouvement surnaturel, les enfants l’ont imité et ils ont répété les paroles qu’ils lui entendaient prononcer :
Mon Dieu ! Je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon, pour ceux qui ne vous croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui n’aiment pas.
Après avoir répété trois fois cette prière, il se releva et nous dit :
Priez comme cela ! Les saints Cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs à la voix de vos supplications.
L’ange parti, les enfants, enveloppés par la Présence intime de Dieu, continuèrent à l’adorer ainsi prosternés. Ils obéirent au céleste messager et prirent l’habitude de réciter les prières demandées.
La deuxième se produit au milieu de l’été, vraisemblablement le jour de la fête de l’Ange gardien du Portugal (fixée traditionnellement au 3ème dimanche de juillet), près du puits de la maison de Lucie : « Soudain, nous vîmes le même ange … » se déclarant l’Ange gardien du pays. Il leur recommanda la prière et des sacrifices constants pour réparer le péché universel et attirer la miséricordieuse paix de Dieu sur leur patrie.
Ainsi, il a amorcé le dialogue avec les pastoureaux.
Voici ce qui a été dit :
L’ange dit : Que faites-vous ?
Les petits bergers, surpris, restent interdits.
Priez, priez beaucoup . Les Cœurs de Jésus et de Marie ont sur vous des desseins de miséricorde ! Offrez constamment au Très-Haut des prières et des sacrifices.
Lucie demanda alors au nom des trois, ingénument : « Comment ferons nous des sacrifices ? » L’ange reprit, à la manière d’un curé d’Ars :
« De tout ce que vous pourrez, offrez un sacrifice au Seigneur en acte de réparation pour les péchés par lesquels il est offensé et de supplication pour la conversion des pêcheurs : attirez aussi la paix sur votre patrie. J’en suis l’ange gardien, l’ange du Portugal. Surtout, acceptez et supportez avec soumission les souffrances que le Seigneur vous enverra ;
Dès ce moment, nous dit Lucie, nous avons commencé à offrir à Dieu tout ce qui nous mortifiait, mais sans chercher des pénitences particulières, sauf que nous restions des heures prosternés sur le sol à répéter la prière que l’ange nous avait apprise ».
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FABIENNE GUERRERO
Fabienne Guerrero- Avec Saint Joseph
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