MARIA SIMMA ET LES AMES DU PURGATOIRE - N0 1
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MARIA SIMMA ET LES AMES DU PURGATOIRE - N0 1
Chers amis,
J'ai trouvé un article très intéressant sur Maria Simma, âme victime
pour les âmes du purgatoire.
Mondialement connue, décédée le 16 mars
Maria Simma (1915-2004)
Le 16 mars 2004 mourait Maria Simma, mondialement connues pour ses relations avec les âmes du purgatoires. La sépulture a eu lieu le 19 mars, fête de saint Joseph, à Sonntag, en Autriche, où elle habitait.
Maria Simma est née le 5 février 1915. Elle avait donc 89 ans à son décès.
Elle a écrit le livre «Les âmes du Purgatoire m’ont dit» relatant une partie de ses expériences avec les âme du purgatoire. Ce livre a été édité par Christiana Verlag, CH 8260 Stein am Rhein, Suisse. Ce livre a connu un tirage extraordinaire: 170 000 en allemand et 60 000 en français.
Maria Simma donnait des conférences pour faire connaître aux gens les souffrances des âmes du purgatoire et les incitait à faire célébrer des Messes pour elles, afin d’aider à les libérer de leurs tourments et de leur permettre d’entrer dans la céleste félicité au plus tôt. Une charité que l’on oublie trop souvent de faire même pour nos parents et amis.
Maria Simma recevait un courrier abondant et elle y répondait.
Première visite d’une âme du purgatoire
Dans son livre, Maria Simma raconte:
C’est en 1940 que se manifesta pour la première fois à moi une âme du purgatoire. Entendant quelqu’un aller et venir dans ma chambre, je m’éveillai. Je regardai qui pouvait bien être dans ma chambre. ...
Je vis alors un étranger qui allait et venait lentement. Je l’interpellai d’un ton bourru. «Comment es-tu entré ici? Qu’as-tu perdu? ... Je bondis de mon lit et je voulus l’empoigner. Je ne saisis que de l’air, il n’y avait plus rien... Je retournai au lit et l’entendis de nouveau aller et venir...
Une fois encore je me levai, je marchai lentement vers lui, je voulus l’arrêter..., une fois encore je fonçai dans le vide. Il n’y avait plus rien...
Après la messe, j’allai chez mon directeur spirituel et lui racontai tout. «S’il arrive encore quelque chose de semblable, ne demande pas «qui es-tu?» mais «que veux-tu ?»
La nuit suivante, il revint: c’était le même homme que la nuit précédente. Je lui demandai: Que veux-tu de moi? ...» Il me répondit: «Fais célébrer trois messes pour moi et je serai délivré.»
Je sus alors que ce devait être une âme du purgatoire. Je le dis à mon directeur qui me confirma la chose.
De 1940 à 1953, il venait chaque année deux ou trois âmes seulement, le plus souvent au mois de novembre. Je ne voyais là aucune mission spéciale à remplir. Je le dis à mon curé Alphonse Matt qui était aussi mon directeur spirituel. Il me conseilla de ne jamais écarter une âme du purgatoire et de tout accepter généreusement.
Souffrances expiatoires
Des âmes du purgatoire me demandèrent aussi de souffrir pour elles. Ce furent de grandes souffrances. Quand une âme vient, elle me réveille en me frappant ou en m’appelant ... Je lui demande aussitôt: «Que veux-tu?» ou «Que dois-je faire?» Ce n’est qu’alors qu’elle peut me dire ce qui lui manque.
Ainsi, une âme me demanda: «Souffrirais-tu pour nous?» ... Je lui répondis donc: «Oui, mais que dois-je donc faire pour cela?» Elle me dit: «Trois heures durant, tu éprouveras de grandes douleurs dans tout ton corps; mais au bout de ces trois heures tu pourras te lever et vaquer à tes occupations comme si rien n’était. Tu peux ainsi m’enlever vingt ans de purgatoire.»
J’acceptai. De telles douleurs me saisirent alors qu’à peine savais-je où j’étais, bien que restant consciente d’avoir accepté, en expiation pour une âme, ces souffrances qui devaient durer trois heures. Il me semblait que ces trois heures devaient être depuis longtemps passées, et qu’il s’agissait bien plutôt de trois jours, sinon trois semaines. Quand tout fut terminé et que je me renseignai, il s’était bien passé trois heures seulement. Souvent je ne devais souffrir que cinq minutes; mais que ce temps me paraissait long!
Les apparitions connues par le public
En 1954, — c’était l’année mariale — il venait chaque nuit des âmes. Parfois, elles disaient qui elles étaient. Elles me chargeaient de telle ou telle commission pour leur parenté. C’est ainsi que les apparitions ont été peu à peu connues du public. J’ai dû transmettre ces commissions jusque dans des villages qui m’étaient tout à fait inconnus. Parfois aussi, je devais annoncer que la parenté avait à rendre un bien mal acquis, qui était exactement désigné.
Connaissez-vous les âmes qui s’adressent à vous, me demande-t-on? Celles que j’ai connues jadis, je les reconnais tout de suite; les au-tres, non, à moins qu’elles ne me disent qui elles sont.
Que savent de nous les âmes du purgatoire?
Les âmes savent beaucoup plus long que nous ne le pensons, sur nous et sur ce qui nous arrive. Elles savent, par exemple, qui prend part à leur sépulture, si l’on y prie ou si l’on n’y va seulement que pour faire acte de présence, sans dire un seul mot de prière, ce qui est souvent le cas. ... Les âmes savent aussi tout ce qu’on dit d’elles, ce qu’on fait pour elles; elles sont toutes proches de nous.
Secours aux âmes du purgatoire
Le secours le plus précieux que nous puissions donner aux âmes, est sans aucun doute la messe, mais dans la mesure seulement où les défunts en ont eu l’estime de leur vivant.
Il n’y a pas seulement les messes des jours d’obligation — dimanches et fêtes — qui comptent, mais aussi celles des jours de semaine... Il y a bien des gens qui pourraient y aller sans manquer à leur devoir: les retraités par exemple, qui sont en bonne santé, solides sur leurs jambes, qui habitent près de l’église, mais se disent: «Le dimanche, j’y suis obligé; mais pas pendant le semaine, donc je n’y vais pas».
Ceux qui pensent et agissent ainsi doivent attendre longtemps après leur mort pour qu’une messe leur pofite, parce qu’ils en ont fait peu de cas pendant leur vie...
Si l’on savait quel est le prix de la messe pour l’éternité, les églises seraient pleines, même les jours de semaine. A l’heure de la mort, les messes auxquelles nous avons assisté avec piété durant notre vie, sont notre plus grand trésor; elles ont pour nous plus de valeur que les messes qui sont célébrées pour nous après notre mort.
Parents et éducateurs se plaignent que les enfants sont, de nos jours, si insolents et si désobéissants. Ce n’est pas là un effet du hasard: autrefois, les enfants assistaient chaque jour à la messe des écoliers (Autriche); la prière et la communion leur donnaient la force d’être obéissants et fidèles à leur devoir.
Suite au N0 2
SAINTE ANNEE 2008 A TOUTES ET A TOUS.
FABIENNE GUERRERO
J'ai trouvé un article très intéressant sur Maria Simma, âme victime
pour les âmes du purgatoire.
Mondialement connue, décédée le 16 mars
Maria Simma (1915-2004)
Le 16 mars 2004 mourait Maria Simma, mondialement connues pour ses relations avec les âmes du purgatoires. La sépulture a eu lieu le 19 mars, fête de saint Joseph, à Sonntag, en Autriche, où elle habitait.
Maria Simma est née le 5 février 1915. Elle avait donc 89 ans à son décès.
Elle a écrit le livre «Les âmes du Purgatoire m’ont dit» relatant une partie de ses expériences avec les âme du purgatoire. Ce livre a été édité par Christiana Verlag, CH 8260 Stein am Rhein, Suisse. Ce livre a connu un tirage extraordinaire: 170 000 en allemand et 60 000 en français.
Maria Simma donnait des conférences pour faire connaître aux gens les souffrances des âmes du purgatoire et les incitait à faire célébrer des Messes pour elles, afin d’aider à les libérer de leurs tourments et de leur permettre d’entrer dans la céleste félicité au plus tôt. Une charité que l’on oublie trop souvent de faire même pour nos parents et amis.
Maria Simma recevait un courrier abondant et elle y répondait.
Première visite d’une âme du purgatoire
Dans son livre, Maria Simma raconte:
C’est en 1940 que se manifesta pour la première fois à moi une âme du purgatoire. Entendant quelqu’un aller et venir dans ma chambre, je m’éveillai. Je regardai qui pouvait bien être dans ma chambre. ...
Je vis alors un étranger qui allait et venait lentement. Je l’interpellai d’un ton bourru. «Comment es-tu entré ici? Qu’as-tu perdu? ... Je bondis de mon lit et je voulus l’empoigner. Je ne saisis que de l’air, il n’y avait plus rien... Je retournai au lit et l’entendis de nouveau aller et venir...
Une fois encore je me levai, je marchai lentement vers lui, je voulus l’arrêter..., une fois encore je fonçai dans le vide. Il n’y avait plus rien...
Après la messe, j’allai chez mon directeur spirituel et lui racontai tout. «S’il arrive encore quelque chose de semblable, ne demande pas «qui es-tu?» mais «que veux-tu ?»
La nuit suivante, il revint: c’était le même homme que la nuit précédente. Je lui demandai: Que veux-tu de moi? ...» Il me répondit: «Fais célébrer trois messes pour moi et je serai délivré.»
Je sus alors que ce devait être une âme du purgatoire. Je le dis à mon directeur qui me confirma la chose.
De 1940 à 1953, il venait chaque année deux ou trois âmes seulement, le plus souvent au mois de novembre. Je ne voyais là aucune mission spéciale à remplir. Je le dis à mon curé Alphonse Matt qui était aussi mon directeur spirituel. Il me conseilla de ne jamais écarter une âme du purgatoire et de tout accepter généreusement.
Souffrances expiatoires
Des âmes du purgatoire me demandèrent aussi de souffrir pour elles. Ce furent de grandes souffrances. Quand une âme vient, elle me réveille en me frappant ou en m’appelant ... Je lui demande aussitôt: «Que veux-tu?» ou «Que dois-je faire?» Ce n’est qu’alors qu’elle peut me dire ce qui lui manque.
Ainsi, une âme me demanda: «Souffrirais-tu pour nous?» ... Je lui répondis donc: «Oui, mais que dois-je donc faire pour cela?» Elle me dit: «Trois heures durant, tu éprouveras de grandes douleurs dans tout ton corps; mais au bout de ces trois heures tu pourras te lever et vaquer à tes occupations comme si rien n’était. Tu peux ainsi m’enlever vingt ans de purgatoire.»
J’acceptai. De telles douleurs me saisirent alors qu’à peine savais-je où j’étais, bien que restant consciente d’avoir accepté, en expiation pour une âme, ces souffrances qui devaient durer trois heures. Il me semblait que ces trois heures devaient être depuis longtemps passées, et qu’il s’agissait bien plutôt de trois jours, sinon trois semaines. Quand tout fut terminé et que je me renseignai, il s’était bien passé trois heures seulement. Souvent je ne devais souffrir que cinq minutes; mais que ce temps me paraissait long!
Les apparitions connues par le public
En 1954, — c’était l’année mariale — il venait chaque nuit des âmes. Parfois, elles disaient qui elles étaient. Elles me chargeaient de telle ou telle commission pour leur parenté. C’est ainsi que les apparitions ont été peu à peu connues du public. J’ai dû transmettre ces commissions jusque dans des villages qui m’étaient tout à fait inconnus. Parfois aussi, je devais annoncer que la parenté avait à rendre un bien mal acquis, qui était exactement désigné.
Connaissez-vous les âmes qui s’adressent à vous, me demande-t-on? Celles que j’ai connues jadis, je les reconnais tout de suite; les au-tres, non, à moins qu’elles ne me disent qui elles sont.
Que savent de nous les âmes du purgatoire?
Les âmes savent beaucoup plus long que nous ne le pensons, sur nous et sur ce qui nous arrive. Elles savent, par exemple, qui prend part à leur sépulture, si l’on y prie ou si l’on n’y va seulement que pour faire acte de présence, sans dire un seul mot de prière, ce qui est souvent le cas. ... Les âmes savent aussi tout ce qu’on dit d’elles, ce qu’on fait pour elles; elles sont toutes proches de nous.
Secours aux âmes du purgatoire
Le secours le plus précieux que nous puissions donner aux âmes, est sans aucun doute la messe, mais dans la mesure seulement où les défunts en ont eu l’estime de leur vivant.
Il n’y a pas seulement les messes des jours d’obligation — dimanches et fêtes — qui comptent, mais aussi celles des jours de semaine... Il y a bien des gens qui pourraient y aller sans manquer à leur devoir: les retraités par exemple, qui sont en bonne santé, solides sur leurs jambes, qui habitent près de l’église, mais se disent: «Le dimanche, j’y suis obligé; mais pas pendant le semaine, donc je n’y vais pas».
Ceux qui pensent et agissent ainsi doivent attendre longtemps après leur mort pour qu’une messe leur pofite, parce qu’ils en ont fait peu de cas pendant leur vie...
Si l’on savait quel est le prix de la messe pour l’éternité, les églises seraient pleines, même les jours de semaine. A l’heure de la mort, les messes auxquelles nous avons assisté avec piété durant notre vie, sont notre plus grand trésor; elles ont pour nous plus de valeur que les messes qui sont célébrées pour nous après notre mort.
Parents et éducateurs se plaignent que les enfants sont, de nos jours, si insolents et si désobéissants. Ce n’est pas là un effet du hasard: autrefois, les enfants assistaient chaque jour à la messe des écoliers (Autriche); la prière et la communion leur donnaient la force d’être obéissants et fidèles à leur devoir.
Suite au N0 2
SAINTE ANNEE 2008 A TOUTES ET A TOUS.
FABIENNE GUERRERO
Fabienne Guerrero- Avec Saint Joseph
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