Plus de miracles à Lourdes ???
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Plus de miracles à Lourdes ???
Miracles de Lourdes : revers pour Mgr Perrier
POSTED ON 20 JUILLET 2013 BY MAXIMILIEN BERNARD IN DIOCÈSES, EGLISE EN FRANCE, EN UNE, PEREPISCOPUS
Sur son blogue, Yves Daoudal constate que la tentative de l’ancien évêque de Lourdes a lamentablement échoué :
« Mgr Jacques Perrier a été l’évêque de Lourdes de 1997 à 2012. En 2006, il a décrété que la Sainte Vierge ne ferait plus de miracles dans cette ville. Mais si les évêques français ont dit amen, ce n’est pas le cas des évêques d’ailleurs. Et l’évêque de Pavie, Mgr Giovanni Giudici, vient de publier un décret par lequel il reconnaît officiellement la « guérison prodigieuse » de Danila Castelli comme un « miracle »…
Or, comme il s’agit de la 69e guérison reconnue inexplicable par les médecins, ratifiée par un évêque, la précédente (en 2011) devient ipso facto le 68e miracle, alors que Mgr Delmas, l’évêque d’Angers, avait pris soin de ne pas aller au-delà du terme de guérison « remarquable » (le mot des médecin, mis entre guillemets) pour se conformer au diktat de Mgr Perrier.
En mars 2011, j’avais évoqué, dans Daoudal Hebdo, l’incroyable « réforme » de Mgr Perrier, et expliqué pourquoi elle était illégitime (outre l’affront fait à la Sainte Vierge).
Ce qui est extraordinaire est que cette réforme de 2006, qui fixe les trois étapes de reconnaissance de la guérison, continue de parler de miracle. C’est à la fin de la troisième étape, celle de la guérison ratifiée. C’est-à-dire d’abord certifiée comme exceptionnelle par le CMIL, selon les sept critères de Lambertini, puis proclamée par l’évêque du diocèse du guéri, qui fait une reconnaissance canonique du miracle.
Mais on a décidé que l’on ne pouvait plus jamais aller jusque-là, parce que, selon Mgr Perrier, « l’application de certains des critères de Lambertini est aujourd’hui presque toujours impossible : les diagnostics se prétendent rarement infaillibles ; tout malade a bénéficié d’un traitement ; une dimension psychique est toujours impliquée ».
C’est ahurissant. Voici les critères de Lambertini (cardinal Lambertini, futur Benoît XIV), tels qu’ils sont donnés par Mgr Perrier lui-même :
1. la maladie doit avoir un caractère de gravité, avec un pronostic défavorable,
2. la réalité et le diagnostic de la maladie doivent être assurés et précis,
3. la maladie doit être uniquement organique, lésionnelle,
4. un éventuel traitement ne doit pas avoir été à l’origine de la guérison,
5. la guérison doit être subite, soudaine, instantanée,
6. la reprise des fonctions doit être complète, sans convalescence,
7. il ne s’agit pas d’une rémission mais d’une guérison durable.
Or il n’est pas dit que le diagnostic est donné comme « infaillible », et les critères ne supposent absolument pas que le malade n’a jamais reçu de traitement. Reste la « dimension psychique », qui est donc le prétexte invoqué pour ne pas reconnaître le miracle. Il est pitoyable, mais en effet radical. Comme les critères n’évoquent pas la dimension psychique, et comme il y a une dimension psychique dans toute guérison, quelle qu’elle soit, exit toute possibilité de miracle.
(…) Y aura-t-il un évêque pour passer outre le diktat de Mgr Perrier, et publier une reconnaissance canonique de la guérison miraculeuse du miraculé de son diocèse ?
Car enfin, Mgr Perrier n’est pas propriétaire des non-miracles de Lourdes, et sa décision, qui est un affront à la Sainte Vierge et à Dieu lui-même, est totalement illégitime. Ou alors il est urgent qu’il explique au pape qu’il ne doit plus y avoir de béatifications ni de canonisations (sauf martyre).
Car pour qu’un chrétien soit béatifié, puis canonisé, il faut qu’un miracle soit reconnu.
Or, comment la congrégation pour la cause des saints reconnaît-elle un miracle ? En utilisant les critères de Lambertini. Car c’est précisément pour les canonisations que le cardinal Lambertini avait mis au point ces critères. A Rome, on ne sait pas encore que « l’application de certains des critères de Lambertini est aujourd’hui presque toujours impossible ».
Enfin, s’il ne peut plus y avoir de guérisons miraculeuses à Lourdes, il est bien évident qu’il n’y en a pas non plus dans les évangiles. Mais cela, ce n’est pas nouveau…
Source :
http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/miracles-de-lourdes-revers-pour-mgr-perrier#.UetuMxa2-Xo
POSTED ON 20 JUILLET 2013 BY MAXIMILIEN BERNARD IN DIOCÈSES, EGLISE EN FRANCE, EN UNE, PEREPISCOPUS
Sur son blogue, Yves Daoudal constate que la tentative de l’ancien évêque de Lourdes a lamentablement échoué :
« Mgr Jacques Perrier a été l’évêque de Lourdes de 1997 à 2012. En 2006, il a décrété que la Sainte Vierge ne ferait plus de miracles dans cette ville. Mais si les évêques français ont dit amen, ce n’est pas le cas des évêques d’ailleurs. Et l’évêque de Pavie, Mgr Giovanni Giudici, vient de publier un décret par lequel il reconnaît officiellement la « guérison prodigieuse » de Danila Castelli comme un « miracle »…
Or, comme il s’agit de la 69e guérison reconnue inexplicable par les médecins, ratifiée par un évêque, la précédente (en 2011) devient ipso facto le 68e miracle, alors que Mgr Delmas, l’évêque d’Angers, avait pris soin de ne pas aller au-delà du terme de guérison « remarquable » (le mot des médecin, mis entre guillemets) pour se conformer au diktat de Mgr Perrier.
En mars 2011, j’avais évoqué, dans Daoudal Hebdo, l’incroyable « réforme » de Mgr Perrier, et expliqué pourquoi elle était illégitime (outre l’affront fait à la Sainte Vierge).
Ce qui est extraordinaire est que cette réforme de 2006, qui fixe les trois étapes de reconnaissance de la guérison, continue de parler de miracle. C’est à la fin de la troisième étape, celle de la guérison ratifiée. C’est-à-dire d’abord certifiée comme exceptionnelle par le CMIL, selon les sept critères de Lambertini, puis proclamée par l’évêque du diocèse du guéri, qui fait une reconnaissance canonique du miracle.
Mais on a décidé que l’on ne pouvait plus jamais aller jusque-là, parce que, selon Mgr Perrier, « l’application de certains des critères de Lambertini est aujourd’hui presque toujours impossible : les diagnostics se prétendent rarement infaillibles ; tout malade a bénéficié d’un traitement ; une dimension psychique est toujours impliquée ».
C’est ahurissant. Voici les critères de Lambertini (cardinal Lambertini, futur Benoît XIV), tels qu’ils sont donnés par Mgr Perrier lui-même :
1. la maladie doit avoir un caractère de gravité, avec un pronostic défavorable,
2. la réalité et le diagnostic de la maladie doivent être assurés et précis,
3. la maladie doit être uniquement organique, lésionnelle,
4. un éventuel traitement ne doit pas avoir été à l’origine de la guérison,
5. la guérison doit être subite, soudaine, instantanée,
6. la reprise des fonctions doit être complète, sans convalescence,
7. il ne s’agit pas d’une rémission mais d’une guérison durable.
Or il n’est pas dit que le diagnostic est donné comme « infaillible », et les critères ne supposent absolument pas que le malade n’a jamais reçu de traitement. Reste la « dimension psychique », qui est donc le prétexte invoqué pour ne pas reconnaître le miracle. Il est pitoyable, mais en effet radical. Comme les critères n’évoquent pas la dimension psychique, et comme il y a une dimension psychique dans toute guérison, quelle qu’elle soit, exit toute possibilité de miracle.
(…) Y aura-t-il un évêque pour passer outre le diktat de Mgr Perrier, et publier une reconnaissance canonique de la guérison miraculeuse du miraculé de son diocèse ?
Car enfin, Mgr Perrier n’est pas propriétaire des non-miracles de Lourdes, et sa décision, qui est un affront à la Sainte Vierge et à Dieu lui-même, est totalement illégitime. Ou alors il est urgent qu’il explique au pape qu’il ne doit plus y avoir de béatifications ni de canonisations (sauf martyre).
Car pour qu’un chrétien soit béatifié, puis canonisé, il faut qu’un miracle soit reconnu.
Or, comment la congrégation pour la cause des saints reconnaît-elle un miracle ? En utilisant les critères de Lambertini. Car c’est précisément pour les canonisations que le cardinal Lambertini avait mis au point ces critères. A Rome, on ne sait pas encore que « l’application de certains des critères de Lambertini est aujourd’hui presque toujours impossible ».
Enfin, s’il ne peut plus y avoir de guérisons miraculeuses à Lourdes, il est bien évident qu’il n’y en a pas non plus dans les évangiles. Mais cela, ce n’est pas nouveau…
Source :
http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/miracles-de-lourdes-revers-pour-mgr-perrier#.UetuMxa2-Xo
Re: Plus de miracles à Lourdes ???
Bonjour Malou,
Merci Malou pour ce bel article. Si j'ai bien compris, on ne reconnaît plus les miracles à Lourdes comme étant des miracles, il faut des conditions particulières établies par Mgr Perrier pour que ça soit reconnu comme des miracles. Ben minice alors!
La Sainte Vierge doit se sentir en effet terriblement offensée, et Dieu par-dessus tout, c'est défier son autorité si je peux m'exprimer ainsi.
La Sainte Vierge reviendra-t'elle après ce terrible affront?
Et pour Medjugorje, qu'en-est-il?
Merci Malou pour ce bel article. Si j'ai bien compris, on ne reconnaît plus les miracles à Lourdes comme étant des miracles, il faut des conditions particulières établies par Mgr Perrier pour que ça soit reconnu comme des miracles. Ben minice alors!
La Sainte Vierge doit se sentir en effet terriblement offensée, et Dieu par-dessus tout, c'est défier son autorité si je peux m'exprimer ainsi.
La Sainte Vierge reviendra-t'elle après ce terrible affront?
Et pour Medjugorje, qu'en-est-il?
Invité- Invité
Re: Plus de miracles à Lourdes ???
Bonjour Jérémie,
Pas de nouvelles encore de Medjugorje ! Le dossier est toujours à l'étude au Vatican.
Bon dimanche !
Pas de nouvelles encore de Medjugorje ! Le dossier est toujours à l'étude au Vatican.
Bon dimanche !
Re: Plus de miracles à Lourdes ???
Il existe aussi des conversions spirituelles, des retours aux sacrements et à la prières de certains catho, mais aussi des miracles pour des malades et là même si cela n'entre pas dans les critères de publication du sanctuaire, la valeur spirituelle pour le malade guérie est tout autre et il rend grâce à DIEU pour cela.
69ème guérison miraculeuse à LOURDES
Il fallait qu'on en parle, aujourd'hui on apprend :
http://www.leparisien.fr/societe/video-danila-est-la-69e-miraculee-officielle-de-lourdes-21-07-2013-2997441.php
VIDEO. Danila est la 69e miraculée officielle de Lourdes
A.R. | Publié le 21.07.2013, 13h27
L'Italienne Danila Castelli est officiellement devenue vendredi la 69e miraculée des Sanctuaires de Lourdes. | (capture écran YouTube) 16 réactionsRéagir Le protocole est long et nécessite une série de réunions, des analyses médicales et un vote final. Mais vendredi, vingt-quatre ans après s'être signalée auprès du Bureau des constatations de Lourdes, Danila Castelli est officiellement devenue la 69e miraculée du centre de pèlerinage catholique des Hautes-Pyrénées.Neuf mois après sa compatriote la soeur Luigina Traverso, l'Italienne de 67 ans a été reconnue «guérison miraculeuse» par l'évêque de son diocèse de Pavie, Mgr Giovanni Giudici.
Selon le site des Sanctuaires de Notre-Dame de Lourdes, c'est à l'âge de 34 ans que tout bascule pour cette mère de famille jusqu'alors en pleine forme. Une hypertension aiguë handicape son quotidien. Elle souffre de graves problèmes de santé. Des examens mettent en évidence des tumeurs dans la zone de l'appareil utéro-génital. Danila doit alors subir plusieurs opérations, dont l'ablation de l'utérus, et celle, partielle, du pancréas, de la vessie et du vagin. Mais aucun traitement n'est efficace.
Epouse d'un médecin
En mai 1989, elle se baigne dans les piscines du Sanctuaire et ressent un «extraordinaire bien-être». Ses maux ont disparu. La maladie s'est envolée.
Après cinq réunions en 1989, 1992, 1994, 1997 et 2010, le Bureau admet la guérison «sans relations aux interventions et aux traitements» par un vote unanime. En novembre 2011, le Comité médical international de Lourdes (Cmil) certifie ensuite «que le mode de sa guérison reste inexpliqué dans l'état actuel des connaissances scientifiques».
«Notre mission n'est pas de construire des miracles, Lourdes a plutôt besoin de la vérité», assure le Dr Franciscis, président du Bureau des constatations médicales, soulignant que le mari de la miraculée est également médecin. «C'est une très belle histoire que je commente strictement d'un point de vue médical», insiste-t-il avant de rappeler que Danila avait épuisé tous les recours scientifiques avant de se baigner dans les piscines du Sanctuaire. «La santé est un don de Dieu. La vie est un don de Dieu», se réjouit aujourd'hui la miraculée, visiblement apaisée.
VIDEO. Danila témoigne (en italien)
VIDEO. Le Dr Franciscis raconte l'histoire de Danila (en français)
7 000 dossiers de guérison déposés par les pélerins
Le premier miracle de Lourdes remonte à 1858. Paralysée de la main droite, la Française Catherine Latapie de Loubajac, 38 ans, se lève en pleine nuit pour se rendre à pied à Lourdes. Elle recouvre l'usage de sa main après l'avoir trempée dans l'eau de Lourdes. Un miracle reconnu en 1862 par l'Eglise. Le dernier en date remonte à 1952. Une italienne âgée de 41 ans, en pèlerinage à Lourdes, est conduite aux piscines sur sa civière. Elle en ressort par ses propres moyens.
80% des «miraculés» sont des femmes et une grande majorité sont originaires de France. La plupart des miraculés l'ont été au contact de l'eau de Lourdes. 7 000 dossiers de guérison ont déjà été déposés par les pélerins.
LeParisien.fr
http://www.leparisien.fr/societe/video-danila-est-la-69e-miraculee-officielle-de-lourdes-21-07-2013-2997441.php
VIDEO. Danila est la 69e miraculée officielle de Lourdes
A.R. | Publié le 21.07.2013, 13h27
L'Italienne Danila Castelli est officiellement devenue vendredi la 69e miraculée des Sanctuaires de Lourdes. | (capture écran YouTube) 16 réactionsRéagir Le protocole est long et nécessite une série de réunions, des analyses médicales et un vote final. Mais vendredi, vingt-quatre ans après s'être signalée auprès du Bureau des constatations de Lourdes, Danila Castelli est officiellement devenue la 69e miraculée du centre de pèlerinage catholique des Hautes-Pyrénées.Neuf mois après sa compatriote la soeur Luigina Traverso, l'Italienne de 67 ans a été reconnue «guérison miraculeuse» par l'évêque de son diocèse de Pavie, Mgr Giovanni Giudici.
Selon le site des Sanctuaires de Notre-Dame de Lourdes, c'est à l'âge de 34 ans que tout bascule pour cette mère de famille jusqu'alors en pleine forme. Une hypertension aiguë handicape son quotidien. Elle souffre de graves problèmes de santé. Des examens mettent en évidence des tumeurs dans la zone de l'appareil utéro-génital. Danila doit alors subir plusieurs opérations, dont l'ablation de l'utérus, et celle, partielle, du pancréas, de la vessie et du vagin. Mais aucun traitement n'est efficace.
Epouse d'un médecin
En mai 1989, elle se baigne dans les piscines du Sanctuaire et ressent un «extraordinaire bien-être». Ses maux ont disparu. La maladie s'est envolée.
Après cinq réunions en 1989, 1992, 1994, 1997 et 2010, le Bureau admet la guérison «sans relations aux interventions et aux traitements» par un vote unanime. En novembre 2011, le Comité médical international de Lourdes (Cmil) certifie ensuite «que le mode de sa guérison reste inexpliqué dans l'état actuel des connaissances scientifiques».
«Notre mission n'est pas de construire des miracles, Lourdes a plutôt besoin de la vérité», assure le Dr Franciscis, président du Bureau des constatations médicales, soulignant que le mari de la miraculée est également médecin. «C'est une très belle histoire que je commente strictement d'un point de vue médical», insiste-t-il avant de rappeler que Danila avait épuisé tous les recours scientifiques avant de se baigner dans les piscines du Sanctuaire. «La santé est un don de Dieu. La vie est un don de Dieu», se réjouit aujourd'hui la miraculée, visiblement apaisée.
VIDEO. Danila témoigne (en italien)
VIDEO. Le Dr Franciscis raconte l'histoire de Danila (en français)
7 000 dossiers de guérison déposés par les pélerins
Le premier miracle de Lourdes remonte à 1858. Paralysée de la main droite, la Française Catherine Latapie de Loubajac, 38 ans, se lève en pleine nuit pour se rendre à pied à Lourdes. Elle recouvre l'usage de sa main après l'avoir trempée dans l'eau de Lourdes. Un miracle reconnu en 1862 par l'Eglise. Le dernier en date remonte à 1952. Une italienne âgée de 41 ans, en pèlerinage à Lourdes, est conduite aux piscines sur sa civière. Elle en ressort par ses propres moyens.
80% des «miraculés» sont des femmes et une grande majorité sont originaires de France. La plupart des miraculés l'ont été au contact de l'eau de Lourdes. 7 000 dossiers de guérison ont déjà été déposés par les pélerins.
LeParisien.fr
Re: Plus de miracles à Lourdes ???
oui ils en parlent aussi sur le site d orange !
Un 69e miracle survenu à Lourdes, la guérison en 1989 d'une Italienne victime de graves crises d'hypertension, a été reconnu le 20 juin par l'évêque de son diocèse, à Pavie en Italie, a-t-on appris dimanche auprès des Sanctuaires de Lourdes.
réagir 35
"Lors de l'annonce de la guérison miraculeuse nous étions sous deux mètres d'eau, ensuite nous avons décidé de ne pas faire de communication officielle, mais nous nous réjouissons de la déclaration de l'évêque de Pavie, Mgr Giovanni Giudici", a expliqué à l'AFP Joël Luzenko du service de la communication des Sanctuaires.
Née le 16 janvier 1946, Danila Castelli, épouse et mère de famille, a commencé à souffrir de crises hypertensives spontanées graves en 1980, à l'âge de 34 ans, rapportent les Sanctuaires.
A partir de 1982, à la suite d'examens radiologiques, d'échographies et d'une scintigraphie ayant mis en évidence des tumeurs produisant des catécholamines (hormones comme l'adrénaline ou la dopamine) dans la région de l'appareil urogénital, "plusieurs interventions chirurgicales ont été réalisées dans l'espoir d'éliminer les points provoquant les crises de tension artérielle jusqu'en 1988, sans aucun résultat", ajoutent les Sanctuaires.
Le docteur Alessandro de Franciscis, président du bureau des constatations médicales (BCM) de Lourdes, rapporte sur le site "Lourdes-France.org" que cette femme de médecin "pouvait avoir des poussées de tension allant plusieurs fois par jour jusqu'à 28/15".
En mai 1989, alors que son mari avait été longtemps réticent à venir à Lourdes, le couple s'est rendu en pèlerinage dans la cité mariale.
Danila sort alors des piscines du sanctuaire où elle a été baignée et "ressent un extraordinaire bien-être".
"Ayant repris une vie normale, elle est venue quelques mois plus déclarer sa guérison subite au BCM", rapporte son président
Après cinq réunions entre 1989 et 2010 le Bureau conclut que " Mme Castelli est guérie, de manière complète et durable, depuis son pèlerinage à Lourdes en 1989, il y a 21 ans, du syndrome dont elle souffrait, et ceci sans relations aux interventions et aux traitements ".
"Notre mission n'est pas de construire des miracles, Lourdes a besoin de la vérité, c'est une très belle histoire sur le plan médical", assure le Dr de Franciscis.
Le dossier a été transmis au CMIL (Comité Médical International de Lourdes), qui comprend une vingtaine de médecins. Lors d'une réunion à Paris, en novembre 2011, il a certifié à plus des deux tiers selon les Sanctuaires que "le mode de sa guérison reste inexpliqué dans l'état actuel des connaissances scientifiques".
En dernier ressort, le 20 juin 2013, c'est l'évêque de Pavie, diocèse où réside Danila Castelli, à Bereguardo, qui a déclaré le caractère "prodigieux-miraculeux" et la valeur de "signe" de cette guérison.
Mme Castelli est revenue en pèlerinage à Lourdes le 17 juillet, indiquent les Sanctuaires.
7.000 guérisons inexpliquées ont été recensées depuis qu'en 1858 la jeune bergère Bernadette Soubirous a rapporté avoir eu des apparitions de la Vierge dans la grotte de Massabielle. 69 guérisons seulement ont été reconnues miraculeuses par un évêque, toujours à l'issue d'une longue procédure scientifique et religieuse.
La précédente, en octobre 2012, concernait une religieuse italienne Luigina Traverso, guérie d'une lombo-sciatique paralysante en 1965.
Un 69e miracle survenu à Lourdes, la guérison en 1989 d'une Italienne victime de graves crises d'hypertension, a été reconnu le 20 juin par l'évêque de son diocèse, à Pavie en Italie, a-t-on appris dimanche auprès des Sanctuaires de Lourdes.
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"Lors de l'annonce de la guérison miraculeuse nous étions sous deux mètres d'eau, ensuite nous avons décidé de ne pas faire de communication officielle, mais nous nous réjouissons de la déclaration de l'évêque de Pavie, Mgr Giovanni Giudici", a expliqué à l'AFP Joël Luzenko du service de la communication des Sanctuaires.
Née le 16 janvier 1946, Danila Castelli, épouse et mère de famille, a commencé à souffrir de crises hypertensives spontanées graves en 1980, à l'âge de 34 ans, rapportent les Sanctuaires.
A partir de 1982, à la suite d'examens radiologiques, d'échographies et d'une scintigraphie ayant mis en évidence des tumeurs produisant des catécholamines (hormones comme l'adrénaline ou la dopamine) dans la région de l'appareil urogénital, "plusieurs interventions chirurgicales ont été réalisées dans l'espoir d'éliminer les points provoquant les crises de tension artérielle jusqu'en 1988, sans aucun résultat", ajoutent les Sanctuaires.
Le docteur Alessandro de Franciscis, président du bureau des constatations médicales (BCM) de Lourdes, rapporte sur le site "Lourdes-France.org" que cette femme de médecin "pouvait avoir des poussées de tension allant plusieurs fois par jour jusqu'à 28/15".
En mai 1989, alors que son mari avait été longtemps réticent à venir à Lourdes, le couple s'est rendu en pèlerinage dans la cité mariale.
Danila sort alors des piscines du sanctuaire où elle a été baignée et "ressent un extraordinaire bien-être".
"Ayant repris une vie normale, elle est venue quelques mois plus déclarer sa guérison subite au BCM", rapporte son président
Après cinq réunions entre 1989 et 2010 le Bureau conclut que " Mme Castelli est guérie, de manière complète et durable, depuis son pèlerinage à Lourdes en 1989, il y a 21 ans, du syndrome dont elle souffrait, et ceci sans relations aux interventions et aux traitements ".
"Notre mission n'est pas de construire des miracles, Lourdes a besoin de la vérité, c'est une très belle histoire sur le plan médical", assure le Dr de Franciscis.
Le dossier a été transmis au CMIL (Comité Médical International de Lourdes), qui comprend une vingtaine de médecins. Lors d'une réunion à Paris, en novembre 2011, il a certifié à plus des deux tiers selon les Sanctuaires que "le mode de sa guérison reste inexpliqué dans l'état actuel des connaissances scientifiques".
En dernier ressort, le 20 juin 2013, c'est l'évêque de Pavie, diocèse où réside Danila Castelli, à Bereguardo, qui a déclaré le caractère "prodigieux-miraculeux" et la valeur de "signe" de cette guérison.
Mme Castelli est revenue en pèlerinage à Lourdes le 17 juillet, indiquent les Sanctuaires.
7.000 guérisons inexpliquées ont été recensées depuis qu'en 1858 la jeune bergère Bernadette Soubirous a rapporté avoir eu des apparitions de la Vierge dans la grotte de Massabielle. 69 guérisons seulement ont été reconnues miraculeuses par un évêque, toujours à l'issue d'une longue procédure scientifique et religieuse.
La précédente, en octobre 2012, concernait une religieuse italienne Luigina Traverso, guérie d'une lombo-sciatique paralysante en 1965.
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