Présentation de boisvert

Je suis déjà connu sur d'autres sites sous le pseudo d'etienne lorant. Je poste régulièrement sur la cité catholique, sur le forum ephata, l'arche de Marie, ephata, les amis de Jésus et autres.

Je suis officiellement membre de la Congrégation "Faustinum" des Apôtre de la Miséricorde divine, je dépends de Sr Sangwina, du siège de Cracovie.

Sur les sites, je publie chaque jour un commentaire des lectures, un exercice qui fait partie de ma règle.

Je suis un converti - de l'année 1985 et voici, en guise de présentation, le témoignage déposé sur un autre forum:

Je suis catholique, baptisé quelques jours après la naissance, j'ai suivi toutes les étapes d'une éducation catholique et je suis demeuré enfant de chœur (d'abord pour le service en latin, puis en français) jusqu'à l'âge de 14 ans, où je suis entré en crise. Un dimanche, je servais la messe et au cours du sermon d'un père originaire de la Salette, je me suis rendu compte que dans la foule des fidèles (en 1960, les églises étaient encore remplies le dimanche), très peu seulement semblaient écouter. C'est là que mon éloignement de l'Eglise a commencé... pour aboutir à un retour en force 25 ans plus tard, à l'âge de 29 ans.

De 14 à 29 ans, longue période d'interrogation durant laquelle je me suis nourri des philosophes, des psychanalistes, des moralistes, des théoriciens de la politique, etc. Sans jamais être satisfait. Aucun ne répondait de manière cohérente (et espérante) à la question qui me hantait: "Quelle est la cause profonde de l'existence malheureuse de l'homme). Je me suis farci le crâne durant mes meilleures années des textes de tous ces penseurs, jusqu'à ce matin de 1976, à l'université, où une force en moi m'a obligé à m'asseoir sur un banc dans un parc - où je me suis mis à pleurer. C'était un peu étrange, puisque j'avais la sensation que c'était quelqu'un d'autre qui pleurait en moi sur mon projet de réussite mondaine : j'allais construire, me disait dans les larmes cette voix intérieure, une haute tour, mais parfaitement inhabitable. Car j'étais en train de cesser d'aimer. Ce fut irrésistible: mon demi-tour vers le Seigneur a donc commencé à vingt ans, mais n'a abouti qu'à vingt-neuf (en 1985). Un matin d'août de cette année-là, comment puis-je le dire autrement: j'ai assisté à la mort et à la résurrection du Christ, dans une vision qui a semblé durer deux heures, mais qui en temps humain, a duré moins de cinq minutes. Je ne m'étends pas là-dessus, sinon pour dire que ce fut la seule vision de toute mon existence (à ce jour en tout cas) et que personne ne m'a cru.

J'étais donc converti et j'ai commencé à vivre dans un monde que j'allais de moins en moins reconnaître, tout en reconnaissant les hommes et les femmes autour de moi, toujours à partir de leur souffrances et de leur besoin de vérité et de vrai bonheur... avec cette difficulté - pour les aider, qu'eux-mêmes ne comprenaient pas mon langage de converti ! Je me suis donc mis à l'écriture, principalement la correspondance, car j'aurais voulu m'adresser à chacun en particulier. J'essayais de rendre compte de mes découvertes - et c'est encore ce que je fais en m'inscrivant sur ce forum.

En 1995, j'ai fait le choix du célibat, mais comme je n'ai pas trouvé une communauté dans ma région qui me permette de servir tout en gagnant mon pain, j'ai servi mes parents qui commençaient à vieillir. Mon père est décédé le 9 avril 2008, ma mère est partie en "MRS" (Maison de Repos et de Soin) huit jours plus tard, et à présent... je suis en "stand by", car les travaux de la succession ne sont pas achevés, ma mère dépend encore beaucoup de moi surtout pour l'entretien de la maison, toutes les formalités, et aussi pour mes visites régulières.
Quel est le dessein de Dieu ? Pour l'heure, je cherche, je demande, je supplie que soient apaisées mes angoisses, souvent mal compensées par une hyper-activité suivie de moments de profond abattement. Mais j'ai confiance, tout cela ne sera que passager. A chaque jour suffit sa peine... le calme revient.

Ce témoignage est assez ancien. Il ne rapporte pas qu'au cours de ma présence d'assistance auprès de mes parents âgés, j'ai été mis en contact avec une communauté de la Miséricorde divine, laquelle m'a mis en contact avec Cracovie, et une période de formation a suivi.

Merci (déjà !) de m'avoir lu jusqu'ici !

boisvert

Bonjour et Bienvenue BoisVert !
Merci pour ton témoignage , et j'espère que ce forum t'aidera comme il m'a aidé !
A bientôt !

Bienvenu

Mon premier choix en écriture, c'est d'abord une méditation sur les lectures du jour. Sous le pseudo d'étienne lorant, c'est un exercice auquel je me livre chaque jour, dimanche compris, car cela fait partie de la règle de ma Congrégation.

Sur différents sites, j'ai commencé également "fil des bonnes nouvelles". C'est un choix que j'ai fait en constatant que la presse ne cesse de mettre en première page les nouvelles à scandale - ou bien les nouvelles qui font peur. Lorsque vous m'aurez estimé digne d'écrire sur le sous-forum actualités, c'est par là que je suivrai.

En attendant, j'ai retrouvé le témoignage de ma conversion, tel que je l'avais repris (j'y ai retravaillé maintes fois, car on n'est jamais satisfait: les mots résistent à exprimer cette expérience fondamentale) - le voici:

C'était un dimanche d'août. A 29 ans, j'avais ouvert ma boutique depuis deux ans, après avoir tenté de trouver ma voie au sein de services commerciaux (exportation) de diverses entreprises. Les affaires démarraient bien, mais je n'étais pas heureux. Il y a toujours plus à chercher. Les relations sentimentales de courtes durées, j'en avais assez. Le lundi de cette semaine-là, j'avais déclaré à la femme dont j'étais amoureux et qui s'éloignait: "Maintenant, tout çà m'est bien égal: je ferme la boutique, je rentre chez moi et, quitte à ne rien faire de toute ma vie, je n'arrêterai pas de chercher avant de savoir quelle est la cause de la condition malheureuse de l'homme."

Et aussitôt dit, aussitôt fait. Je suis rentré chez moi sans me rendre compte que j'avais emporté avec moi un petit opuscule, rédigé par un Jésuite, qui s'intitulait "Satan l'Adversaire". J'avais songé reprendre mes notes de philosophie, mais puisque ce petit livret m'était tombé sous la main, c'est par lui que j'ai commencé. A cette époque, il ne restait de mon baptême que la conviction de l'existence de Dieu, mais un Dieu que je réduisais ainsi: "Il y a plus de six milliards d'hommes sur la terre, comment croire que Dieu puisse s'intéresser à chacun ?" A mes propres yeux, j'étais assez lucide pour constater ma parfaite insignifiance et l'impact pratiquement nul de toute mon existence, dans le passé, le présent et l'avenir. Oui, j'avais beaucoup été attiré par "Le journal d'un curé de campagne", de Bernanos, mais n'était-ce pas chez moi un reste de sentimentalisme ?

J'ai feuilleté ce petit ouvrage et j'y avais relevé tout de même la prodigieuse astuce du serpent dans son dialogue avec Eve. Au lieu d'accuser Dieu directement, le démon contourne la conscience d'Eve, et lui pose une simple question « Alors, Dieu vous a dit : ‘Vous ne mangerez le fruit d’aucun arbre du jardin ?" Et Eve, pour avoir voulu corriger la question posée (car en fait, le fruit d'un seul arbre est interdit), se laissera entraîner par la virulence de l'accusation qui suit: " « Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. »

Lorsque j'ai achevé ma lecture, plusieurs heures avaient passé. Quelque chose m'avait saisi, mais je ne parvenais pas à établir le lien avec d'autres lectures. Les jours ont passé. Le samedi précédant ma conversion, je me souviens qu'il y avait une fête foraine, que je m'étais laissé emporter dans la foule et plus la foule me pressait, plus je me sentais isolé: j'étais un être unique mais totalement impuissant à se rendre heureux lui-même ni rendre heureux qui que ce soit. Ce constat était si pénible ! Un instant, j'ai levé les yeux au ciel, mais quoi: dans la Bible, le ciel n'est que le symbole d'un ailleurs, pourquoi regarder le ciel, quand nous avons les pieds sur le sol ? J'ai traîné mon malaise jusque dans la nuit.

Pour dormir, plutôt que de regagner mon deux-pièces, j'avais demandé refuge pour une nuit dans mon ancienne chambre d'étudiant, dans la maison familiale. Il n'y avait plus que le lit, une table et une chaise... et le crucifix que l'on m'avait offert pour ma communion solennelle, un très lointain souvenir. A mon réveil, pourtant, lorsque j'ai ouvert les yeux, quelque chose m'a paru bizarre: la position du corps de plâtre n'était plus la même. La tête ne devait-elle pas reposer sur une des épaules, dans l'abandon de la mort ?

A ce moment-là, la "connaissance" de ce que j'étais en train de vivre me fut donnée. Ce n'était plus du plâtre, c'était un homme, un homme juste et parfaitement innocent qui me regardait avec une telle intensité d'amour... qu'il m'eût été difficile de ne pas m'écrier: "Non, je ne peux supporter cela ! Je ne veux pas ! Il n'est pas possible que l'amour aille jusque-là !"... Car le Christ était en train de mourir NON PAS parce que j'avais péché, mais parce qu'Il ne supportait pas de me voir entraîné dans le malheur PAR le péché...
Il m'apparût instantanément qu'un mensonge énorme avait frappé et marqué la raison humaine depuis le commencement de l'humanité. Le diable, dénoncé dans l'ouvrage cité, était tout autre chose qu'un sophiste ! Ici, mon récit devient flou. Il s'est passé longtemps, mais en réalité quelques minutes à peine. Je dois sauter quelques lignes d'écriture, car je ne sais pas quels mots employer... La vision du Christ en croix s'est estompée, j'avais pleuré beaucoup, une partie de moi avait adhéré tout à fait au Christ souffrant, le refusant d'abord, l'acceptant ensuite, mais sa mort était une perte épouvantable.

Un instant plus tard, on eût dit que chaque centimètre carré des murs de ma chambre avaient été recouverts d'un tapis sonore d'où j'entendis comme un chœur céleste proclamer : "Il y a plus de joie dans les Cieux pour un seul qui se repent, que pour cent justes qui n'ont pas besoin de repentir !". Et comme j'achevais d'entendre cette déclaration, aussitôt une joie extraordinaire m'a envahi. J'ai compris par la suite que j'avais vécu aussi la Résurrection. Cette joie m'a apporté, tout en même temps, la révélation des choses cachées (jusque-là) dans les Evangiles (que je n'avais pu percer avec ma raison), et une force qui m'a fait nommer cette joie: "onde d'énergie pure", mais par la suite, j'ai simplement dit: la Joie, avec la majuscule, pour la différencier de toute autre joie.

Evidemment, j'ai demandé de mourir tout de suite. Jamais ma lucidité ne m'a manqué dans l'événement que je rapporte: je savais très bien qu'après ce qui m'était advenu, je continuerais d'être libre de dire oui ou de dire non - que cet événement avait tout changé en moi, mais qu'il serait difficile de témoigner. Mais à la demande de mourir, j'ai perçu comme un fin sourire: avant de mourir, il faudrait tout de même tenter de témoigner un peu... Et c'est ainsi que, dans l'après-midi, j'ai commencé à rechercher un prêtre qui saurait m'entendre, car j'avais cru tout de même que si des hommes se font prêtre, c'était forcément qu'ils avaient vécu la même chose que moi - ou quelque chose de similaire. C'était le début d'un long chemin, qui n'est pas encore fini. J'avoue que je ne suis plus aussi disposé à mourir qu'autrefois, mais j'ajoute qu'un témoignage comme celui-ci est difficile à rédiger ... surtout parce que l'on revit ce que l'on a traversé.

Et ce qui est dit est dit.

Oh, rassurez-vous, les critiques entre administrateurs de forum, je n'y ai guère de part. Il 's'agit bien d'Hélène ? Ah, Hélène est tellement prise par ses travaux universitaires qu'elle a rarement le temps de poster un message personnel. C'est justement cette "maladie chronique" de l'absentéisme sur tel et tel forum, qui me pousse à élargir mes horizons. Mais je ne veux rien juger sur les personnes. Sur la Cité Catholique, j'ai le pseudo d' etienne lorant, et je dois dire que je me croyais déjà inscrit sur "le peuple de la paix" sous ce pseudo - mais quand je l'ai essayé, çà na pas marché. Tout ce qui m'importe, c'est de pouvoir suivre mon inspiration - que je désire pure et sans tache...

Pour le reste, il paraît qu'il y a une centaine de sites catholiques ! Je n'écris que sur six sur les cent... c'est que je travaille aussi !!!

Bien à vous !

Gilles es que je peux avoir le lien stp je serez curieux de voir sa

Que veut dire hérétique ???

des adeptes pour votre mouvement sectaire

je me concidaire pas comme un adepte loool o_o

dit comme sa , on direz que c'est une secte le peuple de la paix , ou alors j'ai pas compris^^

enfin moi personnellement ici c'est un forum sympas ou l'on peut apprendre et échanger , et aussi bénéficier d'aide

Ah, bon. Je suis un peu étonné. Je n'étais pas au courant de cette affaire. Il ne m'est pas permis, selon l'enseignement de la Miséricorde que j'ai reçu de formuler aucune critique sur quiconque, puisque le jugement, le Seigneur le réserve à lui seul. C'était l'objet de l'Evangile de la femme adultère, à propos duquel j'avais posté le commentaire qui suit:

Les textes de la Liturgie pour ce dimanche nous parlent avec ferveur de ce retournement qui se produit dans l'âme qui se convertit, qui se tourne vers Dieu et s'élance vers Lui. Tout le passé est oublié, les ardoises sont effacées, il ne reste plus, comme saint Paul le dit, qu'à courir vers le but.

L’épisode de la femme adultère nous montre que dès le début, les scribes et les pharisiens avaient l’intention de poursuivre Jésus en justice. Nous nous approchons de la Pâque et, dans les évangiles, les critiques à Jésus, à son œuvre et à son enseignement se multiplient à Jérusalem : elles porteront à la condamnation et à la mort de Jésus.

La femme adultère que les scribes et les pharisiens conduisent à Jésus leur sert de prétexte : le but recherché est de déterminer une fois pour toutes de quel côté se place Jésus. Du côté de la loi de Moïse, donc du côté du Dieu d’Israël ? Ou du côté des ennemis et des détracteurs de Dieu ?

En réalité, ils lui tendent un piège dans lequel, une fois de plus, Jésus décide de ne pas tomber : sa réponse paraît très habile, mais en réalité elle va beaucoup plus loin: le véritable interprète de la loi de Dieu, c’est Lui, non pas les scribes et les pharisiens. Il est, Lui, le vrai temple de Dieu, la véritable et nouvelle présence de Dieu au milieu des hommes; c’est Lui qui renverse et renouvelle les situations humaines.

Avant tout, Jésus écrit avec le doigt dans le sable, geste étrange dont l’interprétation reste difficile. Il rappelle Luc 11, 20 : "Si c'est par le doigt de Dieu je chasse les démons, c'est donc que le royaume de Dieu est survenu pour vous » (11,20). Jésus apparaît ainsi comme le doigt de Dieu, qui avait façonné l’homme de la poussière du sol, qui agit maintenant en Jésus et qui rétablit l’homme dans sa filiation divine en pardonnant les péchés et en écrasant le mal.

’’Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre’’. Cette phrase en rappelle une autre toute semblable: ’’Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et ne t’aperçois-tu pas de la poutre qui est dans ton œil ? Hypocrite ! Ôte d’abord la poutre qui est dans ton œil et alors tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère’’ (Mt 7,3.5) et les deux interdisent à quiconque, en tant que pécheur, de s’arroger le droit de juger un autre pécheur. Ce jugement n’appartient qu’à Dieu seul. Et il apparaît clairement que Jésus a atteint son but car tous comprennent s’en vont, « à partir des plus âgés » - trait d'ironie de l'évangéliste ?

Mais la leçon ne s'achève pas là. Jésus se retourne vers la femme laissée seule. En l'appelant : "Femme", le même terme qu'il emploiera depuis sa croix pour confier sa mère à Jean, Jésus la rétablit dans sa dignité de créature de Dieu.

Tel est le regard que Dieu porte sur nous : ’’L’homme regarde à l’apparence, mais le Seigneur regarde le cœur’’ (1Sam 16,7). Et le cœur de l’homme, même s’il est plongé dans les misères et les péchés de la vie, est fait pour le mystère de Dieu, pour la beauté, pour l’amour et pour la vérité. Le regard de Dieu est un regard de vie, non de mort, c’est un regard porté vers l’avenir, non vers le passé ; c’est un regard de miséricorde, non de condamnation.

Cette femme va donc entreprendre un parcours nouveau. ’’Va et ne pêche plus’’, lui dit Jésus. Le Seigneur a condamné le péché, non la femme’. La miséricorde de Dieu est une étreinte au pécheur afin qu’il se convertisse et afin qu’il vive ; ce n’est pas une étreinte au péché qui conduit à la mort ! Sans trêve, Jésus condamne le péché mais c'est sans trêve aussi qu'il aime le pécheur.

Qu'ajouter ? J'ai appris que les trois principaux attributs de Dieu sont sa sainteté, sa justice et sa miséricorde. Mais la sainteté même de Dieu, qui exige la justice, est constamment remise en question par son amour de miséricorde. Puisse donc chaque personne que je croiserai, aujourd'hui et demain, être pour moi une occasion d'apprendre et de pratiquer la miséricorde. Car c'est en pratiquant la miséricorde que j'obtiendrai miséricorde pour moi-même.

Avez-vous d'autres questions ?

Etienne lorant, votre prénom me disait bien quelque chose.

Quel parcours Et pour finir vous voilà de retour vers Jésus Christ, je pense qu'il nous laisse chavirer toujours un peu, (libre arbitre oblige) vagabonder vers des lieux, etc... Et puis au moment ou nous sommes perdus, hop il nous fait signe qu'il existe.
Pour ma part j'en ai eu l'expérience, malheureusement je n'ai pas encore compris la leçon...

A Gilles,
Pour ce qui est du sujet et la pub, ce n'est pas moi qui est ouvert le sujet, je n'y avait fait que répondre (sujet qui date de 2007 et je n'ai était au courant quand 2011 environ):
http://ephata.actifforum.com/t789-le-peuple-de-la-paix#29030

Bonjour et bienvenue sur le forum :

ce fut la seule vision de toute mon existence (à ce jour en tout cas) et que personne ne m'a cru.

Dommage !!

un homme juste et parfaitement innocent qui me regardait avec une telle intensité d'amour... qu'il m'eût été difficile de ne pas m'écrier: "Non, je ne peux supporter cela ! Je ne veux pas ! Il n'est pas possible que l'amour aille jusque-là !"...

Cela fait penser à ceux qui pourraient refuser l’Amour de Dieu au moment de leur mort ou du jugement particulier et cette idée est terrible !

Car le Christ était en train de mourir NON PAS parce que j'avais péché, mais parce qu'Il ne supportait pas de me voir entraîné dans le malheur PAR le péché...

C’est un magnifique enseignement qui vous a été donné à ce moment-là !

Le commentaire concernant l'Evangile de la femme adultère, m’a beaucoup intéressée.
De même, j’ai bien aimé l’explication concernant l’Evangile et le texte de ce jour sous le fil que vous avez intitulé "Confrontation finale avec les juifs" mais, en le lisant, je me demandais pourquoi vous ne le mettriez pas sur :

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t16356p870-meditation-du-jour-et-les-textes-commentaires-audiovideo#198646, fil sur lequel plusieurs interviennent pour mettre la Parole de Dieu

En tout cas, bienvenu et au plaisir de vous lire

Merci pour votre accueil et merci pour le lien sur les méditations du jour !

J'ai fait un copier/coller du lien pour les méditations du jour : je suis d'une telle maladresse avec l'ordi !

A bientôt !

boisvert

Bienvenue Boisvert !

Merci pour votre témoignage...

et de votre souhait d'intervenir sur ce forum, au-delà des a-priori d'autres personnes, et de ce que vous apportez déjà.

A bientôt!

Bonsoir et bienvenue Boisvert,


J'étais un moment sur le forum EPHATA sous le pseudonyme de "pedro". Je n'ai pas trouvé Hélène si méchante que ça. J'ai eu l'occasion de lire vos méditations en effet très enrichissantes. Sur Ephata J'y avais exprimé comme ici mes convictions et à priori elles n'étaient si sectaires. Enfin, en tout cas je vous souhaite bonne route sur ce nouveau forum et sur d'autres aussi si j'ai bien compris.


P+

Je ne veux être en opposition avec quiconque. L'autre est mon frère, l'autre est ma soeur. S'il y a bien quelque chose que l'Evangile m'a appris, c'est que même quelqu'un qui me fait (objectivement) du mal - au bout du compte m'apprend à mieux aimer, comme malgré moi.

J'ai parfois été volé en boutique, malgré les précautions que je prends. Combien de fois ai-je dû lutter contre des accès de colère et de dépit ! Et puis, un jour, le Seigneur m'a inspiré de dire: "Mon Dieu, ce que cet homme m'a volé, je considère que ce qu'il m'a pris, je le lui ai donné. Ne lui compte donc pas ce péché, mais fais-moi miséricorde aussi car je suis moi-même un pécheur". Et çà va mieux après, je vous l'assure !

Bonsoir boisvert et parmi nous.
Ravie de vous retrouver ici; je vous lisais régulièrement sur EPHATA ... mais la ligne "très stricte" de ce site, fait que je n'y vais que très rarement et par curiosité, ne m'y s'entant pas à l'aise ; mais ça c'est autre chose. Donc, merci, merci de venir nous rejoindre, j'aurai le plaisir de vous lire plus facilement ici.