Prophétie du Bienheureux Jean Paul II
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Prophétie du Bienheureux Jean Paul II
Voici une prophétie de Notre Bienheureux Jean Paul II, à l'époque de son pontificat.
Lorsque KAROL WOJTYLA, consacré à MARIE, est devenu le premier Pape slave de l’Histoire, le 16 octobre 1978, les évêques polonais lui ont immédiatement transmis le «poème prophétique» écrit dans la première moitié du XIXème siècle par JULIUS SLOWACKI (1809-1849) :
.
«Au sein des discordes, DIEU fait retentir l'énorme bourdon.
C'est à un Pape slave, qu'Il ouvre l'accès au Trône des trônes.
Celui-là ne fuira pas devant l'épée, comme cet italien.
Celui-là, hardi comme DIEU, affrontera en face l'épée !
C'est le monde qui est poussière.
Les foules s'enfleront et le suivront vers la Lumière que DIEU habite.
Il débarrassera les plaies du monde de leur sanie et de toute leur vermine.
Il nettoiera les sanctuaires des églises et en balaiera le seuil.
Il révèlera DIEU aussi clair que le jour…»
JULIUS SLOWACKI (1809-1849)
.
Ce poème avait marqué les foules polonaises et l’espérance d’un Pape slave était née à ce moment-là. On pourrait croire que JEAN-PAUL II s’est appliqué à suivre le «programme» tracé par ce célèbre poète de Pologne qui était enseveli près de chez lui, à Wawel Krakow …
.
Le 22 octobre 1978, Le Pape JEAN-PAUL II, proclamait le thème de son pontificat :
.
«N’ayez pas peur !
Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au CHRIST !
A Sa puissance salvatrice, ouvrez les frontières des états,
Les systèmes économiques et politiques ;
Les immenses domaines de la culture, de la civilisation, du développement !
N’ayez pas peur !
Le CHRIST sait ce qu’il y a dans l’homme ! Et Lui seul le sait !»
..
.
PROPHÉTIES
.
Le futur Pape JEAN-PAUL II le 9 novembre 1976 :..
.
«Nous sommes aujourd’hui face au plus grand combat que l’humanité ait jamais vu. Je ne pense pas que la communauté chrétienne l’ait compris totalement. Nous sommes aujourd’hui devant la lutte finale entre l’Église et l’Anti-Église, entre l’Évangile et l’Anti-Évangile»
.
.
Le Pape JEAN-PAUL II, manifestant à Istanbul, le 30 Novembre 1979, «son impatience pour l’unité», terminait :
.
«…certain que notre espérance ne peut être trompée»
.
Espérance disait-il que cela se réalise dans ce second millénaire. Faisant référence aussi à cette pleine communion, il affirmait la veille :
.
«J’ose espérer que ce jour est proche !»
.
Lors de sa 1ère visite en France, à la messe célébrée au Bourget, le 1er juin 1980, JEAN-PAUL II, après un développement saisissant sur l’alliance de l’homme avec la Sagesse, qui est la source de la culture, et sur l’effondrement de cette alliance, JEAN-PAUL II conclut par cette adjuration pathétique, en rappelant le divin Pacte de Reims :
.
«Aujourd'hui dans la capitale de l'histoire de votre nation, je voudrais répéter ces paroles qui constituent votre titre de fierté : Fille aînée de l’Église. (…) Il n'existe qu'un seul problème, celui de notre fidélité à l'Alliance avec la Sagesse éternelle, qui est source d'une vraie culture, c'est-à-dire de la croissance de l'homme, et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au nom du PÈRE, du FILS et du SAINT-ESPRIT. Alors permettez-moi de vous interroger : FRANCE, fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? Permettez-moi de vous demander : FRANCE, fille aînée de l’Église et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l'homme, à l'Alliance avec la Sagesse éternelle ? Pardonnez-moi cette question. Je l'ai posée comme le fait le ministre au moment du Baptême. Je l'ai posée par sollicitude pour l’Église dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l'homme dont la grandeur définitive est en DIEU, PÈRE, FILS et ESPRIT.»
.
La pluie tombait sur le Bourget, le vent s’était levé. La mitre ôtée, la calotte enlevée, JEAN-PAUL II, tel un bûcheron, la mâchoire en avant, la mèche sur le front, martelait ses mots en soulevant son texte, seul, en avant du podium, comme un capitaine à la proue du navire, bravant les éléments déchaînés.
.
En 1981, à Fulda en Allemagne, à des jeunes qui lui demandaient pourquoi le Troisième Secret n’avait pas encore été révélé, JEAN-PAUL II annonça :
.
«À cause de la gravité de son contenu, de façon à ne pas encourager la puissance mondiale du communisme à perpétrer certains attentats, mes Prédécesseurs dans la Chaire de PIERRE ont préféré diplomatiquement retarder son dévoilement.
D’un autre côté, il devrait être suffisant pour tous les Chrétiens de retenir ceci fermement : s’il y a un message dans lequel il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre ; que, d’un moment à l’autre des millions de personnes périront… il n’y a plus nécessité aucune à désirer vraiment publier ce message secret.
Plusieurs désirent connaître seulement par curiosité, ou à cause de leur goût pour le sensationnalisme, mais ils oublient que «savoir»implique pour eux une responsabilité. Il est dangereux de vouloir simplement satisfaire sa curiosité si on est convaincu que nous ne pouvons rien contre une catastrophe qui a été prédite».
.
À ce moment, le Saint Père montra son Rosaire et dit :
.
«Voici le remède contre le démon ! Priez, priez et ne demandez rien d’autre. Mettez tout dans les mains de la MÈRE DE DIEU !»
.
JEAN-PAUL II a continué :
.
«Nous devons être prêts à subir de grandes épreuves dans un avenir pas trop éloigné ; des épreuves qui requerront de nous de donner peut-être même nos vies, et un don total de soi au CHRIST et pour le CHRIST.
Par vos prières et les miennes, il est possible d’alléger cette tribulation, mais il n’est plus possible de l’éviter parce que ce n’est que de cette façon que l’Église peut effectivement être renouvelée. Combien de fois en effet le renouvellement de l’Église n’a-t-il pas été effectué dans le sang ? Cette fois encore, il n’en sera pas.autrement.
Nous devons être forts, nous devons nous préparer, nous devons nous confier au CHRIST et à Sa SAINTE MÈRE, et nous devons être attentifs, très attentifs, à la prière du Rosaire»
.
Le 14 août 1983, à Lourdes, JEAN-PAUL II fit cette prière à NOTRE DAME :
.
«Ici, sur cette terre de FRANCE, je confie, au MÈRE DE DIEU, à ton amour maternel, les fils et les filles de ce peuple. Ils n’ont pas cessé de t’honorer, dans leurs traditions, dans l’art de leurs cathédrales, dans leurs pèlerinages, dans la piété populaire comme dans la dévotion des auteurs spirituels, sûrs de demeurer proches du CHRIST en te contemplant, en t’écoutant, en te priant.
Beaucoup ont tenu à se consacrer à toi, y compris des rois, comme l’a fait LOUIS XIII au nom de son peuple.
O MARIE, obtiens pour ces frères et sœurs de FRANCE les dons de l’ESPRIT-SAINT, afin de donner une nouvelle jeunesse, la jeunesse de la Foi, à ces chrétiens et à leurs communautés, que je confie à ton CŒUR IMMACULÉ, à ton amour maternel»
.
Le vendredi Saint 28 mars 1997, JEAN-PAUL II offrit au Seigneur cette prière :
.
«Seigneur, Un faisceau de lumière s’échappe de Ta Croix. Dans ta mort, notre mort est vaincue et l’Espérance de la Résurrection nous est offerte. Agrippés à Ta Croix, nous demeurons dans l’attente de ton retour dans la gloire !»
.
Peut-être est-ce de la période ouverte par le pontificat du Pape JEAN-PAUL II, «KAROL», dont parlait la prophétie attribuée à SAINT ANSELME, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle), extraite du manuscrit d’Argœuves qui date du XVIème siècle :
.
«Malheur à toi, la ville aux sept collines, lorsque la lettre "K" sera acclamée à l’intérieur de tes murailles, alors ta chute sera proche. Tes gouvernants seront détruits. Par tes crimes et tes blasphèmes, tu as irrité le TRÈS-HAUT ; tu périras dans la déroute et le sang.
…qui a une faucille à la main et qui est la faux de la dévastation.»
SAINT ANSELME, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle)
.
Est-il besoin de traduire en clair ? Rome sera dévastée lorsque «K» y sera glorifié. Peut-être lors de la canonisation du Pape JEAN-PAUL II ? Epoque à laquelle, un prédateur malfaisant, dont MARIE-JULIE JAHENNY prédit qu’il se nommera ARCHEL DE LA TORRE, celui qui maniera la faucille (et le marteau ?), celui qui détruira tout avec sa faux et qui dévastera ROME et l’ITALIE.
Et voici un dernier extrait du manuscrit d’Argœuves, pris à la même page :
.
«Prends garde à toi ! car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du Pontife dont le nom est Io. Obi»
SAINT ANSELME, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle)
(JOHN PAUL is the only Pope that adopted two names. Bis is two in Latin).
PAROLES
.
Au cours de sa dernière Semaine Sainte, il répond à un cardinal qui l'invite à ne pas aller au bout de ses limites :
«JÉSUS n'est pas descendu de la Croix, pourquoi devrais-je en descendre, moi ?»
.
Le préfêt de la Maison Pontificale, Monseigneur MONTUZZI, qui connaît bien le Pape recommande toujours aux organisateurs des visites de :
«... ne pas le faire passer devant le lieu où est conservée l'Eucharistie, car il y entrer certainement, perturbant ainsi le programme de la journée !»
..
Un jour un évêque reconnaît dans un clochard, non loin de Saint Pierre, un prêtre qui s'est éloigné du ministère. Il réussit à le faire admettre à une audience et informe JEAN-PAUL II. A l'issue de la rencontre, le pape ll'appelle dans la salle voisine, seul à seul,, et le prêtre-clochard en ressortira en larmes, expliquant que le pape lui avait demandé de le confesser et lui avait dit après la confession :
«Tu vois comme le sacerdoce est grand ? Ne le salis pas»
.
Un jour après avoir pris une décision difficile :
.
«Nous sommes entre les mains de DIEU... Heureusement, parce que si nous étions entre les nôtres, nous serions déjà perdus»
.
Un membre de son entourage lui demande s'il n'a jamais vu la Vierge. La réponse du Pape est nette :
.
«Non, je n'ai jamais vu la VIERGE, mais je l'entends»
.
Un témoin qui eut une audience avec JEAN-PAUL II après la messe dans sa Chapelle privée. A un moment donné de l'entretien, il a l'impression que le visage du Pape s'estompe pour laisser apparaître l'image bienveillante de PADRE PIO. Lorsqu'il fait part de cette vision au Pape, il s'entend répondre avec simplicité :
«Moi aussi, je le vois»
.
«J'ai écrit beaucoup d'Encycliques et de lettres apostoliques, mais je me rends compte que c'est seulement par mes souffrances que je peux contribuer à mieux assister l'humanité. Pense à la valeur de la douleur soufferte et offerte avec amour...»
.
Donner un sens à la douleur n'implique pas pour le pape WOJTYLA que l'on ne doive pas chercher à l'alléger et à apporter du réconfort à celui qui la subit. Si :
.
«la croix est la première lettre de l'Alphabet de DIEU», cela ne signifie pas que la dimension chrétienne de la souffrance «se réduit à son seul sens profond et à son caractère rédempteur» La douleur doit en effet «générer de la solidarité, du dévouement, dela générosité pour toous ceux qui souffrent et en tous ceux qui se sentent appelés à les assiser et à les aider dans leurs souffrances»
.
Un jour, une des sœurs en service dans l'appartement pontifical s'aperçoit que JEAN-PAUL II est très fatigué :
.
«Je suis inquiète pour Votre Sainteté»
.
«Moi aussi, je suis inquiet pour ma sainteté»
.
fut la réponse souriante et spontanée du pape.
.
Lorsqu'il travaillait à l'usine SOLVAY, il arrivait souvent le matin sans le manteau ou le tricot de la veille et il donne toujours la même explication à cela :
.
«Je l'ai laissé en chemin à quelqu'un qui en avait plus besoin que moi»
.
Alors qu'il était prêtre, un dimanche matin, les fidèles attendent longtemps qu'il se présente pour la messe. Il ne le fera qu'après que lle sacristain, venu l'appeler, lui ait prêté des chaussures.
.
La veille, KARROL avait offert la seule paire qu'il possédait à un ami étudiant qui n'en avait pas.
.
Une année, pour ses vacances d'été, KAROL coupe les manches de ses chemises à cause de la chaleur. A l'arrivée de l'hiver, la gouvernante se rend compte de la situation et en parle à l'économe :
.
«Je vais tout de suite lui acheter des chemises à manches longues».
.
«Ce n'est pas si simple parce que, les vêtements neufs, il ne les porte pas, il les offre».
Les chemises sont achetées et la gouvernante les salit et les lave à plusieurs reprises de sorte qu'elles semblent usées. KAROL WOJTYLA ne s'aperçut de rien et ne fit aucune objection.
Fraternellement
Lorsque KAROL WOJTYLA, consacré à MARIE, est devenu le premier Pape slave de l’Histoire, le 16 octobre 1978, les évêques polonais lui ont immédiatement transmis le «poème prophétique» écrit dans la première moitié du XIXème siècle par JULIUS SLOWACKI (1809-1849) :
.
«Au sein des discordes, DIEU fait retentir l'énorme bourdon.
C'est à un Pape slave, qu'Il ouvre l'accès au Trône des trônes.
Celui-là ne fuira pas devant l'épée, comme cet italien.
Celui-là, hardi comme DIEU, affrontera en face l'épée !
C'est le monde qui est poussière.
Les foules s'enfleront et le suivront vers la Lumière que DIEU habite.
Il débarrassera les plaies du monde de leur sanie et de toute leur vermine.
Il nettoiera les sanctuaires des églises et en balaiera le seuil.
Il révèlera DIEU aussi clair que le jour…»
JULIUS SLOWACKI (1809-1849)
.
Ce poème avait marqué les foules polonaises et l’espérance d’un Pape slave était née à ce moment-là. On pourrait croire que JEAN-PAUL II s’est appliqué à suivre le «programme» tracé par ce célèbre poète de Pologne qui était enseveli près de chez lui, à Wawel Krakow …
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Le 22 octobre 1978, Le Pape JEAN-PAUL II, proclamait le thème de son pontificat :
.
«N’ayez pas peur !
Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au CHRIST !
A Sa puissance salvatrice, ouvrez les frontières des états,
Les systèmes économiques et politiques ;
Les immenses domaines de la culture, de la civilisation, du développement !
N’ayez pas peur !
Le CHRIST sait ce qu’il y a dans l’homme ! Et Lui seul le sait !»
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PROPHÉTIES
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Le futur Pape JEAN-PAUL II le 9 novembre 1976 :..
.
«Nous sommes aujourd’hui face au plus grand combat que l’humanité ait jamais vu. Je ne pense pas que la communauté chrétienne l’ait compris totalement. Nous sommes aujourd’hui devant la lutte finale entre l’Église et l’Anti-Église, entre l’Évangile et l’Anti-Évangile»
.
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Le Pape JEAN-PAUL II, manifestant à Istanbul, le 30 Novembre 1979, «son impatience pour l’unité», terminait :
.
«…certain que notre espérance ne peut être trompée»
.
Espérance disait-il que cela se réalise dans ce second millénaire. Faisant référence aussi à cette pleine communion, il affirmait la veille :
.
«J’ose espérer que ce jour est proche !»
.
Lors de sa 1ère visite en France, à la messe célébrée au Bourget, le 1er juin 1980, JEAN-PAUL II, après un développement saisissant sur l’alliance de l’homme avec la Sagesse, qui est la source de la culture, et sur l’effondrement de cette alliance, JEAN-PAUL II conclut par cette adjuration pathétique, en rappelant le divin Pacte de Reims :
.
«Aujourd'hui dans la capitale de l'histoire de votre nation, je voudrais répéter ces paroles qui constituent votre titre de fierté : Fille aînée de l’Église. (…) Il n'existe qu'un seul problème, celui de notre fidélité à l'Alliance avec la Sagesse éternelle, qui est source d'une vraie culture, c'est-à-dire de la croissance de l'homme, et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au nom du PÈRE, du FILS et du SAINT-ESPRIT. Alors permettez-moi de vous interroger : FRANCE, fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? Permettez-moi de vous demander : FRANCE, fille aînée de l’Église et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l'homme, à l'Alliance avec la Sagesse éternelle ? Pardonnez-moi cette question. Je l'ai posée comme le fait le ministre au moment du Baptême. Je l'ai posée par sollicitude pour l’Église dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l'homme dont la grandeur définitive est en DIEU, PÈRE, FILS et ESPRIT.»
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La pluie tombait sur le Bourget, le vent s’était levé. La mitre ôtée, la calotte enlevée, JEAN-PAUL II, tel un bûcheron, la mâchoire en avant, la mèche sur le front, martelait ses mots en soulevant son texte, seul, en avant du podium, comme un capitaine à la proue du navire, bravant les éléments déchaînés.
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En 1981, à Fulda en Allemagne, à des jeunes qui lui demandaient pourquoi le Troisième Secret n’avait pas encore été révélé, JEAN-PAUL II annonça :
.
«À cause de la gravité de son contenu, de façon à ne pas encourager la puissance mondiale du communisme à perpétrer certains attentats, mes Prédécesseurs dans la Chaire de PIERRE ont préféré diplomatiquement retarder son dévoilement.
D’un autre côté, il devrait être suffisant pour tous les Chrétiens de retenir ceci fermement : s’il y a un message dans lequel il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre ; que, d’un moment à l’autre des millions de personnes périront… il n’y a plus nécessité aucune à désirer vraiment publier ce message secret.
Plusieurs désirent connaître seulement par curiosité, ou à cause de leur goût pour le sensationnalisme, mais ils oublient que «savoir»implique pour eux une responsabilité. Il est dangereux de vouloir simplement satisfaire sa curiosité si on est convaincu que nous ne pouvons rien contre une catastrophe qui a été prédite».
.
À ce moment, le Saint Père montra son Rosaire et dit :
.
«Voici le remède contre le démon ! Priez, priez et ne demandez rien d’autre. Mettez tout dans les mains de la MÈRE DE DIEU !»
.
JEAN-PAUL II a continué :
.
«Nous devons être prêts à subir de grandes épreuves dans un avenir pas trop éloigné ; des épreuves qui requerront de nous de donner peut-être même nos vies, et un don total de soi au CHRIST et pour le CHRIST.
Par vos prières et les miennes, il est possible d’alléger cette tribulation, mais il n’est plus possible de l’éviter parce que ce n’est que de cette façon que l’Église peut effectivement être renouvelée. Combien de fois en effet le renouvellement de l’Église n’a-t-il pas été effectué dans le sang ? Cette fois encore, il n’en sera pas.autrement.
Nous devons être forts, nous devons nous préparer, nous devons nous confier au CHRIST et à Sa SAINTE MÈRE, et nous devons être attentifs, très attentifs, à la prière du Rosaire»
.
Le 14 août 1983, à Lourdes, JEAN-PAUL II fit cette prière à NOTRE DAME :
.
«Ici, sur cette terre de FRANCE, je confie, au MÈRE DE DIEU, à ton amour maternel, les fils et les filles de ce peuple. Ils n’ont pas cessé de t’honorer, dans leurs traditions, dans l’art de leurs cathédrales, dans leurs pèlerinages, dans la piété populaire comme dans la dévotion des auteurs spirituels, sûrs de demeurer proches du CHRIST en te contemplant, en t’écoutant, en te priant.
Beaucoup ont tenu à se consacrer à toi, y compris des rois, comme l’a fait LOUIS XIII au nom de son peuple.
O MARIE, obtiens pour ces frères et sœurs de FRANCE les dons de l’ESPRIT-SAINT, afin de donner une nouvelle jeunesse, la jeunesse de la Foi, à ces chrétiens et à leurs communautés, que je confie à ton CŒUR IMMACULÉ, à ton amour maternel»
.
Le vendredi Saint 28 mars 1997, JEAN-PAUL II offrit au Seigneur cette prière :
.
«Seigneur, Un faisceau de lumière s’échappe de Ta Croix. Dans ta mort, notre mort est vaincue et l’Espérance de la Résurrection nous est offerte. Agrippés à Ta Croix, nous demeurons dans l’attente de ton retour dans la gloire !»
.
Peut-être est-ce de la période ouverte par le pontificat du Pape JEAN-PAUL II, «KAROL», dont parlait la prophétie attribuée à SAINT ANSELME, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle), extraite du manuscrit d’Argœuves qui date du XVIème siècle :
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«Malheur à toi, la ville aux sept collines, lorsque la lettre "K" sera acclamée à l’intérieur de tes murailles, alors ta chute sera proche. Tes gouvernants seront détruits. Par tes crimes et tes blasphèmes, tu as irrité le TRÈS-HAUT ; tu périras dans la déroute et le sang.
…qui a une faucille à la main et qui est la faux de la dévastation.»
SAINT ANSELME, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle)
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Est-il besoin de traduire en clair ? Rome sera dévastée lorsque «K» y sera glorifié. Peut-être lors de la canonisation du Pape JEAN-PAUL II ? Epoque à laquelle, un prédateur malfaisant, dont MARIE-JULIE JAHENNY prédit qu’il se nommera ARCHEL DE LA TORRE, celui qui maniera la faucille (et le marteau ?), celui qui détruira tout avec sa faux et qui dévastera ROME et l’ITALIE.
Et voici un dernier extrait du manuscrit d’Argœuves, pris à la même page :
.
«Prends garde à toi ! car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du Pontife dont le nom est Io. Obi»
SAINT ANSELME, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle)
(JOHN PAUL is the only Pope that adopted two names. Bis is two in Latin).
PAROLES
.
Au cours de sa dernière Semaine Sainte, il répond à un cardinal qui l'invite à ne pas aller au bout de ses limites :
«JÉSUS n'est pas descendu de la Croix, pourquoi devrais-je en descendre, moi ?»
.
Le préfêt de la Maison Pontificale, Monseigneur MONTUZZI, qui connaît bien le Pape recommande toujours aux organisateurs des visites de :
«... ne pas le faire passer devant le lieu où est conservée l'Eucharistie, car il y entrer certainement, perturbant ainsi le programme de la journée !»
..
Un jour un évêque reconnaît dans un clochard, non loin de Saint Pierre, un prêtre qui s'est éloigné du ministère. Il réussit à le faire admettre à une audience et informe JEAN-PAUL II. A l'issue de la rencontre, le pape ll'appelle dans la salle voisine, seul à seul,, et le prêtre-clochard en ressortira en larmes, expliquant que le pape lui avait demandé de le confesser et lui avait dit après la confession :
«Tu vois comme le sacerdoce est grand ? Ne le salis pas»
.
Un jour après avoir pris une décision difficile :
.
«Nous sommes entre les mains de DIEU... Heureusement, parce que si nous étions entre les nôtres, nous serions déjà perdus»
.
Un membre de son entourage lui demande s'il n'a jamais vu la Vierge. La réponse du Pape est nette :
.
«Non, je n'ai jamais vu la VIERGE, mais je l'entends»
.
Un témoin qui eut une audience avec JEAN-PAUL II après la messe dans sa Chapelle privée. A un moment donné de l'entretien, il a l'impression que le visage du Pape s'estompe pour laisser apparaître l'image bienveillante de PADRE PIO. Lorsqu'il fait part de cette vision au Pape, il s'entend répondre avec simplicité :
«Moi aussi, je le vois»
.
«J'ai écrit beaucoup d'Encycliques et de lettres apostoliques, mais je me rends compte que c'est seulement par mes souffrances que je peux contribuer à mieux assister l'humanité. Pense à la valeur de la douleur soufferte et offerte avec amour...»
.
Donner un sens à la douleur n'implique pas pour le pape WOJTYLA que l'on ne doive pas chercher à l'alléger et à apporter du réconfort à celui qui la subit. Si :
.
«la croix est la première lettre de l'Alphabet de DIEU», cela ne signifie pas que la dimension chrétienne de la souffrance «se réduit à son seul sens profond et à son caractère rédempteur» La douleur doit en effet «générer de la solidarité, du dévouement, dela générosité pour toous ceux qui souffrent et en tous ceux qui se sentent appelés à les assiser et à les aider dans leurs souffrances»
.
Un jour, une des sœurs en service dans l'appartement pontifical s'aperçoit que JEAN-PAUL II est très fatigué :
.
«Je suis inquiète pour Votre Sainteté»
.
«Moi aussi, je suis inquiet pour ma sainteté»
.
fut la réponse souriante et spontanée du pape.
.
Lorsqu'il travaillait à l'usine SOLVAY, il arrivait souvent le matin sans le manteau ou le tricot de la veille et il donne toujours la même explication à cela :
.
«Je l'ai laissé en chemin à quelqu'un qui en avait plus besoin que moi»
.
Alors qu'il était prêtre, un dimanche matin, les fidèles attendent longtemps qu'il se présente pour la messe. Il ne le fera qu'après que lle sacristain, venu l'appeler, lui ait prêté des chaussures.
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La veille, KARROL avait offert la seule paire qu'il possédait à un ami étudiant qui n'en avait pas.
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Une année, pour ses vacances d'été, KAROL coupe les manches de ses chemises à cause de la chaleur. A l'arrivée de l'hiver, la gouvernante se rend compte de la situation et en parle à l'économe :
.
«Je vais tout de suite lui acheter des chemises à manches longues».
.
«Ce n'est pas si simple parce que, les vêtements neufs, il ne les porte pas, il les offre».
Les chemises sont achetées et la gouvernante les salit et les lave à plusieurs reprises de sorte qu'elles semblent usées. KAROL WOJTYLA ne s'aperçut de rien et ne fit aucune objection.
Fraternellement
mariejesus- En adoration
- Messages : 2642
Age : 37
Inscription : 09/07/2012
Re: Prophétie du Bienheureux Jean Paul II
…. Et les autresUn jour, une des sœurs en service dans l'appartement pontifical s'aperçoit que JEAN-PAUL II est très fatigué :
.
«Je suis inquiète pour Votre Sainteté»
.
«Moi aussi, je suis inquiet pour ma sainteté»
.
fut la réponse souriante et spontanée du pape.
.
Lorsqu'il travaillait à l'usine SOLVAY, il arrivait souvent le matin sans le manteau ou le tricot de la veille et il donne toujours la même explication à cela :
.
«Je l'ai laissé en chemin à quelqu'un qui en avait plus besoin que moi»
Merci beaucoup mariejesus pour le partage de ces prophéties concernant le Saint-Père Jean-Paul II et le rappel de quelques unes de ses paroles et merci beaucoup aussi pour le florilège de ses répliques et de ses actes dont la lecture amène fraîcheur, sourires et apporte même un sentiment de paix, sans doute ses actions qui déteignent dans les écrits.
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4319
Localisation : France
Inscription : 28/10/2009
Re: Prophétie du Bienheureux Jean Paul II
"Mémoire et identité", le testament politique et spirituel de Jean-Paul II
De Laurent de Woillemont sur ndf.fr :
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/03-03-2016/on-a-lu-pour-vous-memoire-et-identite-jean-paul-ii#.VtkvXfnhDcs
On a lu pour vous : « Mémoire et identité » (Jean-Paul II)
Ce livre est le témoignage posthume, pour ne pas dire le testament de Jean Paul II, qu’il n’a pas publié de son vivant, de façon délibérée. Ces entretiens datent de 1993, ils se sont tenus à Castel Gandolfo, avec des amis philosophes polonais. La discussion est très libre et tourne autour de cinq thèmes ; la limite imposée au mal, liberté et responsabilité, quand je pense patrie, quand je pense Europe, la démocratie : possibilités et risques.
Il s’agit donc de thématiques à la fois morales et politiques sur lesquelles le pape donne son avis personnel ; bien que ces conversations restent privées, le livre est bien signé Jean Paul II, et non pas Karol Wojtilya. A ce titre, et au vu des références dont le pape se réclame, on peut difficilement contester le caractère autorisé de ce document, bien qu’il ne soit pas à proprement parler « magistériel ».
Or, le pape s’exprime sur des sujets on ne peut plus sensible et d’actualité ; le titre à lui seul est révélateur ; l’identité et la mémoire sont des sujet brulants aujourd’hui, qu’il s’agisse de l’identité sexuelle ou de l’identité nationale, les débats font rage et les mémoires non plus ne sont pas traitées de manière égale ; certaines sont censées être plus nécessaires à la mémoire collective que d’autres…
Le pape assume parfaitement son patriotisme polonais ; il rappelle qu’à l’origine de ce terme, il y a le mot « père », et que le sentiment patriotique s’inscrit tout à fait dans la foi catholique puisqu’elle se rattache directement dans le quatrième commandement « Honore ton père et ta mère ». Nous devons vénérer nos parents car ils représentent pour nous le Dieu créateur. La famille, la nation et la patrie demeurent des réalités considérées par la doctrine sociale de l’Eglise comme des sociétés « naturelles ». « Elles ne sont pas le fruit d’une simple convention » et ne peuvent être remplacées par rien d’autre ! Les nations, de manière analogue aux individus, sont dotées d’une mémoire historique. Paroles prophétiques s’il en est. Paroles qui nous provoquent aujourd’hui et restent un guide sur pour nous diriger en ces périodes de troubles. Pour autant, si l’homme a une vocation eschatologique il n’en est pas de même des nations. Le pape observe aussi que la Pologne comme nation sort de la préhistoire au moment de son baptême et commence alors à exister dans l’histoire.
En bon Polonais, il nous rappelle la saga de « Jean III Sobieski qui sauva l’Europe du danger ottoman à Vienne en 1683 », « victoire qui éloigna ce danger de l’Europe pour une longue période » (p 168). Il est intéressant de remarquer qu’aujourd’hui le pape François, les évêques ainsi que toute la hiérarchie catholique et ses « bonnes œuvres » militent en faveur de l’arrivée massive de ces mêmes musulmans, qui transitent essentiellement par l’ancienne puissance ottomane…
La réflexion menée sur le juste usage de la liberté semble plus pertinente que jamais. Le pape insiste sur le fait que l’on détourne l’homme de sa responsabilité éthique lorsque l’on s’appuie sur la liberté seule. Il faut un critère régulateur pour l’usage de la liberté ; ce critère en saurait être le seul plaisir, ni même l’utile. Le saint pape nous invite à faire la distinction entre le bien juste (bonum honestum), le bien utile (bonum utile), et le bien délectable (bonum delectabile). C’est la ligne de partage entre la tradition de l’éthique aristotélicienne et thomiste d’une part et l’utilitarisme moderne d’autre part, que l’on peut résumer par l’expression « le maximum de plaisir pour le plus grand nombre d’hommes». (P 50).
Reprenant les actes du Magistère, depuis Léon XIII, Pie XI, Jean XXXIII qui synthétise les travaux de Pie XII, Paul VI et enfin sa propre trilogie Laborem exercens, Sollicitudo rei socialis etCentesimus annus, saint Jean-Paul II remarque qu’à la source de tous ces documents se trouve le thème de la liberté de l’homme; « la liberté est donnée à l’homme par le Créateur comme un don et comme une tache » p 57.
Apres avoir indiqué que c’est par un processus électoral légal que le chancelier Hitler est arrivé au pouvoir, Jean-Paul II rappelle que les parlements qui approuvent promulguent des lois sur l’interruption de grossesse par exemple « se mettent conflit manifeste avec la loi de Dieu et avec la loi naturelle » (p163) ; Ces deux lois sont donc supérieures à toute législation humaine.
Pour Jean-Paul II, l’histoire de l’Europe a une dimension verticale : « Le Règne de Dieu se greffe et se développe dans l’histoire de l’homme mais son but est bien la vie future ».
Ce livre très court traite des défis que les catholiques rencontrent aujourd’hui et la grande voix de ce géant reste pour nous un guide sur dans cette période de trouble et de désolation. C’est sans doute pour cela qu’il n’a pas été réédité et qu’il est urgent de la partager ou de l’acquérir.
Mémoire et Identité, Jean-Paul II, Flammarion
De Laurent de Woillemont sur ndf.fr :
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/03-03-2016/on-a-lu-pour-vous-memoire-et-identite-jean-paul-ii#.VtkvXfnhDcs
On a lu pour vous : « Mémoire et identité » (Jean-Paul II)
Ce livre est le témoignage posthume, pour ne pas dire le testament de Jean Paul II, qu’il n’a pas publié de son vivant, de façon délibérée. Ces entretiens datent de 1993, ils se sont tenus à Castel Gandolfo, avec des amis philosophes polonais. La discussion est très libre et tourne autour de cinq thèmes ; la limite imposée au mal, liberté et responsabilité, quand je pense patrie, quand je pense Europe, la démocratie : possibilités et risques.
Il s’agit donc de thématiques à la fois morales et politiques sur lesquelles le pape donne son avis personnel ; bien que ces conversations restent privées, le livre est bien signé Jean Paul II, et non pas Karol Wojtilya. A ce titre, et au vu des références dont le pape se réclame, on peut difficilement contester le caractère autorisé de ce document, bien qu’il ne soit pas à proprement parler « magistériel ».
Or, le pape s’exprime sur des sujets on ne peut plus sensible et d’actualité ; le titre à lui seul est révélateur ; l’identité et la mémoire sont des sujet brulants aujourd’hui, qu’il s’agisse de l’identité sexuelle ou de l’identité nationale, les débats font rage et les mémoires non plus ne sont pas traitées de manière égale ; certaines sont censées être plus nécessaires à la mémoire collective que d’autres…
Le pape assume parfaitement son patriotisme polonais ; il rappelle qu’à l’origine de ce terme, il y a le mot « père », et que le sentiment patriotique s’inscrit tout à fait dans la foi catholique puisqu’elle se rattache directement dans le quatrième commandement « Honore ton père et ta mère ». Nous devons vénérer nos parents car ils représentent pour nous le Dieu créateur. La famille, la nation et la patrie demeurent des réalités considérées par la doctrine sociale de l’Eglise comme des sociétés « naturelles ». « Elles ne sont pas le fruit d’une simple convention » et ne peuvent être remplacées par rien d’autre ! Les nations, de manière analogue aux individus, sont dotées d’une mémoire historique. Paroles prophétiques s’il en est. Paroles qui nous provoquent aujourd’hui et restent un guide sur pour nous diriger en ces périodes de troubles. Pour autant, si l’homme a une vocation eschatologique il n’en est pas de même des nations. Le pape observe aussi que la Pologne comme nation sort de la préhistoire au moment de son baptême et commence alors à exister dans l’histoire.
En bon Polonais, il nous rappelle la saga de « Jean III Sobieski qui sauva l’Europe du danger ottoman à Vienne en 1683 », « victoire qui éloigna ce danger de l’Europe pour une longue période » (p 168). Il est intéressant de remarquer qu’aujourd’hui le pape François, les évêques ainsi que toute la hiérarchie catholique et ses « bonnes œuvres » militent en faveur de l’arrivée massive de ces mêmes musulmans, qui transitent essentiellement par l’ancienne puissance ottomane…
La réflexion menée sur le juste usage de la liberté semble plus pertinente que jamais. Le pape insiste sur le fait que l’on détourne l’homme de sa responsabilité éthique lorsque l’on s’appuie sur la liberté seule. Il faut un critère régulateur pour l’usage de la liberté ; ce critère en saurait être le seul plaisir, ni même l’utile. Le saint pape nous invite à faire la distinction entre le bien juste (bonum honestum), le bien utile (bonum utile), et le bien délectable (bonum delectabile). C’est la ligne de partage entre la tradition de l’éthique aristotélicienne et thomiste d’une part et l’utilitarisme moderne d’autre part, que l’on peut résumer par l’expression « le maximum de plaisir pour le plus grand nombre d’hommes». (P 50).
Reprenant les actes du Magistère, depuis Léon XIII, Pie XI, Jean XXXIII qui synthétise les travaux de Pie XII, Paul VI et enfin sa propre trilogie Laborem exercens, Sollicitudo rei socialis etCentesimus annus, saint Jean-Paul II remarque qu’à la source de tous ces documents se trouve le thème de la liberté de l’homme; « la liberté est donnée à l’homme par le Créateur comme un don et comme une tache » p 57.
Apres avoir indiqué que c’est par un processus électoral légal que le chancelier Hitler est arrivé au pouvoir, Jean-Paul II rappelle que les parlements qui approuvent promulguent des lois sur l’interruption de grossesse par exemple « se mettent conflit manifeste avec la loi de Dieu et avec la loi naturelle » (p163) ; Ces deux lois sont donc supérieures à toute législation humaine.
Pour Jean-Paul II, l’histoire de l’Europe a une dimension verticale : « Le Règne de Dieu se greffe et se développe dans l’histoire de l’homme mais son but est bien la vie future ».
Ce livre très court traite des défis que les catholiques rencontrent aujourd’hui et la grande voix de ce géant reste pour nous un guide sur dans cette période de trouble et de désolation. C’est sans doute pour cela qu’il n’a pas été réédité et qu’il est urgent de la partager ou de l’acquérir.
Mémoire et Identité, Jean-Paul II, Flammarion
Invité- Invité
Re: Prophétie du Bienheureux Jean Paul II
mariejesus a écrit:
.
En 1981, à Fulda en Allemagne, à des jeunes qui lui demandaient pourquoi le Troisième Secret n’avait pas encore été révélé, JEAN-PAUL II annonça :
.
«À cause de la gravité de son contenu, de façon à ne pas encourager la puissance mondiale du communisme à perpétrer certains attentats, mes Prédécesseurs dans la Chaire de PIERRE ont préféré diplomatiquement retarder son dévoilement.
D’un autre côté, il devrait être suffisant pour tous les Chrétiens de retenir ceci fermement : s’il y a un message dans lequel il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre ; que, d’un moment à l’autre des millions de personnes périront… il n’y a plus nécessité aucune à désirer vraiment publier ce message secret.
c'est marrant, rien à voir avec le (soi-disant) 3e secret qu'il a officiellement révélé en 2000.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
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