crémation is it Christian ?
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Gilles
violaine
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crémation is it Christian ?
Tout le monde se pose la question...
« La foi de toujours » du bulletin des Antilles, nous rappelle ce que fut et doit rester l’inhumation par rapport à l’incinération.
Déjà, dans la loi de Moïse, c’était un devoir sacré que d’ensevelir les morts, même les condamnés ou les ennemis. L’Ancien Testament en parle clairement avec Tobie qui, au péril de sa vie, prenait soin d’enterrer, la nuit, les morts qu’il avait cachés dans sa maison pendant le jour.
Aucun texte, par contre, n’encourage la crémation des cadavres.
Le Nouveau Testament, de même, parle uniquement d’inhumation et parfois, d’embaumement en signe supplémentaire de respect pour les corps, devenus, par le baptême, temples de la Sainte Trinité en attendant leur résurrection. D’où le respect de l’Eglise qui bénit plusieurs fois le corps pendant les obsèques, puis le caveau où il reposera.
Aucune allusion n’est faite à la crémation.
Dans le passé, la législation de l’Eglise a toujours condamné la pratique de l’incinération, sauf dans les cas extrêmes d’épidémie ou de peste, ce qui ne correspond plus à une nécessité de nos jours où l’on invoque des motifs futiles : plus économique, plus de cercueil ni de caveau d’où moins d’encombrement des cimetières avec des cendres dans une petite urne, plus hygiénique, dit-on, pour cette pratique barbare dans laquelle on peut retrouver le mépris de notre société où l’avortement détruit la promesse de vie, l’euthanasie élimine les gêneurs et enfin, l’incinération détruisant l’œuvre de Dieu dans ses phases successives.
L’actuelle position de l’Eglise est là-dessus comme sur d’autres points importants, contraire à l’enseignement précis qui était le sien, laissant la porte ouverte à tous les abus et scandales dus à la propagande maçonnique ou rosicrucienne entre autres, et il est bon de savoir que les dirigeants des associations crématistes qui en répandent la pratique, sont inspirés d’idées anti-chrétiennes et le plus souvent maçonniques.
Il est moralement interdit à un chrétien de demander à être incinéré et nul n’est tenu de respecter cette volonté d’un défunt catholique car, selon le droit canonique de 1917,
- « les corps des fidèles défunts doivent être ensevelis, leur crémation étant réprouvée. »
- « sont privés de la sépulture ecclésiastique ceux qui ont ordonné que leur corps soit livré à la crémation . »
L’Eglise tient cet acte comme gravement peccamineux, comparable au péché public, à l’apostasie, à l’excommunication et au suicide. Même si la loi de 1888 permet en France, la crémation des cadavres, moralement, cette pratique était, est et restera toujours condamnable. Les lois humaines qui permettent le divorce, l’avortement et l’euthanasie, ne sont pas non plus la loi de Dieu.
Ce qui est dit pour le corps, l’est pour chaque organe particulier et pour les fœtus dans les avortements qui se terminent le plus souvent par l’incinération.
Le pape Pie XI écrit en 1926 que la crémation est un rite barbare, impie et scandaleux, gravement illicite.
De plus, comment obtiendrait-on des reliques si précieuses après crémation ?
violaine- Avec les anges
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Re: crémation is it Christian ?
Quel est l’avis de l’Eglise sur la crémation ?
L’Église ne refuse plus la crémation à condition que celle-ci ne soit pas envisagée par opposition et provocation à la foi catholique. Le document officiel qui gère cette situation est la « Note de Mgr Feidt » du 4 juin 1986, publié dans le Directoire canonique et pastoral pour les actes administratifs des sacrements (éd. Paroi-Service, 1984).
La position la plus récente de l’épiscopat correspond à ce qui a été publié dans Les points de repère en pastorale des funérailles, par la Commission épiscopale de liturgie.
L’article qui fait le point de la situation et donne le mieux les enjeux, du point de vue de l’Église catholique, est l’article de J.-C. Hugues dans Célébrer 274 (oct-nov 1997), et qu’il a développé dans La Maison-Dieu, n°213, 1998.
La position actuelle des évêques (notamment dans le chantier en cours de révision du Rituel des funérailles) n’est pas encore totalement arrêtée. La réflexion s’oriente plutôt vers : L’Église ne refuse pas la crémation (sauf cf. point 1 ci-dessus) et situe celle-ci après les funérailles à l’Église, en même lieu que l’inhumation. L’Église porte un soin particulier à la destination des cendres. C’est pourquoi les responsables pastoraux ont le devoir d’avertir les familles qu’il y a là un enjeu important pour l’Église (ni dispersion ni conservation à domicile ; dépôt dans un lieu « mémoire »). La communauté chrétienne peut proposer une prière au lieu de crémation (cela est même conseillé pour ritualiser ce moment difficile) : il sera conçu comme la prière au cimetière (en adaptant, bien sûr), en s’appuyant sur le Rituel II.
Lorsqu’il n’est pas possible de faire autrement (personne décédée à l’étranger ou loin du lieu de résidence…), et que la crémation a lieu avant les funérailles à l’église, la bonne solution semble être (dans la mesure du possible) : prière du dernier adieu au lieu de crémation et célébration de funérailles en l’absence de corps et sans l’urne. Si, malgré tout, dans le cas précédent, le dernier adieu n’a pu se faire avec le corps et qu’on ne peut empêcher la présence de l’urne à la célébration à l’église, alors on y fait le dernier adieu mais sans le rite d’aspersion et l’encensement qui sont réservés au corps.
Dominique Cadet
Source: www.liturgiecatholique.fr
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: crémation is it Christian ?
Gilles
bizarre !!!!!
violaine
Le pape Pie XI écrit en 1926 que la crémation est un rite barbare, impie et scandaleux, gravement illicite.
bizarre !!!!!
violaine
violaine- Avec les anges
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Re: crémation is it Christian ?
Le point de vue de l’Eglise catholique
Après avoir pris, pendant des siècles, la forme d’une vigoureuse condamnation d’un rite funéraire considéré comme un défi lancé à la doctrine chrétienne, le jugement de l’Eglise catholique s’est fait plus nuancé depuis un décret du Saint-Office en date du 8 mai 1963 (auparavant, étaient privés de la sépulture ecclésiastique ceux qui avaient demandé que leur corps fût livré à la crémation !). Aujourd’hui donc, l’Eglise réaffirme sa préférence traditionnelle pour l’enterrement des morts, mais ne prononce plus de condamnation envers la crémation :
« L’Eglise recommande vivement que soit conservée la pieuse coutume d’ensevelir les corps des défunts; cependant, elle n’interdit pas l’incinération, à moins que celle-ci n’ait été choisie pour des raisons contraires à la doctrine chrétienne. » [Code de Droit Canonique, c. 1176 §3]
« Les corps des défunts doivent être traités avec respect et charité dans la foi et l’espérance de la résurrection. L’ensevelissement des morts est une oeuvre de miséricorde corporelle; elle honore les enfants de Dieu, temples de l’Esprit Saint. » [Catéchisme de l’Eglise catholique, no. 2300]
« L’Eglise permet l’incinération si celle-ci ne manifeste pas une mise en cause de la foi dans la résurrection des corps. » [Catéchisme de l’Eglise catholique, no. 2301 §2]
Le Rituel romain des funérailles, paru après le concile, en 1969, rappelle la raison essentielle de cette préférence traditionnelle pour l’inhumation : l’imitation de Jésus jusque dans sa mort et sa mise au tombeau (Jn 19,40-42). Ne rappelle-t-on pas, chaque dimanche dans le credo liturgique, que Jésus "a été enseveli..." ? Mais on peut penser aussi que l’image biblique de la création de l’homme à partir de la poussière du sol (Gn 2,7;3,19), la piété de Tobie (Tb 1,16-18) et, plus encore, la vision grandiose des ossements desséchés qui reprennent vie (Ez 37) ont dû influencer l’imaginaire chrétien autour de la résurrection des corps et faire de l’enterrement la meilleure expression symbolique de la foi de l’Eglise en la résurrection de la chair.
Reconnaissons d’ailleurs, avec Ines LOTZIKA [2] et les évêques allemands [3], qu’il y a quelque contradiction - au moins au niveau de l’expression symbolique - à souligner l’éminente dignité du corps humain, temple de l’Esprit Saint appelé à ressusciter, au moment même où l’on s’empresse de le détruire ! Comment un acte qui, dans notre culture judéo-chrétienne, est un acte de violence, de destruction, pourrait-il laisser place au germe de l’espérance ? Ne faut-il pas plutôt souligner qu’il y a, au cœur du christianisme, deux médiations - le corps et le temps - qui, dans le mystère de l’Incarnation, s’appellent l’une l’autre ? Dès lors, que signifie pour un chrétien cette double atteinte délibérée faite au corps et au temps ? Certes, le temps n’a de sens que pour les vivants; mais précisément, le défunt n’est pas seul : il y a ses proches et toute la société pour lesquels compte encore le temps... y compris celui de la lente disparition du corps enfoui en terre et qui sert de support symbolique au nécessaire et patient travail de deuil.
D’un point de vue liturgique, on notera qu’en France les funérailles chrétiennes sont habituellement célébrées à l’église avant l’incinération (comme elles sont célébrées évidemment avant la mise en terre) et qu’il paraît plutôt incohérent, voire malsain, d’imaginer une célébration à l’église autour de l’urne cinéraire ! La situation allemande avec la possibilité d’une célébration liturgique au moment de la déposition de l’urne au cimetière correspond à une autre pratique, dans laquelle le corps ne passe pas par l’église. Qu’on opte d’ailleurs pour l’inhumation ou pour l’incinération, la nécessité d’un rituel se fait sentir pour ce moment critique qu’est celui où le corps est soustrait aux regards (dans la fosse ou derrière le rideau du salon de cérémonie dans le crématorium). Les sociétés de Pompes Funèbres l’ont bien compris, qui proposent au funérarium, parmi leurs prestations tarifées, une cérémonie d’hommage civil voire même un temps de prière avec le "Notre Père" enregistré sur cassette !
Pour un discernement moral ...
On vient de le voir, le magistère de l’Eglise, tout en indiquant sa préférence pour l’inhumation traditionnelle, laisse les personnes et les familles libres du choix entre inhumation ou crémation. Cela ne dispense pas pour autant chacun d’un minimum de réflexion sur ce qui est en jeu dans sa décision ! Examinons donc brièvement la valeur éthique des arguments souvent mis en avant par les tenants de la crémation et suggérons ici quelques questions...
L’argument économique est à prendre en considération, mais d’un point de vue moral, ne saurait être dirimant ! D’ailleurs l’économie que représenterait le procédé de l’incinération n’est réelle que lorsque la crémation n’est pas suivie d’une inhumation de l’urne dans un caveau, mais d’une remise des cendres à la famille ou d’une dispersion dans le "jardin du souvenir" jouxtant le crématorium. Le reste des frais reste sensiblement le même : préparation du corps, cercueil, transport, etc...
La même remarque vaut pour l’argument écologique, qu’on peut d’ailleurs, lui aussi, contester : est-il si sûr que cela que la décomposition des corps dans la terre des cimetières soit plus polluante que la fumée des crématoriums ?
Quant à la revendication de laisser la terre aux vivants, elle soulève de bien redoutables questions. Quel type de société voulons-nous édifier et quelle terre voulons-nous laisser aux générations suivantes ? Une terre à exploiter et rentabiliser selon les stricts impératifs de l’économie ? Ou bien une terre humanisée qui porte des traces de l’histoire et des générations qui se sont succédées ? Une société qui considérerait que les restes des morts sont une nuisance écologique ne serait-elle pas déjà une société déshumanisée ? Dans un fort contexte individualiste ne faut-il pas au contraire préserver les cimetières comme lieux de mémoire sociale ?
Le légitime et très honorable souhait de respecter les dernières volontés du défunt ne doit pas non plus être à ce point sacralisé qu’il rende en pratique la vie impossible aux vivants : être mort ne donne pas tous les droits ! D’ailleurs le simple bon sens permet souvent de distinguer ce qui, dans la vie du défunt, était simple foucade et déclaration faite un jour sous mode de provocation, d’avec un désir réfléchi et plusieurs fois manifesté en cohérence avec une certaine manière de vivre ! Là encore un discernement est nécessaire.
Quant à la préoccupation, apparemment très altruiste, de ne pas être une charge pour ses proches, encore après sa mort, elle montre une fois de plus les graves limites des bons sentiments en morale : elle évacue en effet complètement la dimension sociale (et, pour les chrétiens, ecclésiale) de toute existence humaine, en faisant de chaque individu le seul juge de la fécondité de sa vie et du souvenir qui mérite ou non d’en être conservé. Souhaiter, après sa mort, faire disparaître au plus vite les derniers restes tangibles de son passage sur la terre (cf. en Allemagne le phénomène des "sépultures anonymes") part peut-être d’un bon sentiment, mais, à court terme, prive en fait les proches d’un lieu identifiable pour le travail de la mémoire et du deuil, et, à long terme, ne paraît pas servir l’humanité, laquelle a au contraire besoin de signes forts attestant que tout homme est une histoire sacrée, porteur d’une inaliénable dignité, même si lui-même n’en a pas conscience !
Tout en laissant donc chacun de ses membres libre de choisir, pour lui ou ses proches, le rite funéraire qu’il veut, l’Eglise entend rappeler quelques convictions fortes concernant l’éminente dignité du corps humain même après la mort, l’importance dans l’anthropologie chrétienne des médiations du corps et du temps, la dimension sociale (et ecclésiale) de toute existence humaine et, partant, de toute mort d’homme. Ce faisant, elle invite chacun à réfléchir autant que faire se peut aux conséquences de ses choix en matière de rite funéraire, pour ses proches et, à plus long terme, pour la société - voire pour l’Eglise - dans laquelle il s’insère.
Source: www.portstnicolas.net
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: crémation is it Christian ?
Gilles j'aime bien ce texte qui explique clairement la question de l'incinération.
anlise- Contemplatif
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Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
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Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
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Re: crémation is it Christian ?
http://catholiquesdu.free.fr/2020/01/H2901.mp3
Homélie de la Messe de l'Aurore, Mercredi 29 janvier
Evangile et Paraboles : l'enseignement est réservé aux Apôtres et aux disciples ; messe pour Henri, en état de mort clinique : comment la dormition opère son œuvre dans l'âme avant que la mort ne s'achève dans le jugement particulier ; notre vie est un désastre (péché hors du chemin, pierres, pas d'acte héroïque d'amour ou de foi parfaite, ronces et attachements terrestres) : à l'heure de notre mort il n'y a que Marie qui puisse être notre bonne terre ; long enseignement sur la fin dernière : comment nous avons à lutter, étant morts, alors que nous allons mourir, en vrai dans quelques heures ; comment, alors, être sauvé ? ; explication sur la souffrance spéciale du "Damn" ; Notre-Dame de la Salette pleure parce que les prêtres ne l'expliquent plus.
brigitte57- Avec le Pape François
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Inscription : 20/02/2017
Re: crémation is it Christian ?
Il est tout à fait hors de question que je me fasse incinérer mes enfants sont prévenues. On ne sait pas ce qu'il se passe après, personne ne sait. Jésus n'a pas été incinéré je ne le serais pas non plus. Le feu c'est l'enfer pour moi, je sais que c'est puéril comme avis mais... L'incinération c'est pour faire de la place, les cimetières en prennent trop et je ne suis pas là pour arranger les envies des promoteurs
famalice- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
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Inscription : 04/11/2011
Re: crémation is it Christian ?
famalice a écrit:Il est tout à fait hors de question que je me fasse incinérer mes enfants sont prévenues. On ne sait pas ce qu'il se passe après, personne ne sait. Jésus n'a pas été incinéré je ne le serais pas non plus. Le feu c'est l'enfer pour moi, je sais que c'est puéril comme avis mais... L'incinération c'est pour faire de la place, les cimetières en prennent trop et je ne suis pas là pour arranger les envies des promoteurs
De la place.... pas seulement... il s'agit d'enfoncer le clou de l'athéisme pour ceux qui croiraient encore... et sans doute pour d'autres motifs inavouables. Ceux qui ont dit que la crémation est tolérée sur le fameux livre noir (catéchisme) ne peuvent pas être chrétiens. Ce n'est pas possible.
Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
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Inscription : 04/04/2019
Re: crémation is it Christian ?
Oui je ne comprends pas. La vision même de ce procédé, je n'imagine même pas ce qu'il se passe et puis humainement parlant... Toutes les personnes que j'aimais ces dernières années amis, mère, grand-mère.. Se sont fait incinérer. Mais pour ceux qui restent ? Où se recueillir ? Je me suis toujours imaginée ne pas être vraiment morte et être obligée de rentrer dans ce four. C'est une horreur
famalice- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
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Age : 58
Inscription : 04/11/2011
Re: crémation is it Christian ?
De toutes façons la religion de ne les arrange que pour faire marcher le commerce. Ah pour faire consommer Noël et pâques sont bienvenus....
famalice- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
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Age : 58
Inscription : 04/11/2011
Re: crémation is it Christian ?
famalice a écrit:Je me suis toujours imaginée ne pas être vraiment morte et être obligée de rentrer dans ce four. C'est une horreur
Si je m'en réfère à ce que dit le père Patrick, "beaucoup ne sont pas vraiment morts" comme vous dites.... oui, c'est une horreur.
Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
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Re: crémation is it Christian ?
Après une discussion avec un prêtre âgé d'à peu près soixante dix ans, celui-ci nous raconte l'histoire d'une personne auprès de qui il avait été appelé pour donner les derniers sacrements.
Quand le prêtre arrive, visiblement la personne est décédée. Il a la main froide, dit-il... mort depuis une demi-heure environ...
Et là, il dit : je lui ai fait un signe de croix sur le front, c'était trop tard.
"Les gens qui étaient là ont sans doute crû que je lui avais donné les derniers sacrements"
Mort clinique, mort réelle ? ici pas de délai visiblement pour ce prêtre.
Quand le prêtre arrive, visiblement la personne est décédée. Il a la main froide, dit-il... mort depuis une demi-heure environ...
Et là, il dit : je lui ai fait un signe de croix sur le front, c'était trop tard.
"Les gens qui étaient là ont sans doute crû que je lui avais donné les derniers sacrements"
Mort clinique, mort réelle ? ici pas de délai visiblement pour ce prêtre.
Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
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Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
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