L'ARBRE DE NOËL ET SA SIGNIFICATION SPIRITUELLE
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L'ARBRE DE NOËL ET SA SIGNIFICATION SPIRITUELLE
18 décembre 2012 -
L'ARBRE DE NOËL ET SA SIGNIFICATION SPIRITUELLE
L'arbre de Noël est le symbole de la lumière de la venue de Jésus, a déclaré Benoît XVI à la délégation de la région du Molise dans le centre-est de l'Italie, qui lui avait offert l'arbre de Noël de la place Saint-Pierre.
Le vendredi 14 décembre après-midi, place Saint-Pierre a été inauguré l’arbre de Noël, un sapin offert cette année par la région du Molise. D'autres plus petits ont été destinés au palais apostolique et à d'autres lieux du Vatican.
Un peu plus tôt dans la journée, le Pape a reçu une délégation de cette région italienne.
" Dieu s'est fait homme pour venir parmi nous", a-t-il dit à ses hôtes. Il est venu "dissiper les ténèbres de l'erreur et du péché en apportant la lumière divine à l'humanité, lumière dont l'arbre de Noël est le symbole".
" Cette lumière, a précisé le Pape, n'a jamais faibli au long des siècles et continue de briller sur l'humanité, d'éclairer tout homme venant au monde, en particulier dans nos moments de faiblesse et d'incertitude. "
" Jésus a dit de lui même qu'il était la lumière du monde et que celui qui le suit ne marche pas dans les ténèbres mais va vers la lumière de la vie, a encore souligné Benoît XVI. Chaque fois qu'on a tenté d'éteindre la lumière de Dieu au profit d'illusions mensongères, l'humanité a connu des périodes tragiques" a conclu le Pape.
http://infocatho.cef.fr/fichiers_html/archives/deuxmil12sem/semaine50/212nx502eglised.html
L'ARBRE DE NOËL ET SA SIGNIFICATION SPIRITUELLE
L'arbre de Noël est le symbole de la lumière de la venue de Jésus, a déclaré Benoît XVI à la délégation de la région du Molise dans le centre-est de l'Italie, qui lui avait offert l'arbre de Noël de la place Saint-Pierre.
Le vendredi 14 décembre après-midi, place Saint-Pierre a été inauguré l’arbre de Noël, un sapin offert cette année par la région du Molise. D'autres plus petits ont été destinés au palais apostolique et à d'autres lieux du Vatican.
Un peu plus tôt dans la journée, le Pape a reçu une délégation de cette région italienne.
" Dieu s'est fait homme pour venir parmi nous", a-t-il dit à ses hôtes. Il est venu "dissiper les ténèbres de l'erreur et du péché en apportant la lumière divine à l'humanité, lumière dont l'arbre de Noël est le symbole".
" Cette lumière, a précisé le Pape, n'a jamais faibli au long des siècles et continue de briller sur l'humanité, d'éclairer tout homme venant au monde, en particulier dans nos moments de faiblesse et d'incertitude. "
" Jésus a dit de lui même qu'il était la lumière du monde et que celui qui le suit ne marche pas dans les ténèbres mais va vers la lumière de la vie, a encore souligné Benoît XVI. Chaque fois qu'on a tenté d'éteindre la lumière de Dieu au profit d'illusions mensongères, l'humanité a connu des périodes tragiques" a conclu le Pape.
http://infocatho.cef.fr/fichiers_html/archives/deuxmil12sem/semaine50/212nx502eglised.html
sylvia- Avec les anges
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Quelle est L'origine des trois messes de Noël?
ZF12122104 - 21-12-2012
Permalink: http://www.zenit.org/article-32927?l=french
L'origine des trois messes de Noël
Par le père Edward McNamara, L.C.
ROME, vendredi 21 décembre 2012 (ZENIT.org) – Comme pour de nombreuses pratiques liturgiques, l’origine des trois messes de Noël (à minuit, à l’aube et le jour) n’est pas du tout sûre, explique le père Edward McNamara, L.C., professeur de théologie et directeur spirituel.
La fête liturgique de Noël tombe le 25 décembre de chaque année. Cette fête est née à Rome, autour de l’an 330, peut-être précisément cette année-là. Elle fut très probablement célébrée pour la première fois dans la basilique Saint-Pierre, dont la construction était à peine terminée.
La célébration de Noël s’est ensuite diffusée à partir de Rome, lentement, dans les provinces orientales de l’Empire romain et, petit à petit, elle a été insérée dans le calendrier liturgique des Eglises principales. Certaines de ces Eglises célébraient la naissance du Christ le 6 janvier – l’Epiphanie – et ont continué à donner davantage d’importance à cette date, même après avoir accepté la date du 25 décembre.
Pendant toute cette période, l’Eglise à Jérusalem avait continué de développer certains usages particuliers.
Egérie, une femme qui a fait un long pèlerinage en Terre Sainte de 381 à 384, a décrit dans son Itinerarium comment les chrétiens de Jérusalem commémoraient le mystère de Noël le 6 janvier avec une veillée à minuit à Bethléem, suivie d’une procession aux flambeaux vers Jérusalem, qui finissait à l’aube dans l’Eglise de la Résurrection (Anastasis, en grec).
Cinquante ans plus tard, à Rome, le pape Sixte III (432-440) décida d’honorer la proclamation de la maternité divine au Concile d’Ephèse (431), avec la construction de la grande basilique de Sainte Marie Majeure sur la colline de l’Esquilin.
Sixte III fit construire, en outre, une chapelle qui reproduit la grotte de Bethléem (les reliques de la crèche, jusqu’alors conservées dans la basilique de Sainte Marie Majeure, ne furent placées dans la chapelle qu’au VIIème siècle). Probablement inspiré par la coutume de la veillée de minuit célébrée à Bethléem, le pape Sixte III lui-même instaura la tradition d’une messe de minuit célébrée dans la chapelle de la « grotte de la Nativité ».
A Rome existait déjà la coutume de commémorer les fêtes importantes par deux services liturgiques distincts, l’un célébré dans la nuit, l’autre vers l’aube. Il est facile d’imaginer comment cette simple fête, initiée par le pape Sixte III dans la basilique Sainte Marie Majeure, a gagné en importance et s’est développée. La première étape de ce développement consista dans le fait que la plus ancienne liturgie de Noël, celle qui était chantée à Saint Pierre, fut aussi célébrée à Sainte Marie Majeure.
Un développement ultérieur a eu lieu autour de l’année 550. Le pape et certains membres de la curie célébraient une seconde messe un peu avant l’aube dans l’Eglise Sainte Anastasie, située sur un versant du Palatin.
A l’origine, cette dernière célébration se tenait en l’honneur de la mémoire de sainte Anastasie qui tombe le 25 décembre, et elle n’avait donc rien à voir avec Noël. Mais plus tard, cette célébration fut transformée en une seconde messe de Noël, s’inspirant probablement de la coutume de la messe célébrée à l’aube dans l’église de la Résurrection à Jérusalem, et à cause de l’association faite entre le nom d’Anastasia et anastasis (résurrection).
Après cette messe, de caractère quasiment privé, le pape se rendait directement à Saint-Pierre, où une grande foule de fidèles attendaient la liturgie solennelle à l’aube de Noël. Cette coutume continua au moins jusqu’à l’époque du pape Grégoire VII (mort en 1085).
Au début, le privilège des trois célébrations de Noël était réservé aux papes. Le premier témoignage que nous ayons d’un prêtre ordinaire qui célèbre les trois messes provient de la fameuse abbaye de Cluny, en France, avant l’an 1156.
Tous les prêtres peuvent désormais user de ce privilège et célébrer trois messes à Noël, à condition qu’ils respectent précisément les horaires. La première messe est célébrée en correspondance ou à proximité de minuit (la messe de la veille, le soir du 24 décembre, n’est pas considérée comme la première des trois messes), la seconde à l’aube et la troisième à un moment dans la journée du 25 décembre.
Permalink: http://www.zenit.org/article-32927?l=french
L'origine des trois messes de Noël
Par le père Edward McNamara, L.C.
ROME, vendredi 21 décembre 2012 (ZENIT.org) – Comme pour de nombreuses pratiques liturgiques, l’origine des trois messes de Noël (à minuit, à l’aube et le jour) n’est pas du tout sûre, explique le père Edward McNamara, L.C., professeur de théologie et directeur spirituel.
La fête liturgique de Noël tombe le 25 décembre de chaque année. Cette fête est née à Rome, autour de l’an 330, peut-être précisément cette année-là. Elle fut très probablement célébrée pour la première fois dans la basilique Saint-Pierre, dont la construction était à peine terminée.
La célébration de Noël s’est ensuite diffusée à partir de Rome, lentement, dans les provinces orientales de l’Empire romain et, petit à petit, elle a été insérée dans le calendrier liturgique des Eglises principales. Certaines de ces Eglises célébraient la naissance du Christ le 6 janvier – l’Epiphanie – et ont continué à donner davantage d’importance à cette date, même après avoir accepté la date du 25 décembre.
Pendant toute cette période, l’Eglise à Jérusalem avait continué de développer certains usages particuliers.
Egérie, une femme qui a fait un long pèlerinage en Terre Sainte de 381 à 384, a décrit dans son Itinerarium comment les chrétiens de Jérusalem commémoraient le mystère de Noël le 6 janvier avec une veillée à minuit à Bethléem, suivie d’une procession aux flambeaux vers Jérusalem, qui finissait à l’aube dans l’Eglise de la Résurrection (Anastasis, en grec).
Cinquante ans plus tard, à Rome, le pape Sixte III (432-440) décida d’honorer la proclamation de la maternité divine au Concile d’Ephèse (431), avec la construction de la grande basilique de Sainte Marie Majeure sur la colline de l’Esquilin.
Sixte III fit construire, en outre, une chapelle qui reproduit la grotte de Bethléem (les reliques de la crèche, jusqu’alors conservées dans la basilique de Sainte Marie Majeure, ne furent placées dans la chapelle qu’au VIIème siècle). Probablement inspiré par la coutume de la veillée de minuit célébrée à Bethléem, le pape Sixte III lui-même instaura la tradition d’une messe de minuit célébrée dans la chapelle de la « grotte de la Nativité ».
A Rome existait déjà la coutume de commémorer les fêtes importantes par deux services liturgiques distincts, l’un célébré dans la nuit, l’autre vers l’aube. Il est facile d’imaginer comment cette simple fête, initiée par le pape Sixte III dans la basilique Sainte Marie Majeure, a gagné en importance et s’est développée. La première étape de ce développement consista dans le fait que la plus ancienne liturgie de Noël, celle qui était chantée à Saint Pierre, fut aussi célébrée à Sainte Marie Majeure.
Un développement ultérieur a eu lieu autour de l’année 550. Le pape et certains membres de la curie célébraient une seconde messe un peu avant l’aube dans l’Eglise Sainte Anastasie, située sur un versant du Palatin.
A l’origine, cette dernière célébration se tenait en l’honneur de la mémoire de sainte Anastasie qui tombe le 25 décembre, et elle n’avait donc rien à voir avec Noël. Mais plus tard, cette célébration fut transformée en une seconde messe de Noël, s’inspirant probablement de la coutume de la messe célébrée à l’aube dans l’église de la Résurrection à Jérusalem, et à cause de l’association faite entre le nom d’Anastasia et anastasis (résurrection).
Après cette messe, de caractère quasiment privé, le pape se rendait directement à Saint-Pierre, où une grande foule de fidèles attendaient la liturgie solennelle à l’aube de Noël. Cette coutume continua au moins jusqu’à l’époque du pape Grégoire VII (mort en 1085).
Au début, le privilège des trois célébrations de Noël était réservé aux papes. Le premier témoignage que nous ayons d’un prêtre ordinaire qui célèbre les trois messes provient de la fameuse abbaye de Cluny, en France, avant l’an 1156.
Tous les prêtres peuvent désormais user de ce privilège et célébrer trois messes à Noël, à condition qu’ils respectent précisément les horaires. La première messe est célébrée en correspondance ou à proximité de minuit (la messe de la veille, le soir du 24 décembre, n’est pas considérée comme la première des trois messes), la seconde à l’aube et la troisième à un moment dans la journée du 25 décembre.
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