La nouvelle monnaie mondiale prévue pour 2018 : Le Phoenix !!! ....
3 participants
Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les menaces à la liberté et à la Vie :: LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (N.O.M.)
Page 1 sur 1
La nouvelle monnaie mondiale prévue pour 2018 : Le Phoenix !!! ....
15 août 2012
La nouvelle monnaie mondiale prévue pour 2018 : Le Phoenix
La couverture du magazine » The Economist » de 1988 !!!! parlait déjà d’une crise économique majeure qui aboutirait à la création d’une monnaie mondiale gérée par les élites….
Quand on vous dit que tout est programmé…..La chute va faire trés mal aux peuples….Adieu démocratie…bienvenue à l’esclavage moderne !
L’objectif des élites actuelles (banksters, financiers ou autres « puissants ») est d’établir un gouvernement mondial. Son système serait féodal car la domination s’exercerait par les grands possesseurs de capitaux comme les organisations de pouvoir ou les entreprises multirégionales.
Des tests de « Perestroïka » ont déjà eu lieu. Ce terme signifie la reconstruction, restructuration ; l’origine du terme vient des réformes économiques et sociales menées par Mikhaïl Gorbatchev. Les élites actuelles vont provoquer une importante crise économique mondiale. Les nations des zones du Dollar et de l’Euro se verront contraint d’accepter une monnaie unique pour remédier à la crise. La monnaie sera appelé « Phoenix », une monnaie qui renaît des cendres de la crise économique mondiale. On peut voir une pièce de « 10 Phoenix » sur la couverture du magazine The Economist, vol. 306, 9/01/1988. Cette monnaie sera adoptée en 2018.
Actuellement, le seul type de monnaie internationale est une devise. Cette devise représente un panier de devises qui est un dérivé des taux de change du top 20, tel que définit par le Produit Intérieur Brut (PIB). Elle est appelée le Wocu. Elle n’empêche pas le risque de fluctuation. La Wocu de WDX est une entreprise privée reconnue et en conformité avec le FMI. La Wocu reste un produit boursier aux mains d’un « puissant » privé, ainsi il n’est pas le fruit d’une Nation et de sa communauté nationale. Le Wocu est une monnaie de second plan. Elle changera de nom, de système et non d’investisseurs, lors de sa mise en place prévue en tant que monnaie mondiale.
“Get ready for a world currency”, The Economist, vol. 306, 9/01/1988.
En couverture : Can britain keep booming? Takeshita comes to town, Investment banks pull back, Perestroika’s first test, Get ready for a world currency (Soyez prêts pour une monnaie mondiale)
Source: www.findestemps.org
La nouvelle monnaie mondiale prévue pour 2018 : Le Phoenix
La couverture du magazine » The Economist » de 1988 !!!! parlait déjà d’une crise économique majeure qui aboutirait à la création d’une monnaie mondiale gérée par les élites….
Quand on vous dit que tout est programmé…..La chute va faire trés mal aux peuples….Adieu démocratie…bienvenue à l’esclavage moderne !
L’objectif des élites actuelles (banksters, financiers ou autres « puissants ») est d’établir un gouvernement mondial. Son système serait féodal car la domination s’exercerait par les grands possesseurs de capitaux comme les organisations de pouvoir ou les entreprises multirégionales.
Des tests de « Perestroïka » ont déjà eu lieu. Ce terme signifie la reconstruction, restructuration ; l’origine du terme vient des réformes économiques et sociales menées par Mikhaïl Gorbatchev. Les élites actuelles vont provoquer une importante crise économique mondiale. Les nations des zones du Dollar et de l’Euro se verront contraint d’accepter une monnaie unique pour remédier à la crise. La monnaie sera appelé « Phoenix », une monnaie qui renaît des cendres de la crise économique mondiale. On peut voir une pièce de « 10 Phoenix » sur la couverture du magazine The Economist, vol. 306, 9/01/1988. Cette monnaie sera adoptée en 2018.
Actuellement, le seul type de monnaie internationale est une devise. Cette devise représente un panier de devises qui est un dérivé des taux de change du top 20, tel que définit par le Produit Intérieur Brut (PIB). Elle est appelée le Wocu. Elle n’empêche pas le risque de fluctuation. La Wocu de WDX est une entreprise privée reconnue et en conformité avec le FMI. La Wocu reste un produit boursier aux mains d’un « puissant » privé, ainsi il n’est pas le fruit d’une Nation et de sa communauté nationale. Le Wocu est une monnaie de second plan. Elle changera de nom, de système et non d’investisseurs, lors de sa mise en place prévue en tant que monnaie mondiale.
“Get ready for a world currency”, The Economist, vol. 306, 9/01/1988.
En couverture : Can britain keep booming? Takeshita comes to town, Investment banks pull back, Perestroika’s first test, Get ready for a world currency (Soyez prêts pour une monnaie mondiale)
Source: www.findestemps.org
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: La nouvelle monnaie mondiale prévue pour 2018 : Le Phoenix !!! ....
Lisez bien l'histoire qui vous est contée à l'heure ou nos politiques font les vierges effarouchées face à l'espionnage de la NSA des communications mondiales mais surtout d'eux-mêmes sachant que c'est leur magouille fiscale qu'ils craignent être dévoilée, alors que les autres pays et la France font aussi la même chose avec peut être des moyens moins puissants.
Mais on est espionnés plusieurs fois par toutes les grandes puissances.
Imaginez que dans quelques temps la monnaie papier n'existera plus remplacée uniquement par des cartes électroniques, paiement par smartphone, etc...
Imaginez que vous êtes un membre d'une association "pour pas que la route passe là" , "pour pas que l'état installe une décharge de déchets nucléaire a 100 m de chez vous."
que vous êtes un militant politique de l'opposition qui va manifester, que vous êtes un anti ou pro quelque chose , que vous voulez portez plainte contre l'état pour que... etc....
Bref vous êtes un français râleur classique quoi....
http://la-chronique-agora.com/etats-unis-disparaitre-citoyens/
Voyager est épuisant. Souvent, c’est notre ordinateur portable qui montre des signes de fatigue en premier. Cette semaine, il en a eu assez et a refusé de nous transmettre nos e-mails. Nous ne pouvions ni envoyer ni recevoir de courrier… que ce soit sur notre ordinateur ou notre smartphone, qui a normalement accès à notre compte.
Nous aurions dû être ravi. Nous étions en Irlande. Nous avions une excuse toute trouvée pour ne pas travailler. Nous pouvions prêter attention à notre environnement… et en profiter pleinement.
Mais sans aucun moyen de contacter le monde extérieur, nous étions anxieux. Qui essayait de nous contacter ? Quels messages importants étions-nous en train de rater ? Et qui était en train de bidouiller notre compte e-mail ?
A l’origine de notre problème, notre fournisseur d’accès avait remarqué des phénomènes étranges. Nous utilisions apparemment notre compte depuis deux endroits différents. On aurait dit que nous étions à la fois en Irlande et aux Etats-Unis. Le fournisseur soupçonnait donc un piratage. Il a simplement tout coupé.
Nous continuions de marcher et de parler… nous occupions encore de l’espace et respirions de l’air… mais sur internet, nous avions cessé d’exister. Nous avions disparu. Aucune adresse de suivi n’avait été laissée. Nous ne pouvions pas communiquer avec quiconque. Nous ne pouvions pas aller sur Amazon pour acheter quoi que ce soit. Nous ne pouvions pas réserver de billets d’avion ou de restaurant.
Bien entendu, cela fait naître des questions profondes et dérangeantes sur la nature de l’existence. Si on n’existe pas sur internet, existe-t-on tout court ? Existe-t-on à part entière ?
Nous allons laisser ces graves questions pour un autre jour et passer à des sujets plus concrets mais non moins inquiétants.
Nous avons brièvement envisagé d’appeler l’Agence de sécurité nationale (NSA).
"Bonjour, j’espère que vous allez pouvoir m’aider. Mon compte e-mail a cessé de fonctionner, et j’ai peur d’avoir manqué quelque chose. Je sais que vous avez l’habitude d’enregistrer toutes les communications, qu’elles vous regardent ou pas — alors est-ce que vous pourriez me transférer mes messages d’hier à une autre adresse ?"
Après réflexion, nous avons décidé de ne pas passer à l’acte. Ils auraient pu penser que nous plaisantions. Ils n’apprécient pas la plaisanterie — du moins pas à leurs dépens.
▪ Une plaisanterie… de mauvais goût
Il y a 10 ans — quand la notion de Homeland a été inventée (une belle adaptation du Vaterland de Hitler) et que les agents de sécurité dans les aéroports américains ont commencé à fouiller les grand’mères — toute l’histoire semblait une vaste blague.
On aurait dit que les dirigeants américains étaient frappés d’une panique hystérique. Ils pensaient qu’il y avait des cellules terroristes "dormantes" dans tous les villages et hameaux… et qu’elles étaient sur le point de dévaster la nation entière. C’était parfaitement absurde, mais nous pensions qu’ils reprendraient rapidement leurs esprits.
Au lieu de ça, les autorités — qu’il s’agisse des républicains ou des démocrates — ont commencé à se rendre compte des avantages d’avoir une guerre qui ne pouvait être ni gagnée ni perdue. Tant que le pays était "en guerre", l’argent coulait librement vers les secteurs zombie de la "défense" et les bons citoyens se soumettaient à des indignités qui seraient intolérables dans une nation plus civilisée.
Alors qu’elle quittait les Etats-Unis, notre mère de 93 ans a dû passer deux fois par le scanner corporel. En fauteuil roulant, atteinte d’une sévère ostéoporose, elle ne pouvait pas lever les bras au-dessus de sa tête comme on le lui ordonnait. L’agent de sécurité a insisté pour qu’elle repasse.
Pourquoi ? Pensaient-ils vraiment que notre mère représentait une menace pour la sécurité du trafic aérien ?
L’arrivée en Irlande était toute différente. C’est à peine si l’agent a regardé notre passeport. "Bienvenue en Irlande", a-t-il dit.
Dans le bar d’Henry Downes à Waterford, un groupe d’Irlandais se remémorait leurs propres expériences avec les gardes-frontières américains.
"C’est incroyable, la manière dont ils vous traitent", a dit un homme. "Nous nous sommes mis dans la file. Quelqu’un nous criait après. La femme devant moi ne parlait pas très bien anglais. Elle était française, je crois. L’agent lui a demandé pour quelle raison elle était aux Etats-Unis. Elle a expliqué qu’elle venait rendre visite à sa fille qui venait d’avoir un enfant. L’agent a agi comme si elle mentait. Il a continué à la rudoyer jusqu’à ce qu’elle fonde en larmes. Je ne crois pas qu’elle avait l’habitude d’être traitée comme ça".
"Je vais souvent aux Etats-Unis", a dit un autre jeune homme. "Je sais qu’il faut avoir une histoire à leur raconter. Je travaille pour une entreprise américaine. Mais si je dis ça, ils pensent que je travaille aux Etats-Unis sans permis de travail, et ça dégénère. Je dois donc trouver une raison plausible d’y aller. Mais il faut être prudent. Ils essaient de vous coincer. C’est très désagréable. Je n’y vais que quand c’est absolument nécessaire".
"On a l’impression d’entrer dans un Etat policier", a déclaré une jeune femme, reprenant la conversation. "Ils ont des fusils et des chiens. Et ils vous crient après. J’ai peur d’être tirée de la file pour une inspection plus sérieuse dans une petite pièce quelque part. Je sais que ce n’est pas raisonnable, mais j’ai l’impression que je n’en ressortirais jamais. Que je disparaîtrais purement et simplement".
Déraisonnable ? Oui. Mais pas impensable. Les gens peuvent désormais "disparaître" — électroniquement. La NSA emploie 14 000 personnes intelligentes. Elles peuvent savoir exactement ce que vous écrivez à vos amis et associés. Elles peuvent placer un cône de silence électronique autour de vous. Votre téléphone et votre ordinateur pourraient cesser de fonctionner. Vous pourriez ne jamais savoir pourquoi. Qui appellerait ? Comment ?
Ces gens pourraient aussi fermer votre compte en banque et annuler toutes vos cartes de crédit. Comment feriez-vous alors pour vivre ? Imaginez que vous voyagiez à ce moment-là ? A nouveau, vous pourriez ne jamais connaître la raison… et n’avoir aucun moyen de remédier à la situation. Vous disparaîtriez purement et simplement.
Pour autant que nous en sachions, les autorités — et leurs zombies du secteur privé — ne font pas disparaître les citoyens américains. Pour l’instant. Mais les fruits sont trop facilement accessibles pour qu’on puisse résister. En quelques tapotements de clavier, les autorités peuvent réduire leurs critiques au silence. Elles peuvent museler leurs ennemis. Elles peuvent effacer quiconque se soucie de confidentialité ou de liberté.
Ensuite, si vous essayez de quitter le pays, vous vous apercevrez que votre passeport ne fonctionne pas non plus. Vous arrivez à la frontière (en supposant que vous trouviez un moyen de vous y rendre sans argent) et les douaniers vous placeront en garde à vue. Vous voyagez avec un faux passeport, diront-ils.
Pure paranoïa ? Nous l’espérons.
Mais on est espionnés plusieurs fois par toutes les grandes puissances.
Imaginez que dans quelques temps la monnaie papier n'existera plus remplacée uniquement par des cartes électroniques, paiement par smartphone, etc...
Imaginez que vous êtes un membre d'une association "pour pas que la route passe là" , "pour pas que l'état installe une décharge de déchets nucléaire a 100 m de chez vous."
que vous êtes un militant politique de l'opposition qui va manifester, que vous êtes un anti ou pro quelque chose , que vous voulez portez plainte contre l'état pour que... etc....
Bref vous êtes un français râleur classique quoi....
http://la-chronique-agora.com/etats-unis-disparaitre-citoyens/
Voyager est épuisant. Souvent, c’est notre ordinateur portable qui montre des signes de fatigue en premier. Cette semaine, il en a eu assez et a refusé de nous transmettre nos e-mails. Nous ne pouvions ni envoyer ni recevoir de courrier… que ce soit sur notre ordinateur ou notre smartphone, qui a normalement accès à notre compte.
Nous aurions dû être ravi. Nous étions en Irlande. Nous avions une excuse toute trouvée pour ne pas travailler. Nous pouvions prêter attention à notre environnement… et en profiter pleinement.
Mais sans aucun moyen de contacter le monde extérieur, nous étions anxieux. Qui essayait de nous contacter ? Quels messages importants étions-nous en train de rater ? Et qui était en train de bidouiller notre compte e-mail ?
A l’origine de notre problème, notre fournisseur d’accès avait remarqué des phénomènes étranges. Nous utilisions apparemment notre compte depuis deux endroits différents. On aurait dit que nous étions à la fois en Irlande et aux Etats-Unis. Le fournisseur soupçonnait donc un piratage. Il a simplement tout coupé.
Nous continuions de marcher et de parler… nous occupions encore de l’espace et respirions de l’air… mais sur internet, nous avions cessé d’exister. Nous avions disparu. Aucune adresse de suivi n’avait été laissée. Nous ne pouvions pas communiquer avec quiconque. Nous ne pouvions pas aller sur Amazon pour acheter quoi que ce soit. Nous ne pouvions pas réserver de billets d’avion ou de restaurant.
Bien entendu, cela fait naître des questions profondes et dérangeantes sur la nature de l’existence. Si on n’existe pas sur internet, existe-t-on tout court ? Existe-t-on à part entière ?
Nous allons laisser ces graves questions pour un autre jour et passer à des sujets plus concrets mais non moins inquiétants.
Nous avons brièvement envisagé d’appeler l’Agence de sécurité nationale (NSA).
"Bonjour, j’espère que vous allez pouvoir m’aider. Mon compte e-mail a cessé de fonctionner, et j’ai peur d’avoir manqué quelque chose. Je sais que vous avez l’habitude d’enregistrer toutes les communications, qu’elles vous regardent ou pas — alors est-ce que vous pourriez me transférer mes messages d’hier à une autre adresse ?"
Après réflexion, nous avons décidé de ne pas passer à l’acte. Ils auraient pu penser que nous plaisantions. Ils n’apprécient pas la plaisanterie — du moins pas à leurs dépens.
▪ Une plaisanterie… de mauvais goût
Il y a 10 ans — quand la notion de Homeland a été inventée (une belle adaptation du Vaterland de Hitler) et que les agents de sécurité dans les aéroports américains ont commencé à fouiller les grand’mères — toute l’histoire semblait une vaste blague.
On aurait dit que les dirigeants américains étaient frappés d’une panique hystérique. Ils pensaient qu’il y avait des cellules terroristes "dormantes" dans tous les villages et hameaux… et qu’elles étaient sur le point de dévaster la nation entière. C’était parfaitement absurde, mais nous pensions qu’ils reprendraient rapidement leurs esprits.
Au lieu de ça, les autorités — qu’il s’agisse des républicains ou des démocrates — ont commencé à se rendre compte des avantages d’avoir une guerre qui ne pouvait être ni gagnée ni perdue. Tant que le pays était "en guerre", l’argent coulait librement vers les secteurs zombie de la "défense" et les bons citoyens se soumettaient à des indignités qui seraient intolérables dans une nation plus civilisée.
Alors qu’elle quittait les Etats-Unis, notre mère de 93 ans a dû passer deux fois par le scanner corporel. En fauteuil roulant, atteinte d’une sévère ostéoporose, elle ne pouvait pas lever les bras au-dessus de sa tête comme on le lui ordonnait. L’agent de sécurité a insisté pour qu’elle repasse.
Pourquoi ? Pensaient-ils vraiment que notre mère représentait une menace pour la sécurité du trafic aérien ?
L’arrivée en Irlande était toute différente. C’est à peine si l’agent a regardé notre passeport. "Bienvenue en Irlande", a-t-il dit.
Dans le bar d’Henry Downes à Waterford, un groupe d’Irlandais se remémorait leurs propres expériences avec les gardes-frontières américains.
"C’est incroyable, la manière dont ils vous traitent", a dit un homme. "Nous nous sommes mis dans la file. Quelqu’un nous criait après. La femme devant moi ne parlait pas très bien anglais. Elle était française, je crois. L’agent lui a demandé pour quelle raison elle était aux Etats-Unis. Elle a expliqué qu’elle venait rendre visite à sa fille qui venait d’avoir un enfant. L’agent a agi comme si elle mentait. Il a continué à la rudoyer jusqu’à ce qu’elle fonde en larmes. Je ne crois pas qu’elle avait l’habitude d’être traitée comme ça".
"Je vais souvent aux Etats-Unis", a dit un autre jeune homme. "Je sais qu’il faut avoir une histoire à leur raconter. Je travaille pour une entreprise américaine. Mais si je dis ça, ils pensent que je travaille aux Etats-Unis sans permis de travail, et ça dégénère. Je dois donc trouver une raison plausible d’y aller. Mais il faut être prudent. Ils essaient de vous coincer. C’est très désagréable. Je n’y vais que quand c’est absolument nécessaire".
"On a l’impression d’entrer dans un Etat policier", a déclaré une jeune femme, reprenant la conversation. "Ils ont des fusils et des chiens. Et ils vous crient après. J’ai peur d’être tirée de la file pour une inspection plus sérieuse dans une petite pièce quelque part. Je sais que ce n’est pas raisonnable, mais j’ai l’impression que je n’en ressortirais jamais. Que je disparaîtrais purement et simplement".
Déraisonnable ? Oui. Mais pas impensable. Les gens peuvent désormais "disparaître" — électroniquement. La NSA emploie 14 000 personnes intelligentes. Elles peuvent savoir exactement ce que vous écrivez à vos amis et associés. Elles peuvent placer un cône de silence électronique autour de vous. Votre téléphone et votre ordinateur pourraient cesser de fonctionner. Vous pourriez ne jamais savoir pourquoi. Qui appellerait ? Comment ?
Ces gens pourraient aussi fermer votre compte en banque et annuler toutes vos cartes de crédit. Comment feriez-vous alors pour vivre ? Imaginez que vous voyagiez à ce moment-là ? A nouveau, vous pourriez ne jamais connaître la raison… et n’avoir aucun moyen de remédier à la situation. Vous disparaîtriez purement et simplement.
Pour autant que nous en sachions, les autorités — et leurs zombies du secteur privé — ne font pas disparaître les citoyens américains. Pour l’instant. Mais les fruits sont trop facilement accessibles pour qu’on puisse résister. En quelques tapotements de clavier, les autorités peuvent réduire leurs critiques au silence. Elles peuvent museler leurs ennemis. Elles peuvent effacer quiconque se soucie de confidentialité ou de liberté.
Ensuite, si vous essayez de quitter le pays, vous vous apercevrez que votre passeport ne fonctionne pas non plus. Vous arrivez à la frontière (en supposant que vous trouviez un moyen de vous y rendre sans argent) et les douaniers vous placeront en garde à vue. Vous voyagez avec un faux passeport, diront-ils.
Pure paranoïa ? Nous l’espérons.
Re: La nouvelle monnaie mondiale prévue pour 2018 : Le Phoenix !!! ....
Merci à vous magnetic pour votre post qui décrit bien la réalité.
Bien cordialement dans le Cœur unique de Jésus et de Marie.
Bien cordialement dans le Cœur unique de Jésus et de Marie.
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
La fin de la monnaie papier prévue à partir de 2018
En effet, pour actualiser cette information qui date de 1988 visant à établir une monnaie mondiale -l'euro n'étant qu'une étape intermédiaire- voici que la commission européenne, qui seule à l'initiative des textes européen, à pris une mesure visant limiter et en définitive à supprimer la monnaie papier à partir de 2018. Ce programme s'étalera sur plusieurs année, il est rédigé en Anglais UNIQUEMENT, alors que la langue de travail des institution européennes sont : l'allemand et le Français. Le texte est entièrement rédigé à base de formule à l'américan lawers !
vous pouvez trouver le document officiel ici :
http://www.jovanovic.com/DATA/suppression-de-l'argent-liquide-par-bruxelles-jovanovic.pdf
Déjà, l'Inde à supprimé 85% de son cash, RadioVatican en parle :
http://www.news.va/fr/news/inde-le-gouvernement-assume-une-demonetisation-ris
Le danemark supprime définitivement sa monnaie dès l'année prochaine (2017) : pièces et billets !
La suède prend la même voie
D'une manière générale tous les pays scandinaves prévoient d'éradiquer l'argent liquide à l'orée 2020
La grèce à mis en place un système de taxation pour tous les grecques qui retirent au distributeur (pour favoriser le paiement électronique)
L'espagne à durcit sa législation en limitant le paiement en espèces
Le zimbabwe limite l'émission de billets
L'australie supprime son billet de 100$
L'europe laisse mourrir ses billets de 500€ qui disparaîtrons par l'usure, C'est une suppression douce du billet de 500€. Bientôt les billet de 200 et 100 € seront supprimé d'après les technocrates.
La mise en place du paiement sans contact est une manipulation permettant au commerçant d'accepter les petits montant par carte bleue. En réalité, comptablement ça n'est pas la même ligne qu'un paiement en CB, Le paiement sans contact résout le problèmes des petits montant pour lesquelle il était obligatoire de payer en liquide !
La suppression de la monnaie verra apparaître la micro puce comme moyen de paiement universel
vous pouvez trouver le document officiel ici :
http://www.jovanovic.com/DATA/suppression-de-l'argent-liquide-par-bruxelles-jovanovic.pdf
Déjà, l'Inde à supprimé 85% de son cash, RadioVatican en parle :
http://www.news.va/fr/news/inde-le-gouvernement-assume-une-demonetisation-ris
Le danemark supprime définitivement sa monnaie dès l'année prochaine (2017) : pièces et billets !
La suède prend la même voie
D'une manière générale tous les pays scandinaves prévoient d'éradiquer l'argent liquide à l'orée 2020
La grèce à mis en place un système de taxation pour tous les grecques qui retirent au distributeur (pour favoriser le paiement électronique)
L'espagne à durcit sa législation en limitant le paiement en espèces
Le zimbabwe limite l'émission de billets
L'australie supprime son billet de 100$
L'europe laisse mourrir ses billets de 500€ qui disparaîtrons par l'usure, C'est une suppression douce du billet de 500€. Bientôt les billet de 200 et 100 € seront supprimé d'après les technocrates.
La mise en place du paiement sans contact est une manipulation permettant au commerçant d'accepter les petits montant par carte bleue. En réalité, comptablement ça n'est pas la même ligne qu'un paiement en CB, Le paiement sans contact résout le problèmes des petits montant pour lesquelle il était obligatoire de payer en liquide !
La suppression de la monnaie verra apparaître la micro puce comme moyen de paiement universel
Invité- Invité
Sujets similaires
» Dieu le Père: L'Antéchrist et une nouvelle monnaie mondiale.
» la nouvelle religion mondiale
» LA MONNAIE MONDIALE présentée au G8
» URGENT ! MONNAIE UNIQUE MONDIALE : G20, FMI ET SDR !
» Le Groupe de Bilderberg veut une monnaie mondiale
» la nouvelle religion mondiale
» LA MONNAIE MONDIALE présentée au G8
» URGENT ! MONNAIE UNIQUE MONDIALE : G20, FMI ET SDR !
» Le Groupe de Bilderberg veut une monnaie mondiale
Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les menaces à la liberté et à la Vie :: LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (N.O.M.)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum