Octobre le mois du Saint Rosaire
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Historique
La fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d'avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d'octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante où, à l'entrée du golfe de Corinthe, la flotte chrétienne fournie par le Saint-Siège, l'Espagne, Venise, la Savoie, Mantoue, Ferrare, Gênes et Lucques, sous le commandement de don Juan d'Autriche, avait écrasé la flotte turque d'Ali Pacha (7 octobre 1571). C'est à cette occasion qu'on ajouta aux litanies de la Sainte Vierge l'invocation Secours des Chrétiens, priez pour nous ! Grégoire XIII qui attribuait la victoire de Lépante aux processions faites à Rome par les confréries du Saint-Rosaire, changea la fête de Notre-Dame de la Victoire en celle du Saint Rosaire et la fixa au premier dimanche d'octobre (1573) ; elle ne fut alors obligatoire que pour les églises romaines qui possédaient une chapelle ou une confrérie du Saint-Rosaire.
Clément X concéda cette fête à l'Espagne (1671) avant que Clément XI l'étendît à l'Eglise universelle et l'élevât au rit double-majeur (1716), célébrée le jour de l'octave de l'Assomption, à la suite de la victoire de Peterwaradin que le prince Eugène de Savoie avait remportée sur les Turcs (5 août 1716). Léon XIII en fit une fête de seconde classe et adopta l'office et le propre de la messe en usage chez les Dominicains (1887). Pie X la fixa au 7 octobre (1913).
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
La fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d'avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d'octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante où, à l'entrée du golfe de Corinthe, la flotte chrétienne fournie par le Saint-Siège, l'Espagne, Venise, la Savoie, Mantoue, Ferrare, Gênes et Lucques, sous le commandement de don Juan d'Autriche, avait écrasé la flotte turque d'Ali Pacha (7 octobre 1571). C'est à cette occasion qu'on ajouta aux litanies de la Sainte Vierge l'invocation Secours des Chrétiens, priez pour nous ! Grégoire XIII qui attribuait la victoire de Lépante aux processions faites à Rome par les confréries du Saint-Rosaire, changea la fête de Notre-Dame de la Victoire en celle du Saint Rosaire et la fixa au premier dimanche d'octobre (1573) ; elle ne fut alors obligatoire que pour les églises romaines qui possédaient une chapelle ou une confrérie du Saint-Rosaire.
Clément X concéda cette fête à l'Espagne (1671) avant que Clément XI l'étendît à l'Eglise universelle et l'élevât au rit double-majeur (1716), célébrée le jour de l'octave de l'Assomption, à la suite de la victoire de Peterwaradin que le prince Eugène de Savoie avait remportée sur les Turcs (5 août 1716). Léon XIII en fit une fête de seconde classe et adopta l'office et le propre de la messe en usage chez les Dominicains (1887). Pie X la fixa au 7 octobre (1913).
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Veux-tu aimer la Sainte Vierge ?
Veux-tu aimer la Sainte Vierge ? Eh bien ! fréquente-la. Comment ? En priant bien le Rosaire. Mais, dans le Rosaire... nous répétons toujours les mêmes choses ! Toujours les mêmes choses ? Et ceux qui s'aiment, ne se disent-ils pas toujours les mêmes choses l'un à l'autre ?... Comme les vertus surnaturelles grandiraient en nous, si nous parvenions à fréquenter vraiment Marie, qui est Notre Mère ! Ne craignons pas de lui répéter au long de la journée — avec le cœur, sans que les mots soient nécessaires — de petites prières, des oraisons jaculatoires. La dévotion chrétienne a réuni beaucoup de ces éloges enflammés dans les Litanies qui accompagnent le Saint Rosaire. Mais chacun est libre de les augmenter, de lui adresser de nouvelles louanges, de lui dire ce que — par une sainte pudeur qu'Elle comprend et approuve — nous n'oserions pas exprimer à voix haute. Je te conseille — pour terminer — de faire, si tu ne l'as pas encore faite, l'expérience personnelle de l'amour maternel de Marie. Il ne suffit pas de savoir qu'Elle est Mère, de la considérer de cette façon, de parler ainsi d'Elle. Elle est ta Mère et tu es son fils; Elle t'aime comme si tu étais son fils unique en ce monde. Parle-lui en conséquence : raconte-lui tout ce qui t'arrive, honore-la, aime-la. Personne ne le fera pour toi aussi bien que toi, si tu ne le fais pas. Je t'assure que si tu prends ce chemin, tu trouveras aussitôt tout l'amour du Christ : et tu te trouveras plongé dans cette vie ineffable de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Tu y puiseras des forces pour accomplir entièrement la Volonté de Dieu, tu t'empliras de désirs de servir tous les hommes. Tu seras le chrétien que tu rêves d'être parfois : débordant d'œuvres de charité et de justice, joyeux et fort, compréhensif envers autrui et exigeant envers soi-même. Telle est sans plus, la trempe de notre foi. Accourons à Sainte Marie qui nous accompagnera avec énergie et constance.
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
Veux-tu aimer la Sainte Vierge ? Eh bien ! fréquente-la. Comment ? En priant bien le Rosaire. Mais, dans le Rosaire... nous répétons toujours les mêmes choses ! Toujours les mêmes choses ? Et ceux qui s'aiment, ne se disent-ils pas toujours les mêmes choses l'un à l'autre ?... Comme les vertus surnaturelles grandiraient en nous, si nous parvenions à fréquenter vraiment Marie, qui est Notre Mère ! Ne craignons pas de lui répéter au long de la journée — avec le cœur, sans que les mots soient nécessaires — de petites prières, des oraisons jaculatoires. La dévotion chrétienne a réuni beaucoup de ces éloges enflammés dans les Litanies qui accompagnent le Saint Rosaire. Mais chacun est libre de les augmenter, de lui adresser de nouvelles louanges, de lui dire ce que — par une sainte pudeur qu'Elle comprend et approuve — nous n'oserions pas exprimer à voix haute. Je te conseille — pour terminer — de faire, si tu ne l'as pas encore faite, l'expérience personnelle de l'amour maternel de Marie. Il ne suffit pas de savoir qu'Elle est Mère, de la considérer de cette façon, de parler ainsi d'Elle. Elle est ta Mère et tu es son fils; Elle t'aime comme si tu étais son fils unique en ce monde. Parle-lui en conséquence : raconte-lui tout ce qui t'arrive, honore-la, aime-la. Personne ne le fera pour toi aussi bien que toi, si tu ne le fais pas. Je t'assure que si tu prends ce chemin, tu trouveras aussitôt tout l'amour du Christ : et tu te trouveras plongé dans cette vie ineffable de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Tu y puiseras des forces pour accomplir entièrement la Volonté de Dieu, tu t'empliras de désirs de servir tous les hommes. Tu seras le chrétien que tu rêves d'être parfois : débordant d'œuvres de charité et de justice, joyeux et fort, compréhensif envers autrui et exigeant envers soi-même. Telle est sans plus, la trempe de notre foi. Accourons à Sainte Marie qui nous accompagnera avec énergie et constance.
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
O Vierge sainte , faites-moi participer à votre humilité, et à votre pureté incomparables quand je ma prépare à recevoir dans la sainte Communion le Verbe fait chair, qui daigne s'abaisser jusqu'à moi.
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
« Le Rosaire est ma prière préférée » (Jean-Paul II)
« […] Le Rosaire est ma prière préférée. C’est une prière merveilleuse. Merveilleuse de simplicité et de profondeur. Dans cette prière, nous répétons de multiples fois les paroles de l’Archange et d’Élisabeth à la Vierge Marie. Toute l’Église s’associe à ces paroles. On peut dire que le Rosaire est, d’une certaine manière, une prière-commentaire du dernier chapitre de la Constitution Lumen Gentium du IIe Concile du Vatican, chapitre qui traite de l’admirable présence de la Mère de Dieu dans le mystère du Christ et de l’Église. En effet, sur l’arrière-fond des Ave Maria défilent les principaux épisodes de la vie de Jésus-Christ. Réunis en mystères joyeux, douloureux et glorieux ils nous mettent en communion vivante avec Jésus à travers le cœur de sa Mère, pourrions- nous dire. En même temps, nous pouvons rassembler dans ces dizaines du Rosaire tous les événements de notre vie individuelle ou familiale, de la vie de notre pays, de l’Église, de l’humanité : c’est-à-dire nos événements personnels ou ceux de notre prochain, et en particulier de ceux qui nous sont les plus proches, qui nous tiennent le plus à cœur. C’est ainsi que la simple prière du Rosaire s’écoule au rythme de la vie humaine […] » (Jean-Paul II, Angélus du 29 octobre 1978).
http://img.over-blog.com/220x292/0/21/41/34/jean-paul-ii/36747145.jpg
« […] Le Rosaire est depuis toujours, la prière de la famille et pour la famille. Il fut un temps où cette prière était particulièrement chère aux familles chrétiennes et en favorisait certainement la communion. Il ne faut pas perdre ce précieux héritage. Il faut se remettre à prier en famille et à prier pour les familles, en utilisant encore cette forme de prière. La famille qui est unie dans la prière demeure unie. Par tradition ancienne, le saint Rosaire se prête tout spécialement à être une prière dans laquelle la famille se retrouve. Les membres de celle-ci, en jetant véritablement un regard sur Jésus, acquièrent aussi une nouvelle capacité de se regarder en face, pour communiquer, pour vivre la solidarité, pour se pardonner mutuellement, pour repartir avec un pacte d'amour renouvelé par l'Esprit de Dieu. De nombreux problèmes des familles contemporaines, particulièrement dans les sociétés économiquement évoluées, dépendent du fait qu'il devient toujours plus difficile de communiquer. On ne parvient pas à rester ensemble, et les rares moments passés en commun sont absorbés par les images de la télévision. Recommencer à réciter le Rosaire en famille signifie introduire dans la vie quotidienne des images bien différentes, celles du mystère qui sauve : l'image du Rédempteur, l'image de sa Mère très sainte. La famille qui récite le Rosaire reproduit un peu le climat de la maison de Nazareth : on place Jésus au centre, on partage avec lui les joies et les souffrances, on remet entre ses mains les besoins et les projets, on reçoit de lui espérance et force pour le chemin. Il est beau et fécond également de confier à cette prière le chemin de croissance des enfants. Le Rosaire n'est-il pas l'itinéraire de la vie du Christ, de sa conception à sa mort, jusqu'à sa résurrection et à sa glorification ? Il devient aujourd'hui toujours plus ardu pour les parents de suivre leurs enfants dans les diverses étapes de leur vie. Dans notre société de technologie avancée, des médias et de la mondialisation, tout est devenu si rapide, et la distance culturelle entre les générations se fait toujours plus grande. Les messages les plus divers et les expériences les plus imprévisibles envahissent la vie des enfants et des adolescents, et pour les parents il devient parfois angoissant de faire face aux risques qu'ils courent. Il n'est pas rare qu'ils soient conduits à faire l'expérience de déceptions cuisantes, en constatant les échecs de leurs enfants face à la séduction de la drogue, aux attraits d'un hédonisme effréné, aux tentations de la violence, aux expressions les plus variées du non-sens et du désespoir. Prier le Rosaire pour ses enfants, et mieux encore avec ses enfants, en les éduquant depuis leur plus jeune âge à ce moment quotidien de « pause priante » de la famille, n'est certes pas la solution de tous les problèmes, mais elle constitue une aide spirituelle à ne pas sous-estimer. […] Que mon appel ne reste pas lettre morte ! […] ».
Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II - Extrait de la Lettre Apostolique sur le Rosaire de la Vierge Marie
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
« […] Le Rosaire est ma prière préférée. C’est une prière merveilleuse. Merveilleuse de simplicité et de profondeur. Dans cette prière, nous répétons de multiples fois les paroles de l’Archange et d’Élisabeth à la Vierge Marie. Toute l’Église s’associe à ces paroles. On peut dire que le Rosaire est, d’une certaine manière, une prière-commentaire du dernier chapitre de la Constitution Lumen Gentium du IIe Concile du Vatican, chapitre qui traite de l’admirable présence de la Mère de Dieu dans le mystère du Christ et de l’Église. En effet, sur l’arrière-fond des Ave Maria défilent les principaux épisodes de la vie de Jésus-Christ. Réunis en mystères joyeux, douloureux et glorieux ils nous mettent en communion vivante avec Jésus à travers le cœur de sa Mère, pourrions- nous dire. En même temps, nous pouvons rassembler dans ces dizaines du Rosaire tous les événements de notre vie individuelle ou familiale, de la vie de notre pays, de l’Église, de l’humanité : c’est-à-dire nos événements personnels ou ceux de notre prochain, et en particulier de ceux qui nous sont les plus proches, qui nous tiennent le plus à cœur. C’est ainsi que la simple prière du Rosaire s’écoule au rythme de la vie humaine […] » (Jean-Paul II, Angélus du 29 octobre 1978).
http://img.over-blog.com/220x292/0/21/41/34/jean-paul-ii/36747145.jpg
« […] Le Rosaire est depuis toujours, la prière de la famille et pour la famille. Il fut un temps où cette prière était particulièrement chère aux familles chrétiennes et en favorisait certainement la communion. Il ne faut pas perdre ce précieux héritage. Il faut se remettre à prier en famille et à prier pour les familles, en utilisant encore cette forme de prière. La famille qui est unie dans la prière demeure unie. Par tradition ancienne, le saint Rosaire se prête tout spécialement à être une prière dans laquelle la famille se retrouve. Les membres de celle-ci, en jetant véritablement un regard sur Jésus, acquièrent aussi une nouvelle capacité de se regarder en face, pour communiquer, pour vivre la solidarité, pour se pardonner mutuellement, pour repartir avec un pacte d'amour renouvelé par l'Esprit de Dieu. De nombreux problèmes des familles contemporaines, particulièrement dans les sociétés économiquement évoluées, dépendent du fait qu'il devient toujours plus difficile de communiquer. On ne parvient pas à rester ensemble, et les rares moments passés en commun sont absorbés par les images de la télévision. Recommencer à réciter le Rosaire en famille signifie introduire dans la vie quotidienne des images bien différentes, celles du mystère qui sauve : l'image du Rédempteur, l'image de sa Mère très sainte. La famille qui récite le Rosaire reproduit un peu le climat de la maison de Nazareth : on place Jésus au centre, on partage avec lui les joies et les souffrances, on remet entre ses mains les besoins et les projets, on reçoit de lui espérance et force pour le chemin. Il est beau et fécond également de confier à cette prière le chemin de croissance des enfants. Le Rosaire n'est-il pas l'itinéraire de la vie du Christ, de sa conception à sa mort, jusqu'à sa résurrection et à sa glorification ? Il devient aujourd'hui toujours plus ardu pour les parents de suivre leurs enfants dans les diverses étapes de leur vie. Dans notre société de technologie avancée, des médias et de la mondialisation, tout est devenu si rapide, et la distance culturelle entre les générations se fait toujours plus grande. Les messages les plus divers et les expériences les plus imprévisibles envahissent la vie des enfants et des adolescents, et pour les parents il devient parfois angoissant de faire face aux risques qu'ils courent. Il n'est pas rare qu'ils soient conduits à faire l'expérience de déceptions cuisantes, en constatant les échecs de leurs enfants face à la séduction de la drogue, aux attraits d'un hédonisme effréné, aux tentations de la violence, aux expressions les plus variées du non-sens et du désespoir. Prier le Rosaire pour ses enfants, et mieux encore avec ses enfants, en les éduquant depuis leur plus jeune âge à ce moment quotidien de « pause priante » de la famille, n'est certes pas la solution de tous les problèmes, mais elle constitue une aide spirituelle à ne pas sous-estimer. […] Que mon appel ne reste pas lettre morte ! […] ».
Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II - Extrait de la Lettre Apostolique sur le Rosaire de la Vierge Marie
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Merci lacroixlys , je vous rejoins car j'aime aussi beaucoup le Rosaire qui amène aux priants beaucoup de bienfaits
*
Citations sur les graces de la priere du Rosaire ( chapelet )
« C'est de toutes les prières la plus belle, la plus riche en grâces, celle qui plaît le plus à la Très Sainte Vierge. » Saint Pie X, Testament.
« Après la Messe, la dévotion du Rosaire fait descendre dans les âmes plus de grâces que toute autre,
et, par ses Ave Maria, opère plus de Miracles que toute autre prière ». Saint Vincent de Paul.
« On mérite davantage, par une seule méditation bien faite sur la Passion, qu'en jeûnant toute une année le vendredi au pain et à
l'eau, qu'en se donnant la discipline jusqu'au sang, qu'en récitant tout le Psautier,
qu'en faisant à pied le pèlerinage de Saint Jacques. » Saint Albert le Grand.
« Le Rosaire est l'hommage le plus agréable que l'on puisse offrir à la Mère de Dieu. » Saint Alphonse de Liguori.
« Celui qui sert Marie est aussi sûr du Paradis que s'il y était déjà. » Saint Alphonse de Liguori.
« L'Église, surtout dans les dangers et dans les époques les plus critiques, emploie et cultive traditionnellement le Rosaire,
toujours avec le succès souhaité. » Léon XIII - 1891.
« Il est bien reconnu que cette forme de prière est si agréable à la Sainte Vierge qu'elle est particulièrement efficace pour sauver
du danger l'Église et le peuple chrétien. » Léon XIII - 1883.
« Grande est la force d'une armée qui tient en main non l'épée, mais le Rosaire. » Pie IX.
« Le Rosaire est la prière des plus grandioses victoires du Christianisme. » S. Em. le Cardinal Ottoviani, 1955.
« C'est le Rosaire qui sauvera le monde. » Pie IX.
*
En union de prières
Maud
*
Citations sur les graces de la priere du Rosaire ( chapelet )
« C'est de toutes les prières la plus belle, la plus riche en grâces, celle qui plaît le plus à la Très Sainte Vierge. » Saint Pie X, Testament.
« Après la Messe, la dévotion du Rosaire fait descendre dans les âmes plus de grâces que toute autre,
et, par ses Ave Maria, opère plus de Miracles que toute autre prière ». Saint Vincent de Paul.
« On mérite davantage, par une seule méditation bien faite sur la Passion, qu'en jeûnant toute une année le vendredi au pain et à
l'eau, qu'en se donnant la discipline jusqu'au sang, qu'en récitant tout le Psautier,
qu'en faisant à pied le pèlerinage de Saint Jacques. » Saint Albert le Grand.
« Le Rosaire est l'hommage le plus agréable que l'on puisse offrir à la Mère de Dieu. » Saint Alphonse de Liguori.
« Celui qui sert Marie est aussi sûr du Paradis que s'il y était déjà. » Saint Alphonse de Liguori.
« L'Église, surtout dans les dangers et dans les époques les plus critiques, emploie et cultive traditionnellement le Rosaire,
toujours avec le succès souhaité. » Léon XIII - 1891.
« Il est bien reconnu que cette forme de prière est si agréable à la Sainte Vierge qu'elle est particulièrement efficace pour sauver
du danger l'Église et le peuple chrétien. » Léon XIII - 1883.
« Grande est la force d'une armée qui tient en main non l'épée, mais le Rosaire. » Pie IX.
« Le Rosaire est la prière des plus grandioses victoires du Christianisme. » S. Em. le Cardinal Ottoviani, 1955.
« C'est le Rosaire qui sauvera le monde. » Pie IX.
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Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
« C'est le Rosaire qui sauvera le monde. » Pie IX.
Merci Maud
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Le Saint Rosaire, une arme contre le démon
Jamais personne ne pourra comprendre les richesses admirables de sanctification qui sont renfermées dans les prières et dans les mystères du Saint Rosaire. Cette méditation des mystères de la vie et de la mort de Notre-Seigneur Jésus-Christ est, pour tous ceux qui en font usage, la source des fruits les plus merveilleux. Aujourd'hui, on veut des choses qui frappent, qui émeuvent, qui produisent dans l'âme des impressions profondes. Qu'y a-t-il au monde de plus émouvant que cette histoire merveilleuse de notre Rédempteur se déroulant à nos yeux en quinze tableaux nous rappelant les grandes scènes de la vie, de la mort et de la gloire du Sauveur du monde ? (...) C'est une étrange illusion du démon de croire qu'on puisse faire des oraisons plus sublimes que celles du Pater et de l'Ave, en abandonnant ces divines oraisons qui sont le soutien, la force et la garde de l'âme. (…) Dites tous les jours, si vous pouvez, votre Rosaire entier ou du moins le chapelet. Y êtes-vous déjà arrivé par la grâce de Dieu, si vous voulez vous y conserver et y croître dans l'humilité, conservez la pratique du Saint Rosaire, car jamais une âme qui dit son Rosaire tous les jours ne sera formellement hérétique ni trompée par le démon; c'est une proposition que je signerais de mon sang. (…) La Sainte Vierge a révélé au Bienheureux Alain qu'aussitôt que Saint Dominique prêcha le Rosaire, les pécheurs endurcis furent touchés et pleurèrent amèrement leurs crimes; les jeunes enfants même firent des pénitences incroyables, la ferveur fut si grande, partout où il prêchait le Rosaire, que les pécheurs changèrent de vie et édifièrent tout le monde par leurs pénitences et l'amendement de leur vie. Si vous sentez votre conscience chargée de quelques péchés, prenez votre Rosaire, en récitant une partie en l'honneur de quelques mystères de la vie, de la passion ou de la gloire de Jésus-Christ, et soyez persuadé que, pendant que vous méditerez et honorerez ces mystères, Il montrera Ses Plaies sacrées à Son Père au ciel. Il plaidera pour vous et vous obtiendra la contrition et le pardon de vos péchés. Il dit un jour au Bienheureux Alain : "Si ces misérables pécheurs récitaient souvent mon Rosaire, ils participeraient aux mérites de ma Passion, et, comme leur Avocat, j'apaiserais la Divine Justice". Cette vie est une guerre et une tentation continuelles; nous n'avons pas à combattre des ennemis de chair et de sang, mais les puissances mêmes de l'enfer. Quelles armes prendrons-nous, pour les combattre, que l'oraison que notre grand Capitaine nous a enseignée, que la Salutation angélique, qui a chassé les démons, détruit le péché et renouvelé le monde, que la méditation de la vie, de la Passion de Jésus-Christ, de la pensée de laquelle nous devons nous armer, comme nous ordonne Saint Pierre, pour nous défendre des mêmes ennemis qu'il a vaincus et qui nous attaquent tous les jours. « Depuis que le démon, dit le cardinal Hugues, a été vaincu par l'humilité et la Passion de Jésus-Christ, il ne se peut quasi attaquer à une âme armée de la méditation de ses mystères ou, s'il l'attaque, il en est vaincu honteusement ». « Induite vos armaturam Dei » (Eph 6,11). Armez-vous donc de ces armes de Dieu, du Saint Rosaire, et vous briserez la tête du démon, et demeurerez stables contre toutes ses tentations. Le Rosaire est si terrible au diable que les saints s'en sont servis pour l'enchaîner et le chasser des corps des possédés, comme plusieurs histoires rendent témoignage.
(…) Le Révérend Père Jean Amât, de l'ordre de Saint-Dominique, prêchait le Carême dans un lieu de ce royaume d'Aragon; on lui amena une jeune fille possédée du démon; après l'avoir plusieurs fois exorcisée, mais en vain, il lui mit son Rosaire au cou, et aussitôt elle se mit à faire de cris et des hurlements épouvantables, disant : "Otez-moi, ôtez- moi ces grains qui me tourmentent". Enfin le père, par compassion pour la pauvre fille, lui ôta son Rosaire du cou. La nuit suivante, lorsque le Révérend Père était dans son lit à se reposer, les mêmes démons qui possédaient cette fille vinrent à lui, tout écumants de rage, pour se saisir de sa personne; mais avec son Rosaire qu'il tenait fortement à la main, malgré les efforts qu'ils firent pour le lui ôter, il les fouetta admirablement bien et les chassa en disant : "Sainte Marie, Notre-Dame du saint Rosaire, à mon aide !" Lorsque, le lendemain, il allait à l'église, il rencontra cette pauvre fille encore possédée; un des démons qui étaient en elle se mit à dire en se moquant de lui : "Ah ! frère, si tu n'avais point eu ton Rosaire, nous t'aurions bien accommodé". Alors le Révérend Père jette derechef son Rosaire au cou de la fille, disant : "Par les très sacrés Noms de Jésus et de Marie, Sa Sainte Mère, et par la vertu du Très Saint Rosaire, je vous commande, esprits malins, de sortir de ce corps tout à l'heure"; aussitôt ils furent contraints d'obéir, et elle fut délivrée. Ces histoires nous marquent quelle est la force du Saint Rosaire pour vaincre toutes sortes de tentations des démons et toutes sortes de péchés, parce que les grains bénits du Rosaire les mettent en fuite (…) ».
Extrait du Secret Admirable du Très Saint Rosaire, par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
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Jamais personne ne pourra comprendre les richesses admirables de sanctification qui sont renfermées dans les prières et dans les mystères du Saint Rosaire. Cette méditation des mystères de la vie et de la mort de Notre-Seigneur Jésus-Christ est, pour tous ceux qui en font usage, la source des fruits les plus merveilleux. Aujourd'hui, on veut des choses qui frappent, qui émeuvent, qui produisent dans l'âme des impressions profondes. Qu'y a-t-il au monde de plus émouvant que cette histoire merveilleuse de notre Rédempteur se déroulant à nos yeux en quinze tableaux nous rappelant les grandes scènes de la vie, de la mort et de la gloire du Sauveur du monde ? (...) C'est une étrange illusion du démon de croire qu'on puisse faire des oraisons plus sublimes que celles du Pater et de l'Ave, en abandonnant ces divines oraisons qui sont le soutien, la force et la garde de l'âme. (…) Dites tous les jours, si vous pouvez, votre Rosaire entier ou du moins le chapelet. Y êtes-vous déjà arrivé par la grâce de Dieu, si vous voulez vous y conserver et y croître dans l'humilité, conservez la pratique du Saint Rosaire, car jamais une âme qui dit son Rosaire tous les jours ne sera formellement hérétique ni trompée par le démon; c'est une proposition que je signerais de mon sang. (…) La Sainte Vierge a révélé au Bienheureux Alain qu'aussitôt que Saint Dominique prêcha le Rosaire, les pécheurs endurcis furent touchés et pleurèrent amèrement leurs crimes; les jeunes enfants même firent des pénitences incroyables, la ferveur fut si grande, partout où il prêchait le Rosaire, que les pécheurs changèrent de vie et édifièrent tout le monde par leurs pénitences et l'amendement de leur vie. Si vous sentez votre conscience chargée de quelques péchés, prenez votre Rosaire, en récitant une partie en l'honneur de quelques mystères de la vie, de la passion ou de la gloire de Jésus-Christ, et soyez persuadé que, pendant que vous méditerez et honorerez ces mystères, Il montrera Ses Plaies sacrées à Son Père au ciel. Il plaidera pour vous et vous obtiendra la contrition et le pardon de vos péchés. Il dit un jour au Bienheureux Alain : "Si ces misérables pécheurs récitaient souvent mon Rosaire, ils participeraient aux mérites de ma Passion, et, comme leur Avocat, j'apaiserais la Divine Justice". Cette vie est une guerre et une tentation continuelles; nous n'avons pas à combattre des ennemis de chair et de sang, mais les puissances mêmes de l'enfer. Quelles armes prendrons-nous, pour les combattre, que l'oraison que notre grand Capitaine nous a enseignée, que la Salutation angélique, qui a chassé les démons, détruit le péché et renouvelé le monde, que la méditation de la vie, de la Passion de Jésus-Christ, de la pensée de laquelle nous devons nous armer, comme nous ordonne Saint Pierre, pour nous défendre des mêmes ennemis qu'il a vaincus et qui nous attaquent tous les jours. « Depuis que le démon, dit le cardinal Hugues, a été vaincu par l'humilité et la Passion de Jésus-Christ, il ne se peut quasi attaquer à une âme armée de la méditation de ses mystères ou, s'il l'attaque, il en est vaincu honteusement ». « Induite vos armaturam Dei » (Eph 6,11). Armez-vous donc de ces armes de Dieu, du Saint Rosaire, et vous briserez la tête du démon, et demeurerez stables contre toutes ses tentations. Le Rosaire est si terrible au diable que les saints s'en sont servis pour l'enchaîner et le chasser des corps des possédés, comme plusieurs histoires rendent témoignage.
(…) Le Révérend Père Jean Amât, de l'ordre de Saint-Dominique, prêchait le Carême dans un lieu de ce royaume d'Aragon; on lui amena une jeune fille possédée du démon; après l'avoir plusieurs fois exorcisée, mais en vain, il lui mit son Rosaire au cou, et aussitôt elle se mit à faire de cris et des hurlements épouvantables, disant : "Otez-moi, ôtez- moi ces grains qui me tourmentent". Enfin le père, par compassion pour la pauvre fille, lui ôta son Rosaire du cou. La nuit suivante, lorsque le Révérend Père était dans son lit à se reposer, les mêmes démons qui possédaient cette fille vinrent à lui, tout écumants de rage, pour se saisir de sa personne; mais avec son Rosaire qu'il tenait fortement à la main, malgré les efforts qu'ils firent pour le lui ôter, il les fouetta admirablement bien et les chassa en disant : "Sainte Marie, Notre-Dame du saint Rosaire, à mon aide !" Lorsque, le lendemain, il allait à l'église, il rencontra cette pauvre fille encore possédée; un des démons qui étaient en elle se mit à dire en se moquant de lui : "Ah ! frère, si tu n'avais point eu ton Rosaire, nous t'aurions bien accommodé". Alors le Révérend Père jette derechef son Rosaire au cou de la fille, disant : "Par les très sacrés Noms de Jésus et de Marie, Sa Sainte Mère, et par la vertu du Très Saint Rosaire, je vous commande, esprits malins, de sortir de ce corps tout à l'heure"; aussitôt ils furent contraints d'obéir, et elle fut délivrée. Ces histoires nous marquent quelle est la force du Saint Rosaire pour vaincre toutes sortes de tentations des démons et toutes sortes de péchés, parce que les grains bénits du Rosaire les mettent en fuite (…) ».
Extrait du Secret Admirable du Très Saint Rosaire, par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
MOIS DU ROSAIRE : Marcher main dans la main avec la Vierge Marie
« Mystiquement, le Rosaire nous transporte auprès de Marie, dans la maison de Nazareth, où elle est occupée à accompagner la croissance humaine du Christ. Par ce biais, elle peut nous éduquer et nous modeler avec la même sollicitude, jusqu'à ce que le Christ soit « formé » pleinement en nous (cf. Ga 4,19). Cette action de Marie, totalement enracinée dans celle du Christ et dans une radicale subordination à elle, « n'empêche en aucune manière l'union immédiate des croyants avec le Christ, au contraire elle la favorise » (LG N°60). Tel est le lumineux principe exprimé parle Concile Vatican II, dont j'ai si fortement fait l'expérience dans ma vie, au point d'en faire le noyau de ma devise épiscopale “Totus tuus”. Comme on le sait, il s'agit d'une devise inspirée par la doctrine de Saint Louis Marie Grignion de Montfort, qui expliquait ainsi le rôle de Marie pour chacun de nous dans le processus de configuration au Christ : « Toute notre perfection consistant à être conformes, unis et consacrés à Jésus Christ, la plus parfaite de toutes les dévotions est sans difficulté celle qui nous conforme, unit et consacre le plus parfaitement à Jésus Christ. Or, Marie étant de toutes les créatures la plus conforme à Jésus Christ, il s'ensuit que, de toutes les dévotions, celle qui consacre et conforme le plus une âme à Notre-Seigneur est la dévotion à la Très Sainte Vierge, sa Sainte Mère, et que plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle le sera à Jésus Christ » (cf : Traité de la vraie dévotion à Marie, n.120, Paris (1966), pp.562-563). Jamais comme dans le Rosaire, le chemin du Christ et celui de Marie n'apparaissent aussi étroitement unis. Marie ne vit que dans le Christ et en fonction du Christ ! Le Christ nous a invités à nous tourner vers Dieu avec confiance et persévérance pour être exaucés : « Demandez et l'on vous donnera; cherchez et vous trouverez; frappez et l'on vous ouvrira » (Mt 7,7). Le fondement de cette efficacité de la prière, c'est la bonté du Père, mais aussi la médiation du Christ lui-même auprès de Lui (cf. 1Jn 2,1) et l'action de l'Esprit Saint, qui « intercède pour nous » selon le dessein de Dieu (cf. Rm 8, 26-27). Car nous-mêmes, « nous ne savons pas prier comme il faut » (Rm 8, 26) et parfois nous ne sommes pas exaucés parce que « nous prions mal » (cf. Jc 4, 2-3). Par son intercession maternelle, Marie intervient pour soutenir la prière que le Christ et l'Esprit font jaillir de notre cœur. « La prière de l'Église est comme portée par la prière de Marie » (CEC N°2679). En effet, si Jésus, l'Unique Médiateur, est la Voie de notre prière, Marie, qui est pure transparence du Christ, nous montre la voie, et « c'est à partir de cette coopération singulière de Marie à l'action de l'Esprit Saint que les Églises ont développé la prière à la Sainte Mère de Dieu, en la centrant sur la Personne du Christ manifestée dans ses mystères » (CEC N°2675). Aux noces de Cana, l'Évangile montre précisément l'efficacité de l'intercession de Marie qui se fait auprès de Jésus le porte-parole des besoins de l'humanité: « Ils n'ont plus de vin » (Jn 2,3). Le Rosaire est à la fois méditation et supplication. L'imploration insistante de la Mère de Dieu s'appuie sur la certitude confiante que son intercession maternelle est toute puissante sur le Cœur de Son Fils. Elle est « toute puissante par grâce », comme disait, dans une formule dont il faut bien comprendre l'audace, le Bienheureux Bartolo Longo dans la Supplique à la Vierge. C'est une certitude qui, partant de l'Évangile, n'a cessé de se renforcer à travers l'expérience du peuple chrétien. […] Dans le Rosaire, tandis que nous la supplions, Marie, Sanctuaire de l'Esprit Saint (cf. Lc 1, 35), se tient pour nous devant le Père, qui l'a comblée de grâce, et devant le Fils, qu'elle a mis au monde, priant avec nous et pour nous ».
N°15 et 16 de la Lettre Apostolique "Rosarium Virginis Mariae", par Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
« Mystiquement, le Rosaire nous transporte auprès de Marie, dans la maison de Nazareth, où elle est occupée à accompagner la croissance humaine du Christ. Par ce biais, elle peut nous éduquer et nous modeler avec la même sollicitude, jusqu'à ce que le Christ soit « formé » pleinement en nous (cf. Ga 4,19). Cette action de Marie, totalement enracinée dans celle du Christ et dans une radicale subordination à elle, « n'empêche en aucune manière l'union immédiate des croyants avec le Christ, au contraire elle la favorise » (LG N°60). Tel est le lumineux principe exprimé parle Concile Vatican II, dont j'ai si fortement fait l'expérience dans ma vie, au point d'en faire le noyau de ma devise épiscopale “Totus tuus”. Comme on le sait, il s'agit d'une devise inspirée par la doctrine de Saint Louis Marie Grignion de Montfort, qui expliquait ainsi le rôle de Marie pour chacun de nous dans le processus de configuration au Christ : « Toute notre perfection consistant à être conformes, unis et consacrés à Jésus Christ, la plus parfaite de toutes les dévotions est sans difficulté celle qui nous conforme, unit et consacre le plus parfaitement à Jésus Christ. Or, Marie étant de toutes les créatures la plus conforme à Jésus Christ, il s'ensuit que, de toutes les dévotions, celle qui consacre et conforme le plus une âme à Notre-Seigneur est la dévotion à la Très Sainte Vierge, sa Sainte Mère, et que plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle le sera à Jésus Christ » (cf : Traité de la vraie dévotion à Marie, n.120, Paris (1966), pp.562-563). Jamais comme dans le Rosaire, le chemin du Christ et celui de Marie n'apparaissent aussi étroitement unis. Marie ne vit que dans le Christ et en fonction du Christ ! Le Christ nous a invités à nous tourner vers Dieu avec confiance et persévérance pour être exaucés : « Demandez et l'on vous donnera; cherchez et vous trouverez; frappez et l'on vous ouvrira » (Mt 7,7). Le fondement de cette efficacité de la prière, c'est la bonté du Père, mais aussi la médiation du Christ lui-même auprès de Lui (cf. 1Jn 2,1) et l'action de l'Esprit Saint, qui « intercède pour nous » selon le dessein de Dieu (cf. Rm 8, 26-27). Car nous-mêmes, « nous ne savons pas prier comme il faut » (Rm 8, 26) et parfois nous ne sommes pas exaucés parce que « nous prions mal » (cf. Jc 4, 2-3). Par son intercession maternelle, Marie intervient pour soutenir la prière que le Christ et l'Esprit font jaillir de notre cœur. « La prière de l'Église est comme portée par la prière de Marie » (CEC N°2679). En effet, si Jésus, l'Unique Médiateur, est la Voie de notre prière, Marie, qui est pure transparence du Christ, nous montre la voie, et « c'est à partir de cette coopération singulière de Marie à l'action de l'Esprit Saint que les Églises ont développé la prière à la Sainte Mère de Dieu, en la centrant sur la Personne du Christ manifestée dans ses mystères » (CEC N°2675). Aux noces de Cana, l'Évangile montre précisément l'efficacité de l'intercession de Marie qui se fait auprès de Jésus le porte-parole des besoins de l'humanité: « Ils n'ont plus de vin » (Jn 2,3). Le Rosaire est à la fois méditation et supplication. L'imploration insistante de la Mère de Dieu s'appuie sur la certitude confiante que son intercession maternelle est toute puissante sur le Cœur de Son Fils. Elle est « toute puissante par grâce », comme disait, dans une formule dont il faut bien comprendre l'audace, le Bienheureux Bartolo Longo dans la Supplique à la Vierge. C'est une certitude qui, partant de l'Évangile, n'a cessé de se renforcer à travers l'expérience du peuple chrétien. […] Dans le Rosaire, tandis que nous la supplions, Marie, Sanctuaire de l'Esprit Saint (cf. Lc 1, 35), se tient pour nous devant le Père, qui l'a comblée de grâce, et devant le Fils, qu'elle a mis au monde, priant avec nous et pour nous ».
N°15 et 16 de la Lettre Apostolique "Rosarium Virginis Mariae", par Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
MOIS DU ROSAIRE : Par l’Ave Maria
Cantique inspiré de Saint Louis-Marie Grignon de Montfort, apôtre du Rosaire (1673-1716). Il ne cessait de le chanter avec la flamme de son zèle missionnaire dans plusieurs diocèses de l’Ouest de la France (Vendée). Il sema partout la dévotion au Rosaire et prépara providentiellement les villages de l'Ouest de la France à leur résistance héroïque face aux furies sanguinaires de la Révolution un siècle après. Semper fidelis !
R. Par l’Ave Maria, le péché se détruira
Par l’Ave Maria, le Bon Jésus régnera
1. Que tous chante et publie d’un ton bien relevé
Les grandeurs de l’Ave en l’honneur de Marie.
2. Ô divine prière, si l’on vous connaissait,
Un chacun vous dirait, jour et nuit sur la terre.
3. Quiconque le récite avec dévotion,
Écrase le démon, met tout l’Enfer en fuite.
4. Il réjouit les anges et la Mère et le Christ,
Et tout le Paradis entonne ces louanges.
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
Cantique inspiré de Saint Louis-Marie Grignon de Montfort, apôtre du Rosaire (1673-1716). Il ne cessait de le chanter avec la flamme de son zèle missionnaire dans plusieurs diocèses de l’Ouest de la France (Vendée). Il sema partout la dévotion au Rosaire et prépara providentiellement les villages de l'Ouest de la France à leur résistance héroïque face aux furies sanguinaires de la Révolution un siècle après. Semper fidelis !
R. Par l’Ave Maria, le péché se détruira
Par l’Ave Maria, le Bon Jésus régnera
1. Que tous chante et publie d’un ton bien relevé
Les grandeurs de l’Ave en l’honneur de Marie.
2. Ô divine prière, si l’on vous connaissait,
Un chacun vous dirait, jour et nuit sur la terre.
3. Quiconque le récite avec dévotion,
Écrase le démon, met tout l’Enfer en fuite.
4. Il réjouit les anges et la Mère et le Christ,
Et tout le Paradis entonne ces louanges.
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Merci lacroixlys voici un autre cantique de Saint - Louis-Marie Grignion de Montfort adressé à la Vierge Marie, pour qui nous savons il avait une véritable dévotion
Bonne écoute
Maud
Bonne écoute
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Un grand merci de nous informer sur ce Saint mois lacroixlys
Luca- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
La puissance du Rosaire, par Mgr Luciano Alimandi
Le 7 octobre, c’était la fête de Notre-Dame du Rosaire, une fête particulièrement chère à de très nombreux fidèles. La prière du Rosaire nourrit la piété mariale, aide à reconnaître ce lien indissoluble qui lie Jésus à Marie, don extraordinaire de grâce pour toute l’humanité.
L’Eglise a fait l’expérience de l’union admirable entre la Mère et le Fils de Dieu, dès ses débuts, et, tout au long des siècles, elle en a contemplé et éclairé les profondeurs abyssales. Dans cette lumière d’une particulière beauté, on comprend les paroles de Paul VI, le Pape de l’Exhortation Apostolique du « Marialis Cultus », du 29 mars 1974. Dans une homélie au Sanctuaire de Notre-Dame de Bonaria (le 24 avril 1970), il déclarait déjà : « Si nous voulons être chrétiens, nous devons être mariaux, c’est-à-dire que nous devons reconnaître le rapport essentiel, vital et providentiel qui unit la Sainte Vierge à Jésus, et qui nous ouvre la voie qui conduit à Lui ».
Le Chapelet est précisément « une voie » de prière qui conduit de la Mère au fils, même si elle pourrait sembler être une prière « pauvre », voire même « monotone. Au fond, on pourrait dire la même chose de la respiration : elle se présente comme faible et répétitive, mais combien elle est vitale ! La prière mariale par excellence, semble pauvre, mais elle est riche, apparemment monotone, mais elle ne lasse jamais. Celui qui la récite avec foi reçoit une force et une sérénité particulières, y compris pour affronter les problèmes quotidiens. Le Chapelet est une pratique de prière tellement simple que même les plus petits peuvent l’apprendre.
Dans les familles et dans les communautés où l’on récite le Chapelet avec les enfants, on ressent concrètement la bienveillance particulière de Jésus, dont témoigne l’Evangile : « Laissez venir à moi les petits enfants, ne les en empêchez pas : c’est à ceux qui leur ressemblent qu’appartient le Royaume de Dieu. En vérité, en vérité je vous le dis : celui qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme le fait un enfant, n’y entrera pas. Et, les prenant dans ses bras, il les bénissait en leur imposant les mains » (Matthieu 10, 14-16).
Là où les enfants prient, se renouvelle l’effusion de cette bénédiction, se manifeste la prédilection spéciale du Seigneur pour les petits, et tous en retirent des bienfaits. Que de grâces ont attiré sur le Peuple de Dieu les trois pastoureaux de Fatima, François, Jacinthe et Lucie ! Ils reçurent du Ciel le mandat de réciter de nombreux Chapelets pour la paix, et le Portugal, effectivement, fut épargné de la grande guerre. Notre Saint-Père le Pape Benoît XVI, rappelant que le Mois d’Octobre était consacré à la prière du Chapelet et à l’engagement missionnaire, le 7 octobre 2007 précisément, a rappelé entres autres choses, l’appel de Fatima : « L'image traditionnelle de la Vierge du Rosaire représente Marie qui tient l'Enfant-Jésus sur un bras et, de l'autre, tend le chapelet à saint Dominique.
Cette iconographie significative montre que le Rosaire est un moyen donné par la Vierge pour contempler Jésus et, en méditant sur sa vie, l'aimer et le suivre toujours plus fidèlement. Telle est la consigne laissée par la Vierge également lors de ses différentes apparitions. Je pense, en particulier, à celle de Fatima, survenue il y a 90 ans. En se présentant comme "la Vierge du Rosaire" aux trois pastoureaux Lucie, Jacinthe et François, elle a recommandé avec insistance de prier le Rosaire tous les jours, pour obtenir la fin de la guerre.
Nous aussi, nous voulons accueillir la requête maternelle de la Vierge, en nous engageant à réciter avec foi le Rosaire pour la paix dans les familles, dans les nations, et dans le monde entier » (Benoît XVI, Angélus, 7 octobre 2007). Le Message de Fatima montre l’importance spéciale que revêt la récitation du Chapelet, en commençant chez les petits enfants.
En mettant notre confiance dans l’invitation du Seigneur : « Laissez venir à moi les petits enfants », et dans celle de Notre-Dame de Fatima, les familles peuvent recourir à la prière du Chapelet pour en obtenir de grands bienfaits. Que de protection ont reçu les générations passées de croyants, grâce à cette prière devenue pour de nombreuses familles une pratique quotidienne ! L’Eglise ne se lasse pas d’en recommander la récitation, individuelle et communautaire, spécialement aux « petits églises domestiques » qui sont, entre autres, le premier séminaire des futures vocations au sacerdoce ou à la vie consacrée.
Le Serviteur de Dieu Jean Paul a proclamé « L’Année du Rosaire » (octobre 2002-octobre 2003) pour relancer cette prière au plan universel, et il lui a consacré aussi une Lettre Apostolique, dans laquelle il écrivait notamment : « Si, dans la lettre apostolique Novo Millennio Ineunte, j'ai encouragé même les laïcs à célébrer la Liturgie des Heures dans la vie ordinaire des communautés paroissiales et des divers groupes chrétiens, je désire faire la même chose pour le Rosaire. Il s'agit de deux voies de la contemplation chrétienne qui ne s'opposent pas, mais se complètent.
Je demande donc à ceux qui se consacrent à la pastorale des familles de suggérer avec conviction la récitation du Rosaire. La famille qui est unie dans la prière demeure unie. Par tradition ancienne, le saint Rosaire se prête tout spécialement à être une prière dans laquelle la famille se retrouve. Les membres de celle-ci, en jetant véritablement un regard sur Jésus, acquièrent aussi une nouvelle capacité de se regarder en face, pour communiquer, pour vivre la solidarité, pour se pardonner mutuellement, pour repartir avec un pacte d'amour renouvelé par l'Esprit de Dieu. De nombreux problèmes des familles contemporaines, particulièrement dans les sociétés économiquement évoluées, dépendent du fait qu'il devient toujours plus difficile de communiquer.
On ne parvient pas à rester ensemble, et les rares moments passés en commun sont absorbés par les images de la télévision. Recommencer à réciter le Rosaire en famille signifie introduire dans la vie quotidienne des images bien différentes, celles du mystère qui sauve : l'image du Rédempteur, l'image de sa Mère très sainte. La famille qui récite le Rosaire reproduit un peu le climat de la maison de Nazareth : on place Jésus au centre, on partage avec lui les joies et les souffrances, on remet entre ses mains les besoins et les projets, on reçoit de lui espérance et force pour le chemin » (Jean Paul II, « Rosarium Virginis Mariae », N°41).
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Le 7 octobre, c’était la fête de Notre-Dame du Rosaire, une fête particulièrement chère à de très nombreux fidèles. La prière du Rosaire nourrit la piété mariale, aide à reconnaître ce lien indissoluble qui lie Jésus à Marie, don extraordinaire de grâce pour toute l’humanité.
L’Eglise a fait l’expérience de l’union admirable entre la Mère et le Fils de Dieu, dès ses débuts, et, tout au long des siècles, elle en a contemplé et éclairé les profondeurs abyssales. Dans cette lumière d’une particulière beauté, on comprend les paroles de Paul VI, le Pape de l’Exhortation Apostolique du « Marialis Cultus », du 29 mars 1974. Dans une homélie au Sanctuaire de Notre-Dame de Bonaria (le 24 avril 1970), il déclarait déjà : « Si nous voulons être chrétiens, nous devons être mariaux, c’est-à-dire que nous devons reconnaître le rapport essentiel, vital et providentiel qui unit la Sainte Vierge à Jésus, et qui nous ouvre la voie qui conduit à Lui ».
Le Chapelet est précisément « une voie » de prière qui conduit de la Mère au fils, même si elle pourrait sembler être une prière « pauvre », voire même « monotone. Au fond, on pourrait dire la même chose de la respiration : elle se présente comme faible et répétitive, mais combien elle est vitale ! La prière mariale par excellence, semble pauvre, mais elle est riche, apparemment monotone, mais elle ne lasse jamais. Celui qui la récite avec foi reçoit une force et une sérénité particulières, y compris pour affronter les problèmes quotidiens. Le Chapelet est une pratique de prière tellement simple que même les plus petits peuvent l’apprendre.
Dans les familles et dans les communautés où l’on récite le Chapelet avec les enfants, on ressent concrètement la bienveillance particulière de Jésus, dont témoigne l’Evangile : « Laissez venir à moi les petits enfants, ne les en empêchez pas : c’est à ceux qui leur ressemblent qu’appartient le Royaume de Dieu. En vérité, en vérité je vous le dis : celui qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme le fait un enfant, n’y entrera pas. Et, les prenant dans ses bras, il les bénissait en leur imposant les mains » (Matthieu 10, 14-16).
Là où les enfants prient, se renouvelle l’effusion de cette bénédiction, se manifeste la prédilection spéciale du Seigneur pour les petits, et tous en retirent des bienfaits. Que de grâces ont attiré sur le Peuple de Dieu les trois pastoureaux de Fatima, François, Jacinthe et Lucie ! Ils reçurent du Ciel le mandat de réciter de nombreux Chapelets pour la paix, et le Portugal, effectivement, fut épargné de la grande guerre. Notre Saint-Père le Pape Benoît XVI, rappelant que le Mois d’Octobre était consacré à la prière du Chapelet et à l’engagement missionnaire, le 7 octobre 2007 précisément, a rappelé entres autres choses, l’appel de Fatima : « L'image traditionnelle de la Vierge du Rosaire représente Marie qui tient l'Enfant-Jésus sur un bras et, de l'autre, tend le chapelet à saint Dominique.
Cette iconographie significative montre que le Rosaire est un moyen donné par la Vierge pour contempler Jésus et, en méditant sur sa vie, l'aimer et le suivre toujours plus fidèlement. Telle est la consigne laissée par la Vierge également lors de ses différentes apparitions. Je pense, en particulier, à celle de Fatima, survenue il y a 90 ans. En se présentant comme "la Vierge du Rosaire" aux trois pastoureaux Lucie, Jacinthe et François, elle a recommandé avec insistance de prier le Rosaire tous les jours, pour obtenir la fin de la guerre.
Nous aussi, nous voulons accueillir la requête maternelle de la Vierge, en nous engageant à réciter avec foi le Rosaire pour la paix dans les familles, dans les nations, et dans le monde entier » (Benoît XVI, Angélus, 7 octobre 2007). Le Message de Fatima montre l’importance spéciale que revêt la récitation du Chapelet, en commençant chez les petits enfants.
En mettant notre confiance dans l’invitation du Seigneur : « Laissez venir à moi les petits enfants », et dans celle de Notre-Dame de Fatima, les familles peuvent recourir à la prière du Chapelet pour en obtenir de grands bienfaits. Que de protection ont reçu les générations passées de croyants, grâce à cette prière devenue pour de nombreuses familles une pratique quotidienne ! L’Eglise ne se lasse pas d’en recommander la récitation, individuelle et communautaire, spécialement aux « petits églises domestiques » qui sont, entre autres, le premier séminaire des futures vocations au sacerdoce ou à la vie consacrée.
Le Serviteur de Dieu Jean Paul a proclamé « L’Année du Rosaire » (octobre 2002-octobre 2003) pour relancer cette prière au plan universel, et il lui a consacré aussi une Lettre Apostolique, dans laquelle il écrivait notamment : « Si, dans la lettre apostolique Novo Millennio Ineunte, j'ai encouragé même les laïcs à célébrer la Liturgie des Heures dans la vie ordinaire des communautés paroissiales et des divers groupes chrétiens, je désire faire la même chose pour le Rosaire. Il s'agit de deux voies de la contemplation chrétienne qui ne s'opposent pas, mais se complètent.
Je demande donc à ceux qui se consacrent à la pastorale des familles de suggérer avec conviction la récitation du Rosaire. La famille qui est unie dans la prière demeure unie. Par tradition ancienne, le saint Rosaire se prête tout spécialement à être une prière dans laquelle la famille se retrouve. Les membres de celle-ci, en jetant véritablement un regard sur Jésus, acquièrent aussi une nouvelle capacité de se regarder en face, pour communiquer, pour vivre la solidarité, pour se pardonner mutuellement, pour repartir avec un pacte d'amour renouvelé par l'Esprit de Dieu. De nombreux problèmes des familles contemporaines, particulièrement dans les sociétés économiquement évoluées, dépendent du fait qu'il devient toujours plus difficile de communiquer.
On ne parvient pas à rester ensemble, et les rares moments passés en commun sont absorbés par les images de la télévision. Recommencer à réciter le Rosaire en famille signifie introduire dans la vie quotidienne des images bien différentes, celles du mystère qui sauve : l'image du Rédempteur, l'image de sa Mère très sainte. La famille qui récite le Rosaire reproduit un peu le climat de la maison de Nazareth : on place Jésus au centre, on partage avec lui les joies et les souffrances, on remet entre ses mains les besoins et les projets, on reçoit de lui espérance et force pour le chemin » (Jean Paul II, « Rosarium Virginis Mariae », N°41).
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Mois du Rosaire ! Mois de grâces !
En ce mois d’Octobre consacré au Saint Rosaire, n’ayez pas peur de prier le chapelet avec ardeur dans les bus, les trains et les métros. Les femmes musulmanes ont-elles peur de sortir avec le voile dans la rue ? Et vous, vous auriez peur de sortir votre chapelet ??!! Sortez donc vos chapelets sans honte ! « On ne met pas la lumière sous le boisseau » (Matthieu 5, 15). « Quiconque aura honte de Moi et de mes paroles, le Fils de l'Homme aussi aura honte de lui quand il viendra dans Sa gloire » (Luc 9, 26). La sainteté que nous demande Jésus n’est pas de faire des choses exceptionnelles, mais c’est tout simplement de mettre en pratique dans la vie de tous les jours Ses paroles de vérité. Les catholiques qui ont "honte" de prier le chapelet dans les bus, les trams et les métros ne sont que des poules-mouillées, des hypocrites, des lâches... « Le respect humain n'est que mensonge en action » (Père Sevin). Que votre conduite s'accorde avec votre croyance. Un vrai catholique se reconnaît en fonction de son ardeur missionnaire, de sa ferveur religieuse et de sa joie perpétuelle ! Encore une fois, n’ayez pas peur - toujours avec humilité et charité bien évidemment - de "dépolluer le monde" en sortant main dans la main avec la Vierge Marie, la Toute Pure ! Il faut avoir une foi adulte, énergique et responsable ! Trop de catholiques nagent dans la compromission avec l’esprit du monde. « Ne vous conformez pas au siècle présent » (Romains 12, 2).
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
En ce mois d’Octobre consacré au Saint Rosaire, n’ayez pas peur de prier le chapelet avec ardeur dans les bus, les trains et les métros. Les femmes musulmanes ont-elles peur de sortir avec le voile dans la rue ? Et vous, vous auriez peur de sortir votre chapelet ??!! Sortez donc vos chapelets sans honte ! « On ne met pas la lumière sous le boisseau » (Matthieu 5, 15). « Quiconque aura honte de Moi et de mes paroles, le Fils de l'Homme aussi aura honte de lui quand il viendra dans Sa gloire » (Luc 9, 26). La sainteté que nous demande Jésus n’est pas de faire des choses exceptionnelles, mais c’est tout simplement de mettre en pratique dans la vie de tous les jours Ses paroles de vérité. Les catholiques qui ont "honte" de prier le chapelet dans les bus, les trams et les métros ne sont que des poules-mouillées, des hypocrites, des lâches... « Le respect humain n'est que mensonge en action » (Père Sevin). Que votre conduite s'accorde avec votre croyance. Un vrai catholique se reconnaît en fonction de son ardeur missionnaire, de sa ferveur religieuse et de sa joie perpétuelle ! Encore une fois, n’ayez pas peur - toujours avec humilité et charité bien évidemment - de "dépolluer le monde" en sortant main dans la main avec la Vierge Marie, la Toute Pure ! Il faut avoir une foi adulte, énergique et responsable ! Trop de catholiques nagent dans la compromission avec l’esprit du monde. « Ne vous conformez pas au siècle présent » (Romains 12, 2).
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
MOIS DU ROSAIRE : Se configurer au Christ-Seigneur avec l'aide de la Vierge Marie
« La spiritualité chrétienne a pour caractéristique fondamentale l'engagement du disciple à "se conformer" toujours plus pleinement à son Maître (cf. Rm 8, 29; Ph 3, 10.21). Par l'effusion de l'Esprit reçu au Baptême, le croyant est greffé, comme un sarment, sur la vigne qu'est le Christ (cf. Jn 15, 5), il est constitué membre de son Corps mystique (cf. 1 Co 12, 12; Rm 12, 5).
Mais à cette unité initiale doit correspondre un cheminement de ressemblance croissante avec lui qui oriente toujours plus le comportement du disciple dans le sens de la "logique" du Christ : « Ayez entre vous les dispositions que l'on doit avoir dans le Christ Jésus » (Ph 2, 5). Selon les paroles de l'Apôtre, il faut « se revêtir du Seigneur Jésus Christ » (cf. Rm 13, 14; Ga 3, 27).
Dans le parcours spirituel du Rosaire, fondé sur la contemplation incessante – en compagnie de Marie – du visage du Christ, on est appelé à poursuivre un tel idéal exigeant de se conformer à Lui grâce à une fréquentation que nous pourrions dire “amicale”.
Elle nous fait entrer de manière naturelle dans la vie du Christ et pour ainsi dire “respirer” ses sentiments. Le bienheureux Bartolo Longo dit à ce propos: « De même que deux amis qui se retrouvent souvent ensemble finissent par se ressembler même dans la manière de vivre, de même, nous aussi, en parlant familièrement avec Jésus et avec la Vierge, par la méditation des Mystères du Rosaire, et en formant ensemble une même vie par la Communion, nous pouvons devenir, autant que notre bassesse le permet, semblables à eux et apprendre par leurs exemples sublimes à vivre de manière humble, pauvre, cachée, patiente et parfaite » (cf : Les quinze samedis du Saint Rosaire).
Grâce à ce processus de configuration au Christ, par le Rosaire, nous nous confions tout particulièrement à l'action maternelle de la Vierge Sainte. Tout en faisant partie de l'Église comme membre qui « tient la place la plus élevée et en même temps la plus proche de nous » (LG), elle, qui est la Mère du Christ, est en même temps la "Mère de l'Église". Et comme telle, elle "engendre" continuellement des fils pour le Corps mystique de son Fils. Elle le fait par son intercession, en implorant pour eux l'effusion inépuisable de l'Esprit. Elle est l'icône parfaite de la maternité de l'Église. Mystiquement, le Rosaire nous transporte auprès de Marie, dans la maison de Nazareth, où elle est occupée à accompagner la croissance humaine du Christ.
Par ce biais, elle peut nous éduquer et nous modeler avec la même sollicitude, jusqu'à ce que le Christ soit « formé » pleinement en nous (cf. Ga 4,19). Cette action de Marie, totalement enracinée dans celle du Christ et dans une radicale subordination à elle, « n'empêche en aucune manière l'union immédiate des croyants avec le Christ, au contraire elle la favorise » (LG). Tel est le lumineux principe exprimé par le Concile Vatican II, dont j'ai si fortement fait l'expérience dans ma vie, au point d'en faire le noyau de ma devise épiscopale "Totus tuus". Comme on le sait, il s'agit d'une devise inspirée par la doctrine de Saint Louis Marie Grignion de Montfort, qui expliquait ainsi le rôle de Marie pour chacun de nous dans le processus de configuration au Christ : « Toute notre perfection consistant à être conformes, unis et consacrés à Jésus Christ, la plus parfaite de toutes les dévotions est sans difficulté celle qui nous conforme, unit et consacre le plus parfaitement à Jésus Christ.
Or, Marie étant de toutes les créatures la plus conforme à Jésus Christ, il s'ensuit que, de toutes les dévotions, celle qui consacre et conforme le plus une âme à Notre-Seigneur est la dévotion à la Très Sainte Vierge, sa sainte Mère, et que plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle le sera à Jésus Christ ». Jamais comme dans le Rosaire, le chemin du Christ et celui de Marie n'apparaissent aussi étroitement unis. Marie ne vit que dans le Christ et en fonction du Christ ! »
N°15 de la Lettre Apostolique « Rosarium Virginis Mariae » de Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
« La spiritualité chrétienne a pour caractéristique fondamentale l'engagement du disciple à "se conformer" toujours plus pleinement à son Maître (cf. Rm 8, 29; Ph 3, 10.21). Par l'effusion de l'Esprit reçu au Baptême, le croyant est greffé, comme un sarment, sur la vigne qu'est le Christ (cf. Jn 15, 5), il est constitué membre de son Corps mystique (cf. 1 Co 12, 12; Rm 12, 5).
Mais à cette unité initiale doit correspondre un cheminement de ressemblance croissante avec lui qui oriente toujours plus le comportement du disciple dans le sens de la "logique" du Christ : « Ayez entre vous les dispositions que l'on doit avoir dans le Christ Jésus » (Ph 2, 5). Selon les paroles de l'Apôtre, il faut « se revêtir du Seigneur Jésus Christ » (cf. Rm 13, 14; Ga 3, 27).
Dans le parcours spirituel du Rosaire, fondé sur la contemplation incessante – en compagnie de Marie – du visage du Christ, on est appelé à poursuivre un tel idéal exigeant de se conformer à Lui grâce à une fréquentation que nous pourrions dire “amicale”.
Elle nous fait entrer de manière naturelle dans la vie du Christ et pour ainsi dire “respirer” ses sentiments. Le bienheureux Bartolo Longo dit à ce propos: « De même que deux amis qui se retrouvent souvent ensemble finissent par se ressembler même dans la manière de vivre, de même, nous aussi, en parlant familièrement avec Jésus et avec la Vierge, par la méditation des Mystères du Rosaire, et en formant ensemble une même vie par la Communion, nous pouvons devenir, autant que notre bassesse le permet, semblables à eux et apprendre par leurs exemples sublimes à vivre de manière humble, pauvre, cachée, patiente et parfaite » (cf : Les quinze samedis du Saint Rosaire).
Grâce à ce processus de configuration au Christ, par le Rosaire, nous nous confions tout particulièrement à l'action maternelle de la Vierge Sainte. Tout en faisant partie de l'Église comme membre qui « tient la place la plus élevée et en même temps la plus proche de nous » (LG), elle, qui est la Mère du Christ, est en même temps la "Mère de l'Église". Et comme telle, elle "engendre" continuellement des fils pour le Corps mystique de son Fils. Elle le fait par son intercession, en implorant pour eux l'effusion inépuisable de l'Esprit. Elle est l'icône parfaite de la maternité de l'Église. Mystiquement, le Rosaire nous transporte auprès de Marie, dans la maison de Nazareth, où elle est occupée à accompagner la croissance humaine du Christ.
Par ce biais, elle peut nous éduquer et nous modeler avec la même sollicitude, jusqu'à ce que le Christ soit « formé » pleinement en nous (cf. Ga 4,19). Cette action de Marie, totalement enracinée dans celle du Christ et dans une radicale subordination à elle, « n'empêche en aucune manière l'union immédiate des croyants avec le Christ, au contraire elle la favorise » (LG). Tel est le lumineux principe exprimé par le Concile Vatican II, dont j'ai si fortement fait l'expérience dans ma vie, au point d'en faire le noyau de ma devise épiscopale "Totus tuus". Comme on le sait, il s'agit d'une devise inspirée par la doctrine de Saint Louis Marie Grignion de Montfort, qui expliquait ainsi le rôle de Marie pour chacun de nous dans le processus de configuration au Christ : « Toute notre perfection consistant à être conformes, unis et consacrés à Jésus Christ, la plus parfaite de toutes les dévotions est sans difficulté celle qui nous conforme, unit et consacre le plus parfaitement à Jésus Christ.
Or, Marie étant de toutes les créatures la plus conforme à Jésus Christ, il s'ensuit que, de toutes les dévotions, celle qui consacre et conforme le plus une âme à Notre-Seigneur est la dévotion à la Très Sainte Vierge, sa sainte Mère, et que plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle le sera à Jésus Christ ». Jamais comme dans le Rosaire, le chemin du Christ et celui de Marie n'apparaissent aussi étroitement unis. Marie ne vit que dans le Christ et en fonction du Christ ! »
N°15 de la Lettre Apostolique « Rosarium Virginis Mariae » de Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Les Mystères du Rosaire
Les Promesses
révélées au Bienheureux Alain de la Roche (*), grand prédicateur du Rosaire, pour tous ceux qui récitent au moins le chapelet, en méditant les mystères du Rosaire :
1. Celui qui persévérera dans la récitation de mon Rosaire recevra toutes les grâces qu'il demandera.
2. Je promets ma très spéciale protection et de grands bienfaits à ceux qui réciteront dévotement mon Rosaire.
3. Le Rosaire sera un bouclier puissant contre l'enfer, détruira les vices, délivrera du péché, abattra l'hérésie.
4. Le Rosaire fera germer les vertus et obtiendra aux âmes la miséricorde divine ; il substituera dans les cœurs l'amour de Dieu à l'amour du monde, les élevant au désir des biens célestes et éternels. Que d'âmes se sanctifieront ainsi !
5. Celui qui se confie à moi par le Rosaire ne périra pas.
6. Celui qui récitera pieusement mon Rosaire en méditant ses mystères, ne mourra pas de mauvaise mort ; pécheur, il se convertira ; juste, il persévérera dans la grâce, et en tout cas, il sera admis à la vie éternelle.
7. Les vrais dévots de mon Rosaire ne mourront pas sans le secours de l'Église.
8. Je veux que tous ceux qui réciteront mon Rosaire trouvent dans leur vie et à leur mort lumière et plénitude de grâces, et qu'ils participent aux mérites des bienheureux.
9. Je délivrerai promptement du purgatoire les âmes dévotes au Rosaire.
10. Les vrais fils de mon Rosaire jouiront au ciel d'une gloire singulière.
11. Tout ce qu'on demandera par le Rosaire, on l'obtiendra.
12. J'assisterai en tous leurs besoins ceux qui propageront mon Rosaire.
13. J'ai obtenu de mon Fils que les confrères du saint Rosaire aient pour frères en la vie et en la mort les saints du ciel.
14. Ceux qui récitent mon Rosaire sont mes fils bien-aimés, les frères de Jésus-Christ.
15. La dévotion du Rosaire est un signe évident de prédestination.
(*) : Alain de la Roche est né en Bretagne vers 1428. Il devient dominicain à Dinan, dans le diocèse de Saint-Malo. Il voyagera beaucoup, passant par les maisons dominicaines de Paris, de Lille, de Gand en Belgique et de Zwolle aux Pays-Bas, où il meurt en 1475. Il est surtout connu pour le zèle qu'il a déployé en faveur de la dévotion du Rosaire. Son culte n'est pas officiellement confirmé.
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Les Promesses
révélées au Bienheureux Alain de la Roche (*), grand prédicateur du Rosaire, pour tous ceux qui récitent au moins le chapelet, en méditant les mystères du Rosaire :
1. Celui qui persévérera dans la récitation de mon Rosaire recevra toutes les grâces qu'il demandera.
2. Je promets ma très spéciale protection et de grands bienfaits à ceux qui réciteront dévotement mon Rosaire.
3. Le Rosaire sera un bouclier puissant contre l'enfer, détruira les vices, délivrera du péché, abattra l'hérésie.
4. Le Rosaire fera germer les vertus et obtiendra aux âmes la miséricorde divine ; il substituera dans les cœurs l'amour de Dieu à l'amour du monde, les élevant au désir des biens célestes et éternels. Que d'âmes se sanctifieront ainsi !
5. Celui qui se confie à moi par le Rosaire ne périra pas.
6. Celui qui récitera pieusement mon Rosaire en méditant ses mystères, ne mourra pas de mauvaise mort ; pécheur, il se convertira ; juste, il persévérera dans la grâce, et en tout cas, il sera admis à la vie éternelle.
7. Les vrais dévots de mon Rosaire ne mourront pas sans le secours de l'Église.
8. Je veux que tous ceux qui réciteront mon Rosaire trouvent dans leur vie et à leur mort lumière et plénitude de grâces, et qu'ils participent aux mérites des bienheureux.
9. Je délivrerai promptement du purgatoire les âmes dévotes au Rosaire.
10. Les vrais fils de mon Rosaire jouiront au ciel d'une gloire singulière.
11. Tout ce qu'on demandera par le Rosaire, on l'obtiendra.
12. J'assisterai en tous leurs besoins ceux qui propageront mon Rosaire.
13. J'ai obtenu de mon Fils que les confrères du saint Rosaire aient pour frères en la vie et en la mort les saints du ciel.
14. Ceux qui récitent mon Rosaire sont mes fils bien-aimés, les frères de Jésus-Christ.
15. La dévotion du Rosaire est un signe évident de prédestination.
(*) : Alain de la Roche est né en Bretagne vers 1428. Il devient dominicain à Dinan, dans le diocèse de Saint-Malo. Il voyagera beaucoup, passant par les maisons dominicaines de Paris, de Lille, de Gand en Belgique et de Zwolle aux Pays-Bas, où il meurt en 1475. Il est surtout connu pour le zèle qu'il a déployé en faveur de la dévotion du Rosaire. Son culte n'est pas officiellement confirmé.
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Rosaire et monotonie …?
Ne t'imagine jamais
que ce soit là synonymes inévitables,
Rosaire et monotonie...
Chaque "Réjouis-toi Marie"
peut être unique.
Quand tu salues Notre-Dame,
contemple à chaque fois
une de ses vertus,
une de ses gloires,
une de ses splendeurs...
Et quand tu dis le "Sainte Marie"
n'as-tu pas, au moins,
cinquante souffrances à présenter
à l'auguste mère de Dieu
à la Mère de l'humanité ?
Dom Helder Camara
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Ne t'imagine jamais
que ce soit là synonymes inévitables,
Rosaire et monotonie...
Chaque "Réjouis-toi Marie"
peut être unique.
Quand tu salues Notre-Dame,
contemple à chaque fois
une de ses vertus,
une de ses gloires,
une de ses splendeurs...
Et quand tu dis le "Sainte Marie"
n'as-tu pas, au moins,
cinquante souffrances à présenter
à l'auguste mère de Dieu
à la Mère de l'humanité ?
Dom Helder Camara
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Mystères du Rosaire
Jésus Tu es là !
Jésus, Tu es là! Tu es là, tout près de moi. Je viens Te rencontrer, je viens Te prier. Je viens Te prier en priant Marie... En priant les mystères du Rosaire...
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Mystères du Rosaire
Me voici! Nous voici!
Jésus, nous venons Te prier. Tu es là, dans le tabernacle, Tu es vivant, Tu nous attends car Tu nous aimes. Jésus, nous venons Te prier en priant Marie. En regardant Marie, nous Te regardons, car lorsque nous la prions, lorsque nous la regardons, elle nous tourne vers Toi et nous dit : "Aimez-Le!"
Jésus, Tu es là. Tu nous appelles, nous voici! Nous venons Te prier, nous venons faire ta volonté.
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Jésus, nous venons Te prier. Tu es là, dans le tabernacle, Tu es vivant, Tu nous attends car Tu nous aimes. Jésus, nous venons Te prier en priant Marie. En regardant Marie, nous Te regardons, car lorsque nous la prions, lorsque nous la regardons, elle nous tourne vers Toi et nous dit : "Aimez-Le!"
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
Les Béatitudes
L'Evangile, c'est la Bonne Nouvelle, la Bonne Nouvelle du Salut. La vie du Seigneur se termine sur la Croix, mais, et cela est fondamental, c'est même l'unique raison de notre foi : le Seigneur est ressuscité d'entre les morts. Par sa mort et sa Résurrection, ce que nous appelons le Mystère Pascal, le Seigneur Jésus-Christ a rétabli l'amitié entre l'homme et Dieu. C'est la bonne Nouvelle.
Tout est bonheur dans l'Evangile. C'est tellement vrai que Saint Matthieu commence la présentation de l'enseignement de Jésus, par un chant merveilleux, le chant des Béatitudes. (Matthieu V, 1-12)
"Bienheureux ceux qui ont un coeur de pauvre, le Royaume des cieux est à eux.
"Heureux les doux, ils posséderont la terre.
"Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés.
"Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, ils seront rassasiés.
"Heureux les miséricordieux, ils obtiendront miséricorde.
"Heureux les coeurs purs, ils verront Dieu.
"Heureux les artisans de paix, ils seront appelés fils de Dieu.
"Heureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, le Royaume des cieux est à eux.
"Heureux serez-vous lorsqu'on vous insultera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement contre vous toute sorte de mal, à cause de Moi. Réjouissez-vous alors et soyez dans l'allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux. C'est ainsi, en effet, qu'on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés."
Les Béatitudes, on les trouve tout au long de la vie de Jésus et de tous ceux qui ont aimé Jésus par-dessus tout, et qui l'ont suivi. Les Béatitudes, on les trouve dans la vie de Marie, même aux heures les plus douloureuses de la Passion de Jésus, quand elle se trouvait au pied de la Croix de son Fils mourant.
Si nous cheminons tout au long des mystères du Rosaire, en méditant les Béatitudes que le Seigneur nous a laissées, nous découvrirons très vite que, dans la joie ou dans la peine, la vie de Marie est toujours source de joie pour nous. Source de joie et d'un ineffable bonheur.
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Mystères du Rosaire
Les Béatitudes
L'Evangile, c'est la Bonne Nouvelle, la Bonne Nouvelle du Salut. La vie du Seigneur se termine sur la Croix, mais, et cela est fondamental, c'est même l'unique raison de notre foi : le Seigneur est ressuscité d'entre les morts. Par sa mort et sa Résurrection, ce que nous appelons le Mystère Pascal, le Seigneur Jésus-Christ a rétabli l'amitié entre l'homme et Dieu. C'est la bonne Nouvelle.
Tout est bonheur dans l'Evangile. C'est tellement vrai que Saint Matthieu commence la présentation de l'enseignement de Jésus, par un chant merveilleux, le chant des Béatitudes. (Matthieu V, 1-12)
"Bienheureux ceux qui ont un coeur de pauvre, le Royaume des cieux est à eux.
"Heureux les doux, ils posséderont la terre.
"Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés.
"Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, ils seront rassasiés.
"Heureux les miséricordieux, ils obtiendront miséricorde.
"Heureux les coeurs purs, ils verront Dieu.
"Heureux les artisans de paix, ils seront appelés fils de Dieu.
"Heureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, le Royaume des cieux est à eux.
"Heureux serez-vous lorsqu'on vous insultera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement contre vous toute sorte de mal, à cause de Moi. Réjouissez-vous alors et soyez dans l'allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux. C'est ainsi, en effet, qu'on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés."
Les Béatitudes, on les trouve tout au long de la vie de Jésus et de tous ceux qui ont aimé Jésus par-dessus tout, et qui l'ont suivi. Les Béatitudes, on les trouve dans la vie de Marie, même aux heures les plus douloureuses de la Passion de Jésus, quand elle se trouvait au pied de la Croix de son Fils mourant.
Si nous cheminons tout au long des mystères du Rosaire, en méditant les Béatitudes que le Seigneur nous a laissées, nous découvrirons très vite que, dans la joie ou dans la peine, la vie de Marie est toujours source de joie pour nous. Source de joie et d'un ineffable bonheur.
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
De l'humilité
"Dieu est humble", dit-on parfois. Cette réflexion semble d'abord déconcertante. Comment Dieu Tout-Puissant, Créateur de l'univers, Créateur des êtres visibles et invisibles, comment Dieu, Maître des mondes spirituels et matériels, comment Dieu peut-Il être humble ?
Réfléchissons bien : l'orgueil suppose toujours une comparaison. On se dit à soi-même, ou aux autres : "Je suis vraiment plus intelligent ou meilleur que ceux-ci ?" Ou bien : "J'ai tout de même un jugement plus juste que ce collègue. Je travaille mieux que lui, je fais davantage d'efforts." Ou encore, en bien plus ridicule : "Ma famille est noble, ce n'est pas comme celle de mon voisin... Et nous possédons de jolies maisons. Mon grand-père avait une belle propriété à tel endroit... Ces gens-là ne sont que des descendants de domestiques qui servaient chez mes arrière grands-parents... etc., etc."
L'orgueilleux se compare toujours à quelqu'un qu'il estime inférieur à lui-même. Mais l'orgueil le plus subtil et le plus redoutable est celui qui se compare à Dieu : c'est l'orgueil de Satan : "Non, je suis bien trop grand, bien trop intelligent pour me soumettre, même à Dieu!"
Dieu, Amour car Trinité, Très Sainte Trinité, Dieu ne peut se comparer à personne : seul Il est. Les autres êtres, même les plus parfaits, ne sont que ses créatures, qui n'existent que parce qu'Il l'a voulu. Dieu ne peut être orgueilleux puisqu'Il est le plus grand, le plus puissant, le plus parfait, seul Créateur. Il n'y a personne au-dessus de Lui, car "par Lui tout a été fait." Si l'on se place ainsi, face à la réalité de Dieu, on peut affirmer : "Dieu est humble."
Dieu Lui-même se dit humble. Une des très rares fois où le Christ parla de Lui, ce fut pour dire : "Apprenez de Moi que Je suis doux et humble de Coeur." L'humilité se présente ainsi comme un des attributs de Dieu. Et Dieu désire que l'humilité, attribut essentiel de Dieu Unique, Dieu désire que ses créatures privilégiées en bénéficient.
Lorsque, pour des raisons quelconques on est amené à lire la vie des amis de Dieu, de ceux qui Lui furent le plus proches, comme les saints ou les mystiques, on détecte vite un dénominateur commun qui ne peut manquer d'attirer l'attention : les deux qualités essentielles que Jésus exige de ses saints ou de ceux à qui Il va confier une mission, ce sont l'obéissance absolue aux supérieurs, et l'humilité.
Il n'y a aucune exception à cette règle, comme si elle était la condition sine qua non de la sainteté. En effet, la plus grande des vertus, la véritable charité, sans qui aucune de nos actions n'a de valeur, "Si je n'ai pas la charité, je ne suis rien." dit Saint Paul, (I Cor XIII, 2) la véritable charité doit toujours s'appuyer sur l'obéissance à Dieu accomplie avec un coeur humble.
Il est impossible, lorsqu'on prie le Rosaire, de méditer en même temps sur ces deux vertus telles qu'elles ont été vécues, à la perfection, par Jésus et Marie.
Pour mieux comprendre l'obéissance de Jésus et de Marie, il faut d'abord s'attarder sur leur humilité. Il faut aussi contempler, avec beaucoup d'amour, comment les deux plus grands représentants de la nature humaine : Jésus et Marie, ce couple parfait chargé de réparer les erreurs du couple Adam et Eve, comment Jésus et Marie ont mis en pratique cette vertu éminente : l'humilité qui surpasse toutes les autres vertus, charité mise à part, évidemment.
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Mystères du Rosaire
De l'humilité
"Dieu est humble", dit-on parfois. Cette réflexion semble d'abord déconcertante. Comment Dieu Tout-Puissant, Créateur de l'univers, Créateur des êtres visibles et invisibles, comment Dieu, Maître des mondes spirituels et matériels, comment Dieu peut-Il être humble ?
Réfléchissons bien : l'orgueil suppose toujours une comparaison. On se dit à soi-même, ou aux autres : "Je suis vraiment plus intelligent ou meilleur que ceux-ci ?" Ou bien : "J'ai tout de même un jugement plus juste que ce collègue. Je travaille mieux que lui, je fais davantage d'efforts." Ou encore, en bien plus ridicule : "Ma famille est noble, ce n'est pas comme celle de mon voisin... Et nous possédons de jolies maisons. Mon grand-père avait une belle propriété à tel endroit... Ces gens-là ne sont que des descendants de domestiques qui servaient chez mes arrière grands-parents... etc., etc."
L'orgueilleux se compare toujours à quelqu'un qu'il estime inférieur à lui-même. Mais l'orgueil le plus subtil et le plus redoutable est celui qui se compare à Dieu : c'est l'orgueil de Satan : "Non, je suis bien trop grand, bien trop intelligent pour me soumettre, même à Dieu!"
Dieu, Amour car Trinité, Très Sainte Trinité, Dieu ne peut se comparer à personne : seul Il est. Les autres êtres, même les plus parfaits, ne sont que ses créatures, qui n'existent que parce qu'Il l'a voulu. Dieu ne peut être orgueilleux puisqu'Il est le plus grand, le plus puissant, le plus parfait, seul Créateur. Il n'y a personne au-dessus de Lui, car "par Lui tout a été fait." Si l'on se place ainsi, face à la réalité de Dieu, on peut affirmer : "Dieu est humble."
Dieu Lui-même se dit humble. Une des très rares fois où le Christ parla de Lui, ce fut pour dire : "Apprenez de Moi que Je suis doux et humble de Coeur." L'humilité se présente ainsi comme un des attributs de Dieu. Et Dieu désire que l'humilité, attribut essentiel de Dieu Unique, Dieu désire que ses créatures privilégiées en bénéficient.
Lorsque, pour des raisons quelconques on est amené à lire la vie des amis de Dieu, de ceux qui Lui furent le plus proches, comme les saints ou les mystiques, on détecte vite un dénominateur commun qui ne peut manquer d'attirer l'attention : les deux qualités essentielles que Jésus exige de ses saints ou de ceux à qui Il va confier une mission, ce sont l'obéissance absolue aux supérieurs, et l'humilité.
Il n'y a aucune exception à cette règle, comme si elle était la condition sine qua non de la sainteté. En effet, la plus grande des vertus, la véritable charité, sans qui aucune de nos actions n'a de valeur, "Si je n'ai pas la charité, je ne suis rien." dit Saint Paul, (I Cor XIII, 2) la véritable charité doit toujours s'appuyer sur l'obéissance à Dieu accomplie avec un coeur humble.
Il est impossible, lorsqu'on prie le Rosaire, de méditer en même temps sur ces deux vertus telles qu'elles ont été vécues, à la perfection, par Jésus et Marie.
Pour mieux comprendre l'obéissance de Jésus et de Marie, il faut d'abord s'attarder sur leur humilité. Il faut aussi contempler, avec beaucoup d'amour, comment les deux plus grands représentants de la nature humaine : Jésus et Marie, ce couple parfait chargé de réparer les erreurs du couple Adam et Eve, comment Jésus et Marie ont mis en pratique cette vertu éminente : l'humilité qui surpasse toutes les autres vertus, charité mise à part, évidemment.
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
De l'obéissance
"Jésus s'est fait obéissant jusqu'à la mort, et la mort sur une Croix!", est-il dit dans l'Evangile.
La mort du Sauveur peut nous sembler déconcertante. Comment Jésus, le Fils bien-aimé du Père, le Fils unique du Dieu Tout-Puissant, la Parole de Dieu créatrice de l'univers, comment Jésus, deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, créateur des êtres visibles et invisibles et Maître du monde, comment Jésus, Maître des mondes spirituels et matériels, comment Jésus a-t-Il pu être ainsi obéissant au Père, et obéissant jusqu'à la mort de la Croix ?
Et comment Jésus a-t-il pu imposer l'obéissance, une obéissance parfois héroïque à ceux qui Lui étaient le plus proches, à ceux qu'Il aimait le mieux ?
Réfléchissons bien: l'obéissance suppose d'abord l'humilité. Satan a désobéi par orgueil. Satan ne voulait pas servir, et c'est pour cela qu'il a désobéi. C'est parce qu'il ne voulait pas obéir à Dieu, son Créateur et Maître, que Satan a été chassé du Paradis, c'est-à-dire séparé de l'amitié avec Dieu. Quelques théologiens et des mystiques ont dit aussi que Dieu, dans sa Sagesse, avait décidé de remplir par les hommes, les places laissées vides, dans le Paradis, par Satan et ses suppôts.
Les hommes devaient remplacer les anges déchus. Satan et ses anges ne durent pas être contents... Alors, aveuglé par sa haine, Satan a porté à son comble sa désobéissance orgueilleuse, et, pour se venger de Dieu et L'empêcher de réaliser son dessein d'Amour, il a entraîné l'humanité dans le péché, son péché : la désobéissance et l'orgueil.
L'orgueil de Satan qui se compare à Dieu, c'est le plus subtil et le plus redoutable des péchés : c'est ce que Jésus appellera plus tard le péché contre le Saint Esprit. C'est ce péché qui dit : "Je sais, je vois clair, mais cependant je refuse, en pleine connaissance de cause, je refuse d'obéir à Dieu." Ce péché ne peut pas être pardonné car, de par sa nature, il refuse le pardon. C'est aussi de cet orgueil que naît la haine.
La haine ne peut être réparée que par l'Amour. L'orgueil désobéissant ne peut être réparé que par l'humilité et l'humble obéissance du plus grand des Hommes, du propre Fils de Dieu. Seule cette humble obéissance pouvait sauver l'Homme de l'abîme dans lequel le Menteur l'avait précipité.
Lorsque, pour des raisons quelconques on est amené à lire la vie des amis de Dieu, de ceux qui Lui furent le plus proches, comme les saints ou les mystiques, on détecte vite un dénominateur commun qui les unit et qui ne peut manquer d'attirer l'attention : les deux vertus essentielles que Jésus exige de ses saints ou de ceux à qui Il va confier une mission, ce sont l'obéissance absolue à la volonté de Dieu transmise par les supérieurs, et l'humilité.
Il n'y a aucune exception à cette règle, comme si elle était la condition sine qua non de la sainteté. En effet, on sait que les plus grandes vertus n'ont de valeur que si elles s'exercent dans la charité : "Si je n'ai pas la charité, je ne suis rien." dit Saint Paul. (I Cor XIII, 2) A contrario, la plus grande des vertus, cette véritable charité sans qui aucune de nos actions n'a de valeur, la véritable charité doit toujours s'appuyer sur l'obéissance à Dieu accomplie avec un coeur humble. Seule, en effet, l'obéissance à Dieu accomplie avec humilité et un coeur plein d'amour, peut réparer l'orgueil, la désobéissance et la haine de Satan.
Il est difficile, lorsqu'on prie le Rosaire, de méditer en même temps sur ces deux vertus : l'obéissance et l'humilité, telles qu'elles ont été vécues, à la perfection, par Jésus et par Marie, ce couple parfait chargé de réparer les erreurs du couple Adam et Eve.
Pour mieux comprendre l'obéissance de Jésus et de Marie, nous avons tout d'abord médité sur leur humilité. Nous avons contemplé comment, avec beaucoup d'amour, Jésus et Marie avaient mis en pratique cette vertu éminente : l'humilité, qui surpasse toutes les autres vertus, charité mise à part, évidemment.
Maintenant nous allons méditer sur l'obéissance de Jésus et de Marie. Pour bien comprendre leur obéissance, il faut d'abord se redire que cette obéissance a été vécue par les deux plus grands représentants de l'humanité : Jésus et Marie, qui furent aussi les plus humbles de tous. En effet, il n'y a pas d'obéissance sans humilité, et l'obéissance est la preuve de l'humilité.
Et surtout, il ne faut pas oublier que ces vertus, comme toutes les autres, ont été vécues d'abord, et à la perfection, par Jésus et Marie, dans la charité, c'est-à-dire dans l'amour de Dieu.
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De l'obéissance
"Jésus s'est fait obéissant jusqu'à la mort, et la mort sur une Croix!", est-il dit dans l'Evangile.
La mort du Sauveur peut nous sembler déconcertante. Comment Jésus, le Fils bien-aimé du Père, le Fils unique du Dieu Tout-Puissant, la Parole de Dieu créatrice de l'univers, comment Jésus, deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, créateur des êtres visibles et invisibles et Maître du monde, comment Jésus, Maître des mondes spirituels et matériels, comment Jésus a-t-Il pu être ainsi obéissant au Père, et obéissant jusqu'à la mort de la Croix ?
Et comment Jésus a-t-il pu imposer l'obéissance, une obéissance parfois héroïque à ceux qui Lui étaient le plus proches, à ceux qu'Il aimait le mieux ?
Réfléchissons bien: l'obéissance suppose d'abord l'humilité. Satan a désobéi par orgueil. Satan ne voulait pas servir, et c'est pour cela qu'il a désobéi. C'est parce qu'il ne voulait pas obéir à Dieu, son Créateur et Maître, que Satan a été chassé du Paradis, c'est-à-dire séparé de l'amitié avec Dieu. Quelques théologiens et des mystiques ont dit aussi que Dieu, dans sa Sagesse, avait décidé de remplir par les hommes, les places laissées vides, dans le Paradis, par Satan et ses suppôts.
Les hommes devaient remplacer les anges déchus. Satan et ses anges ne durent pas être contents... Alors, aveuglé par sa haine, Satan a porté à son comble sa désobéissance orgueilleuse, et, pour se venger de Dieu et L'empêcher de réaliser son dessein d'Amour, il a entraîné l'humanité dans le péché, son péché : la désobéissance et l'orgueil.
L'orgueil de Satan qui se compare à Dieu, c'est le plus subtil et le plus redoutable des péchés : c'est ce que Jésus appellera plus tard le péché contre le Saint Esprit. C'est ce péché qui dit : "Je sais, je vois clair, mais cependant je refuse, en pleine connaissance de cause, je refuse d'obéir à Dieu." Ce péché ne peut pas être pardonné car, de par sa nature, il refuse le pardon. C'est aussi de cet orgueil que naît la haine.
La haine ne peut être réparée que par l'Amour. L'orgueil désobéissant ne peut être réparé que par l'humilité et l'humble obéissance du plus grand des Hommes, du propre Fils de Dieu. Seule cette humble obéissance pouvait sauver l'Homme de l'abîme dans lequel le Menteur l'avait précipité.
Lorsque, pour des raisons quelconques on est amené à lire la vie des amis de Dieu, de ceux qui Lui furent le plus proches, comme les saints ou les mystiques, on détecte vite un dénominateur commun qui les unit et qui ne peut manquer d'attirer l'attention : les deux vertus essentielles que Jésus exige de ses saints ou de ceux à qui Il va confier une mission, ce sont l'obéissance absolue à la volonté de Dieu transmise par les supérieurs, et l'humilité.
Il n'y a aucune exception à cette règle, comme si elle était la condition sine qua non de la sainteté. En effet, on sait que les plus grandes vertus n'ont de valeur que si elles s'exercent dans la charité : "Si je n'ai pas la charité, je ne suis rien." dit Saint Paul. (I Cor XIII, 2) A contrario, la plus grande des vertus, cette véritable charité sans qui aucune de nos actions n'a de valeur, la véritable charité doit toujours s'appuyer sur l'obéissance à Dieu accomplie avec un coeur humble. Seule, en effet, l'obéissance à Dieu accomplie avec humilité et un coeur plein d'amour, peut réparer l'orgueil, la désobéissance et la haine de Satan.
Il est difficile, lorsqu'on prie le Rosaire, de méditer en même temps sur ces deux vertus : l'obéissance et l'humilité, telles qu'elles ont été vécues, à la perfection, par Jésus et par Marie, ce couple parfait chargé de réparer les erreurs du couple Adam et Eve.
Pour mieux comprendre l'obéissance de Jésus et de Marie, nous avons tout d'abord médité sur leur humilité. Nous avons contemplé comment, avec beaucoup d'amour, Jésus et Marie avaient mis en pratique cette vertu éminente : l'humilité, qui surpasse toutes les autres vertus, charité mise à part, évidemment.
Maintenant nous allons méditer sur l'obéissance de Jésus et de Marie. Pour bien comprendre leur obéissance, il faut d'abord se redire que cette obéissance a été vécue par les deux plus grands représentants de l'humanité : Jésus et Marie, qui furent aussi les plus humbles de tous. En effet, il n'y a pas d'obéissance sans humilité, et l'obéissance est la preuve de l'humilité.
Et surtout, il ne faut pas oublier que ces vertus, comme toutes les autres, ont été vécues d'abord, et à la perfection, par Jésus et Marie, dans la charité, c'est-à-dire dans l'amour de Dieu.
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
Du sourire
La vie de Jésus fut réellement une vie d'homme, avec ses joies, ses bonheurs, ses peines et ses douleurs. Malgré ses deux natures, sa nature divine et sa nature humaine, Jésus fut vraiment homme comme Il était vrai Dieu. Vrai homme, Jésus a voulu vivre notre vie, avec nous et devenir l'un de nous, au sens plénier du terme.
Jésus a donc connu les sourires et les joies de l'enfance. Il a connu pleinement la sécurité d'une famille pauvre mais unie et pleine d'amour. Il a connu les joies de l'adolescence, sans oublier toutefois qu'Il se savait aux affaires de son Père. Méditer sur le sourire des mystères joyeux est donc relativement facile. Il en sera de même pour les mystères lumineux et les mystères glorieux.
Mystères lumineux, mystères de la Gloire de Jésus qui se manifeste à ses apôtres afin qu'ils croient en Lui. Mystères lumineux, mystères de joie et mystères pleins d'espérance... Quand les apôtres, après la Résurrection et l'Ascension de Jésus se souviendront de ces moments intenses pendant lesquels Dieu bénit son Fils Bien-Aimé, leur coeur se gonflera de joie... Mystères lumineux, sourires de Dieu sur la terre...
Jésus est ressuscité et Jésus va entrer dans sa Gloire. Il est ressuscité et ses amis profitent de l'intense bonheur de sa présence malgré l'inquiétude que provoquent certaines de ses paroles. Jésus entre dans sa Gloire, et bientôt Il viendra chercher Marie, sa Mère devenue Mère de l'Eglise. Le sourire des mystères glorieux est un sourire grave car il est tout entier contenu dans le mystère de Pâques, le mystère de la Rédemption, mais c'est un sourire de paix. C'est aussi un sourire de Gloire.
Le mystère de Pâques, ce mystère de Gloire, achève le mystère de la Rédemption qui est d'abord passé, et passera toujours par la Croix. La Croix de Jésus, ce fut la souffrance intense, ce fut le rejet de beaucoup d'hommes et même de ceux qui s'étaient dits ses amis. La Croix de Jésus, sa Passion, ce furent aussi pour Lui le mépris, l'incompréhension totale de la part des autres hommes, même de ses proches, sauf, bien sûr, de Marie.
La Croix de Jésus, ce fut l'abandon : Jésus fut abandonné de tous, même du Père. Oh! l'abandon du Père, mystère terrible de la nuit obscure, de la détresse suprême et totale. Pourtant, au plus profond de la détresse humaine de Jésus et de sa souffrance absolue, il y eut comme quelques rayons de lumière, comme des sourires de réconfort.
Nous allons méditer ces mystères du Rosaire en contemplant ce qui, tout au long de la vie de notre Sauveur, a pu être comme un sourire de paix et d'Amour de Dieu pour Dieu.
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
Mystères du Rosaire
Du sourire
La vie de Jésus fut réellement une vie d'homme, avec ses joies, ses bonheurs, ses peines et ses douleurs. Malgré ses deux natures, sa nature divine et sa nature humaine, Jésus fut vraiment homme comme Il était vrai Dieu. Vrai homme, Jésus a voulu vivre notre vie, avec nous et devenir l'un de nous, au sens plénier du terme.
Jésus a donc connu les sourires et les joies de l'enfance. Il a connu pleinement la sécurité d'une famille pauvre mais unie et pleine d'amour. Il a connu les joies de l'adolescence, sans oublier toutefois qu'Il se savait aux affaires de son Père. Méditer sur le sourire des mystères joyeux est donc relativement facile. Il en sera de même pour les mystères lumineux et les mystères glorieux.
Mystères lumineux, mystères de la Gloire de Jésus qui se manifeste à ses apôtres afin qu'ils croient en Lui. Mystères lumineux, mystères de joie et mystères pleins d'espérance... Quand les apôtres, après la Résurrection et l'Ascension de Jésus se souviendront de ces moments intenses pendant lesquels Dieu bénit son Fils Bien-Aimé, leur coeur se gonflera de joie... Mystères lumineux, sourires de Dieu sur la terre...
Jésus est ressuscité et Jésus va entrer dans sa Gloire. Il est ressuscité et ses amis profitent de l'intense bonheur de sa présence malgré l'inquiétude que provoquent certaines de ses paroles. Jésus entre dans sa Gloire, et bientôt Il viendra chercher Marie, sa Mère devenue Mère de l'Eglise. Le sourire des mystères glorieux est un sourire grave car il est tout entier contenu dans le mystère de Pâques, le mystère de la Rédemption, mais c'est un sourire de paix. C'est aussi un sourire de Gloire.
Le mystère de Pâques, ce mystère de Gloire, achève le mystère de la Rédemption qui est d'abord passé, et passera toujours par la Croix. La Croix de Jésus, ce fut la souffrance intense, ce fut le rejet de beaucoup d'hommes et même de ceux qui s'étaient dits ses amis. La Croix de Jésus, sa Passion, ce furent aussi pour Lui le mépris, l'incompréhension totale de la part des autres hommes, même de ses proches, sauf, bien sûr, de Marie.
La Croix de Jésus, ce fut l'abandon : Jésus fut abandonné de tous, même du Père. Oh! l'abandon du Père, mystère terrible de la nuit obscure, de la détresse suprême et totale. Pourtant, au plus profond de la détresse humaine de Jésus et de sa souffrance absolue, il y eut comme quelques rayons de lumière, comme des sourires de réconfort.
Nous allons méditer ces mystères du Rosaire en contemplant ce qui, tout au long de la vie de notre Sauveur, a pu être comme un sourire de paix et d'Amour de Dieu pour Dieu.
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
Du silence
Le silence dit Dieu... Le silence raconte Dieu. Dieu est dans le silence. Dieu se trouve dans le silence...
Le silence! Notre monde agité et bruyant ne connaît plus le silence, le silence de Dieu, le silence qui seul construit.
Dieu agit dans le silence. Dieu crée en silence. Et c'est toujours dans le silence que Dieu nous parle.
Dieu est Silence... Quand Dieu vient sur la terre, quand Dieu vient parmi les hommes, Il ne vient pas dans une grande ville grouillante d'activités, Il ne vient pas à une époque où les guerres font rage, Il ne vient pas dans notre siècle envahi par la radio, la télévision, le téléphone, internet, les communications de toutes sortes, il ne vient pas dans notre monde où le bruit est roi, où le mensonge semble régner en maître. Non, Dieu vient là où il y a du silence.
Dieu ne travaille pas dans le bruit. Dieu aime le silence et la paix. Quand Dieu visita la terre, Il vint quand la paix s'était établie sur la terre : certes, c'était la Paix Romaine, mais c'était la Paix voulue par Dieu, c'était la Paix de Dieu.
Quand Dieu visita la terre, Il vint parmi les pauvres, ceux qui ne font pas de bruit... Quand Dieu visita la terre, Il naquit dans un petit pays, dans un petit village, Bethléem, et Il vint habiter dans la plus simple des bourgades, Il habita à Nazareth.
Pendant trente ans Jésus se tut. Pendant trente le monde ignora que le Messie était là, Dieu parmi les hommes, Dieu au milieu de nous, Dieu Emmanuel.
Jésus naquit dans le silence. Jésus vécut dans le silence. Jésus se taisait quand on Le torturait. Et Jésus mourut sur la Croix, en silence. Seul un grand cri nous informa que Dieu quittait la terre, que Dieu quittait ce monde...
Le silence dit Dieu. Tous ceux qui, sur terre, entourèrent Jésus de très près, tous se taisaient... Marie et Joseph conservaient et méditaient ces choses dans leur cœur.
Nous aussi, avec Marie, avec Joseph, en silence, nous allons méditer la vie de Jésus. En silence nous adorerons le Seigneur. En silence nous suivrons Jésus à Bethléem, à Nazareth, durant sa vie publique. En silence nous suivrons Jésus au long de sa Passion. Et nous contemplerons les merveilles de sa résurrection et de sa vie de Ressuscité.
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Du silence
Le silence dit Dieu... Le silence raconte Dieu. Dieu est dans le silence. Dieu se trouve dans le silence...
Le silence! Notre monde agité et bruyant ne connaît plus le silence, le silence de Dieu, le silence qui seul construit.
Dieu agit dans le silence. Dieu crée en silence. Et c'est toujours dans le silence que Dieu nous parle.
Dieu est Silence... Quand Dieu vient sur la terre, quand Dieu vient parmi les hommes, Il ne vient pas dans une grande ville grouillante d'activités, Il ne vient pas à une époque où les guerres font rage, Il ne vient pas dans notre siècle envahi par la radio, la télévision, le téléphone, internet, les communications de toutes sortes, il ne vient pas dans notre monde où le bruit est roi, où le mensonge semble régner en maître. Non, Dieu vient là où il y a du silence.
Dieu ne travaille pas dans le bruit. Dieu aime le silence et la paix. Quand Dieu visita la terre, Il vint quand la paix s'était établie sur la terre : certes, c'était la Paix Romaine, mais c'était la Paix voulue par Dieu, c'était la Paix de Dieu.
Quand Dieu visita la terre, Il vint parmi les pauvres, ceux qui ne font pas de bruit... Quand Dieu visita la terre, Il naquit dans un petit pays, dans un petit village, Bethléem, et Il vint habiter dans la plus simple des bourgades, Il habita à Nazareth.
Pendant trente ans Jésus se tut. Pendant trente le monde ignora que le Messie était là, Dieu parmi les hommes, Dieu au milieu de nous, Dieu Emmanuel.
Jésus naquit dans le silence. Jésus vécut dans le silence. Jésus se taisait quand on Le torturait. Et Jésus mourut sur la Croix, en silence. Seul un grand cri nous informa que Dieu quittait la terre, que Dieu quittait ce monde...
Le silence dit Dieu. Tous ceux qui, sur terre, entourèrent Jésus de très près, tous se taisaient... Marie et Joseph conservaient et méditaient ces choses dans leur cœur.
Nous aussi, avec Marie, avec Joseph, en silence, nous allons méditer la vie de Jésus. En silence nous adorerons le Seigneur. En silence nous suivrons Jésus à Bethléem, à Nazareth, durant sa vie publique. En silence nous suivrons Jésus au long de sa Passion. Et nous contemplerons les merveilles de sa résurrection et de sa vie de Ressuscité.
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
Du Jeudi Saint
La récitation du Rosaire pendant la nuit du Jeudi Saint n'est pas chose facile. Comment méditer les mystères joyeux ou glorieux tandis que la Passion est déjà commencée ? En réalité, si l'on y réfléchit bien, la Passion de Jésus et de ses proches parents commence dès l'Annonciation. Pour le comprendre, il suffit de se laisser saisir par le Christ.
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Mystères du Rosaire
Du Jeudi Saint
La récitation du Rosaire pendant la nuit du Jeudi Saint n'est pas chose facile. Comment méditer les mystères joyeux ou glorieux tandis que la Passion est déjà commencée ? En réalité, si l'on y réfléchit bien, la Passion de Jésus et de ses proches parents commence dès l'Annonciation. Pour le comprendre, il suffit de se laisser saisir par le Christ.
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l43275- Combat l'antechrist
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
De la Croix
La Croix, c'est la souffrance à son paroxysme. La Croix, c'est l'horreur absolue. Mais la Croix de Jésus, c'est aussi notre salut.
C'est grâce à la Croix que les hommes, délivrés du péché et de la mort peuvent retrouver leur Créateur et vivre de nouveau dans son Amour et dans son Coeur, le Coeur de Dieu.
C'est grâce à la Passion du Christ et à sa Croix que Dieu, Dieu-Amour, pourra de nouveau trouver ses délices dans la compagnie des hommes réconciliés avec Dieu, et des enfants des hommes.
Jésus-Christ, c'est Dieu fait Homme. Jésus se présentera Lui-même comme le Fils de l'Homme, c'est-à-dire, selon la foi juive, Fils d'Adam et Fils de Dieu. Et, au début de sa Passion, devant les badauds qui voulaient voir et entendre, et peut-être assister à du spectaculaire, la voix du grand-prêtre se fit entendre : "Tu es donc le Fils de Dieu ?" Et Jésus répondit clairement, et enfin, révéla publiquement sa divinité : "Tu l'as dit. Et Je vous le déclare, désormais vous verrez le Fils de l'Homme assis sur les nuées du ciel, à la droite du Tout-Puissant." (Matthieu XXVI 63-64)
Les souffrances visibles du Seigneur Jésus n'ont commencé qu'à partir de sa naissance, le jour de sa Nativité. Mais la passion de ses proches, de ceux qui, choisis par le Père, auront la charge de veiller sur Lui pendant toute sa vie cachée, la passion des parents terrestres de Jésus a commencé dès l'instant de sa conception, dès l'Annonciation. L'instant de l'Incarnation, c'est le début de la passion de Marie et de Joseph, c'est donc aussi le début de la Passion du Christ.
Le Rosaire, c'est la prière des pauvres, la prière de ceux qui aiment méditer la vie du Seigneur et vivre son chemin avec Lui. Le chemin de Jésus fut un chemin d'amour mais aussi de douleur. Et dès que l'on médite la vie de Jésus, on trouve la Croix.
On trouve la Croix dans les mystères joyeux. On la trouvera aussi dans les mystères lumineux et glorieux ; oui, même dans les mystères glorieux car, paradoxalement, chaque fois que les disciples croiront avoir enfin retrouvé Jésus, c'est à cet instant précis qu'Il disparaîtra...
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De la Croix
La Croix, c'est la souffrance à son paroxysme. La Croix, c'est l'horreur absolue. Mais la Croix de Jésus, c'est aussi notre salut.
C'est grâce à la Croix que les hommes, délivrés du péché et de la mort peuvent retrouver leur Créateur et vivre de nouveau dans son Amour et dans son Coeur, le Coeur de Dieu.
C'est grâce à la Passion du Christ et à sa Croix que Dieu, Dieu-Amour, pourra de nouveau trouver ses délices dans la compagnie des hommes réconciliés avec Dieu, et des enfants des hommes.
Jésus-Christ, c'est Dieu fait Homme. Jésus se présentera Lui-même comme le Fils de l'Homme, c'est-à-dire, selon la foi juive, Fils d'Adam et Fils de Dieu. Et, au début de sa Passion, devant les badauds qui voulaient voir et entendre, et peut-être assister à du spectaculaire, la voix du grand-prêtre se fit entendre : "Tu es donc le Fils de Dieu ?" Et Jésus répondit clairement, et enfin, révéla publiquement sa divinité : "Tu l'as dit. Et Je vous le déclare, désormais vous verrez le Fils de l'Homme assis sur les nuées du ciel, à la droite du Tout-Puissant." (Matthieu XXVI 63-64)
Les souffrances visibles du Seigneur Jésus n'ont commencé qu'à partir de sa naissance, le jour de sa Nativité. Mais la passion de ses proches, de ceux qui, choisis par le Père, auront la charge de veiller sur Lui pendant toute sa vie cachée, la passion des parents terrestres de Jésus a commencé dès l'instant de sa conception, dès l'Annonciation. L'instant de l'Incarnation, c'est le début de la passion de Marie et de Joseph, c'est donc aussi le début de la Passion du Christ.
Le Rosaire, c'est la prière des pauvres, la prière de ceux qui aiment méditer la vie du Seigneur et vivre son chemin avec Lui. Le chemin de Jésus fut un chemin d'amour mais aussi de douleur. Et dès que l'on médite la vie de Jésus, on trouve la Croix.
On trouve la Croix dans les mystères joyeux. On la trouvera aussi dans les mystères lumineux et glorieux ; oui, même dans les mystères glorieux car, paradoxalement, chaque fois que les disciples croiront avoir enfin retrouvé Jésus, c'est à cet instant précis qu'Il disparaîtra...
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
Sur les chemins de la Vie... avec Marie
Mystères du Rosaire
Du pardon
Les chrétiens méditent de plus en plus souvent les mystères du Rosaire, lesquels ne sont, en fait, que les mystères de la vie de Jésus. Les chrétiens "vivent" les mystères du Rosaire, généralement à partir des thèmes qui parlent davantage à leur coeur, à un moment donné de leur vie. Ceux qui prient le Rosaire méditent souvent les mystères douloureux et ils sont parfois émus jusqu'au plus profond d'eux-mêmes à l'évocation des souffrances de Jésus. Mais ils ne pensent pas toujours à demander pardon.
On ne pense pas à demander pardon au Père que l'homme blessa profondément en refusant son Amour, et en cassant, en quelque sorte, les plans qu'Il avait basés sur l'homme pour construire le Corps mystique de son Fils. Mais Dieu, pour réparer l'offense, et rétablir l'Homme dans sa dignité brisée, envoya son Fils et désira qu'Il s'incarnât dans un corps d'homme pour qu'il vive comme un homme.
On ne pense pas à demander pardon à Jésus qui, prenant notre nature humaine, la prit avec toutes ses contraintes, ses contingences, ses souffrances et ses faiblesses. Ainsi, à cause de nous, Jésus eut froid, eut faim et soif, et fut tenté comme nous par l'être infâme, cause de tout le mal. Jésus fut incompris, méconnu, méprisé et insulté par ceux-là mêmes qu'Il venait sauver et qui aurait dû l'accueillir avec vénération.
On ne pense pas à demander pardon à Jésus qui, pour accomplir parfaitement l'œuvre de notre Rédemption, se soumit en tout à la volonté du Père, "et se fit obéissant jusqu'à la mort, et la mort sur une croix." On ne pense pas à demander pardon à Jésus qui, en plus de souffrir sa Passion, dut subir l'atroce souffrance de l'abandon du Père, et connaître ainsi, Lui l'Innocent, la peine du Dam qui, on le sait, est la peine la plus terrible de l'Enfer.
On ne pense pas à demander pardon à Jésus, mais on ne pense pas non plus à demander pardon à tous ceux qui, de par la volonté de Dieu, et à cause de leur sainteté, furent étroitement associés à la vie de Jésus : Marie, Joseph, Élisabeth et Zacharie, et plus tard les saintes femmes, Jean, Simon de Cyrène, le soldat romain qui perça le Cœur de Jésus et professa ensuite la divinité de Celui qui mourait, et Nicodème et Joseph d'Arimathie. Tous ces gens, proches ou mêlés de très près à la vie de Jésus et à sa Passion, ont connu les souffrances du Rédempteur. En effet, si certains n'ont été associés à la Passion que d'une manière lointaine : tels Joseph, Élisabeth ou Zacharie, tous les autres ont été, soit des spectateurs directs de la Passion, passifs ou brisés dans leur cœur, soit même des acteurs plus ou moins volontaires. A eux tous nous demandons pardon.
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Mystères du Rosaire
Du pardon
Les chrétiens méditent de plus en plus souvent les mystères du Rosaire, lesquels ne sont, en fait, que les mystères de la vie de Jésus. Les chrétiens "vivent" les mystères du Rosaire, généralement à partir des thèmes qui parlent davantage à leur coeur, à un moment donné de leur vie. Ceux qui prient le Rosaire méditent souvent les mystères douloureux et ils sont parfois émus jusqu'au plus profond d'eux-mêmes à l'évocation des souffrances de Jésus. Mais ils ne pensent pas toujours à demander pardon.
On ne pense pas à demander pardon au Père que l'homme blessa profondément en refusant son Amour, et en cassant, en quelque sorte, les plans qu'Il avait basés sur l'homme pour construire le Corps mystique de son Fils. Mais Dieu, pour réparer l'offense, et rétablir l'Homme dans sa dignité brisée, envoya son Fils et désira qu'Il s'incarnât dans un corps d'homme pour qu'il vive comme un homme.
On ne pense pas à demander pardon à Jésus qui, prenant notre nature humaine, la prit avec toutes ses contraintes, ses contingences, ses souffrances et ses faiblesses. Ainsi, à cause de nous, Jésus eut froid, eut faim et soif, et fut tenté comme nous par l'être infâme, cause de tout le mal. Jésus fut incompris, méconnu, méprisé et insulté par ceux-là mêmes qu'Il venait sauver et qui aurait dû l'accueillir avec vénération.
On ne pense pas à demander pardon à Jésus qui, pour accomplir parfaitement l'œuvre de notre Rédemption, se soumit en tout à la volonté du Père, "et se fit obéissant jusqu'à la mort, et la mort sur une croix." On ne pense pas à demander pardon à Jésus qui, en plus de souffrir sa Passion, dut subir l'atroce souffrance de l'abandon du Père, et connaître ainsi, Lui l'Innocent, la peine du Dam qui, on le sait, est la peine la plus terrible de l'Enfer.
On ne pense pas à demander pardon à Jésus, mais on ne pense pas non plus à demander pardon à tous ceux qui, de par la volonté de Dieu, et à cause de leur sainteté, furent étroitement associés à la vie de Jésus : Marie, Joseph, Élisabeth et Zacharie, et plus tard les saintes femmes, Jean, Simon de Cyrène, le soldat romain qui perça le Cœur de Jésus et professa ensuite la divinité de Celui qui mourait, et Nicodème et Joseph d'Arimathie. Tous ces gens, proches ou mêlés de très près à la vie de Jésus et à sa Passion, ont connu les souffrances du Rédempteur. En effet, si certains n'ont été associés à la Passion que d'une manière lointaine : tels Joseph, Élisabeth ou Zacharie, tous les autres ont été, soit des spectateurs directs de la Passion, passifs ou brisés dans leur cœur, soit même des acteurs plus ou moins volontaires. A eux tous nous demandons pardon.
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
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Re: Octobre le mois du Saint Rosaire
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Mystères du Rosaire
Du Mystère Pascal
Le Mystère Pascal, c'est le Mystère de la mort et de la Résurrection du Seigneur. Le Mystère Pascal c'est le fondement du Christianisme. "Si le Christ n'est pas ressuscité, dit Saint Paul, ma foi est vaine, et je suis le plus malheureux de tous les hommes." Si le Christ n'est pas ressuscité, le Christianisme n'est plus possible, car sa seule raison d'être, c'est la Résurrection de Jésus.
Si le Christ n'est pas ressuscité, les chrétiens ne peuvent pas exister, car la foi des chrétiens c'est d'abord la Résurrection du Christ. Le chrétien croit en Dieu, créateur du ciel et de la terre. Le chrétien croit en Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu... conçu du Saint-Esprit... Le chrétien croit en Jésus-Christ qui a souffert sous Ponce Pilate, est mort, et est ressuscité... Le chrétien croit aussi au Saint-Esprit.
Comme on le voit, le Mystère Pascal, Mystère de Jésus, mort et ressuscité, est au centre de la foi des chrétiens. Le Christ est un personnage historique, cela personne ne peut le nier. Jésus n'est pas un mythe, Il a vraiment existé, Il a vécu homme parmi les hommes. Ses contemporains ont pu Le voir, L'entendre, Le toucher. Ils ont mangé avec Lui, ont vécu avec Lui. Ils ont entendu ses enseignements et ont admiré sa sagesse. Et Jésus est mort, sur la Croix. Les témoins furent nombreux à s'assurer que Jésus était bien mort. Puis Jésus fut déposé et laissé dans un tombeau, pendant trois jours. Cela, c'est historique, et personne ne peut le nier.
La vie de Jésus au milieu des hommes est un fait historique. Sa Résurrection aussi. Des centaines d'hommes ont revu Jésus vivant après sa mort, et nombreux furent les martyrs qui moururent pour attester la véracité de la Résurrection.
La méditation des mystères du Rosaire, c'est véritablement une méditation de la vie de Jésus. Et méditer les Mystères de la vie de Jésus, c'est, à chaque fois, se replonger dans le Mystère Pascal.
La méditation des Mystères du Rosaire nous plonge à chaque instant dans le Mystère Pascal, Mystère de la mort et de la Résurrection du Seigneur. Et le Mystère Pascal est présent à chaque étape de la vie du Sauveur, car le Mystère Pascal, c'est, à chaque instant, la victoire de la vie sur la mort.
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Mystères du Rosaire
Du Mystère Pascal
Le Mystère Pascal, c'est le Mystère de la mort et de la Résurrection du Seigneur. Le Mystère Pascal c'est le fondement du Christianisme. "Si le Christ n'est pas ressuscité, dit Saint Paul, ma foi est vaine, et je suis le plus malheureux de tous les hommes." Si le Christ n'est pas ressuscité, le Christianisme n'est plus possible, car sa seule raison d'être, c'est la Résurrection de Jésus.
Si le Christ n'est pas ressuscité, les chrétiens ne peuvent pas exister, car la foi des chrétiens c'est d'abord la Résurrection du Christ. Le chrétien croit en Dieu, créateur du ciel et de la terre. Le chrétien croit en Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu... conçu du Saint-Esprit... Le chrétien croit en Jésus-Christ qui a souffert sous Ponce Pilate, est mort, et est ressuscité... Le chrétien croit aussi au Saint-Esprit.
Comme on le voit, le Mystère Pascal, Mystère de Jésus, mort et ressuscité, est au centre de la foi des chrétiens. Le Christ est un personnage historique, cela personne ne peut le nier. Jésus n'est pas un mythe, Il a vraiment existé, Il a vécu homme parmi les hommes. Ses contemporains ont pu Le voir, L'entendre, Le toucher. Ils ont mangé avec Lui, ont vécu avec Lui. Ils ont entendu ses enseignements et ont admiré sa sagesse. Et Jésus est mort, sur la Croix. Les témoins furent nombreux à s'assurer que Jésus était bien mort. Puis Jésus fut déposé et laissé dans un tombeau, pendant trois jours. Cela, c'est historique, et personne ne peut le nier.
La vie de Jésus au milieu des hommes est un fait historique. Sa Résurrection aussi. Des centaines d'hommes ont revu Jésus vivant après sa mort, et nombreux furent les martyrs qui moururent pour attester la véracité de la Résurrection.
La méditation des mystères du Rosaire, c'est véritablement une méditation de la vie de Jésus. Et méditer les Mystères de la vie de Jésus, c'est, à chaque fois, se replonger dans le Mystère Pascal.
La méditation des Mystères du Rosaire nous plonge à chaque instant dans le Mystère Pascal, Mystère de la mort et de la Résurrection du Seigneur. Et le Mystère Pascal est présent à chaque étape de la vie du Sauveur, car le Mystère Pascal, c'est, à chaque instant, la victoire de la vie sur la mort.
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