Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal (Fille du Oui).
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Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal (Fille du Oui).
Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal, car le mal engendre le mal
Message du Ciel donné à la Fille du Oui à Jésus - Volume 2 - n°133 – 2 juin 2001
Marie : Gardez-vous unis en mon Fils. Ma fille, voici le temps où tout ne sera que pour l’amour. L’amour d’une maman est si tendre! Mes enfants que j’aime, aimez votre Maman du Ciel. Il est si bon d’être aimé par ses enfants! Vous qui dites m’aimer, aimez-vous, mes enfants.
Une mère ne peut voir ses enfants en désaccord. Je suis si aimante! Tout enfant sur cette terre est lié par l’Amour. Vous êtes tous des êtres d’amour. Vous venez tous de mon Fils. Si un seul d’entre vous n’aime pas son prochain, il coupe la chaîne d’amour qui vous attache les uns aux autres. Mon Cœur de Mère se déchire. Il pleure sur votre geste d’indifférence.
Lorsque vous parlez contre un enfant, vous lui nuisez et vous vous nuisez. Même si vous ne pouvez voir la souffrance que vous causez à ceux que vous portez en vous, elle est quand même là. Ces enfants sont présents en vous. Ils vivent, par Jésus, en vous. Attention, mes enfants, vos paroles porteront des conséquences.
Lorsque vous parlez en mal, vous faites le mal. Le mal est en vous. Vous vous causez du mal et vous faites naître en vous une douleur. Cette douleur, c’est vous qui la portez; votre corps, mes enfants, en subit les conséquences. Vous ne pouvez continuer à nuire à votre être.
Lorsque vous ne pouvez connaître la source de votre douleur, demandez-vous si cela a été causé par votre ignorance face à l’amour de votre prochain. Il y a si longtemps, mes enfants, que vous vous faites du mal.
-- Les maladies prolifèrent.
-- Vos vies sont en souffrance.
-- Vos enfants viennent au monde avec des maladies.
Mes enfants d’amour, ce sont des péchés véhiculés par vous, par vos parents et par vos grands-parents.
Vous ne cessez de vous faire du mal en nuisant à votre intérieur. Cela se fait lorsque vous nuisez à votre prochain qui est en votre intérieur. Votre corps, mes enfants, en porte les marques. Ce sont vos péchés. Ils marquent vos vies. Et vous, mes tout petits, vous pleurez en constatant vos maladies. Vous voyez mourir vos propres enfants. Moi, votre Mère, je vous regarde et mon Cœur, mes enfants, il est dans la douleur. Je suis une maman qui vous parle avec son cœur. Je vous supplie de vous aimer, d’arrêter de vous faire du mal entre vous.
Mes enfants, comme il est triste de voir ces enfants se détruire! Venez dans mon Cœur, j’ai en moi l’Amour. Je veux vous protéger contre vous-mêmes : vous êtes si fragiles. L’ennemi vous a dans ses filets et il ne cesse de nuire à votre vie. Il attaque non seulement votre corps, mais votre âme. Il veut votre mort. Venez dans mon Cœur, là, dans mon refuge, à l’abri de ses attaques. Je vis, mes enfants, en mon Fils. Mon Cœur est lié à celui de l’Amour. Je vous aime tendrement.
Mes enfants, avez-vous déjà lu dans la sainte Bible le passage qui vous décrit le geste de Pierre? À cause de sa peur, d’un coup d’épée, il trancha l’oreille d’un de ceux qui venaient arrêter mon Fils Jésus.
Ce n’est pas par la violence qu’il faut réagir. Regardez votre Dieu qui fit un miracle en lui guérissant l’oreille. Il n’accepta pas le geste de Pierre. Il le mit en garde contre toute violence en disant : «Celui qui se sert du glaive périra par le glaive.»
Mon Fils signala par ce geste que tous ceux qui se serviraient de gestes violents contre leur prochain souffriraient; ils connaîtraient à leur tour la violence.
Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal, car le mal engendre le mal. Tout geste contre l’amour ne peut vous rendre heureux, il vous rend malheureux. Lorsqu’un enfant parle contre son prochain, ce qu’il dit sort de lui. Alors, il n’est pas heureux. S’il sème le trouble, il récoltera le trouble; alors, il ne pourra pas être en paix en lui. Parce qu’il a fait du mal à son prochain pour un rien,
-- il devient triste, inquiet, taciturne.
-- Il perd l’espoir de vivre dans le calme, car il est trop pris par son problème qui a pris la place du bien en lui.
-- Il vit dans l’angoisse.
-- Ses jours ne sont pas égayés par des paroles d’amour.
-- Il en vient à ne plus être capable de penser aux autres sans émettre un commentaire désobligeant.
-- Il ne sait plus pourquoi il a toutes ces pensées, il ne se sent pas bien en lui.
-- Tous ceux qui sont autour de lui ressentent sa tension; ils deviennent, eux aussi, comme lui.
-- Leurs conversations ciblent leur prochain.
-- Sa vie est sans amour.
-- Il n’est plus capable de donner gratuitement; s’il donne, il attend en retour.
-- S’il n’a pas reçu, il n’oubliera pas, il gardera en lui sa déception, ce qui lui fera penser de ne plus redonner.
-- Pour lui, tout n’est que retour : œil pour œil, dent pour dent.
-- Il exige des autres ce qu’il exige de lui-même.
-- Il ne croit plus au bonheur où tout ne sera que joie, paix et bonheur éternel.
-- Sa vie est devenue sans joie. Son mal, en lui, a fait de sa vie une vie compliquée.
-- Sa santé est d’autant plus compliquée : il digère difficilement, ou il développe des allergies, ou son être ne se défend plus contre les petites maladies.
-- Il a un sommeil agité. Il vieillit sans qu’il ait de l’humour et de la joie.
-- À la moindre contrariété, il devient si malheureux qu’il n’a plus le goût de vivre.
-- Les maladies graves le guettent et, lorsque son corps est malade, il crie à l’injustice.
-- Il ne s’est pas aperçu que tout a commencé au moment où il a donné, en lui, la place au mal car, en lui, l’amour a disparu.
Lui qui n’était né que pour l’amour, à cause du mal qu’il s’est lui même donné, son être connaîtra la maladie physique et mentale.
Ce mal est un geste d’indifférence envers vous-mêmes. Mes enfants, c’est que vous ne vous aimez pas.
-- Entre vous, vous vous insultez,
-- vous vous critiquez,
-- vous manquez de charité, v
-- vous êtes sans amour pour votre époux,
-- votre épouse et vos enfants.
-- Vous êtes sans confiance envers vos parents.
-- Vous êtes seuls à cause de votre indépendance face à votre prochain.
-- Vous êtes dans une impasse qui vous empêche d’avancer vers l’Amour. C’est votre tribut. Tout ce que vous faites ou dites de mal contre votre prochain, tel un boomerang, c’est vers vous que ça revient.
Mes enfants, vous êtes tous égaux. Vous avez tous le même Amour en vous : c’est mon Fils. Il vit en vous. Qu’un seul d’entre vous se détache des autres, il se crée une séparation douloureuse pour mon Fils et moi. Mes enfants, la séparation qui est causée par vos péchés contre votre prochain produit une souffrance en vous. Tous mes enfants en souffrent. Si un seul se fait du mal, les autres s’en ressentent.
Voyez, mes enfants, combien il est important de vous aimer les uns les autres. Je vous aime, moi, votre douce Maman. Vous êtes mes enfants. Je ne puis avoir de préférence pour un tel ou un tel, je vous porte tous en mon Cœur. Mon Cœur est maternel. Mes enfants, aimez-vous. Aimez l’Amour. Je suis la Maman de l’Amour.
(apparitions mariales)
Message du Ciel donné à la Fille du Oui à Jésus - Volume 2 - n°133 – 2 juin 2001
Marie : Gardez-vous unis en mon Fils. Ma fille, voici le temps où tout ne sera que pour l’amour. L’amour d’une maman est si tendre! Mes enfants que j’aime, aimez votre Maman du Ciel. Il est si bon d’être aimé par ses enfants! Vous qui dites m’aimer, aimez-vous, mes enfants.
Une mère ne peut voir ses enfants en désaccord. Je suis si aimante! Tout enfant sur cette terre est lié par l’Amour. Vous êtes tous des êtres d’amour. Vous venez tous de mon Fils. Si un seul d’entre vous n’aime pas son prochain, il coupe la chaîne d’amour qui vous attache les uns aux autres. Mon Cœur de Mère se déchire. Il pleure sur votre geste d’indifférence.
Lorsque vous parlez contre un enfant, vous lui nuisez et vous vous nuisez. Même si vous ne pouvez voir la souffrance que vous causez à ceux que vous portez en vous, elle est quand même là. Ces enfants sont présents en vous. Ils vivent, par Jésus, en vous. Attention, mes enfants, vos paroles porteront des conséquences.
Lorsque vous parlez en mal, vous faites le mal. Le mal est en vous. Vous vous causez du mal et vous faites naître en vous une douleur. Cette douleur, c’est vous qui la portez; votre corps, mes enfants, en subit les conséquences. Vous ne pouvez continuer à nuire à votre être.
Lorsque vous ne pouvez connaître la source de votre douleur, demandez-vous si cela a été causé par votre ignorance face à l’amour de votre prochain. Il y a si longtemps, mes enfants, que vous vous faites du mal.
-- Les maladies prolifèrent.
-- Vos vies sont en souffrance.
-- Vos enfants viennent au monde avec des maladies.
Mes enfants d’amour, ce sont des péchés véhiculés par vous, par vos parents et par vos grands-parents.
Vous ne cessez de vous faire du mal en nuisant à votre intérieur. Cela se fait lorsque vous nuisez à votre prochain qui est en votre intérieur. Votre corps, mes enfants, en porte les marques. Ce sont vos péchés. Ils marquent vos vies. Et vous, mes tout petits, vous pleurez en constatant vos maladies. Vous voyez mourir vos propres enfants. Moi, votre Mère, je vous regarde et mon Cœur, mes enfants, il est dans la douleur. Je suis une maman qui vous parle avec son cœur. Je vous supplie de vous aimer, d’arrêter de vous faire du mal entre vous.
Mes enfants, comme il est triste de voir ces enfants se détruire! Venez dans mon Cœur, j’ai en moi l’Amour. Je veux vous protéger contre vous-mêmes : vous êtes si fragiles. L’ennemi vous a dans ses filets et il ne cesse de nuire à votre vie. Il attaque non seulement votre corps, mais votre âme. Il veut votre mort. Venez dans mon Cœur, là, dans mon refuge, à l’abri de ses attaques. Je vis, mes enfants, en mon Fils. Mon Cœur est lié à celui de l’Amour. Je vous aime tendrement.
Mes enfants, avez-vous déjà lu dans la sainte Bible le passage qui vous décrit le geste de Pierre? À cause de sa peur, d’un coup d’épée, il trancha l’oreille d’un de ceux qui venaient arrêter mon Fils Jésus.
Ce n’est pas par la violence qu’il faut réagir. Regardez votre Dieu qui fit un miracle en lui guérissant l’oreille. Il n’accepta pas le geste de Pierre. Il le mit en garde contre toute violence en disant : «Celui qui se sert du glaive périra par le glaive.»
Mon Fils signala par ce geste que tous ceux qui se serviraient de gestes violents contre leur prochain souffriraient; ils connaîtraient à leur tour la violence.
Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal, car le mal engendre le mal. Tout geste contre l’amour ne peut vous rendre heureux, il vous rend malheureux. Lorsqu’un enfant parle contre son prochain, ce qu’il dit sort de lui. Alors, il n’est pas heureux. S’il sème le trouble, il récoltera le trouble; alors, il ne pourra pas être en paix en lui. Parce qu’il a fait du mal à son prochain pour un rien,
-- il devient triste, inquiet, taciturne.
-- Il perd l’espoir de vivre dans le calme, car il est trop pris par son problème qui a pris la place du bien en lui.
-- Il vit dans l’angoisse.
-- Ses jours ne sont pas égayés par des paroles d’amour.
-- Il en vient à ne plus être capable de penser aux autres sans émettre un commentaire désobligeant.
-- Il ne sait plus pourquoi il a toutes ces pensées, il ne se sent pas bien en lui.
-- Tous ceux qui sont autour de lui ressentent sa tension; ils deviennent, eux aussi, comme lui.
-- Leurs conversations ciblent leur prochain.
-- Sa vie est sans amour.
-- Il n’est plus capable de donner gratuitement; s’il donne, il attend en retour.
-- S’il n’a pas reçu, il n’oubliera pas, il gardera en lui sa déception, ce qui lui fera penser de ne plus redonner.
-- Pour lui, tout n’est que retour : œil pour œil, dent pour dent.
-- Il exige des autres ce qu’il exige de lui-même.
-- Il ne croit plus au bonheur où tout ne sera que joie, paix et bonheur éternel.
-- Sa vie est devenue sans joie. Son mal, en lui, a fait de sa vie une vie compliquée.
-- Sa santé est d’autant plus compliquée : il digère difficilement, ou il développe des allergies, ou son être ne se défend plus contre les petites maladies.
-- Il a un sommeil agité. Il vieillit sans qu’il ait de l’humour et de la joie.
-- À la moindre contrariété, il devient si malheureux qu’il n’a plus le goût de vivre.
-- Les maladies graves le guettent et, lorsque son corps est malade, il crie à l’injustice.
-- Il ne s’est pas aperçu que tout a commencé au moment où il a donné, en lui, la place au mal car, en lui, l’amour a disparu.
Lui qui n’était né que pour l’amour, à cause du mal qu’il s’est lui même donné, son être connaîtra la maladie physique et mentale.
Ce mal est un geste d’indifférence envers vous-mêmes. Mes enfants, c’est que vous ne vous aimez pas.
-- Entre vous, vous vous insultez,
-- vous vous critiquez,
-- vous manquez de charité, v
-- vous êtes sans amour pour votre époux,
-- votre épouse et vos enfants.
-- Vous êtes sans confiance envers vos parents.
-- Vous êtes seuls à cause de votre indépendance face à votre prochain.
-- Vous êtes dans une impasse qui vous empêche d’avancer vers l’Amour. C’est votre tribut. Tout ce que vous faites ou dites de mal contre votre prochain, tel un boomerang, c’est vers vous que ça revient.
Mes enfants, vous êtes tous égaux. Vous avez tous le même Amour en vous : c’est mon Fils. Il vit en vous. Qu’un seul d’entre vous se détache des autres, il se crée une séparation douloureuse pour mon Fils et moi. Mes enfants, la séparation qui est causée par vos péchés contre votre prochain produit une souffrance en vous. Tous mes enfants en souffrent. Si un seul se fait du mal, les autres s’en ressentent.
Voyez, mes enfants, combien il est important de vous aimer les uns les autres. Je vous aime, moi, votre douce Maman. Vous êtes mes enfants. Je ne puis avoir de préférence pour un tel ou un tel, je vous porte tous en mon Cœur. Mon Cœur est maternel. Mes enfants, aimez-vous. Aimez l’Amour. Je suis la Maman de l’Amour.
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