A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
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A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
A PONTMAIN…
SUPPLIQUE À DIEU POUR
LE RETOUR DU ROI
-----o-----
Petit livret de Salut Public
-----o-----
Supplique à Dieu pour le retour du Roi …
Pourquoi l’échec du retour du Roi de France, en France, depuis 220 ans
… A Pontmain !
Ce qu’il faut faire, avant toute autre chose, pour obtenir ce retour
« Que Votre règne arrive, sur la Terre comme au Ciel »
(Jésus, Christ et Roi de France)
SUPPLIQUE À DIEU POUR
LE RETOUR DU ROI
-----o-----
Petit livret de Salut Public
-----o-----
Supplique à Dieu pour le retour du Roi …
Pourquoi l’échec du retour du Roi de France, en France, depuis 220 ans
… A Pontmain !
Ce qu’il faut faire, avant toute autre chose, pour obtenir ce retour
« Que Votre règne arrive, sur la Terre comme au Ciel »
(Jésus, Christ et Roi de France)
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
SUPPLIQUE A DIEU POUR LE RETOUR DU ROI...
«Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes.»
(Bossuet)
«Le royaume n’appartient pas au dauphin, il appartient à mon Seigneur. Cependant
mon Seigneur veut que le dauphin devienne roi et qu’il tienne le royaume en commende.
Il sera roi malgré ses ennemis et moi je le conduirai à son sacre.
- Et quel est ton seigneur ?
- Le Roi du Ciel.»
(Jeanne d’Arc à Baudricourt)
«Lorsque les Français auront conçu les sentiments d’une véritable humilité, le
royaume viendra aux mains du légitime héritier et ils obtiendront pour eux-mêmes
une véritable paix.»
(Jésus à Ste Catherine de Sienne)
«Or, c’est le droit de Dieu de commander aux états comme aux individus. Ce n’est pas
pour autre chose que Notre Seigneur est venu sur la terre. Il doit y régner en inspirant
les lois, en sanctifiant les moeurs, en éclairant l’enseignement, en dirigeant les
conseils, en réglant les actions des gouvernements comme des gouvernés. Partout
où Jésus-Christ n’exerce pas ce règne, il y a désordre et décadence.»
(Cardinal Pie)
«Le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner, eh bien ! alors le moment
n’est pas venu pour les gouvernements de durer.»
(Cardinal Pie)
«Vous êtes le sel de la terre. Si le sel se dénature, comment redeviendra-t-il du sel ?
Il n’est plus bon à rien : on le jette dehors et les gens le piétinent.»
«Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être
cachée. Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met
sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. De même, que
votre lumière brille devant les hommes : alors, en voyant ce que vous faites de bien,
ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux»
(Matthieu : 5, 13-16)
A vous tous, français de souche, perdus, égarés, trompés, humiliés, ruinés, molestés,
déprimés, désespérés mais toujours enracinés dans votre terre bénie, à la
recherche de la solution vraie pour le redressement de la France !
A vous tous, royalistes qui êtes le sel de la terre de France !
A vous tous, royalistes qui possédez la lumière de la vraie politique française !
A vous tous, royalistes reliés d’esprit et de coeur à chacune de nos branches capétiennes
!
«Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes.»
(Bossuet)
«Le royaume n’appartient pas au dauphin, il appartient à mon Seigneur. Cependant
mon Seigneur veut que le dauphin devienne roi et qu’il tienne le royaume en commende.
Il sera roi malgré ses ennemis et moi je le conduirai à son sacre.
- Et quel est ton seigneur ?
- Le Roi du Ciel.»
(Jeanne d’Arc à Baudricourt)
«Lorsque les Français auront conçu les sentiments d’une véritable humilité, le
royaume viendra aux mains du légitime héritier et ils obtiendront pour eux-mêmes
une véritable paix.»
(Jésus à Ste Catherine de Sienne)
«Or, c’est le droit de Dieu de commander aux états comme aux individus. Ce n’est pas
pour autre chose que Notre Seigneur est venu sur la terre. Il doit y régner en inspirant
les lois, en sanctifiant les moeurs, en éclairant l’enseignement, en dirigeant les
conseils, en réglant les actions des gouvernements comme des gouvernés. Partout
où Jésus-Christ n’exerce pas ce règne, il y a désordre et décadence.»
(Cardinal Pie)
«Le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner, eh bien ! alors le moment
n’est pas venu pour les gouvernements de durer.»
(Cardinal Pie)
«Vous êtes le sel de la terre. Si le sel se dénature, comment redeviendra-t-il du sel ?
Il n’est plus bon à rien : on le jette dehors et les gens le piétinent.»
«Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être
cachée. Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met
sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. De même, que
votre lumière brille devant les hommes : alors, en voyant ce que vous faites de bien,
ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux»
(Matthieu : 5, 13-16)
A vous tous, français de souche, perdus, égarés, trompés, humiliés, ruinés, molestés,
déprimés, désespérés mais toujours enracinés dans votre terre bénie, à la
recherche de la solution vraie pour le redressement de la France !
A vous tous, royalistes qui êtes le sel de la terre de France !
A vous tous, royalistes qui possédez la lumière de la vraie politique française !
A vous tous, royalistes reliés d’esprit et de coeur à chacune de nos branches capétiennes
!
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Cela fait 218 ans que la Révolution a supprimé en France les droits du Roi Très
Chrétien. Cela fait 218 ans que la France est incapable de revenir à sa royauté
millénaire qui a été à sa fondation et qui l’a rendue grande parmi les nations. Pourquoi
les régimes qui se sont substitués à la Royauté sont-ils tous tombés les uns
après les autres ? Pourquoi les quelques tentatives de restauration monarchique
se sont-elles TOUTES soldées par des échecs ?
Cette dernière question, c’est la seule et unique bonne question, à laquelle TOUT
français et en particulier TOUT royaliste doit être capable de répondre !
Elle est comme la serrure de la porte étroite du redressement de la France. Répondre
à cette question en toute vérité et humilité c’est trouver la seule et unique
clé qui sera capable de faire mouvoir le penne loqueté providentiellement, je dis
bien providentiellement, depuis plus de 200 ans. Ensuite, il nous faudra la volonté
vraie de l’introduire dans l’étroit orifice… Nous n’aurons pas à tourner…, le seul
bruit de sa présence poussera le gardien qui est derrière à nous ouvrir…, ordre lui
en a été donné, il attend cela depuis si longtemps !
Vérité ! Humilité ! Volonté ! Voilà les 3 conditions du retour du Roi.
Aucun des régimes qui ont suivi la chute de la royauté, et ce jusqu’à nos jours, n’a
tenu plus de 70 ans. Tous se sont fondés et/ou effondrés dans la violence, car tous
étaient usurpateurs :
• La 1ère République, de 1792 à 1804 : 12 ans,
• Le 1er Empire, de 1804 à 1814 : 10 ans,
• La Restauration, de 1814 à 1830 : 16 ans
• La Monarchie de Juillet, de 1830 à 1848 : 18 ans,
• La 2ème République, de 1848 à 1852 : 4 ans,
• Le 2nd Empire, de 1852 à 1870 : 18 ans,
• La 3ème République, de 1870 à 1940 : 70 ans,
• L’Etat Français, de 1940 à 1945 : 5 ans
• La 4ème République de 1946 à 1958 : 12 ans,
• La 5ème République, est actuellement sous perfusion et en soins palliatifs
à 53 ans, et d’aucuns envisagent déjà de l’euthanasier !
Au sujet du bref régime de la Restauration, je dis bref en regard de la période des
220 ans dont il est question ici, s’il a naturellement redressé la France matériellement,
en si peu de temps, ce qui est déjà en soi une incroyable performance,
comparé au travail à réaliser, c’est grâce à l’efficacité toute naturelle de ce régime
monarchique, notamment dans son mode de succession bien rôdé dont la France
avait déjà l’expérience. Mais il n’a tenu que 16 ans, entre une guerre qui a saigné la
France et une révolution, puis n’est plus jamais réapparu !
Quelle est donc la raison intrinsèque d’un tel échec ? C’était pourtant la vieille
monarchie française qui reprenait du service. Pourquoi cette si courte durée de vie
Chrétien. Cela fait 218 ans que la France est incapable de revenir à sa royauté
millénaire qui a été à sa fondation et qui l’a rendue grande parmi les nations. Pourquoi
les régimes qui se sont substitués à la Royauté sont-ils tous tombés les uns
après les autres ? Pourquoi les quelques tentatives de restauration monarchique
se sont-elles TOUTES soldées par des échecs ?
Cette dernière question, c’est la seule et unique bonne question, à laquelle TOUT
français et en particulier TOUT royaliste doit être capable de répondre !
Elle est comme la serrure de la porte étroite du redressement de la France. Répondre
à cette question en toute vérité et humilité c’est trouver la seule et unique
clé qui sera capable de faire mouvoir le penne loqueté providentiellement, je dis
bien providentiellement, depuis plus de 200 ans. Ensuite, il nous faudra la volonté
vraie de l’introduire dans l’étroit orifice… Nous n’aurons pas à tourner…, le seul
bruit de sa présence poussera le gardien qui est derrière à nous ouvrir…, ordre lui
en a été donné, il attend cela depuis si longtemps !
Vérité ! Humilité ! Volonté ! Voilà les 3 conditions du retour du Roi.
Aucun des régimes qui ont suivi la chute de la royauté, et ce jusqu’à nos jours, n’a
tenu plus de 70 ans. Tous se sont fondés et/ou effondrés dans la violence, car tous
étaient usurpateurs :
• La 1ère République, de 1792 à 1804 : 12 ans,
• Le 1er Empire, de 1804 à 1814 : 10 ans,
• La Restauration, de 1814 à 1830 : 16 ans
• La Monarchie de Juillet, de 1830 à 1848 : 18 ans,
• La 2ème République, de 1848 à 1852 : 4 ans,
• Le 2nd Empire, de 1852 à 1870 : 18 ans,
• La 3ème République, de 1870 à 1940 : 70 ans,
• L’Etat Français, de 1940 à 1945 : 5 ans
• La 4ème République de 1946 à 1958 : 12 ans,
• La 5ème République, est actuellement sous perfusion et en soins palliatifs
à 53 ans, et d’aucuns envisagent déjà de l’euthanasier !
Au sujet du bref régime de la Restauration, je dis bref en regard de la période des
220 ans dont il est question ici, s’il a naturellement redressé la France matériellement,
en si peu de temps, ce qui est déjà en soi une incroyable performance,
comparé au travail à réaliser, c’est grâce à l’efficacité toute naturelle de ce régime
monarchique, notamment dans son mode de succession bien rôdé dont la France
avait déjà l’expérience. Mais il n’a tenu que 16 ans, entre une guerre qui a saigné la
France et une révolution, puis n’est plus jamais réapparu !
Quelle est donc la raison intrinsèque d’un tel échec ? C’était pourtant la vieille
monarchie française qui reprenait du service. Pourquoi cette si courte durée de vie
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
et cette disparition subite ? La monarchie restaurée avait-elle changé de nature ?
C’est le Cardinal Pie, évêque de Poitiers, qui va nous donner la réponse.
La cause profonde de la chute de la Restauration, et donc de la Monarchie, sinon
légitime au moins légale, qui suit la Révolution, le cardinal va nous la donner le 15
mars 1856, dans son Entretien avec Napoléon III, quand il répond à l’empereur qui
se flattait d’avoir fait pour la religion plus que la Restauration elle-même :
«Peut-être la Restauration n’a-t-elle pas fait plus que vous ? Mais laissez-moi
ajouter que NI LA RESTAURATION ni vous n’avez fait pour Dieu ce qu’il fallait
faire, parce que NI L’UN ni l’autre vous n’avez relevé son trône, parce que NI
L’UN ni l’autre vous n’avez renié les principes de la Révolution dont vous combattez
cependant les conséquences pratiques, parce que l’évangile social dont
s’inspire l’Etat est encore la déclaration des droits de l’homme, laquelle n’est
autre chose, Sire, que la négation formelle des droits de Dieu.»
En ce jugement des gouvernements postérieurs à la Révolution, le Cardinal Pie est
en parfaite conformité avec la pensée même de la Sainte Eglise. Pour s’en rendre
compte, il suffit de le comparer aux paroles de Pie VII dans son bref «Post tam diuturnas
» à Mgr de Boulogne, évêque de Troyes :
«Nous avions espéré qu’à la faveur de l’heureux changement qui venait de s’accomplir
[la Restauration], non seulement la religion catholique serait délivrée
sans aucun retard de toutes les entraves qu’on lui avait imposées en France
malgré nos constantes réclamations ; mais qu’on profiterait des circonstances si
favorables pour la rétablir dans tout son lustre et pourvoir à sa dignité. Or, nous
avons remarqué en premier lieu que, dans la constitution mentionnée, la religion
catholique est entièrement passée sous silence, et qu’il n’y est pas même
fait mention du Dieu tout-puissant par qui règnent les rois, par qui les princes
commandent.
Vous comprendrez facilement, vénérable Frère, ce qu’une telle omission a dû
nous faire éprouver de peine, de chagrin, d’amertume, à nous que Jésus-Christ,
le Fils de Dieu, Notre Seigneur, a chargé du suprême gouvernement de la société
chrétienne. Et comment ne serions-nous pas désolés ? Cette religion catholique,
établie en France dès les premiers siècles de l’Eglise, scellée dans ce royaume
même par le sang de tant de glorieux martyrs, professée par la très grande
partie du peuple français, à laquelle ce même peuple a gardé avec courage et
constance un invincible attachement à travers les calamités, les persécutions et
les périls des dernières années, cette religion enfin que la race à laquelle appartient
le roi désigné professe elle-même, et qu’elle a toujours défendue avec tant
de zèle, non seulement elle n’est pas déclarée la seule ayant droit dans toute la
France, à l’appui des lois et de l’autorité du gouvernement, mais elle est entièrement
omise dans l’acte même du rétablissement de la monarchie !
C’est le Cardinal Pie, évêque de Poitiers, qui va nous donner la réponse.
La cause profonde de la chute de la Restauration, et donc de la Monarchie, sinon
légitime au moins légale, qui suit la Révolution, le cardinal va nous la donner le 15
mars 1856, dans son Entretien avec Napoléon III, quand il répond à l’empereur qui
se flattait d’avoir fait pour la religion plus que la Restauration elle-même :
«Peut-être la Restauration n’a-t-elle pas fait plus que vous ? Mais laissez-moi
ajouter que NI LA RESTAURATION ni vous n’avez fait pour Dieu ce qu’il fallait
faire, parce que NI L’UN ni l’autre vous n’avez relevé son trône, parce que NI
L’UN ni l’autre vous n’avez renié les principes de la Révolution dont vous combattez
cependant les conséquences pratiques, parce que l’évangile social dont
s’inspire l’Etat est encore la déclaration des droits de l’homme, laquelle n’est
autre chose, Sire, que la négation formelle des droits de Dieu.»
En ce jugement des gouvernements postérieurs à la Révolution, le Cardinal Pie est
en parfaite conformité avec la pensée même de la Sainte Eglise. Pour s’en rendre
compte, il suffit de le comparer aux paroles de Pie VII dans son bref «Post tam diuturnas
» à Mgr de Boulogne, évêque de Troyes :
«Nous avions espéré qu’à la faveur de l’heureux changement qui venait de s’accomplir
[la Restauration], non seulement la religion catholique serait délivrée
sans aucun retard de toutes les entraves qu’on lui avait imposées en France
malgré nos constantes réclamations ; mais qu’on profiterait des circonstances si
favorables pour la rétablir dans tout son lustre et pourvoir à sa dignité. Or, nous
avons remarqué en premier lieu que, dans la constitution mentionnée, la religion
catholique est entièrement passée sous silence, et qu’il n’y est pas même
fait mention du Dieu tout-puissant par qui règnent les rois, par qui les princes
commandent.
Vous comprendrez facilement, vénérable Frère, ce qu’une telle omission a dû
nous faire éprouver de peine, de chagrin, d’amertume, à nous que Jésus-Christ,
le Fils de Dieu, Notre Seigneur, a chargé du suprême gouvernement de la société
chrétienne. Et comment ne serions-nous pas désolés ? Cette religion catholique,
établie en France dès les premiers siècles de l’Eglise, scellée dans ce royaume
même par le sang de tant de glorieux martyrs, professée par la très grande
partie du peuple français, à laquelle ce même peuple a gardé avec courage et
constance un invincible attachement à travers les calamités, les persécutions et
les périls des dernières années, cette religion enfin que la race à laquelle appartient
le roi désigné professe elle-même, et qu’elle a toujours défendue avec tant
de zèle, non seulement elle n’est pas déclarée la seule ayant droit dans toute la
France, à l’appui des lois et de l’autorité du gouvernement, mais elle est entièrement
omise dans l’acte même du rétablissement de la monarchie !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Un nouveau sujet de peine, dont notre coeur est encore plus vivement affligé, et
qui, nous l’avouons, nous cause un tourment, un accablement et une angoisse
extrêmes, c’est le 22ème article de la Constitution. Non seulement on y permet
la liberté des cultes et de la conscience, pour nous servir des termes mêmes
de l’article, mais on promet appui et protection à cette liberté, et en outre aux
ministres de ce que l’on nomme « les cultes ». Il n’est certes pas besoin de longs
discours, nous adressant à un évêque tel que vous, pour vous faire reconnaître
clairement de quelle mortelle blessure la religion catholique en France se trouve
frappée par cet article. Par cela même qu’on établit la liberté de tous les cultes
sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur, et l’on met au rang des sectes
hérétiques et même de la perfidie judaïque, l’Epouse sainte et immaculée du
Christ, l’Eglise hors de laquelle il ne peut y avoir de salut. En outre, en promettant
faveur et appui aux sectes des hérétiques et à leurs ministres, on tolère et
on favorise non seulement leurs personnes, mais encore leurs erreurs. C’est
implicitement la désastreuse, et à jamais déplorablehérésie que Saint Augustin
mentionne en ces termes : «Elle affirme que tous les hérétiques sont « dans la
bonne voie et disent vrai.Absurdité si monstrueuse que je ne puis croire qu’une
secte la professe réellement.»(1)
Alors poursuivant, le Cardinal Pie explicite la disparition pure et simple de la Monarchie
«restaurée» confirmant ainsi les déclarations du Saint-Père :
«Or, j’ai le devoir de vous dire, qu’Il [Notre Seigneur] ne règne pas parmi nous et
que notre Constitution n’est pas, loin de là, celle d’un Etat chrétien et catholique.
Notre droit public établit bien que la religion catholique est celle de la majorité
des Français, mais il ajoute que les autres cultes ont droit à une égale protection.
N’est-ce pas proclamer équivalemment que la constitution protège pareillement
la vérité et l’erreur ? Eh bien ! Sire, savez-vous ce que Jésus-Christ répond aux
gouvernements qui se rendent coupables d’une telle contradiction ? Jésus-
Christ, roi du ciel et de la terre, leur répond : Et moi aussi, gouvernements qui
vous succédez en vous renversant les uns les autres, moi aussi je vous accorde
une égale protection. J’ai accordé cette protection à l’empereur votre oncle ; J’AI
1 Ce bref de Pie VII est daté du 29 avril 1814. Il vient en réponse à la constitution du 6 avril 1814 refusée par Louis XVIII et remplacée par la
Charte constitutionnelle du 4 juin 1814.
Le seul article de la constitution du 6 avril concernant la religion est le suivant :
Art. 22
« La liberté des cultes et des consciences est garantie. Les ministres des cultes sont également traités et protégés. »
Les trois seuls articles de la Charte du 4 juin concernant la religion sont les suivants :
Art. 5 : « Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection. »
Art. 6 : « Cependant la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de l’État. »
Art. 7 : « Les ministres de la religion catholique, apostolique et romaine, et ceux des autres cultes chrétiens, reçoivent seuls des traitements
du Trésor royal. »
Le jugement du Pape Pie VII ne changera pas après l’octroi de la Charte de Juin 1814.
Si la religion catholique y est maintenant nommée, elle l’est seulement relativement à l’Etat, et il n’y est pas toujours pas fait mention « du
Dieu tout-puissant par qui règnent les rois, par qui les princes commandent ». De même, « elle n’y est toujours pas déclarée la seule ayant
droit, dans toute la France, à l’appui des lois et de l’autorité du gouvernement ». Enfi n les articles 5 (qui est l’article 22 de la constitution
refusée) et 7, « favorisent l’erreur tout autant que la vérité ».
qui, nous l’avouons, nous cause un tourment, un accablement et une angoisse
extrêmes, c’est le 22ème article de la Constitution. Non seulement on y permet
la liberté des cultes et de la conscience, pour nous servir des termes mêmes
de l’article, mais on promet appui et protection à cette liberté, et en outre aux
ministres de ce que l’on nomme « les cultes ». Il n’est certes pas besoin de longs
discours, nous adressant à un évêque tel que vous, pour vous faire reconnaître
clairement de quelle mortelle blessure la religion catholique en France se trouve
frappée par cet article. Par cela même qu’on établit la liberté de tous les cultes
sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur, et l’on met au rang des sectes
hérétiques et même de la perfidie judaïque, l’Epouse sainte et immaculée du
Christ, l’Eglise hors de laquelle il ne peut y avoir de salut. En outre, en promettant
faveur et appui aux sectes des hérétiques et à leurs ministres, on tolère et
on favorise non seulement leurs personnes, mais encore leurs erreurs. C’est
implicitement la désastreuse, et à jamais déplorablehérésie que Saint Augustin
mentionne en ces termes : «Elle affirme que tous les hérétiques sont « dans la
bonne voie et disent vrai.Absurdité si monstrueuse que je ne puis croire qu’une
secte la professe réellement.»(1)
Alors poursuivant, le Cardinal Pie explicite la disparition pure et simple de la Monarchie
«restaurée» confirmant ainsi les déclarations du Saint-Père :
«Or, j’ai le devoir de vous dire, qu’Il [Notre Seigneur] ne règne pas parmi nous et
que notre Constitution n’est pas, loin de là, celle d’un Etat chrétien et catholique.
Notre droit public établit bien que la religion catholique est celle de la majorité
des Français, mais il ajoute que les autres cultes ont droit à une égale protection.
N’est-ce pas proclamer équivalemment que la constitution protège pareillement
la vérité et l’erreur ? Eh bien ! Sire, savez-vous ce que Jésus-Christ répond aux
gouvernements qui se rendent coupables d’une telle contradiction ? Jésus-
Christ, roi du ciel et de la terre, leur répond : Et moi aussi, gouvernements qui
vous succédez en vous renversant les uns les autres, moi aussi je vous accorde
une égale protection. J’ai accordé cette protection à l’empereur votre oncle ; J’AI
1 Ce bref de Pie VII est daté du 29 avril 1814. Il vient en réponse à la constitution du 6 avril 1814 refusée par Louis XVIII et remplacée par la
Charte constitutionnelle du 4 juin 1814.
Le seul article de la constitution du 6 avril concernant la religion est le suivant :
Art. 22
« La liberté des cultes et des consciences est garantie. Les ministres des cultes sont également traités et protégés. »
Les trois seuls articles de la Charte du 4 juin concernant la religion sont les suivants :
Art. 5 : « Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection. »
Art. 6 : « Cependant la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de l’État. »
Art. 7 : « Les ministres de la religion catholique, apostolique et romaine, et ceux des autres cultes chrétiens, reçoivent seuls des traitements
du Trésor royal. »
Le jugement du Pape Pie VII ne changera pas après l’octroi de la Charte de Juin 1814.
Si la religion catholique y est maintenant nommée, elle l’est seulement relativement à l’Etat, et il n’y est pas toujours pas fait mention « du
Dieu tout-puissant par qui règnent les rois, par qui les princes commandent ». De même, « elle n’y est toujours pas déclarée la seule ayant
droit, dans toute la France, à l’appui des lois et de l’autorité du gouvernement ». Enfi n les articles 5 (qui est l’article 22 de la constitution
refusée) et 7, « favorisent l’erreur tout autant que la vérité ».
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
ACCORDÉ LA MÊME PROTECTION AUX BOURBONS, la même protection à Louis-
Philippe, la même protection à la République et à vous aussi la même protection
vous sera accordée.»
Autrement dit, le Cardinal Pie explique l’instabilité et la non pérennité de tous les
régimes post révolutionnaires par leur apostasie plus ou moins totale, mais apostasie
réelle. Le non rejet des principes mortifères de la révolution tue les gouvernements
les uns après les autres. Le refus de la religion du vrai Dieu et le relativisme
religieux élevé officiellement au rang de principe constitutionnel pervertit tous ces
régimes politiques. Ils n’ont plus de lien surnaturel, et disparaissent avec leurs auteurs
dans le meilleur des cas.
Finalement tous ces régimes ont rejeté la Loi Fondamentale du Royaume, la Constitution
Fondatrice non écrite qui est la Suzeraineté du Christ Roi de France. Voilà la
véritable raison !
On peut comprendre cette attitude des régimes dont les principes révolutionnaires
et athées sont la base, base incompatible avec cette suzeraineté. Mais de la Restauration
? La faute est d’autant PLUS GRAVE ET MORTELLE pour celle qui avait reçu
de Dieu connaissance et expérience de la nature et des bienfaits de la Loi Fondamentale.
En cela, elle devient donc plus pécheresse que les autres régimes. Ceux-ci
réapparaîtront sous diverses formes, la Royauté jamais !
Définitivement ? Oui !
Sauf si…
En écoutant le cardinal Pie, on perçoit la voix de Jeanne d’Arc s’adressant à toutes
les élites de son époque, élites perverties comme élites encore saines, jusqu’au
Dauphin faisant moralement défaut, répétant, rappelant cette loi fondamentale et
insistant par ses actes, sur le fait que, comme le rappelle si justement Pierre Virion
dans son ouvrage Le Christ qui est roi de France : «Le roi est inféodé au Christ dans
le sens juridique du terme» ! Ou, comme le rappelle le prologue de la loi fondamentale
du Royaume de France, connu sous le nom de Laus Francorum : «La nation des
Francs, illustre, ayant Dieu POUR FONDATEUR» !
Oui ! En 1814 la monarchie française avait changé de nature !
Oui ! En 1814 la monarchie française, par son relativisme religieux constitutionnel,
avait fait une grave infidélité à la Foi et commis une véritable usurpation politique.
Le vassal était tenu de fournir à son suzerain foi et hommage, en retour le suzerain
lui concédait fief et protection.
En 1814, la foi et l’hommage faisait défaut… Alors, le Christ va traiter ce régime
comme il se doit. Il ne donne pas sa grâce… Il n’accorde ni le fief ni la protection !
Philippe, la même protection à la République et à vous aussi la même protection
vous sera accordée.»
Autrement dit, le Cardinal Pie explique l’instabilité et la non pérennité de tous les
régimes post révolutionnaires par leur apostasie plus ou moins totale, mais apostasie
réelle. Le non rejet des principes mortifères de la révolution tue les gouvernements
les uns après les autres. Le refus de la religion du vrai Dieu et le relativisme
religieux élevé officiellement au rang de principe constitutionnel pervertit tous ces
régimes politiques. Ils n’ont plus de lien surnaturel, et disparaissent avec leurs auteurs
dans le meilleur des cas.
Finalement tous ces régimes ont rejeté la Loi Fondamentale du Royaume, la Constitution
Fondatrice non écrite qui est la Suzeraineté du Christ Roi de France. Voilà la
véritable raison !
On peut comprendre cette attitude des régimes dont les principes révolutionnaires
et athées sont la base, base incompatible avec cette suzeraineté. Mais de la Restauration
? La faute est d’autant PLUS GRAVE ET MORTELLE pour celle qui avait reçu
de Dieu connaissance et expérience de la nature et des bienfaits de la Loi Fondamentale.
En cela, elle devient donc plus pécheresse que les autres régimes. Ceux-ci
réapparaîtront sous diverses formes, la Royauté jamais !
Définitivement ? Oui !
Sauf si…
En écoutant le cardinal Pie, on perçoit la voix de Jeanne d’Arc s’adressant à toutes
les élites de son époque, élites perverties comme élites encore saines, jusqu’au
Dauphin faisant moralement défaut, répétant, rappelant cette loi fondamentale et
insistant par ses actes, sur le fait que, comme le rappelle si justement Pierre Virion
dans son ouvrage Le Christ qui est roi de France : «Le roi est inféodé au Christ dans
le sens juridique du terme» ! Ou, comme le rappelle le prologue de la loi fondamentale
du Royaume de France, connu sous le nom de Laus Francorum : «La nation des
Francs, illustre, ayant Dieu POUR FONDATEUR» !
Oui ! En 1814 la monarchie française avait changé de nature !
Oui ! En 1814 la monarchie française, par son relativisme religieux constitutionnel,
avait fait une grave infidélité à la Foi et commis une véritable usurpation politique.
Le vassal était tenu de fournir à son suzerain foi et hommage, en retour le suzerain
lui concédait fief et protection.
En 1814, la foi et l’hommage faisait défaut… Alors, le Christ va traiter ce régime
comme il se doit. Il ne donne pas sa grâce… Il n’accorde ni le fief ni la protection !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
D’abord, Louis XVIII ne sera jamais sacré.(2)
Donc, en vérité, IL NE SERA JAMAIS ROI selon les critères du Ciel et de Jeanne qui,
quand on s’étonnait qu’elle ne nommât Charles VII que du nom de Dauphin, répondait
très fermement : « Je ne dirai pas : le roi, avant qu’il soit sacré et couronné à
Reims, où je le mènerai ».
Louis XVIII, de 1795 à 1824, restera peut-être Dauphin, Régent sûrement.
Pourquoi peut-être ? Pourquoi sûrement ?
Parce que de fait, il a bien été régent au nom de son neveu Louis XVII. Il s’est proclamé
ainsi et a été reconnu comme tel.
Quant à son titre de dauphin, son attitude est des plus ambiguës pour effectuer les
recherches en toute vérité de l’identité de l’enfant mort au Temple. Encore à l’heure
actuelle, et malgré les nouvelles techniques de la science, mais aussi le matraquage
des média, un très sérieux doute demeure.
Louis XVIII n’était pas tout à fait sûr de lui qui a reçu Martin de Gallardon aux Tuileries
le 2 avril 1816 et qui, après cet entretien à huis clos, est sorti de son bureau très
ému par les déclarations qu’il lui avait faites sur la survivance de son neveu. S’il était
vraiment sûr de son bon droit, pourquoi avoir reçu Martin ? Pourquoi avoir laissé à
la postérité une telle preuve d’hésitation ?
Que n’eût-il gardé son titre de Régent, plutôt que d’être « Roi Très Laïque » !
Ensuite Charles X, lui, se fera sacrer.
Mais quelle étrangeté que ce sacre ! C’est une valse-hésitation dans les préparatifs,
des modifications dans le rituel et, le comble, c’est un sacrifice officiel aux faux
dieux révolutionnaires, à la vue et au su de tous et, de plus, dans l’enceinte même
de la Sainte Eglise !
Dans son commentaire du livre de Landric Raillat : Charles X, le sacre de la dernière
chance (Paris – Orban 1991), Geneviève Gilles écrit :
«Charles X reprend la tradition et veut une cérémonie fidèle à celle de ses ancêtres,
MAIS DONT IL ÔTE TOUT CE QUI S’OPPOSE à l’esprit et à la lettre de la
Charte Constitutionnelle.»
Puis, plus loin :
«Le cérémonial avait été modifié. La question était de savoir si Charles X prêterait serment
à la Charte (une charte condamnée par le clergé), CE QU’IL FIT «pour rassurer
l’opinion». L’archevêque put procéder aux onctions habituelles car quelques particules
de la « sainte Ampoule » officiellement brisée le 7 octobre 1793, avaient été sauvées. Le
chrême mêlé à une infime parcelle de l’ancienne ampoule fut utilisée pour l’onction».
2 A ce sujet, que l’on ne vienne pas nous donner la raison fallacieuse de la santé de Louis XVIII ne pouvant supporter ni un long voyage vers
Reims ni la longue cérémonie du sacre. Il aurait très bien pu être sacré exceptionnellement à Notre-Dame de Paris, le motif dûment expliqué
aurait convenu à tout le monde. Il y avait quand même eu le précédent du sacre d’Henri IV à Chartres pour des raisons différentes, il est vrai,
mais qui n’avaient pas engendré de contestations insurmontables.
Donc, en vérité, IL NE SERA JAMAIS ROI selon les critères du Ciel et de Jeanne qui,
quand on s’étonnait qu’elle ne nommât Charles VII que du nom de Dauphin, répondait
très fermement : « Je ne dirai pas : le roi, avant qu’il soit sacré et couronné à
Reims, où je le mènerai ».
Louis XVIII, de 1795 à 1824, restera peut-être Dauphin, Régent sûrement.
Pourquoi peut-être ? Pourquoi sûrement ?
Parce que de fait, il a bien été régent au nom de son neveu Louis XVII. Il s’est proclamé
ainsi et a été reconnu comme tel.
Quant à son titre de dauphin, son attitude est des plus ambiguës pour effectuer les
recherches en toute vérité de l’identité de l’enfant mort au Temple. Encore à l’heure
actuelle, et malgré les nouvelles techniques de la science, mais aussi le matraquage
des média, un très sérieux doute demeure.
Louis XVIII n’était pas tout à fait sûr de lui qui a reçu Martin de Gallardon aux Tuileries
le 2 avril 1816 et qui, après cet entretien à huis clos, est sorti de son bureau très
ému par les déclarations qu’il lui avait faites sur la survivance de son neveu. S’il était
vraiment sûr de son bon droit, pourquoi avoir reçu Martin ? Pourquoi avoir laissé à
la postérité une telle preuve d’hésitation ?
Que n’eût-il gardé son titre de Régent, plutôt que d’être « Roi Très Laïque » !
Ensuite Charles X, lui, se fera sacrer.
Mais quelle étrangeté que ce sacre ! C’est une valse-hésitation dans les préparatifs,
des modifications dans le rituel et, le comble, c’est un sacrifice officiel aux faux
dieux révolutionnaires, à la vue et au su de tous et, de plus, dans l’enceinte même
de la Sainte Eglise !
Dans son commentaire du livre de Landric Raillat : Charles X, le sacre de la dernière
chance (Paris – Orban 1991), Geneviève Gilles écrit :
«Charles X reprend la tradition et veut une cérémonie fidèle à celle de ses ancêtres,
MAIS DONT IL ÔTE TOUT CE QUI S’OPPOSE à l’esprit et à la lettre de la
Charte Constitutionnelle.»
Puis, plus loin :
«Le cérémonial avait été modifié. La question était de savoir si Charles X prêterait serment
à la Charte (une charte condamnée par le clergé), CE QU’IL FIT «pour rassurer
l’opinion». L’archevêque put procéder aux onctions habituelles car quelques particules
de la « sainte Ampoule » officiellement brisée le 7 octobre 1793, avaient été sauvées. Le
chrême mêlé à une infime parcelle de l’ancienne ampoule fut utilisée pour l’onction».
2 A ce sujet, que l’on ne vienne pas nous donner la raison fallacieuse de la santé de Louis XVIII ne pouvant supporter ni un long voyage vers
Reims ni la longue cérémonie du sacre. Il aurait très bien pu être sacré exceptionnellement à Notre-Dame de Paris, le motif dûment expliqué
aurait convenu à tout le monde. Il y avait quand même eu le précédent du sacre d’Henri IV à Chartres pour des raisons différentes, il est vrai,
mais qui n’avaient pas engendré de contestations insurmontables.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Enfin, au sujet du toucher des écrouelles :
«Charles X paraît avoir eu des doutes sur ses pouvoirs thaumaturges et annula
la cérémonie. Mais, après avoir déclaré qu’il renonçait, ce qui entraîna le départ
d’un grand nombre de malades, il se ravisa et le 31 mai procéda au toucher dans
la chapelle de l’hôpital Saint-Marcoul ; sur les 130 personnes triées par le docteur
Dupuytren, cinq guérisons furent attestées.»
Quelle différence avec ses prédécesseurs, comme Louis XV qui toucha 2000 malades
dans le parc de Saint-Rémi de Reims, et Louis XVI qui en toucha 2400, le lendemain
de leur sacre respectif, les 29 octobre 1722 et le 12 juin 1775.
La foi n’y était plus. S’il y eu si peu de malades à se présenter c’est qu’ils étaient tous
repartis à cause des doutes du roi et de l’annulation de cette cérémonie. D’ailleurs,
Charles X ne toucha jamais plus par la suite !
Alors, Charles X ?
Roi constitutionnellement sacré ou roi sacrément constitutionnel ? Dauphin ? Régent
?
Mais…, c’est de lui-même que vient la réponse par son comportement incroyable,
qui envoie M. de la Rochejaquelein dans la nuit du 31 juillet au 1er août 1830, juste
avant son abdication, pour prendre conseil auprès du laboureur Martin de Gallardon
de ce qu’il doit faire dans l’intérêt de la France…!
Rappelons ce qu’en dit, pages 40 et 41, Nöelle Destremeau dans son livre : Martin
le Visionnaire et Marie-Caroline duchesse de Berry régente de France – NEL Paris
2002 :
« Nous voici en 1830 ; un fait inouï, presqu’invraisemblable se passe : en trois
jours, la monarchie est en grand péril, Paris se bat et Charles X part au château
de Rambouillet avec sa famille. Cependant le roi dispose de 12 000 soldats fidèles
avec des canons, qui peuvent résister aux bandes indisciplinées. De plus, la province
ne bouge pas. Les maréchaux demandent les ordres au roi mais Charles
X hésite et n’ordonne rien. Le roi a reconnu, semble-t-il le châtiment de Dieu, il
songe aux prédictions de Martin aux malheurs prédits à la France, à la mort de
son fils Berry : Martin, dont Charles X connaît fort bien les avertissements, n’a
pas été écouté, le trône n’a pas été rendu au fils de Louis XVI qui est vivant… Alors
le roi envoie Monsieur de la Rochejaquelein auprès du laboureur
Martin, entre le 31 juillet et le 3 août 1830, fait ahurissant mais incontestable : un
officier envoyé par le roi demande au paysan ce que Charles X doit faire, Charles
X, un dévot de la monarchie, Charles X convaincu que la légitimité règne en sa
personne !
La Rochejaquelein part en pleine nuit, suivi de deux écuyers, on galope, à francs
étriers, vers Gallardon et ce n’est pas sans peine que l’aide de camp trouve la
ferme de Martin vers deux heures du matin. Il frappe longuement. Enfin, le bonÀ
«Charles X paraît avoir eu des doutes sur ses pouvoirs thaumaturges et annula
la cérémonie. Mais, après avoir déclaré qu’il renonçait, ce qui entraîna le départ
d’un grand nombre de malades, il se ravisa et le 31 mai procéda au toucher dans
la chapelle de l’hôpital Saint-Marcoul ; sur les 130 personnes triées par le docteur
Dupuytren, cinq guérisons furent attestées.»
Quelle différence avec ses prédécesseurs, comme Louis XV qui toucha 2000 malades
dans le parc de Saint-Rémi de Reims, et Louis XVI qui en toucha 2400, le lendemain
de leur sacre respectif, les 29 octobre 1722 et le 12 juin 1775.
La foi n’y était plus. S’il y eu si peu de malades à se présenter c’est qu’ils étaient tous
repartis à cause des doutes du roi et de l’annulation de cette cérémonie. D’ailleurs,
Charles X ne toucha jamais plus par la suite !
Alors, Charles X ?
Roi constitutionnellement sacré ou roi sacrément constitutionnel ? Dauphin ? Régent
?
Mais…, c’est de lui-même que vient la réponse par son comportement incroyable,
qui envoie M. de la Rochejaquelein dans la nuit du 31 juillet au 1er août 1830, juste
avant son abdication, pour prendre conseil auprès du laboureur Martin de Gallardon
de ce qu’il doit faire dans l’intérêt de la France…!
Rappelons ce qu’en dit, pages 40 et 41, Nöelle Destremeau dans son livre : Martin
le Visionnaire et Marie-Caroline duchesse de Berry régente de France – NEL Paris
2002 :
« Nous voici en 1830 ; un fait inouï, presqu’invraisemblable se passe : en trois
jours, la monarchie est en grand péril, Paris se bat et Charles X part au château
de Rambouillet avec sa famille. Cependant le roi dispose de 12 000 soldats fidèles
avec des canons, qui peuvent résister aux bandes indisciplinées. De plus, la province
ne bouge pas. Les maréchaux demandent les ordres au roi mais Charles
X hésite et n’ordonne rien. Le roi a reconnu, semble-t-il le châtiment de Dieu, il
songe aux prédictions de Martin aux malheurs prédits à la France, à la mort de
son fils Berry : Martin, dont Charles X connaît fort bien les avertissements, n’a
pas été écouté, le trône n’a pas été rendu au fils de Louis XVI qui est vivant… Alors
le roi envoie Monsieur de la Rochejaquelein auprès du laboureur
Martin, entre le 31 juillet et le 3 août 1830, fait ahurissant mais incontestable : un
officier envoyé par le roi demande au paysan ce que Charles X doit faire, Charles
X, un dévot de la monarchie, Charles X convaincu que la légitimité règne en sa
personne !
La Rochejaquelein part en pleine nuit, suivi de deux écuyers, on galope, à francs
étriers, vers Gallardon et ce n’est pas sans peine que l’aide de camp trouve la
ferme de Martin vers deux heures du matin. Il frappe longuement. Enfin, le bonÀ
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
homme en chemise et pieds nus, ouvre sa porte et reste sur le seuil, en haut de
trois marches, une lanterne à la main !
« - Monsieur Thomas Martin, au nom du Roi. »
« - Ne prenez pas la peine de vous expliquer », dit Martin, « l’archange m’a averti
qu’on viendrait me « consulter : j’ai la réponse »
« Monsieur de la Rochejaquelein reste à cheval et Martin sur son perron.
« - Je vous écoute, Martin. »
« Et voici la réponse du paysan :
« - Dites au roi qu’il sait bien la raison de tous ces malheurs. A présent, il ne peut
rien faire quand bien même il aurait 200 000 hommes de troupe ; il ne réussirait
qu’à faire couler beaucoup de sang. Il faut qu’il parte en exil, il y mourra sans
avoir revu la France ainsi que son fils, le duc d’Angoulême. Henri son petit fils ne
sera jamais roi.»
Quant à Henri, Comte de Chambord, il sera effectivement beaucoup plus prudent. Il
ne montera pas sur le trône. Cette sage décision, il semble qu’il la prendra après les
visites de Maximin, le voyant de La Salette.
Xavier de Roche, dans son livre Louis XVII : du passé à l’avenir, l’explicite très bien :
« Maximin rend deux fois visite au comte de Chambord à Frohsdorf en 1865(3) et
en 1873 : Tout en manifestant sa confiance, souvent exprimée, en un retour final
de la Monarchie, il déclare à l’ancien Duc de Bordeaux : «Je suis venu vous dire
qu’il ne fallait pas entreprendre de devenir Roi de France, que cela ne se peut
pas et vous savez pourquoi».
Le Comte de Chambord confia à son secrétaire le Comte Henri de Vanssay :
«Maintenant, j’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai
donc pas sur le Trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret(4).
C’est Lui Seul qui se réserve de rétablir la Royauté».
Le Comte de Chambord précisera sa pensée le 25 janvier 1872, par un nouveau
manifeste, dans lequel il proclame entre autre :
« […] Je n’arbore pas un nouveau drapeau, je maintiens celui de la France. [...]
« […] Rien n’ébranlera mes résolutions, rien ne lassera ma patience, et personne,
sous aucun prétexte, n’obtiendra de moi que je consente à devenir le roi
légitime de la Révolution.»
(3) En réalité, à Venise en1865.
(4) Cette confi dence du Comte de Chambord à Vanssay a été faite après le 2nd passage de Maximin à Frohsdorff en 1873. Elle est d’une importante
capitale. De quel secret parle-t-il ? Mais de la certitude que son cousin Louis XVII EXISTE (au présent). Cela signifi e que Louis XVII,
EST ENCORE VIVANT à cette date, et âgé de 87 ans révolus. C’est pourquoi Dieu veut que CETTE CERTITUDE NE SOIT PAS REVELEE
! Et pour quelle raison ? Pour que ce fait ne reste qu’une supposition et éviter ainsi que des recherches sérieuses et approfondies ne soient
entreprises par tous les ennemis d’une vraie restauration dans le but de supprimer le dauphin.
trois marches, une lanterne à la main !
« - Monsieur Thomas Martin, au nom du Roi. »
« - Ne prenez pas la peine de vous expliquer », dit Martin, « l’archange m’a averti
qu’on viendrait me « consulter : j’ai la réponse »
« Monsieur de la Rochejaquelein reste à cheval et Martin sur son perron.
« - Je vous écoute, Martin. »
« Et voici la réponse du paysan :
« - Dites au roi qu’il sait bien la raison de tous ces malheurs. A présent, il ne peut
rien faire quand bien même il aurait 200 000 hommes de troupe ; il ne réussirait
qu’à faire couler beaucoup de sang. Il faut qu’il parte en exil, il y mourra sans
avoir revu la France ainsi que son fils, le duc d’Angoulême. Henri son petit fils ne
sera jamais roi.»
Quant à Henri, Comte de Chambord, il sera effectivement beaucoup plus prudent. Il
ne montera pas sur le trône. Cette sage décision, il semble qu’il la prendra après les
visites de Maximin, le voyant de La Salette.
Xavier de Roche, dans son livre Louis XVII : du passé à l’avenir, l’explicite très bien :
« Maximin rend deux fois visite au comte de Chambord à Frohsdorf en 1865(3) et
en 1873 : Tout en manifestant sa confiance, souvent exprimée, en un retour final
de la Monarchie, il déclare à l’ancien Duc de Bordeaux : «Je suis venu vous dire
qu’il ne fallait pas entreprendre de devenir Roi de France, que cela ne se peut
pas et vous savez pourquoi».
Le Comte de Chambord confia à son secrétaire le Comte Henri de Vanssay :
«Maintenant, j’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai
donc pas sur le Trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret(4).
C’est Lui Seul qui se réserve de rétablir la Royauté».
Le Comte de Chambord précisera sa pensée le 25 janvier 1872, par un nouveau
manifeste, dans lequel il proclame entre autre :
« […] Je n’arbore pas un nouveau drapeau, je maintiens celui de la France. [...]
« […] Rien n’ébranlera mes résolutions, rien ne lassera ma patience, et personne,
sous aucun prétexte, n’obtiendra de moi que je consente à devenir le roi
légitime de la Révolution.»
(3) En réalité, à Venise en1865.
(4) Cette confi dence du Comte de Chambord à Vanssay a été faite après le 2nd passage de Maximin à Frohsdorff en 1873. Elle est d’une importante
capitale. De quel secret parle-t-il ? Mais de la certitude que son cousin Louis XVII EXISTE (au présent). Cela signifi e que Louis XVII,
EST ENCORE VIVANT à cette date, et âgé de 87 ans révolus. C’est pourquoi Dieu veut que CETTE CERTITUDE NE SOIT PAS REVELEE
! Et pour quelle raison ? Pour que ce fait ne reste qu’une supposition et éviter ainsi que des recherches sérieuses et approfondies ne soient
entreprises par tous les ennemis d’une vraie restauration dans le but de supprimer le dauphin.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Dans cette proclamation, il suit parfaitement l’enseignement politique de Jeanne
d’Arc et reconnaît aussitôt le Christ Roi de France comme Suzerain… Et il le prouvera
en actes : Il sait bien qu’il ne peut être en vérité que Régent et que sa Régence,
à lui, serait rejetée en cette période si troublée spirituellement et politiquement.
Et finalement, ce qui l’aidera à sortir, fors l’honneur, des négociations de restauration
en cours d’une monarchie qui devait, semble-t-il , être constitutionnelle avec
toutes les compromissions qu’elle aurait imposées, c’est l’objet si cher au coeur de
Jeanne, son étendard : le drapeau blanc !
Huit mois avant la mort du Comte de Chambord, quand Mélanie la voyante de La
Salette devint Soeur Marie de la Croix, elle écrivit le 29 janvier 1883 au Chanoine de
Brandt : «Dans ce moment, la France ne veut plus de Roi... Quand le moment sera
venu, Dieu trouvera le Roi à donner à la France humiliée...». Mélanie complète le 29
avril 1884 : «Dieu nous donnera un Roi et un Roi auquel on ne pense pas».
Le jour même du décès du Comte de Chambord, le 24 août 1883, Notre-Seigneur annonce
à Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de Blain en Bretagne, la mort du Prince ;
Marie-Julie voit la croix se couvrir de nuages, le monde se couvrir de ténèbres et
Jésus-Christ, du haut de son Trône, en termes terriblement menaçants, jeter cette
parole d’épouvante :
« PLUS D’ESPÉRANCE DU CÔTÉ DE LA TERRE ! La France n’ayant pas mérité
Celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre. Premier châtiment ! »
C’est le coup d’arrêt, c’est l’avertissement officiel du Christ roi de France, à l’adresse
de tous les français, en particulier les royalistes, ainsi qu’à tout membre de la Famille
Royale qui pourrait se prétendre ou se croire unique Dauphin légitime, que
désormais toute Restauration ou tentative de Restauration monarchique conçue
et organisée par les hommes sera définitivement inopérante quels que soient les
moyens naturels et humains légitimes employés.
Le 24 août 1883, Le Trône de France a été mis sous scellés pour une période indéterminée,
définie et connue du Christ seul. Il en découle qu’en tant que suzerain,
le Christ se réserve le choix de son Lieutenant, à qui il donnera le Royaume en
commende, et de l’époque à laquelle Il brisera ces scellés ; DONC, A CONTRARIO,
L’ESPÉRANCE EST DU CÔTÉ DU CIEL QUAND LA FRANCE AURA MÉRITÉ DE RECEVOIR
CELUI QUI DOIT LA SAUVER !
Pour le mériter, la France se doit de réaliser 3 épreuves :
• Reconnaître officiellement ses fautes d’apostasie religieuse et politique
qu’elle a commises depuis 220 ans à l’égard de son Seigneur :
C’est l’épreuve de VÉRITÉ !
• Faire amende honorable envers son Suzerain, c’est-à-dire regretter amèrement
ces fautes et en demander pardon officiellement, en particulier du
d’Arc et reconnaît aussitôt le Christ Roi de France comme Suzerain… Et il le prouvera
en actes : Il sait bien qu’il ne peut être en vérité que Régent et que sa Régence,
à lui, serait rejetée en cette période si troublée spirituellement et politiquement.
Et finalement, ce qui l’aidera à sortir, fors l’honneur, des négociations de restauration
en cours d’une monarchie qui devait, semble-t-il , être constitutionnelle avec
toutes les compromissions qu’elle aurait imposées, c’est l’objet si cher au coeur de
Jeanne, son étendard : le drapeau blanc !
Huit mois avant la mort du Comte de Chambord, quand Mélanie la voyante de La
Salette devint Soeur Marie de la Croix, elle écrivit le 29 janvier 1883 au Chanoine de
Brandt : «Dans ce moment, la France ne veut plus de Roi... Quand le moment sera
venu, Dieu trouvera le Roi à donner à la France humiliée...». Mélanie complète le 29
avril 1884 : «Dieu nous donnera un Roi et un Roi auquel on ne pense pas».
Le jour même du décès du Comte de Chambord, le 24 août 1883, Notre-Seigneur annonce
à Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de Blain en Bretagne, la mort du Prince ;
Marie-Julie voit la croix se couvrir de nuages, le monde se couvrir de ténèbres et
Jésus-Christ, du haut de son Trône, en termes terriblement menaçants, jeter cette
parole d’épouvante :
« PLUS D’ESPÉRANCE DU CÔTÉ DE LA TERRE ! La France n’ayant pas mérité
Celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre. Premier châtiment ! »
C’est le coup d’arrêt, c’est l’avertissement officiel du Christ roi de France, à l’adresse
de tous les français, en particulier les royalistes, ainsi qu’à tout membre de la Famille
Royale qui pourrait se prétendre ou se croire unique Dauphin légitime, que
désormais toute Restauration ou tentative de Restauration monarchique conçue
et organisée par les hommes sera définitivement inopérante quels que soient les
moyens naturels et humains légitimes employés.
Le 24 août 1883, Le Trône de France a été mis sous scellés pour une période indéterminée,
définie et connue du Christ seul. Il en découle qu’en tant que suzerain,
le Christ se réserve le choix de son Lieutenant, à qui il donnera le Royaume en
commende, et de l’époque à laquelle Il brisera ces scellés ; DONC, A CONTRARIO,
L’ESPÉRANCE EST DU CÔTÉ DU CIEL QUAND LA FRANCE AURA MÉRITÉ DE RECEVOIR
CELUI QUI DOIT LA SAUVER !
Pour le mériter, la France se doit de réaliser 3 épreuves :
• Reconnaître officiellement ses fautes d’apostasie religieuse et politique
qu’elle a commises depuis 220 ans à l’égard de son Seigneur :
C’est l’épreuve de VÉRITÉ !
• Faire amende honorable envers son Suzerain, c’est-à-dire regretter amèrement
ces fautes et en demander pardon officiellement, en particulier du
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
mal qu’elles ont répandu dans les domaines religieux et politique en France
et dans le monde (la perversion du meilleur conduit au pire, ne l’oublions
pas !), et aussi faire pénitence en acceptant les châtiments que le Christ
voudra bien nous envoyer, mais en le suppliant de nous les envoyer par Son
Divin Coeur, Doux et Miséricordieux :
C’est l’épreuve d’HUMILITÉ !
• Faire réparation à l’honneur bafoué du Christ Roi de France par une concrète
et officielle Supplique à Dieu pour le retour du Roi… de Son roi à Lui !
Accepter d’accepter Son roi, c’est l’épreuve la plus dure, l’épreuve
tant redoutée, celle qui sera refusée par beaucoup, même des nôtres :
C’est l’épreuve de VOLONTÉ !
«Si tu le veux» répétait Jeanne à Charles VII !
Le Christ se plaignait à Marie-Julie de ce trop faible désir de la France du retour de
son roi. «Vous ne demandez pas assez la venue du Roi !». En 1873, Marie-Julie du
Crucifix annonçait un retour possible du Roi, si la France priait et si elle faisait un
effort de conversion :
«Jamais, pauvre France, tu ne seras gouvernée par un autre que ce Roi de Mon
choix.»
C’est encore plus spécialement vrai pour nous, à notre époque, qui après avoir
essayé tous les régimes et systèmes politiques possibles et imaginables, sommes
totalement dans l’impasse :
«On a essayé de tout ; l’heure ne serait-elle pas venue d’essayer de la Vérité ?»,
disait le Cardinal Pie !
Alors, si nous voulons bien comprendre qu’à partir de cette année 2011, notre
UNIQUE DERNIÈRE CHANCE, n’est plus qu’un acte SPIRITUEL ET CONCRET, si
nous voulons bien comprendre, car les heures sont ultimes, qu’il n’est plus que de
PRIER ET SUPPLIER Dieu de donner Son Roi à son «Saint Royaume» (non le roi
auquel nous aspirons pour quelque bonne raison que ce soit), par une cérémonie
officielle, collective, organisée et assurée périodiquement et assidûment, eh bien
rassurez-vous mes amis, Jeanne nous précèdera tous et, touchant de son étendard
les bastilles qui nous arrêtent, nous clamera : «A cette heure Messire a condamné
ses ennemis… Entrez, tout est vôtre !»
Actuellement, le Christ s’adresse à des âmes privilégiées, les suppliant de prier à la
place des pauvres pécheurs, PARCE QUE CEUX-CI SONT DANS L’INCAPACITÉ PHYSIQUE,
MORALE ET SPIRITUELLE de le faire pour eux-mêmes. Il requiert donc de
ces âmes de se substituer à eux pour solliciter la conversion qu’ils ne peuvent pas
demander ; d’être le Bon samaritain pour transporter ces moribonds ne pouvant se
mouvoir, chez l’aubergiste régénérateur ; enfin… d’être pour eux le sel de la terre !
et dans le monde (la perversion du meilleur conduit au pire, ne l’oublions
pas !), et aussi faire pénitence en acceptant les châtiments que le Christ
voudra bien nous envoyer, mais en le suppliant de nous les envoyer par Son
Divin Coeur, Doux et Miséricordieux :
C’est l’épreuve d’HUMILITÉ !
• Faire réparation à l’honneur bafoué du Christ Roi de France par une concrète
et officielle Supplique à Dieu pour le retour du Roi… de Son roi à Lui !
Accepter d’accepter Son roi, c’est l’épreuve la plus dure, l’épreuve
tant redoutée, celle qui sera refusée par beaucoup, même des nôtres :
C’est l’épreuve de VOLONTÉ !
«Si tu le veux» répétait Jeanne à Charles VII !
Le Christ se plaignait à Marie-Julie de ce trop faible désir de la France du retour de
son roi. «Vous ne demandez pas assez la venue du Roi !». En 1873, Marie-Julie du
Crucifix annonçait un retour possible du Roi, si la France priait et si elle faisait un
effort de conversion :
«Jamais, pauvre France, tu ne seras gouvernée par un autre que ce Roi de Mon
choix.»
C’est encore plus spécialement vrai pour nous, à notre époque, qui après avoir
essayé tous les régimes et systèmes politiques possibles et imaginables, sommes
totalement dans l’impasse :
«On a essayé de tout ; l’heure ne serait-elle pas venue d’essayer de la Vérité ?»,
disait le Cardinal Pie !
Alors, si nous voulons bien comprendre qu’à partir de cette année 2011, notre
UNIQUE DERNIÈRE CHANCE, n’est plus qu’un acte SPIRITUEL ET CONCRET, si
nous voulons bien comprendre, car les heures sont ultimes, qu’il n’est plus que de
PRIER ET SUPPLIER Dieu de donner Son Roi à son «Saint Royaume» (non le roi
auquel nous aspirons pour quelque bonne raison que ce soit), par une cérémonie
officielle, collective, organisée et assurée périodiquement et assidûment, eh bien
rassurez-vous mes amis, Jeanne nous précèdera tous et, touchant de son étendard
les bastilles qui nous arrêtent, nous clamera : «A cette heure Messire a condamné
ses ennemis… Entrez, tout est vôtre !»
Actuellement, le Christ s’adresse à des âmes privilégiées, les suppliant de prier à la
place des pauvres pécheurs, PARCE QUE CEUX-CI SONT DANS L’INCAPACITÉ PHYSIQUE,
MORALE ET SPIRITUELLE de le faire pour eux-mêmes. Il requiert donc de
ces âmes de se substituer à eux pour solliciter la conversion qu’ils ne peuvent pas
demander ; d’être le Bon samaritain pour transporter ces moribonds ne pouvant se
mouvoir, chez l’aubergiste régénérateur ; enfin… d’être pour eux le sel de la terre !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Nous devons faire nôtre cette requête pour réaliser, en vérité, nos 3 épreuves !
Aujourd’hui, «il y a grande pitié au Royaume de France».
Après 220 ans, la Révolution a accompli son oeuvre : Le «Saint Royaume» est éclipsé
et l’Eglise sans sa protection temporelle, est déjà entrée dans les affres de la Passion
de son Maître qu’elle doit subir comme Lui jusqu’au bout. Totalement déchristianisés
par la politique laïciste volontariste ou tiède, selon les circonstances, des
régimes qui se sont succédé, les français n’ont plus aucune notion de la spécificité
de leur identité, ni de la «vocation divine» de leur pays. Subjugués par les discours
et les idées politiques des mauvais maîtres qu’ils se donnent, convaincus de la malignité
du passé royal et catholique de la France, quand ils savent encore qu’il y eut
une France avant 1789, culpabilisés par leur moindre écart de démocratie, ils ont
rejeté jusqu’à l’oubli, ce qui fait leur âme.
Le peuple français ne peut plus prier pour son pardon.
Royalistes, vous êtes le sel de la terre de France !
Aujourd’hui, «il y a grande pitié au Royaume de France».
En 1420, notre pauvre roi était fou ; nos élites, clercs et laïcs, nous trahissaient.
Aujourd’hui, depuis 30 ans, le Souverain Peuple est fou. Il se bourre de tranquillisants
et d’antidépresseurs médicamenteux et médiatiques. Il s’en remet aveuglément
à ses élites, toujours les mêmes, qui sacrifient ce qui reste de son être au
Mondialisme anglo-saxon. Son âme damnée, L’Europe, notre nouveau seigneur, en
même temps qu’elle apostasie officiellement, par rejet de ses racines chrétiennes,
décide du devenir du territoire de la France, par ses projets de morcellement et de
restructuration de ses provinces(5), comme du devenir de sa population de souche,
par une immigration à grande échelle de peuples inassimilables.
Le peuple français ne peut plus prier pour sa survie.
Royalistes, vous êtes le sel de la terre de France !
Aujourd’hui, «il y a grande pitié au Royaume de France».
Il y a 35 ans, au prétexte de charité laïque, nos gouvernants nous ont mis devant le
fait accompli du regroupement familial des immigrés travaillant chez nous. Depuis
lors, l’immigration s’est transformée en invasion de peuples divers, véritable changement
programmé de population. Si ces populations sont assez disparates par
l’ethnie, surtout depuis ces dernières années, elles véhiculent, toutes, une religion,
elle, parfaitement monolithique, totalement incompatible avec nos moeurs, nos coutumes
et nos fondements catholiques : l’ISLAM(6). Conquérante et expansionniste de
(5) Se rapporter au livre de Pierre Hillard : La Décomposition des Nations Européennes ou Géopolitique cachée de la Constitution Européenne
- Ed. François-Xavier de Guibert - 2005.
(6) Le mot ISLAM, utilisé ici, est écrit tout en lettres capitales. Le fait de l’écrire tout en capitales ne permet pas de faire apparaître les
fi nesses du mot, évidentes lorsqu’il est écrit en graphie normale, et peut prêter à confusion. Conventionnellement, le mot « islam » écrit
Aujourd’hui, «il y a grande pitié au Royaume de France».
Après 220 ans, la Révolution a accompli son oeuvre : Le «Saint Royaume» est éclipsé
et l’Eglise sans sa protection temporelle, est déjà entrée dans les affres de la Passion
de son Maître qu’elle doit subir comme Lui jusqu’au bout. Totalement déchristianisés
par la politique laïciste volontariste ou tiède, selon les circonstances, des
régimes qui se sont succédé, les français n’ont plus aucune notion de la spécificité
de leur identité, ni de la «vocation divine» de leur pays. Subjugués par les discours
et les idées politiques des mauvais maîtres qu’ils se donnent, convaincus de la malignité
du passé royal et catholique de la France, quand ils savent encore qu’il y eut
une France avant 1789, culpabilisés par leur moindre écart de démocratie, ils ont
rejeté jusqu’à l’oubli, ce qui fait leur âme.
Le peuple français ne peut plus prier pour son pardon.
Royalistes, vous êtes le sel de la terre de France !
Aujourd’hui, «il y a grande pitié au Royaume de France».
En 1420, notre pauvre roi était fou ; nos élites, clercs et laïcs, nous trahissaient.
Aujourd’hui, depuis 30 ans, le Souverain Peuple est fou. Il se bourre de tranquillisants
et d’antidépresseurs médicamenteux et médiatiques. Il s’en remet aveuglément
à ses élites, toujours les mêmes, qui sacrifient ce qui reste de son être au
Mondialisme anglo-saxon. Son âme damnée, L’Europe, notre nouveau seigneur, en
même temps qu’elle apostasie officiellement, par rejet de ses racines chrétiennes,
décide du devenir du territoire de la France, par ses projets de morcellement et de
restructuration de ses provinces(5), comme du devenir de sa population de souche,
par une immigration à grande échelle de peuples inassimilables.
Le peuple français ne peut plus prier pour sa survie.
Royalistes, vous êtes le sel de la terre de France !
Aujourd’hui, «il y a grande pitié au Royaume de France».
Il y a 35 ans, au prétexte de charité laïque, nos gouvernants nous ont mis devant le
fait accompli du regroupement familial des immigrés travaillant chez nous. Depuis
lors, l’immigration s’est transformée en invasion de peuples divers, véritable changement
programmé de population. Si ces populations sont assez disparates par
l’ethnie, surtout depuis ces dernières années, elles véhiculent, toutes, une religion,
elle, parfaitement monolithique, totalement incompatible avec nos moeurs, nos coutumes
et nos fondements catholiques : l’ISLAM(6). Conquérante et expansionniste de
(5) Se rapporter au livre de Pierre Hillard : La Décomposition des Nations Européennes ou Géopolitique cachée de la Constitution Européenne
- Ed. François-Xavier de Guibert - 2005.
(6) Le mot ISLAM, utilisé ici, est écrit tout en lettres capitales. Le fait de l’écrire tout en capitales ne permet pas de faire apparaître les
fi nesses du mot, évidentes lorsqu’il est écrit en graphie normale, et peut prêter à confusion. Conventionnellement, le mot « islam » écrit
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
nature, utilisant avec prouesse l’arme démographique, arme de destruction massive
invisible et plaisante à manier, l’islam est LE PÉRIL VITAL du Royaume. La
France risque au mieux de disparaître naturellement… par étapes… en douceur et…
sans bruit(7).
Le peuple français ne peut plus prier pour son salut.
Royalistes, vous êtes le sel de la terre de France !
Voilà la situation… !
Le Christ Roi de France VEUT que nous demandions le Roi. Il ATTEND une demande
de tout le peuple français… Et le peuple ne peut plus ! Il ne peut plus parce qu’il ne
sait plus… Il ne sait plus parce qu’il ne croit plus... Et il ne croit plus parce qu’il s’est
entièrement donné à l’Ennemi !
Donc, plus d’espérance de ce côté-là non plus ?
Presque plus !
Sauf de toi, petit peuple royaliste, qui es le sel de la terre de France !
C’est à toi, et à toi seul que revient de représenter tout le peuple français, à toi seul
de te substituer à lui dans cette supplique à Dieu pour le retour du Roi. En réalité, tu
es le plus petit reste de la vraie France, la petite armée de Jeanne, insignifiante pour
notre temps. Toi, tu peux encore prier parce que tu sais encore le faire… Tu DOIS
utiliser cette arme ULTIME «et Dieu donnera la victoire»…
«Si tu le veux» !
Attention cependant, tu es le dernier recours.
Ne te laisse pas affadir par les alliances, les constructions et les calculs des hommes,
sinon tu seras jeté définitivement hors ton propre pays et piétiné, toi aussi !
Royalistes, nous qui savons, le Christ Roi de France nous pose la question ultime :
« Qu’avons-nous fait d’EFFICACE - c’est-à-dire qui produit l’effet attendu - depuis
deux siècles pour le « Saint Royaume » ?
Il la pose à vous qui dites : « Il faut prier, il faut prier pour la France », et ne le faites
pas DEVANT les hommes.
Il la pose à vous, royalistes légitimistes, à vous royalistes orléanistes, à vous aussi
royalistes survivantistes et providentialistes, encore à vous royalistes démocrates,
de droite, de gauche et d’ailleurs, presque royalistes et royalistes hésitants… et
en minuscules, avec un « i » minuscule au début, est employé pour désigner la religion musulmane. Il est homologue au mot christianisme
désignant la religion chrétienne et, pour cette raison, on devrait logiquement employer la graphie « islamisme » (sa forme intégriste étant le
« fondamentalisme »), mais aujourd’hui ce terme a malheureusement pris le sens de fondamentalisme. Selon la même convention, le mot «
Islam », écrit en minuscules, avec un « I » majuscule est employé pour signifi er le monde musulman comme la Chrétienté signifi e le monde
chrétien. Il va de soi qu’écrit tout en lettres capitales, le mot perd totalement de sa précision et l’on ne peut savoir de quoi on parle. Dans le
texte ci-dessus, il désigne la religion (islam)… quoique !
(7) Se rapporter au livre de René Marchand : Mahomet Contre-enquête - Ed. de l’Echiquier - 2006.
invisible et plaisante à manier, l’islam est LE PÉRIL VITAL du Royaume. La
France risque au mieux de disparaître naturellement… par étapes… en douceur et…
sans bruit(7).
Le peuple français ne peut plus prier pour son salut.
Royalistes, vous êtes le sel de la terre de France !
Voilà la situation… !
Le Christ Roi de France VEUT que nous demandions le Roi. Il ATTEND une demande
de tout le peuple français… Et le peuple ne peut plus ! Il ne peut plus parce qu’il ne
sait plus… Il ne sait plus parce qu’il ne croit plus... Et il ne croit plus parce qu’il s’est
entièrement donné à l’Ennemi !
Donc, plus d’espérance de ce côté-là non plus ?
Presque plus !
Sauf de toi, petit peuple royaliste, qui es le sel de la terre de France !
C’est à toi, et à toi seul que revient de représenter tout le peuple français, à toi seul
de te substituer à lui dans cette supplique à Dieu pour le retour du Roi. En réalité, tu
es le plus petit reste de la vraie France, la petite armée de Jeanne, insignifiante pour
notre temps. Toi, tu peux encore prier parce que tu sais encore le faire… Tu DOIS
utiliser cette arme ULTIME «et Dieu donnera la victoire»…
«Si tu le veux» !
Attention cependant, tu es le dernier recours.
Ne te laisse pas affadir par les alliances, les constructions et les calculs des hommes,
sinon tu seras jeté définitivement hors ton propre pays et piétiné, toi aussi !
Royalistes, nous qui savons, le Christ Roi de France nous pose la question ultime :
« Qu’avons-nous fait d’EFFICACE - c’est-à-dire qui produit l’effet attendu - depuis
deux siècles pour le « Saint Royaume » ?
Il la pose à vous qui dites : « Il faut prier, il faut prier pour la France », et ne le faites
pas DEVANT les hommes.
Il la pose à vous, royalistes légitimistes, à vous royalistes orléanistes, à vous aussi
royalistes survivantistes et providentialistes, encore à vous royalistes démocrates,
de droite, de gauche et d’ailleurs, presque royalistes et royalistes hésitants… et
en minuscules, avec un « i » minuscule au début, est employé pour désigner la religion musulmane. Il est homologue au mot christianisme
désignant la religion chrétienne et, pour cette raison, on devrait logiquement employer la graphie « islamisme » (sa forme intégriste étant le
« fondamentalisme »), mais aujourd’hui ce terme a malheureusement pris le sens de fondamentalisme. Selon la même convention, le mot «
Islam », écrit en minuscules, avec un « I » majuscule est employé pour signifi er le monde musulman comme la Chrétienté signifi e le monde
chrétien. Il va de soi qu’écrit tout en lettres capitales, le mot perd totalement de sa précision et l’on ne peut savoir de quoi on parle. Dans le
texte ci-dessus, il désigne la religion (islam)… quoique !
(7) Se rapporter au livre de René Marchand : Mahomet Contre-enquête - Ed. de l’Echiquier - 2006.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
même vous, plus royalistes que le roi !
Le vide du Trône répond à cette question : RIEN !
Les faits ont la tête dure.
Vous allez me rétorquer que puisque le Trône est mis sous scellés nous ne pouvons
plus grand chose, sinon attendre le bon vouloir de « Messire ». C’est vrai !
Cependant, s’il est humainement exact «qu’on ne peut pas aller plus vite que la
Providence», comme aimait à le répéter Saint Vincent- de-Paul, par contre, la seule
prière peut déterminer la Providence à avancer ses délais.
Voilà pourquoi Il nous implore notre Suzerain : «Mon plan de salut des nations passe
par Ma France et Mon Roi. Voulez-vous ce que Je veux pour vous et pour elles ?
Pourquoi, vous qui savez, ne me le demandez-vous pas ? J’attends depuis si longtemps
votre oui pour le réaliser !»
Voilà…! A nous de répondre maintenant !
Et pour répondre parfaitement, nous devons passer par MARIE ( !
Par MARIE, Reine de France !
Par MARIE, Reine Mère du «Saint Royaume» !
Et en particulier par Marie de Pontmain !
Mais pourquoi, Pontmain ? Il y a bien d’autres endroits dédiés à Marie tout aussi
adaptés ?
NON !
C’est cet endroit, et cet endroit seul, le plus approprié pour ce que nous devons
entreprendre !
Et voici pourquoi…
( Nous passer de Marie est conceptuellement impossible. Si le Christ a eu nécessairement besoin de Marie, Sa mère, pour passer de l’infi ni
de Dieu au fi ni de l’homme et réaliser notre salut, il n’existe alors personne sur terre qui puisse s’épanouir du naturel au surnaturel, se sublimer
du fi ni terrestre à l’infi ni divin sans passer par Marie… PERSONNE ! Tout ce que nous devons être, tout ce que nous devons faire, tout
se doit de passer par Marie pour être ainsi ajusté au Christ dans la Très Sainte Trinité… TOUT !
Le vide du Trône répond à cette question : RIEN !
Les faits ont la tête dure.
Vous allez me rétorquer que puisque le Trône est mis sous scellés nous ne pouvons
plus grand chose, sinon attendre le bon vouloir de « Messire ». C’est vrai !
Cependant, s’il est humainement exact «qu’on ne peut pas aller plus vite que la
Providence», comme aimait à le répéter Saint Vincent- de-Paul, par contre, la seule
prière peut déterminer la Providence à avancer ses délais.
Voilà pourquoi Il nous implore notre Suzerain : «Mon plan de salut des nations passe
par Ma France et Mon Roi. Voulez-vous ce que Je veux pour vous et pour elles ?
Pourquoi, vous qui savez, ne me le demandez-vous pas ? J’attends depuis si longtemps
votre oui pour le réaliser !»
Voilà…! A nous de répondre maintenant !
Et pour répondre parfaitement, nous devons passer par MARIE ( !
Par MARIE, Reine de France !
Par MARIE, Reine Mère du «Saint Royaume» !
Et en particulier par Marie de Pontmain !
Mais pourquoi, Pontmain ? Il y a bien d’autres endroits dédiés à Marie tout aussi
adaptés ?
NON !
C’est cet endroit, et cet endroit seul, le plus approprié pour ce que nous devons
entreprendre !
Et voici pourquoi…
( Nous passer de Marie est conceptuellement impossible. Si le Christ a eu nécessairement besoin de Marie, Sa mère, pour passer de l’infi ni
de Dieu au fi ni de l’homme et réaliser notre salut, il n’existe alors personne sur terre qui puisse s’épanouir du naturel au surnaturel, se sublimer
du fi ni terrestre à l’infi ni divin sans passer par Marie… PERSONNE ! Tout ce que nous devons être, tout ce que nous devons faire, tout
se doit de passer par Marie pour être ainsi ajusté au Christ dans la Très Sainte Trinité… TOUT !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
… A PONTMAIN !
« Supposons que l’un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander
: « Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n’ai rien
à lui offrir «. Et si, de l’intérieur, l’autre lui répond : « Ne viens pas me tourmenter !
Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis
pas me lever pour te donner du pain «, - moi, je vous l’affirme : même s’il ne se lève pas
pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera
tout ce qu’il lui faut.
« Eh bien, moi, je vous dis : demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez,
la porte vous sera ouverte. Celui qui demande, reçoit ; celui qui cherche, trouve ; et
pour celui qui frappe, la porte s’ouvre ».
(Luc 11, 5-13)
Parmi tous les lieux d’apparitions de la Très Sainte Vierge dans notre pays, Pontmain
est un de ceux dont on parle relativement peu. Il est moins connu du grand
public ; ce dernier le considère comme secondaire, ou encore ce qui s’y est passé
lui paraît moins spectaculaire. Il y a bien des écrits et études sur la question, mais
en tout cas, ce lieu et les faits qui s’y sont déroulés restent, pour le commun des
mortels catholiques, entourés d’un halo de mystère, non pas tant autour des événements
eux-mêmes que dans leur interprétation et dans leur finalité…
Oui, effectivement, Pontmain est absolument à part dans l’histoire des apparitions
mariales, et aussi beaucoup plus important qu’il n’y paraît. Je dirais même qu’il est
prédestiné pour notre époque actuelle.
Voyons cela.
LE CONTEXTE :
• Invasion étrangère
La situation de la France de 1870-1871 est désespérée !
La tiédeur, la futilité, le manque de réalisme politique des élites au pouvoir,
en somme leur libéralisme philosophique et politique généralisé, ont fait
basculer la France dans la guerre contre la Prusse, sans aucune préparation
digne de ce nom. Le pays est battu à plate couture. Les armées françaises
sont enfoncées ou reculent partout. C’est une invasion étrangère
rapide et puissante qui déferle. Paris est occupé, Le Mans vient d’être pris
et les prussiens patrouillent dans les faubourgs de Laval. Dans quelques
heures ils entreront en Bretagne, dans quelques jours ils seront à Brest.
« Supposons que l’un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander
: « Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n’ai rien
à lui offrir «. Et si, de l’intérieur, l’autre lui répond : « Ne viens pas me tourmenter !
Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis
pas me lever pour te donner du pain «, - moi, je vous l’affirme : même s’il ne se lève pas
pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera
tout ce qu’il lui faut.
« Eh bien, moi, je vous dis : demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez,
la porte vous sera ouverte. Celui qui demande, reçoit ; celui qui cherche, trouve ; et
pour celui qui frappe, la porte s’ouvre ».
(Luc 11, 5-13)
Parmi tous les lieux d’apparitions de la Très Sainte Vierge dans notre pays, Pontmain
est un de ceux dont on parle relativement peu. Il est moins connu du grand
public ; ce dernier le considère comme secondaire, ou encore ce qui s’y est passé
lui paraît moins spectaculaire. Il y a bien des écrits et études sur la question, mais
en tout cas, ce lieu et les faits qui s’y sont déroulés restent, pour le commun des
mortels catholiques, entourés d’un halo de mystère, non pas tant autour des événements
eux-mêmes que dans leur interprétation et dans leur finalité…
Oui, effectivement, Pontmain est absolument à part dans l’histoire des apparitions
mariales, et aussi beaucoup plus important qu’il n’y paraît. Je dirais même qu’il est
prédestiné pour notre époque actuelle.
Voyons cela.
LE CONTEXTE :
• Invasion étrangère
La situation de la France de 1870-1871 est désespérée !
La tiédeur, la futilité, le manque de réalisme politique des élites au pouvoir,
en somme leur libéralisme philosophique et politique généralisé, ont fait
basculer la France dans la guerre contre la Prusse, sans aucune préparation
digne de ce nom. Le pays est battu à plate couture. Les armées françaises
sont enfoncées ou reculent partout. C’est une invasion étrangère
rapide et puissante qui déferle. Paris est occupé, Le Mans vient d’être pris
et les prussiens patrouillent dans les faubourgs de Laval. Dans quelques
heures ils entreront en Bretagne, dans quelques jours ils seront à Brest.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
• Humiliation, démoralisation et abandon
La soudaineté de la défaite et de l’invasion, malgré les actes de bravoure
et d’héroïsme, laisse les français « sonnés ». Pensez-donc, des étrangers
conquérants n’avaient pas occupé le pays depuis 1815. L’Empereur est
prisonnier, le pouvoir s’est effondré.
Les français se sentent abandonnés. Ce choc fait déprimer toutes les
couches de la population. Pendant combien de temps la guerre va-t-elle
durer ? L’invasion va-t-elle se généraliser ? L’occupation va-t-elle s’éterniser
? Et nos soldats, vont-ils rentrer sains et saufs ? En plus de l’amour
qu’on leur porte, les campagnes ont besoin d’eux pour vivre.
Une nouvelle révolution serait catastrophique ! Qui va nous sauver ?
• Déchristianisation
Depuis les « Lumières » et 1789, le poison révolutionnaire a agi comme de
l’arsenic. Il n’est plus violent comme au début, mais chaque jour instille sa
dose de plus en plus importante et le corps social s’étiole et se fragilise.
La plus grande confusion règne dans les esprits, surtout ceux des élites au
pouvoir qui chérissent les chimères nouvelles.
Aucun des régimes qui ont suivi le Directoire – Restaurations, Monarchie de Juillet
et Second Empire (sans parler de l’Empire du « Fils de la Révolution », ni la «
maudite » Seconde République) – n’a supprimé ce goutte à goutte pernicieux. Peu à
peu la drogue fait son effet. Urbaine ou rurale, la France oublie son passé, renie ses
fondements, pervertit son âme.
C’est dans une telle situation que la Très Sainte Vierge, Reine de France, va intervenir
pour sauver son « Royaume chéri ».
LA SINGULARITÉ DE L’INTERVENTION MARIALE :
La dure épreuve pousse une partie des français à la prière. Dans le malheur, ils
retrouvent les hymnes et les rites oubliés ou négligés depuis la Grande Révolution
et son cortège de bouleversements dans la vie toute entière. Dans les hameaux, en
particulier dans l’ouest de la France, de nombreuses familles sont restées chrétiennes
et pratiquantes, et toute la maisonnée prie tous les jours, plus encore depuis
le début de cette guerre.
A Pontmain !
La petite bourgade de Pontmain a la grande grâce d’avoir depuis 31 ans un curé qui,
dès son installation en 1840, a formé ses ouailles à la FOI EN LA PRIÈRE MARIALE,
ET A SA PRATIQUE. Ce curé a une immense dévotion à la Mère de Dieu, qu’il manifeste
au cours de ses 32 années de présence dans sa paroisse par 9 principales
La soudaineté de la défaite et de l’invasion, malgré les actes de bravoure
et d’héroïsme, laisse les français « sonnés ». Pensez-donc, des étrangers
conquérants n’avaient pas occupé le pays depuis 1815. L’Empereur est
prisonnier, le pouvoir s’est effondré.
Les français se sentent abandonnés. Ce choc fait déprimer toutes les
couches de la population. Pendant combien de temps la guerre va-t-elle
durer ? L’invasion va-t-elle se généraliser ? L’occupation va-t-elle s’éterniser
? Et nos soldats, vont-ils rentrer sains et saufs ? En plus de l’amour
qu’on leur porte, les campagnes ont besoin d’eux pour vivre.
Une nouvelle révolution serait catastrophique ! Qui va nous sauver ?
• Déchristianisation
Depuis les « Lumières » et 1789, le poison révolutionnaire a agi comme de
l’arsenic. Il n’est plus violent comme au début, mais chaque jour instille sa
dose de plus en plus importante et le corps social s’étiole et se fragilise.
La plus grande confusion règne dans les esprits, surtout ceux des élites au
pouvoir qui chérissent les chimères nouvelles.
Aucun des régimes qui ont suivi le Directoire – Restaurations, Monarchie de Juillet
et Second Empire (sans parler de l’Empire du « Fils de la Révolution », ni la «
maudite » Seconde République) – n’a supprimé ce goutte à goutte pernicieux. Peu à
peu la drogue fait son effet. Urbaine ou rurale, la France oublie son passé, renie ses
fondements, pervertit son âme.
C’est dans une telle situation que la Très Sainte Vierge, Reine de France, va intervenir
pour sauver son « Royaume chéri ».
LA SINGULARITÉ DE L’INTERVENTION MARIALE :
La dure épreuve pousse une partie des français à la prière. Dans le malheur, ils
retrouvent les hymnes et les rites oubliés ou négligés depuis la Grande Révolution
et son cortège de bouleversements dans la vie toute entière. Dans les hameaux, en
particulier dans l’ouest de la France, de nombreuses familles sont restées chrétiennes
et pratiquantes, et toute la maisonnée prie tous les jours, plus encore depuis
le début de cette guerre.
A Pontmain !
La petite bourgade de Pontmain a la grande grâce d’avoir depuis 31 ans un curé qui,
dès son installation en 1840, a formé ses ouailles à la FOI EN LA PRIÈRE MARIALE,
ET A SA PRATIQUE. Ce curé a une immense dévotion à la Mère de Dieu, qu’il manifeste
au cours de ses 32 années de présence dans sa paroisse par 9 principales
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
réalisations, et par des ornementations symboliques de son église(9).
Ainsi, à partir du 8 décembre 1854 (définition du Dogme de l’Immaculée Conception),
quatre bougies sont systématiquement allumées sur l’autel de la Vierge à tous
les offices de la paroisse. En 1860, il fait décorer la voûte de son église en bleu nuit
avec un semis d’étoiles d’or à 5 branches (Etoile du matin).
Ses marques bien à lui de tendresse filiale pour Notre-Dame, qu’il rend visibles
dans son église, matérialisent en quelque sorte toutes ses propres prières et celles
que sa petite paroisse de Pontmain persévère à adresser à la Reine des Cieux et à
la Reine de France depuis bien longtemps et en particulier depuis le début des hostilités…,
pour que cette guerre cesse, que les soldats reviennent et que la France
soit sauvée.
Mais, pourquoi donc à Pontmain plutôt qu’ailleurs ?
Parce qu’en ce 17 janvier 1871, c’est le dernier petit village encore libre, le plus
extrême de l’ouest de la France - la Bretagne est à 1200 m - le plus éloigné de tout,
mais le plus cher au coeur de Marie, qui soit maintenant au plus près du front de
l’invasion.
De ce poste avancé, la Reine de France a le pouvoir de stopper complètement et
définitivement son orgueilleuse pénétration : « Tu n’iras pas plus loin ! », pouvoir
obtenu grâce à tous les coeurs priants de cette paroisse, prêts maintenant à recevoir
le message de Notre-Dame.
Alors, dans ce village des Marches de Bretagne, Marie apparaît sans tarder dans la
soirée du 17 janvier 1871, de 18h00 à 21h00…, et ne se montre qu’aux enfants !
Quelle singulière apparition !
Je dis bien « cette apparition », car elle va être unique ; unique comme celle de La
Salette en 1846. Les autres « grandes » apparitions dans notre pays se sont manifestées
par plusieurs visites de Marie : 3 à la Rue du Bac (1830), 18 à Lourdes (1858)
et, après Pontmain, 15 auront lieu à Pellevoisin (1876).
A Pontmain, la Très Sainte Vierge se déplace une seule fois et tout est dit…, et quel
message !
Singulière, d’abord dans son décor.
La Très Sainte Vierge se présente habillée d’une robe bleu nuit constellée d’étoiles
(9) Dans l’ordre d’accomplissement, elles sont :
. Erection de la statue de la Vierge en haut du clocher de l’église,
. Mise en place de la statue de la vierge à l’entrée du presbytère comme principal ornement,
. Incitation des familles à mettre une statue ou une image de la Vierge en place d’honneur dans les maisons,
. Etablissement de la Confrérie du Coeur Immaculé,
. Etablissement de la Confrérie de ND du Mont Carmel,
. Inauguration du Mois de Marie en 1846, avec hommage des enfants à Marie deux fois par jour,
. Ornementation avec un soin tout particulier de l’autel de la Vierge Immaculée (4 bougies sont allumées à l’autel de la Vierge à chaque offi ce,
à partir du 8 décembre 1854),
. Consécration offi cielle de sa paroisse à Notre-Dame,
. Récitation publique du chapelet au pied de la statue de Marie chaque dimanche après vêpres,
. Décoration, en 1860, de la voûte de l’église en bleu nuit avec semis d’étoiles d’or à 5 branches.
Ainsi, à partir du 8 décembre 1854 (définition du Dogme de l’Immaculée Conception),
quatre bougies sont systématiquement allumées sur l’autel de la Vierge à tous
les offices de la paroisse. En 1860, il fait décorer la voûte de son église en bleu nuit
avec un semis d’étoiles d’or à 5 branches (Etoile du matin).
Ses marques bien à lui de tendresse filiale pour Notre-Dame, qu’il rend visibles
dans son église, matérialisent en quelque sorte toutes ses propres prières et celles
que sa petite paroisse de Pontmain persévère à adresser à la Reine des Cieux et à
la Reine de France depuis bien longtemps et en particulier depuis le début des hostilités…,
pour que cette guerre cesse, que les soldats reviennent et que la France
soit sauvée.
Mais, pourquoi donc à Pontmain plutôt qu’ailleurs ?
Parce qu’en ce 17 janvier 1871, c’est le dernier petit village encore libre, le plus
extrême de l’ouest de la France - la Bretagne est à 1200 m - le plus éloigné de tout,
mais le plus cher au coeur de Marie, qui soit maintenant au plus près du front de
l’invasion.
De ce poste avancé, la Reine de France a le pouvoir de stopper complètement et
définitivement son orgueilleuse pénétration : « Tu n’iras pas plus loin ! », pouvoir
obtenu grâce à tous les coeurs priants de cette paroisse, prêts maintenant à recevoir
le message de Notre-Dame.
Alors, dans ce village des Marches de Bretagne, Marie apparaît sans tarder dans la
soirée du 17 janvier 1871, de 18h00 à 21h00…, et ne se montre qu’aux enfants !
Quelle singulière apparition !
Je dis bien « cette apparition », car elle va être unique ; unique comme celle de La
Salette en 1846. Les autres « grandes » apparitions dans notre pays se sont manifestées
par plusieurs visites de Marie : 3 à la Rue du Bac (1830), 18 à Lourdes (1858)
et, après Pontmain, 15 auront lieu à Pellevoisin (1876).
A Pontmain, la Très Sainte Vierge se déplace une seule fois et tout est dit…, et quel
message !
Singulière, d’abord dans son décor.
La Très Sainte Vierge se présente habillée d’une robe bleu nuit constellée d’étoiles
(9) Dans l’ordre d’accomplissement, elles sont :
. Erection de la statue de la Vierge en haut du clocher de l’église,
. Mise en place de la statue de la vierge à l’entrée du presbytère comme principal ornement,
. Incitation des familles à mettre une statue ou une image de la Vierge en place d’honneur dans les maisons,
. Etablissement de la Confrérie du Coeur Immaculé,
. Etablissement de la Confrérie de ND du Mont Carmel,
. Inauguration du Mois de Marie en 1846, avec hommage des enfants à Marie deux fois par jour,
. Ornementation avec un soin tout particulier de l’autel de la Vierge Immaculée (4 bougies sont allumées à l’autel de la Vierge à chaque offi ce,
à partir du 8 décembre 1854),
. Consécration offi cielle de sa paroisse à Notre-Dame,
. Récitation publique du chapelet au pied de la statue de Marie chaque dimanche après vêpres,
. Décoration, en 1860, de la voûte de l’église en bleu nuit avec semis d’étoiles d’or à 5 branches.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
d’or à 5 branches, et puis, environ une heure après le début de l’apparition, lorsque
le curé que l’on était venu chercher arrive, un ovale entourant Marie comme les
bords d’une médaille se forme, et 4 bobèches avec bougies (non allumées) se positionnent
dans l’ovale.
Voilà l’apparence de Marie quand elle se montre aux enfants dont quatre âgés respectivement
de 12, 11, 10 et 9 ans seront considérés comme les voyants principaux
; les deux autres, 7 ans et demi, et 25 mois, n’ayant pas été retenus comme voyants
principaux bien qu’ils aient vu eux aussi la Vierge.
Singulière dans son message.
A la fois dans la présentation du message et dans son libellé, très étrange par sa
syntaxe.
Oui, le message est tout à fait atypique.
D’abord c’est un message silencieux !
Marie ne parle pas !
Nous sommes en face d’une apparition ressemblant à un vitrail : Très peu de mouvements,
des couleurs comme celles des vitraux de facture française où le bleu, le
rouge, le jaune (l’or) et le blanc dominent, et un texte déroulé sur une banderole
comme une légende.
La Vierge y exprime, toujours silencieusement et par les expressions de son visage,
ses sentiments de joie et de tendresse, mais aussi de déception et de tristesse. Et
si elle semble prononcer une fois quelques paroles, puisque les enfants voient ses
lèvres remuer, elles sont dites tout bas à son Fils crucifié, et les petits voyants ne
les entendent pas.
Marie ne parle pas... Elle écrit !
Et elle s’adresse d’abord aux enfants, puisque eux seuls ont la grâce et la faculté
de voir l’apparition et de suivre tout son déroulement. Marie leur écrit en lettres
majuscules dorées… par délicatesse, pour qu’il n’y ait pas d’ambigüité, pour qu’ils
les distinguent bien, sur une banderole blanche, blanche comme une page de leur
cahier d’écolier, que la Reine des Cieux révèle environ une heure et demie après le
début de l’apparition, c’est-à-dire à sa moitié.
Cela appelle deux remarques :
La première, c’est qu’en 1871, dans un petit village perdu de l’ouest de la France,
quoique les hussards de la République n’aient pas encore fait leur apparition, et
contrairement à la légende qu’on nous rabâche continuellement de nos jours, les
petits enfants de condition très modeste de 12, 11, 10 et 9 ans, parlant d’ordinaire
leur patois mais instruits dans les écoles religieuses locales, connaissaient parfaitement
leur alphabet et savaient très bien lire le français !
La seconde, c’est que l’on est sûr des termes du message. Ainsi révélés par écrit,
le curé que l’on était venu chercher arrive, un ovale entourant Marie comme les
bords d’une médaille se forme, et 4 bobèches avec bougies (non allumées) se positionnent
dans l’ovale.
Voilà l’apparence de Marie quand elle se montre aux enfants dont quatre âgés respectivement
de 12, 11, 10 et 9 ans seront considérés comme les voyants principaux
; les deux autres, 7 ans et demi, et 25 mois, n’ayant pas été retenus comme voyants
principaux bien qu’ils aient vu eux aussi la Vierge.
Singulière dans son message.
A la fois dans la présentation du message et dans son libellé, très étrange par sa
syntaxe.
Oui, le message est tout à fait atypique.
D’abord c’est un message silencieux !
Marie ne parle pas !
Nous sommes en face d’une apparition ressemblant à un vitrail : Très peu de mouvements,
des couleurs comme celles des vitraux de facture française où le bleu, le
rouge, le jaune (l’or) et le blanc dominent, et un texte déroulé sur une banderole
comme une légende.
La Vierge y exprime, toujours silencieusement et par les expressions de son visage,
ses sentiments de joie et de tendresse, mais aussi de déception et de tristesse. Et
si elle semble prononcer une fois quelques paroles, puisque les enfants voient ses
lèvres remuer, elles sont dites tout bas à son Fils crucifié, et les petits voyants ne
les entendent pas.
Marie ne parle pas... Elle écrit !
Et elle s’adresse d’abord aux enfants, puisque eux seuls ont la grâce et la faculté
de voir l’apparition et de suivre tout son déroulement. Marie leur écrit en lettres
majuscules dorées… par délicatesse, pour qu’il n’y ait pas d’ambigüité, pour qu’ils
les distinguent bien, sur une banderole blanche, blanche comme une page de leur
cahier d’écolier, que la Reine des Cieux révèle environ une heure et demie après le
début de l’apparition, c’est-à-dire à sa moitié.
Cela appelle deux remarques :
La première, c’est qu’en 1871, dans un petit village perdu de l’ouest de la France,
quoique les hussards de la République n’aient pas encore fait leur apparition, et
contrairement à la légende qu’on nous rabâche continuellement de nos jours, les
petits enfants de condition très modeste de 12, 11, 10 et 9 ans, parlant d’ordinaire
leur patois mais instruits dans les écoles religieuses locales, connaissaient parfaitement
leur alphabet et savaient très bien lire le français !
La seconde, c’est que l’on est sûr des termes du message. Ainsi révélés par écrit,
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
il n’y a pas de risque d’erreur. Au fur et à mesure de son « impression », le message
est épelé ; chaque mot qui se constitue « est lu et relu plus de cent fois par
les voyants séparés les uns des autres à la demande des assistants au début du
message proprement dit. Il n’y a pas la moindre hésitation, pas la moindre contradiction
». Puis les mots sont dits à haute voix par les enfants à leurs parents et à tous
les assistants, 60 personnes environ, sans jamais d’erreur.
Marie ne parle donc pas…, elle laisse parler à haute voix les voyants et l’assistance !
Oh, pas pour dire n’importe quoi car lorsque cela arrive une fois son visage devient si
triste que les enfants observent : « La voilà tombée en tristesse ». Non, silencieuse,
Marie laisse « prier ». Et c’est pour ne pas perturber ces prières et ces chants variés
et continus qui lui sont adressés que Notre Reine va délivrer son message par écrit,
écrit empreint d’une douce concision, concision symbolique par le style et le rythme
d’abord, concision apparente par la syntaxe ensuite.
Le style et le rythme :
Le message de la Vierge est extrêmement court. Il est constitué de 16 mots seulement,
dont 5 soulignés :
« MAIS PRIEZ MES ENFANTS DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »
Sans un signe de ponctuation !
Seul, un gros point, « gros comme le soleil » disent les enfants, de même taille que
les majuscules, termine la première ligne et la sépare de la seconde qui, elle, est totalement
soulignée et centrée par rapport à la première à la façon des imprimeurs.
Quel style étrange !
Ce rythme court, relativement saccadé, réparti en 6 - 10 - 7 syllabes, ne fait-il pas
penser à un genre de texte déjà vu, à un style de texte déjà rencontré, au moins pour
les plus anciens d’entre nous ? Attendez, je vais rajouter un seul mot et vous allez
comprendre :
« MAIS PRIEZ MES ENFANTS – STOP – DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS – STOP
MON FILS SE LAISSE TOUCHER – STOP.»
Mais oui ! C’est un télégramme que la Très Sainte Vierge nous délivre, une dépêche
pour rassurer en urgence. Marie a la délicatesse d’envoyer à la France, son Royaume,
cette déclaration de paix de la part de « Messire » son roi, selon l’expression de
Jeanne d’Arc ; une bonne nouvelle à faire connaître à la France toute entière !
est épelé ; chaque mot qui se constitue « est lu et relu plus de cent fois par
les voyants séparés les uns des autres à la demande des assistants au début du
message proprement dit. Il n’y a pas la moindre hésitation, pas la moindre contradiction
». Puis les mots sont dits à haute voix par les enfants à leurs parents et à tous
les assistants, 60 personnes environ, sans jamais d’erreur.
Marie ne parle donc pas…, elle laisse parler à haute voix les voyants et l’assistance !
Oh, pas pour dire n’importe quoi car lorsque cela arrive une fois son visage devient si
triste que les enfants observent : « La voilà tombée en tristesse ». Non, silencieuse,
Marie laisse « prier ». Et c’est pour ne pas perturber ces prières et ces chants variés
et continus qui lui sont adressés que Notre Reine va délivrer son message par écrit,
écrit empreint d’une douce concision, concision symbolique par le style et le rythme
d’abord, concision apparente par la syntaxe ensuite.
Le style et le rythme :
Le message de la Vierge est extrêmement court. Il est constitué de 16 mots seulement,
dont 5 soulignés :
« MAIS PRIEZ MES ENFANTS DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »
Sans un signe de ponctuation !
Seul, un gros point, « gros comme le soleil » disent les enfants, de même taille que
les majuscules, termine la première ligne et la sépare de la seconde qui, elle, est totalement
soulignée et centrée par rapport à la première à la façon des imprimeurs.
Quel style étrange !
Ce rythme court, relativement saccadé, réparti en 6 - 10 - 7 syllabes, ne fait-il pas
penser à un genre de texte déjà vu, à un style de texte déjà rencontré, au moins pour
les plus anciens d’entre nous ? Attendez, je vais rajouter un seul mot et vous allez
comprendre :
« MAIS PRIEZ MES ENFANTS – STOP – DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS – STOP
MON FILS SE LAISSE TOUCHER – STOP.»
Mais oui ! C’est un télégramme que la Très Sainte Vierge nous délivre, une dépêche
pour rassurer en urgence. Marie a la délicatesse d’envoyer à la France, son Royaume,
cette déclaration de paix de la part de « Messire » son roi, selon l’expression de
Jeanne d’Arc ; une bonne nouvelle à faire connaître à la France toute entière !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Ainsi, la guerre de 1870 commence par la dépêche d’Ems(10) et se termine par la
dépêche de Pontmain. Elle commence dans la complexité retorse d’un écrit truqué
par la malice des hommes et s’arrête net dans la douce simplicité et la tendresse
des mots d’une banderole céleste. Ah l’admirable bonté de Dieu !
Dès le lendemain, l’assaut contre Laval par les Prussiens est annulé. Quatre jours
plus tard, à la grande stupéfaction des troupes françaises, les Prussiens se retirent.
Une semaine encore et l’armistice est signé.
La syntaxe :
Merveilleuse syntaxe ! Quelle maîtrise de la langue française !
En seize mots tout est dit ; tout est plus que dit ! Car, si nous voulons bien le comprendre,
nous avons dans ces seize mots, dans ces deux petites phrases qui n’ont
l’air de rien, mais qui en disent beaucoup plus qu’il n’apparaît, la solution que nous
donne le Ciel pour résoudre les problèmes de l’époque mais aussi les problèmes
futurs, c’est-à-dire les nôtres.
Le message commence d’une façon très étonnante, par le mot « MAIS », qui reste
environ 10 minutes, tout seul, en début de banderole. Il laisse en suspens le reste
inconnu de la phrase dans un « silence graphique » impressionnant comme pour
bien faire rentrer dans les esprits l’extrême importance de ce petit mot signifiant
une condition qui doit suivre,… et aussi pour aviver l’attention des voyants et de la
foule sur ce qu’on va découvrir.
Il n’est pas courant de commencer une phrase en français par la conjonction de
coordination « MAIS ». Est-ce une figure de style de Notre-Dame, mise en valeur
par le tempo avec lequel la première phrase est délivrée ? Croyez-vous que Notre-
Dame serait venue retenir, en cette mi-janvier pendant trois heures dans la neige et
le froid de l’hiver rigoureux de 1871, toute cette petite foule de soixante personnes
pour lui faire connaître son aptitude à s’exprimer d’une façon un peu recherchée en
français ?
Non, non ! Le message marial est bien trop important.
Pour bien comprendre son sens profond, prenons le temps d’en faire l’analyse logique
des phrases qui le constituent.
Cela rappellera peut-être aux plus anciens quelques souvenirs de cette matière,
(10) La dépêche d’Ems :
Elle est une des causes et sûrement le prétexte de la guerre franco-allemande de 1870, liée à l’affaire de la Succession d’Espagne (sensible
pour l’impératrice Eugénie). Le 21 juin 1870, Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen (cousin catholique du roi de Prusse) est candidat au
trône d’Espagne, vacant depuis 1868. Le 6 juillet, Antoine, duc de Gramont (14-08-1819 / 17-01-1880), ministre des Affaires Etrangères
depuis le 17 mai 1870, annonce au Corps Législatif que la France fait opposition. Le 12 juillet, retrait de Léopold, notifi é par son père le Prince
Antoine. Le 13 juillet, Gramont demande que ce retrait soit garanti par son suzerain, le roi de Prusse (à cause du précédent roumain de 1866
: Charles de Hohenzollern était devenu roi de Roumanie malgré une renonciation antérieure). Le roi de Prusse (alors à Ems), blessé par cette
demande, décide de ne plus recevoir l’ambassadeur français (à Berlin depuis novembre), Vincent Comte Benedetti (Bastia 28-04-1817 / Paris
28-03-1900) et fait envoyer à 15h10 par le conseiller diplomatique Abeken un télégramme à Bismarck lui relatant le dernier entretien avec
Benedetti. Bismarck, voulant exploiter ce qui n’était qu’un incident diplomatique, « abrège » cette dépêche d’Ems, faisant ainsi apparaître
ce refus d’audience comme un affront fait à la France. (Le roi avait autorisé Bismarck à publier la dépêche, mais Bismarck adressa le texte
tronqué aux journaux – dont la gazette de l’Allemagne du Nord) : la France s’indigne, Napoléon III, l’impératrice et une majorité de ministres
sont déterminés à la guerre. Le 15 juillet, le texte exact de la dépêche n’est communiqué ni au Sénat ni au Corps Législatif. Le 19 juillet, Emile
dépêche de Pontmain. Elle commence dans la complexité retorse d’un écrit truqué
par la malice des hommes et s’arrête net dans la douce simplicité et la tendresse
des mots d’une banderole céleste. Ah l’admirable bonté de Dieu !
Dès le lendemain, l’assaut contre Laval par les Prussiens est annulé. Quatre jours
plus tard, à la grande stupéfaction des troupes françaises, les Prussiens se retirent.
Une semaine encore et l’armistice est signé.
La syntaxe :
Merveilleuse syntaxe ! Quelle maîtrise de la langue française !
En seize mots tout est dit ; tout est plus que dit ! Car, si nous voulons bien le comprendre,
nous avons dans ces seize mots, dans ces deux petites phrases qui n’ont
l’air de rien, mais qui en disent beaucoup plus qu’il n’apparaît, la solution que nous
donne le Ciel pour résoudre les problèmes de l’époque mais aussi les problèmes
futurs, c’est-à-dire les nôtres.
Le message commence d’une façon très étonnante, par le mot « MAIS », qui reste
environ 10 minutes, tout seul, en début de banderole. Il laisse en suspens le reste
inconnu de la phrase dans un « silence graphique » impressionnant comme pour
bien faire rentrer dans les esprits l’extrême importance de ce petit mot signifiant
une condition qui doit suivre,… et aussi pour aviver l’attention des voyants et de la
foule sur ce qu’on va découvrir.
Il n’est pas courant de commencer une phrase en français par la conjonction de
coordination « MAIS ». Est-ce une figure de style de Notre-Dame, mise en valeur
par le tempo avec lequel la première phrase est délivrée ? Croyez-vous que Notre-
Dame serait venue retenir, en cette mi-janvier pendant trois heures dans la neige et
le froid de l’hiver rigoureux de 1871, toute cette petite foule de soixante personnes
pour lui faire connaître son aptitude à s’exprimer d’une façon un peu recherchée en
français ?
Non, non ! Le message marial est bien trop important.
Pour bien comprendre son sens profond, prenons le temps d’en faire l’analyse logique
des phrases qui le constituent.
Cela rappellera peut-être aux plus anciens quelques souvenirs de cette matière,
(10) La dépêche d’Ems :
Elle est une des causes et sûrement le prétexte de la guerre franco-allemande de 1870, liée à l’affaire de la Succession d’Espagne (sensible
pour l’impératrice Eugénie). Le 21 juin 1870, Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen (cousin catholique du roi de Prusse) est candidat au
trône d’Espagne, vacant depuis 1868. Le 6 juillet, Antoine, duc de Gramont (14-08-1819 / 17-01-1880), ministre des Affaires Etrangères
depuis le 17 mai 1870, annonce au Corps Législatif que la France fait opposition. Le 12 juillet, retrait de Léopold, notifi é par son père le Prince
Antoine. Le 13 juillet, Gramont demande que ce retrait soit garanti par son suzerain, le roi de Prusse (à cause du précédent roumain de 1866
: Charles de Hohenzollern était devenu roi de Roumanie malgré une renonciation antérieure). Le roi de Prusse (alors à Ems), blessé par cette
demande, décide de ne plus recevoir l’ambassadeur français (à Berlin depuis novembre), Vincent Comte Benedetti (Bastia 28-04-1817 / Paris
28-03-1900) et fait envoyer à 15h10 par le conseiller diplomatique Abeken un télégramme à Bismarck lui relatant le dernier entretien avec
Benedetti. Bismarck, voulant exploiter ce qui n’était qu’un incident diplomatique, « abrège » cette dépêche d’Ems, faisant ainsi apparaître
ce refus d’audience comme un affront fait à la France. (Le roi avait autorisé Bismarck à publier la dépêche, mais Bismarck adressa le texte
tronqué aux journaux – dont la gazette de l’Allemagne du Nord) : la France s’indigne, Napoléon III, l’impératrice et une majorité de ministres
sont déterminés à la guerre. Le 15 juillet, le texte exact de la dépêche n’est communiqué ni au Sénat ni au Corps Législatif. Le 19 juillet, Emile
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
quand ils étaient en cours élémentaires.
Le message est constitué de deux phrases :
1. Mais priez mes enfants Dieu vous exaucera en peu de temps •
2. Mon fils se laisse toucher.
Et de trois propositions :
1. Mais priez mes enfants,
2. Dieu vous exaucera en peu de temps •
3. Mon fils se laisse toucher.
Il commence par ce fameux « MAIS » si important, introduisant immédiatement une
proposition de coordination (proposition qui est reliée à la proposition principale
-celle qui régit la phrase- par une conjonction de coordination, ici : MAIS).
Alors, où est la proposition principale ?
Est-ce la suivante : « Dieu vous exaucera en peu de temps, » inversée par effet
de style ? Dans ce cas, si on remettait les propositions dans l’ordre normal, nous
aurions :
« Dieu vous exaucera en peu de temps (proposition principale), mais priez mes enfant
• (proposition coordonnée) ».
Cela peut se concevoir très bien. C’est du très bon français, mais qui ne donne aucune
information supplémentaire que l’on ne sache déjà. Il semble curieux que la
Très sainte Vierge se soit spécialement déplacée pour ne nous dire rien d’autre que
ce que l’on a déjà reçu trois fois, à la Rue du Bac, à Lourdes et à La Salette.
Non ! « Dieu vous exaucera en peu de temps, » n’est pas la proposition principale.
C’est une seconde proposition coordonnée, « explicative » de la précédente, et dont
la conjonction de coordination « et » est sous-entendue. Autrement dit, la phrase
peut s’écrire : « Mais priez mes enfants [et] Dieu vous exaucera en peu de temps ».
Ici, une remarque particulièrement importante s’impose.
Il ne faudrait pas commettre l’erreur de croire - car le sens est très proche - que
cette seconde proposition soit utilisée comme subordonnée circonstancielle consécutive
(complément de manière marquant la conséquence de l’action exprimée
dans la proposition antécédente « Mais priez mes enfants, »), introduite par un « de
sorte que » ou un « de façon que », et qui donnerait :
« Mais priez mes enfants de sorte que Dieu vous exauce en peu de temps ».
Ou, soit utilisée comme subordonnée circonstancielle finale (complément de but
marquant la finalité de la même action exprimée antérieurement), introduite cette
fois-ci par un « pour que », et donnant : « Mais priez mes enfants pour que Dieu vous
exauce en peu de temps ».
Mais dans ces deux cas le mode subjonctif est nécessaire, qui est celui du possible
Le message est constitué de deux phrases :
1. Mais priez mes enfants Dieu vous exaucera en peu de temps •
2. Mon fils se laisse toucher.
Et de trois propositions :
1. Mais priez mes enfants,
2. Dieu vous exaucera en peu de temps •
3. Mon fils se laisse toucher.
Il commence par ce fameux « MAIS » si important, introduisant immédiatement une
proposition de coordination (proposition qui est reliée à la proposition principale
-celle qui régit la phrase- par une conjonction de coordination, ici : MAIS).
Alors, où est la proposition principale ?
Est-ce la suivante : « Dieu vous exaucera en peu de temps, » inversée par effet
de style ? Dans ce cas, si on remettait les propositions dans l’ordre normal, nous
aurions :
« Dieu vous exaucera en peu de temps (proposition principale), mais priez mes enfant
• (proposition coordonnée) ».
Cela peut se concevoir très bien. C’est du très bon français, mais qui ne donne aucune
information supplémentaire que l’on ne sache déjà. Il semble curieux que la
Très sainte Vierge se soit spécialement déplacée pour ne nous dire rien d’autre que
ce que l’on a déjà reçu trois fois, à la Rue du Bac, à Lourdes et à La Salette.
Non ! « Dieu vous exaucera en peu de temps, » n’est pas la proposition principale.
C’est une seconde proposition coordonnée, « explicative » de la précédente, et dont
la conjonction de coordination « et » est sous-entendue. Autrement dit, la phrase
peut s’écrire : « Mais priez mes enfants [et] Dieu vous exaucera en peu de temps ».
Ici, une remarque particulièrement importante s’impose.
Il ne faudrait pas commettre l’erreur de croire - car le sens est très proche - que
cette seconde proposition soit utilisée comme subordonnée circonstancielle consécutive
(complément de manière marquant la conséquence de l’action exprimée
dans la proposition antécédente « Mais priez mes enfants, »), introduite par un « de
sorte que » ou un « de façon que », et qui donnerait :
« Mais priez mes enfants de sorte que Dieu vous exauce en peu de temps ».
Ou, soit utilisée comme subordonnée circonstancielle finale (complément de but
marquant la finalité de la même action exprimée antérieurement), introduite cette
fois-ci par un « pour que », et donnant : « Mais priez mes enfants pour que Dieu vous
exauce en peu de temps ».
Mais dans ces deux cas le mode subjonctif est nécessaire, qui est celui du possible
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
et non celui du sûr et certain. Or la Très Sainte Vierge utilise l’indicatif futur qui indique
bien que l’action VA se réaliser. Elle emploie donc bien une autre proposition
coordonnée, explicative celle-là.
Que doit-on déduire de cet emploi ? Quelle en est la signification ?
Mais tout simplement que Dieu va agir à coup sûr, quelle que soit la « qualité » de
la prière. En effet, la Vierge ne dit pas : « Mais priez beaucoup mes enfants », ou
longtemps, ou avec attention, ou souvent…, non, la Sainte Vierge ne demande QUE
de prier, tout court, c’est tout ! Mais c’est la clé, parce que c’est à la fois reconnaître
que nous ne pouvons pas tout, reconnaître que nous ne sommes que des hommes
et que nous dépendons de Dieu ; reconnaître qu’Il est bien notre Dieu, qu’Il est bien
notre Roi, en somme prier implique humilité et adoration envers Dieu. C’est pour
cela que la prière des pauvres et des petits est si parfaite et si efficace… car Dieu
voit qu’après avoir apporté notre « petit néant » humain, nous n’avons vraiment plus
rien. Alors Dieu agit lui-même ! D’ailleurs le curé d’Ars l’avait très bien compris, qui
proclamait dans ses sermons : « Mes frères, je connais quelqu’un qui est bien plus
fort que Dieu… c’est l’homme qui prie ! ».
Et pour bien insister, s’il le fallait encore, Marie de Pontmain utilise un petit mot qui
n’a l’air de rien mais qui change tout. Elle emploie, dans cette proposition le mot «
EN » au lieu de « DANS » :
« Dieu vous exaucera EN peu de temps • ».
Pourquoi ?
Parce que là, Marie nous prévient que non seulement Dieu va agir (indicatif = l’action
va se passer), mais que Son action est imminente, et non dans un laps de temps
proche mais indéterminé.
Nous venons d’analyser la première phrase, mais nous n’avons toujours pas répondu
à notre question du début. Où est la proposition principale ?
Eh bien, elle n’existe pas !
Ou plutôt, elle n’apparaît pas. Elle est sous-entendue (nous avons à faire à un télégramme,
et tout doit être dit d’une façon compréhensible en un minimum de mot !).
Comme cela est lumineux ! Comme la Reine de France sait bien nous parler avec
des silences !
La grammaire française (les anciennes éditions) nous indique que le mot « mais
» s’emploie aussi dans la conversation, au commencement d’une phrase qui a
quelque rapport à ce qui a précédé. Or, ce qui précède l’apparition de Pontmain est
une situation. C’est l’état dramatique de guerre et d’invasion de la France, Royaume
de Marie. Et la Très Sainte Vierge connaît très bien cette terrible situation, en particulier
par toutes les suppliques qui lui ont été adressées à ce sujet.
bien que l’action VA se réaliser. Elle emploie donc bien une autre proposition
coordonnée, explicative celle-là.
Que doit-on déduire de cet emploi ? Quelle en est la signification ?
Mais tout simplement que Dieu va agir à coup sûr, quelle que soit la « qualité » de
la prière. En effet, la Vierge ne dit pas : « Mais priez beaucoup mes enfants », ou
longtemps, ou avec attention, ou souvent…, non, la Sainte Vierge ne demande QUE
de prier, tout court, c’est tout ! Mais c’est la clé, parce que c’est à la fois reconnaître
que nous ne pouvons pas tout, reconnaître que nous ne sommes que des hommes
et que nous dépendons de Dieu ; reconnaître qu’Il est bien notre Dieu, qu’Il est bien
notre Roi, en somme prier implique humilité et adoration envers Dieu. C’est pour
cela que la prière des pauvres et des petits est si parfaite et si efficace… car Dieu
voit qu’après avoir apporté notre « petit néant » humain, nous n’avons vraiment plus
rien. Alors Dieu agit lui-même ! D’ailleurs le curé d’Ars l’avait très bien compris, qui
proclamait dans ses sermons : « Mes frères, je connais quelqu’un qui est bien plus
fort que Dieu… c’est l’homme qui prie ! ».
Et pour bien insister, s’il le fallait encore, Marie de Pontmain utilise un petit mot qui
n’a l’air de rien mais qui change tout. Elle emploie, dans cette proposition le mot «
EN » au lieu de « DANS » :
« Dieu vous exaucera EN peu de temps • ».
Pourquoi ?
Parce que là, Marie nous prévient que non seulement Dieu va agir (indicatif = l’action
va se passer), mais que Son action est imminente, et non dans un laps de temps
proche mais indéterminé.
Nous venons d’analyser la première phrase, mais nous n’avons toujours pas répondu
à notre question du début. Où est la proposition principale ?
Eh bien, elle n’existe pas !
Ou plutôt, elle n’apparaît pas. Elle est sous-entendue (nous avons à faire à un télégramme,
et tout doit être dit d’une façon compréhensible en un minimum de mot !).
Comme cela est lumineux ! Comme la Reine de France sait bien nous parler avec
des silences !
La grammaire française (les anciennes éditions) nous indique que le mot « mais
» s’emploie aussi dans la conversation, au commencement d’une phrase qui a
quelque rapport à ce qui a précédé. Or, ce qui précède l’apparition de Pontmain est
une situation. C’est l’état dramatique de guerre et d’invasion de la France, Royaume
de Marie. Et la Très Sainte Vierge connaît très bien cette terrible situation, en particulier
par toutes les suppliques qui lui ont été adressées à ce sujet.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Autrement dit, la non-formulation de la proposition principale nous prouve deux
choses lourdes de conséquences :
1. La première c’est qu’à Pontmain, la Sainte Vierge Marie se dérange du ciel
pour la France, et d’abord pour elle seule. En effet, le message ne concerne
qu’elle. C’est le mot MAIS, début de sa première phrase, se référant à la situation
française, qui le met en évidence… Et j’irai plus loin ! C’est que Pontmain
est LE lieu privilégié d’intercession mariale pour le « Saint Royaume ».
Je connais les objections des clercs et des laïcs qui seront choqués,
voire outrés par ce que j’avance. Ils contesteront ce fait en me rétorquant
que le message de Pontmain est beaucoup plus universel, beaucoup
plus spirituel, et que je cherche à l’instrumentaliser politiquement.
Eh bien au risque de les décevoir, en venant à Pontmain ce soir du 17 janvier
1871, la Très Sainte Vierge fait d’abord une action politique de grande envergure
et, qui plus est, doublée d’une action militaire…, et Elle ne fait que cela !
Qui, le surlendemain, a stoppé les armées prussiennes victorieuses
? Notre pauvre armée française en déroute complète, ou
Notre Dame et « Messire » Roi de France et Dieu des Armées ?
Qui a modifié la donne politique et permis le rapide armistice du 28 janvier
suivant (soit 11 jours après l’apparition), à la place d’une situation
bien pire que la volonté de continuer le combat de certains, malgré
notre défaite totale, n’aurait pas manquer de provoquer ? L’Empereur
Napoléon III, malade, prisonnier et déchu, les nouveaux politiciens qui se
sont rués sur le pouvoir vacant, ou Marie et « Messire » Roi de France ?
2. La seconde, c’est que la phrase complète du message de Pontmain, signifiée
par la Reine de France, étant maintenant identifiée comme la suivante :
« [Votre pauvre pays est en guerre et envahi par les Prussiens],
(proposition principale - constatation de la situation désespérée de 1871)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
ce qui est merveilleux, c’est qu’en sous-entendant la proposition principale,
non seulement Marie focalise toute l’attention sur elle, donc sur cette
situation de 1871, mais EN MÊME TEMPS, puisqu’elle ne précise pas, elle
généralise à l’avenir et nous donne d’abord, à nous Français, et je dirais en
particulier à nous ses Francs d’aujourd’hui, la solution pour toutes celles
qui lui seront semblables dans les temps futurs.
choses lourdes de conséquences :
1. La première c’est qu’à Pontmain, la Sainte Vierge Marie se dérange du ciel
pour la France, et d’abord pour elle seule. En effet, le message ne concerne
qu’elle. C’est le mot MAIS, début de sa première phrase, se référant à la situation
française, qui le met en évidence… Et j’irai plus loin ! C’est que Pontmain
est LE lieu privilégié d’intercession mariale pour le « Saint Royaume ».
Je connais les objections des clercs et des laïcs qui seront choqués,
voire outrés par ce que j’avance. Ils contesteront ce fait en me rétorquant
que le message de Pontmain est beaucoup plus universel, beaucoup
plus spirituel, et que je cherche à l’instrumentaliser politiquement.
Eh bien au risque de les décevoir, en venant à Pontmain ce soir du 17 janvier
1871, la Très Sainte Vierge fait d’abord une action politique de grande envergure
et, qui plus est, doublée d’une action militaire…, et Elle ne fait que cela !
Qui, le surlendemain, a stoppé les armées prussiennes victorieuses
? Notre pauvre armée française en déroute complète, ou
Notre Dame et « Messire » Roi de France et Dieu des Armées ?
Qui a modifié la donne politique et permis le rapide armistice du 28 janvier
suivant (soit 11 jours après l’apparition), à la place d’une situation
bien pire que la volonté de continuer le combat de certains, malgré
notre défaite totale, n’aurait pas manquer de provoquer ? L’Empereur
Napoléon III, malade, prisonnier et déchu, les nouveaux politiciens qui se
sont rués sur le pouvoir vacant, ou Marie et « Messire » Roi de France ?
2. La seconde, c’est que la phrase complète du message de Pontmain, signifiée
par la Reine de France, étant maintenant identifiée comme la suivante :
« [Votre pauvre pays est en guerre et envahi par les Prussiens],
(proposition principale - constatation de la situation désespérée de 1871)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
ce qui est merveilleux, c’est qu’en sous-entendant la proposition principale,
non seulement Marie focalise toute l’attention sur elle, donc sur cette
situation de 1871, mais EN MÊME TEMPS, puisqu’elle ne précise pas, elle
généralise à l’avenir et nous donne d’abord, à nous Français, et je dirais en
particulier à nous ses Francs d’aujourd’hui, la solution pour toutes celles
qui lui seront semblables dans les temps futurs.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Autrement dit Marie nous donne la clé pour résoudre notre situation catastrophique
actuelle de l’année 2011…, 140 ans après sa venue.
Si les mots ont un sens et si l’on veut bien comprendre, Notre-Dame de Pontmain
avertit aujourd’hui son petit reste :
« [Votre pauvre France est envahie par l’islam],
(proposition principale - constatation de notre situation lamentable de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Et encore :
« [Le Saint Royaume agonise dans son apostasie],
(proposition principale - constatation de notre situation effroyable de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Pour ajouter aussitôt :
« [Le Trône de Mon Fils Roi de France est aux mains d’un régime illégitime et diabolique],
(proposition principale - constatation de notre situation monstrueuse de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Et conclure :
« [Ma France refuse le Roi que mon Fils veut lui donner],
(proposition principale - constatation de notre situation misérable de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Oui, POUR NOTRE TEMPS, tout est résumé dans cette dernière version du message
de 1871. Toutes les autres situations pernicieuses ci-dessus de la France se
concluent et se résolvent en lui et par lui. Si nous prions de la façon proposée un peu
plus loin à cette intention, en incluant les autres états de fait, alors je suis sûr, car
ce n’est pas moi qui le dis, mais la Reine de France, que nous obtiendrons le salut et
la libération du pays… très rapidement !
« Si nous le voulons » !
Et nous terminerons ici notre analyse logique par la dernière phrase :
« Mon Fils se laisse toucher »
actuelle de l’année 2011…, 140 ans après sa venue.
Si les mots ont un sens et si l’on veut bien comprendre, Notre-Dame de Pontmain
avertit aujourd’hui son petit reste :
« [Votre pauvre France est envahie par l’islam],
(proposition principale - constatation de notre situation lamentable de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Et encore :
« [Le Saint Royaume agonise dans son apostasie],
(proposition principale - constatation de notre situation effroyable de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Pour ajouter aussitôt :
« [Le Trône de Mon Fils Roi de France est aux mains d’un régime illégitime et diabolique],
(proposition principale - constatation de notre situation monstrueuse de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Et conclure :
« [Ma France refuse le Roi que mon Fils veut lui donner],
(proposition principale - constatation de notre situation misérable de 2011)
MAIS PRIEZ MES ENFANTS [ET] DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS •
MON FILS SE LAISSE TOUCHER »,
Oui, POUR NOTRE TEMPS, tout est résumé dans cette dernière version du message
de 1871. Toutes les autres situations pernicieuses ci-dessus de la France se
concluent et se résolvent en lui et par lui. Si nous prions de la façon proposée un peu
plus loin à cette intention, en incluant les autres états de fait, alors je suis sûr, car
ce n’est pas moi qui le dis, mais la Reine de France, que nous obtiendrons le salut et
la libération du pays… très rapidement !
« Si nous le voulons » !
Et nous terminerons ici notre analyse logique par la dernière phrase :
« Mon Fils se laisse toucher »
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
C’est une proposition indépendante. Elle se suffit donc à elle-même qui, placée à la
fin, est une conclusion dans le message.
Mais pourquoi cette phrase est-elle soulignée d’un gros trait d’or ?
Pour signifier sa valeur inestimable…
C’est une promesse du Ciel !
Remarquons bien que la phrase est au présent... au présent de l’Eternité.
C‘est une PROMESSE ÉTERNELLE qui est exprimée ici, à Pontmain !
Au présent de 1871, c’est la confirmation de Marie aux priants de Pontmain, que leur
supplique (faite tout au long de l’apparition et bien antérieurement à elle) est agréée
par son Fils, et que la décision de Celui-ci d’exaucer est prise ici et maintenant. Les
termes de cette décision seront appliqués dans la temporalité… EN peu de temps.
La preuve matérielle ? C’est l’ennemi lui-même qui va la donner.
En cette nuit du 17 janvier, celui-ci n’est quand même pas suspect de faiblesse, de
scrupule ni de défaitisme.
Le matin même du jour où Marie intervient, le général allemand Voitgts-Rhetz dit
à l’évêque du Mans : «Ce soir mes troupes sont à Laval. Elles ont reçu l’ordres de
prendre la ville pour le lendemain». Laval sans grande défense, malgré l’arrivée de
Chanzy, ne peut résister… Mais dans la nuit du 17 au 18, le prince Frédéric-Charles
donne contrordre ; le général Karl Johann von Schmidt reçoit l’ordre de se rendre
sur la Seine au lieu de pénétrer dans Laval. Ce brusque changement de tactique, injustifié,
arrêt véritable de la poursuite de l’invasion, fera dire au général von Schmidt
: « C’est fini, nous n’irons pas plus loin, là-bas du côté de la Bretagne une Dame
invisible nous a barré la route »(11).
(11) Ces témoignages, rapportés dans la note 50 (pages 307 et 308) du livre « Pontmain, histoire authentique - tome 2 Preuves » de R. Laurentin
et A. Durand, édité par l’Apostolat des Editions (1977), sont documentés par les journaux suivants :
• La Semaine Religieuse de Laval (1869-1962), du 25 janvier 1873, page 247 :
« Les habitants (…) étaient étonnés de voir nos arrogants vainqueurs fuir comme épouvantés devant une force invisible et répéter « souvent : «Impossible
de prendre Laval, une grande Dame la défend». Nous pouvons garantir l’authenticité de ces paroles entendues « par des centaines
de témoins. On raconte aussi que le cheval d’un offi cier prussien refusa d’avancer en arrivant sur le territoire de « Laval, et que les mouvements
stratégiques de l’armée ennemie ne pouvaient aboutir. Nous n’affi rmerons pas ces deux derniers faits « avec autant de certitude que
le premier. »
• Chrestia, 1874, page 78 :
« L’ennemi s’arrêta subitement au plus fort et au plus facile de sa marche, et comme les gens du Maine, ne comprenant pas qu’il s’arrêtât «
ainsi en pleine et facile conquête, interrogeaient les vainqueurs, ceux-ci, au dire des témoins véridiques répondaient en désignant du « geste
les bois touffus du bocage où s’abrite Pontmain :
- La Dame qui est là-bas nous interdit d’avancer. »
• Dans la lettre d’un offi cier anonyme, publiée dans Les Annales de Pontmain, avril 1893, pages 317 à 319 :
« Depuis l’heure précise où Marie a apparu au-dessus de votre sol mayennais, les Allemands n’ont pas fait un pas en avant. Ils ont bien « dit :
- Une madone garde ce pays et nous défend d’avancer (…).
« A l’heure précise où Marie apparaît, l’ennemi s’arrête pour ne plus avancer (…) Pourquoi ce mouvement subit, incroyable ? (…). Que « ceux
qui ne croient pas aux surnaturelles interventions expliquent cette merveilleuse coïncidence ».
1ère Remarque :
Je n’ai pas retrouvé trace documentaire du fait que cette phrase ait été prononcée par le général von Schmidt lui-même, mais ce cheval de
l’offi cier allemand qui ne voulait plus avancer en arrivant sur le territoire de Laval, n’était-il pas justement celui du général Karl Johann von
Schmidt ? N’a-t-on pas là un fait étonnant qui serait la source de tous ces témoignages des hommes de troupe ? Ne serait-ce pas ce général
qui aurait fait cette remarque pour la première fois, qui aurait ensuite été reprise et diffusée par certains de ses hommes ?
2ème Remarque :
Tous ces témoignages sont à rapprocher de ceux de soldats et offi ciers allemands, 43 ans plus tard, pendant la 1ère bataille de la Marne en
septembre 1914, qui ont certifi é avoir vu la Vierge Marie les repousser pendant les combats, lors de leurs offensives.
fin, est une conclusion dans le message.
Mais pourquoi cette phrase est-elle soulignée d’un gros trait d’or ?
Pour signifier sa valeur inestimable…
C’est une promesse du Ciel !
Remarquons bien que la phrase est au présent... au présent de l’Eternité.
C‘est une PROMESSE ÉTERNELLE qui est exprimée ici, à Pontmain !
Au présent de 1871, c’est la confirmation de Marie aux priants de Pontmain, que leur
supplique (faite tout au long de l’apparition et bien antérieurement à elle) est agréée
par son Fils, et que la décision de Celui-ci d’exaucer est prise ici et maintenant. Les
termes de cette décision seront appliqués dans la temporalité… EN peu de temps.
La preuve matérielle ? C’est l’ennemi lui-même qui va la donner.
En cette nuit du 17 janvier, celui-ci n’est quand même pas suspect de faiblesse, de
scrupule ni de défaitisme.
Le matin même du jour où Marie intervient, le général allemand Voitgts-Rhetz dit
à l’évêque du Mans : «Ce soir mes troupes sont à Laval. Elles ont reçu l’ordres de
prendre la ville pour le lendemain». Laval sans grande défense, malgré l’arrivée de
Chanzy, ne peut résister… Mais dans la nuit du 17 au 18, le prince Frédéric-Charles
donne contrordre ; le général Karl Johann von Schmidt reçoit l’ordre de se rendre
sur la Seine au lieu de pénétrer dans Laval. Ce brusque changement de tactique, injustifié,
arrêt véritable de la poursuite de l’invasion, fera dire au général von Schmidt
: « C’est fini, nous n’irons pas plus loin, là-bas du côté de la Bretagne une Dame
invisible nous a barré la route »(11).
(11) Ces témoignages, rapportés dans la note 50 (pages 307 et 308) du livre « Pontmain, histoire authentique - tome 2 Preuves » de R. Laurentin
et A. Durand, édité par l’Apostolat des Editions (1977), sont documentés par les journaux suivants :
• La Semaine Religieuse de Laval (1869-1962), du 25 janvier 1873, page 247 :
« Les habitants (…) étaient étonnés de voir nos arrogants vainqueurs fuir comme épouvantés devant une force invisible et répéter « souvent : «Impossible
de prendre Laval, une grande Dame la défend». Nous pouvons garantir l’authenticité de ces paroles entendues « par des centaines
de témoins. On raconte aussi que le cheval d’un offi cier prussien refusa d’avancer en arrivant sur le territoire de « Laval, et que les mouvements
stratégiques de l’armée ennemie ne pouvaient aboutir. Nous n’affi rmerons pas ces deux derniers faits « avec autant de certitude que
le premier. »
• Chrestia, 1874, page 78 :
« L’ennemi s’arrêta subitement au plus fort et au plus facile de sa marche, et comme les gens du Maine, ne comprenant pas qu’il s’arrêtât «
ainsi en pleine et facile conquête, interrogeaient les vainqueurs, ceux-ci, au dire des témoins véridiques répondaient en désignant du « geste
les bois touffus du bocage où s’abrite Pontmain :
- La Dame qui est là-bas nous interdit d’avancer. »
• Dans la lettre d’un offi cier anonyme, publiée dans Les Annales de Pontmain, avril 1893, pages 317 à 319 :
« Depuis l’heure précise où Marie a apparu au-dessus de votre sol mayennais, les Allemands n’ont pas fait un pas en avant. Ils ont bien « dit :
- Une madone garde ce pays et nous défend d’avancer (…).
« A l’heure précise où Marie apparaît, l’ennemi s’arrête pour ne plus avancer (…) Pourquoi ce mouvement subit, incroyable ? (…). Que « ceux
qui ne croient pas aux surnaturelles interventions expliquent cette merveilleuse coïncidence ».
1ère Remarque :
Je n’ai pas retrouvé trace documentaire du fait que cette phrase ait été prononcée par le général von Schmidt lui-même, mais ce cheval de
l’offi cier allemand qui ne voulait plus avancer en arrivant sur le territoire de Laval, n’était-il pas justement celui du général Karl Johann von
Schmidt ? N’a-t-on pas là un fait étonnant qui serait la source de tous ces témoignages des hommes de troupe ? Ne serait-ce pas ce général
qui aurait fait cette remarque pour la première fois, qui aurait ensuite été reprise et diffusée par certains de ses hommes ?
2ème Remarque :
Tous ces témoignages sont à rapprocher de ceux de soldats et offi ciers allemands, 43 ans plus tard, pendant la 1ère bataille de la Marne en
septembre 1914, qui ont certifi é avoir vu la Vierge Marie les repousser pendant les combats, lors de leurs offensives.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Le lendemain a lieu à Saint-Melaine, à 2 km de Laval, les derniers combats qui se
terminent à l’avantage de l’armée française. Le 20 janvier, les troupes allemandes
commencent à évacuer la Mayenne. Le 28, l’armistice est signé...
Au présent de 2011, c’est la promesse de Marie aux postulants de la prière QUI
VEULENT BIEN SE DÉRANGER EN CE LIEU (c’est la 1ère condition) POUR PRIER
(c’est la 2nde condition) qu’ici et maintenant à Pontmain, son Fils décide toujours de
les exaucer, avec le même empressement… EN peu de temps.
Et c’est tout particulièrement la promesse de Marie aux français, car Celui qui
écoute ce qui lui est adressé là, par Marie Reine de France, pour le « Saint Royaume
», est « Messire », Jésus, Christ et Roi de France Lui-même. Tout Pontmain nous
induit donc, nous français et royalistes, à adresser la Supplique à Dieu pour le retour
du Roi en cet endroit privilégié…, prédestiné.
« Si nous le voulons ».
Alors, comment s’y prendre exactement ?
Mais,… à reproduire ce qu’ont fait les habitants de Pontmain en 1871 !
A bien y réfléchir, qu’ont-ils fait exactement ?
Là encore c’est l’apparition qui nous donne la réponse, plus précisément, c’est la
tenue vestimentaire de Marie. La Très Sainte Vierge ne laisse rien au hasard qui
utilise le langage des symboles et nous force à réfléchir pour comprendre.
Comment est habillée Marie pour cette apparition ?
D’une robe originale, sorte de grande tunique ample, bleue nuit parsemée d’étoiles
à 5 branches, reprenant exactement la décoration de la voûte de l’église paroissiale
de Pontmain que le curé a fait réaliser, voûte qui matérialise, je le répète encore,
à la fois toutes les marques de sa tendresse filiale pour Marie, toutes ses propres
prières et celles de ses paroissiens.
Autrement dit, Marie de Pontmain se revêt de la prière de ces petites gens. Elle s’en
fait une splendide parure et, avocate, se présente ainsi devant son Fils. Et Lui, ravi
de la beauté de sa Mère, « se laisse toucher » !
Cela est si vrai que pendant les prières de la petite foule présente lors de l’apparition,
et tout spécialement au cours du Chapelet, les voyants disent que le nombre
d’étoiles d’or augmente tellement qu’elles recouvrent toute la robe de Marie qui en
devient presque dorée. « Les étoiles de la robe se multipliaient si bien qu’à la fin on
ne voyait presque plus le bleu de la robe » - (Interrogatoire des voyants du 5 au 7
décembre 1871).
Oui, Marie à Pontmain se pare de la robe de nos prières pour les présenter à son
Fils !
terminent à l’avantage de l’armée française. Le 20 janvier, les troupes allemandes
commencent à évacuer la Mayenne. Le 28, l’armistice est signé...
Au présent de 2011, c’est la promesse de Marie aux postulants de la prière QUI
VEULENT BIEN SE DÉRANGER EN CE LIEU (c’est la 1ère condition) POUR PRIER
(c’est la 2nde condition) qu’ici et maintenant à Pontmain, son Fils décide toujours de
les exaucer, avec le même empressement… EN peu de temps.
Et c’est tout particulièrement la promesse de Marie aux français, car Celui qui
écoute ce qui lui est adressé là, par Marie Reine de France, pour le « Saint Royaume
», est « Messire », Jésus, Christ et Roi de France Lui-même. Tout Pontmain nous
induit donc, nous français et royalistes, à adresser la Supplique à Dieu pour le retour
du Roi en cet endroit privilégié…, prédestiné.
« Si nous le voulons ».
Alors, comment s’y prendre exactement ?
Mais,… à reproduire ce qu’ont fait les habitants de Pontmain en 1871 !
A bien y réfléchir, qu’ont-ils fait exactement ?
Là encore c’est l’apparition qui nous donne la réponse, plus précisément, c’est la
tenue vestimentaire de Marie. La Très Sainte Vierge ne laisse rien au hasard qui
utilise le langage des symboles et nous force à réfléchir pour comprendre.
Comment est habillée Marie pour cette apparition ?
D’une robe originale, sorte de grande tunique ample, bleue nuit parsemée d’étoiles
à 5 branches, reprenant exactement la décoration de la voûte de l’église paroissiale
de Pontmain que le curé a fait réaliser, voûte qui matérialise, je le répète encore,
à la fois toutes les marques de sa tendresse filiale pour Marie, toutes ses propres
prières et celles de ses paroissiens.
Autrement dit, Marie de Pontmain se revêt de la prière de ces petites gens. Elle s’en
fait une splendide parure et, avocate, se présente ainsi devant son Fils. Et Lui, ravi
de la beauté de sa Mère, « se laisse toucher » !
Cela est si vrai que pendant les prières de la petite foule présente lors de l’apparition,
et tout spécialement au cours du Chapelet, les voyants disent que le nombre
d’étoiles d’or augmente tellement qu’elles recouvrent toute la robe de Marie qui en
devient presque dorée. « Les étoiles de la robe se multipliaient si bien qu’à la fin on
ne voyait presque plus le bleu de la robe » - (Interrogatoire des voyants du 5 au 7
décembre 1871).
Oui, Marie à Pontmain se pare de la robe de nos prières pour les présenter à son
Fils !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Mais alors, nous savons ce qu’il nous reste à faire pour obtenir en ce lieu le Retour
du Roi, le salut de la France et de la Sainte-Eglise :
Nous devons tisser la robe de Marie, fil à fil, point par point, cm par cm… La prière
est répétitive, comme le tissage !
VOILA NOTRE OBJECTIF !
Si nous sommes seul ou peu nombreux, on comprend pourquoi ce travail sera lent
et difficile… Mais si nous sommes une multitude de petites mains… tout peut aller
très vite, et Marie paraître ainsi vêtue très rapidement devant son Fils.
Il reste cependant le mystérieux voile noir sur la tête de Marie.
Il est relativement long, environ 60 cm, puisque « Elle portait sur la tête un voile noir
couvrant la moitié du front, retombant en arrière, et qu’on apercevait un peu entre
le corps et les bras [étendus vers le sol et légèrement écartés du corps] - (Interrogatoire
des voyants du 5 au 7 décembre 1871).
On a beaucoup parlé d’un voile de deuil. Mais est-ce si sûr ? Et de quel deuil s’agirait-
il …?
Non, ce n’est pas un voile de deuil !
C’est la seule partie du vêtement de Marie qui NE SOIT PAS COMME sa robe…, de
couleur !
Le noir EST L’ABSENCE de toute couleur et de toute lumière. Si la robe de Marie est
tissée par nos prières, ce voile représente un vide de prières. Il est le signe de notre
autisme envers la Mère de Dieu et de son Fils. Il est très comparable aux rayons qui
ne brillent pas des mains de Marie de la Rue du Bac, représentant les grâces qui ne
pleuvent pas sur nous parce que nous ne les demandons pas. A Pontmain, le voile
noir représente toutes les prières que nous ne faisons pas et qui ne peuvent embellir
le vêtement de Marie.
Et c’est une grave leçon, spécialement pour nous, royalistes français !
Car, remarquons bien que ce voile noir est en lien direct avec la couronne de Notre-
Dame. Il la touche. Elle est posée sur lui.
Or cette « double couronne » de Marie, couronne supérieure et couronne inférieure,
séparées par un fin liseré rouge, n’est-elle pas la couronne du Ciel et de la Terre, la
couronne du Spirituel et du Temporel, distincts mais unis, définitivement soudés par
le sang du Christ, rouge comme le crucifix présenté par la Vierge ?
Alors, si nous avons bien compris la mission de la France qui est d’être le modèle
royal et chrétien des nations terrestres, comme le support temporel et le défenseur
de la Sainte Eglise,
du Roi, le salut de la France et de la Sainte-Eglise :
Nous devons tisser la robe de Marie, fil à fil, point par point, cm par cm… La prière
est répétitive, comme le tissage !
VOILA NOTRE OBJECTIF !
Si nous sommes seul ou peu nombreux, on comprend pourquoi ce travail sera lent
et difficile… Mais si nous sommes une multitude de petites mains… tout peut aller
très vite, et Marie paraître ainsi vêtue très rapidement devant son Fils.
Il reste cependant le mystérieux voile noir sur la tête de Marie.
Il est relativement long, environ 60 cm, puisque « Elle portait sur la tête un voile noir
couvrant la moitié du front, retombant en arrière, et qu’on apercevait un peu entre
le corps et les bras [étendus vers le sol et légèrement écartés du corps] - (Interrogatoire
des voyants du 5 au 7 décembre 1871).
On a beaucoup parlé d’un voile de deuil. Mais est-ce si sûr ? Et de quel deuil s’agirait-
il …?
Non, ce n’est pas un voile de deuil !
C’est la seule partie du vêtement de Marie qui NE SOIT PAS COMME sa robe…, de
couleur !
Le noir EST L’ABSENCE de toute couleur et de toute lumière. Si la robe de Marie est
tissée par nos prières, ce voile représente un vide de prières. Il est le signe de notre
autisme envers la Mère de Dieu et de son Fils. Il est très comparable aux rayons qui
ne brillent pas des mains de Marie de la Rue du Bac, représentant les grâces qui ne
pleuvent pas sur nous parce que nous ne les demandons pas. A Pontmain, le voile
noir représente toutes les prières que nous ne faisons pas et qui ne peuvent embellir
le vêtement de Marie.
Et c’est une grave leçon, spécialement pour nous, royalistes français !
Car, remarquons bien que ce voile noir est en lien direct avec la couronne de Notre-
Dame. Il la touche. Elle est posée sur lui.
Or cette « double couronne » de Marie, couronne supérieure et couronne inférieure,
séparées par un fin liseré rouge, n’est-elle pas la couronne du Ciel et de la Terre, la
couronne du Spirituel et du Temporel, distincts mais unis, définitivement soudés par
le sang du Christ, rouge comme le crucifix présenté par la Vierge ?
Alors, si nous avons bien compris la mission de la France qui est d’être le modèle
royal et chrétien des nations terrestres, comme le support temporel et le défenseur
de la Sainte Eglise,
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
Marie porte à Pontmain la couronne de France (en bas) qui supporte, qui soutient, la
couronne de la Sainte-Eglise (en haut)(12).
Mais… c’est donc la couronne de France qui repose ainsi sur le voile noir de Marie.
C’est la couronne de France qui prend appui sur notre mutisme aux dents serrées
et notre vacuité de prières, à nous royalistes. C’est ce voile noir que le Christ Roi de
France nous reproche de laisser sur la tête de sa Très Sainte Mère, quand Il nous
blâme de ne pas Lui demander SON Lieutenant, à Lui, qu’Il a hâte de nous donner.
Quelle grave inconséquence !
Quel résultat voulez-vous que cela donne ?... LE VIDE DU TRÔNE !
Maintenant, notre objectif est clair !
Par quels moyens allons-nous l’atteindre ?
J’ai parlé précédemment d’un acte sous forme de cérémonie officielle, collective,
organisée et assurée périodiquement et assidûment.
Il lui faut un nom.
Je vous propose celui que j’ai mis en tête de ce petit document :
« SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI ».
ACTE OFFICIEL :
Ce sera d’abord un acte de pèlerinage.
Son objectif « Le Retour du Roi de France » doit être connu au grand jour, dans toute
la France et de tous les français, aussi bien des clercs que des laïcs, aussi bien de la
hiérarchie catholique locale, diocésaine ou nationale, que des diverses associations.
Les écoles catholiques doivent être vivement encouragées à y être présentes. Il faut
qu’à terme, mais rapidement, les français sachent qu’à Pontmain, pour le salut du
pays, on demande à Dieu le retour du roi ; que là-bas tout l’être de la France, physique
et spirituel, implore.
ACTE COLLECTIF :
Cet acte de pèlerinage doit être concrétisé dans une cérémonie collective. Comme
précisé plus haut, nous devons être le plus nombreux possible pour tisser la robe
de Marie. Il ne s’agit pas de venir à Pontmain chacun de son côté faire sa petite demande
et repartir. Imaginez l’aspect de la robe si chacun venait mettre un fil selon
son bon vouloir, où bon lui semble. Il s’agit de se remuer et d’oeuvrer collectivement,
comme les paroissiens de Pontmain de 1871.
(12) A Pontmain, le liseré rouge sang qui soude la couronne de France (inférieure) à la couronne de l’Eglise (supérieure) représente aussi
la couronne du martyre de notre roi Louis XVI. Cette fi ne couronne est au sommet de la couronne de France parce qu’elle la domine. C’est
ce joyau qui maintient le lien entre la Sainte Eglise et la France, et qui conserve à celle-ci le statut de « Saint Royaume ». Si le voile noir
de la Vierge est un signe de deuil, ce ne peut être qu’en raison de l’exécution du Roi sur laquelle désormais la couronne de France repose…
N’oublions pas que tout Pontmain concerne la France !
couronne de la Sainte-Eglise (en haut)(12).
Mais… c’est donc la couronne de France qui repose ainsi sur le voile noir de Marie.
C’est la couronne de France qui prend appui sur notre mutisme aux dents serrées
et notre vacuité de prières, à nous royalistes. C’est ce voile noir que le Christ Roi de
France nous reproche de laisser sur la tête de sa Très Sainte Mère, quand Il nous
blâme de ne pas Lui demander SON Lieutenant, à Lui, qu’Il a hâte de nous donner.
Quelle grave inconséquence !
Quel résultat voulez-vous que cela donne ?... LE VIDE DU TRÔNE !
Maintenant, notre objectif est clair !
Par quels moyens allons-nous l’atteindre ?
J’ai parlé précédemment d’un acte sous forme de cérémonie officielle, collective,
organisée et assurée périodiquement et assidûment.
Il lui faut un nom.
Je vous propose celui que j’ai mis en tête de ce petit document :
« SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI ».
ACTE OFFICIEL :
Ce sera d’abord un acte de pèlerinage.
Son objectif « Le Retour du Roi de France » doit être connu au grand jour, dans toute
la France et de tous les français, aussi bien des clercs que des laïcs, aussi bien de la
hiérarchie catholique locale, diocésaine ou nationale, que des diverses associations.
Les écoles catholiques doivent être vivement encouragées à y être présentes. Il faut
qu’à terme, mais rapidement, les français sachent qu’à Pontmain, pour le salut du
pays, on demande à Dieu le retour du roi ; que là-bas tout l’être de la France, physique
et spirituel, implore.
ACTE COLLECTIF :
Cet acte de pèlerinage doit être concrétisé dans une cérémonie collective. Comme
précisé plus haut, nous devons être le plus nombreux possible pour tisser la robe
de Marie. Il ne s’agit pas de venir à Pontmain chacun de son côté faire sa petite demande
et repartir. Imaginez l’aspect de la robe si chacun venait mettre un fil selon
son bon vouloir, où bon lui semble. Il s’agit de se remuer et d’oeuvrer collectivement,
comme les paroissiens de Pontmain de 1871.
(12) A Pontmain, le liseré rouge sang qui soude la couronne de France (inférieure) à la couronne de l’Eglise (supérieure) représente aussi
la couronne du martyre de notre roi Louis XVI. Cette fi ne couronne est au sommet de la couronne de France parce qu’elle la domine. C’est
ce joyau qui maintient le lien entre la Sainte Eglise et la France, et qui conserve à celle-ci le statut de « Saint Royaume ». Si le voile noir
de la Vierge est un signe de deuil, ce ne peut être qu’en raison de l’exécution du Roi sur laquelle désormais la couronne de France repose…
N’oublions pas que tout Pontmain concerne la France !
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
ACTE ORGANISÉ ET ASSURÉ PÉRIODIQUEMENT :
Les français doivent savoir que périodiquement ils sont assurés de pouvoir participer
à cette supplique ; que s’ils ont été empêchés une fois, ils peuvent revenir la fois
suivante, qu’ils peuvent venir à chaque fois s’ils le veulent. Nous devons avoir une
organisation souple et bien faite qui donne envie aux français qui l’ont compris de
participer aussi souvent que possible. La durée de chaque événement pourrait être
d’une journée. Sa fréquence doit être efficace. L’efficacité c’est le produit : nombre
de pèlerins x nombre de fois dans l’année. La rapidité du tissage de la robe de Marie
Reine de France est à ce prix… et le temps nous est compté au vu de la situation en
France et de par le monde ! Une ou deux fois par an est totalement insuffisant. Une
fois par mois est déjà une bonne base de départ… même s’il y a peu de présents au
début ! Durée et/ou fréquence pourront toujours être augmentées par la suite.
ACTE ORGANISÉ ET ASSURÉ ASSIDÛMENT :
Cela veut dire : empressement, présence, ponctualité, persévérance, ténacité,
constance, continuité. Quoi dire de plus. Tout est résumé dans ces 7 mots.
Puisqu’ « Il faut tenir à une résolution parce qu’elle est bonne et non parce qu’on l’a
prise » (La Rochefoucauld), même s’il n’y avait que quelques fous à venir, tout doit
être organisé pour qu’ils puissent adresser la supplique à leur Dieu et Roi.
Ces bases ayant été jetées, la journée de pèlerinage devra se structurer autour de 3
grandes phases principales :
. La Sainte Messe de Saint Pie V (rite extraordinaire),
. Le Rosaire (en 3 étapes),
. Le Salut au Saint Sacrement.
Attention, nous venons à Pontmain pour supplier Dieu, pas pour faire du tourisme ou
prendre du bon temps... donc cette journée sera une journée de prière intensive !
Dans les 3 principales cérémonies en question, on choisira des chants et des prières
dont le thème devra être :
• La contrition et la demande de pardon de la France,
• La demande de la conversion de la France, (13)
• La supplique pour le retour du Roi
• La prière pour le roi voulu par Dieu, actuellement en exil du trône.
Ces prières, suppliques, chants et cantiques seront en latin et en français, et le choix
est immense, mais l’on s’efforcera de choisir à la fois parmi les classiques comme,
par exemple, la prière à Saint Michel, Ange Gardien de la France, mais aussi parmi
des prières plus récentes mais recommandées par le Christ à des âmes privilégiées
(13) Elle comprendra la prière (sur le chapelet) donnée par le Christ à une âme privilégiée pour la conversion des musulmans de France. De
fait, si les musulmans de France se convertissent une grande partie des problèmes existant avec ces populations s’évanouissent. Ils n’existent
pas avec les arabes chrétiens… Tout est donc bien une question de religion et rien d’autre.
Les français doivent savoir que périodiquement ils sont assurés de pouvoir participer
à cette supplique ; que s’ils ont été empêchés une fois, ils peuvent revenir la fois
suivante, qu’ils peuvent venir à chaque fois s’ils le veulent. Nous devons avoir une
organisation souple et bien faite qui donne envie aux français qui l’ont compris de
participer aussi souvent que possible. La durée de chaque événement pourrait être
d’une journée. Sa fréquence doit être efficace. L’efficacité c’est le produit : nombre
de pèlerins x nombre de fois dans l’année. La rapidité du tissage de la robe de Marie
Reine de France est à ce prix… et le temps nous est compté au vu de la situation en
France et de par le monde ! Une ou deux fois par an est totalement insuffisant. Une
fois par mois est déjà une bonne base de départ… même s’il y a peu de présents au
début ! Durée et/ou fréquence pourront toujours être augmentées par la suite.
ACTE ORGANISÉ ET ASSURÉ ASSIDÛMENT :
Cela veut dire : empressement, présence, ponctualité, persévérance, ténacité,
constance, continuité. Quoi dire de plus. Tout est résumé dans ces 7 mots.
Puisqu’ « Il faut tenir à une résolution parce qu’elle est bonne et non parce qu’on l’a
prise » (La Rochefoucauld), même s’il n’y avait que quelques fous à venir, tout doit
être organisé pour qu’ils puissent adresser la supplique à leur Dieu et Roi.
Ces bases ayant été jetées, la journée de pèlerinage devra se structurer autour de 3
grandes phases principales :
. La Sainte Messe de Saint Pie V (rite extraordinaire),
. Le Rosaire (en 3 étapes),
. Le Salut au Saint Sacrement.
Attention, nous venons à Pontmain pour supplier Dieu, pas pour faire du tourisme ou
prendre du bon temps... donc cette journée sera une journée de prière intensive !
Dans les 3 principales cérémonies en question, on choisira des chants et des prières
dont le thème devra être :
• La contrition et la demande de pardon de la France,
• La demande de la conversion de la France, (13)
• La supplique pour le retour du Roi
• La prière pour le roi voulu par Dieu, actuellement en exil du trône.
Ces prières, suppliques, chants et cantiques seront en latin et en français, et le choix
est immense, mais l’on s’efforcera de choisir à la fois parmi les classiques comme,
par exemple, la prière à Saint Michel, Ange Gardien de la France, mais aussi parmi
des prières plus récentes mais recommandées par le Christ à des âmes privilégiées
(13) Elle comprendra la prière (sur le chapelet) donnée par le Christ à une âme privilégiée pour la conversion des musulmans de France. De
fait, si les musulmans de France se convertissent une grande partie des problèmes existant avec ces populations s’évanouissent. Ils n’existent
pas avec les arabes chrétiens… Tout est donc bien une question de religion et rien d’autre.
Re: A PONTMAIN… SUPPLIQUE À DIEU POUR LE RETOUR DU ROI
comme la Prière de Marcel Van ou la Neuvaine pour le Roi de France de Agnès de
Dieu, donnée à elle le 11 avril 2000.
Bien sûr, il y a les prières de Pontmain récitées et chantées lors de l’apparition en
1871 dont tout ou partie est à reprendre. Pour mémoire les voici listées ci-dessous :
PRIÈRES DE PONTMAIN (DANS L’ORDRE) DU 17 JANVIER 1871 - DE 18H00 À 21H00 :
(Récitation ou chant de toutes les prières connues par coeur par les paroissiens présents)
01. 5 x Pater + 5 x Ave Maria
02. 5 x Pater + 5 x Ave Maria
03. Chapelet
04. Chant : Magnificat
05. Chant : Litanies de la sainte Vierge
06. Chant : Inviolata
07. Chant : Salve Regina
08. Chant : Mère de l’Espérance
09. Chant : Mon doux Jésus, enfin voici le temps de pardonner à nos coeurs pénitents
10. Chant : Ave Maris stella
11. Prière du soir.
Vous voyez donc que nous avons l’embarras du choix et que tout le cadre directeur
de la journée sera à définir très précisément.
CONCLUSION
Par ce document, j’en appelle donc à tous les prêtres, aumôniers, conseillers spirituels
des associations royalistes ou associations intéressées par cette supplique,
mais aussi les laïcs de tout niveau de responsabilité au sein de ces associations et
mouvements.
J’en appelle aux diacres, curés et prêtres paroissiaux, aux moines et moniales,
aux évêques et cardinaux soucieux ou tourmentés par l’évolution de l’état de notre
France, qui pourraient être peu ou prou en liaison avec ces associations et mouvements.
Bien entendu, j’en appelle aux responsables des pèlerinages et de la basilique de
Pontmain.
A tous, je vous demande de bien vouloir réfléchir très sérieusement à la nécessité
et à l’organisation de cette oeuvre de VRAI salut public, qui est notre toute dernière
chance… et de travailler à sa réalisation, le plus vite possible, dans les faits !
Et à vous tous royalistes, qui ne savez pas comment vous y prendre, faites comme vos aînés
des bocages de l’ouest de la France s’en allant chercher leurs nobles jusque dans leurs lits
pour les conduire aux combats de la France et de L’Eglise. Allez chercher vos prêtres et
responsables religieux pour vous conduire à la Supplique de Pontmain… pour le Roi.
Dieu, donnée à elle le 11 avril 2000.
Bien sûr, il y a les prières de Pontmain récitées et chantées lors de l’apparition en
1871 dont tout ou partie est à reprendre. Pour mémoire les voici listées ci-dessous :
PRIÈRES DE PONTMAIN (DANS L’ORDRE) DU 17 JANVIER 1871 - DE 18H00 À 21H00 :
(Récitation ou chant de toutes les prières connues par coeur par les paroissiens présents)
01. 5 x Pater + 5 x Ave Maria
02. 5 x Pater + 5 x Ave Maria
03. Chapelet
04. Chant : Magnificat
05. Chant : Litanies de la sainte Vierge
06. Chant : Inviolata
07. Chant : Salve Regina
08. Chant : Mère de l’Espérance
09. Chant : Mon doux Jésus, enfin voici le temps de pardonner à nos coeurs pénitents
10. Chant : Ave Maris stella
11. Prière du soir.
Vous voyez donc que nous avons l’embarras du choix et que tout le cadre directeur
de la journée sera à définir très précisément.
CONCLUSION
Par ce document, j’en appelle donc à tous les prêtres, aumôniers, conseillers spirituels
des associations royalistes ou associations intéressées par cette supplique,
mais aussi les laïcs de tout niveau de responsabilité au sein de ces associations et
mouvements.
J’en appelle aux diacres, curés et prêtres paroissiaux, aux moines et moniales,
aux évêques et cardinaux soucieux ou tourmentés par l’évolution de l’état de notre
France, qui pourraient être peu ou prou en liaison avec ces associations et mouvements.
Bien entendu, j’en appelle aux responsables des pèlerinages et de la basilique de
Pontmain.
A tous, je vous demande de bien vouloir réfléchir très sérieusement à la nécessité
et à l’organisation de cette oeuvre de VRAI salut public, qui est notre toute dernière
chance… et de travailler à sa réalisation, le plus vite possible, dans les faits !
Et à vous tous royalistes, qui ne savez pas comment vous y prendre, faites comme vos aînés
des bocages de l’ouest de la France s’en allant chercher leurs nobles jusque dans leurs lits
pour les conduire aux combats de la France et de L’Eglise. Allez chercher vos prêtres et
responsables religieux pour vous conduire à la Supplique de Pontmain… pour le Roi.
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