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Le Roi Baudouin de Belgique : un Roi d' exception

3 participants

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Le Roi Baudouin de Belgique : un Roi d' exception Empty Le Roi Baudouin de Belgique : un Roi d' exception

Message par Maud Lun 19 Déc 2011 - 10:40

Le Roi Baudouin, Un vrai roi « Très Chrétien »
L'audace et l’amour (Auteur : Père Daniel Ange - Parution F&L n° 200 de Novembre 2001)

sunny



Il y a des rois qui sont plus que des rois. Ils sont les bergers de leur peuple. Ils ne font pas que régner. Ils aiment. Jusqu’à donner leur propre vie. Tel fut le Roi Baudouin.
Un jour viendra où son secret sera dévoilé... Comme le Centurion devant la croix, les hommes diront : « Cet homme était un juste. » (Cardinal Daneels)

Il était aimé, aimé, aimé. Comme sans doute personne, après sa mère Astrid, et avec son épouse Fabiola, ne l’a jamais été dans le peuple belge. Et comme rarement un souverain ne l’a été de son peuple. Non follement, mais paisiblement. On avait appris à l’apprécier et pour finir – mais très tôt déjà – à l’aimer.


Une vie marquée par la souffrance

Comme on comprend ces longues années de solitude, et ce visage si jeune encore, marqué de gravité, de sérieux. Son regard est de pure lumière, car purifié par la souffrance. S’il pouvait à ce point essuyer des larmes sans nombre, c’est qu’il avait tant pleuré lui-même, dès sa tendre enfance. Je pense à ces cris dans la nuit après que sa petite maman soit si brutalement passée sur l’autre rive, depuis cette berge du lac des Quatre Cantons à Küssnacht : Où est-elle maman ? Dis moi si elle est au Ciel ?

Et qui dira son insondable détresse d’enfant quand son pays est écrasé et qu’il faut s’enfuir dans la folle aventure de l’exode jusqu’en Espagne, feuille emportée dans la grande tourmente, ensuite pratiquement prisonnier à Laeken, puis avec ses frères et sœurs, émigré en pleine nuit pour une destination inconnue, arraché à son père, kidnappé Dieu sait où, se retrouvant derrière les fils électriques du lugubre château fort de Hirchstein ? Tout cela à 10 - 14 ans ! Enfin l’interminable exil à Saint Wolfgang (Tyrol) et à Pregny (Suisse) avec tant d’inconnues planant sur le retour. Puis le drame de son père tant aimé : renié, calomnié, traîné dans la boue.

Et pire que tout : devant lui succéder, en faisant le jeu des traîtres. Devoir pactiser avec ceux qui ont rejeté ce x, de tristesse. Quand un aide de camp lui reproche de ne pas sourire à tel ministre : Ne suis-je pas maître de mes sourires ?

Enfin l’incommensurable déception de ne pouvoir avoir d’enfants lui qui les aime tant, et qui aurait désiré donner un héritier au trône...

Souffrance encore d’une santé toujours fragile, de ce dos qui n’en finit pas de faire mal et l’oblige à renoncer à ses sports favoris.

Mais plus profond que tout cela, c’est la souffrance des autres qui l’affecte le plus intensément. Pas une douleur qui ne se répercute en lui. Pas un cri qui ne résonne en son cœur. Est-ce une vie à ce point marquée par la Croix qui fait de lui un tel consolateur ? Sa passion le remplit peu à peu de compassion.


Ce jardin labouré où peut éclore la joie

Mais voici qu’au long des années, sur le terrain labouré de la souffrance, la joie va doucement éclore et fleurir... De qui donc le Seigneur s’est-il servi pour le rendre à la joie ?
D’abord du bon peuple africain. Tous les observateurs ont noté que c’est en 1955 lors de sa première tournée triomphale en ce Zaïre, qui était encore le Congo Belge, que l’on a vu « le Roi triste », de jour en jour sourire de plus en plus, parfois même éclater d’un grand rire clair, comme si l’éclatante joie de vivre des enfants africains était contagieuse. Pour leur plus grande joie à tous, ces jeunes africains, dont il était le souverain follement acclamé.

Mais c’est surtout de toute évidence, Fabiola. Fabiola – la trouvaille de sa vie – la perle précieuse entre toutes qui le rend à la joie de vivre. Le pays n’en revient pas : son Roi triste, le voici qui sourit et qui rit de bon cœur. Oui, c’est d’abord Fabiola qui lui communique, par osmose, son fantastique enthousiasme, sa vivacité, sa spontanéité, sa fraîcheur, sa gaieté naturelle. Joie qui va peu à peu l’envahir et jusqu’à l’habiter. Et grâce à elle, sans doute, ce sera directement son Dieu qui deviendra l’incommensurable joie de sa vie. Une joie que plus rien, jamais, ne pourra lui ravir.


Ta joie pour les autres


Mais cette joie il ne peut la garder pour lui-même, telle une petite flamme qui s’éteindrait si elle était enfermée. Son premier souci : Comment être la joie des autres ? Une de ses prières les plus fréquentes : Donne-moi ta joie pour les autres.

Et voilà sa joie qui se met à rayonner sur sa famille, son entourage, ses invités, ses amis et de proche en proche finit par gagner le peuple tout entier.


Régner c’est aimer, aimer c’est servir
Une de ses caractéristiques qui ont le plus impressionné ceux qui l’ont approché même de loin : son humilité. Nul ne fut humble comme lui. Et sa position de roi, de chef d’État, ne faisait qu’accentuer encore le saisissant contraste entre sa dite position sociale et sa profonde humilité. Il répétait souvent : On ne peut aimer si on n’est pas humble.


Le peuple de son cœur, un ministère de compassion

La souffrance l’a rendu sensible, davantage : vulnérable, à toute souffrance. À chaque catastrophe, cataclysme, accident grave, il est là ; il partage, il comprend. Il compatit. Il pleure. Jamais, je n’oublierai cette fois où je l’ai vu à l’hôpital militaire de Liège. J’y étais infirmier. Une catastrophe aérienne avait tué vingt jeunes. Deux heures plus tard, il était là, priant longuement devant les corps carbonisés, puis s’entretenant avec chaque famille. L’impression que toute cette souffrance l’habitait lui-même nous a tous bouleversés. Il n’avait que vingt-trois ans !

Bouleversé par le rapport d’un journaliste courageux, Chris de Stoop, sur le commerce sexuel international et particulièrement l’importation de femmes-esclaves en Belgique depuis les Philippines et Saint-Dominique, il le pousse à écrire un livre et décide de lutter avec lui. Voulant toujours se rendre compte des problèmes par un contact personnel, il fit avec l’auteur une « descente » incognito, de nuit, dans les bas-fonds d’Anvers, pour dialoguer directement avec ces jeunes femmes et en revint profondément meurtri. La petite Luz témoigna à travers Chris, lors des funérailles de gloire. Et cela devant 150 chefs d’État ou premiers ministres...
Maintenant que mon ami est passé de vie à trépas, qui d’autre pourra nous aider ? C’était un vrai roi.


Face à la légalisation de l’avortement


Comme vers un sommet il nous faut revenir sur ce qui a été l’acte de loin le plus courageux de sa vie de roi : son refus de signer la loi légalisant l’avortement, en mai 90. S’il a défini le métier de roi comme un service inconditionnel de la vérité, c’est ici qu’il a magnanimement signé - presque de son sang - cette définition.
Mais comment cet étonnant « oui » à la vie a-t-il été si peu répercuté dans le monde entier ? Serait-ce que ce geste, par sa grandeur, bouscule nos mesquineries ? Par sa netteté, tranche nos compromissions ? Par son courage, fasse honte à nos lâchetés ?

Non inconscience ou naïveté, mais risque calculé, lucide : Je sais qu’en agissant de la sorte, je ne choisis pas une voie facile et que je risque de ne pas être compris par bon nombre de concitoyens. Mais c’est la seule voie qu’en conscience je puis suivre.


Une conscience d’homme, le sens de l’homme


On devine presque un sourire derrière la grave question du roi : Serait-il normal que je sois le seul citoyen belge à être forcé d’agir contre ma conscience dans un domaine essentiel ? La liberté de conscience vaut-elle pour tous, sauf pour le roi ?

Bref, il fait passer le respect de l’homme avant le respect humain. Il n’a pas voulu être le souverain d’un pays homicide. Ni le complice des virus de mort qui, à petit feu, minent un peuple du dedans. Il a refusé que son pays dégringole à son tour sous la ligne de survie des peuples. Il n’a pas voulu être associé à cette gigantesque opération d’autodestruction de notre humanité occidentale. Il ne veut pas être au banc des accusés, quand on fera, dans quarante ans, le procès des coupables et complice de ce massacre aseptisé et organisé.
Il s’est montré ici, artisan de l’avenir, architecte de l’histoire.


Avocat du plus faible, voix des sans voix

Tout cela il l’a fait humblement. Sans fanfaronnade. Sans triomphalisme. Dans le respect scrupuleux et de ses institutions et des personnes. Étonnante la discrétion – presque la pudeur – avec laquelle il a posé son geste ! Il a su allier sa conscience éternelle et sa conscience « professionnelle ». Il n’a ni bradé la Constitution de son pays, ni renié les intuitions de son cœur. Il n’a ni dissous son gouvernement, ni déçu son Église. D’une part, il a veillé à ne pas bloquer le fonctionnement des institutions démocratiques, et – respectant le principe de subsidiarité – a demandé au gouvernement de trouver une solution juridique qui concilie le droit du roi de ne pas être forcé d’agir contre sa conscience, et la nécessité du bon fonctionnement de la démocratie parlementaire…

(NDLR : Pendant trente six heures le roi abdiquera, ce qui lui permettra de ne pas signer la loi légalisant l’avortement.)Beaucoup ne partageant pas ses opinions, ont admiré son courage. Typique : lors du vote levant son « impossibilité de régner », pas un seul des 338 députés ou sénateurs présents n’a osé s’y opposer.


Dieu au cœur du Roi

En vérité on peut dire que la foi a été ce qui l’a guéri peu à peu de ses blessures d’enfance, l’a peu à peu équilibré, mûri. L’a fait passer de l’adolescent timide et quelque peu complexé (et il y avait de quoi !) à ce chef-d’œuvre d’humanité qu’il a offert au monde, durant les dernières années.

Il n’a jamais caché sa foi, mais il ne l’a jamais imposée non plus. Jamais il ne l’a affichée, montrée en public, par immense respect de ceux qui ne la partagent pas. Il a réussi ce pari : vivre à fond ses certitudes, sans jamais en être méprisé, sans jamais essuyer un reproche. Même dans ses discours et messages à la nation, il transcrit le vocabulaire spécifiquement chrétien en termes « passe-partout ». (D’autant plus qu’ils sont soumis au contre-seing ministériel).


Une prière coulant de source

Sans rien trahir de son secret le plus intime, on peut affirmer que la prière l’habitait, telle une petite source. Devenant de plus en plus constante, continuelle, quasi-perpétuelle.

Le Professeur Lejeune raconte :

« Quand nous avons fini l’entretien, il m’a dit : Est-ce que cela vous ennuierait que nous fassions une prière ensemble ? Et dans ce grand salon, deux personnes se sont retrouvées en priant le Seigneur.
J’en ai gardé la notion très précise et très forte que ce roi était un roi très chrétien. Les Français ont porté ce titre. Nous n’avons plus de roi en France mais il y avait encore un roi très chrétien au monde. C’était Baudouin de Belgique. »

Le soir, jamais il ne se couchait sans dire son chapelet avec ceux qui étaient là, avec son épouse, ses nièces, neveux ou amis et même l’un ou l’autre du personnel.


Ce Corps-Soleil devant qui s’exposer sunny

Chaque jour de son existence, depuis ses 15 ans, il a reçu son Dieu en son Corps Eucharistique. Il vivait de la communion. C’est ainsi qu’il est devenu cet être de communion entre tous. En recevant le Roi Universel, il en est devenu un « petit frère roi » universel.

C’était un des premiers impératifs dans la liste que les ambassades devaient discuter lors d’une visite officielle dans un pays : sa messe quotidienne.

Miracle vivant que cet homme livré à la face du monde, tout en sachant demeurer un petit enfant dans les bras de son Père dans le sein de sa Mère, cette Reine du Ciel pour qui il avait des tendresses d’enfant. Qu’est-ce qu’il l’aimait !


Ultime sourire

Motril, 31 juillet 1993. Vers 7 heures du soir, on surprend le Roi, les yeux ouverts, la tête levée vers le ciel, dans un état d’étonnement joyeux. Comme si à l’instant où le Seigneur venait le chercher, il avait eu une vision de sa beauté sinon de sa Gloire.

Il devait sûrement être en prière. Face au soleil couchant... Ce soleil qui le fascinait plus que tout après le très Saint sacrement. D’ailleurs ne disait-il pas souvent, parlant de l’adoration : Je vais me bronzer, ou, prendre mon bain de soleil.

Ce sourire extraordinaire qui ne le quittait presque plus les dernières années, ne le quittera pas non plus pendant au moins les jours suivants. Cet ultime sourire restera le secret de ses plus intimes, en attendant de le retrouver au Ciel.



*******************

Avortement

"Ce projet de loi soulève en moi un grave problème de conscience. Je crains en effet qu’il ne soit compris par une grande partie de la population comme une autorisation d’avorter durant les douze premières semaines après la conception.

J’ai de sérieuses appréhensions aussi concernant la disposition qui prévoit que l’avortement pourra être pratiqué au-delà des douze semaines si l’enfant à naître est atteint d’une « affection d’une particulière gravité et reconnue comme incurable au moment du diagnostic ». A-t-on songé comment un tel message serait perçu par les handicapés et leurs familles ?

En résumé, je crains que ce projet n’entraîne une diminution sensible du respect de la vie de ceux qui sont les plus faibles. Vous comprendrez pourquoi je ne veux pas être associé à cette loi."
Le roi Baudouin 1er mai 1990

*******************
Peut-être attendez-vous d’un des chefs d’État qu’il place l’harmonie familiale parmi les biens nécessaires à l’enfant et à l’adolescence ? Oui, je le fais avec une intense conviction à un moment où en Europe, les liens matrimoniaux sont souvent mis en question, par une fasse conception de la liberté. L’origine de nombreuses maladies de notre monde actuel se retrouve dans l’absence d’un foyer chaleureux.
Le roi Baudouin à Strasbourg, 20ème anniversaire du Parlement Européen.

¨******************
Mon objection de conscience n’implique de ma part aucun jugement des personnes qui sont en faveur de la loi. Mon attitude ne signifie pas que je sois insensible à la situation très difficile et parfois dramatique à laquelle certaines femmes sont confrontées.
Lettre au premier Ministre et lue devant les chambres réunies le 6 avril 1990.
*******************
On le voyait parfois avec la reine flâner en compagnie des gens simples et des enfants, penchant la tête et l’oreille, et par son sourire, il accueillait les confidences et il les gardait dans son cœur, comme la Vierge Marie.

Cardinal Daneels
Repères biographiques.

7 septembre 1930 : naissance au château du Stuyvenberg près de Bruxelles, second enfant de S.M. Léopold III, roi des belges et de S.M. Astrid, née princesse de Suède.

29 août 1935 : mort de la Reine Astrid dans un accident de voiture en Suisse ; la famille s’installe alors au Château Royal de Laeken. A huit ans Baudouin entre dans une meute de louveteaux où il reçoit pour totem le nom d’ « Élan loyal ».

10 mai au 2 août 1940 :
accompagné de son frère et de sa sœur il se rend d’abord en France, puis en Espagne.

Juin 1944 : au moment du débarquement des alliés, la famille royale fut déportée à Hirschstein, en Allemagne, puis à Strobl en Autriche où l’armée américaine vint les libérer le 7 avril 1945.

En raison de la situation politique en Belgique, le Roi Léopold et sa famille quittèrent l’Autriche en octobre de la même année pour s’installer en Suisse. Ils y séjournèrent jusqu’en juillet 1950.

1er août 1950 : Léopold III demande au Gouvernement et au Parlement de faire voter une loi assurant la délégation de ses pouvoirs à son fils Baudouin.

16 juillet 1951 : abdication de Léopod III : après la Libération, la Belgique vit sous le signe de ce que l’on appellera la « question royale » : une partie du pays reproche au roi d’avoir capitulé devant l’ennemi. Cette « querelle » est à l’origine de l’abdication de Léopold III.

17 juillet 1951 : Baudouin (20 ans) prête le serment constitutionnel de Souverain devant les représentants de la Nation.

1955 : voyage officiel au Congo.

1960 : mariage avec Fabiola de Mora y Aragon

1976 : à l’occasion de ses 25 ans de règne, le Souverain décida de créer la « Fondation Roi Baudouin » pour l’amélioration des conditions de vie de la population.

1990-1991 : un hommage national « Fêtes 40-60 » fut organisé pour les 60 ans du souverain et les 40 ans de son règne. Les thèmes privilégiés par le Souverain : la jeunesse, le dialogue entre les Communautés, les Régions et leurs citoyens.

31 juillet 1993 : mort du roi Baudouin à Motril au sud de l’Espagne. Il fut inhumé dans la Crypte royale, à l’Église Notre-Dame de Laeken.

SOURCE : www.feuetlumiere.org






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Message par jean-maximilien Lun 19 Déc 2011 - 12:59

Je suis fière en tant que Belge d'avoir eu un Saint Roi.

J'ai lu un livre sur sa vie, c'est vraiment une vie exemplaire, un Roi exemplaire dans la foi, l'amour, la vérité et le devoir !
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Message par Isabelle-Marie Jeu 14 Nov 2019 - 1:56

Hommage au Roi Baudouin :

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