Doit-on dialoguer avec les "artistes " modernes blasphémateurs ?
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Doit-on dialoguer avec les "artistes " modernes blasphémateurs ?
Doit-on dialoguer avec les « artistes » modernes blasphémateurs?
Certains prétendent que les « artistes » modernes veulent susciter la réflexion, et n’ont pas d’intention blasphématoire ; et que de toutes façons, il faut une attitude non-violente et donc s’abstenir de manifestations
[]La réponse la plus simple est d’élever nos regards vers le modèle suprême, Notre Seigneur Jésus Christ Lui-même sur la Croix. Lorsqu’Il était blasphémé par les passants de toutes classes, depuis le pharisien hypocrite, passant par les soldats jusqu’au larron à sa gauche, les Apôtres ont eu des attitudes différentes
[L’un avait trahi son Maître pour trente deniers
Un autre « dialoguait » avec les soldats et servantes du grand-prêtre… jusqu’à en renier Notre Seigneur Jésus Christ
[La majorité des autres s’était enfuie et ne pouvait être trouvé nulle part
[Un seul autre était visiblement debout au pied de la Croix, auprès de la Très Sainte Vierge Marie, et priait avec elle et de saintes femmes sans se cacher. Pour Mgr Vingt-Trois, ce n’est là qu’ « un groupuscule sans aucun mandat. »[/
[Quelle attitude choisissez-vous ? Celui qui dialoguait est celui qui renia
[]Castelluci est-il un « chercheur de Dieu », comme le prétend Mgr d’Ornellas ? A la mode des princes des prêtres qui disaient : « qu’il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui ! » (Mt. 27:41). A ce blasphème des princes des prêtres – blasphème car ils n’avaient aucune intention de croire en Lui, et la preuve en est qu’ils refusèrent la Résurrection, qui est indubitablement un miracle plus grand que de descendre de la Croix – à ce blasphème donc, que répondit Notre Seigneur ? Il n’a pas dialogué avec eux. Il s’est offert en sacrifice et a prié pour ceux-là même qui Le crucifiaient : mais prière et sacrifice public. C’est ce que font les fidèles qui prient publiquement en réparation pour les blasphèmes
]Quand Castellucci déclare, « Je leur pardonne car ils ne savent pas ce qu’ils font », il ne faut pas faire d’illusion : un tel usage des paroles de Notre Seigneur Jésus Christ est un blasphème. En effet, le Christ innocent pouvait bien pardonner à ses persécuteurs, mais un voleur condamné à la prison par un juste juge n’a pas à « pardonner » à son juge, car le juste juge est innocent et le voleur coupable. De même le blasphémateur, gravement coupable, n’a rien à pardonner aux fidèles innocents qui prient publiquement en réparation de ses blasphèmes. C’est gravement tourner à l’envers le bien et le mal que d’utiliser alors les paroles de Notre Seigneur. « Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui font des ténèbres la lumière et de la lumière les ténèbres, qui font de l’amer le doux et du doux l’amer » (Isa 5:20
[Mgr Bernard Podevin indique que « l’Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors des récents spectacles », comme si prier était une violence et que blasphémer n’en était pas une ! ou comme si les œufs et l’huile d’un nombre infime de jeunes était une violence nécessitant un déclaration épiscopale, mais pas les spectacles eux-mêmes ! En fait ce que craint Mgr Podevin, c’est le courage des vrais Catholiques qui prient publiquement comme la Sainte Vierge au pied de la Croix, ce qui manifeste par contraste la lâcheté de ceux qui restent cachés
Abbé François Laisney
Certains prétendent que les « artistes » modernes veulent susciter la réflexion, et n’ont pas d’intention blasphématoire ; et que de toutes façons, il faut une attitude non-violente et donc s’abstenir de manifestations
[]La réponse la plus simple est d’élever nos regards vers le modèle suprême, Notre Seigneur Jésus Christ Lui-même sur la Croix. Lorsqu’Il était blasphémé par les passants de toutes classes, depuis le pharisien hypocrite, passant par les soldats jusqu’au larron à sa gauche, les Apôtres ont eu des attitudes différentes
[L’un avait trahi son Maître pour trente deniers
Un autre « dialoguait » avec les soldats et servantes du grand-prêtre… jusqu’à en renier Notre Seigneur Jésus Christ
[La majorité des autres s’était enfuie et ne pouvait être trouvé nulle part
[Un seul autre était visiblement debout au pied de la Croix, auprès de la Très Sainte Vierge Marie, et priait avec elle et de saintes femmes sans se cacher. Pour Mgr Vingt-Trois, ce n’est là qu’ « un groupuscule sans aucun mandat. »[/
[Quelle attitude choisissez-vous ? Celui qui dialoguait est celui qui renia
[]Castelluci est-il un « chercheur de Dieu », comme le prétend Mgr d’Ornellas ? A la mode des princes des prêtres qui disaient : « qu’il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui ! » (Mt. 27:41). A ce blasphème des princes des prêtres – blasphème car ils n’avaient aucune intention de croire en Lui, et la preuve en est qu’ils refusèrent la Résurrection, qui est indubitablement un miracle plus grand que de descendre de la Croix – à ce blasphème donc, que répondit Notre Seigneur ? Il n’a pas dialogué avec eux. Il s’est offert en sacrifice et a prié pour ceux-là même qui Le crucifiaient : mais prière et sacrifice public. C’est ce que font les fidèles qui prient publiquement en réparation pour les blasphèmes
]Quand Castellucci déclare, « Je leur pardonne car ils ne savent pas ce qu’ils font », il ne faut pas faire d’illusion : un tel usage des paroles de Notre Seigneur Jésus Christ est un blasphème. En effet, le Christ innocent pouvait bien pardonner à ses persécuteurs, mais un voleur condamné à la prison par un juste juge n’a pas à « pardonner » à son juge, car le juste juge est innocent et le voleur coupable. De même le blasphémateur, gravement coupable, n’a rien à pardonner aux fidèles innocents qui prient publiquement en réparation de ses blasphèmes. C’est gravement tourner à l’envers le bien et le mal que d’utiliser alors les paroles de Notre Seigneur. « Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui font des ténèbres la lumière et de la lumière les ténèbres, qui font de l’amer le doux et du doux l’amer » (Isa 5:20
[Mgr Bernard Podevin indique que « l’Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors des récents spectacles », comme si prier était une violence et que blasphémer n’en était pas une ! ou comme si les œufs et l’huile d’un nombre infime de jeunes était une violence nécessitant un déclaration épiscopale, mais pas les spectacles eux-mêmes ! En fait ce que craint Mgr Podevin, c’est le courage des vrais Catholiques qui prient publiquement comme la Sainte Vierge au pied de la Croix, ce qui manifeste par contraste la lâcheté de ceux qui restent cachés
Abbé François Laisney
violaine- Avec les anges
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Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
Re: Doit-on dialoguer avec les "artistes " modernes blasphémateurs ?
pour moi, il ne faut pas dialoguer.
Cela ferait partir de trop loin une notion qui est des plus simple :
celle du respect !
c'est du temps perdu et de l'importance donnée à qui n'en mérite pas.
Cela ferait partir de trop loin une notion qui est des plus simple :
celle du respect !
c'est du temps perdu et de l'importance donnée à qui n'en mérite pas.
phil- Contre la puce électronique
- Messages : 149
Inscription : 28/02/2008
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