Jeu d'échecs spécial !
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Jeu d'échecs spécial !
Les échecs.
Comme d’habitude, mais jamais sans surprise, une image s’est présentée. J’ai vu deux Êtres qui jouaient aux échecs. À moi tout seul je n’aurais jamais imaginé que le Bon Dieu puisse jouer aux échecs avec le Diable, et pourtant... Mais il fallait comprendre que c’était juste une image. Je me suis donc appliqué à comprendre l’image.
Tout d’abord j’ai compris que les pièces du jeu représentaient des êtres humains. Je me suis reconnu dans un pion... Et j’ai réalisé qu’aux échecs même un simple pion peut être précieux, si par exemple il se trouve à la bonne place, au bon moment. (Tout dépend du plan stratégique conçu par Celui qui mène le jeu). Je regardais le jeu aller quand tout à coup j’ai réalisé que le Bon Dieu était en position de désavantage. J’ai pensé: “Impossible. Le Bon Dieu est plus fort que le Diable. Le Diable est une simple créature et ne peut gagner contre son Créateur. Le Créateur est forcément plus intelligent et habile que sa créature, quelle qu’elle soit l’intelligence de cette dernière”.
Et pourtant... Le désavantage du Bon Dieu était bien visible, ce qui fait que je me suis mis à regarder mon Créateur avec des yeux suppliants. J’étais l’enfant qui regarde son père tout puissant battre en retraite devant un mystérieux adversaire vêtu de noir. Je le voyais souffrir et presque pleurer chaque fois que le jeu l’obligeait à céder l’une de ses pièces si précieuses. L’enfant que j’étais se révoltait à l’idée de voir son père de lumière perdre du terrain devant un adversaire aussi sombre et repoussant. L’enfant que j’étais découvrait pour la première fois l’existence de la mort, et souffrait lui aussi, mais ne pouvait pas concevoir que la mort l’emporte sur la vie. L’enfant que j’étais avait besoin d’un secours, d’une explication, d’un remède contre un doute aussi cruel, aussi écrasant.
Mon instinct filial me poussa à lancer les mots: “Papa. Papa. Ne vous laissez pas battre. Faites quelque chose. N’êtes-vous pas le Tout-Puissant? N’êtes-vous pas Dieu? Ce n’est pas à vous de perdre. Il faut que vous gagniez. Je veux que vous gagniez!”.
Sans trop savoir pourquoi, mes yeux se sont mis à fixer l’échiquier, et voilà... l’explication! J’ai remarqué que les pièces avec lesquelles mon Père menait son jeu étaient toutes douées de liberté, si bien que certaines d’entre elles, se croyant en position de désavantage, se déplaçaient toutes seules vers un carré voisin, et même plus loin. Ce manque de confiance et d’abandon finissait par entraîner leur perte. Mon Papa avait beau être le Tout-Puissant! La liberté qu’exigeait la loi de son amour à l’égard de toutes ses pièces rendait son jeu extrêmement vulnérable face au camp adverse, où la loi de la peur maintenait chaque pièce solidement ancrée au carré choisi par l’intelligence diabolique de l’Adversaire.
À ce moment je suis revenu de ce côté-ci de la réalité, et la voix silencieuse m’a demandé: «Mon cher petit pion, te souviens-tu d’avoir déjà lu un texte qui disait que “quoi qu’il arrive Je rebâtirai mon Église”?»
Oui, je m’en souvenais, mais pas des mots exacts. Alors je les ai cherchés, et je les ai trouvés à la page 118 du livret: “Le grand message d’amour”. J’ai donc relu très attentivement ce message, et il disait:
«Le monde moderne renouvelle ma Passion! Cependant, même si tous mes Prêtres me quittaient, comme mes Disciples ont fait lors de ma crucifixion sur le Golgotha, même si Je restais avec seulement un seul d’entre eux, comme je suis resté seul avec Jean, eh bien, à travers celui-là Je renouvellerai le monde! » (19 mars 1969).
Je réfléchissais sur ce que je venais de vivre. Je savais que les messages que je manipulais étaient comme les morceaux d’un puzzle que je m’efforçais de reconstituer. Dans ma boîte, qui était ma banque de messages prophétiques, il y en avait plusieurs qui ne pouvaient pas être d’origine divine, car malgré leur apparence de vérité ils n’allaient bien nulle part, [68] mais d’après moi ce dernier message était sûrement d’origine divine. Je ne lui trouvais aucun défaut, et en plus il épousait à la perfection les morceaux que j’avais déjà reconnus comme véridiques et placés patiemment à l’endroit qui leur convenait.
Je m’attendais à un commentaire de la part de la voix silencieuse, mais je n’en ai pas eu. Sans doute que l’expérience que je venais de vivre était suffisamment claire et éloquente par elle même. Pour moi elle l’était, mais pour les autres? Je sentais que ces images, malgré leur puissance et leur clarté, n’auraient pas réussi à convaincre tout le monde, et je m’interrogeais sur ce qui empêche certaines personnes de se déclarer satisfaites des explications fournies par la Providence. Or voici la réponse que la voix immatérielle m’a suggéré:
«Il y a une différence énorme entre les personnes qu’un rien peut contenter, et celles qui au contraire ne se contentent jamais de rien. Les premières ont une âme de bonne volonté, et elles croient à la Providence. Elles sont comme des fillettes dociles qui inventent leur bonheur à partir de ce qu’elles reçoivent des mains des adultes. Les deuxièmes, au contraire, ont une âme qui ressemble à celle des contestataires professionnels. Rien ne parvient à les convaincre de choisir la Vérité lorsque celle-ci leur est proposée. Pour ces personnes tout est prétexte pour nier la Vérité, comme si la Vérité n’avait pas le droit d’exister. Par exemple, si un témoin de la Vérité ne donne pas son nom, son témoignage n’est pas recevable, mais s’il le donne, c’est son nom qui n’est pas recevable. Si un livre qui témoigne de la Vérité se présente avec “Imprimatur”, c’est du vieux paternalisme, mais s’il se présente sans “Imprimatur” malheur à celui qui a osé le diffuser dans cet état!”»
À ces conditions, me suis-je dit, il vaut mieux que je poursuive mon chemin sans autres délais, que je suive le conseil que Virgile donnait à son cher compagnon, Dante Alighieri, au cours du voyage qu’ils ont effectué dans les méandres de l’enfer: “Non ragioniam di lor, ma guarda e passa”, autrement dit: “Évitons de parler d’eux, mais regarde, et passe”. [69]
http://www.parvulis.com/Documents/1-main-fr-LGM.htm
Comme d’habitude, mais jamais sans surprise, une image s’est présentée. J’ai vu deux Êtres qui jouaient aux échecs. À moi tout seul je n’aurais jamais imaginé que le Bon Dieu puisse jouer aux échecs avec le Diable, et pourtant... Mais il fallait comprendre que c’était juste une image. Je me suis donc appliqué à comprendre l’image.
Tout d’abord j’ai compris que les pièces du jeu représentaient des êtres humains. Je me suis reconnu dans un pion... Et j’ai réalisé qu’aux échecs même un simple pion peut être précieux, si par exemple il se trouve à la bonne place, au bon moment. (Tout dépend du plan stratégique conçu par Celui qui mène le jeu). Je regardais le jeu aller quand tout à coup j’ai réalisé que le Bon Dieu était en position de désavantage. J’ai pensé: “Impossible. Le Bon Dieu est plus fort que le Diable. Le Diable est une simple créature et ne peut gagner contre son Créateur. Le Créateur est forcément plus intelligent et habile que sa créature, quelle qu’elle soit l’intelligence de cette dernière”.
Et pourtant... Le désavantage du Bon Dieu était bien visible, ce qui fait que je me suis mis à regarder mon Créateur avec des yeux suppliants. J’étais l’enfant qui regarde son père tout puissant battre en retraite devant un mystérieux adversaire vêtu de noir. Je le voyais souffrir et presque pleurer chaque fois que le jeu l’obligeait à céder l’une de ses pièces si précieuses. L’enfant que j’étais se révoltait à l’idée de voir son père de lumière perdre du terrain devant un adversaire aussi sombre et repoussant. L’enfant que j’étais découvrait pour la première fois l’existence de la mort, et souffrait lui aussi, mais ne pouvait pas concevoir que la mort l’emporte sur la vie. L’enfant que j’étais avait besoin d’un secours, d’une explication, d’un remède contre un doute aussi cruel, aussi écrasant.
Mon instinct filial me poussa à lancer les mots: “Papa. Papa. Ne vous laissez pas battre. Faites quelque chose. N’êtes-vous pas le Tout-Puissant? N’êtes-vous pas Dieu? Ce n’est pas à vous de perdre. Il faut que vous gagniez. Je veux que vous gagniez!”.
Sans trop savoir pourquoi, mes yeux se sont mis à fixer l’échiquier, et voilà... l’explication! J’ai remarqué que les pièces avec lesquelles mon Père menait son jeu étaient toutes douées de liberté, si bien que certaines d’entre elles, se croyant en position de désavantage, se déplaçaient toutes seules vers un carré voisin, et même plus loin. Ce manque de confiance et d’abandon finissait par entraîner leur perte. Mon Papa avait beau être le Tout-Puissant! La liberté qu’exigeait la loi de son amour à l’égard de toutes ses pièces rendait son jeu extrêmement vulnérable face au camp adverse, où la loi de la peur maintenait chaque pièce solidement ancrée au carré choisi par l’intelligence diabolique de l’Adversaire.
À ce moment je suis revenu de ce côté-ci de la réalité, et la voix silencieuse m’a demandé: «Mon cher petit pion, te souviens-tu d’avoir déjà lu un texte qui disait que “quoi qu’il arrive Je rebâtirai mon Église”?»
Oui, je m’en souvenais, mais pas des mots exacts. Alors je les ai cherchés, et je les ai trouvés à la page 118 du livret: “Le grand message d’amour”. J’ai donc relu très attentivement ce message, et il disait:
«Le monde moderne renouvelle ma Passion! Cependant, même si tous mes Prêtres me quittaient, comme mes Disciples ont fait lors de ma crucifixion sur le Golgotha, même si Je restais avec seulement un seul d’entre eux, comme je suis resté seul avec Jean, eh bien, à travers celui-là Je renouvellerai le monde! » (19 mars 1969).
Je réfléchissais sur ce que je venais de vivre. Je savais que les messages que je manipulais étaient comme les morceaux d’un puzzle que je m’efforçais de reconstituer. Dans ma boîte, qui était ma banque de messages prophétiques, il y en avait plusieurs qui ne pouvaient pas être d’origine divine, car malgré leur apparence de vérité ils n’allaient bien nulle part, [68] mais d’après moi ce dernier message était sûrement d’origine divine. Je ne lui trouvais aucun défaut, et en plus il épousait à la perfection les morceaux que j’avais déjà reconnus comme véridiques et placés patiemment à l’endroit qui leur convenait.
Je m’attendais à un commentaire de la part de la voix silencieuse, mais je n’en ai pas eu. Sans doute que l’expérience que je venais de vivre était suffisamment claire et éloquente par elle même. Pour moi elle l’était, mais pour les autres? Je sentais que ces images, malgré leur puissance et leur clarté, n’auraient pas réussi à convaincre tout le monde, et je m’interrogeais sur ce qui empêche certaines personnes de se déclarer satisfaites des explications fournies par la Providence. Or voici la réponse que la voix immatérielle m’a suggéré:
«Il y a une différence énorme entre les personnes qu’un rien peut contenter, et celles qui au contraire ne se contentent jamais de rien. Les premières ont une âme de bonne volonté, et elles croient à la Providence. Elles sont comme des fillettes dociles qui inventent leur bonheur à partir de ce qu’elles reçoivent des mains des adultes. Les deuxièmes, au contraire, ont une âme qui ressemble à celle des contestataires professionnels. Rien ne parvient à les convaincre de choisir la Vérité lorsque celle-ci leur est proposée. Pour ces personnes tout est prétexte pour nier la Vérité, comme si la Vérité n’avait pas le droit d’exister. Par exemple, si un témoin de la Vérité ne donne pas son nom, son témoignage n’est pas recevable, mais s’il le donne, c’est son nom qui n’est pas recevable. Si un livre qui témoigne de la Vérité se présente avec “Imprimatur”, c’est du vieux paternalisme, mais s’il se présente sans “Imprimatur” malheur à celui qui a osé le diffuser dans cet état!”»
À ces conditions, me suis-je dit, il vaut mieux que je poursuive mon chemin sans autres délais, que je suive le conseil que Virgile donnait à son cher compagnon, Dante Alighieri, au cours du voyage qu’ils ont effectué dans les méandres de l’enfer: “Non ragioniam di lor, ma guarda e passa”, autrement dit: “Évitons de parler d’eux, mais regarde, et passe”. [69]
http://www.parvulis.com/Documents/1-main-fr-LGM.htm
Danielle- Enfant de Dieu
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