Pour l'honneur du Christ
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Pour l'honneur du Christ
Communiqué de l'abbé Xavier Beauvais - Pour l'honneur du Christ
Le 29 octobre 2011 à 18 H 00 - Place des Pyramides
Indignés mais pas vaincus !
Le dernier trimestre de l’année 2011, se terminera dans plusieurs villes de France sur un fond d’obscénité et de blasphème au travers d’œuvres scandaleusement financées par un Etat laïc quand chacun sait que laïcité = hostilité ouverte envers tout ce qui est expression de la pensée catholique et haine de Jésus-Christ.
Pourrions-nous rester spectateurs passifs d’une œuvre destructrice et qui bafoue Celui qui nous a manifesté tant de miséricorde, Notre Seigneur Jésus-Christ ?
Comment pourrait-il se faire que Jésus-Christ soit bafoué, la religion du Christ vilipendée, moquée sans que plus aucune réaction ne surgisse ?
Notre indignation, devrait-elle se contenter de « modération à la suite du Christ » [1] comme nous y invite scandaleusement le cardinal Vingt-trois qui ose ajouter : « Il faut que nous acceptions de supporter avec le Christ, l’incompréhension, l’hostilité et la violence des autres ».
Et pour enfoncer le clou de l’inertie et de la lâcheté « On peut très bien exprimer sa blessure sans que cela devienne un argument de combat organisé ».
Or la doctrine catholique sur la vertu de force ne nous demande pas seulement de supporter mais aussi d’attaquer. Alors si comme l’indiquent les autorités du théâtre Garonne à Toulouse « c’est au public de faire son opinion » qu’elles comptent alors sur ce public. Et ce public catholique c’est vous catholiques.
Ces pièces de théâtre qui insultent Notre Seigneur Jésus-Christ ne nous autorisent pas au mutisme. Il serait gravement coupable puisqu’il attenterait à la confession de la foi catholique.
Nous ne pouvons pas être complices de ceux qui par horreur de toute intransigeance se déclarent modérés par principe, au goût plus que modéré pour la vérité et à la haine très médiocre de l’erreur.
Certains se croient vertueux en étant modérés, mais là, demain fin octobre, début novembre, début décembre, lors de ces représentations, la modération ne sera de notre part, en fin de compte, qu’une lamentable médiocrité.
« Médiocrité, écrivait le Père Garrigou Lagrange, qui apparaît comme un savant mélange de vrai et de faux et comme une science du bien et du mal. Ici, le médiocre prétend réaliser ce que Dieu n’a jamais pu faire. Il veut, dit-il tout harmoniser, et il s’apprête à tout confondre, ce qui sera tout embrouiller et détruire ».
Ceux qui appellent ainsi à la modération, « n’augmentent leur mérite qu’en effaçant leur relief. Ce n’est pas le courage qui leur manque mais l’énergie. Ils perdent la faculté d’intervenir dans ce qui est de leur devoir et ils témoignent d’une force d’âme admirable pour supporter blasphèmes et irrespect qu’il dépendait d’eux de prévenir ».
En lisant les propos du cardinal Vingt-trois appelant à la modération, on ne peut s’empêcher de retranscrire ces propos si pleins de bon sens qu’Abel Bonnard écrivait dans « Les Modérés » :
« Si les modérés souhaitent se réconcilier avec leurs adversaires, c’est sans doute parce qu’ils ont peur de se battre et que leur naïve duplicité leur murmure que pour désarmer un rival qu’on redoute, le mieux est de l’embrasser ».
Poursuivant sa description très réaliste des modérés, il écrit encore :
« Ils sont aussi opiniâtres dans leurs sentiments qu’incertains dans leurs opinion et débiles dans leurs volonté […] L’esprit qui survit en eux est condamné à être vaincu parce qu’il n’a pas eu l’audace de se connaître […] Les modérés paraissent comme une troupe d’indécis, leurs têtes tournant au vent des discours comme les girouettes des cheminées qui cherchent à quel souffle obéir ».
A ceux qui nous parlent de modération pour cacher leur faiblesse et leur médiocrité, de Bonald répondait :
« La vérité leur apparaît un excès comme l’erreur. Trop sages pour s’arrêter à celle-ci, trop faibles pour s’élever à celle-là, ils restent au milieu (à mi-chemin dirions-nous) et donnent à leur faiblesse le nom de modération et d’impartialité, oubliant que s’il faut être impartial avec les hommes, on ne peut, en morale, rester indifférents entre les opinions ».
Alors encore moins pourriez-vous rester indifférents quand Notre Seigneur Jésus-Christ est attaqué, blasphémé.
Mais laissons saint Jean Chrysostome répondre au cardinal « la patience à supporter les offenses qui s’adressent à nous, c’est de la vertu ; mais rester insensible à celles qui s’adressent à Dieu, c’est le comble de l’impiété ».
Alors, cher amis, que le comble de l’impiété n’envahisse pas nos cœurs.
Ce n’est plus à Jérusalem qu’il faut aller pour défendre le tombeau du Christ, c’est à Paris, le samedi 29 octobre à 18 H 00, place des Pyramides, qu’il faudra être tous présents pour l’honneur de Jésus-Christ.
Dieu le veult !
Le temps n’est pas venu de crier : « du pain et des jeux » alors que les barbares sont à nos portes.
Abbé Xavier Beauvais
[1] Réponse du cardinal Vingt-trois à la journaliste Clémence Houdaille.
Le 29 octobre 2011 à 18 H 00 - Place des Pyramides
Indignés mais pas vaincus !
Le dernier trimestre de l’année 2011, se terminera dans plusieurs villes de France sur un fond d’obscénité et de blasphème au travers d’œuvres scandaleusement financées par un Etat laïc quand chacun sait que laïcité = hostilité ouverte envers tout ce qui est expression de la pensée catholique et haine de Jésus-Christ.
Pourrions-nous rester spectateurs passifs d’une œuvre destructrice et qui bafoue Celui qui nous a manifesté tant de miséricorde, Notre Seigneur Jésus-Christ ?
Comment pourrait-il se faire que Jésus-Christ soit bafoué, la religion du Christ vilipendée, moquée sans que plus aucune réaction ne surgisse ?
Notre indignation, devrait-elle se contenter de « modération à la suite du Christ » [1] comme nous y invite scandaleusement le cardinal Vingt-trois qui ose ajouter : « Il faut que nous acceptions de supporter avec le Christ, l’incompréhension, l’hostilité et la violence des autres ».
Et pour enfoncer le clou de l’inertie et de la lâcheté « On peut très bien exprimer sa blessure sans que cela devienne un argument de combat organisé ».
Or la doctrine catholique sur la vertu de force ne nous demande pas seulement de supporter mais aussi d’attaquer. Alors si comme l’indiquent les autorités du théâtre Garonne à Toulouse « c’est au public de faire son opinion » qu’elles comptent alors sur ce public. Et ce public catholique c’est vous catholiques.
Ces pièces de théâtre qui insultent Notre Seigneur Jésus-Christ ne nous autorisent pas au mutisme. Il serait gravement coupable puisqu’il attenterait à la confession de la foi catholique.
Nous ne pouvons pas être complices de ceux qui par horreur de toute intransigeance se déclarent modérés par principe, au goût plus que modéré pour la vérité et à la haine très médiocre de l’erreur.
Certains se croient vertueux en étant modérés, mais là, demain fin octobre, début novembre, début décembre, lors de ces représentations, la modération ne sera de notre part, en fin de compte, qu’une lamentable médiocrité.
« Médiocrité, écrivait le Père Garrigou Lagrange, qui apparaît comme un savant mélange de vrai et de faux et comme une science du bien et du mal. Ici, le médiocre prétend réaliser ce que Dieu n’a jamais pu faire. Il veut, dit-il tout harmoniser, et il s’apprête à tout confondre, ce qui sera tout embrouiller et détruire ».
Ceux qui appellent ainsi à la modération, « n’augmentent leur mérite qu’en effaçant leur relief. Ce n’est pas le courage qui leur manque mais l’énergie. Ils perdent la faculté d’intervenir dans ce qui est de leur devoir et ils témoignent d’une force d’âme admirable pour supporter blasphèmes et irrespect qu’il dépendait d’eux de prévenir ».
En lisant les propos du cardinal Vingt-trois appelant à la modération, on ne peut s’empêcher de retranscrire ces propos si pleins de bon sens qu’Abel Bonnard écrivait dans « Les Modérés » :
« Si les modérés souhaitent se réconcilier avec leurs adversaires, c’est sans doute parce qu’ils ont peur de se battre et que leur naïve duplicité leur murmure que pour désarmer un rival qu’on redoute, le mieux est de l’embrasser ».
Poursuivant sa description très réaliste des modérés, il écrit encore :
« Ils sont aussi opiniâtres dans leurs sentiments qu’incertains dans leurs opinion et débiles dans leurs volonté […] L’esprit qui survit en eux est condamné à être vaincu parce qu’il n’a pas eu l’audace de se connaître […] Les modérés paraissent comme une troupe d’indécis, leurs têtes tournant au vent des discours comme les girouettes des cheminées qui cherchent à quel souffle obéir ».
A ceux qui nous parlent de modération pour cacher leur faiblesse et leur médiocrité, de Bonald répondait :
« La vérité leur apparaît un excès comme l’erreur. Trop sages pour s’arrêter à celle-ci, trop faibles pour s’élever à celle-là, ils restent au milieu (à mi-chemin dirions-nous) et donnent à leur faiblesse le nom de modération et d’impartialité, oubliant que s’il faut être impartial avec les hommes, on ne peut, en morale, rester indifférents entre les opinions ».
Alors encore moins pourriez-vous rester indifférents quand Notre Seigneur Jésus-Christ est attaqué, blasphémé.
Mais laissons saint Jean Chrysostome répondre au cardinal « la patience à supporter les offenses qui s’adressent à nous, c’est de la vertu ; mais rester insensible à celles qui s’adressent à Dieu, c’est le comble de l’impiété ».
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Abbé Xavier Beauvais
[1] Réponse du cardinal Vingt-trois à la journaliste Clémence Houdaille.
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