Le Crédit Social
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Le Crédit Social
http://www.michaeljournal.org/10lecons.htm
Le Crédit Social est une doctrine, un ensemble de principes énoncés pour la première fois par le major et ingénieur C.-H. Douglas, en 1918. La mise en application de ces principes ferait l'organisme économique et social atteindre efficacement sa fin propre, qui est le service des besoins humains.
Le Crédit Social ne créerait ni les biens ni les besoins, mais il éliminerait tout obstacle artificiel entre les deux, entre la production et la consommation, entre le blé dans les silos et le pain sur la table. L'obstacle aujourd'hui, au moins dans les pays évolués, est purement d'ordre financier — un obstacle d'argent. Or, le système financier n'émane ni de Dieu ni de la nature. Établi par des hommes, il peut être ajusté pour servir les hommes et non plus pour leur créer des difficultés.
A cette fin, le Crédit Social présente des propositions concrètes. Fort simples, ces propositions impliquent cependant une véritable révolution. Le Crédit Social ouvre la vision sur une civilisation d'un aspect nouveau, si par civilisation on peut signifier les relations des hommes entre eux et des conditions de vie facilitant à chacun l'épanouissement de sa personnalité.
Sous un régime créditiste, on ne serait plus aux prises avec les problèmes strictement financiers qui harcèlent constamment les corps publics, les institutions, les familles, et qui empoisonnent les rapports entre individus. La finance ne serait plus qu'un système de comptabilité, exprimant en chiffres les valeurs relatives des produits et services, facilitant la mobilisation et la coordination des énergies nécessaires aux différentes phases de la production vers le produit fini, et distribuant à TOUS les consommateurs le moyen de choisir librement et individuellement ce qui leur convient parmi les biens offerts ou immédiatement réalisables.
Pour la première fois dans l'histoire, la sécurité économique absolue, sans conditions restrictives, serait garantie à tous et à chacun. L'indigence matérielle serait chose du passé. L'inquiétude matérielle du lendemain disparaîtrait. Le pain serait assuré à tous, tant qu'il y a assez de blé pour assez de pain pour tous. De même pour les autres produits nécessaires à la vie.
Cette sécurité économique, chaque citoyen en serait gratifié comme d'un droit de naissance, à seul titre de membre de la communauté, usufruitier sa vie durant d'un capital communautaire immense, devenu facteur prépondérant de la production moderne. Ce capital est fait, entre autres, des richesses naturelles, bien collectif; de la vie en association, avec l'incrementum qui en découle; de la somme des découvertes, inventions, progrès technologiques, héritage toujours croissant des générations.
Ce capital communautaire, si productif, vaudrait à chacun de ses copropriétaires, à chaque citoyen, un dividende périodique, du berceau à la tombe. Et vu le volume de production attribuable au capital commun, le dividende à chacun devrait être au moins suffisant pour couvrir les besoins essentiels de l'existence. Cela, sans préjudice au salaire ou autre forme de récompense, en plus, à ceux qui participent personnellement à la production.
Un revenu ainsi attaché à la personne, et non plus uniquement à son statut dans l'embauchage, soustrairait les individus à l'exploitation par d'autres êtres humains. Avec le nécessaire garanti, un homme se laisse moins bousculer et peut mieux embrasser la carrière de son choix.
Libérés des soucis matériels pressants, les hommes pourraient s'appliquer à des activités libres, plus créatrices que le travail commandé, et poursuivre leur développement personnel par l'exercice de fonctions humaines supérieures à la fonction purement économique. Le pain matériel ne serait plus l'occupation absorbante de leur vie.
etc.
Le Crédit Social est une doctrine, un ensemble de principes énoncés pour la première fois par le major et ingénieur C.-H. Douglas, en 1918. La mise en application de ces principes ferait l'organisme économique et social atteindre efficacement sa fin propre, qui est le service des besoins humains.
Le Crédit Social ne créerait ni les biens ni les besoins, mais il éliminerait tout obstacle artificiel entre les deux, entre la production et la consommation, entre le blé dans les silos et le pain sur la table. L'obstacle aujourd'hui, au moins dans les pays évolués, est purement d'ordre financier — un obstacle d'argent. Or, le système financier n'émane ni de Dieu ni de la nature. Établi par des hommes, il peut être ajusté pour servir les hommes et non plus pour leur créer des difficultés.
A cette fin, le Crédit Social présente des propositions concrètes. Fort simples, ces propositions impliquent cependant une véritable révolution. Le Crédit Social ouvre la vision sur une civilisation d'un aspect nouveau, si par civilisation on peut signifier les relations des hommes entre eux et des conditions de vie facilitant à chacun l'épanouissement de sa personnalité.
Sous un régime créditiste, on ne serait plus aux prises avec les problèmes strictement financiers qui harcèlent constamment les corps publics, les institutions, les familles, et qui empoisonnent les rapports entre individus. La finance ne serait plus qu'un système de comptabilité, exprimant en chiffres les valeurs relatives des produits et services, facilitant la mobilisation et la coordination des énergies nécessaires aux différentes phases de la production vers le produit fini, et distribuant à TOUS les consommateurs le moyen de choisir librement et individuellement ce qui leur convient parmi les biens offerts ou immédiatement réalisables.
Pour la première fois dans l'histoire, la sécurité économique absolue, sans conditions restrictives, serait garantie à tous et à chacun. L'indigence matérielle serait chose du passé. L'inquiétude matérielle du lendemain disparaîtrait. Le pain serait assuré à tous, tant qu'il y a assez de blé pour assez de pain pour tous. De même pour les autres produits nécessaires à la vie.
Cette sécurité économique, chaque citoyen en serait gratifié comme d'un droit de naissance, à seul titre de membre de la communauté, usufruitier sa vie durant d'un capital communautaire immense, devenu facteur prépondérant de la production moderne. Ce capital est fait, entre autres, des richesses naturelles, bien collectif; de la vie en association, avec l'incrementum qui en découle; de la somme des découvertes, inventions, progrès technologiques, héritage toujours croissant des générations.
Ce capital communautaire, si productif, vaudrait à chacun de ses copropriétaires, à chaque citoyen, un dividende périodique, du berceau à la tombe. Et vu le volume de production attribuable au capital commun, le dividende à chacun devrait être au moins suffisant pour couvrir les besoins essentiels de l'existence. Cela, sans préjudice au salaire ou autre forme de récompense, en plus, à ceux qui participent personnellement à la production.
Un revenu ainsi attaché à la personne, et non plus uniquement à son statut dans l'embauchage, soustrairait les individus à l'exploitation par d'autres êtres humains. Avec le nécessaire garanti, un homme se laisse moins bousculer et peut mieux embrasser la carrière de son choix.
Libérés des soucis matériels pressants, les hommes pourraient s'appliquer à des activités libres, plus créatrices que le travail commandé, et poursuivre leur développement personnel par l'exercice de fonctions humaines supérieures à la fonction purement économique. Le pain matériel ne serait plus l'occupation absorbante de leur vie.
Les propositions du Crédit Social
expliquées en 10 leçons
et vues à la lumière
de la doctrine sociale de l'Église
expliquées en 10 leçons
et vues à la lumière
de la doctrine sociale de l'Église
Le Crédit Social est une doctrine, un ensemble de principes énoncés pour la première fois par le major et ingénieur C.-H. Douglas, en 1918. La mise en application de ces principes ferait l'organisme économique et social atteindre efficacement sa fin propre, qui est le service des besoins humains.
Le Crédit Social ne créerait ni les biens ni les besoins, mais il éliminerait tout obstacle artificiel entre les deux, entre la production et la consommation, entre le blé dans les silos et le pain sur la table. L'obstacle aujourd'hui, au moins dans les pays évolués, est purement d'ordre financier — un obstacle d'argent. Or, le système financier n'émane ni de Dieu ni de la nature. Établi par des hommes, il peut être ajusté pour servir les hommes et non plus pour leur créer des difficultés.
A cette fin, le Crédit Social présente des propositions concrètes. Fort simples, ces propositions impliquent cependant une véritable révolution. Le Crédit Social ouvre la vision sur une civilisation d'un aspect nouveau, si par civilisation on peut signifier les relations des hommes entre eux et des conditions de vie facilitant à chacun l'épanouissement de sa personnalité.
Sous un régime créditiste, on ne serait plus aux prises avec les problèmes strictement financiers qui harcèlent constamment les corps publics, les institutions, les familles, et qui empoisonnent les rapports entre individus. La finance ne serait plus qu'un système de comptabilité, exprimant en chiffres les valeurs relatives des produits et services, facilitant la mobilisation et la coordination des énergies nécessaires aux différentes phases de la production vers le produit fini, et distribuant à TOUS les consommateurs le moyen de choisir librement et individuellement ce qui leur convient parmi les biens offerts ou immédiatement réalisables.
Pour la première fois dans l'histoire, la sécurité économique absolue, sans conditions restrictives, serait garantie à tous et à chacun. L'indigence matérielle serait chose du passé. L'inquiétude matérielle du lendemain disparaîtrait. Le pain serait assuré à tous, tant qu'il y a assez de blé pour assez de pain pour tous. De même pour les autres produits nécessaires à la vie.
Cette sécurité économique, chaque citoyen en serait gratifié comme d'un droit de naissance, à seul titre de membre de la communauté, usufruitier sa vie durant d'un capital communautaire immense, devenu facteur prépondérant de la production moderne. Ce capital est fait, entre autres, des richesses naturelles, bien collectif; de la vie en association, avec l'incrementum qui en découle; de la somme des découvertes, inventions, progrès technologiques, héritage toujours croissant des générations.
Ce capital communautaire, si productif, vaudrait à chacun de ses copropriétaires, à chaque citoyen, un dividende périodique, du berceau à la tombe. Et vu le volume de production attribuable au capital commun, le dividende à chacun devrait être au moins suffisant pour couvrir les besoins essentiels de l'existence. Cela, sans préjudice au salaire ou autre forme de récompense, en plus, à ceux qui participent personnellement à la production.
Un revenu ainsi attaché à la personne, et non plus uniquement à son statut dans l'embauchage, soustrairait les individus à l'exploitation par d'autres êtres humains. Avec le nécessaire garanti, un homme se laisse moins bousculer et peut mieux embrasser la carrière de son choix.
Libérés des soucis matériels pressants, les hommes pourraient s'appliquer à des activités libres, plus créatrices que le travail commandé, et poursuivre leur développement personnel par l'exercice de fonctions humaines supérieures à la fonction purement économique. Le pain matériel ne serait plus l'occupation absorbante de leur vie.
etc.
Le Crédit Social est une doctrine, un ensemble de principes énoncés pour la première fois par le major et ingénieur C.-H. Douglas, en 1918. La mise en application de ces principes ferait l'organisme économique et social atteindre efficacement sa fin propre, qui est le service des besoins humains.
Le Crédit Social ne créerait ni les biens ni les besoins, mais il éliminerait tout obstacle artificiel entre les deux, entre la production et la consommation, entre le blé dans les silos et le pain sur la table. L'obstacle aujourd'hui, au moins dans les pays évolués, est purement d'ordre financier — un obstacle d'argent. Or, le système financier n'émane ni de Dieu ni de la nature. Établi par des hommes, il peut être ajusté pour servir les hommes et non plus pour leur créer des difficultés.
A cette fin, le Crédit Social présente des propositions concrètes. Fort simples, ces propositions impliquent cependant une véritable révolution. Le Crédit Social ouvre la vision sur une civilisation d'un aspect nouveau, si par civilisation on peut signifier les relations des hommes entre eux et des conditions de vie facilitant à chacun l'épanouissement de sa personnalité.
Sous un régime créditiste, on ne serait plus aux prises avec les problèmes strictement financiers qui harcèlent constamment les corps publics, les institutions, les familles, et qui empoisonnent les rapports entre individus. La finance ne serait plus qu'un système de comptabilité, exprimant en chiffres les valeurs relatives des produits et services, facilitant la mobilisation et la coordination des énergies nécessaires aux différentes phases de la production vers le produit fini, et distribuant à TOUS les consommateurs le moyen de choisir librement et individuellement ce qui leur convient parmi les biens offerts ou immédiatement réalisables.
Pour la première fois dans l'histoire, la sécurité économique absolue, sans conditions restrictives, serait garantie à tous et à chacun. L'indigence matérielle serait chose du passé. L'inquiétude matérielle du lendemain disparaîtrait. Le pain serait assuré à tous, tant qu'il y a assez de blé pour assez de pain pour tous. De même pour les autres produits nécessaires à la vie.
Cette sécurité économique, chaque citoyen en serait gratifié comme d'un droit de naissance, à seul titre de membre de la communauté, usufruitier sa vie durant d'un capital communautaire immense, devenu facteur prépondérant de la production moderne. Ce capital est fait, entre autres, des richesses naturelles, bien collectif; de la vie en association, avec l'incrementum qui en découle; de la somme des découvertes, inventions, progrès technologiques, héritage toujours croissant des générations.
Ce capital communautaire, si productif, vaudrait à chacun de ses copropriétaires, à chaque citoyen, un dividende périodique, du berceau à la tombe. Et vu le volume de production attribuable au capital commun, le dividende à chacun devrait être au moins suffisant pour couvrir les besoins essentiels de l'existence. Cela, sans préjudice au salaire ou autre forme de récompense, en plus, à ceux qui participent personnellement à la production.
Un revenu ainsi attaché à la personne, et non plus uniquement à son statut dans l'embauchage, soustrairait les individus à l'exploitation par d'autres êtres humains. Avec le nécessaire garanti, un homme se laisse moins bousculer et peut mieux embrasser la carrière de son choix.
Libérés des soucis matériels pressants, les hommes pourraient s'appliquer à des activités libres, plus créatrices que le travail commandé, et poursuivre leur développement personnel par l'exercice de fonctions humaines supérieures à la fonction purement économique. Le pain matériel ne serait plus l'occupation absorbante de leur vie.
invité1- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1533
Inscription : 05/08/2009
Re: Le Crédit Social
C'est surtout cela qui caractérise les bérets blancs.
Une photo vaut milles mots....
Ils sont les protégés de St-Michel Archange.
Michael
Une photo vaut milles mots....
Ils sont les protégés de St-Michel Archange.
Michael
Michael 7- Aime le Rosaire
- Messages : 700
Inscription : 01/08/2009
Re: Le Crédit Social
MadameMim
invité1- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1533
Inscription : 05/08/2009
Re: Le Crédit Social
Voici un journal très intéressant à lire "Vers demain".... et cet article qui met en garde le monde contre les événements à craindre...
Journal catholique qui veut garder éveillés les chrétiens (si rare aujourd'hui !) !!!
Informations très intéressantes, d'une extrême importance, et toujours dans la lignée de l'Eglise catholique !
http://www.michaeljournal.org/fin_systeme_financier.pdf
Est-ce la fin du système financier actuel ?
A la fin de l'article.... cette déclaration d'un évêque (si tous pouvaient faire de même !..)
"L'église doit aujourd'hui proclamer qu'une guerre nouvelle a commencé : une guerre totale contre l'homme. Une guerre qui veut d'abord mutiler l'homme pour ensuite le détruire. Une guerre qui veut aliéner l'homme de sa raison et de sa volonté, dans lesquelles s'exprime sa prodigieuse ressemblance à Dieu. Une guerre insensée où la mort de Dieu aurait pour prix la mort de l'homme.
C'est le privilège et la mission des chrétiens d'être des veilleurs appelés à signaler à tous les hommes les impasses et les pièges, d'indiquer les balises, et surtout de rendre compte de l'espérance dont ils sont à la fois porteurs et témoins."
Mgr Michel Schooyans
http://www.michaeljournal.org/fin_systeme_financier.pdf
Journal catholique qui veut garder éveillés les chrétiens (si rare aujourd'hui !) !!!
Informations très intéressantes, d'une extrême importance, et toujours dans la lignée de l'Eglise catholique !
http://www.michaeljournal.org/fin_systeme_financier.pdf
Est-ce la fin du système financier actuel ?
A la fin de l'article.... cette déclaration d'un évêque (si tous pouvaient faire de même !..)
"L'église doit aujourd'hui proclamer qu'une guerre nouvelle a commencé : une guerre totale contre l'homme. Une guerre qui veut d'abord mutiler l'homme pour ensuite le détruire. Une guerre qui veut aliéner l'homme de sa raison et de sa volonté, dans lesquelles s'exprime sa prodigieuse ressemblance à Dieu. Une guerre insensée où la mort de Dieu aurait pour prix la mort de l'homme.
C'est le privilège et la mission des chrétiens d'être des veilleurs appelés à signaler à tous les hommes les impasses et les pièges, d'indiquer les balises, et surtout de rendre compte de l'espérance dont ils sont à la fois porteurs et témoins."
Mgr Michel Schooyans
http://www.michaeljournal.org/fin_systeme_financier.pdf
invité1- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1533
Inscription : 05/08/2009
Re: Le Crédit Social
Programme du Congrès, 5-6-7 septembre 2009
Samedi, 1.30 hre: Ouverture - Chapelet - Bienvenue
2.30 hres: Conférences — Honneur aux apôtres
4.00 hres: Sainte Messe
5.30 hres: Souper
7.00 hres: Conférences — Présentation des Etats-Unis, Mexique, Canada
2.30 hres: Conférences — Honneur aux apôtres
4.00 hres: Sainte Messe
5.30 hres: Souper
7.00 hres: Conférences — Présentation des Etats-Unis, Mexique, Canada
Dimanche, 9 heures: Chapelet
Conférences: Présentation de la France, de la Pologne,
de l’Amérique du Sud et de l’Amérique Centrale.
Dîner — 1.30 hre: Présentation du Madagascar, Côte d’Ivoire, Congo, Togo
16.30 hres: Procession dans les rues
17.00 hres: Sainte Messe à l’église — Souper
19.30 hres: Les apôtres de Vers Demain et les distributeurs
de circulaires du monde entier.
Conférences: Présentation de la France, de la Pologne,
de l’Amérique du Sud et de l’Amérique Centrale.
Dîner — 1.30 hre: Présentation du Madagascar, Côte d’Ivoire, Congo, Togo
16.30 hres: Procession dans les rues
17.00 hres: Sainte Messe à l’église — Souper
19.30 hres: Les apôtres de Vers Demain et les distributeurs
de circulaires du monde entier.
Lundi, 9.00 hres: Sainte Messe
10 hres: Projet d’avenir pour chaque pays.
14.00 hres: Pèlerinage à l’Oratoire St-Joseph
10 hres: Projet d’avenir pour chaque pays.
14.00 hres: Pèlerinage à l’Oratoire St-Joseph
http://www.michaeljournal.org/quoideneuf.htm
Michael 7- Aime le Rosaire
- Messages : 700
Inscription : 01/08/2009
Re: Le Crédit Social
Michael 7 a écrit:Programme du Congrès, 5-6-7 septembre 2009Samedi, 1.30 hre: Ouverture - Chapelet - Bienvenue
2.30 hres: Conférences — Honneur aux apôtres
4.00 hres: Sainte Messe
5.30 hres: Souper
7.00 hres: Conférences — Présentation des Etats-Unis, Mexique, CanadaDimanche, 9 heures: Chapelet
Conférences: Présentation de la France, de la Pologne,
de l’Amérique du Sud et de l’Amérique Centrale.
Dîner — 1.30 hre: Présentation du Madagascar, Côte d’Ivoire, Congo, Togo
16.30 hres: Procession dans les rues
17.00 hres: Sainte Messe à l’église — Souper
19.30 hres: Les apôtres de Vers Demain et les distributeurs
de circulaires du monde entier.Lundi, 9.00 hres: Sainte Messe
10 hres: Projet d’avenir pour chaque pays.
14.00 hres: Pèlerinage à l’Oratoire St-Joseph
Dommage que ce soit si loin ! sinon j'y serais allée avec plaisir !
Par contre, si vous y allez, Michaël7, pourrez-vous nous faire une synthèse ?
Lau
invité1- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1533
Inscription : 05/08/2009
Re: Le Crédit Social
Ils ont beaucoup de caractère,détermination et font la joie du Ciel.
Coté Spirituel,ils sont exemplaires.
Messe,Adoration,Rosaire+Chapelet Angélique.
Michael
Michael 7- Aime le Rosaire
- Messages : 700
Inscription : 01/08/2009
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