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le saint suaire

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Message par P4572 Ven 10 Avr 2009 - 23:08

le saint suaire IESVS



LE SAINT SUAIRE : LES PREUVES SCIENTIFIQUES DE L'EXISTENCE DE DIEU


Il y avait un conseiller, nommé Joseph, homme bon et juste,
qui n'avait point participé à la décision et aux actes des autres; il était d'Arimathée, ville des Juifs, et il attendait le royaume de Dieu.
Cet homme se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus.
Il le descendit de la croix, l'enveloppa d'un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait encore été mis.
C'était le jour de la préparation, et le sabbat allait commencer.

Evangile de Saint Luc 23:50-54



L'AUTHENTICITÉ DU LINCEUL DE TURIN N'ÉTANT PAS UN ARTICLE DE FOI.



Le Sindone (mot italien du Grec s u n d o n = feuille, toile) n'est pas un article de foi. L'Église Catholique n'oblige personne à croire au Saint Suaire. L'Église oblige seulement croire les dogmes de foi étant des vérités révélées par Dieu. Le Saint Suaire n'entre pas dans la Révélation, ce qui n'implique pas qu'il n'est pas vérité. La même manière que ce qui est mathématiques n'entrent pas dans la Révélation, et ils sont aussi vérité.

Dans cet article nous allons seulement exposer les faits objectifs que la science a révélés sur cette relique incroyable.

Le Saint Suaire est la relique la plus étudiée de toute l'histoire. Une légion de scientifiques de très variées des disciplines l'ont étudiée. Ici sont les données qui ont apporté leurs recherches :





UNE PIÈCE UNIQUE


Le Sindon est une pièce unique au monde. Il n'est pas connu en toute l'histoire aucun autre objet de caractéristiques semblables. Il n'y a aucune trace dans toute la Terre d'un fait semblable dans aucune autre civilisation occidental, oriental, africain ou aborigène.


Nous sommes incapables d'en faire une simple copie, même approximative, à l'heure actuelle.


L'image imprimée sur le tissu est en fait un négatif et présente le corps martyrisé de Jésus vue à la fois de face et de dos avec des points de concordance rigoureusement exacts comme la marque des clous " entrée/sortie " qui ont transpercé les pieds du Seigneur.






L'IMAGE

La série de tests ne fit apparaître aucun pigment, aucune trace de peinture. Mais elle établit la présence de sang à l'emplacement des plaies. L'image était superficielle, sa coloration ne pénétrait pas dans les fils; l'image ne touchait que les fibres supérieures de la trame du linceul sur une profondeur de l'ordre de 40 microns. Ce qui exclut toute imprégnation de liquides et par là même toute technique d'imprégnation pour l'image. Celle-ci est bien composée de " fibrilles jaunes ". La coloration est le produit d'une déshydratation de la cellulose d'origine inconnue faisant penser à une sorte roussissure provoquée par une source de chaleur.


Aucun " tracé directionnel " (coup de pinceau) ne fut identifié sur le linceul.


A l'évidence, cette image n'avait pas de facture artistique. C'était un " négatif photographique " parfait, très détaillé.


Il faut s'éloigner de plus de 2 mètres du linceul pour pouvoir percevoir une image lisible et l'identifier comme étant une silhouette recto-verso d'un corps d'homme et c'est à 5 mètres que certains détails se révèlent au regard humain.


L'image imprimée sur le tissu est en fait un négatif et il aura fallu attendre l'invention de la photographie au siècle XIX pour le découvrir.


Le support a été tissé selon une méthode propre aux régions proches de Jérusalem, à une époque contemporaine de Jésus-Christ, et contient quelques traces : d'une espèce de coton spécifique à la Palestine, sur un métier à tisser du type de ceux utilisés au siècle précédent la naissance de Jésus... (aucune espèce de coton ne poussant en Europe) et cependant, en conformité avec la Loi Mosaïque qui interdit le port d'un vêtement contenant des fibres provenant à la fois du monde animal et du monde végétal.


L'origine et le mode d'impression de la coloration que l'on pourrait plutôt appeler pigmentation ne sont pas identifiables par les moyens techniques actuels. Des traces d'hémoglobine y sont pourtant décelées mais les fibres, soumises à un examen microscopique, ne sont " roussies " (pour employer un terme courant que dément cependant une procédure de réflectrométrie) que superficiellement, sans imprégnation ou même traces d'arrachement superficiel. Le roussissement apparent du tissu constituant l'image, principale caractéristique visuelle, n'a pas affecté les fibres des fils mais seulement et de manière sélective, des fibrilles, mesurables en quelques dizaines de microns.


L'empreinte de l'Image n'existe pas sous ces tâches de sang comme si ce sang avait protégé le tissu !


Aucune trace de colorants d'origine minérale ou organique (ou même de liquide en dehors du sang et de ses composants naturels révélés par le phénomène de la capillarité et de la pesanteur : l'image est superficielle, comme ceux habituellement utilisés par les peintres, n'a pu être trouvée.


Les examens scientifiques ont prouvé que l'intensité des ombres est en concordance partielle ou totale avec la déshydratation des fibres de surface des fils qui constituent le tissu.


L'image du linceul étant le résultat d'une projection verticale polarisante, cela exclut toute forme de rayonnement calorique car la chaleur s'exerce de façon omnidirectionnelle.


Toute œuvre peinte composée de main d'homme, c'est à dire manuellement accomplie, laisse apparaître après examen et traitement d'image, un sens d'exécution avec des points ou des zones de démarrage, des mouvements ou traces directionnelles que l'on dénomme " fréquences spatiales préférentielles ". Aucune de ces fréquences n'étant détectée par l'ordinateur, cela prouve qu'il s'agit d'un autre mode d'exécution que celle de la main d'un homme et ce fait lui vaut d'être une œuvre archéiropoiétique ! Le mécanisme de formation de cette image est donc " isotrope ", sans effet directionnel, excluant immanquablement une exécution manuelle, donc d'origine humaine. La postcolorisation d'images numérisées permet de révéler des détails supplémentaires.

L'image ne traverse pas la toile de côté à côté. Sur une seule face du Suaire est imprimée l'image frontale et dorsale d'un homme flagellé, en "rigor mortis" et mort par crucifixion.

L'image n'est pas peinte, ni imprimée, ni il existe des restes de pigments, ni colorants, ni soies de brosse, ni les grandes lignes de peinture, ni l'aucun matériel organique ajouté. Les taches de sang sont composées de hemoglobine.

L'Homme du Sindon est une image ténue et très détaillée d'un homme adulte avec des cheveux mi-longs et une barbe; d'un mètre et quatre-vingt-quatre à quatre-vingt-sept centimètres de stature, de constitution forte, musclée, entre 30 et 35 années, avec un poids de quelque 80 kilos ; de mains et de pieds longs ; une face sémitique avec les traces laissées par un chapeau complet d'épines et non une couronne , comme on pensait ; et une série de détails qui ont permis de renforcer l'histoire biblique de la crucifixion.

L'image coïncide avec la description du corps inerte Jésus de Nazaret après avoir souffert la crucifixion. Les evangiles parlent d'une toile dans laquelle a été à la hâte entouré Jésus après son décès - Vendredi Saint - pour ne pas rompre avec le repos sabbatique juif. Les juifs enveloppaient les cadavres avec des bandages, comme à Lazare. Mais avec le Christ ils n'ont pas eu du temps, parce qu'Il est mort aux trois heures de l'après-midi et fallait terminer la sépulture avant la nuit, parce que commençait alors le jour de fête avec interdiction totale de tout travail.
Comme Nicodéme et Joseph d'Arimathée ont dû aller demander autorisation à Pilate pour emmener le cadavre, chercher les instruments et décrocher le Seigneur de la croix, l'après-midi finissait et ont rapidement dû l'enterrer en le couvrant avec le Suaire. C'est pourquoi après samedi, allaient les femmes terminer la sépulture.
Le Sindon montre le tourment d'un jeune homme, avec des caractéristiques propres du groupe ethnique juif. Le sang correspond au groupe AB, le plus fréquent entre les hébreux.

Il s'agit d'un homme qui a souffert hematidrose (sueur de sang), grands coups dans les genoux et le dos. Dans l'image on apprécie un minimum de 120 coups avec un fouet de trois cordes terminées en des boules d'acier. La face présente des grands coups aussi. Il a été couronné par un chapeau d'épines, de desquelles on apprécie 33 orifices. Ont pu être comptées en total plus de 600 blessures dans tout le corps. Toutes ont été produites en vie, à l'exception d'un grande blessée dans le flanc droit, qui a une forme elliptique du même diamètre qu'une lancea romaine ; et elle est arrivée à l'auricule droite du coeur.

Il a été crucifié avec des clous qui ont traversé les poupées (non les mains) ; les pieds ont été ensemble traversés par un seul clou. Les médecins qui ont analysé la toile ont déduit qu'Il souffre des forts douleurs péricordiaux, oppression, et fièvre très haute, en mourant finalement d'asphyxie, n'ayant pas déjà de forces pour s'élever et respirer.

On a essayé de reproduire l'image, mais les essais effectués avec des cadavres humains, moules incandescents et diverses substances ont fracassé. Les spécialistes concluent que l'efigie est provoquée par une espèce de radiation d'origine inconnue.

L'image est en négatif, mais le sang qui a trempé la toile est en positif.

L'image de la Figure humaine doit être lue comme reflétée dans un miroir : ce qui est vu à droite se trouve en réalité à sa gauche et vice versa.

L'image du Saint Suaire est un négatif photographique imprimé dans la toile, mais a deux caractéristiques très particulières par rapport à tout autre négatif : il est tridimensionnel et il n'existe pas d'unidirectionnelité.

Le Saint Suaire est la seule "photographie" tridimensionnelle. C'est-à-dire, l'intensité des images est inversement proportionnelle à la distance qui sépare en chaque point la toile du cadavre "photographié".

Le résultat a démontré que l'image latente était complètement tridimensionnel, et qu'il n'existait pas de lignes ni de directionnelité dans le dessin.

Il est important de souligner la non-existence de directionnelité. Pour comprendre ceci il faut expliquer comme fonctionne une machine photographique. Le principe est celui de la chambre foncée : nous avons une pièce complètement fermée dans une dont les parois nous ouvrons un petit orifice par lequel il pénètre la lumière. Un objet situé hors de la chambre serait reflété, inverti, dans la paroi opposée à l'orifice. Celui-ci est le fondement des machines photographiques. Dans ces images il existe la directionnelité, c'est-à-dire, toute l'image est formée à partir des rayons de lumière qui viennent d'un seul point : les rayons lumineux qui entrent par l'orifice de la paroi.

Il n'est pas ainsi avec le Sindon. Il n'existe aucun point focal à auquel converge l'image. La lumière qui a imprégné le Saint Suaire vient de toute la surface du Corps. Tout au plus proche était la toile au Corps, d'autant plus il a intensément brûlé par la radiation qui est soudainement apparue du Corps, en lui donnant son tridimensionnalité caractéristique.




UNE IMAGE TRIDIMENSIONNELLE

le saint suaire 3DIl a fallu attendre l'invention de l'ordinateur et de logiciels dédiés à l'aventure spatiale, avec la découverte de Bill Mottern en 1976 sur un " VP8 analyser ", de cette tridimensionnalité qui permet de révéler après un scanning de la surface du linge, une représentation en 3D de l'ensemble de l'image, due à l'intensité lumineuse. Ce qui signifie que la distance entre la peau du supplicié et la surface du linge, en dehors des parties imprégnées de sang, a été prise en compte et enregistrée à l'insu de la simple première approche visuelle. Cette tridimensionnalité n'existe pas, bien entendu, sur une photographie du type de celle que le grand public est capable de tirer avec les appareils classiques, aussi sophistiqués soient-ils.

L'étude confirma également l' effet de distance de l'image. La définition de la densité de couleur était bien en rapport avec la distance entre la toile et le Corps. Ce qui permit grâce à un appareil de la Nasa, le VP8 de confirmer les travaux précédents sur la " tridimensionnalité de l'image ".

Le Sindon a été étudiée par une légion de scientifiques, et la recherche continue. Le VP-8 est un appareil destiné à faire des recherches sur l'orographie des planètes sur les différents jeux de photographies obtenus par les sondes spatiales Viking qu'ils naviguaient autour de la planète Mars. Le résultat de l'analyse du VP-8 a révélé que l'image reflétée dans la Síndone était l'équivalent à la surface tridimensionnelle d'un corps humain. Et quelque chose non moins surprenant : l'image a été concrétisée uniformément dans le Sindon par une espèce de radiation inconnue, qui a brûlé légèrement de manière uniforme la totalité de la toile, ce pourquoi on démontre que ce n'a pas été le contact direct avec le corps ce qui a produit l'image, mais une radiation qui a émané de lui.





LA TOILE

L'analyse de la Toile confirme qu'elle se correspond avec les tissus existants il y a 2.000 ans. Il convient de souligner que cette façon de tisser la toile a été cessée d'utiliser après le siècle I, parce que les métiers à tisser manuels ont disparu et déjà ils n'ont pas été utilisés à nouveau. On ne conserve dans aucun musée du monde spécialisé aux toiles, de toiles de ce type postérieures au siècle I.

La Toile tissée à main avec forme d'épine de poisson, mesurait 436 cm de longueur par 110 de large. Le cadre répond à l'ancien style de Damassé, il s'agit d'une toile tissée en "épine de poisson", en quarante-cinq degrés, disposée de deux en haut et deux vers le bas. Le fil transversal passe ainsi sous trois verticales pour surgir dans le quatrième, ce qui requiert un métier à tisser de quatre pédales.


On a seulement trouvé quelques fibres de coton mais ni le plus minimal reste de cheveux d'animal aucun. L'absence de cheveux d'animal est expliquée par l'interdiction de la loi juif que dans un métier à tisser on mélange des fibres végétales et animales. En Europe il a fallu attendre jusqu'au siècle XIII pour qu'on confectionne des toiles semblables au Sindon. Le fait de trouver quelques fibres de coton a servi à quelques chercheurs à spécifier leur origine parce qu'en Europe on ne cultivait pas coton, bien qu'en effet qui était fait en Palestine.

Dans le Code de la Loi juive, on rapporte la coutume de sépulture dans la section "Lois du duel", étant une de ses indications qu'une personne exécutée par le Gouvernement doit être enterré dans un seul suaire.




ANALYSE MÉDICAL


Sur le plan anatomique, une profusion de détails (deux types d'écoulement directionnel des filets de sang authentifiés par l'ordinateur, chairs tétanisées, nombre exact de coups de fouets administrés dans le dos de la victime, blessure avec épanchement au niveau du cœur validant par ses dimensions son origine due à un coup de lance romaine, plaies sur les poignets et le dessus des pieds, traces sanguinolentes dues à l'encastrement de la tête du supplicié dans un casque d'épines ceint de joncs et formant couronne, point d'émergence du clou sur la plante du pied inférieur, et surtout le fait que l'empreinte dorsale du suaire soit le calque exact de celui de la face) constituant un " faisceau " de preuves concomitantes dans le langage d'une investigation policière attestant qu'il s'agit bien d'une crucifixion avec des détails qui ne sont relatés que dans un document connu : " Les 4 Evangiles " (en particulier le pourquoi d'une couronne... Jésus étant le seul cas cité dans un document d'archives).

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Message par P4572 Ven 10 Avr 2009 - 23:12

Le Saint Suaire est les preuves d'un crime horrible. Tout médecin qui analyserait la Toile conclurait qu'il n'existe pas le moindre doute que seulement un homme qui souffrirait les tourments physiques de Jésus-Christ pourrait avoir laissé de telles traces.

Il faut souligner la punition terrible qui supposait la crucifixion. L'agonie a été prolongée environ une heure et demie. Respirér se transformait un travail fatigant : l'élévation des bras dans la croix bloquent le sternum et réduisent le mouvement des côtes avec une permanente position d'inspiration de l'air, ce qui provoque l'asphyxie.

L'homme du Suaire est mort crucifié.


Le Crucifié meurt par asphyxie.


Tantôt il se soulève sur les pieds, mais la souffrance des pieds cloués lui fait se suspendre par les mains. Celles-ci produisant à leur tour une telle souffrance que le Crucifié alterne à nouveau, la respiration devenant de plus en plus difficile. Quand les crucifiés n'avaient plus la force de se soulever, ils mouraient d'asphyxie.


L'Homme du Suaire a subi une flagellation terrible: 120 coups ont laissé une trace.


On estime que l'homme du Suaire a reçu 60 coups d'un fouet à 2 lanières ayant au bout des osselets (ou boules de plomb?).


Le visage a aussi reçu des coups d'une grande brutalité: déchirure triangulaire sous l'oeil droit, nez déformé, les deux arcades sourcillières, particulièrement la droite, tuméfiées et enflées.


le saint suaire DESTOTLes signatures de la crucifixion: la tétanie des muscles, l'enclouage dans les poignets à l'espace dit de Destot


Il était impossible de suspendre un corps humain en le clouant à l'intérieur de la paume des mains, les chairs se déchirant immédiatement. La disparition du pouce, comme le montre l'empreinte " digitale " sur le suaire, recroquevillé derrière chacune des mains, est dû au pincement du nerf dans l'espace dit " de Destot ".

Les coulées de sang sur les bras montrent deux angles qui correspondent à l'alternance d'appui sur les pieds et suspension sur les bras.


Sur le pied droit, on voit la plaie, trace d'un clou entre les 2e et 3e métatarsiens.


Les meurtrissures en biais du dos correspondent au fait de porter une poutre analogue à une traverse de chemin de fer, et que l'homme est tombé en portant cette poutre.


La plaie au côté. Blessure ovale de 48 mm sur 15, entre la 5e et la 6e côtes, d'où le sang a coulé abondamment. Un liquide clair a coulé avec le sang laissant, sans se mêler à lui, des traces roses très pâles. La blessure a été faite après la mort, elle se serait refermée sinon.


Les médecins ont déterminé, d'après les épanchements, que les poumons devaient être rétractés et que la blessure au côté, dans ces conditions, a dû être faite moins d'une heure après le décès.


La tête et le front portent des plaies circulaires de 3 mm de diamètre, avec des coulées ondulées par les rides du front. Ces rides sont fixes, ce qui suppose une contracture des muscles frontaux d'un quart d'heure, soit une violente douleur.


L'arrière de la tête porte des traînées analogues. On en conclut que le crucifié a porté un casque d'épines dures, enfoncées violemment.


A l'endroit des taches de sang, contrairement à l'image générale "roussissement", le tissu est imprégné et traversé dans les cas les plus importants comme à l'endroit de la plaie du côté. Les taches de sang normalement s'étendent par capillarité dans les fibres dans le sens horizontal et vertical, selon la direction des fils de chaîne et des fils de trame. Ici, les taches ont un contour net. Ces taches ont été faites avec du sang coagulé et non du sang frais. Et, par exemple, la goutte de sang qui, sur le front, se termine en coulée a la forme d'une cuvette, due à la coagulation.


Les zones tachées de sang contiennent de l'hémoglobine humaine.


Les tâches de sang ont des contours parfaitement définis et précis, sans traces de bavures ou d'effet " buvard ".


Les flux directionnels des ruissellements sanglants accompagnés d'écoulements lymphatiques non sanglants autour des caillots respectent les sens de gravitation relatifs à la position exacte du corps et des plaies générées par la nature et le moment où le supplice avait été infligé.


Aucune trace même superficielle de putréfaction propre à celle d'un cadavre ne peut être relevée et témoigne du court séjour du corps dans le sépulcre. Après plus de 40 heures de contact entre un cadavre et les linges, un processus de putréfaction s'engage et ce, à vitesse accélérée.


Il y a des traces de sérum sur le pourtour des tâches de sang, traces non décelables à l'œil nu mais par luminescence.


Les ruissellements de sang sur le haut de la face ont été générés par les blessures provoquées par le casque d'épines ceint par un bandeau de joncs tressés (et non la couronne comme le veut la tradition) dont Jésus avait été coiffé par dérision.


Le nez est visiblement tuméfié.


Un grossissement permet de constater les meurtrissures provoquées par le port sur l'épaule du patibulum (barre transversale de suspension de la croix) et non d'une croix entière qu'un homme même en parfaite condition physique aurait été bien incapable de porter ou même traîner. (Les poteaux demeuraient plantés sur les croix d'exécution).


La poitrine lacérée par les coups de fouets prouve que Jésus n'était pas attaché à un poteau au moment de Sa flagellation et qu'Il a fait face aux outrages et à Ses bourreaux avec une forme d'abandon qui imprègne encore ce linge témoin silencieux mais abondamment narratif par lui-même.


Épanchements du cœur à la suite du coup de lance du centurion romain.


Plaie sur le poignet gauche (et non droit contrairement aux apparences puisque il s'agit d'une empreinte fidèle faciale) correspondant à la sortie du clou.


L'avant-bras droit présente deux sens d'écoulements sanguins correspondant aux deux positions du supplicié sur la croix : redressé sur les jambes pour pouvoir respirer et atténuer (si un terme est possible en la matière - tout ce chapitre confine à l'indicible) la douleur lancinante dans les bras. - affaissé sur les jambes pour échapper à la douleur provoquée sur les pieds...


Les genoux ne sont plus apparents, cachés par une immense plaie, Jésus S'étant affaissé à plusieurs reprises et même étalé tout au long de Son calvaire. (des traces de boue commune ont été trouvés sur la plante des pieds et la base du nez).


Plaie correspondant au clou unique traversant les deux pieds.


Les ruissellements de sang coagulés sur la chevelure et la nuque ont été générés par les blessures provoquées par le casque d'épines ceint de joncs tressés.


Les ruissellements de sang dûs aux meurtrissures provoquées par le port sur l'épaule du patibulum sont plus abondants sur les omoplates.


On peut ainsi noter que les coups de fouets, dont les lanières se terminaient par des billes de plomb et des osselets, ont été distribués de manière égale et symétrique sur les épaules, le dos, et le reste du corps par deux bourreaux professionnels placés de chaque côté de Jésus.


La face dorsale est zébrée de la tête aux pieds de plaies provoquées par les lanières des fouets.


Épanchement de sang important depuis la plaie correspondant au point d'émergence du clou unique traversant les deux pieds.


Les dimensions de la plaie sont bien celles d'une lancea romaine (48 mm sur 15 mm). Le fait que le coup avait été porté à droite s'explique par l'habitude de l'escrime romaine qui entraînait les soldats à frapper de gauche à droite au " côté ouvert " latus apertum), non défendu par le bouclier de l'adversaire. De ce fait, la lancea avait glissé sur la sixième côte et perforé le cinquième espace intercostal. Sur le trajet la lance avait rencontré le péricarde, plein de sérosité, et l'oreillette droite, toujours pleine de sang. D'où la phrase étonnante de l'Evangile : " Il sortit du sang et de l'eau " (Jn 19, 33-34).

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Message par P4572 Ven 10 Avr 2009 - 23:18

Il existe aussi un autre détail révélateur du point de vue médical. On croyait traditionnellement que Jésus-Christ a été crucifié par les mains, mais la recherche avec des cadavres a révélé que les mains ne peuvent pas supporter le poids d'un corps mort, et beaucoup moins celui d'un corps vif en mouvement. Par conséquent, la seule façon de crucifier un corps était en traversant les clous dans "l'espace libre de Destot", un petit espace entre les os de la main et le bras par où elle peut pénétrer un clou de la taille de celui utilisé par les Romains et être parfaitement ancré. Les ligaments de ces os fournissent un support suffisant pour résister à des tractions de plus de 70 kilogrammes. En outre, un clou endommagerait ainsi le nerf moyen, en provoquant la contraction involontaire des pouces vers le palmier de la main, comme la Toile le démontre.

Le sang des bras avance vers le bas, ce qui, avec la grande tache de sang de l'avant, indique que le sang a jailli et il s'est coagulé tandis que le corps se trouvait en position verticale, avec les bras étendus et légèrement au-dessus de la tête. Le sang coulait selon la découpe naturelle du corps.

Il n'y a pas de la rupture de jambes, pratique commune dans les crucifixions du siècle I.

Le chapeau d'épines qui portait l'Homme, et qui le couvrait la tête au complet, l'a cassée l'artère cervicale à travers la nuque et elle a jailli le sang artériel qui arrive dans des courants jusqu'au dos.

Pour conclure seulement il faut dire que l'image du Sindon est cliniquement précise.






LE SUAIRE ET LES EVANGILES.


Le Crucifié du Suaire a subi la crucifixion romaine, telle que l'histoire et les documents archéologiques l'attestent; Il a subi des blessures conformes au couronnement d'épines, ce qui n'est rapporté dans l'histoire, à notre connaissance, pour aucun autre crucifié, mais seulement pour le Christ; Il n'a pas eu les os des genoux brisés, comme le Crucifié de l'Evangile; Il a subi la flagellation, supplice romain que ceux-ci n'appliquaient pas concurremment à la crucifixion, mais que Pilate a ordonné pour le Christ; Il a eu le côté percé après la mort, comme le Christ, et il en a coulé du sang et de l'eau; Il a été mis dans un linceul riche et détaché rapidement de la Croix, ce qui n'était pas habituel, comme le Christ.


On peut conclure avec certitude que le crucifié du Suaire de Turin a subi exactement la Passion du Christ dans les Evangiles.






LES MONNAIES SUR LES YEUX

le saint suaire LEPTON
À la fin du siècle XX on a découvert des marques dans l'oeil droit qui se correspondraient avec une monnaie type Lepton Simpulum, mise en circulation entre les années 29 et 32.
La présence de deux pièces de monnaie de type différent sur les yeux a pu être décelée. Ces deux pièces de monnaie avaient été frappées du temps d'un préfet, Ponce Pilate, de manière grossière avec des fautes d'orthographe comme le " C " à la place d'un " K " pour " Kaisarios " (" César "). Deux exemplaires de ce type de monnaie contemporaine des dernières années de la vie de Jésus ont été découvertes avec cette faute d'orthographe aussi incompréhensible qu'inacceptable pour les scientifiques au départ.
le saint suaire LEPTON2
Les scientifiques de la NASA qui ont analysé le Sindon durant l'année 1978 ont découvert que, sur les yeux de l'Homme enregistré dans le Sindon, il y a de petits objets qu'ils n'ont pas pu identifier. Toutefois, durant l'année 1981, le Prof. Francis Filas, de l'Université de Loyola, Chicago, a fait une extension photographique de l'oeil droit de l'Homme du Sindon. Dans cette extension apparaissent clairement quatre lettres : U CAI, et une canne à droite. En faisant des recherches dans les collections d'anciennes monnaies, le Prof. Filas a découvert que ces lettres correspondent à un lepton du siècle I, monnaie de la Palestine mise en circulation à l'époque de Pilate. Les quatre lettres, faisaient partie de la légende romaine suivante : TIBERIOU CAISAROS (de Tibérie César). Cette coutume de placer monnaines dans les cadavres était pratiquée par les juifs dans le siècle 1.
Mais en février 1997, un autre expert, Pier Luigi Baima Bollone, a découvert une preuve encore meilleure dans une pièce de monnaie ancienne, le " lepton ", dont l'empreinte apparaît sur les yeux de l'homme crucifié. Les deux pièces ont été frappées en Palestine en l'an 29, sous le règne de Ponce Pilate. Ce qui est conforme à la tradition qui voulait qu'une pièce de monnaie soit placée sur les yeux des morts.

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Message par P4572 Ven 10 Avr 2009 - 23:20

LA RÉSURRECTION



Pierre et l'autre disciple sortirent, et allèrent au sépulcre.
Ils couraient tous deux ensemble. Mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre, et arriva le premier au sépulcre;
s'étant baissé, il vit les bandes qui étaient à terre, cependant il n'entra pas.
Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sépulcre; il vit les bandes qui étaient à terre,
et le linge qu'on avait mis sur la tête de Jésus, non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part.
Alors l'autre disciple, qui était arrivé le premier au sépulcre, entra aussi; et il vit, et il crut.

Evangile de Saint Jean 20:3-8




Aucune trace de putréfaction n'étant décelable, cela prouve que ce contact avait disparu mais il faut plus de 36 heures pour obtenir une empreinte de sang " décalquée " et non baveuse ou poisseuse, identique à celle qui peut être analysée sur le tissu.


La présence du corps dans le drap, puis sa " dématérialisation " ou " volatilisation " pendant ce créneau horaire inférieur à 2 jours mais légèrement supérieur à 36 heures confèrent une légitimité accrue au thème de la résurrection entre les deux jours d'encadrement du sabbat Juif (le Vendredi Saint et le dimanche de Pâques).


S'il ne s'agissait que de sang, comment le corps s'est-il " détaché " du linge sans opérer de dommages sur la lisibilité de l'image. Il s'agit rappelons-le d'une empreinte recto-verso d'un corps humain sur un linceul d'une surface de 5 m2. Un simple essai pratique avec du sang plus ou moins séché n'est que plus explicite. Le principe mécanique de transfert et de détachement de l'image est inexplicable à ce jour.

L'image du Saint Suaire n'est pas peinte, parce qu'il n'y a pas peinture entre fil et fil. En outre, les fils sont coloriés parce qu'ils sont brûlés. L'image est enregistrée à feu par une radiation instantanée. Une radiation très intense et très brève, qu'a seulement brûlée la partie la plus externe des fibres du Síndon. Ceci est déduit du fait que les fils ne sont pas carbonisés, mais superficiellement brûlés légèrement, et par la pénétration il est possible de mesurer la fraction de second qui a duré la radiation.

L'avis général est que cette radiation s'est produite au moment de la résurrection. Jesus a ressuscité, comme ils affirment les Evangiles. Aucun cadavre n'avait laissé avant son image enregistrée à feu dans la toile qui le couvrait, et non plus n'a pas ensuite arrivé à nouveau un fait semblable. Il s'agit d'un phénomène unique dans l'histoire.

Les linceuls des cadavres ont des taches de sang, de sueur, de tout type de restes produits par la décomposition de la viande morte. Mais aucun a jamais laissé son image enregistrée à feu dans la toile qui le couvre. Le Christ, a enregistré son image dans le Saint Suaire quand il a ressuscité : il n'y a pas une autre explication.


Il existe aussi un autre fait surprenant. Les muscles du dos sur lesquels reposait le Corps ne sont pas aplanis, comme il devrait arriver en supportant le poids du Corps sur le sol.


L'image dorsale devrait être, sous l'effet du poids, nécessairement plus contrastée que celle de la face avant. Mais, il n'y a aucune différence d'intensité entre les deux, ni même un phénomène d'imprégnation ou de saturation. Les lois de la gravitation ne sont plus respectées !


Ce fait est du que le cadavre était suspendu pendant la résurrection.

Oui, avant de se produire l'intense radiation qui a imprégné la toile avec l'image du Cadavre, celui-ci s'est élevé au-dessus du sol et l'Âme a été incarnée à nouveau dans le corps suspendu en l'air, en provoquant une grande radiation d'énergie et chaleur. Tout indique que dans le moment de se produire la radiation, le corps soit léger, en lévitation, et c'est pourquoi n'ont pas été aplanis les muscles dorsaux.

D'autre part, les taches de sang indiquent que le Corps n'a pas été séparé de la toile, parce que si ceci avait été fait avec le sang fluide, les bords des taches n'apparaîtraient pas tellement nets, et s'il aurait été fait avec le sang sec, les taches de sang auraient été détériorées, et ce n'est pas ainsi. De ce fait il paraît être déduit que les traces de sang du Saint Suaire sont d'un Corps spiritualisé. C'est-à-dire, qui le corps avant "disparaître" était en lévitation. À continuation il se produit la mystérieuse énergie, lumière et chaleur qui a causé l'image négative tridimensionnelle.




LES POLLENS



Dans le Saint Suaire il y a de pollens que l'on ne peut trouver que dans la région du Jourdain, sur les bords salés de la mer Morte et ce dans une proportion de 29 sur les 50 espèces répertoriées par les botanistes.

Des arguments plus probants ont été apportés par des traces de pollen de divers types de fleurs qui poussent encore de nos jours autour de Jérusalem, ainsi que d'autres fleurs qui ne poussent que dans la Turquie actuelle. Cela confirmerait la tradition qui veut que le suaire avait été emporté de Jérusalem en Turquie, où il refit surface aux environs du 10e siècle, à Constantinople.

Le pollen d'une plante, une espèce de cardon appelée Gundelia Tourneffortii, était spécialement abondant dans la toile, et une image de la plante a été identifiée près de l'image de l'épaule de l'Homme. Il est possible que celle-ci était l'espèce avec laquelle on a fait la couronne d'épines de Jésus.


Les dernières recherches démontrent que le pollen le plus abondant dans la toile est le même qu'est conservé dans les couches sédimentaires d'il y a 2000 ans dans le lac Genezaret, en Palestine.




LE SUAIRE D'OVIDEO
Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sépulcre; il vit les bandes qui étaient à terre, et le linge qu'on avait mis sur la tête de Jésus, non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part.
(Saint Jean 20, 6-7)
le saint suaire SVDARIVM-ASTVR
Le suaire d'Oviedo (en Asturie, au nord de l'Espagne). Ce serait non plus la tunique, tirée au sort au Golgotha, ni le Linceul mortuaire du ressuscité, mais le Suaire (Soudarion : Jn 20, 6), c'est-à-dire le linge qui couvrait le visage, selon la Tradition et l'Evangile même.
Attesté par un pélerin dès 570, le suaire fut conservé à Jérusalem jusqu'en 614, il fut transféré à Alexandrie à l'arrivée des musulmans et parvint à Oviedo par l'Afrique puis Séville, Toléde (711) et Oviedo (718).


Le sudarium d'Oviedo a été déposé dans la cathédrale de cette ville d'Espagne au VIIIe siècle.


Les traces de sang correspondent à celles du Linceul. On a objecté: le sang du visage n'a pu être imprimé à la fois sur le Linceul et sur le Suaire d'Oviedo. L'hypothèse qui accorderait tout, c'est que le Suaire d'Oviedo aurait été posé sur le visage du Christ pendant le transport au tombeau. Et c'est alors qu'il aurait été marqué de taches de sang analogues. Le sang a été vérifié par des tests scientifiques. Il est du même groupe sanguin que le sang du Linceul. Et il y a des correspondances entre les taches du visage sur ces deux reliques. L'étude minutieuse a identifié toutes les taches de sang, leur formation successive et la position de la tête à chaque moment.


En effet, ce tissu, qui est supposé avoir recouvert la face de Jésus juste après sa descente de croix, serait également taché de sang appartenant au groupe AB et de grains de pollen identiques à ceux du Suaire.

La similitude des grains de pollen indique que le suaire de Turin remonte à la même époque que le suaire d'Oviedo. Les deux morceaux de tissu portent également des traces de sang de groupe AB, disposées de la même façon.

Il est impossible que des traces identiques de sang, appartenant visiblement au même groupe sanguin, et coexistant avec le même type de grains de pollen, n'aient pas une origine commune. Le même pollen et la similitude des taches de sang sur les deux morceaux de tissu prouvent de toute évidence que l'origine du Suaire de Turin est antérieure au VIIIe siècle.





LE CARBONE 14

En 1988 on a effectué la datation au méthode du Carbone 14. Le résultat a été un âge compris entre les années 1260 et 1390. Mais aussitôt après la publication de ces résultats, d'autres scientifiques les ont réfutés. En effet, la structure chimique du tissu s'est considérablement altérée en raison de à quatre motifs principaux :


1º. Par la radiation qui a enregistré l'image. Ceci a été démontré dans le Congrès Scientifique International de Rome par deux scientifiques : le Professeur Lindner, Professeur de Chimie Technique à l'Université allemande de Karlsrue, et le Professeur Rinaudo, Professeur de Médecine Nucléaire à l'Université française de Montpellier.


2º Par l'incendie de Chambéry qui a provoqué des trous sur les coins du suaire replié n'a pas consumé le linge, ni même altéré l'ensemble de l'empreinte à quelques exceptions près. C'est la fonte de l'argent des chandeliers (le point de fusion de l'argent étant supérieur à 980°) qui a endommagé le linge. C'est un miracle supplémentaire de constater à ce sujet que les traces de brûlures, répétées de façon symétrique par le pliage du suaire, encadrent les deux silhouettes sans les avoir définitivement détruites, le corps allongé étant en contact étroit et en pression avec la surface du drap funéraire,


L'incendie de 1532 à Chambéry, endommageant les bords du suaire. C'est cette partie du tissu qui avait été utilisée pour la datation. Des experts du laboratoire Sedov, à Moscou, ont simulé l'incendie de 1532 et étudié ses effets sur un tissu dont on savait qu'il datait du le, ou du 2e siècle ap. J.-C. Ils en ont conclu que la datation au carbone était inefficace pour déterminer l'âge du Suaire. Le tissu a été contaminé par les gaz de l'incendie. Le Sindon a été soumis à de grandes températures, de plusieurs centaines de degrés.
Le Pr. Dimitri Koutsenov a démontré que "le feu extrait du carbone de l'air ambiant et le colle chimiquement aux fibres, -a-t-il expliqué-. Ce carbone étant plus récent que le tissu, si vous ne tenez pas compte de cofacteur, vous obtenez une date trop récente. "

3º. Deux microbiologistes de l'Université du Texas sont parvenus aux mêmes conclusions, quoique pour d'autres raisons. Leoncio Garza Valdes et Steve Mattingly ont découvert une très fine couche de bactéries et de champignons sur les pièces de tissu provenant du suaire. Il est inévitable que cette " couche biologique " ait eu une influence sur les résultats de la méthode de datation au carbone. L. Garza Valdes et S. Mattingly ont également découvert dans le tissu quatre types de bactéries dont on sait qu'elles se développent en milieu salin. Ces experts ont rappelé qu'on utilisait, en Palestine, du sel pour blanchir les tissus et pour la fabrication des parfums et des baumes destinés aux morts. Ils ont achevé leurs recherches en 1996, concluant : " Nous ne voyons aucune raison pour laquelle le suaire de Turin ne daterait pas du 1er siècle ap.J.-C.






CONSIDERATION FINAL
Le Sainte Sindon est une évidence scientifique irréfutable de l'existence de Dieu. On Pourrait difficilement se présenter des preuves scientifiques plus éloquents sur la réalité de Dieu que celles que nous présente le Sindon. Mais il est possible que beaucoup d'athées, agnostiques et indifférents religieux refusent de croire tout ce qui est exposé. Les preuves objectives sont écrasantes, mais non définitives. Il est nécessaire de mettre une petite portion de foi pour croire à l'existence du Fils de Dieu qu'il nous montre le Sindon.


L'Histoire Sacrée démontre que ni encore avec les preuves les plus éloquentes il est possible de changer l'avis de quelqu'un qu'il ne veut pas accepter à Dieu. Judas a vécu plusieurs années à la compagnie de Jésus-Christ, a vu Ses miracles, a vérifié par lui-même la Sagesse qui émanait de Ses lèvres, Il a été même signalé par le Christ des conséquences néfastes qu'il aurait sa trahison :
" Le Fils de l'homme s'en va, selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l'homme par qui le Fils de l'homme est livré! Mieux vaudrait pour cet homme qu'il ne fût pas né."
(Matthieu 26:24)


Toutefois, même ainsi il L'a trahi par des misérables monnaies.


La même chose on peut être dit des anges tombés. Ces purs esprits vivaient à la présence directe de Dieu, considéraient Leur beauté infinie, ils étaient destinés à jouir éternellement du bonheur céleste et... ils ont jeté tout par la fenêtre.
Avec un incroyable acte de fierté, vanité et folie, les créatures ont essayé de supplanter au Créateur. Ces anges rebelles ont été faits apparaître loin de la présence de Dieu et maintenant demeurent entre les flammes infernales transformés en démons horripilantes.


Et un autre tant peut être affirmé des athées que maintes et maintes fois ils refusent d'accepter les lumières que Dieu leur envoie tout au long de ses vies. Dieu les appele insistamment, mais ils n'écoutent pas. Ils rejettent toutes les preuves que le Créateur leur envoie. Ils rejettent la Vérité de Bible, ils rejettent les lumières particulières qu'ils reçoivent tout au long de leur vie, et ils rejettent les preuves objectives qui révèlent l'existence de Dieu.


En la majorité des cas c'est un rejet intéressé. Un rejet étant donné le refus de changer de vie et de naître à nouveau dans la Vérité. Un rejet à abandonner le mal, les vices et les passions désordonnées.


À tous ceux-ci je puis seulement leur dire qu'ils lisent attentivement l'analyse médical de cet article. Dieu a envoyé Son Fils à souffrir une mort terrible "pour la salvation de beaucoup". Après la mort ne vient pas la disparition finale, mais la "mort éternelle" en enfer.


S'il y avait une annihilation de l'âme, n'aurait pas sens la Passion de Jésus. Si l'âme des pécheurs disparaissait, il n'y a aucune nécessité que le Fils de Dieu souffre pour sauver aux hommes, parce que les pécheurs, simplement disparaîtraient.


Celle-ci est la vérité qui a fait que jusqu'aux saints ils tremblent : l'enfer est pour toujours.


Oui, celle-ci est la vérité : Jésus-Christ est mort pour sauver aux hommes de l'enfer éternel.

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Message par P4572 Dim 19 Avr 2009 - 23:23

Vénération de la Couronne d’épines


Prochaine vénération : vendredi 1er mai à 15h00

le saint suaire Arton11-62945 La Sainte Couronne d'épine
©️ Gérard Boullay



Les reliques de la Passion présentées à Notre-Dame de Paris sont constituées par un morceau de la Croix conservée à Rome et ramené par Sainte Hélène, mère de l’empereur Constantin, un clou de la Passion et la Sainte Couronne d’épines.


Parmi ces reliques, la Sainte Couronne est, sans doute, la plus précieuse et la plus vénérée. Son authenticité ne peut être rigoureusement attestée malgré toutes les études et recherches historiques et scientifiques effectuées. Mais une chose est sûre : elle est porteuse de plus de seize siècles de prière fervente de la Chrétienté.

Saint Jean rapporte que les soldats romains, dans la nuit du Jeudi au Vendredi Saint, se moquèrent du Christ et de sa Royauté en le coiffant d’une couronne garnie d’épines (Jean 19, 12).



La couronne déposée à la cathédrale de Paris est un cercle de joncs réunis en faisceaux et retenus par des fils d’or. C’est sur ce cercle tressé, d’un diamètre de 21 centimètres, que se trouvaient les épines. Ces dernières ont été dispersées au cours des siècles par les dons effectués soit par les empereurs de Byzance, soit par les rois de France. On en compte 70, de même nature, qui s’en affirment originaires.

L’allusion faite à la Couronne d’épines et aux instruments de la Passion du Christ pendant les premiers siècles est déjà mentionnée dans les récits de pèlerins se rendant à Jérusalem au IVe siècle. En 409, Saint Paulin de Nole la mentionne parmi les reliques de la basilique du mont Sion à Jérusalem. En 570, Antoine le Martyr la trouve exposée à la vénération des fidèles dans la Basilique de Sion. Vers 575, Cassiodore, dans son Commentaire du Psaume LXXV, s’écrie : À Jérusalem est la Colonne, là est la Couronne d’épines ! En 870, c’est encore à Jérusalem que Bernard le Moine la signalera.

Entre les VIIe et Xe siècles, les reliques seront progressivement transférées à Constantinople dans la chapelle des empereurs byzantins, en particulier pour les mettre à l’abri de pillages semblables à ceux subis par le Saint Sépulcre, lors des invasions perses. En 1238, Byzance est gouvernée par Baudouin de Courtenay, un empereur latin. En grande difficulté financière, il décide de mettre les reliques en gage auprès de banquiers vénitiens pour en obtenir des crédits.

le saint suaire 1239_st_Louis_et_la_couronne-2
Saint Louis portant la Sainte Couronne à Notre-Dame de Paris le 19 août 1239
Gravure XIXe. Coll. part. ©️ NDP


Saint Louis, roi de France, intervient alors et dédommage les vénitiens. Le 10 août 1239, le roi suivi d’un brillant cortège, accueille vingt-deux reliques à Villeneuve-l’Archevêque. Le 19 août 1239, la procession arrive à Paris ; le roi délaisse alors ses atours royaux, endosse une simple tunique et, pieds nus, aidé de son frère, porte la Sainte Couronne jusqu’à Notre-Dame de Paris avant de déposer l’ensemble des reliques dans la chapelle du palais. Pour les conserver, il édifie un reliquaire à leur mesure : la Sainte Chapelle.

Durant la révolution française, les reliques seront déposées à la Bibliothèque Nationale. Suite au Concordat de 1801, elles seront remises à l’archevêque de Paris qui les affectera au trésor de la Cathédrale le 10 août 1806 où elles se trouvent toujours aujourd’hui.

le saint suaire FR275036C
Procession des Reliques lors d’une vénération
©️ Godong


Depuis lors, ces reliques sont confiées aux chanoines du Chapitre de la Basilique Métropolitaine chargés de leurs vénérations et placées sous la garde statutaire des Chevaliers du Saint-Sépulcre de Jérusalem.

Napoléon Ier et Napoléon III ont offert chacun un reliquaire que l’on peut voir au Trésor de Notre-Dame.

L’année 2007 aura également mis ces précieuses reliques au centre des relations œcuméniques entre catholiques et orthodoxes : Sa Sainteté Bartholoméos Ier, patriarche œcuménique et archevêque de Constantinople puis Sa Sainteté le Patriarche Alexis II de Moscou et de toutes les Russies sont venus tour à tour vénérer les reliques.

La vénération de ces reliques présentées aux fidèles a lieu chaque premier vendredi du mois à 15h00, chaque vendredi de carême à 15h00 et le Vendredi Saint de 10h00 à 17h00.

Par cette pratique, les croyants s’unissent à la contemplation du Mystère Pascal qui est à la source de la foi en tant qu’expression d’un amour sans limites du Christ envers les hommes et de sa solidarité avec leurs souffrances.

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Message par gaetan8888 Jeu 1 Juil 2010 - 20:49


Hello

Voici une autre page intéressante sur le Saint-Suaire;

http://croireaujourdhui.net/saintsuaire33.html


Et aussi un autre texte intéressant provenant d'un autre site web.

Gaétan


Linceul de Turin : une autre confirmation que la datation au Carbone 14 est fausse.

L’institut de l’accélérateur radiocarbone d’Oxford avait conclu, dans une étude publiée en 1988, que le linceul de Turin n’était pas authentique. Or, son directeur, Christopher Bronk Ramsey, a déclaré à la BBC qu’il s’était peut-être trompé en le datant de 1260 à 1390 après Jésus-Christ. De nombreux savants avaient déjà critiqué cette datation, mais l'aveu de ce scientifique est un véritable pavé dans la mare.

En 2005, une étude avait prouvé que l’échantillon prélevé pour les analyses n’était pas représentatif. Les parties de l’échantillon qui avaient été transmises aux 3 laboratoires pour la datation n’étaient pas semblables en termes de concentration en carbone 14. 3 experts en textiles anciens ont observé un cliché de l’échantillon prélevé avant sa subdivision. Tous 3 ont repéré un raccommodage couvrant en partie les échantillons prélevés. L’échantillon analysé était donc issu d’un racommodage qui aurait été effectué après le XIIIe siècle. Par ailleurs, la procédure n’avait pas été respectée : un seul échantillon avait été prélevé au lieu des 7 qui auraient dû être examinés et aucune analyse microscopique ou chimique n’avait été faite.

L’énigme a enfin été trouvée grâce à des tisserands et dûment vérifiée par des chercheurs. Il s'avère que l’échantillon a été pris à l’angle en bas et à gauche du linceul afin d'abîmer le moins possible. Or cette partie a été re-tissée, sans doute pour rétablir le rectangle de la pièce qui avait été quelque peu échancré pour faire des reliques. Il n’y a pas eu simple ajout d’une pièce pour boucher l'espace manq uant, mais re-tissage à partir d’un effilochage des fils des bords échancrés, ceci avec des fils de coton torsadés avec ceux du lin du linceul afin que la jointure ne soit pas visible. Mieux, les fils de coton ont été teints en ocre afin de s’assimiler à l’oxydation du lin du linceul. Ce ravaudage a été effectivement fait au Moyen âge (à Constantinople ou à Lirey ?). Mieux, les dates différentes qui ont été obtenues des analyses au carbone 14 (quand même 130 ans pour une date peu éloignée !) correspondent tout simplement à la présence plus ou moins abondante des fils de lin d’origine.

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Message par gaetan8888 Jeu 8 Juil 2010 - 19:34

Hello

Après quelques recherches dans des livres sur les traditions judaiques antiques, voici ce que j'ai trouver sur les pratiques funéraires concernant l'utilisations d'un long drap de lin nommé linceul et d'un petit linge nommé suaire, à l'époque de Jésus.

Une fois le linceul rabattu par-dessus la tête sur le devant du corps, et noué aux pieds et aux mains avec deux bandelettes, le suaire était enroulé autour de la tête, et noué autour du cou, en certaines occasions une bandelette était utilisé comme mentonière. De cette manière on solidarisait le mort avec son linceul funèbre. Généralement, l'autorité romaine y apposait un sceau sur le suaire, avec l'identification du défunt, généralement par les initiales.

L'appellation suaire, aurait du être linceul. Mais au moyen âge ils ont utiliser le mot suaire et ce mot est rester, ce qui porte a confusion, mais puisque tous utilise le terme Saint Suaire et non Saint Linceul, ont continue donc d'utiliser le mot suaire pour en parler.

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Message par pax et bonum Ven 9 Juil 2010 - 16:01

Objection,votre Honneur!

Le mystère de la formation de l'image demeure toujours.

D'une part:si le visage avait été parfaitement enveloppé comme le dit Gaetan,de manière à ce que tout le linge soit en contact avec le visage,au développement du linge,l'impression serait bien plus large que celle que nous connaissons.

Inversement,avec le linge replié mais restant droit et rigide comme une feuille de papier,l'impression se serait faite en projection orthogonale et aurait donné un visage très mince et allongé.

Mais les proportions sont normales et le mystère demeure.
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Message par Fabrice Remy Mer 2 Mar 2011 - 17:46

Bonjour à tous,

Ayant avec intérêt les articles précédents, j'ai notamment remarqué que le Christ appartenait au groupe sanguin AB. Or c'est un groupe très rare et très récent. Historiquement parlant, il était même impossible qu'un tel groupe sanguin ait pu être retrouvé dans la Galilée du premier siècle de notre ère...

Jugez plutôt :

1) Origines et apparition du groupe sanguin AB

Le groupe sanguin AB est rare : il regroupe moins de 5 % de la population mondiale. Issu d'unions de populations européennes de groupe A et de populations mongoles de groupe B, il est aussi très «jeune», puisqu'il n'existe que depuis dix à douze siècles. À la suite des grandes invasions barbares consécutives au déclin de l'Empire romain, l'union de conquérants et d'Européens donna naissance à un nouveau groupe sanguin, le groupe AB.

Les premières traces du groupe AB ne remontent guère au delà de l'an 900. Les fouilles effectuées en Hongrie dans des nécropoles datant du IVe au VIIe siècle n'ont mis au jour aucun individu appartenant à ce groupe sanguin, ce qui semble indiquer qu'à cette époque les populations de groupe A et de groupe B n'étaient guère en contact ou, en tout cas, ne se métissaient pas.

Le groupe sanguin AB ayant hérité à la fois des caractéristiques du groupe A et de celles du groupe B, il affiche un système immunitaire particulièrement performant et apte à produire des anticorps spécifiques en cas d'agression microbienne.


Source : http://www.abovie.com/races.htm

Cet article reprend les termes d'une étude scientifique dont les conclusions figurent à l'adresse URL suivante :
http://www.chromosomal-labs.com/files/ABOBloodGroups.pdf

Pour les sceptiques et les non croyants, c'est une preuve de la non authenticité du Saint Suaire (voir notamment http://www.sceptiques.qc.ca/forum/le-groupe-sanguin-ab-t7757.html). Pour moi, c'est au contraire une preuve irréfutable de plus qu'il s'agit bien du linceul de Notre Seigneur !

2) Le groupe sanguin AB est un groupe sanguin un peu spécial... Une personne de groupe sanguin AB est receveur universel, en ce qui concerne les globules rouges, et donneur universel, en ce qui concerne le plasma sanguin. Je vous laisse méditer...

Source : http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/gpes-sanguins/04regles.htm

Ces temps de la fin abondent de signes, et de preuves que seuls les croyants peuvent discerner.

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Message par pax et bonum Mer 2 Mar 2011 - 18:05

Bonjour.

J'ai lu quelque part qu'une analyse du sang plus poussée a été faite.
Maintenant les découvertes sont au niveau moléculaire et de L'ADN.
Le résultat est qe l'ADN serait anormal et que l'on ne retrouverait pas la double origine d'un homme et d'une femme,comme pour tout être humain.

à suivre...
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Message par Fabrice Remy Mer 2 Mar 2011 - 18:20

Bonjour pax et bonum,

i.e. pas de chromosome Y ?

J'ai également retrouvé trace de cela sur Internet, mais je croyais que le Saint-Siège était désormais opposé à toute analyse scientifique complémentaire ? En tous cas, je serais curieux d'identifier la source mentionnant l'existence de ces travaux...

Bonne soirée, et que Dieu te garde et te renforce.
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Message par blanche Jeu 3 Mar 2011 - 11:01

Bonjour,

J’ai déjà donné cet article mais peut-être qu’il intéressera certaines personnes … il concerne une analyse faite à partir – non pas du Saint-Suaire, dommage – mais de deux icônes sacrées :


Lacrymations de sang dans les Pouilles à Alberobello (Italie)
l’examen de l’ADN donne des résultats extraordinaires

Des Images de la Sainte Vierge et de JÉSUS versent du sang
et les savants concluent à un phénomène extraordinaire et déconcertant.


De temps en temps on lit la nouvelle de quelque Image de la Sainte Vierge qui verse des larmes. Parfois ce sont des larmes de sang et la nouvelle est plus impressionnante. Alors, les sceptiques sourient, les autorités ecclésiastiques évaluent l’événement, non sans raison, avec une extrême prudence et évitent d’émettre des jugements définitifs ; la Science ne s’en mêle pas, sinon au niveau pratiqué par des amateurs. Puis le temps passe, le fait perd de l’intérêt et il est oublié. C’est seulement dans de très rares cas que le fait prend une importance telle jusqu’à obtenir les justes reconnaissances que sont les certifications du sérieux et de sa valeur surnaturelle. C’est, par exemple, ce qui est arrivé pour la « Madone des Larmes de Syracuse. »

Maintenant, nous allons vous raconter un fait récent semblable, encore inconnu mais qui se montre vraiment retentissant parce que le premier jugement est émis par la Science de haut niveau, et il ouvre la perspective à des hypothèses déconcertantes.

Le fait concerne deux Icônes sacrées qui ont versé des larmes de sang en deux occasions différentes. Les deux Icônes appartiennent au Padre Pietro Maria Chiriatti, 59 ans, Prêtre depuis 1990, fondateur d’une petite Congrégation, Les Missionnaires da Notre Dame de La Cava (carrière), qui vit dans une modeste habitation à Alberobello, dans les Pouilles. Padre Pietro raconte :

« Le 3 Mai 2003, vers 6 heures du soir, j’étais allé dans ma chambre pour prendre des médicaments et j’ai vue que l’Icône qui représente la Madone avec l’Enfant, suspendue au-dessus de mon prie-dieu, avait des taches sur le visage. Comme j’ai une mauvaise vue, j’ai touché l’image et j’ai senti qu’elle était mouillée. J’ai appelé mes confrères et nous avons constaté qu’elle versait des larmes. »

Le phénomène dura une trentaine de minutes ; il fut constaté par différentes autres personnes que padre Pietro avait tout de suite appelées, et il fut aussi filmé avec une caméra-vidéo. Padre Pietro recueillit le sang sur un mouchoir et l’envoya à un laboratoire pour examen.

Environ un an après, le 27 Mai 2004, le phénomène se répéta sur une autre Icône de Padre Pietro, Icône qui représente le Visage de JÉSUS comme on Le voit sur le Saint-Suaire de Turin. Cette fois, plus qu’une lacrymation, ce fut une Sueur de Sang. Le Visage de JÉSUS fut parcouru par 7 traînées de sang qui partaient du front et descendaient le long des joues, sur la barbe et même débordant du cadre de l’Icône. Padre Pietro, effrayé, appela les autres personnes se trouvant dans la maison ; il téléphona aux carabiniers, au curé, au médecin. Le phénomène dura une heure et demi et fut constaté par une cinquantaine de personnes.

Cette fois aussi le Padre Pietro recueillit du sang et envoya l’échantillon au même laboratoire auquel il avait déjà envoyé le sang apparue sur le Visage de la Vierge. Et c’est dans ce laboratoire scientifique que s’est révélé le caractère extraordinaire des faits survenus. Il est bon de préciser que ce laboratoire est un des plus prestigieux d’Europe. Il s’agit du Laboratoire de Génétique de l’Université de Bologne, doté des appareillages sophistiqués les plus modernes et d’une équipe de chercheurs, médecins et biologistes Professeurs d’Université ; ce Laboratoire est spécialisé en tout ce qui concerne l’ADN, et travaille avec les Services secrets et les Polices de nombreux pays, et en contact avec d’autres laboratoires semblables des autres pays.

Donc une Autorité Scientifique et, de ce fait, un verdict émis par ce Laboratoire a une valeur indiscutable.

Après avoir réalisé toutes les analyses, les chercheurs du Laboratoire ont envoyé à Padre Pietro un document officiel disant, en résumé, que le sang examiné est du sang humain, de groupe AB, masculin et qu’il est identique dans les deux échantillons, c’est à dire celui du sang des larmes de l’Image de la Vierge et celui apparu sur le Visage de JÉSUS. »

Mais il y a plus, le document poursuivant par des évaluations qui tiennent vraiment de l’incroyable : « la configuration des traits génétiques trouvés dans le chromosome Y ne correspond à aucune des configurations présentes dans la banque de données mondiale dans laquelle sont rassemblées les données de 22.000 sujets mâles provenant de 187 populations différentes. » Plus avant, on lit encore : « Ce sang est tellement rare qu’il faut le considérer comme presque unique. Par le calcul, la probabilité statistique de trouver, au cours des millénaires, une typologie de sang analogue, est presque nulle : Une probabilité de 1 sur 200 milliards de cas possibles. »

Que signifie tout ceci ? En premier lieu, les données obtenues excluent, de la manière la plus absolue qu’il y ait eu fraude, duperie ou embrouille : personne au monde ne serait en mesure de produire du sang avec des caractéristiques semblables. D’autre part ces données indiquent, puisqu’il s’agit d’un sang unique, qu’il a appartenu à une seule Personne et à personne d’autre dans toute l’histoire de l’Humanité. Donc à un homme qui n’a pas eu d’ascendant ni de descendant. Et il est clair, alors, que la pensée court à ce que les Évangiles écrivent de JÉSUS, l’Homme Unique avec ces caractéristiques. Et il est significatif, à ce propos, que le sang des larmes apparu sur l’Image de la Vierge, soit identique à celui du sang apparu sur le Visage de l’Image de JÉSUS. On pourrait dire que, avec ces résultats on a pour la première fois une donnée scientifique qui pourrait concerner la Personne physique de JÉSUS : l’ADN de JÉSUS, le Dieu Incarné dans un Corps qui est restera Unique.

Il est encore tôt pour tirer des conclusions définitives, mais la verdict de la Science est, de toute façon, précis, public et sans équivoque. Les savants qui l’ont émis ont utilisé un langage froid, mathématique, mais très clair. Ils ont explicitement affirmé se trouver devant un cas unique. Et ce sont eux, habitués à la rigueur scientifique, à montrer avec leur émerveillement, le caractère extraordinaire de ces résultats. Dans une lettre privée, un des chercheurs a écrit à Padre Pietro : « ce sont des résultats à faire étourdir de stupeur même une statue. » Et encore : « devant le résultat de ces analyses qui est pour moi inouï et c’est peu de le dire, je n’ai pas réussi à cacher mes larmes. » Un autre lui a dit : « C’est bien du sang humain, mais il semble vraiment venir d’un autre monde. »

Les autorités ecclésiastiques sont naturellement au courant des faits et sont en train d’enquêter et d’évaluer. Leur prudence sera grandissime, non sans raison, et il est bien qu’il en soit ainsi. Mais les résultats scientifiques induisent déjà à penser que nous sommes, peut-être, devant un Signe surnaturel d’importance exceptionnelle.

† † †


Ce document a été copié sur le site Internet medjugorie bolzano.it. Il est daté du 13/11/2004 et signé par Renzo Allegri.

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Bonne lecture


Dernière édition par blanche le Jeu 3 Mar 2011 - 22:41, édité 1 fois
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Message par pax et bonum Jeu 3 Mar 2011 - 17:28

Bonjour.
une étude très documentée du suaire de turin est donnée par le lien suivant.

http://www.bibleetnombres.online.fr/suaire.htm

Normalement,on ne doit pas trouver trace du chromosome Y dans l'analyse du sang du Christ,puisque Jésus tire toute son humanité d'une seule femme sans l'intervention d'un homme.Il est bien dommage que le sites qui s'intéressent à cette question parlent presque toujours d'un possible clonage et nonde l'étude minutieuse de cet ADN.
On cite à ce propos la prophétie de Maria Valtorta:
dans le troisième volume de “I Quaderni”, en date du 20 mai 1949 (aux pages 509-510). [2] 1 Voici la traduction française de ce passage:

« Pour qui sait voir, Maria, mon Saint Suaire ne témoigne pas seulement du fait que Je suis vraiment mort et ressuscité, mais aussi de comment J’ai été conçu, et de comment je suis né, pas selon les lois de l’humanité. Mon Saint Suaire est donc une confirmation des vérités que ma religion vous enseigne: ma Conception par l’opération du Saint-Esprit, la divine maternité de Marie, sa perpétuelle Virginité, ma Passion, ma Mort, et ma glorieuse Résurrection. Mais cela ne constitue une confirmation que pour ceux à qui il est donné de voir dans la lumière de Dieu. »

http://www.parvulis.com/Documents/1-main-fr-LGM.htm


La conception par l'opération du Saint-Esprit suppose une absence d'intervention humaine.
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Message par Fabrice Remy Jeu 3 Mar 2011 - 21:04

Bonsoir,

Merci pour ces informations !

" (...) Mais cela ne constitue une confirmation que pour ceux à qui il est donné de voir dans la lumière de Dieu. "
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