On sait pourtant le faire ou on essaye pour le climat

120 ans d'avertissements sur le réchauffement climatique de la terre et sur la nécessité de le corriger.

En 1896, le chimiste suédois Arrhenius calcule que le doublement de la concentration en dioxyde de carbone entrainera une hausse de 4°C de la température moyenne. Toutes les bases physiques pour prévoir que les activités humaines vont réchauffer la planète sont donc en place dès la fin du XIXe siècle. Et ces travaux ne sont pas confinés dans quelques laboratoires : les calculs d'Arrhenius sont largement publiés et discutés dans les revues scientifiques de l'époque et dès le début du siècle on trouve l'information dans des journaux destinés au grand public : Alors pourquoi ne s'inquiète-t-on pas plus à l'époque ? C'est que, même si il est possible de prévoir l'élévation de la température moyenne et les grandes caractéristiques du changement climatique à venir le (réchauffement plus rapide aux pôles, augmentation des précipitations...), il est encore difficile au début du XXe siècle d'en saisir la portée catastrophique. Dans les années 50 sont mis au point les premiers modèles de circulation générale à l'Université de Princeton. En 1957, Kelling installe à Hawaï le premier observatoire capable de mesurer le taux de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. La courbe de Kelling enregistre depuis, avec une régularité de métronome, la hausse de la concentration en CO2 dans l'air. Dans les années 70 et 80, le climat devient un réel sujet de préoccupation et plusieurs rapports sont demandés à l'Académie des Sciences américaine. Ils convergents vers une augmentation de la température de 2 à 3°C en 2050 avec la possibilité d'une hausse beaucoup plus forte. En 1988 l'Assemblée Générale des Nations-Unies déclare que le climat est une préoccupation commune de l'humanité. A ce moment, la question du changement climatique anthropique sort du domaine scientifique pour entrer de plain pied dans le champ politique et diplomatique. (source energie-developpement .blogspot.fr/2015/11/rechauffement-climatique-anthropique-decouverte-histoire.html) L’accord de Paris en décembre 2015 n’empêchera pas de lui-même la montée du niveau des mers, la salinisation des terres arables et les sécheresses, ni l’insécurité alimentaire, les déplacements de population et les tensions sociales qui en résultent…C'est un instrument dont doivent s’emparer tous ceux qui défendent l’environnement pour mettre la pression sur les gouvernements et les acteurs économiques et empêcher les projets climaticides.(source energie-climat.greenpeace.fr/cop21-et-apres)

225 ans d'avertissement sur l'évolution spirituelle de l'humanité et sur la nécessité de la corriger.

Anne Marie Taïgi a commencé en 1791. Il y eu au milieu du siècle suivant La Salette, Lourdes, Don Bosco; à la avec l'autre siècle Marie Julie Jahenny, en 1917 Fatima, dans la seconde moitié du siècle sœur Elena Aïello, Amsterdam, Vassula, Garabandal, Medugorjé et depuis le siècle actuel Axelle et Marga... et même s'il faut user de discernement, la liste n'est pas exhaustive... mais il n'y a pas encore eu, ou si peu, de prise en compte de ces avertissements spirituels, aussi il ne faut guère s'étonner de la fascination que l'on ressent en constatant que ce que nous vivons ressemble de plus en plus à ce de quoi nous fûmes avertis.

En ce qui concerne les événements imminents on ne peut probablement plus rien y faire mais on pourrait essayer de neutraliser certains de ceux des quelques années qui nous séparent encore de la paix ou au moins de les diminuer. On essaye bien de diminuer le réchauffement climatique.