la Grande Mosquée justifie le mariage de Mahomet et de Aicha, 6 ans
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la Grande Mosquée justifie le mariage de Mahomet et de Aicha, 6 ans
Quand la Grande Mosquée de Paris justifie le mariage de Mahomet et de Aïcha, 6 ans
L'appel téléphonique:
C'est écrit dans un hadith authentique, le 114 du sahih muslim, dans lequel Aicha raconte ceci : "J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa, neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi". Puis elle relatait: "... Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j'étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J'avais à peine fini, que l'Envoyé d'Allah entra, lorsqu'il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains." Dans le sahih bukhari volume 8, livre 73, numéro 151, Aicha dit ceci : "J'avais l'habitude jouer avec les poupées en présence du prophète, et mes amies filles jouaient aussi avec moi. Quand l'Apôtre d'Allah entrait (l'endroit ou je vivais) elles avaient l'habitude de se cacher, mais le Prophète les appelait pour qu'elles se joignent et jouent avec moi. Le jeu avec des poupées et des représentations similaires est interdit, mais il était autorisé pour Aisha à ce moment, parce qu'elle n'était qu'une petite fille, n'ayant pas encore atteint l'âge de la puberté." Autrement dit, Aicha n'était pas un femme quand elle a été épousée ni quand elle a été déflorée.
Rappel : en islam, la source du droit n'est pas le coran seul mais le coran et les hadiths ensemble. Inutile donc de prétendre que les hadiths n'ont pas de valeur. En réalité, ils en ont autant que le coran.
L'appel téléphonique:
C'est écrit dans un hadith authentique, le 114 du sahih muslim, dans lequel Aicha raconte ceci : "J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa, neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi". Puis elle relatait: "... Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j'étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J'avais à peine fini, que l'Envoyé d'Allah entra, lorsqu'il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains." Dans le sahih bukhari volume 8, livre 73, numéro 151, Aicha dit ceci : "J'avais l'habitude jouer avec les poupées en présence du prophète, et mes amies filles jouaient aussi avec moi. Quand l'Apôtre d'Allah entrait (l'endroit ou je vivais) elles avaient l'habitude de se cacher, mais le Prophète les appelait pour qu'elles se joignent et jouent avec moi. Le jeu avec des poupées et des représentations similaires est interdit, mais il était autorisé pour Aisha à ce moment, parce qu'elle n'était qu'une petite fille, n'ayant pas encore atteint l'âge de la puberté." Autrement dit, Aicha n'était pas un femme quand elle a été épousée ni quand elle a été déflorée.
Rappel : en islam, la source du droit n'est pas le coran seul mais le coran et les hadiths ensemble. Inutile donc de prétendre que les hadiths n'ont pas de valeur. En réalité, ils en ont autant que le coran.
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