Des jhiadiste dont un ancien militaire: attentats déjoué en france!

Des jihadiste (dont un ancien militaire) voulait attaquer une base militaire en France le fort béart,
ou s'entraînent les forces spéciale.

Les quatre individus, âgés de 16 à 23 ans, projetaient une action terroriste contre des installations militaires françaises. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux de la de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Parmi eux figure un ancien militaire de la marine nationale, a indiqué le ministre.

Le «principal instigateur» de ce projet avait été «signalé» aux autorités pour «ses velléités de départ en Syrie» et avait «fait l’objet d’un entretien administratif», a précisé le ministre. Une enquête préliminaire a été ouverte dès le 23 juin par la section antiterroriste du parquet de Paris «pour association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme». Avant cela, cet individu avait aussi «été repéré pour son activisme sur les réseaux sociaux et dans le relationnel de jihadistes français aujourd’hui incarcérés»

Une décapitation d'un militaire gradé filmée à la GoPro

Ces arrestations n'ont «aucun lien à ce stade avec les faits qui se sont récemment déroulés dans les Bouches-du-Rhône», a ajouté Bernard Cazeneuve, faisant référence à la double explosion survenue dans la nuit de lundi à mardi sur le site pétrochimique de Berre-l’Etang.

Selon une information du Monde, confirmée par l'AFP, les personnes interpellées avaient pour projet de filmer à la GoPro la décapitation d’un militaire gradé. Selon France Info, leur cible était Port-Vendre, une base militaire proche de Perpignan.

Le président François Hollande avait révélé un peu plus tôt dans la soirée que «des actes terroristes» avaient été déjoués «cette semaine» en France, sans plus de précisions. «Cette semaine, nous avons également prévenu des actes terroristes qui auraient pu être produits», avait indiqué le chef de l’Etat, en marge d’un déplacement à Marseille avec le président mexicain Enrique Pena Nieto.
Source:
LIBERATION avec AFP

Attentat déjoué en France : la police remontée contre François Hollande pour avoir évoqué les arrestations

Il voulait frapper l'armée française d'une atroce manière. François Hollande l'a révélé mercredi 15 juillet : quatre suspects, âgés d'une vingtaine d'années, ont été arrêtés à la veille de la fête nationale alors qu'il projetait un attentat. D'après nos informations, le groupe avait ciblé un soldat actuellement en poste à Perpignan. L'objectif ? Le tuer en le décapitant et en le filmant pour ensuite diffusé la vidéo sur Internet.

L'assassinat n'était pas prévu dans le temps. Si les suspects ont dans un premier temps évoqué janvier 2016, les services de la DGSI n'ont pas voulu prendre le moindre risque et ont procédé aux quatre interpellations lundi 13 juillet à l'aube du défilé national qui aurait pu précipiter les choses. Trois d'entre eux sont toujours en garde à vue ce jeudi.
Des profils qui interpellent

Mais dans cet attentat déjoué par les forces de l'ordre, le profil des suspects a de quoi interpeller. En premier lieu, leur jeune âge alors qu'ils sont respectivement âgés de 16, 17, 19 et 23 ans. Et un homme à tous les regards braqués sur lui alors qu'il s'agit d'un ex-membre de la Marine nationale, réformé de la Grande muette. Ce dernier est présenté par plusieurs enquêteurs comme l'un des deux leaders du groupe, celui qui, en tant qu'ancien militaire, pouvait fournir à ses complices des informations précises sur leur cible.

La police énervée contre François Hollande

Au lendemain de cette annonce, les policiers semblent clairement remontés, notamment à l'encontre de François Hollande, qui a évoqué cette affaire de manière précipitée, selon eux. En plein pot de départ du préfet de police de Paris, de nombreux officiels ont découvert sur leurs téléphones portables les confidences de François Hollande, des magistrats, des membres du renseignement. Des officiels, qui considèrent aussi que le Président donne sans doute trop d'importance, à leurs yeux, à ces 4 jeunes présents.
Source:
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/attentat-dejoue-en-france-la-police-remontee-contre-francois-hollande-pour-avoir-evoque-les-arrestations-7779109425

Je pense qu'il doit y avoir encore des militaires intégriste musulman au sein de l'armée, ou qui vont basculer dans l'intégrisme musulmanne.
Preuve au-dessus..
Même si les 3 autres sont jeunes, il ne faut pas prendre à la légère ses menaces.

Les musulmans ont toujours été attiré par l'idéal militaire qui représente le combat contre leurs ennemis.

Ce qui est plus grave, c'est la légèreté des pouvoirs publics, dont l'exécutif, pour sanctionnés la préméditation, ou l'action terroriste. Ce qu'il faut considérer, c'est la formation militaire voulue par l'état qui collabore avec les chefs musulmans de France pour envoyer un certain nombre de ces militaires aguerris en Syrie comme ils le faisaient pendant la guerre d'Espagne, la guerre d'Algérie...

Ces "éléments insurgés" qui se retournent contre la France, et il y plusieurs cas avérés dont nous ne pourrons jamais savoir leurs états de service dus à l'état, sont des imprévus dans le plan d’ingérence d'états étrangers, puisque après leurs formation, ils commettent des exactions contre un état fédéral européen.


Il est évident, Charles Edouard, que l'exaspération des gendarmes, n'ayant pas connaissances  de toutes les données entre services d'état, DGSE, DGSI, Etc... et si ces écoutes sont correctes, risquent de fabriquer au sein des corps militaires français une OAS d'insurrection contre la négligence et l'incompétence, et l'incapacité réelle des politiques.

Avec un réseau médiatique, qui ne cherche qu'a rajouter de la haine entre les différentes entités françaises et les radicaux d'origine étrangère, par des phrases chocs exhibant le racisme, sous toutes ses formes, nous assistons par leur intérêts de faire des scoops,(donc de gagner un maximum d'argent) et nous voyons les médias attiser la guerre civile.

Un état sage, devrait interdire toute information, visant à caricaturer une formation politique ou religieuse, et donc, sanctionner l’éditorial, quel qu'il soit, pour incitation à la discrimination religieuse, ou discrimination à la personne, et arriver à la strict énonciation des faits, et supprimer les interprétations, le voyeurisme d'esprit, et les joutes très lucratives des  journalistes qui s'autorisent à penser que...

Que Notre Seigneur nous aide, à ne pas soutenir intérieurement ou extérieurement, ces état de faits. Union de prières.

Je suis assez d'accord avec @Henryk,

Il y a un manque d'autorité claire ! Et de secret au milieu de l'Etat : on ne devrait pas révéler des informations cruciales dans ce genre de situation ou alors, non pas le biais des journalistes mais par nos politiciens.

J'entends déjà ceux qui sont contre le pouvoir "Oui, mais il ne faut pas leur faire confiance à ces singes ! Ces escrocs ! Ils n'auraient jamais rien dit" : oui, peut-être mais bon...

Je pense qu'il faudrait contrôler un peu nos armées (pas que le pouvoir aussi un peu le peuple !) et revoir la politique de formations et d'entretien de nos forces de défenses militaires !

Il faut qu'une cellule militaire s'applique réellement pour pouvoir isoler ces personnes qui représentent à danger pour nous mais pour elles-mêmes !

Voir incident d'ivresse publique de Colmar...> contre les forces de l'ordre.

Déjà en 1999:
Moins de cinq engagés volontaires de l’armée de terre (EVAT) ont exprimé, en 2008, le souhait de ne pas partir en opérations extérieures « pour des raisons confessionnelles », reconnait l’état-major interrogé par Secret-Défense. Il s’agit de jeunes musulmans qui ne voulaient pas aller combattre d’autres musulmans en Afghanistan…

Ces cas sont rarissimes (moins de 0,01 % des engagés) mais ils existent.

Il y eu même un cas de mutinerie:
En juin 1999, le journal L’humanité se faisait l’écho d’une mutinerie à bord du porte avion Foch

Dans la Marine, les officiers n’oublieront pas de si tôt la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch. Une soixantaine d’engagés volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage leur officier. Après s’être retranchés 2 jours dans la cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un commando de fusiliers-marins. Ces « beurs » réagissaient contre une punition collective infligée à la suite d’une rébellion survenue lors d’une mission au large de la Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.

En avril 2001, c’est au tour du Magazine Marianne de révéler des problèmes d’islamisme à bord du Charles-de-Gaulle.

L’ancien ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie, revenue sur les bancs de l’Assemblée nationale, a lâché, le 30 mars dernier, une petite bombe lors d’une réunion de la Commission de la Défense consacrée à l’audition des aumôniers militaires.

S’adressant à Abdelkader Arbi, aumônier en chef du culte musulman, Michèle Alliot-Marie lui demande : « Nous avions eu il y a quelques années des difficultés avec des imams autoproclamés, y compris sur le Charles-de-Gaulle. Ce type de comportement a-t-il disparu ? »
Et l’aumônier lui répond : « Avant mon arrivée [en 2006], certaines personnes ont en effet tenté de s’autoproclamer imams à bord du Charles-de-Gaulle. Il y avait deux raisons à cela. Premièrement, il s’agissait d’un navire, donc d’un espace confiné. Deuxièmement, pour pallier la fin de la conscription, le ministère de la Défense avait organisé, avec des missions locales, le recrutement de jeunes des quartiers pour travailler sur les ponts, un métier très difficile. [Le responsable religieux fait référence aux CCM, les contrats courts marine, ndlr]
Certains de ces jeunes voulaient participer au culte or, ils n’y avaient pas droit, ce qui créait une certaine frustration. Des prières se sont alors organisées, pendant lesquelles certaines personnes pouvaient, au cours des prêches, donner un autre sens à l’engagement au sein de l’armée de ces jeunes à qui la Marine avait voulu donner une seconde chance mais qui y venaient sans guère de diplômes, voire sans diplôme du tout, qui venaient grâce à des missions locales, peut-être par dépit et en tout cas sans vocation militaire.
Source:
http://www.prechi-precha.fr/larmee-et-ses-musulmans/