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Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Invité Dim 24 Mai 2015 - 13:01

Merci encore Maud pour ces partages très forts Encens



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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Dim 24 Mai 2015 - 13:06

@Eucharistie ,
 Merci beaucoup .
 sunny

Fraternellement
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Lun 25 Mai 2015 - 6:23

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_80


État d’âme et impressions de Maria pendant un bombardement


Le 2 novembre

Je reprends aujourd’hui, le 2 novembre, parce qu’hier, entre les gens qui sont venus et... une visite peu agréable des anglais, je n’ai pas pu continuer à écrire.
En ce qui a trait aux impressions subies durant ce pénible quart d’heure, je vous (*220) dirai qu’elles sont nombreuses et variées.

La première est que c’est seulement en priant que je me sentais suffisamment calme. Il me semblait impossible, pendant que je l’invoquais sur moi et sur tous ceux qui étaient réunis autour de mon lit et, avec une charité plus grande, sur tous ceux qui fuyaient dans les rues ou tremblaient dans les maisons, que lui, dont le Nom est puissant, ne m’écoutât pas. J’avais la sensation, et je l’ai remarquée trois ou quatre fois durant ma prière, qu’il me serrait dans ses bras en me faisant comprendre de rester calme parce que j’étais protégée par lui.

Dans mon état si grave, je mentirais si je disais que mon cœur ne s’en est pas ressenti.

Si un grand bruit , un cri, le choc de deux autos, la vue d’une personne qui tombe, une altercation, une nouvelle, etc. me font une forte impression, on peut bien imaginer ce que mon cœur a pu ressentir physiquement à un tel fracas. Mais vous avez pu constater qu’avec le secours d’une énergique piqûre, il n’était pas trop désaxé au moral.

La deuxième impression est que, depuis le matin, après cette profession anti- catholiqu (*221), j’avais l’impression, en fait la persuasion que, si les ennemis étaient venus ce jour-là, les choses auraient pris une mauvaise tournure. Et en effet !

Troisième impression : quand ce fut fini, je fus soulagée en pensant que le cauchemar d’un bombardement aérien, qui me tourmentait depuis vingt jour, était passé. Je vous ai mentionné ce rêve auquel je voulais relier la mort de ces cinq personnes dans la Place Mazzini il y a à peu près quinze jours (*222 )
). Dans mon rêve, j’avais vu des projectiles tomber des airs sur Viareggio et je comprenais qu’ils venaient d’avions. Mais je voulais croire que la cause en était ce projectile tombé avant d’atteindre sa cible.

Est-ce que tout est arrivé maintenant ? Que Dieu le veuille, parce que je vous avoue que je n’aime pas beaucoup l’idée de mourir ensevelie vivante ou dans de grandes souffrances dans un hôpital. J’accepte mes cinq maladies et je suis prête à en accepter cinq autres, dix autres, avec tous les tourments, mais je demande seulement qu’on me laisse dans ma maison où Jésus a opéré tant de choses pour moi et qui m’est sacrée à cause de lui, parce qu’elle m’a été donnée par lui et qu’en elle sont morts les miens.

Quatrième et dernière impression : une impression de reconnaissance à votre égard. J’étais sûre que vous seriez venu, mais en vous voyant venir, j’ai été touchée et calmée. On n’est jamais assez absous et béni à certains moments !

Pendant ces jours où vous étiez absent, j’avais toujours le cœur en suspens dans la crainte de quelque accident qui me frapperait, moi en particulier, ou d’un accident général. Je sais par expérience qu’il est difficile d’avoir les médecins et les prêtres dans les moments où leur présence est le plus nécessaire et désirée. C’est pourquoi je me désolais que vous fussiez loin, parce qu’il n’y a que vous qui pensiez à moi.

(*220 )Elle s’adresse au père Migliorini.( son confesseur )
(*221) Voir plus haut, le texte du 1er novembre.
(*222 ) Durant des exercices militaires qui se déroulaient sur les Alpes Apuanes, un projectile qui devaient finir en mer était tombé sur la Place Mazzini, fauchant cinq personnes.


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Le_pyr10
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par myrdhin Lun 25 Mai 2015 - 9:29

Merci pour ce post et aussi pour tous les autres.
Prendre le temps de lire, certes, mais il ne m'en
reste pas chaque jour pour vous dire merci Maud.

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Lun 25 Mai 2015 - 9:42

@myrdhin  Laughing  Merci aussi à vous pour votre fidélité
vous écrivez
Merci pour ce post et aussi pour tous les autres.
Prendre le temps de lire, certes, mais il ne m'en
reste pas chaque jour pour vous dire merci Maud.

Amicalement
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Charles-Edouard Lun 25 Mai 2015 - 18:35

Merci pour tous ses articles sur Maria Valtorta, cela enrichit grandement le forum!

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Lun 25 Mai 2015 - 18:59

Je te remercie @Charles - Edouard  Laughing
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mar 26 Mai 2015 - 7:06

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_81


Jésus, Marie et Joseph, modèles d’obéissance

Description des façons dont le Seigneur se manifeste


Le 3 novembre

Jésus dit :

“Je me suis tu hier pour te permettre, non pas tant de te reposer, mais d’obéir. Le Père (*223) t’a dit d’écrire tes impressions et la façon dont tu m’entends. Tes forces et ton temps étant limités, si tu fais une chose, tu ne peux pas faire l’autre. Et alors je t’ai laissée tranquille pour que tu puisses obéir. Le Père ne te l’a pas ordonné, il a seulement exprimé un souhait. Mais pour ceux qui sont vraiment obéissants, même un souhait est un ordre.

L’obéissance a plus de valeur que la parole, même si cette parole est écrite sous ma dictée. Car vous entendez et vous écrivez la parole, mais elle n’est pas de vous; vous la répétez, mais elle n’est pas de vous. L’obéissance au contraire est de vous. Il convient de dire : ‘Laissez-la agir, car vous avez toujours les pauvres, mais moi, vous ne m’avez pas toujours’. Les pauvres à qui donner la parole, vous les avez toujours. L’occasion de répandre l’arôme précieux de la sainte obéissance, en défiant les commentaires d’autrui, vous ne l’avez pas toujours.

Et sachez que l’obéissance fut la vertu du Verbe, qui était destiné à être Homme et à devenir le Rédempteur. L’amour, la puissance, la perfection, la sagesse sont communs à nos Trois Personnes. Mais l’obéissance est mienne, exclusivement mienne. J’ai obéi en m’incarnant, en devenant pauvre, en acceptant d’être soumis aux humains, en accomplissant ma mission d’évangélisateur, en mourant.

C’est pourquoi lorsque vous obéissez, soit aux humains dans les actes d’obéissance relative, soit à Dieu dans les actes de grande obéissance qui comportent des renonciations et des sacrifices de sang et l’acceptation de la mort, parfois d’une mort atroce, vous êtes semblables à moi qui fus obéissant jusqu’à la mort, qui fus l’Obéissant par excellence, le très Obéissant divin.

Ma douce Mère vient après moi en obéissance, elle qui obéit toujours, et avec son amoureux sourire, aux volontés du Très Haut.

Au troisième rang vient mon chaste père sur terre, qui de sa force virile fit des broderies d’obéissance, qui plia en fait sa force virile et son jugement d’homme, droit comme un fil de soie, pour les incliner aux volontés de Dieu.

Par conséquent, celui qui obéit aux trois êtres les plus obéissants du monde, et il les aura pour amis ici et dans l’au-delà, au ciel.”

Et maintenant je tâcherai de décrire les phases à travers lesquelles et les façons dont ma chère ‘Voix’ vient à moi et est écrite par moi.

Des fois, la nuit, dans mon demi-sommeil  je veille beaucoup plus que je ne dors parce que j’entends simultanément ce qui se passe dans ma chambre et dans la rue  j’entends la Voix me dire et me redire une phrase, comme si elle voulait m’inviter a m asseoir et à écrire. Si j’ai assez de force physique, je m’assieds et, luttant contre la somnolence et les douleurs, je me mets à écrire. (*224) Alors, les autres phrases succèdent à la phrase ou aux quelques phrases initiales, tel un fil qui se dévide, et cesse la souffrance provoquée par le contraste entre l’âme qui se dresse à l’écoute et qui voudrait être servie par le corps, et le corps affaibli qui refuse de servir l’âme en sortant de son repos pour écrire.

D’autres fois, au contraire, la ‘Voix’ est si impérieuse  et avec le soin, elle doit parfois me communiquer une force spéciale qui dure aussi longtemps que j’en ai besoin  que je dois m’asseoir aussitôt et écrire tout de suite ou, si c’est le jour, interrompre quoi que je fasse pour écrire.

Souvent, je sens l’approche du moment de la leçon, et donc l’approche du Maître, par une sorte de choc, de pénétration, d’infusion, je ne sais trop comment m’expliquer avec précision. Bref, c’est quelque chose qui entre en moi et me donne une joie lumineuse. J’insiste sur le mot ‘lumineuse’ parce que c’est exactement comme si, d’un lieu ombragé, je passais dans la tiédeur et la joie du soleil.

Mais cela ne se passe pas toujours ainsi. Ces moments sont les plus hauts, aussi bien que ceux où aux paroles se joint la vision mentale de ce qu’il décrit (comme la fois où il me montra Marie dans sa  gloire au Paradis (*225). En général, c’est une proximité — je le sens très proche. Mais c’est toujours une proximité.
Ensuite, les leçons se déroulent comme suit.

Parfois, comme ce matin pour le passage que je joins sur un feuillet détaché, rien ne justifie ni ne provoque une leçon donnée. Par exemple, ce matin j’étais à mille lieux de cette pensée. Je n’étais pas en train de prier; en fait, je m’adonnais à une occupation toute matérielle relative à mes besoins particuliers de malade. Cela pour vous dire à quel point j’étais loin de toute pensée mystique. La ‘Voix’ commença à parler sans tenir compte de quoi que ce soit. Puis, après m’avoir donné la première réplique, pour ainsi dire, elle attendit que j’eusse terminé mon occupation. Ensuite, elle me poussa à écrire et me fit comprendre que je devais prendre un demi-feuillet, qui serait largement suffisant. J’avais en main une feuille entière, mais il me la fit poser. Comme vous voyez, en effet, le demi-feuillet a suffi.

La première phrase qu’il dit pendant que je n’étais pas encore prête à écrire était : ‘L’obéissance a plus de valeur que la parole. L’obéissance fut la vertu du Verbe’. Lorsque je pus enfin écrire, Jésus dicta, sur ce thème initial, ses paroles telles que je les ai écrites sur le feuillet.

D’autres fois, par contre, il commence la leçon spontanément en me faisant ouvrir au hasard le livre qu’il veut et dans lequel il me présente aussitôt la phrase à partir de laquelle il développe ensuite la leçon plus ou moins longue. Il peut se servir de n’importe quel livre, même d’un journal, dont il tire un enseignement.

Et puis il y a les jours où il ne parle pas, et je suis alors si malheureuse qu’il me semble être un enfant qui n’a plus sa mère à ses côtés et la cherche partout et l’appelle. Moi aussi, je l’appelle et je l’invite en ouvrant la Bible au hasard. Certains jours, il se tait inexorablement et j’ai une grande envie de pleurer. D’autres jours, après m’avoir laissée faire les cent pas sans m’écouter, il se rend et je ressens alors cette sensation que j’ai décrite au début, grâce à laquelle je me rends compte que la grâce vient.

Remarquez que, alors qu’avant je pouvais faire des méditations par moi-même — de bien pauvres méditations si je les compare à celles que je reçois maintenant — à présent je suis absolument incapable de les faire toute seule. J’ai beau me concentrer sur un point donné, je n’en tire rien et généralement le Maître ne m’explique jamais  
le point que je voudrais qu’il m’explique à ce moment-là. Il explique ce qu’il veut et de la manière la plus éloignée de celle dont m je l’aurais expliqué et dont on l’explique d’habitude.

Aussi, je ne peux plus m’intéresser à la lecture. Moi qui étais une lectrice acharnée, je laisse de côté les livres sans jamais les ouvrit, S’il m’arrive de les ouvrir, après quelques lignes je me lasse et je les~ referme. Et je ne m’en lasse pas à cause de la lecture, mais parce qu’ils sont une nourriture insipide ou dégoûtante.

Il en va de même des conversations usuelles. Elles sont une vraie fatigue pour moi. Je voudrais rester seule en silence, car les potins me dérangent beaucoup et me semblent plus fades que jamais. Je dois accomplir des prodiges de charité pour supporter mon prochain qui s’efforce de me tenir compagnie et qui, en restant là, m’interdit la compagnie qui m’est chère, la seule que je désire et que l’âme supporte : celle de Jésus ou de quelques personnes, comme vous, qui n’ignorent pas mon secret.

Mais qui sont ces personnes ? Vous, Marta, Paola et son père. Ce dernier comprend un pour cent et ne comprend pas les quatre-vingt-dix-neuf autres, et alors... Il en reste trois. Mais Maria n’arrête pas une minute, et le soir elle est si fatiguée qu’elle tombe de sommeil et s’endort aussitôt. Ce qui ne laisse que vous et Paola. Près de vous deux, et de vous, Père, en particulier, je me repose et je suis bien. Mais les autres sont pour moi une source de fatigue et de peine.

En ce qui concerne le livre de Ricciotti, je ne l’ai pas aimé dès les premières pages que j’ai feuilletées. Le Cantique y est bien traduit. Mais les raisons de l’auteur... Sont justement de celles que je ne peux plus assimiler. De plus, avec l’insistance d’un refrain, la Voix me chuchote : ‘Ne t’occupe pas de cet ouvrage. Je ne le veux pas’. Elle ne dit rien d’autre. Mais, voyant qu’elle insiste, je me décide de lui dire que je n’en lirai pas plus et, je vous l’avoue, je n’en éprouve aucun chagrin parce que, je le répète, j’ai l’impression de mâcher de la paille.
Voilà qui est fait. J’ai obéi.

¬(*223) Le père Migliorini
(*224) À ce point, l’auteur insère la date, comme pour la prendre en note : 3-11.
( *225 )Dans le texte du 12 septembre.


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta



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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mer 27 Mai 2015 - 7:51

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_82

La culture biblique de Maria et la façon dont Jésus lui commente des passages des Écritures
Importance de ne pas contaminer la pensée de Dieu par la pensée humaine et de ne jamais la trahir
           

Le 4 novembre

Pour ce qui est de votre (*227) souhait que je vous dise ce que je connais des Saintes Écritures, je peux vous assurer formellement de connaître uniquement les quatre Evangiles. Je les connais par cœur et depuis des années. De plus, j’ai lu une fois, il y a treize ans ou plus, le Cantique des Cantiques dans une version protestante que j’ai par la suite remise au curé d’alors de la paroisse de Saint Paolino, feu Mons. Guidi. J’ai aussi lu, dans un livre de culture, les Proverbes de Salomon. Et mes connaissances en la matière s’arrêtent là.

Lire la Bible pour moi, c’est comme marcher dans un monde inconnu et qui me resterait impénétrable, car par moi-même, je n’en comprends que la signification superficielle et celle des commentaires dans les notes au bas des pages dont je remarque qu’ils sont différents de ceux que fait le Maître.

Quand j’étais à l’école, on m’avait fait étudier l’Histoire Sainte dans un petit texte adapté à notre âge, et vous savez que les textes de ce genre sont toujours réduits au minimum. Je me souvenais des points saillants, plus des noms que des faits, et j’avoue qu’en dehors d’Adam, d’Ésaü, de Moïse, de Lot, de Ruth, d’Esther et de quelques autres, je ne me souvenais plus de rien. Un vrai petit âne, il n’y a pas de doute ! Quant au Nouveau Testament, outre les Évangiles, je con¬naissais les passages cité dans les épîtres, et c’est tout.

Même maintenant que j’ai la Bible à ma disposition, parce que vous y avez pensé, je ne suis pas allée, par ordre surnaturel, au-delà d’Esther. Et je vous avoue que beaucoup de pages des Rois et des Chroniques m’ont fait bâiller, tandis que j’ai beaucoup aime Tobie. Après, j’ai été tellement prise avec le Maître que je n’ai pas pu avancer dans l’ordre, si bien que j’ai échoué au chapitre 13 de Job. Le reste, à l’exception des points que le Maître m’explique au fur et à mesure, est pour moi parole inconnue.

Comme je le disais (*228), les jours où Jésus se tait et où, avec la confiance de l’amour, je l’invite en ouvrant ici et là le Livre, je ne m’arrête même pas à lire. Je regarde un passage et si je sens que Jésus me donne un signe qu’il va parler, je m’arrête, sinon j’ouvre ailleurs jusqu' a ce qu’il parle. Si après trois ou quatre tentatives au plus, à des points différents ouverts au hasard parmi les 1838 pages du Livre, je comprends qu’il ne veut pas parler, je me résigne à lire par moi-même le passage où je me suis trouvée, et qui est maintenant la (* 229).

Je ne pourrais pas donner plus de détails et être plus obéissante. Et je l’ai été au milieu de beaucoup d’obstacles qui vont des interruptions incessantes aux vertiges provoqués par mon état que le médecin a jugé hier comme étant très grave. L’état des poumons et du cœur justifie toutes les craintes humaines. Et toutes les joies surnaturelles pour moi.

Je sais que mon pouls est très faible, filiforme, arythmique et à la baisse. Je le sens. Je n’ai pas été infirmière pour rien. Je sais que la paralysie peut me saisir d’un moment à l’autre. Je sais que les vertiges et les collapsus sont causés par l’anémie cérébrale et l’atrophie cardiaque. Je sais que je respire avec seulement la moitié de mon poumon gauche et que mon poumon droit est comme une branche sèche. Je sais tout. Mais ce sont là mes richesses et les sources de ma paix.

Pour ce qui est du passé, je m’en remets à la Miséricorde de Dieu. Pour le présent, je m’en remets à son secours. Quant à l’avenir, la perspective d’aller bientôt rejoindre Celui que j’aime brille devant moi tel un soleil joyeux. Chaque aggravation n’a donc rien de funèbre, mais sonne plutôt comme une cloche un jour de fête, m’an¬nonçant l’approche de mon entrée dans la Vie.

9h30 (après avoir fini d’écrire mes impressions)

Jésus dit :

“Tu as bien dit (*23O.) C’est mâcher de la paille, et je veux que tu te nourrisses de blé naturel. La paille ne nourrit pas, elle remplit sans nourrir. Il en est ainsi d’une grande partie de la science.

Ce qui est toujours un danger dans toute science est même pernicieux lorsqu’il s’agit de la science des choses de Dieu. Mais c’est comme ça maintenant. Les docteurs de la science sacrée oublient trop souvent ce dont ils traitent, qui ils servent et de quelles puissances ils parlent. Ils oublient aussi à qui ils s’adressent et les conséquences de leur enseignement, lesquelles, comme des vagues, se propagent au large après avoir frappé directement les premiers qui les lisent. Ils pourraient être des ‘lumières’ : ils sont de la fumée qui voile la lumière même là où elle se trouve.

Ils aiment faire étalage d’érudition humaine. En vérité, je te dis que, s’il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille que pour un riche d’être sauvé, il sera encore plus difficile que soient sauvés un ecclésiastique humainement savant ou quiconque traite de religion avec la science humaine. Non seulement auront-ils à répondre de s’être repus, remplis jusqu’à en déborder, d’érudition humaine, en niant sa place à la science sacrée et en l’ex-pulsant d’eux-mêmes, mais ils auront à répondre du mal incalculable qu’ils ont fait aux autres, en commençant par leurs confrères et leurs consœurs jusqu’aux simples fidèles et aux humains en général.

En vérité, je te dis que la lumière qui nimbera le front d’un humble croyant, lequel ne sait que dire ses oraisons sans autres vertiges de culture, fera rougir de honte ceux qui, comme Épulon, ont voulu tous les aliments sur leur table en en oubliant un seul, celui de la charité. Et la Charité leur sera fermée, elle sera très avare avec eux. Comme ils furent fermés et avares avec elle.

Ces savants ne comprennent pas le Cantique qui voile les amoureux rapports entre Dieu et l’Église et entre Dieu et ses âmes. Ils ne peuvent le comprendre. Seuls les amoureux de Dieu entendent le son de la huitième corde, ce son que produit le toucher du doigt de Dieu mû par l’amour.

Les autres ont les oreilles bouchées à cette voix céleste qui est la vraie voix, reine parmi les autres voix qui l’entourent comme un chœur et qui sont des voix pour les sens humains. Les savants ne comprennent pas cela : ils érigent une nouvelle Babel là où s’élève, telle la tige d’une chandelle mystique, la Parole qui n’a point besoin d’érudition humaine pour être comprise, mais d’amour et d’un esprit pur. Et ceux pour qui l’Amour se fait Pain, se fait Voix, se fait Lumière ne les comprennent pas à leur tour.

Otez les franges et les phylactères dans lesquels vous vous pavanez et habillez-vous d’une simple tunique de pur lin et ceignez-vous la taille d’une écharpe pourprée. Ce fut le vêtement du Christ Maître : qu’il soit le vôtre. La pureté, ô porteurs de la religion, que la pureté soit votre vêtement. Pureté de la chair double pureté du cœur, triple pureté de la pensée.

Ne distribuez pas, à ceux qui vous demandent la pensée de Dieu, une pensée contaminée par le fait qu’elle est détachée de Dieu et saturée d’érudition humaine. Amour, amour, de l’amour en vous et autour de vous. Autour de vous pour que les foules le voient, et en vous parce que l’essence de ce qui rayonne à l’extérieur dépend de ce qui est à l’intérieur. Et vous ne pouvez insuffler ce que vous ne possédez pas, vous ne pouvez parler, d’une voix juste, de ce que vous ne comprenez pas.

Les âmes n’ont pas besoin de science, mais de lumière. Pour la science, il y a déjà même trop de volumes et trop de savants. Donnez les paroles de la Sagesse aux foules, et donnez-les avec des paroles de sagesse puisées en moi.

Et maintenant que nous avons parlé de cela, continue à écrire sur la Sagesse. J’ai enchâssé cette glose au milieu du commentaire parce que c’est sa place. Je te l’ai accordée après l’obéissance, car l’obéissance me rend bienveillant et plus Maître que jamais. Je veux te tenir par la main comme un enfant sage, et plus tu auras l’âme d’un enfant sage et plus je serai ton Père et Maître.

‘La sagesse garda celui que Dieu fit en premier... elle le tira de son péché et lui donna le pouvoir de gouverner toute chose’.

Au Paradis terrestre, Adam, pur et obéissant, était instruit directement par Dieu. Lorsque Adam se tacha de la faute, il démérita l’enseignement de Dieu. Le dernier soin paternel fut de donner des vêtements aux deux et de leur montrer comment couvrir ce qui désormais était une stimulation pour les sens contaminés. Comment le premier couple aurait- il pu se régler sur Terre si une force spirituelle ne l’avait pas guidé ?

Dieu est toujours un père, enfants qui n’y pensez pas. Et même lorsqu’il frappe, il ne le fait qu’avec bonté et par bonté. Il ne vous jette pas, nus et abandonnés, sur les voies de la ruine en vous laissant seuls. Si vous attirez sur vous le châtiment, il lui unit des secours spirituels. Mais, faits de chair et de sang, vous ne les appréciez pas. Vous voulez seulement ce qui est joie et nourriture de votre chair et de votre sang.

Adam n’entendit plus la voix de l’Offensé. Mais l’Offensé ne le laissa pas sans lumières, puisqu’il l’aimait comme l’œuvre de ses mains. Il lui donna des lumières d’instinct et des lumières de repentir. Les premières pour sa chair, les secondes pour son âme. Par le repentir sincère, il mérita le salut et par l’instinct, il régna sur les choses.

Les lumières, qui ne sont autre chose que la Sagesse, furent maîtresses de progrès chez les enfants. Mais pas chez celui qui, rejetant la Sagesse, écouta l’Erreur, c’est-à-dire Satan qui l’arma du silex avec lequel fut anéanti l’innocent

La Sagesse instruisit le juste pour qu'  il sauvât la descendance de l’homme et les espèces des animaux du châtiment des eaux relâchées sur le monde, lequel était devenu un cloaque.

La Sagesse enflamma Abraham pour le grand sacrifice et sauva son cœur de père en détresse, comme il sauva le juste et l’obéissant du feu venu du Ciel.

La Sagesse n’abandonne pas celui qui se confie à elle avec un cœur pur et une pensée droite. Mais elle fuit celui qui veut choisir par lui-même son repas et sa voie : il connaît les sentiers de l’erreur et mange la nourriture de la mort.

Comme un soleil qui monte toujours plus haut dans la voûte du ciel et resplendit et embrase toujours plus, ainsi la Sagesse, toujours plus haute, brilla pour les hommes qui surent l’aimer. Elle donna le progrès de l’esprit et le progrès de l’intelligence. Elle resplendit dans le miracle du Sinaï, dans lequel elle donna aux humains la Loi qui ne change pas. Puisse maintenant votre dureté vouloir s’ouvrir devant le sang que vous buvez  car en effet les fleuves et les mers de la terre sont devenues de sang, et l’épi et la grappe qui vous donnent le pain et le vin se nourrissent de sang  puisse-t-elle maintenant s’ouvrir pour accueillir la Sagesse de nouveau, comme elle s’ouvrit chez les Hébreux d’Égypte.

Cela aussi est un châtiment de ma Miséricorde, mes enfants. C’est vous qui le changez en châtiment de ma Justice. Reconnaissez-moi comme Père et non comme roi inexorable. Faites de moi votre Roi, mais roi d’amour, roi de votre maison, Père, votre père et non Juge

Et n’êtes-vous pas vous qui vivez en moi et vous qui vous êtes éloignés de moi — tous tourmentés de quelque façon ? Les premiers par la douleur que vous donnent les humains, les seconds par la douleur que Dieu ne soulage pas ? Ne souffrez-vous pas tous maintenant sur la terre ? La faim touche les neutres aussi, l’hécatombe des épidémies, le danger de nouveaux fléaux menacent tous, même ceux qui sont loin, même les plus neutres.

Venez à moi pour être sauvés ! Pleurez non seulement de regret pour le bien-être matériel que vous avez perdu, mais pour le remords d’avoir démérité auprès de Dieu. Pleurez, mais pleurez en vous frappant la poitrine, pleurez sur mes mains qui, si elles vous ont frappés, l’ont fait par amour, pour vous réveiller du sommeil morbide dans lequel vous étiez tombés et dans lequel vous périrez si vous y restez.

Cessez d’adorer ceux qui ne sont pas Dieu. N’êtes-vous pas encore convaincus que ce que vous adorez à l’encontre de la Loi devient une punition pour vous ? Ne dites pas que vous ne le croyiez pas, que vous ne le saviez pas. Depuis un siècle, je ne cesse d’augmenter les ‘voix’ et les apparitions, les unes et les autres miracles de ma Bonté, pour vous ramener a ma Voie. Depuis un siècle, j’augmente le poids de mes châtiments pour vous rappeler à ma Loi. Vous ne tenez compte de rien. Et plus Dieu s’éloigne et plus vous vous éloignez au lieu de l’appeler.

Comment vous appellerai-je pour vous donner un nom exact ? Je vous appellerai ‘Malice’ parce que vous vous êtes remplis de malice, vous vous êtes vendus à la malice..

Non, vous ne pouvez m’accuser de rien. Ce n’est pas moi qui vous détruis. C’est vous qui avez fermé les portes à l’Amour, lequel vous veillait comme un père penché sur le berceau de ses enfants, et avez ouvert les portes à Satan.

Dans ma justice, qui ne peut rester passive, je suis encore indulgent. Je vous rappelle, au milieu du grondement des malheurs, que je suis Dieu et qu’il n’y en a pas d’autres que moi. Je vous rappelle que je suis le Puissant et le Parfait et vous êtes la boue qui n’est quelque chose qu’aussi longtemps qu’elle reste sous l’action de la Grâce, rosée sainte qui empêche la boue de devenir poussière. Je vous rappelle que celui qui s’écarte de moi tombe dans les excès et provoque la ruine.

Je vous rappelle que la parole et les promesses des humains sont un nuage qui passe et qui souvent se dissipe en éclairs, et qu’il n’y a qu’une parole et une promesse qui sauvent. Celles de votre Dieu.

Et si, pour appuyer votre thèse de possédés, vous me dites que dans le châtiment les justes  tombent avec les coupables, moi, je vous dis que vous, et non moi, êtes leurs meurtriers, et que je vous demanderai de me rendre compte de leur sang, ô race d’hyènes qui ne vivez qu’en dévorant, ô race de serpents qui passez en étranglant ou qui contaminez de votre venin les esprits et les cœurs.

Non, je ne serai pas sévère avec ceux qui ne savaient pas qui était Dieu. Mais avec vous chrétiens, qui êtes des Judas, je serai d’une impitoyable sévérité.”


(*227)  Il s’agit du père Migliorini.
(*228 ) Dans le texte du 3 novembre.
(*229) L’édition qu’utilise l’auteur est la Sacra Bibbia, traduction et commentaire duPère Eusebio Tintori O.F.M., Istituto Missionario Fia Società San Paolo, 1942. La p. 729 contient, du livre de Job, les derniers mots du chap. 11, le chap. 12 en entier, et les trois premiers versets du chap. 13.
(*230) Dans le texte du 3 novembre.



Cahiers de 1943 – le 4 Novembre – Maria Valtorta



Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Bible11


Dernière édition par Maud le Mer 27 Mai 2015 - 22:55, édité 1 fois
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Message par Henryk Mer 27 Mai 2015 - 21:05

Je cite du 4 novembre

"Cessez d’adorer ceux qui ne sont pas Dieu. N’êtes-vous pas encore convaincus que ce que vous adorez à l’encontre de la Loi devient une punition pour vous? Ne dites pas que vous ne le croyiez pas, que vous ne le saviez pas. Depuis un siècle, je ne cesse d’augmenter les ‘voix’ et les apparitions, les unes et les autres miracles de ma Bonté, pour vous ramener à ma Voie. Depuis un siècle, j’augmente le poids de mes châtiments pour vous rappeler à ma Loi. Vous ne tenez compte de rien. Et plus Dieu s’éloigne et plus vous vous éloignez au lieu de l’appeler.

Comment vous appellerai-je pour vous donner un nom exact? Je vous appellerai ‘Malice’ parce que vous vous êtes remplis de malice, vous vous êtes vendus à la malice..

Non, vous ne pouvez m’accuser de rien. Ce n’est pas moi qui vous détruis. C’est vous qui avez fermé les portes à l’Amour, lequel vous veillait comme un père penché sur le berceau de ses enfants, et avez ouvert les portes à Satan.

Dans ma justice, qui ne peut rester passive, je suis encore indulgent. Je vous rappelle, au milieu du grondement des malheurs, que je suis Dieu et qu’il n’y en a pas d’autres que moi. Je vous rappelle que je suis le Puissant et le Parfait et vous êtes la boue qui n’est quelque chose qu’aussi longtemps qu’elle reste sous l’action de la Grâce, rosée sainte qui empêche la boue de devenir poussière. Je vous rappelle que celui qui s’écarte de moi tombe dans les excès et provoque la ruine.

Je vous rappelle que la parole et les promesses des humains sont un nuage qui passe et qui souvent se dissipe en éclairs, et qu’il n’y a qu’une parole et une promesse qui sauvent. Celles de votre Dieu."



Paroles et exhortations très fortes de l'Interlocuteur Divin.
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mer 27 Mai 2015 - 23:17

@Henryk
Merci de votre fidélité , à la lecture de ces cahiers , cela me touche  Laughing

Que le Seigneur vous bénisse  sunny

Amicalement
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Message par Maud Jeu 28 Mai 2015 - 7:06

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_83

L’idolâtrie des sens et du pouvoir

Le 5 novembre

Jésus dit :

“Lorsqu’un être humain, même s’il est loin de la connaissance du vrai Dieu, a conscience, par l’élévation d’une âme droite, qu’il doit y avoir un Dieu, et qu’il érige un autel au Dieu inconnu dont parle Paul, cet être-là est beaucoup plus proche de Dieu que ceux qui, après avoir été instruits de l’existence de Dieu, ont voulu expliquer par des théories humaines les admirables œuvres de Dieu.

Ceux qui adorent leur pensée ou la pensée d’autres petits hommes aussi méprisables qu’eux sont encore plus idolâtres et encore plus maudits que ceux qui adorent un astre ou un animal. Ceux-ci sont des sauvages qui vivent dans les ténèbres. Ceux-là au contraire sont évolués et ils redeviennent sauvages. Pareils à ceux qui se mutilent spontanément, ils s’amputent de leur partie la plus noble et sainte et la jettent comme une chose obscène.

Regardez les choses de Dieu avec des yeux honnêtes et une honnête pensée. Vous y verrez briller Dieu. Pourquoi scruter les lois de la vie et les lois de l’univers et ne pas confesser d’abord que cet univers et ces lois sont la preuve indéniable d’un Dieu ?
Mais tout votre progrès est-il apte à ajouter un brin d’herbe au pré qui vous donne son vert ? Votre science réussit-elle à engendrer un nouvel animal en sortant de ces lois que Dieu a établies depuis qu’il a créé les mâles et les femelles ? Et, malgré vos expériences qui vous gonflent d’orgueil, réussissez-vous, je ne dis pas à créer la vie, mais à arrêter la mort ?

Non. Vous réussissez à féconder les œufs des plus simples parmi les millions d’animaux qui existent. Vous pouvez maintenir le battement d’un cœur embryonnaire. Mais vous ne réussissez pas à faire ce que fit Dieu : un homme du néant. Mais vous ne pouvez maintenir le battement d’un cœur qui meurt quand Dieu dit à la poussière de redevenir poussière et à l’âme de revenir à lui. Sans semence, vous ne pouvez faire pousser un seul brin d’herbe. Avec toute votre électricité, vous ne réussissez pas à redonner l’énergie à un corps éteint. Vous ne savez engendrer que maladies et mort, massacres et malheurs.

Et comme vous ne savez pas faire tout cela, augmentant uniquement le désordre sur la Terre et dans les consciences, ainsi vous ne savez plus susciter dans votre fort intime cette Foi sans laquelle l’erreur est inévitable. Vous déviez. Vous vous créez des religions, mais vous n avez pas la Religion.

Vous aimez un enfant, un mari, un membre de votre famille plus que Dieu. Vous perdez amour et respect à l’égard de Dieu s’il vous le ravit. Vous aimez, vous vénérez même comme un dieu un pauvre être humain qui s’autoproclame un ‘dieu’ et qui est boue trois fois plus que vous, et devant lui, vous courbez, non seulement le dos ce serait peu de mal — mais votre jugement et surtout votre conscience. Vous péchez pour lui faire plaisir. Si je peux encore plaindre ceux qui pèchent par l’amour déréglé d’un membre de leur famille, je ne pardonne pas à ceux qui vendent leur conscience à un pouvoir contraire à Dieu.

Il faut être enfants de Dieu même contre les tyrans et tout accepter sauf de brûler son âme devant les idoles de boue. Lorsque l’être humain perd le culte saint du vrai Dieu et tombe dans l’idolâtrie d’êtres égaux ou inférieurs, dépravant en lui l’admirable pierre précieuse qui le rend semblable à Dieu, tout en lui se déprave. Et il n’est pas exagéré de dire que l’époque à laquelle vous vivez est la championne des dépravations. Il n’en manque pas une.

Ô chrétiens menteurs, qui de chrétiens n’avez que l’apparence et qui ne l’êtes pas à l’intérieur, nombreux sont ceux qui viennent à mes autels et qui ne sont pas tels qu’ils devraient être. Et cela est mal chez l’homme qui devrait savoir ne pas forniquer et, si la chair le pousse de sa voix de sang, se choisir une épouse sans attendre d’être déjà vieux et apporter à cette épouse un corps sans tache. Par justice; puisqu’il l’exige d’elle, et par charité, car les contaminations ne sont pas toujours sans danger : avec le corps qui se dégrade et l’âme qui se, corrompt, il y a la maladie qui souvent fait de vous des lépreux, et vous transmettez votre lèpre à votre compagne et aux innocents.

C’est doublement mal pour la femme que de se présenter à Dieu, à l’autel de Dieu, pour jurer sa foi à un homme, avec la tache la plus laide qui puisse tacher une femme. Elle ment à Dieu, à l’homme qui est son compagnon, au monde en venant soutirer une bénédiction, une protection et un respect dont elle n’est pas digne. Mais la bénédiction sur elle se transforme en punition puisqu’on ne trompe pas Dieu. Voleuse et adultère, elle sera jugée en fonction de ses fautes.

Voleuse, car elle frustre son compagnon de son droit et lui vole une confiance dont elle n’est pas digne, et elle vole à Dieu une bénédiction dont elle est encore moins digne; elle vole une mère et des droits aux enfants à venir, et dans son âme morte, pas le moindre frémissement ne court à la pensée de ceux qu’elle a supprimés avant l’aube de la vie ou abandonnés aux marges de la vie comme des chiots errants. Adultère, parce que ‘celle qui regarde un homme avec désir commet déjà l’adultère’, et elle a consommé l’adultère, car elle n’a pas su dompter le désir de la chair, mais s’en est rassasiée dans sa faim dépravée.

En vivant dans l’idolâtrie, il devient facile pour vous de verser le sang dans des homicides individuels ou dans les homicides collectifs que sont les guerres, lesquelles ne sont presque toujours, et toutes les guerres actuelles le sont assurément, rien d’autre que des vols et des fraudes qu’aucun mobile ne justifie. Vous êtes les voleurs des terres et des droits d’autrui et les meurtriers des enfants d’autrui.

Vous êtes mensongers et fraudeurs à petite et à grande échelle. Il n’y a plus d’honnêteté dans la vie. La parole de l’homme est dépourvue d’honneur et vous commettez donc tranquillement des actions déshonorantes.

Vous êtes corrompus. Dans les pensées, dans les goûts, dans les œuvres, dans les sens. Corrompus jusqu’au plus profond de vous-mêmes. Plus que des corps ensevelis depuis dix fois quatre jours. Vous êtes corrompus même dans ce que j’avais créé incorruptible, votre esprit que vous avez tué et qui n’est qu’un grouillement de vers multipliant pensées et actions dégoûtantes.

Corrompus et corrupteurs. Corrupteurs de vos semblables, grands et petits. Vous ne respectez même plus l’enfance devant laquelle vous forniquez indifféremment en acte ou en parole, souillant ces boutons de lys de votre pourriture. Ils s’ouvriront déjà salis et dégageront des odeurs de mort qui iront en augmentant, car vous les corromprez toujours plus. Même votre art est corrompu, votre art, signe de votre supériorité sur les animaux, signe de votre nature de demi-dieux qui avez reçu du vrai Dieu, votre Créateur, une étincelle de sa Pensée créatrice; il est corrompu et corrupteur et dégoûte ceux qui, plus rares qu’un sapin solitaire, se souviennent encore du Ciel et tendent vers lui.

Vous êtes infidèles. Infidèles à Dieu, à la patrie, à la famille, à l’épouse, aux enfants, aux amis. Judas qui vendez tout pour le miroitement de l’argent ou pour un sourire de serpent féminin, vous ne savez même plus ce qu’est la fidélité qui rend l’esprit confiant dans sa Volonté d’honorer Dieu à tout prix et par-dessus toute chose, qui rend le cœur héroïque dans sa défense du drapeau, qui rend l’amour Sincère envers ceux qui vous aiment et l’amitié constante envers ceux qui s’en remettent à vous.

Vous êtes prompts à vous quereller Et vous vous servez de chaque occasion pour donner libre cours à votre instinct de fauves de vous déchaîner et de plonger vos dents dans le sang fraternel.

Vous êtes des menteurs car vous déclarez votre amour pour Dieu, la patrie et la famille, mais vous le faites du bout des lèvres, toujours prêts à trahir tout et tous si vous espérez en tirer quelque avantage sur terre. Et vu que, d’après votre âme aveugle, de Dieu ne peut vous venir que bien peu, vous utilisez Dieu comme un tremplin pour acquérir l’estime des humains en nommant Dieu, en mettant en œuvre l’hypocrisie pour paraître bons et obtenir ce que vous convoitez de ceux que vous trompez par votre aspect d’agneaux, ô boucs hypocrites pleins de péché.

Vous êtes des oppresseurs car, en n’observant pas ma loi de charité, vous tombez inévitablement dans la loi opposée, et vous croyez licite ce qui est illicite, en autant que cela vous arrange : ainsi, vous haïssez vos semblables et vous les opprimez, et puisque vos pareils en dureté de cœur savent vous tenir tête, vous opprimez ceux qui ne réagissent pas parce qu’ils sont “enfants de Dieu” dans le vrai sens du terme.

Pollueurs de tout ce que vous touchez. Même votre regard est une source de contamination, humains qui êtes pleins d’appétits obscènes. Votre parole ne pense qu’à séduire comme le sifflement de votre père véritable : l’infernal Serpent. Votre pensée donne naissance à des œuvres qui sont un poison pour les esprits et les yeux, de sorte que la tentation de votre poison vient troubler les sentiments et réveiller les sens.

Vous êtes invertis dans vos sens. Cette caractéristique, fruit de siècles de vice, qui vous rend inférieurs aux bêtes, n’a jamais été aussi répandue qu’aujourd’hui. Et vous ne luttez pas contre elle, mais au contraire, parce que vous êtes dépravés, vous vous en réjouissez et vous l’exploitez même pour la bourse. Vous faites horreur même aux démons. Et je n’en dis pas plus par respect pour mon porte-parole.

Ceci engendre en vous l’idolâtrie de la sensualité et du pouvoir que vous pratiquez maintenant avec tant d’acharnement. Et vous Vous y abandonnez sans penser que vous serez punis pour elle et Pour ses fruits par celui qui voit.

Je ne suis pas un dieu de chair ou de glaise qui n’est pas toujours Présent ou qui n’a pas d’yeux pour voir. Je suis Celui qui est, qui est Partout, et du haut de mon trône, je scrute et note les œuvres des  êtres humains. Je suis celui qui a parlé pour vous dicter un comportement. J’ai dit ce que j’ai dit, et cela ne change pas au cours des millénaires qui s’écoulent. Je suis l’Éternel, le Dieu Unique. Je suis le Seigneur votre Dieu dont il n’y a pas de copie. Je suis Unique dans ma Très Sainte Trinité.

Maudits soient ceux qui ne s’occupent pas de moi et me répudient pour suivre la bête.”


Cahier de 1943 – Maria Valtorta


Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 La_voi10

**

Information à mes lecteurs  de mon absence , je reprendrai ce fil Vendredi 5 Juin
Que le Seigneur vous bénisse
  sunny
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Message par P12345 Lun 1 Juin 2015 - 10:25

Merci Maud !
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Message par Maud Ven 5 Juin 2015 - 7:21

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_10

Miséricorde de Dieu pour ceux qui tombent par embûche  ou par faiblesse    

Le 6 novembre

Jésus dit : (* 234)

Je sais que vous êtes faibles et que, tout autour de vous, il y a des pièges. Je le sais et j’en tiens compte en vous jugeant. Je ne serais plus un Dieu juste si je ne tenais pas compte de votre faiblesse et des œuvres du Malin.

Ce qui me rend sévère, c’est que bien des fois, ce n’est pas par faiblesse ou à cause d’un piège du démon que vous tombez. Vous tombez sciemment. Vous vous jetez délibérément dans le gouffre en vous disant : ‘Et que m’importe Dieu ?’. C’est alors que je vous appelle des ‘Judas’. Vous me vendez avec mon précieux Sang. Vous me livrez à Satan en lui donnant votre âme qui m’appartient, car je l’ai rachetée par ma mort. Vous me trahissez en vous disant chrétiens, mais en agissant comme des antichrétiens.

Judas aussi consomma l’Eucharistie, et c’est avec moi dans sa poitrine qu’il alla chercher l’argent du marché conclu et les mains contaminées par cet argent qu’il m’embrassa pour me signaler à l’ennemi. Judas vous fait horreur. Mais ne faites-vous pas la même chose, vous qui cherchez à exploiter votre position de chrétiens à des fins personnelles et qui ne servez pas les intérêts du Christ ? Vous les servez si peu que vous le laissez pour suivre le Séducteur.

Combien sera grande ma miséricorde envers ceux qui tombent tout en voulant le contraire et qui se repentent de leur chute ! Une, deux, dix, cent chutes sans malice ne blessent pas l’Amour à mort. Ce sont des égratignures réciproques que vos larmes et mon amour guérissent. Vous me dites : ‘Pitié, Seigneur’ et je vous dis : ‘Viens au Père, mon pauvre enfant’.

Vous demeurez mes enfants tant que l’amour n’est pas éteint en vous. Et c’est pour mes enfants blessés que j’ai donné mon Sang.. Soyez donc justes et compatissants les uns envers les autres comme je le suis avec vous. Efforcez-vous de me connaître et de m’aimer pour ne pas frustrer votre âme de son droit à la joie éternelle.

Remettez-vous dans la voie de la Vie. Mes commandements sont cette voie. Tâchez de les avoir à l’esprit au cours de votre journée. Si par la suite la faiblesse vous entraîne dans des erreurs légères, je vous assure que ce n’est pas une raison pour vous laisser abattre. Demain vous ferez mieux qu’aujourd’hui, et après-demain mieux que demain. Une plante pousse lentement. Chaque jour, une nouvelle petite racine, chaque jour une nouvelle feuille. Mais quand elle est grande, comme elle est belle ! Il en va de même pour la perfection, mes enfants. On la conquiert par degrés.

Mais que pensez-vous, que je donnerai une moindre récompense à celui qui n’a pas atteint son plus haut niveau du premier coup ? Non, au contraire. Entre celui qui fut saint par ma grâce et celui qui voulut l’être contre sa nature, je regarderai d’un œil doublement amoureux ce héros de l’amour. Il n’y a qu’une récompense éternelle : la vision de Dieu. Mais la première étreinte de l’union avec Dieu du combattant victorieux qui l’a emporté sur la chair, le monde et le démon, lesquels pendant toute sa vie auront démené en lui leur essence reptilienne, mille fois tronquée et mille fois ressuscitée, cette première étreinte aura l’intensité d’une extase particulière.

Je vous le dis. Croyez en moi, la Vérité. Comme il est urgent maintenant que vous ayez ce souvenir en vous ! Vous mourez parce que vous ne vous souvenez pas d’être chrétiens. Tournez-vous vers le Christ. La sagesse dit : ‘Celui qui se tournait vers ce signe était guéri, non pas par ce qu’il voyait, mais par toi, Sauveur de tous’.

Voilà, mes enfants. Vous ne guérissez pas de vos maux individuels et publiques parce que vous ne savez pas me voir. Les pratiques ne comptent pas, les représailles créent un plus vaste mal, les vengeances tuent celui qui les entreprend avant même celui qui les subit (*235), les abris tombent et ne vous protègent pas. Mais si vous veniez à moi, vous seriez sauvés. D’abord en cette vie et puis dans la vie de l’au-delà.

Je répète (*236) mon souhait. Que beaucoup d’actes d’adoration soient offerts à la Croix qui est le trône de la puissance de Jésus, votre Sauveur Comme le serpent élevé sur la croix avait le pouvoir de guérir les Hébreux, ainsi moi, l’Immortel, élevé sur la croix, j’aurai le pouvoir de mettre en fuite ce qui vous effraie et vous tourmente, car je suis le Seigneur de la vie et de la mort, et je puis restaurer la vie là où la mort menace déjà et vaincre la mort en rappelant à la vie.

Personne, sauf moi, ne peut faire cela. Satan peut vous donner tous les pouvoirs, mais pas celui de rappeler le mouvement vital. Au contraire, il vous apprend à briser les vies par haine envers le Donneur de la vie, lui qui pour vous nourrir, non seulement dans votre vie corporelle, pour laquelle il fait germer et mûrir le blé, mais surtout dans votre vie spirituelle, vous donne le Pain que les anges adorent, puisque c’est la Chair du Fils de Dieu. Il vous le donne en ne vous demandant en échange qu’amour et fidélité, même que, tel un saint Mendiant, il vous prie de l’accueillir en vous car d’être avec vous est sa joie.

En vous, ce Pain se transforme en Vie et en Grâce, se transforme en Santé, en Lumière, en Joie, en Sagesse. Vous devenez tout lorsque vous formez un tout avec le Fils de Dieu. La Parole du Père parle doucement en vous lorsqu’elle demeure en vous comme le cœur dans votre poitrine. Et c’est ma Parole qui préserve pour la vie éternelle ceux qui n’abjurent pas leur filiation surnaturelle.

Bienheureux ceux qui t’aiment, ô Pensée du Père que l’Amour fait Parole, non seulement aux heures de joie, mais qui te bénissent même avant la joie, même sous les nuages de l’ouragan, qui te bénissent, ô Lumière qui ne cesses jamais de resplendir. Bienheureux ceux qui savent te louer, les larmes aux yeux et la confiance au cœur, et qui restent sûrs de ta pitié. En vérité, je vous le dis : celui qui sait, par le plus bel acte de foi, espérer en Dieu alors que menacent les ténèbres, apportant le désespoir, celui-là connaîtra le Soleil éternel.

Le nombre des vrais croyants est petit, trop petit. En cette nuit d’impuissance sortie de l’enfer, les esprits malades tombent comme des feuilles pourries que le vent arrache. Leur poids les entraîne et, augmentant encore plus ce poids de la chair, Satan les tient très fort et les maintient dans leur aveuglement pour empêcher chez eux toute tentative d’élévation qui suffirait à les sauver. La peur, le découragement émoussent leur esprit, le vice les paralyse, le désespoir les consume. Ce sont des ruines qui tremblent pour rien devant des ombres et qui ne savent pas qu’ils devraient trembler devant eux-mêmes, meurtriers de leur propre immortalité.

Les églises se vident, les autels n’ont plus d’adorateurs, on ne cherche pas le Pain mystique, les mépris pour les enfants de la Lumière, plus que mépris, désir de les opprimer afin d’éteindre cette Lumière que les esprits malades détestent. Mais plus ils vous mépriseront et vous piétineront, ô chers enfants qui êtes ma lumière portée aux humains, et plus ce pauvre monde plongera dans les ténèbres. Le Crime et les crimes opposeront un mur et une barrière à la Lumière. Et sous ces lourds abris, l’humanité périra en une prison désespérée.

Vous pouvez bien repousser les signes que je vous envoie du Ciel et rire des avertissements célestes. Vous pouvez continuer à croire que tout vous est permis. Au moment où vous vous y attendrez le moins, je vous révélerai un signe devant lequel vous tomberez dans la terreur, et la colère que vous lancez contre les désarmés  retombera sur vous.

Ce signe, c’est moi. Lorsque j’apparaîtrai, non pas sur la terre — le temps n’est pas encore venu — mais spirituellement aux enfants de la colère et au père de l’extermination, vos armes et les siennes tomberont comme poussière quand tombe le vent. Et si, au lieu de malédictions, des prières étaient montées de la Terre, je serais déjà apparu et vous auriez été délivrés de vos terreurs, malheureux qui tremblez et ne venez pas à celui qui vous aime

C’est moi qui vaincs. C’est moi qui sais. Et cela me fait beaucoup de peine de vous voir courir par ci, par là comme des moutons effrayés, suivant les conseils les plus sots, obéissant à ceux qui, en plus que d’être sots, sont méchants. Je voudrais mourir une deuxième fois pour vous ouvrir les yeux de l’âme et faire de vous ce peuple saint, grand et glorieux que Dieu s’était proposé de faire lorsqu’il créa le premier Parent. Je voudrais vous créer une deuxième fois pour ne pas vous voir à ce point différents de ma pensée. Mais ce qui est, est.

Je parle à tous. Peu m’entendront. Encore moins me comprendront. On n’aime plus la sagesse, on ne la comprend plus. Mais à ses fidèles, la sagesse donnera toujours force et lumière sur la terre, salut et joie au-delà de la terre. Elle se donnera elle-même, et celui qui l’aura servie et méritée sera parmi les cent quarante-quatre mille dont parle Jean, et il possédera la Jérusalem sainte où se trouve le trône de la Sagesse qui s’immola pour se donner aux humains de bonne volonté.”


(*234) L’auteur ajoute au crayon : Chap. 15, se référant encore au livre de la Sagesse.
(*235 ) L’auteur note au bas de la page : (se réfère-t-il ici aussi au bombardement du Vatican cette nuit ?).
(*236 ) Déjà dans le texte du 23 octobre.

Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par l123 Ven 5 Juin 2015 - 7:55

"Que beaucoup d’actes d’adoration soient offerts à la Croix qui est le trône de la puissance de Jésus, votre Sauveur Comme le serpent élevé sur la croix avait le pouvoir de guérir les Hébreux, ainsi moi, l’Immortel, élevé sur la croix"

Quelqu'un aurait la signification de cette phrase  ?  "le serpent élevé sur la Croix"...  ça me parait diabolique, et quand on parle de la Croix, en général on fait allusion à notre Seigneur, alors que fait là cette expression ?

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Emmanuel Ven 5 Juin 2015 - 9:12

Bonjour @lucc

En fait, c'est une référence tout à fait évangélique rappelant le serpent d'airain qui fut élevé par Moise dans le désert, durant l'Exode. Celui-ci est une forme de préfiguration de la Rédemption du Christ. Cela est mentionné dans l'Évangile de Jean:

Le dimanche qui précède l'Élévation de la Croix, on lit le passage de l’Évangile de Jean 3,13-17. Jean y évoque un événement raconté dans l’Exode, où est préfiguré le mystère de l’élévation de la Croix. Les Juifs, ayant traversé la mer Rouge et marché longuement à travers le désert s’étaient découragés et murmuraient contre Moïse : « N’aurait-il pas mieux valu que nous restions en Égypte où, au moins, nous avions à manger, plutôt que de périr dans le désert ? » Dieu envoya alors la plaie des serpents : de toutes les pierres du désert jaillissaient des serpents vénéneux qui mordaient le peuple ingrat. Dieu dit à Moïse : « Fabrique un serpent d'airain, mets-le sur un bois et élève le bois. Quiconque regardera le serpent d'airain sera sauvé des serpents. » Moïse fabriqua le serpent d'airain, le mit sur un bois et l’éleva dans le désert ; et le peuple regarda le serpent d'airain avec foi, criant : « Seigneur, aie pitié ! » Tous ceux qui firent ainsi furent sauvés de la morsure des serpents. Jean voit dans cet événement de l’Ancienne Alliance la préfiguration du mystère de la Croix. C’est pourquoi il nous dit : « Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’Homme soit élevé », élevé sur la Croix, « afin que quiconque croit en Lui ait la vie éternelle ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89l%C3%A9vation_de_la_Croix

Fraternellement,

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Message par l123 Ven 5 Juin 2015 - 9:30

Merci Emmanuel, je ne connaissais pas. Bonne journée, ++ Luc

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Message par Maud Sam 6 Juin 2015 - 7:25

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_11


“Maintenant et à l’heure de notre mort” : prier la Vierge


Le 8 novembre

Jésus dit :

“ ‘Maintenant et à l’heure de notre mort’ : cette invocation fait pendant à ‘Délivrez-nous du mal’. Vous n’y pensez pas, mais c’est comme ça. Je vous ai donné une Mère outre un Père et, si vous demandez au Père d’être délivrés du mal, n’allez-vous pas dire à votre Mère de tenir éloignée la mort qui est un mal ?

Mais réfléchissez avec un esprit élevé en Dieu et demandez avec une intelligence d’enfants de Dieu. Vous ne devez pas tant vous préoccuper du mal et de la mort au sens humain de ces termes que du mal et de la mort au sens surnaturel, le plus vrai, car vous êtes maintenant revêtus d’un vêtement qui s’enlève, votre demeure actuelle est une demeure que l’on quitte; mais au-delà de ce jour vous attend un avenir où vous posséderez ce qui est votre part véritable.

Et malheur à vous si, par une volonté perverse, vous choisissez pour vous la part maudite. La Mort de l’esprit ne vient pas une seule fois pour l’âme. Elle rôde autour de vous pendant tout votre jour terrestre, car celui qui donne la mort ne laisse pas une minute de tendre des pièges à sa proie. Vous n’avez pas toujours la vigilance et la force qui rendent vaines les ruses de l’Ennemi. Votre faiblesse vous mène à la torpeur, vos appétits charnels suscitent des désirs de nourritures dans lesquelles vous trouvez la mort.

Mais vous avez une Mère au Ciel, une Mère qui voit sur vous le Sang de son Fils et qui, en raison de ce Sang, vous aime comme ses propres enfants. Une Mère puissante auprès de Dieu par sa triple condition de Fille, d’Épouse et de Mère de Dieu.

‘Maintenant’ : puisse Marie prier pour votre présent d’êtres humains, assiégé de tant de dangers. ‘Et à l’heure de la mort’ : puisse Marie prier pour vous en cet instant décisif de la vie. ‘Et à l’heure de la Mort’, c’est-à-dire quand votre esprit, frappé par le Mal, peut périr.

Marie est celle qui triomphe de Satan. La vraie Mort, celle de l’esprit, ne viendra pas pour ceux qui savent prier la Mère pour l’heure de leur vie, pour l’heure de la terre, pour l’heure de la tentation et pour l’heure de la Mort.

Comme à des enfants sous le voile de leur mère, la prière de Marie vous sert de bouclier contre l’ardeur des sens et du démon; elle vous fait grandir dans le Christ et entrer dans son Royaume. Et si le Christ peut faire renaître les morts à la Grâce, Marie, si on l’aime vraiment, empêche que la Mort ne vous sépare de son Fils.”

Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


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Marie confie nos souffrances à Son Fils
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Message par Luca Sam 6 Juin 2015 - 11:38

Bonjour Maud Coucou

Encore merci de partager avec nous les cahiers de Maria Valtorta. Ce sont de vraies pépites d'ors!

J'ai beaucoup aimée le dernier “Maintenant et à l’heure de notre mort” : prier la Vierge


Surtout quand sa parle de la mort. J'ai une belle vision de la mort pour ceux qui meurent avec l'âme pardonner. Mon oncle est décédé il y à 1 mois aujourd'hui et comme il avait que 55 ans et ils laisse derrière lui deux jeunes enfants beaucoup de ma famille se révolte et trouvent sa injuste de la part de Dieu. Avant qu'il meurt il étais en soins intensif alors que beaucoup on pleurer et on été très inquiet je ne l'étais pas. Ma plus grande inquiétude c'est qu'il ai peut-être mort sans se confesser. J'ai beaucoup prier pour qu'il puisse guérir de son cancer du foie, mais surtout et avec beaucoup plus d'importance que si la volonté de Dieu ai qu'il meurt, qu'il puisse se confesser avant ça mort. Qu'ainsi il puisse se présenter avec une belle âme en paix devant le Seigneur au jour de ça mort.

Si c'est le cas, et que le Seigneur lui accorde son Royaume dans les cieux. Lui, mon oncle connaîtra la vie! Et lui serra heureux et nous les malheureux qui restons encore ici bas vivant. Pas mal de gens de ma famille me reprochent de ne pas pleurer ou de na pas avoir l'air triste. Bien que c'est absolument triste, il laisse derrière lui une épouse avec deux enfants un jeune enfant de 10 ans et une jeune fille de 20 ans qui avait comme désir d'avoir son père à ses côté le jour de son mariage. Il laisse aussi une mère et ses frères et soeurs. Je vois ma grand mère, ma mère qui est sa soeurs pleurer très souvent. Donc oui c'est très dur et triste je le sent cette tristesse la, mais encore une fois si il est au Royaume de Dieu Alléluilia!

Dans ma famille on me reproche de ne pas pleurer ou de ne pas avoir l'air triste alors que si je le suis un peu, mais pour moi la mort c'est beau, bien sûr une personne décédé peu nous manquer. Ma vision de la mort reste la même pour tous, pour ma mère, pour moi même. J'ai pas peur de mourir, mais j'ai peur de mourir avec une âme noircis part mes erreurs. C'est pour sa qu'a chaque confession je me sent soulager, pleins d'amour et je me dit que la je peux mourir en paix.
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Message par Luca Sam 6 Juin 2015 - 11:45

Bien que j'ai beaucoup ce chapitre la, Maud. Malheureusement il y à certaines choses qui sont trop compliquer pour moi à comprendre. J'aimerait si tu as le temps et l'envie que tu puisse m'aider à comprendre certaines phrases. Si tu veut bien, surtout fait à ton aise.

- Mais réfléchissez avec un esprit élevé en Dieu et demandez avec une intelligence d’enfants de Dieu. Vous ne devez pas tant vous préoccuper du mal et de la mort au sens humain de ces termes que du mal et de la mort au sens surnaturel, le plus vrai, car vous êtes maintenant revêtus d’un vêtement qui s’enlève, votre demeure actuelle est une demeure que l’on quitte; mais au-delà de ce jour vous attend un avenir où vous posséderez ce qui est votre part véritable.

J'ai compris la première phrase, mais après sa j'ai du mal à comprendre.

- Et malheur à vous si, par une volonté perverse, vous choisissez pour vous la part maudite. La Mort de l’esprit ne vient pas une seule fois pour l’âme. Elle rôde autour de vous pendant tout votre jour terrestre, car celui qui donne la mort ne laisse pas une minute de tendre des pièges à sa proie. Vous n’avez pas toujours la vigilance et la force qui rendent vaines les ruses de l’Ennemi. Votre faiblesse vous mène à la torpeur, vos appétits charnels suscitent des désirs de nourritures dans lesquelles vous trouvez la mort.

Même si j'ai pas trop compris, ici. Il me semble qu'on parle de deux différent types de mort, non ? Il y à la mort ou l'âme meurt une deuxième fois, c'est à dire quelle périt en Enfer et puis il y à l'âme qui vie après la mort, c'est juste ?

- ‘Et à l’heure de la Mort’, c’est-à-dire quand votre esprit, frappé par le Mal, peut périr.

En fait je comprends pas, qui est le mal ?
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Message par Maud Sam 6 Juin 2015 - 20:36

Bonsoir @Luca  je suis heureuse de te lire  

Je te remercie vivement pour l'intérêt que tu portes à la lecture de ces  "Cahiers "   Laughing

Je suis désolée du décès de ton oncle que tu aimais et  qui rend ta famille si malheureuse  

J'espère de tout cœur  que son  âme était en Paix avec le Seigneur et qu'elle ait rejoint la Demeure de Notre Père  

Paix à son âme ! Prie

Ne sois pas troublé si tu n'as pas pleuré , la souffrance bien réelle reste souvent enfouie au fond de notre cœur  et est  parfois difficile à exprimer par des pleurs .


*

Luca , je vais essayer de répondre à tes questions

 Vous ne devez pas tant vous préoccuper du mal et de la mort au sens humain de ces termes que du mal et de la mort au sens surnaturel, le plus vrai, car vous êtes maintenant revêtus d’un vêtement qui s’enlève, votre demeure actuelle est une demeure que l’on quitte;  
La mort de la chair  est normale  , irrémédiable et dans l'ordre des choses  humaines

Nous laissons  notre corps  de chair sur cette terre  dans l'état où nous le quittons  parfois bien abimé par la maladie

Nous n'y pouvons plus rien pour lui .


mais au-delà de ce jour vous attend un avenir où vous posséderez ce qui est votre part véritable.  

Oui il s'agit de l'état de notre âme qui elle survit à la mort et où une autre vie l'attend

Mais laquelle ?

- Et malheur à vous si, par une volonté perverse, vous choisissez pour vous la part maudite. La Mort de l’esprit ne vient pas une seule fois pour l’âme. Elle rôde autour de vous pendant tout votre jour terrestre, car celui qui donne la mort ne laisse pas une minute de tendre des pièges à sa proie. Vous n’avez pas toujours la vigilance et la force qui rendent vaines les ruses de l’Ennemi. Votre faiblesse vous mène à la torpeur, vos appétits charnels suscitent des désirs de nourritures dans lesquelles vous trouvez la mort.  

Satan rôde atour de notre âme dès notre naissance et au fil du temps  de notre vie  , il ne cesse de nous  piéger et nous tenter  par toutes  sortes de plaisirs à satisfaire pour engluer  notre âme dans le pêché  qu'il saisit comme une proie  et nous rendant ignorant  de son avenir  et ainsi mourir et ne plus jamais voir  Dieu  

Car c'est l' Enfer et la Souffrance éternelle que Satan réserve à cette âme , avilie   à jamais  si nous acceptons  de le suivre  et parfois  sciemment en niant Dieu

Nous devons sans cesse pendant notre vie terrestre et si nous possédons la connaissance rester vigilant des ruses du Malin


Pour nous aider  , le Seigneur nous a offert les Sacrements ,

- La Confession  ,  pour garder notre âme pure  et réceptive  à l' entrée de la Lumière divine

- L'Eucharistie pour la Nourriture  de notre âme et la fortifier dans l' Amour



En fait je comprends pas, qui est le mal ?
Le Mal , Luca , c'est Satan et toutes ses tentations pour perdre notre âme


Nous possédons un très bon soutien et protection avec la Vierge Marie et demandons lui sans cesse assistance , car son plus cher Désir et d'amener  notre âme  au Ciel   sunny  


J'espère  ,Luca , avoir un peu répondu à tes questions
N'hésites pas à demander

Fraternellement
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Message par Maud Dim 7 Juin 2015 - 7:20

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_13


L’accroissement du mal prépare l’Antéchrist

Le 9 novembre

Jésus dit :

‘'Quelle paix ? Les fornications de ta mère Jézabel et ses nombreux empoisonnements existent toujours’ .

J’avais dit (*240) que pour obtenir une paix véritable, et non seulement une trêve dans la guerre, il fallait supprimer en vous tout ce qui est une fornication avec Satan. Je l’ai dit par la bouche de mes saints et je l’ai fait dire par ma Mère. Cela fait des décennies que je le répète et cela fait des décennies que vous vous entêtez dans la conduite opposée. Mes mots se sont faits plus pressants ces derniers temps. Mais vous n’avez pas changé. Au contraire, vous avez fait de votre fornication avec Satan votre mode de vie.

Vous faites passer tout avant Dieu. Et ce Dieu que vous invoquez au moment où vous avez peur est pour vous une Entité si lointaine, si inconnue, que vous ne devriez même plus l’invoquer ou blasphémer contre lui si vous étiez conséquents, tellement vous vous êtes éloignés de lui. En fait, vos invocations sont des blasphèmes parce que vous l’appelez avec des lèvres souillées, parce que vous l’invoquez pendant que vous êtes encore unis à Satan, parce que vous osez mêler son Nom très saint à vos projets criminels.

La paix a été promise aux humains de bonne volonté. Le Christ est venu apporter la Paix. Mais si vous chassez le Christ et si vous n’avez pas de bonne volonté, comment pourrez-vous avoir la paix ? Vous vous arrêtez parfois. Mais ce ne seront que des pauses entre un carnage et un autre pour donner le temps à vos esprits vendus à Satan d’apprendre de lui de nouvelles doctrines de mort et de nouveaux instruments de destruction.

Mort aux âmes et mort aux chairs. Destruction d’esprits et destruction  de choses. Votre croissance en Satan est impressionnante. Bientôt, vous aurez atteint la force de l’âge où il n’aura plus rien à vous enseigner, et alors l’Enfer pourra donner naissance à son enfant, l’Antéchrist, car les temps seront mûrs et les humains auront mérité de connaître l’horreur qui précède la fin.”

(*240 ) Dans la dictée du 15 août.

Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Paix_d10
Paix du Sauveur
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Message par Maud Lun 8 Juin 2015 - 7:29

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_14

La parabole du semeur appliquée aux méfaits du rationalisme      
Transformation de la douleur des victimes en joie éternelle

Le 10 novembre

Jésus dit :

“Même si on pourra faire la remarque que je me répète, je ne m’é¬carterai pas de mon propos. Les péchés des humains aussi se répè¬tent, malgré tous les avertissements, avec une monotonie décourageante. Au son de leur voix de faute, j’oppose ma voix de justice, pour qu’on ne dise pas que je n’ai pas parlé et qu’on ne m accuse pas de les avoir laissés dans l’erreur.

Depuis vingt siècles, ma voix répète les mêmes choses et on ne pourra pas porter une telle accusation contre moi. Mais les êtres humains, que ça arrange d’oublier ce qui condamne leurs méfaits, disent toujours qu’ils ne savaient pas telle ou telle chose. C’est une excuse qui les déshonore et les avilit, car elle est mensongère et parce que, tout en étant un mensonge, elle n’en reste pas moins une accusation contre leur intelligence imparfaite et leur mémoire trouée.

Comment ne pas se rappeler les enseignements mille fois répétés ? Vous vous rabaissez au-dessous des brutes qui apprennent ce que les humains leur enseignent. Vous, si orgueilleux, ne pensez-vous pas que c’est là une grande honte pour votre orgueil ?

Maria, écris une fois de plus l’explication de la parabole du semeur. Je vais te la dicter pour une catégorie spéciale de personnes dont l’erreur m’attriste. Erreur d’imprudence chez les uns, erreur d’orgueil chez les autres, erreur de révolte chez d’autres encore et de scandale dans une autre catégorie.

La parabole dit qu’une partie de la semence tomba sur le chemin et fut picotée par les oiseaux. La seconde partie tomba sur la pierre et prit racine, mais sécha en peu de temps par manque d’humidité. La troisième tomba dans les ronces et mourut étouffée. La quatrième tombée dans un bon terrain, fructifia à divers degrés.

La Parole de Dieu est semence de vie éternelle. Mais la Parole est entravée de toute part et par beaucoup de choses. Je laisse de côté toutes ces choses pour parler uniquement d’une d’entre elles, aussi meurtrière, je dirais, et peut-être plus, que le péché lui-même. Et que les petits esprits ne se scandalisent pas si je dis qu’elle est peut-être plus meurtrière que le péché : c’est la vérité.

Le pécheur dont l’esprit n’est pas rongé par le rationalisme a quatre-vingt-dix chances sur cent de savoir accueillir la Parole et de retrouver la Vie. Le rationaliste n’en a que dix, et même moins, de conserver sa capacité de salut par la Parole.

Le rationalisme est pire que les mauvaises herbes. Quand on verra son œuvre, au moment où on saura tout de la Terre et des humains, on pourra constater que cette hérésie a été la plus pernicieuse, car elle est la plus subtile et la plus pénétrante. Elle est comme un gaz. Vous l’absorbez et il vous tue, mais vous ne le voyez pas et vous n’en sentez pas l’odeur, ou bien, l’odeur en étant agréable, vous l’aspirez avec plaisir. Il en va de même pour le rationalisme.

Les grandes hérésies ont eu deux aspects positifs : d’abord, elles naquirent d’une foi. Erronée tant que vous voudrez, digne de condamnation, mais néanmoins une foi. Elles ont donc produit leurs martyrs, leurs larmes, leurs luttes pour s’affirmer, et des esprits droits les ont embellies au cours des siècles de lumières de sainteté dont la seule faute est d’avoir fleuri sur un mauvais arbre non greffé au Christ. Le deuxième aspect positif des hérésies, c’est le grand bruit qui se fit autour d’elles, de sorte que si l’on ne voulait pas y souscrire, on savait quoi faire. Les luttes mêmes avec l’Église et les états étaient un signal pour les catholiques et constituaient une frontière au-delà de laquelle on n’allait que sciemment.

Ceci manque au rationalisme et il pénètre inaperçu même là où l’on ne pense pas qu’il puisse entrer. Il s’insinue comme un serpent par mille ouvertures. Il se revêt d’apparences licites, admirables en fait, et agit sous leur couvert, mais contre elles.

C’est un virus. Quand on s’en rend compte, il s’est déjà répandu dans le sang et on s’en débarrasse difficilement.

La réaction du péché dans le rayon de ma Miséricorde est violente. Mais celle du rationalisme est nulle. Tel un miroir ardent, il rend la voie impraticable à la grâce et la repousse. Même qu’il s’en fait une ardeur nocive pour finir de se donner sa propre condamnation.

Le rationaliste met les choses de Dieu au service de ses fins, et non lui-même au service de Dieu. Il explique la Parole, il la plie et s’en sert à la lumière, pauvre lumière, de son esprit troublé et, comme un fou qui ne connaît plus la valeur des choses et des paroles il leur donne des significations qui ne peuvent venir que de quelqu’un que l’œuvre très rusée de Satan a rendu stérile.

Il y a rationalistes et rationalistes.

Je commencerai par les plus grands. Les ‘surhommes’. Les négateurs de Dieu. Ils veulent expliquer la création, le miracle, la divinité selon leurs concepts pleins d’orgueil humain.

Là où est l’orgueil, Dieu n’est pas. Soyez-en certains. Là où est l’orgueil, la Foi n’est pas. Satan y est, et Satan est le jongleur le plus habile à séduire les êtres humains et à leur faire croire que le Papier doré ramassé dans la boue est de l’or pur.

Ces négateurs de Dieu, qui croient s’abaisser en acceptant humblement ce qu’ils ne peuvent expliquer uniquement par leur capacité mentale et qui ont tué en eux-mêmes la capacité d’aimer, sont les géants du rationalisme.

Je ne suis pas en train de faire une conférence et je ne mentionne donc pas de noms. Vous pouvez les ajouter vous-mêmes. Pour moi, ce sont des astres éteints, réduits en poussière et précipités dans la boue. Ils n’ont plus de nom ou ils en ont un seul qui, le Jour de la Justice, sera gravé à chaud sur leur front arrogant et leur cœur plus sec que le silex. Ils passent en dévastant la vie. Ils sont pires qu’une avalanche et qu’un ouragan, pire que la démence, pire que la fièvre. Là où ils arrivent, ils tuent.

En eux, la Parole ne descend guère. Trop de choses en eux lui font obstacle. Ils forment une des catégories des ‘Morts de l’esprit’. Révoltés et scandaleux.

La deuxième catégorie comprend les gens cultivés sur le plan humain. Ils ne nient pas Dieu. Mais ils recouvrent d’une broussaille d’érudition humaine la simplicité divine, qui s’est faite telle pour que même les plus humbles puissent la comprendre à la lumière de l’amour. Ils s’en revêtent comme des paons orgueilleux de leur queue aux cent yeux, et comme des paons, ils ne sont beaux que par leur apparence : ils ne savent pas marcher dans la voie du Seigneur, ils ne savent pas chanter ses louanges.

Il leur manque l’amour qui est le nerf dans l’aile pour voler vers Dieu et la corde de la cithare pour le bénir. La Parole descend en eux et met racine. Mais ils la recouvrent d’une abondante frondaison et elle meurt étouffée sous les feuilles inutiles de leurs connaissances humaines.

Ça ne sert à rien de se fermer les yeux, Maria. C’est l’esprit qui voit, car, uni au mien, il en possède les admirables perceptions. C’est un don. Mais il est comme le don que me firent les soldats de Pilate pour me couronner roi : c’est un don qui blesse. Ce sont des épines. Ici, il y a des épines. Mais sois-leur fidèle : dans l’au-delà, ce seront des roses.
Vois outre les pleurs, outre les ténèbres, outre l’océan de douleur humaine, dont la vague te recouvre et t’imprègne  parce que la place de la victime est semblable à celle du brise-lames d’un port : elle subit la furie des tempêtes du large et la brise en se faisant briser —vois, outre l’horreur que le monde se crée, la terre de paix, l’aurore de joie, la vie d’extase qui t’attendent.

Au-delà de ce tourment, c’est ton Jésus qui t’attend. Au-delà de ces flammes, il y a la fraîcheur des jardins éternels. Là, tu n’auras plus faim, ni soif, tu n’éprouveras plus la fatigue et la douleur. Je serai fontaine et nourriture pour toi, je serai ton repos et ta joie. Tu te reposeras contre moi en m’entendant te dire que je t’aime et tu pourras me dire que tu m’aimes. Au-delà de cette pauvre vie, il y aura le véritable amour Pour l’instant, il y a la croix. Encore un peu de temps et je viendrai. Maintenant, écris pour les sourds de l’esprit.

Isaïe dit : ‘Où dois-je encore vous frapper si vous ajoutez d’autres prévarications ?’ Et il ajoute la description d’un corps torturé, qu’on a appliquée à moi à l’heure de la passion.
Mais ce n’est pas moi, c’est vous qui êtes dans un état lamentable à cause de vos péchés. Et si j’étais couvert de plaies et de contusions, je ne l’étais justement que parce qu’à ce moment-là, j’étais tel que vous êtes maintenant, parvenus à la maîtrise dans le péché.

Les œuvres de votre esprit (la tête) sont des œuvres malades. Votre pensée est bien difficilement droite. Corrompus et dévorés par la triple concupiscence, vous ne pouvez engendrer que des pensées malades. Vos actions et vos œuvres portent la marque de vos maladies mentales et spirituelles. Vos sentiments, qui jaillissent d’un cœur aussi malade que votre esprit, sont encore plus consumés par la luxure et l’orgueil.

Les appeler sentiments est impropre : ils sont encore moins que les sens, croyez-le, ô humains affamés de sensualité et d’égoïsme. L’amour n’est plus votre moteur. C’est l’intérêt, la satis¬faction, l’orgueil. Profanateurs de vous-mêmes, vous asservissez vos membres et vos organes à vos désirs malades.

Où est votre esprit ? Dans le charnier où pourrissent les choses qui  meurent. J’ai donné à votre esprit un si grand espace ! Mais vous, vous le dépravez en recherchant la prison et vous le pervertissez à des œuvres condamnables, et avec votre esprit, tout votre être. Vous vous ruinez l’un l’autre et il n’y a pas de baume pour vos plaies, car vous opprimez et tuez ceux qui vous donneraient ce baume.

Il vous arrive encore de venir à moi. Et pourquoi ? Pour me rendre complice de vos actions meurtrières ? Dieu ne se prête pas au meurtre. Venez-vous par crainte d’être tués ? Et alors pourquoi tuez-vous ? Cela ne sert à rien de me présenter des offrandes, alors qu’au-delà de la table pure, je vois ruisseler le sang de vos mains, la pourriture de vos cœurs et, par-dessus le murmure mensonger des prières, j’entends siffler les mauvaises pensées qui pullulent dans vos esprits.

Faux chrétiens, vous me faites horreur. Près de mon autel, vous me semblez des Judas.

Ce n’est pas en vendant son prochain, ce n’est pas en volant, ce n’est pas en tuant, ce n’est pas en mentant, ce n’est pas en forniquant, ce n’est pas en corrompant que l’on peut affirmer être de mes fidèles. Je vous ai dit avec mes dernières paroles de Maître et, même parmi  vous, celui qui est à l’agonie ne ment pas ce qu’il faut faire pour être de mes amis et avoir à ses côtés mon Père et le vôtre. Je vous ai dit d’être purs, bons, charitables, obéissants; je vous ai dit de croire à ma Parole et de suivre mes enseignements; je vous ai dit de rester unis à moi pour ne pas mourir.

Avez-vous fait cela ? Non. Et vous en mourez. Je détourne le regard de vous parce que vous êtes pour moi des disciples trompeurs. Et s’il est vrai que j’aurais voulu racheter même l’Iscariote, car je suis le tout aimant, il n’est pas moins vrai que, lorsque je le vis près de moi à la Table et au Jardin après qu’il eut conclu l’infâme marché, tout en moi a été soulevé de dégoût.

Je ne vous ferme pas les portes de la Vie et de la Paix. Mais au royaume de la Vie et de la Paix ne doivent pas circuler des êtres impurs. Plongez-vous dans les cuves bénies dans lesquelles la pourpre de mon Sang redonnera à vos étoles tachées leur blancheur éclatante. Plongez-vous dans les flammes de l’Amour en sacrifiant vos amours
obscènes à un amour qui vous rende dignes de votre origine et de votre but. Je me suis détruit pour me faire feu purificateur des péchés de l’humanité.

Ayez la volonté de ne pas pécher La volonté suffit. Moi qui vous aime divinement, je ferai le reste. Dites-vous : ‘Nous ne voulons pas pécher’. Et essayez de ne pas le faire.

Comme des malades atteints d’une terrible maladie, une fois celle-ci passée, vous verrez de jour en jour tomber la fièvre du mal et augmenter les forces de la santé. Vous reprendrez goût à ce qui est bon et profitable. La sérénité, que maintenant vous cherchez en vain dans vos divertissements obscènes et vos impitoyables occupations égoïstes, se remettra à couler en vous à travers la justice et la compassion que vous pratiquerez de nouveau. Le fait d’être bons, mes enfants, vous redonne une âme semblable à celle des enfants : confiante, joyeuse, légère, en paix.

Le royaume des Cieux, je l’ai dit, appartient à ceux qui se font semblables aux enfants.

Mais vous aurez un avant-goût de ce royaume bienheureux même sur la terre si vous venez au Père avec une âme redevenue innocente, puisque Dieu aime les enfants : devant une âme qui sait se faire enfant par amour pour lui et qui redevient pure, honnête, aimante, fidèle, il ouvre les écluses de la Miséricorde pour faire couler des torrents de grâces.

Le monde qui se meurt a besoin de ce bain de miséricorde pour laver toutes les souillures et tout le sang et pour se couvrir de biens pour les besoins de l’humanité.
Ce n’est pas la férocité qui donne pain et richesse. Croyez-le. Il manque à la férocité la bénédiction divine, et là où elle manque, même si vous semez le grain, il pousse de la ciguë, et si vous élevez des agneaux, ils se transforment en hyènes.

Non, mes enfants. Retournez au Seigneur et, une fois que vous serez rentrés dans sa demeure, Dieu répétera pour vous le miracle de la manne d’antan. Rien n’est impossible à Dieu et rien n’est impossible à l’être humain qui vit en Dieu.”

Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


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Le Royaume de Dieu- Demeure du Père
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mar 9 Juin 2015 - 7:16

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_15


Le rôle de l’Église à la fin des temps


Le 11 novembre

Jésus dit :  (*242)

“Poussons ensemble notre regard jusqu’aux temps qui, telle une aube paisible après une nuit de tempête, précéderont le Jour du Seigneur. Tu n’y seras plus. Mais du lieu de ton repos, tu en jouiras, parce que tu verras la fin prochaine du combat de l’être humain et l’atténuation de la douleur pour que les vivants aient le temps de se retremper en vue de la dernière, brève convulsion de la Terre, avant qu’on n’entende le commandement qui rassemblera tous ses vivants et tous les trépassés, depuis le temps d’Adam.

Je te l’ai déjà dit (*243 ). Mon Église aura son jour d’hosanna avant la dernière passion. Puis viendra l’éternel triomphe.

Les catholiques  et toute la planète connaîtra alors l’Église romaine, car l’Évangile retentira des pôles à l’équateur et la Parole, telle une bande d’amour, fera le tour de la planète les catholiques, sortis d’une lutte des plus féroces dont celle-ci n’est qu’un prélude, las de s’entretuer et de suivre des tyrans brutaux, insatiablement assoiffés de tueries et à la violence intolérable, se tourneront vers la Croix triomphante qu’ils auront retrouvée après un si long aveuglement. Par-dessus le vacarme des massacres et tout le sang, ils entendront la Voix qui aime et pardonne, et ils verront la Lumière, plus blanche que l’éclat du lys, descendre des Cieux pour leur montrer le chemin des Cieux.

Comme une marche de millions et de millions de tribus, les humains iront avec leur esprit vers le Christ et mettront leur confiance en l’unique entité de la Terre qui n’a aucune soif de domination et de vengeance.

C’est Rome qui parlera. Mais pas la Rome plus ou moins grande et durablement grande que peuvent obtenir des chefs de nations. Ce sera la Rome du Christ, celle qui a vaincu les Césars, les a vaincus sans armes, sans batailles, par la seule force de l’amour, avec une seule arme, la croix, avec un seul art oratoire, la prière. Ce sera la Rome des grands pontifes, laquelle, dans un monde assombri par les invasions des barbares et hébété par les destructions, a su conserver la civilisation et la propager parmi les populations barbares. Ce sera la Rome qui a tenu tête aux despotes et qui, par la bouche de ses saints anciens, a su prendre le parti des faibles et mettre l’aiguillon d’une punition spirituelle même en ceux qui, en apparence, étaient réfractaires à tout remords.

Vous êtes incapables, ô peuples divers, d’arriver à un accord durable entre vous. Vous avez tous les mêmes aspirations et les mêmes besoins et, tout comme sur les plateaux d’une balance, la bonne part de l’un pèse au détriment de l’autre. Vous vivez pour avoir la plus grande part et vous vous entre-tuez pour cela. C’est une alternance qui devient de plus en plus grave.

Écoutez la voix de celui qui n’a pas soif de dominer et qui veut régner, au nom de son Roi très saint, uniquement sur les esprits. Le jour viendra où, ayant perdu vos illusions sur les humains, vous vous tournerez vers celui qui est déjà plus un esprit qu’un homme et qui garde de son humanité juste ce qu’il faut pour vous persuader de sa présence. De sa bouche, que j’inspire, émanera une parole semblable à celle que je vous dirais, moi, prince de la paix. Il vous enseignera combien est précieuse la perle du pardon réciproque et vous convaincra qu’il n’y a pas de plus belles armes que le soc, qui fend la terre pour la rendre fertile, et la faux qui coupe l’herbe pour la rendre plus belle.

Il vous enseignera que la tâche la plus sainte est celle qu’on accomplit pour procurer du pain, un vêtement, un foyer à ses frères et sœurs, et que ce n’est qu’en vous aimant en frères et sœurs que vous ne connaîtrez plus le poison de haine et de torture des guerres.

Mes enfants, commencez votre marche vers la Lumière du Seigneur. N’avancez plus en chancelant dans les ténèbres profondes. Mes bien-aimés en tête de file, dominant toute crainte humaine puisque je suis avec vous, ô chéris de mon cœur, les autres, entraînés par l’exemple de mes saints, commencez ce nouvel Exode vers la Terre nouvelle que je vous promets et qui sera votre propre terre, mais transformée par l’amour chrétien.

Séparez-vous des idolâtres de Satan, du monde et de la chair. S& parez-vous-en sans mépris. Le mépris ne sert à rien. Il démolit et ne sert à rien. Mais séparez-vous-en pour ne pas être contaminés par eux. Aimez-les d’un amour de rédempteurs, en mettant entre eux et vous votre foi dans le Christ comme un rempart. Vous n’êtes pas assez forts pour vivre parmi eux sans danger. Trop de siècles de déchéance spirituelle toujours plus forte vous ont affaiblis. Imitez les premiers chrétiens. Sachez vivre dans le monde, mais isolés du monde en vertu de votre amour pour Dieu.

Et ne vous pliez jamais à prendre pour un surhomme le misérable être humain qui n’est guère différent des bêtes parce que, comme chez elles, la meilleure partie de lui-même est dans son instinct : la seule chose qui ne le rend pas pire qu’une bête. Le prophète dit : ‘Laissez donc l’homme qui a l’esprit dans les narines (*’244). Je veux que vous interprétiez cette phrase dans ce sens. L’animal dénué de respiration n’est rien d’autre qu’une dépouille immonde. Sa seule vie est dans sa respiration. Ses narines fermées à ce souffle, il cesse d’exister et devient une charogne.

Il y a beaucoup d’êtres humains qui ne sont guère supérieurs à animal, n’ayant d’autre vie que leur vie animale qui ne dure qu’aussi  longtemps que leur souffle. L’esprit est mort en eux, cet esprit qui est fait pour les Cieux. Il est donc juste d’affirmer qu’ils ont l’esprit de leurs narines et qu’il vaut mieux rester spirituellement à l’écart de ces humains-là, pour que l’haleine de Satan et de la bestialité qui émane d’eux n’entame pas votre humanité et ne la rende semblable à la leur.

Vous qui êtes bénis, priez pour eux. C’est ça la charité. Et c’est tout. Les paroles n’entrent pas dans ceux qui sont fermés à la Parole. Et ne croyez pas qu’il soit noble celui qui fulmine et souffle sa violence et son orgueil de ses narines comme un fauve enragé. Seul est noble celui en qui l’esprit est vivant et qui est donc fils de Dieu. Les autres ne sont que des choses misérables dont l’élévation factice est destinée à s’écrouler de façon spectaculaire et dont le souvenir ne survit que comme souvenir de scandale et d’horreur.”

(*242 ) L’auteur ajoute au crayon : Isaïe, chap. 2, v. 2-4.
(*243 ) Dans la dictée du 29 octobre.
(*244 ) L’auteur ajoute au crayon : Chap. 2, v.22.


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par c12345 Mar 9 Juin 2015 - 14:09

Oui c'est beau ce texte.
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par anlise Mar 9 Juin 2015 - 18:59

Luca a écrit:Bien que j'ai beaucoup ce chapitre la, Maud. Malheureusement il y à certaines choses qui sont trop compliquer pour moi à comprendre. J'aimerait si tu as le temps et l'envie que tu puisse m'aider à comprendre certaines phrases. Si tu veut bien, surtout fait à ton aise.

- Mais réfléchissez avec un esprit élevé en Dieu et demandez avec une intelligence d’enfants de Dieu. Vous ne devez pas tant vous préoccuper du mal et de la mort au sens humain de ces termes que du mal et de la mort au sens surnaturel, le plus vrai, car vous êtes maintenant revêtus d’un vêtement qui s’enlève, votre demeure actuelle est une demeure que l’on quitte; mais au-delà de ce jour vous attend un avenir où vous posséderez ce qui est votre part véritable.

J'ai compris la première phrase, mais après sa j'ai du mal à comprendre.

- Et malheur à vous si, par une volonté perverse, vous choisissez pour vous la part maudite. La Mort de l’esprit ne vient pas une seule fois pour l’âme. Elle rôde autour de vous pendant tout votre jour terrestre, car celui qui donne la mort ne laisse pas une minute de tendre des pièges à sa proie. Vous n’avez pas toujours la vigilance et la force qui rendent vaines les ruses de l’Ennemi. Votre faiblesse vous mène à la torpeur, vos appétits charnels suscitent des désirs de nourritures dans lesquelles vous trouvez la mort.

Même si j'ai pas trop compris, ici. Il me semble qu'on parle de deux différent types de mort, non ? Il y à la mort ou l'âme meurt une deuxième fois, c'est à dire quelle périt en Enfer et puis il y à l'âme qui vie après la mort, c'est juste ?

- ‘Et à l’heure de la Mort’, c’est-à-dire quand votre esprit, frappé par le Mal, peut périr.

En fait je comprends pas, qui est le mal ?


Tout d'abord, bonsoir LUCA et toute mes condoléances,
je vais essayer de répondre à votre question adressée à Maud, aux phrases en gras, sur la question de plusieurs mort.

La mort de l'âme, de l'esprit : c'est quand on commet un péché mortel ça tue notre âme, la mort de l'esprit ne vient pas une seule fois dans l'âme. Effectivement, par une volonté perverse, une mauvaise volonté dominante, on peut perdre l'âme à répétition, c'est à dire plusieurs fois répéter les même péché et ceci chaque fois que nous faisons un péché mortel (tuer, adultère volontaire et etc.) et enfin la mort du corps, de la chair de l'enveloppe charnel que nous portons.

Donc, il faut être fort, et avoir une forte volonté pour ne pas recommencer, car si on arrive à la mort du corps de la chair sans s'être remis dans les mains de Dieu, accompagner d'une vraie repentance et d'un vrai pardon, on se trouvera au dernier jour de sa vie en difficulté devant l'éternel. (voir l'enfer) Tant que nous sommes sur terre, nous pouvons être racheté.


Le mal et la mort surnaturelle est plus vrai, car l'esprit, l'âme demeure éternellement et le corps périt dans la poussière c'est la deuxième mort (mort naturel, humain).
On peut avoir fait plusieurs péchés mortels mais avoir une véritable repentance, Dieu pardonne de nouveau et laisse une chance de reprendre la vie avec Lui.

Voilà, nous devons pas tellement nous préoccuper du mal : souffrir et de la mort humain qui est dû à toute individu, mais se préoccuper de l'état de son âme (cœur aimant charitable ) en vue de la vie éternel et fuir la mort éternel.
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Message par c12345 Mer 10 Juin 2015 - 1:37

D'après vous autres un viol est-ce un péché mortel ou véniel
Quelqu'un a commis ce geste s'il meurt sans l'avoir confessé va t'il en enfer ou au purgatoire?
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mer 10 Juin 2015 - 7:35

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 12 Maria_16

La dernière bataille


Le 12 novembre
Isaïe 4, 2-6

Jésus dit :

“Lorsque viendra le temps de mon Royaume de paix et il viendra, car je l’ai promis et je ne manque jamais à mes promesses les bons de la terre viendront tous à moi. Ce sera la période dont je t’ai parlé (*245), la période dans laquelle l’esprit aura atteint ce niveau d’évolution en vertu de laquelle vous vous diviserez spontanément en deux groupes. Ceux qui vivent en dehors de l’esprit demeureront dans leurs ténèbres en attendant de former les milices du Prince du mal. Ceux qui vivent dans l’esprit viendront à la suite du saint Fils de Dieu, du Germe du Seigneur, aimé et béni par les humains dans la grâce qui comprendront alors ce qui maintenant n’est compris que par un petit nombre d’élus, et ils sauront quelle est ma gloire et leur gloire d’enfants de Dieu.

Je rassemblerai mes saints, car est saint celui qui m’aime et me suit, obéissant et fidèle. Je les rassemblerai des quatre coins de la Terre. Et par amour pour eux, je pardonnerai les iniquités des humains. La bonté des saints éteindra la rigueur de la Justice, et mon amour et celui des saints purifieront la Terre de leur feu. La Terre, en paix avec elle-même et avec son Dieu, sera comme un grand autel, et sur cet autel, le Maître instruira les humains dans la connaissance exacte de la Vérité, pour que les bons ne vacillent point quand Satan, furieux de voir le Christ adoré par l’humanité, se déchaînera dans la dernière bataille.

Lutte d’esprit contre esprit. Satan opposera à mon Royaume spirituel et à mon enseignement sa guerre satanique aux esprits pour en détourner le plus possible, les plus faibles, et de ses réserves, de ses forteresses, où se trouvent ceux qui lui sont restés fidèles, même après la défaite de la Bête et de son ministre, il tirera ses agents de séduction pour ruiner une dernière fois l’œuvre de Dieu, dont la ruine commença au pied de l’arbre du Bien et du Mal.

L’époque satanique sera trois fois plus féroce que l’époque antichrétienne. Mais elle sera brève, car pour les vivants de cette heure-là prieront toute l’Église triomphante au milieu des lumières du Ciel, toute l’Église du Purgatoire dans les flammes purificatrices de l’amour toute l’Église militante avec le sang de ses derniers martyrs.

Pendant que les ténèbres et l’ardeur, que les tempêtes et les foudres de Satan bouleverseront le monde, ceux qui sauront rester à l’ombre du tabernacle dont jaillit toute force seront sauvés, car je suis la Force des vivants, et celui qui se nourrit de moi avec foi et amour ne fera qu’un avec ma Force. Mais ils seront peu nombreux à être sauvés, parce qu’après des siècles et des siècles de mon amour pour l’être humain, l’être humain n’a pas appris à aimer.

Mais personne ne pourra m’accuser s’il se perd (*246 ). Que pouvais-je faire de plus, ô enfants de Dieu qui avez préféré errer loin de la maison du Père et parfois vendre votre progéniture divine à l’Ennemi de Dieu ? Ne me dites pas que moi qui suis puissant, j’aurais pu empêcher que le Mal ne vous fasse tomber dans ses pièges et que j’aurais pu vous faire bons de mon propre chef. Vous auriez alors eu moins de mérite qu’un brin d’herbe que le pied piétine sans même le sentir, car l’herbe naît de la semence, obéissant au décret de Dieu.

Elle naît et pousse par elle-même. Et elle ne reçoit même pas la moindre partie des soins que vous recevez du Très-Haut. Au brin d’herbe, Dieu donne le soleil et la rosée, et une motte de terre. Vous, vous avez l’intellect pour vous conduire, la Grâce pour vous éclairer, la Loi pour régler votre conduite, moi pour Maître, mon sang pour vous sauver.

Je vous ai tout donné et vous m’avez donné si peu, de moins en moins ! Je me suis occupé de vous avec la patience de Dieu et vous n vous êtes toujours révoltés contre moi. Les moins coupables furent toujours des paresseux. Vous avez toujours eu peur d’en faire trop pour votre Dieu qui a tout fait pour vous.

Voilà pourquoi vous viennent les châtiments. Ce sont encore des rappels de l’amour pour vous persuader qu’il y a un Dieu et que les autres dieux que vous servez avec une fidélité que vous me refusez ne peuvent vous donner que fausses promesses et mal certain. De punition en punition, augmentée à mesure que vous augmentez votre idolâtrie et votre fornication, j’en arrive aux grands châtiments, et celui-ci est un de ceux-là, de sorte que toute la vigne, et non seulement une rangée, est envahie, bouleversée et dévastée par celui que vous servez et que je laisse vous persuader de ses dons de mort.

C’est pour cela que je vous dis : ‘Venez à Dieu, appelez Dieu avec un cœur et une pensée vrais, et Dieu se montrera à l’horizon ensanglanté et Satan le bourreau fuira, vous laissant libres.

Mais vous n’appelez pas Dieu. Il vous suffit de vous occuper a tirer du mal commun un bien individuel : augmenter vos richesses, saisir des pouvoirs toujours plus grands, jouir, jouir. Vous ne vous occupez pas de ceux qui souffrent, les meilleurs. De Dieu, encore moins. Au contraire, vous vous élevez contre lui et le défiez, osant l’appeler, ô blasphémateurs, pour valider vos actions et vos pensées sataniques. Vous le défiez de se montrer puisque vous dites : ‘Il n’y a pas de Dieu. Dieu, c’est nous’. Sur votre langue maudite et sur votre âme vendue, Satan accumule déjà les braises infernales et je les allume de ma fureur.

Je vous maudis d’ores et déjà, serpents à l’habit d’humains, et si vous tenez les excommunications de mes saints et la réprobation de mes justes pour une plume de moineau qui ne fait aucun mal quand elle vous tombe dessus puisque vous possédez un cœur de granit ma malédiction pénétrera en vous pour vous tourmenter, car je suis celui qui ouvre les vallées en fendant les montagnes, qui sépare les mers et secoue la terre avec le pouvoir de ma pensée, et je peux pénétrer le silex de votre cœur et l’effriter comme si c’était une bulle fragile de verre soufflé.

Profanateurs, menteurs, êtres iniques, soyez maudits pour tout le mal que vous faites, pour toutes les âmes que vous poussez à désespérer de la bonté de Dieu, que vous corrompez par votre exemple et que vous me volez en les ruinant par tous les moyens. Mais n’ayez crainte. Tout comme je serai juste et compatissant envers les faibles que vous avez pliés au mal par votre force, je serai aussi juste et inexorable envers vous. Dès maintenant sur cette terre. Votre pouvoir, vos richesses volées, distillées de la douleur de milliers de personnes, s’évanouiront de vos mains comme la fumée de la paille qu’on brûle parce que trop sale pour être gardée. Et rien ne pourra vous défendre, vous qui avez dépassé la mesure.

Que celui qui a des oreilles pour entendre entende. On ne lève pas une main tachée de sang contre la blancheur du Saint qui parle au nom du Saint des Saints et contre le Sanctuaire qui est plus élevé que le temple de Jérusalem, car ses fondations, avant même d’être commencées, furent baptisées avec le sang de mes héros, et ses pierres ont reçu les rosées de pourpre d’innombrables martyrs. En lui se trouve le lit où repose, en attendant de ressusciter aux côtés de son Maître, la chair de la Pierre que j’ai choisie. Et je vous jure que ce lieu est beaucoup plus saint que ne l’était le Temple de Salomon et, aux profanateurs de ce lieu, qui est déjà le Paradis comprenez-en vous-mêmes la raison il arrivera ce qui arriva à tous ceux qui défièrent la gloire du Seigneur.”

(*245) Dans un grand nombre de dictées. Par exemple, il est question de cette “séparation spontanée” dans les textes des 21 et 22 août et du 28 octobre.
(*246 ) Sur la même ligne, l’auteur note au crayon : Chap. 5, 1-29.


Cahiers de 1943- Maria Valtorta


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Message par myrdhin Mer 10 Juin 2015 - 8:45

Merci MAUD pour toutes ces paroles dictées à Maria Valtorta...

Et pourtant j'ai trouvé des articles où ces dictées sont controversées.

L'Eglise s'est penchée sur tous ces textes et n'a pas trouvé d'inexactitude
par rapport aux écritures.

Jean Paul II par exemple ? Qu'en a-t-il dit ?
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Message par Emmanuel Mer 10 Juin 2015 - 9:01

Bonjour @myrdhin,

Pour respecter le thème de ce fil, je vous encourage à vous rediriger ici pour plus d'informations:

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t13038-les-merveilleux-volumes-de-l-evangile-tel-qu-il-m-a-ete-revele#138957

Amicalement,

Emmanuel
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