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Etudes Critiques du Bouddhisme

5 participants

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Message par Lotfi Mar 11 Mar 2014 - 23:31

Etudes Critiques  du Bouddhisme 48121ae7741efd70e42b68e6a61b929a

Par Bernard Faure–Professeur d’Histoire des Religions–Université de Stanford, Californie


« Les divinités courroucées du bouddhisme tibétain et mongol relèvent d’une violence symbolique dont on peut se demander si elle constitue le retour du refoulé, un exutoire à la violence réelle, ou au contraire son reflet, voire sa cause profonde.

Il faut bien avouer qu’au cours de son histoire mouvementée, le bouddhisme a bien souvent été du côté du manche. Car avec ses pouvoirs occultes, sa magie noire, il dispose d’armes surhumaines capables de détruire les démons. Qui sont les démons ? [...] Dans chaque camp, des prêtres tantriques ourdissent des sorts.

Bien sûr il faut choisir le camp de l’opprimé. Mais à long terme toute cette béatification aura des effets négatifs, quand on s’apercevra que le bouddhisme d’Hollywood est un mythe. »


Le bouddhisme bénéficie en Occident, fallacieusement, d’une aura de respect et de déférence, ceci participant de son image de non-violence, de sagesse et de sainteté, image qui est pourtant bien loin de correspondre à la réalité des faits. L’histoire démontre ainsi que le bouddhisme, loin d’avoir été la douce et bienfaisante école diffusant les préceptes du Bouddha (l’Eveillé), fut une entreprise qui ne dérogea pas à la règle commune de toutes les institutions religieuses mondaines, et épousa, avec un enthousiasme certain qui se traduira par des exactions sanguinaires, les thèmes les plus éculés de l’agressivité guerrière et belliqueuse, et, sous prétexte d’une ouverture « non-dualiste » à l’ensemble de la réalité phénoménale, se livra avec délectation au jeu pervers des déviations sexuelles outrées issues des reliquats des anciens cultes issus directement des tendances déviées du chamanisme.

Le bouddhisme tibétain est assez représentatif de cette attitude, ses différentes tendances ayant toujours exercé un pouvoir s’imposant comme une théocratie relativement oppressive et contraignante pendant des siècles. En effet, le Tibet fut soumis à un régime exclusif de servage exercé par les propriétaires terriens nobles, fonctionnaires et moines " bouddhistes ", servage souvent très oppressif : « Dans le Tibet, les prêtres détiennent la toute puissance, il s’agit d’une théocratie authentique où les pouvoirs absolus sont entre les mains d’un dieu réincarné. Les lamas ne sont plus seulement les juges, les instituteurs et les médecins, ils sont encore les plus riches propriétaires fonciers, les chefs politiques; outre les revenus qu’ils retirent des fermiers, ils exigent cadeaux et monnaies pour toute visite rituelle, toute bénédiction, toute cérémonie, la simonie est une loi rigoureusement appliquée…. » (R. Loup, Martyr au Tibet, Fribourg, 1950) .

De son côté, dans « Visa pour le Tibet », Alan Winnington parlera du lamaïsme comme d’une « religion mécanique » considérant le travail des classes laborieuses comme dû par simple obligation naturelle à l’égard des moines qui n’hésitèrent nullement à s’allier aux nobles pour les exploiter d’une manière scandaleuse. Son constat sur l’état de pauvreté indigente de la majorité des laïcs est frappant.

Les châtiments corporels étaient d’une barbarie primaire, sachant que, du début du dix-septième siècle jusqu’au sein du dix-huitième siècle, les écoles rivales (Nyingmapa, Sakyapa, Kagyupa, Guélugpa) se livrèrent à des affrontements armés et à des exécutions sommaires d’une rare férocité, ce qui n’est pas sans quelques rapports avec l’univers spirituel du panthéon bouddhique, fleurissant de divinités plus terrifiantes et courroucées que franchement paisibles, images destinées à frapper l’imaginaire des fidèles, courbant l’échine devant une religion médiévale chargée d’un paganisme idolâtre exaltant les éléments naturels et les forces intermédiaires (esprits, puissances, etc), usant et abusant de la sorcellerie, ployant devant des superstitions ridicules, et surtout sollicités dans l’observance des préceptes en raison de leur « bienveillance matérielle », sonnante et trébuchante (au sens propre et figuré) à l’égard des religieux.

Il apparaît ainsi, que loin d’avoir été le royaume idéal consacré à « l’Eveil » selon les caduques images d’Epinal, le Tibet vécu dans l’oppression obscurantiste d’une religion théocratique se distinguant par un cléricalisme infiniment supérieur aux pires égarements du christianisme ; n’oublions pas que dès le treizième siècle l’Empereur Kublai Khan créa le premier Grand Lama qui devait présider tous les autres lamas à l’instar d’un pape qui préside ses évêques. Plusieurs siècles plus tard, l’Empereur de Chine envoya une armée au Tibet pour soutenir le Grand Lama, un homme ambitieux de 25 ans, qui s’était alors donné le titre de Dalaï (Océan) lama, dirigeant l’ensemble du pays (ce n’est d’ailleurs pas une mince ironie de l’histoire que de constater que le premier Dalaï-lama fut installé par une armée chinoise…).

Pour élever son autorité, le premier Dalaï-lama saisira les monastères qui n’appartenaient pas à sa secte, et détruisit même les écritures bouddhistes qui étaient en désaccord avec sa revendication à la divinité.

Le Dalaï-lama qui lui succéda poursuivit une vie sybaritique, jouissant de la compagnie de maîtresses licencieuses excitées par les pratiques tantriques les plus « endiablées », faisant la fête et agissant d’une manière peu conforme à une divinité incarnée. Pour cela, ce que nous cachent les pieuses hagiographies des ignorants bouddhistes occidentaux, il fut éliminé par ses prêtres. D’ailleurs durant 170 ans, malgré leur statut reconnu de « dieux », cinq Dalaï-lama furent assassinés par leurs grands prêtres ou par d’autres courtisans !

De leur côté, loin d’être en reste vis-à-vis de leurs homologues tibétains, nombre des maîtres bouddhistes zen, ne se sont pas contentés d’être des complices muets du pouvoir impérialiste japonais pendant des siècles, mais sont devenus, particulièrement à compter de l’ère Meiji (XIXe) des idéologues ardents de la politique nationaliste, encourageant et légitimant la guerre et les exactions au nom, précisément, du bouddhisme.

Comme l’écrivit un enseignant zen américain, l’ouvrage de Brian Victoria, « Zen en guerre » (universitaire d’origine néo-zélandaise, devenu moine dans la tradition Zen, décrivant dans son livre avec précision l’implication des structures bouddhiques dans la politique expansionniste et militaire japonaise entre les années 1894-1945), abondamment documenté, fit l’effet « d’un missile à longue portée lancé depuis l’autre côté du monde qui touche en plein cœur les communautés zen occidentales ».

Ceux-là mêmes (pratiquants zenistes plutôt « alter-mondialistes » héritiers des valeurs de 68) qui croyaient, naïvement, le bouddhisme indemne des débordements du fanatisme religieux découvrent, avec frisson, que les écoles zen (Soto shû, Rinzaï shû, Nichiren shû, etc.), lorsqu’elles ne priaient pas pour la gloire de l’empereur et du Japon, préparaient leurs fidèles à la guerre totale. Ce livre courageux est à lire impérativement par tous ceux qui s’intéressent à l’histoire du bouddhisme extrême-oriental ainsi qu’à ses dérives. Bénédiction des drapeaux, croisade pour la défense de la civilisation, théories suspectes de la guerre juste, on croyait ces images et ces thèmes réservés à l’Occident ; or les « dits » maîtres de « l’illumination » ont démontré sur ce sujet un zèle incroyable dans l’exaltation de la guerre génocidaire (Mandchourie, Corée, etc.), du meurtre systématique, du terrorisme et de la violence sous couvert d’indifférente impassibilité.

La compassion bouddhiste, bien loin de protéger l’Asie de pareilles dérives, participa à la mise en œuvre d’une idéologie guerrière au service d’un pouvoir agressif et ultra-impérialiste. Les plus grands maîtres (Kôdô Sawaki, Yamada Reirin, Hitane Jôzan), jusqu’au célèbre D. T. Suzuki, ont légitimé l’alliance entre le sabre et le Zen. Collecte de fonds pour l’effort de guerre, cérémonies spéciales pour l’obtention de la victoire, création de centres d’instruction, activités de renseignement, endoctrinement des populations, cette collusion n’a pas cessé en 1945, elle s’est métamorphosée dans le fameux « Zen d’entreprise », du Japon en plein essor.

Le pouvoir impérial a réussi à fabriquer de toutes pièces, avec la complicité des maîtres de sagesse, une « âme du Japon éternel » inquiétante. L’Occident n’est donc pas seul, loin de là, à porter la lourde tâche d’une impérative interrogation sérieuse des origines et de la nature des déviances totalitaires du siècle venant de s’écouler.

Mais le plus grave est sans aucun doute l’énorme tromperie spirituelle que représente cette prétendue philosophie de sagesse qu’est le bouddhisme. Entouré d’un prestige tenant à la méconnaissance des occidentaux à l’égard de ses sources réelles, le bouddhisme est d’une nature bien différente des stupides clichés pour touristes fatigués et dépressifs en mal d’exotisme qui nous sont généreusement octroyés depuis des décennies par de nombreux canaux (livres, journaux, revues, télés, films, etc.), sans compter sur le soutien indirect, mais cependant fort actif et utile, des tenants de la « Tradition » à la mode guénono-schuonienne qui nous chantent sur un air usé jusqu’à la corde qui est devenu aujourd’hui risible, le lassant et mensonger refrain de « l’unité transcendante des religions ».

A ce titre, fort instructive est l’histoire de June Campbell qu’elle a racontée dans un livre émouvant paru en 1996 sous le titre Traveller in Space: Gender, Identity and Tibetan Buddhism [Voyageur de l’espace : sexe, identité et bouddhisme tibétain], June Campbell qui joua un rôle important auprès d’un maître extrêmement vénéré du bouddhisme tibétain puisqu’elle fut l’interprète du célèbre Kalou Rinpoché. Etant directement à son service, elle ne souffrait pas de la pression des échelons intermédiaires souvent très perceptible et dérangeante dans ces écoles, et était donc dans des conditions parfaites pour faire un « beau voyage spirituel » au service de ce très digne moine.

Cependant, il lui fallut, raconte-t-elle dans son livre, accepter les relations sexuelles que le maître exigea d’elle ( il était un « chaste » moine portant la robe et visiblement astreint à leurs voeux), puis les relations sexuelles avec l’un de ses proches, un parent à lui, c’est à dire sans doute une forme courante de la polyandrie répandue dans les cultures himalayennes. Enfin une deuxième maîtresse, beaucoup plus jeune évidemment et aux charmes « spirituels » supérieurs, fut introduite dans l’intimité des deux hommes et June dut accepter la nouvelle venue (qui mourut d’ailleurs prématurément sans doute en raison de quelques excessives "ascèses " sexuelles).

A l’issue de l’expérience, c’est à dire après la mort du vénérable Kalou, June mit près de quatorze années avant de pouvoir se résoudre à raconter son histoire. Et ce n’est pas un merveilleux voyage qu’elle raconte, mais l’histoire d’un douloureuse souffrance. Les deux hommes ayant exigé d’elle l’absolu secret sur ces relations qui auraient terni l’image du maître si elles étaient venues à la connaissance des disciples ; June se sentit, selon ses mots, « abused » (abusée, flouée, trompée), et mit longtemps pour se reconstruire.

Rappelons pour les moins avertis, que le fameux Kalou Rinpoché était sans doute le moine le plus réputé en Occident dans son école. Il était, et est reconnu comme un véritable « bodhisattva », beaucoup d’occidentaux « abusés », et non des moindres, s’étant mis à l’école de ce maître tantrique dispensant les fondements du Vajrayana. Le voyage de sa disciple fut cependant décevant, et on imagine sans peine ce que cela doit être que de suivre aveuglément des maîtres encore moins accomplis, de moindre exigence ou de moindre expérience.

On remarquera, alors que des milliers d’occidentaux en rupture avec leur propre tradition, ne se signant jamais lorsqu’ils rentrent dans une église, ne récitant aucune prière chrétienne, totalement étrangers aux fondements doctrinaux du christianisme, vivants leurs existences comme des athées stupides, se précipitent sans discernement aucun aux pieds du moindre lama aviné et libidineux, (parfois de jeunes enfants incultes ou des adolescents boutonneux beaucoup plus intéressés par les mœurs « engageantes » des jeunes dévotes européennes pour le « coup » (sic) authentiquement « libérées », ou des lucioles de la société marchande ), et que ce type de dérives tantriques qui conduisent, sous prétexte de libération spirituelle, à des situations psychologiques tragiques, n’est pas sans faire écho à ce qui se produisit par exemple dès les années 30 pour Jean Marquès Rivière, qui travaillait pour le journal Le Voile d’Isis dans lequel publiait l’élite occultiste de l’Europe et dont l’un des rédacteurs principaux était René Guénon, qui accomplira un rituel tantrique (« avec du sang et de l’alcool »), qui le laissa possédé par une déité tibétaine. Ce fut seulement par l’intervention d’un exorciste catholique qu’il put être libéré de la possession, faisant que par gratitude il se convertit au christianisme.


Etudes Critiques  du Bouddhisme 0803-thailande
Sacs contenant des fœtus, retrouvés en 2009 dans la morgue d’un temple bouddhiste de Bangkok, où ils étaient stockés par des cliniques d’avortement illégales, avant d’être incinérés. (AFP)  Crying 1 

Kalou Rinpoché disait, sans doute pour consoler June Campbell et ses multiples maîtresses de passage, qu’il n’y a aucun mal dans le désir, qu’au contraire il est « de la nature de la félicité » et se présente comme tel lorsqu’il est reconnu dans son essence « non-duelle ». Encore une fois, est démontrée ici de façon patente, l’inexactitude totale de ces fausses théories prétendument « non-duelles » mais foncièrement sexualisées et travaillées par l’exaltation malsaine des désirs les plus triviaux, dominées par les pulsions grégaires de l’humaine condition, théories païennes oublieuses de ce qu’il en est de la nature profondément « désorientée » de l’homme depuis la rupture adamique, et en quoi le rêve d’une « pseudo libération », que l’on peut aisément qualifier de rigoureusement pélagien dans ses vues (ce qui peut d’ailleurs se dire de toutes les voies orientales globalement), s’appuyant sur des techniques forcément limitées (mantras, mudras, visualisations, etc.) et des conceptions faussées, est un rêve imaginaire qui se paye très chèrement et se conclut, généralement, par d’amères désillusions et des abîmes de déréliction.

Le bouddhisme, qui sous couvert d’apprentissage d’innocentes techniques méditatives dont l’Occident aurait perdu la pratique selon les ridicules et absurdes thèses guénoniennes, alors même que l’on sait qu’il n’est jamais anodin de se livrer à des exercices qui véhiculent clairement des influences spirituelles bien définies et à l’évidence douteuses puisque sous-tendues par des principes contraires à l’enseignement des Ecritures, rien n’étant jamais « neutre » dans ces domaines contrairement à ce que l’on veut faire croire aux esprits crédules, le bouddhisme donc, dans ses différentes versions (Tibet, Japon, Chine, Corée), doit être de ce fait dénoncé pour ce qu’il est, c’est-à-dire un piège dangereux pour un chrétien, une voie sans issue à éviter, un itinéraire moralement périlleux pour une âme véritablement en quête de la Vérité, un cheminement incompatible avec les saintes lumières de la Révélation.

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Message par Joël2013 Mer 12 Mar 2014 - 14:18

Oui, Lotfi, c'est assez effrayant ! Et on voit bien que le péché est de partout sur la terre !
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Message par Invité Mer 12 Mar 2014 - 14:25

merci pour cette article qui éclairci bien les choses

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Message par sainttenma Jeu 13 Mar 2014 - 9:36

Il existe un livre gratuit écrit par un specialiste du bouddhisme qui traite de ce sujet, "quand le bouddha ne sourit plus", la bibliographie est instructive...

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Message par sainttenma Jeu 13 Mar 2014 - 9:39

De marc bosche...
Une lecture édifiante sur les communautés en france.
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Message par Desiderius Ulixes Dim 29 Oct 2023 - 9:02

Pour ne pas bouder la critique !

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Message par Desiderius Ulixes Dim 29 Oct 2023 - 9:17

Les démons du sexe n'ont pas de religion :

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Message par Père Nathan Ven 3 Nov 2023 - 17:54

Le Père Verlinde déclare :

Le bouddhisme tibétain, c’est un peu de sagesse de Siddhârtha Gautama et beaucoup de démonologie.

Le développement du bouddhisme tibétain est étrange. Des universitaires traduisent et commentent des textes inquiétants comme la biographie secrète du cinquième dalaï-lama contenue dans « Le Manuscrit d’Or ». Le texte révèle la passion du pontife tibétain pour la magie.

Des cérémonies macabres exigent des ingrédients répugnants. Selon le cycle du rD-rje gro-lod gnam-lcags ‘bar-ba, l’encens est remplacé par la chair humaine brûlante (sha-chen-gyi bdug-spos), les lampes sont alimentées par de la graisse humaine fondue (tshil-chen-gyi mae-me), le sang remplace l’eau rituelle, les fleurs sont substituées par des yeux… Une peau humaine (g.yang-gzhi) et un crâne sont utilisés par les magiciens tantriques qui suivent les instructions données par le Zur Chos-dbying rang-grol. L’initiation à la déesse gSang- sgrub, un aspect particulier de dPal-dan lhamo (1), demande une tête humaine fraîchement coupée.

La barbarie qui émaille la spiritualité du cinquième dalaï-lama n’émeut personne. Elle passe totalement inaperçue, noyée dans le courant d’éloges et d’émerveillement inconditionnels qui transporte le bouddhisme tantrique au cœur des nations modernes. De nombreux artistes et des intellectuels succombent à la fascination du lamaïsme magique et… sanguinaire. Mais qui veut voir les coupes crâniennes remplies de sang représentées sur presque tous les tangkas ? Les tantras les plus obscènes et les moins ragoûtants sont traduits et qualifiés de révélations merveilleuses.

L’attrait du lamaïsme s’expliquerait-il par des influences occultes ? Nombre d’Occidentaux sont fascinés par les pouvoirs surnaturels, les fameux siddhis qui apparaissent en corollaires de l’évolution spirituelle. Malgré les avertissements traditionnels, des adeptes du lamaïsme entretiennent l’espoir secret de maîtriser des forces qui permettent de lire dans les pensées, de prévoir l’avenir, d’opérer des matérialisations, de rendre des objets invisibles, de pénétrer dans des corps étrangers et de pratiquer la lévitation. Pantañjali évoque ces pouvoirs surnaturels dans son « Yoga-soutra ».
Le Père Joseph-Marie Verlinde, pratiquant du yoga et de la méditation transcendantale, était parvenu à la maîtrise de quelques siddhis mineurs. Il témoigne :

"Lorsque j’ai rencontré la méditation transcendantale, j’avais abandonné toute pratique religieuse. J’étais alors chercheur en chimie nucléaire et j’ai décidé de suivre mon gourou en Inde où j’ai passé de longs séjours dans son ashram des Himalayas. À la suite d’une expérience spirituelle forte, j’ai redécouvert Jésus et suis revenu en Europe.

Dès mon retour, j’ai fait la connaissance d’un radiesthésiste très impressionné par les facultés de médium que j’avais acquises à travers la pratique des techniques orientales de méditation qui développent la médiumnité. Rien d’étonnant à ce que je manie le pendule avec dextérité ! On m’a donc convaincu d’utiliser ce « don » au service du Seigneur pour aider et soigner les gens. Je continuais à aller à la messe tous les jours, à communier, à prier le chapelet. J’aimais le Seigneur et je voulais le suivre de tout mon cœur. Très vite, on a découvert que j’avais également un don de guérison par magnétisme. Les personnes me demandaient de poser la main sur elles ; elles sentaient un fluide et cela leur faisait du bien…

J’ai compris par la suite le caractère occulte de toutes ces pratiques : il s’agit bien de la gestion, de la maîtrise et du travail de forces obscures. En un coup d’œil, je voyais ce qui n’allait pas chez la personne. C’était tout simplement de la voyance. J’ai très vite abandonné le pendule qui m’était devenu inutile. Il n’est qu’un « support » qui amplifie et visualise les intuitions perçues dans l’état de fusion médiumnique avec l’objet (la personne) exploré(e). Les écoles ésotériques citent la radiesthésie comme une forme de voyance.

Un des dangers de ces techniques réside dans le fait qu’elles induisent un lien entre le patient et le praticien. Je me suis rendu compte qu’on pouvait aller très loin dans ce domaine. Avec un minimum de concentration, je parvenais à pénétrer les pensées de la personne rencontrée. L’effet provoqué peut être très important: quel profond manque de respect de la personne! On fait irruption dans son intimité et on peut exercer sur elle un véritable pouvoir.
Bientôt, j’ai compris qu’existaient des états fusionnels spirituels. J’ai été pris malgré moi par des symptômes étranges qui s’apparentaient à des phénomènes de spiritisme; des « entités spirituelles » me sollicitaient intérieurement et m’invitaient à un dialogue !

Comme scientifique, j’ai interrogé de nombreuses personnes qui travaillaient dans ce domaine. Beaucoup m’ont avoué travailler avec les esprits en reconnaissant qu’ils créaient des liens très difficiles à rompre! Autrement dit, on crée des liens par magnétisme, parfois même sans s’en apercevoir et sans aucune possibilité réelle de maîtrise. Or, je le dis avec force, Dieu nous a créés libres. Tout ce qui aliène notre liberté à quelque niveau que ce soit - physique, psychique et a fortiori spirituel - n’est pas conforme à son dessein d’amour Mon expérience m’a montré que les conséquences des pratiques occultes sont graves. Elles induisent des traumatismes plus ou moins importants au niveau physique, psychique ou spirituel.

Certains prétendent que ces phénomènes paranormaux seraient simplement liés à la gestion de canaux d’énergies naturelles qui sont à notre disposition ou à des interactions fusionnelles avec des énergies cosmiques. Ces personnes ne manquent pas de souligner que ces énergies ont été créées par Dieu et que, selon la Bible, toute la création est bonne - elles se gardant bien de faire mention de la chute des anges et du péché origine (cf. Gn 3,1-24 et Rm 5,19). Or, ces faits changent tout ! Si la nature, en tant que telle, n’est pas mauvaise, il n’en demeure pas moins qu’elle gît désormais « sous le joug de l’ennemi » (cf. Rm 8, 20). En d’autres termes, même si ces énergies naturelles ne sont pas mauvaises en elles-mêmes, elles peuvent être manipulées par des entités spirituelles qu’il vaut mieux ne pas fréquenter.

Permettez-moi une comparaison entre un médium et un appareil de radio captant la bande d’ondes FM. Rappelons que le principe de la fréquence modulée consiste en une onde porteuse, de grande longueur d’onde, à laquelle on superpose une petite onde qui véhicule l’information. Lorsque vous ouvrez votre appareil radio sur la longueur d’onde FM, vous captez en même temps la grande onde et la petite qui lui a été superposée. De même, lorsqu’un médium croit s’ouvrir aux énergies naturelles  l’onde porteuse), il court le risque de se voir visité également par des entités spirituelles  onde portée) qui sont actives au niveau de celles-ci. Ce risque est plus qu’une hypothèse théorique : j’en ai moi-même constaté toute la réalité dans ma propre vie !

J’ai expérimenté, en particulier, que les bonnes intentions ou la pratique religieuse ne mettent pas à l’abri du danger. Notre foi n’est pas de la magie. Lorsque les esprits ont commencé à solliciter mes facultés psychiques voire physiques, j’ai été complètement démonté. Je ne comprends pas comment des gens peuvent être fiers de vivre de telles expériences. J’avoue que j’avais peur et que je me posais beaucoup de questions. Tout s’est déclenché lorsqu’un jour, au cours d’une eucharistie, au moment de l’élévation, j’ai entendu ces mêmes entités soi-disant esprits bienveillants guérisseurs - crier des paroles blasphématoires contre le Seigneur ! J'étais écrasé de confusion.

Je suis allé voir le prêtre après l’eucharistie. « Mon fils, ce n’est pas étonnant, m’a-t-il dit. Je suis l’exorciste du diocèse! » Certes, je n’étais pas « possédé » puisque je menais une authentique vie théologale, mais j’étais lié par ces pratiques contradictoires avec ma foi. Aussi ai-je dû me soumettre à une série de prières de délivrance pour que le Seigneur me libère de ces liens que j’avais contractés avec les esprits du monde occulte. Finalement, j’ai été totalement délivré par la puissance du Sang et du Nom de Jésus. Mais j’étais délabré physiquement et psychologiquement, un long chemin de guérison a été nécessaire pour reprendre pied totalement… Mais le Seigneur a achevé en moi avec patience ce qu’il avait commencé. Je ne cesse de rendre grâce à Dieu qui m’a sorti du tombeau. J'étais mort et il m’a redonné la vie. Oui, Il m’a vraiment ressuscité !"


Plus d’informations sur notre FIL :

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Message par Lotfi Jeu 9 Nov 2023 - 0:45

Excellent, merci pour ces informations

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