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Pour comprendre les origines de la crise en Ukraine

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Michael
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Message par Joannes Maria Lun 3 Mar 2014 - 5:16

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Message par P4572 Lun 3 Mar 2014 - 10:12

On ne peut pas dire que ce petit cours magistral soit d'une parfaite neutralité, il penche tout à fait du côté d'une politique pro-européenne.
Le rappel historique est important cependant; il met en avant une certaine complexité par rapport à la possibilité d'une véritable cohésion sociale dans ce pays ou même par rapport à l'émergence d'une certaine hégémonie.
Ira t-on alors vers le démantèlement de l'Ukraine ?
J'en ai bien peur et ce sera peut-être moindre mal pour plusieurs années...

MD

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Message par Lotfi Lun 3 Mar 2014 - 12:43

Carte ethnique de l'Ukraine


Pour comprendre les origines de la crise en Ukraine  2Q==

Pour comprendre les origines de la crise en Ukraine  Images?q=tbn:ANd9GcSY2EfrcAZBTaiBFxCxbiuYvl9zIskpQC88_fW6fLL-OxQuZneQwg


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Message par Lotfi Lun 3 Mar 2014 - 12:46

Les Interets Russes en Ukraine



La politologue russe Lilia Chevtsova décrypte la stratégie du Kremlin face à la situation ukrainienne. Interview.

Après la grande manifestation de dimanche qui a rassemblé plus de 200.000 pro-européens à Kiev et avant la rencontre entre le président ukrainien, Viktor Ianoukovitch, et Vladimir Poutine, la politologue russe Lilia Chevtsova décrypte la stratégie du Kremlin. Interview.


Pourquoi Vladimir Poutine tient-il à ce point à replacer l'Ukraine dans l'orbite russe ?

- Il y a de multiples raisons, mais la plus importante est méconnue : reprendre l'Ukraine, c'est, pense-t-il, assurer sa survie politique et celle de son clan.

Quel rapport ?

- Aussi curieux que cela paraisse, ce sont bien d'abord des motifs de politique intérieure qui guident son action vis-à-vis de l'Ukraine. Ces derniers temps, Poutine a compris que la stratégie qu'il a menée pendant des années pour se maintenir au pouvoir - la répression, la propagande - risquait de ne pas être suffisante. En 2011 et 2012, lors des grandes manifestations contre les fraudes électorales, il a constaté que la population, qui jusque-là lui était attachée, commençait à le rejeter, à le mépriser. Pour lui, ce fut le signal évident d'un grand danger. Alors comme tous les tsars avant lui, il a cherché son salut intérieur à... l'extérieur.

De quelle façon ?

- Depuis deux ans, il a repris l'antienne nationaliste : menacée par des puissances étrangères, la Grande Russie doit se défendre. Comment ? En devenant plus grande encore. D'où son idée d'une alliance eurasiatique, sorte de revival de l'Union Soviétique dont il est, comme beaucoup de Russes, un grand nostalgique. Mais pour l'instant, seuls le Kazakhstan et la Biélorussie ont accepté d'en faire partie. Ce n'est pas suffisant pour la rendre crédible. A cette alliance, il manque un joyau : l'Ukraine. Voilà pourquoi celle-ci ne doit en aucun cas se rapprocher de l'Union européenne. L'en empêcher est désormais au cœur de la stratégie de Poutine.

D'autant que, dans son entourage, certains ont intérêt à un retour de l'Ukraine dans le giron russe.

- Evidemment. Le complexe militaro-industriel russe a de gros intérêts en Ukraine d'où proviennent un grand nombre de pièces détachées, des moteurs notamment. Ce n'est pas un hasard si le vice Premier ministre chargé des industries de l'armement, Dmitri Rogozin, a effectué plusieurs missions à Kiev récemment. Les oligarques du clan Poutine ou liés à lui voudraient, eux, mettre la main sur quelques joyaux de l'économie ukrainienne, dont les mines. Enfin, il y a, comme toujours, ces terres agricoles si riches que la Russie aimerait bien exploiter à son profit. N'oublions pas non plus les raisons géostratégiques. Si l'Ukraine se détache de l'orbite russe, cela signifie, pour le Kremlin, une modification de son périmètre de sécurité.

Jusqu'où Poutine est-il prêt à votre avis pour reprendre l'Ukraine ?

- C'est la grande question. Remarquez qu'il a avancé son pion ukrainien à un moment géopolitique bien précis : quand Obama et les leaders occidentaux se sont montrés faibles et hésitants sur la scène internationale, en Syrie ou en Iran. Le chef du Kremlin s'est dit qu'il pouvait abattre son jeu maintenant sans grand risque. Et comme la réaction occidentale a été très molle, notamment du côté de l'Union européenne, il va, je pense, aller un cran plus loin. Il va dire à Ianoukovitch qu'il est prêt à aider l'Ukraine à sortir de son marasme économique (qui pourrait se transformer en crise humanitaire dans quelques mois) à une condition : que le président ukrainien mette un terme aux manifestations à Kiev, à ce "désordre" qui pourrait faire tache d'huile à Moscou. Autrement dit, on peut s'attendre dans quelques jours ou semaines à une vague de répression en Ukraine.


Propos recueillis par Vincent Jauvert - envoyé spécial du "Nouvel Observateur" à Moscou

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Message par P4572 Mar 4 Mar 2014 - 14:26

Ukraine: mise au point de Sergeï Lavrov
Déclaration du ministre russe des Affaires étrangères :
"Je réitère que nous parlons ici de la protection de citoyens et de compatriotes, de la protection du plus fondamental des droits de l'homme - le droit de vivre, et rien de plus".

"Ceux qui essaient d'interprêter la situation comme un acte d'agression, nous menacent de sanctions et de boycott, sont les mêmes partenaires qui ont constamment et vigoureusement encouragé les pouvoirs politiques qui leur sont proches, à lancer des ultimatums et à renoncer au dialogue, à ignorer les préoccupations du Sud et de l'Est de l'Ukraine, et en conséquence à polariser la société Ukrainienne."

Lavrov a précisé que la Russie n'utiliserait pas ses forces militaires pour obtenir des gains géopolitiques sous prétexte de protéger les droits de l'homme. Toute allusion à certaines politiques, des champions auto proclamés de la démocratie universelle, et à un certain nombre de campagnes en conséquence (Bosnie, Kosovo, Irak, Libye, Syrie, au suivant, tiens justement, parlons de l'Ukraine, ...) serait  purement fortuite.
"Les droits de l'homme sont trop importants pour en faire un outil de marchandage dans les affrontements géopolitiques, pour imposer sa propre volonté aux autres; encore moins pour instiller un changement de régime."

"Une intervention en force sous le prétexte de protéger les civils entraine le contraire, multiplie les souffrances des citoyens pacifiques, et les prive du droit humain fondamental: le droit à la vie."
 
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Message par Michael Mer 5 Mar 2014 - 11:28

Les États-Unis n’ont pas répondu à l’accusation russe faite dans le cadre du tremblement de terre de Crimée, mais, les conséquences de l’accusation russe font peur :

Si la Russie croit, et peut prouver, que le projet du Département de la Défense des États-Unis a été utilisé pour provoquer un tremblement de terre, alors, la Russie peut choisir de considérer le cas d’une « première frappe » avec une « arme de destruction massive ».

Une telle détermination par la Russie pourrait alors servir de base pour qu’elle réponde à la première attaque avec leur propre attaque, avec leur propre arme de destruction massive.



...................................................................Pour comprendre les origines de la crise en Ukraine  00020119

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Message par Lotfi Mer 5 Mar 2014 - 14:04

Dans son prochain livre Pierre Hillard parlera de l'Ukraine



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Message par pax et bonum Jeu 6 Mar 2014 - 10:22

Personnellement,autant je vois bien l'entrée de l'Ukraine dans l'Europe,autant je n'y vois pas la Crimée dont la population est pro-Russe,qui parle Russe et avec une majorité musulmane en osmose avec la Turquie juste en face.
Une entrée de la Crimée en Europe de créerait que des ennuis et des rébellions.
Que l'Occident se montre "beau joueur".Si l'immense Ukraine se rallie à l'occident,laissons la Crimée plus modeste à la Russie en organisant un référendum démocratique pour cette région particulière qui a déjà un statut particulier au sein de l'Ukraine.

A+ Krystos VojsKresse!
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Message par Lotfi Ven 7 Mar 2014 - 17:28

@Pax

La population à L'Est de l'Ukraine Soit elle est d'origine Russe soit parle le Russe ...Presque la moitié de l'Ukraine se penche vers l'Est plutôt qu'à l'Occident.

Il y a un autre facteur Confessionnel important:La moitié Est de l'Ukraine est de confession Orthodoxe.Cette Crise en Ukraine joue contre le dialogue Catholique - Orthodoxe.

Il n'y a pas beaucoup de musulmans en Ukraine même en Crimée.Ils sont cependant beaucoup plus nombreux à la Frontière Italienne:

1-Albanie
2-Croatie
3-Bosnie
4-Macédonie
5-Nontenegro
6-Slovénie
7-Serbie


Revenons à la Crise car il y a du nouveau :

Conversation téléphonique piratée entre Catherine Ashton et un ministre estonien

étrange document audio relatif à l’Ukraine entre la chef de la diplomatie européenne et le ministre des affaires étrangères estonien Urmas Paet fait le buzz sur la toile.


MAJ : le Ministre estonien a confirmé l’authenticité de la conversation.

En effet, cette conversation montrerait que les snipers de la place Maïdan en Ukraine auraient tiré sur les deux camps et auraient donc un rôle assez trouble. Par ailleurs, Catherine Ashton affirme lors de cette conversation téléphonique ne pas vouloir enquêter sur ces allégations et ne pas être intéressée par ces possibles révélations du Ministre estonien :  Afraid   Afraid 


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Message par Joannes Maria Sam 8 Mar 2014 - 5:07

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Message par pax et bonum Dim 9 Mar 2014 - 18:14

La population à L'Est de l'Ukraine Soit elle est d'origine Russe soit parle le Russe ...Presque la moitié de l'Ukraine se penche vers l'Est plutôt qu'à l'Occident. a écrit:


Alors,il faudrait une partition de cet immense pays en états indépendants comme pour l'ancienne Yougoslavie.Avec la différence qu'il y a pour l'instant peu de sang versé et que les puissances cherchent la voie diplomatique.
L'Occident voit mal un référendum populaire en Crimée.Pourquoi donc bouder les solutions pacifiques proposées par Monsieur Poutine?
Surtout que dans les autres pays:Syrie,Centre-Afrique...Tout se règle par la guerre!

A bientôt!
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Message par françoise dumoulin Lun 10 Mar 2014 - 10:33

Bonjour à tous,

Il est clair que ce sujet est complexe... autant que la géopolitique actuelle.

- Les USA sont en pleine "décadence de confort" (et les américains ne veulent plus se battre pour personne)
- Obama perd des voix jours après jours... et il en est à envoyer sa femme "négocier" à sa place la "santé pour tous"
(quand on se fait acheter par de riches sponsors pour pouvoir passer, il y a toujours un prix à payer)
- Hollande n'est plus le Président de personne (selon les sondages)
mais ils continue à attaquer seul sur tous les fronts, sans régler les problèmes de la France
(qu'il accentue même avec le mariage pour tous et les peines planchers)
quand il ne se fait pas endormir par Obama...
- Merkel, la mieux placé pour "négocier" avec Poutine, n'a pas trop envie d'en faire plus...
- les autres européens ne bougent pas si Obama ne bouge pas
(Hollande n'en est que le "bouffon")
et se laisse manipuler par Hollande, que je soupçonne manipulé lui-même par Obama
- Quant aux autres (ces mêmes qui réagissent au quart de tour pour retrouver un avion)
on ne les entent pas
DEVONS-NOUS NOUS EN INQUIETER... LA EST LA QUESTION.

EN FAIT, je constate que, à part Merkel qui conserve un côté chauvin...
ILS FONT D'ABORD CARRIERE POUR LEURS COMPTES.
Mais où est l'Europe dans tout ça ?

RESULTAT : dès lors qu'il s'agit d'enjeux économiques,
- POUTINE a besoin de la Crimée pour sa défense
(et eux ne sont pas contre le fait de redevenir Russes)
de plus il a besoin de réasseoir son image en Russie
(vu qu'il est "attaqué" non stop par l'opposition de Moscou).
- OBAMA a besoin de l'Ukraine parce-que l'Amérique y a déjà investi et que ça leurs procure de la main d'oeuvre bon marché
(de même qui a besoin de relancer le patriotisme ET de se "faire la main" militairement)
- L'UKRAINE veut devenir européenne pour sortir de la main d'oeuvre bon marché ET BENEFICIER des MÊMES STATUTS QUE LES NÔTRES (ça arrange les affaire d'Obama, mais en avons-nous les moyens ?
1- nous qui n'avons réellement jamais sorti personne de la crise jusqu'ici
2- sachant que contrairement à ce qui pense Obama, cette main d'oeuvre ne resterait pas bon marché en devenant Européenne).
- HOLLANDE ne sait plus quoi faire pour laisser "sa trace" partout
(à moins qu'il ne soit tout simplement incompétent... et tremble d'avoir à subir le repproche de tous si ça tourne mal).
Sans compter que, selon moi, il n'est pas du tout conseillé ; ni avec compétence, ni "oeucuméniquement"
(alors que la religion ça compte dans ces cas de mixités de populations)

C'EST UN PEU COURT je vous le concède... MAIS J'AI ENVIE DE RAJOUTER :
QUI SONT LES VRAIS AGITATEURS ?
A QUI PROFITE "LE CRIME" ?
(QUI TIRENT LES FICELLES ?)


Là-dessus j'ai ma petite idée... (Mais il est encore trop tôt)
ET je me méfie d'alliances "discrètes" concernant ceux qui font le plus de dégats RIEN QU'EN FRANCE.


Nb : En observant seulement ce qui se passe en France...
- mais surtout du FAIT qu'aucun politique ne s'y intéresse..
MOI JE VOIS BIEN AUTRE CHOSE...

Je vous en fais part ici,
ça vaut ce que ça vaut... mais n'est-il pas temps de tout se dire ET sans tabou... ?
SI ON VEUT QUE LA PAIX TRIOMPHE

(Selon moi, mieux vaut régler le problème avec des mots qu'avec des armes)


Voici donc ma dernière intervention sur un forum politique,
mon intention étant de cibler l'attitude de Merkel, laquelle en s'opposant à un référendum
- s'oppose à un acte démocratique
- me conforte dans l'idée qu'il n'y a pas d'Europe forte
seulement des SOUMIS..
. . (Le tout est de savoir à qui)


Au sujet de l'attitude de Mme Merkel, (laquelle refuserait un référendum à la Crimée)

ça c'est nouveau !... Un référendum est un acte démocratique dès lors qu'il ne touche que les personne concernées par le sujet.. Cessons de mettre notre nez partout où nous n'avons pas à le mettre.
Continuez comme cela, et les français (lesquels ont déjà le sentiments qu'il n'y a plus de justice en France depuis qu'au nom de l'Europe des immigrés non choisis occupent illégalement et sans référendum leurs emplois, 4 générations de leurs droits acquis-impôts- et épargnes de travailleurs)
vont s'insurger, et ça va péter. (il n'y a qu'à écouter la rue).

Nb : Nous vivons sous l'occupation d'individus non choisis qui n'apportent aucun capital à notre patrie, qui puisent dans tout ce qu'ils n'ont jamais acquis pour s'enrichir y compris dans leurs pays d'origine, affaiblissant du même coup la France et les français de France
(Nous faisons de la charité partout AVEC NOS MINIMUMS VITAUX, pendant que les hommes les plus riches de la planète,
ces mêmes qui nous laissent payer pour la misère mondiale qui s'impose à la charge de la France,
en profitent pour s'installer chez nous pour une bouchée de pain au prétexte que l'immobilier a baissé ?

Ne pouvaient-ils pas attirer cette même misère chez eux en leurs offrant des conditions de vie humaines et respectables avec leurs pétro-dollards ou l'argent qu'ils ont estorqué à la France dans l'illégalité ?)

Où étant Merkel pendant ce temps là... elle qui a tout laissé faire ?...
Nb : Vu la tournure que ça prend, (notamment la manipulation de tous : du travailleur aux Présidents)
je me demande le rôle qu'un intrigant véreux comme Hollande
("l'agitateur contre Bachar à la solde de Obama... sans aucune preuve de son implication personnelle),
joue dans cette histoire... depuis qu'il s'est fait "acheter par Obama
(Veulent-ils aussi conditionner Merkel pour avoir le "règne" absolu sur l'Europe ?...
Car si c'est le cas... on a du souci à se faire...
vu la qualité de leurs politiques politiciennes négociées façon souk).


Retenez bien une chose :
Ce n'était pas à des travailleurs à financer l'intégralité de la prise en charge des immigrés non choisis
(encore moins celle des doubles nationalités ou des plus de 300 000 polygames),


ils ne nous ont jamais remboursé de rien... (alors que certains ont fait fortune depuis, y compris chez eux)
Nb : S'ILS L'AVAIENT FAIT,
CES RICHISSIMES ARABES ou ASIATIQUES
(qui ne font jamais rien pour personne et continuent à manoeuvrer en silence nous en envoyer toujours plus à seul fin de pouvoir nous affaiblir toujours plus et de s'enrichir)
N'AURAIENT PAS PU CONTINUER à S'IMPLANTER EN FRANCE à NOTRE PLACE

AUSSI je dis que ce sont ces riches envahisseurs qui auraient dû payer à notre place depuis le départ EN FRANCE.

CAR,
- vu qu'ils n'ont jamais payé pour rien,
- qu'ils achètent tout par transactions lesquelles ne figurent nulle part (selon CAPITAL d'hier soir sur M6)
dans le dos et sur le dos des français (dont ils savent qu'ils ne se laisseraient jamais faire si ça se savait),
ces riches indésirables qui ne payent quasiment aucun impôt sur tout ce qu'ils ont placé en France... nous ont volé.
AURAIENT DÛ TOUT PAYER (pour LEURS ex-clandestins y compris)

tout ce qu'ils possèdent en France appartient donc de droit à la France,
TANT QUE LES COMPTES N'AURONT PAS ETE FAITS.
(Chacun son dû).

A L'EPOQUE Où ON S'INSURGE CONTRE LES PARADIS FISCAUX...
IL SERAIT DE BON TON DE NE PAS EN DEVENIR UN à NOTRE TOUR...
SUR LE DOS DU PEUPLE FRANCAIS.


On va voir si Mme Merkel va enfin prendre le parti de défendre les travailleurs et retraités FRANCAIS dépouillés
(Dépouillés y compris pour renflouer des pays Européens)...
et
ce qu'elle pense de ces richissimes étrangers véreux qui s'offrent la France pour une bouchée de pain... parce-qu'ils n'aident personne


Nb : Ils ont la prétention de devenir français d'affaires ET n'aident pas l'Europe en CRISE ?

C'est ça leurs conception de la mondialisation ?
tout faire pour augmenter nos charges afin de prendre un jour le total pouvoir de la France ?
(surtout des banques françaises et de l'argent des épargnants français qui s'y trouve ?)

MAIS CE SONT EUX LES VRAIS RESPONSABLES DU COULAGE DE L'EUROPE


Pour moi notre patrie est en danger :
- Obama, Hollande, continuent à attiser la haine contre Poutine en sachant que notre territoire national est occupé par de tels individus.
- Merkel, qui ne veut pas prendre plus de responsabilité, fait mine de ne rien voir...
On voudrait saborder, soumettre la France, qu'on ne s'y prendrait pas autrement.

Nb : En cas de guerre, nous n'aurons aucune chance de nous en sortir.
MAIS L'ALLEMAGNE, affaiblie sans la France, coupée de l'Angleterre, etc.. NON PLUS
.

Comment se fait-il que Merkel n'ai jamais dénoncé cette occupation ?... Elle qui sait et voit tout ça.
Est-elle aveugle quand ça l'arrange ?
ou manipulée par ces autres... jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'elle est la prochaine sur leur liste.


Voilà,
rien de bien réjouissant.
Encore une fois ce sont les puissants qui jouent avec nos vies POUR DEVENIR PLUS PUISSANTS ENCORE et S'ENRICHIR TOUJOURS PLUS.

Nous devons donc prier pour la France

(c'est en la faisant tomber qu'ils accèderont à tout le reste)
AINSI QUE POUR LA PAIX DANS LE MONDE

SEUL LE CIEL PEUT NOUS SAUVER
Notre Dame de la PAIX, priez pour nous qui avons recours à vous
Notre Dame du bon secours, priez pour nous qui avons recours à vous


 Jésus Croix Prends pitie Gloire à toi Seigneu 

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Message par Lotfi Lun 10 Mar 2014 - 14:22

La seule issue passe par la prise des solutions suivantes:

1-l'Ukraine ne doit jamais entrer à l'OTAN. elle doit garder sa neutralité.
2-Engagement des pays membres de l'OTAN de rapatrier leurs missiles en dehors de la limite des frontières russes.

3-Election d'un Président Ukrainien qui ne divise pas mais qui rassemble autour de lui toutes les confessions et ethnies.

Fraternellement
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Message par BENEDICTE 2 Lun 10 Mar 2014 - 21:55

d'accord ............pourvu que le président rassembleur ne soit pas un ultra athé , qui écrase toutes les religions , comme TITO , du temps ou la yougoslavie n'avait aucun problème de religions , ce général a réduit les religions au silence avec une main de fer , après sa mort , l'abcès a creuvé
et la suite tragique ,nous la connaissons ..............
on ne peut pas réduire les religions au silence l'lURSS avait essayé pendant 70 ans en vain ........


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Message par Lotfi Mar 11 Mar 2014 - 18:56

1-Le Parlement de Crimée vient d'approuver par une majorité absolue de Voix (78 sur 81) l'Indépendance vis à vis de l'Ukraine.

Le peuple de Crimée décidera Dimanche prochain (par Référendum) s'il veut ou non s'annexer à la Russie.

2-L'OTAN vient d'envoyer des avions de surveillance AWAX en POLOGNE et en ROUMANIE pour survoler leurs frontières avec l'Ukraine.

NB: l'Ukraine n'est pas membre de l'OTAN.

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Message par Lotfi Mar 11 Mar 2014 - 22:56

Ukraine et mer Noire : les véritables enjeux
Par Pierre Hillard


Nous pouvons constater la mise à mort du droit international et l’instauration d’une véritable loi de la jungle dans les relations entre États.

La confrontation entre la Russie d’un côté, puissance terrestre, et l’Union européenne et les États-Unis de l’autre, puissances maritimes, dans l’affaire ukrainienne n’est pas nouvelle. Cette opposition terre/mer s’est déjà manifestée en 1853 lors de la guerre de Crimée. Le tsar Nicolas Ier voulait profiter de l’affaiblissement de l’Empire ottoman pour contrôler les détroits du Bosphore et des Dardanelles afin de pouvoir rayonner ensuite en Méditerranée. Ces ambitions ont été repoussées avec force par l’Empire britannique qui ne voulait absolument pas voir cette extension russe. En effet, cette dernière aurait menacé la route des Indes. Embarquant la France de Napoléon III dans cette affaire, Londres sut faire plier la Russie après d’âpres luttes en Crimée, entraînant la mort, côté occidental, d’environ 120.000 hommes dont presque 100.000 Français. La France avait malheureusement travaillé, non pour le roi de Prusse, mais pour les intérêts de la reine Victoria.

Le soutien apporté par l’Occident à la nouvelle direction politique à Kiev a conduit Vladimir Poutine à réagir rapidement. Profitant de la présence de populations russophones à l’est de l’Ukraine et en Crimée, il cherche à récupérer ces territoires – du moins à les contrôler – afin de les soustraire à l’influence de l’Ukraine, susceptible d’être assujettie à l’Union européenne et à l’OTAN. Dans cette affaire, l’enjeu stratégique et énergétique est de taille. En effet, si la Crimée bascule dans le camp russe suite au référendum du 16 mars, cela conduirait à un affaiblissement considérable de deux ordres pour Kiev et ses soutiens euro-américains.

Premièrement, le retour de la Crimée avec ses bases navales dans le giron russe permettrait à Moscou de disposer librement d’une force de projection en direction de la Méditerranée où se trouve un autre point d’appui : la base navale russe de Tartous en Syrie. La Crimée, largement russophone et offerte à l’Ukraine par Khrouchtchev en 1954, donne à Kiev un droit de regard sur ce territoire tout en faisant payer un bail à la Russie (théoriquement jusqu’en 2042) pour le maintien de ses bases. Un retour complet de cette péninsule à la Russie libérerait Moscou de toutes contraintes financières et politiques.

Deuxièmement, le contrôle de cette péninsule donnerait à la Russie une maîtrise complète de l’espace maritime en raison de la zone économique exclusive (ZEE) accordant à l’État des droits souverains en matière d’exploitation et d’usage des ressources sur près de 200 milles marins (environ 370 km). De nombreux oléoducs et gazoducs passent au large de la mer Noire et au niveau de la Crimée. Le retour de cette dernière sous l’autorité de Moscou permettrait à la Russie de contrôler l’acheminement du gaz et du pétrole en provenance de la Sibérie et du Turkménistan (via la mer Caspienne) jusqu’aux côtes bulgares (complexe de Varna) et roumaines (complexe de Constanța) ainsi qu’aux frontières ukrainiennes sous sa seule autorité.


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Quel merveilleux outil de pression pour Vladimir Poutine sur l’Union européenne qui, dans cette affaire ukrainienne, a le soutien de la Chine. N’oublions pas que ces pays, à eux deux, détiennent près de 25 % des bons du Trésor américain. Les mesures de rétorsion russo-chinoises pourraient faire mal à l’Occident.

Enfin, rappelons que les reproches acrimonieux de Londres, Paris et Washington accusant la Russie de violer le droit international sont d’une totale hypocrisie. L’Occident ne s’est pas privé de violer ou d’outrepasser ce droit lors de l’attaque contre la Yougoslavie de Milošević en mars 1999, contre l’Irak de Saddam Hussein en 2003 ou encore contre la Libye en 2011. L’ancien chancelier Gerhard Schröder, grand ami de Poutine et dirigeant le consortium gazier germano-russe Nord Stream, a eu au moins la franchise de reconnaître le double langage de l’Occident. Tout en reconnaissant la violation du droit international dans l’affaire de Crimée, il a su rappeler à ses interlocuteurs, lors d’un colloque à Hambourg, un exemple peu glorieux de l’action occidentale : « Nous avons envoyé nos avions en Serbie et nous avons bombardé, en liaison avec l’OTAN, un État souverain alors que le Conseil de sécurité n’avait pas donné son accord » (2).

Fort de ces propos, nous pouvons constater la mise à mort du droit international et l’instauration d’une véritable loi de la jungle dans les relations entre États où, malheureusement, selon la sentence de notre fabuliste Jean de la Fontaine, « la raison du plus fort est toujours la meilleure ».

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Message par Lotfi Mer 16 Avr 2014 - 17:14

La main de Soros & Co. dans le désordre ukrainien
par Laurent Glauzy

Dans son article George Soros’ Giant Globalist Footprint in Ukraine’s Turmoil (La trace du géant mondialiste Soros dans le désordre ukrainien), publié dans le journal The New American, William F. Jasper développe les vraies raisons de la révolte de la place Maïdan qui a fait plus de quatre-vingt-dix morts. Cet écrivain analyse avec une clarté et une profondeur peu communes les véritables causes qui ont mis Kiev à feu et à sang du 29 novembre 2013 au 21 février 2014.
William F. Jasper expose que, de Gazprom aux siloviki [composés des responsables des ministères et des services chargés de la défense et de la protection de l’ordre public : le ministère des Affaires intérieures (MVD), le ministère de la Défense (MO), le Service fédéral de Sécurité (FSB)], dans la Russie de Poutine, les grandes entreprises sont tenues par d’anciens hauts responsables du KGB1. Les anciens apparatchiki constituent les sphères supérieures du pouvoir russe.
À Kiev, cette réalité est représentée, dans l’ombre, par George Soros. Ces dix dernières années, comme dans des dizaines d’autres nations, le milliardaire a versé des millions de dollars à des organisations non-gouvernementales (ONG) ukrainiennes, dans le but de transformer ce pays en une société « plus ouverte et démocratique ».

Soros derrière l’ONU

De fait, les manifestants de la place Maïdan étaient instrumentalisés par Soros et ses associations, à l’instar de l’International Renaissance Foundation (IRF) et de l’Open Society.
L’IRF, fondée par Soros, a contribué à la « transformation démocratique » de l’Ukraine. Le rapport annuel de 2012, mentionne que « l’IRF a versé plus de 6,7 millions de dollars, par le biais d’organisations actives en Ukraine ». Dans un pays affamé, les dollars sont un argument plus persuasif que les apparentes oppositions politiques. Selon le site de l’IRF, sur plusieurs années, Soros a arrosé les ONG ukrainiennes jusqu’à 100 millions de dollars.
Cependant, l’influence de Soros dépasse ces financements, qu’il a également octroyés à des activistes et au monde académique. Elle s’exerce aussi sur l’opinion publique mondiale, à travers son réseau de propagande, qui inclut Project Syndicate2, une des structures de l’Open Society Foundation, regroupant des présidents, des Premiers ministres, des parlementaires, des banquiers, des directeurs de presse et des géants de Wall Street.
Dans un article du Project Syndicate du 26 février 2014, relayé par des centaines de quotidiens et de sites web, Soros soutient que l’Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI) doivent envisager un nouveau plan Marshall pour l’Ukraine, ce qui conduira à un transfert inéluctable de capitaux des contribuables de l’UE et des États-Unis vers les mains de politiciens, d’organisations et d’institutions véreux approuvés par les mondialistes, socialistes et corporatistes qui contrôlent les instances supra-gouvernementales.

Dans l’article du Guardian du 27/2/14, Sustaining Ukraine’s Breakthrough (Soutenons le renouveau de l’Ukraine), Soros mentionne : « L’Ukraine nécessite une assistance extérieure dont seule l’UE peut être garante ». Cette aide conduira à une gestion dirigée par des experts à la solde de Soros, à savoir la planification centralisée qui est la marque de tous les régimes socialistes ou communistes. Quoi de plus normal pour ce financier qui est le premier soutien d’une planification conduite par l’ONU, le FMI et la Banque mondiale ? Ces entités visent un contrôle global de la population par l’intervention, notamment, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Cette réalisation fut déjà avancée dans Le Nouveau testament de Satan, en 1770, par Adam Weishaupt, le fondateur de l’Ordre des Illuminati, à la solde de Rothschild. La stratégie de Weishaupt s’articule autour de la suppression des nations et de la concentration du pouvoir au sein d’organisations supranationales et « humanistes » : la démocratie est un moyen et non une fin en soi. Les événements ukrainiens obéissent bien à un scénario établi de longue date.
L’attachement morbide de Soros au mondialisme prévoit, en particulier, l’élargissement de l’UE, au centre de ses prises de position. Ce moyen est une étape pour parvenir au transfert de tous les pouvoirs législatifs, juridiques et exécutifs vers les sphères politiques européennes de Bruxelles.

L’UE, vers une Europe soviétique

Ces dernières années, Soros a œuvré à la création d’un Trésor unique de l’Union européenne ou d’une Autorité fiscale européenne (EFA, en anglais). Ce serait, selon le financier, l’ingrédient nécessaire pour que l’euro devienne une véritable devise, avec un prêteur authentique. La Banque centrale européenne soutient donc Soros, dans ce projet. Quand Mario Draghi, l’actuel président de la BCE, vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs entre 2002 et 2005, gouverneur de la Banque d’Italie entre 2006 et 2011, a annoncé le 1er août 2012 que la BCE aurait « fait le nécessaire pour maintenir l’euro en état de stabilité », Jens Weidmann, président de la Bundesbank, objecta que, par ses statuts, la BCE a des pouvoirs limités.
Néanmoins, Draghi a confirmé que la BCE a effectué des acquisitions massives d’obligations d’État des nations européennes endettées, afin que ces dernières se placent sous le contrôle de la Troïka (la Commission européenne, la BCE et le FMI). Il s’agit de la même Troïka qui, en 2013, a ruiné les Chypriotes, en confisquant leurs dépôts bancaires, afin de rembourser les obligations gérées par la Goldman Sachs. Toutefois, Soros, qui affirme la légalité et la transparence de son travail, soutient que cette Troïka - qui agit sans légalité et sans rendre de compte à aucune autorité - n’ayant pas suffisamment de pouvoir, devrait être établie par une Autorité fiscale européenne.

À travers ce processus se dessinent les contours du gouvernement fédéral européen. La forte présence du FMI prouve que le projet de l’UE n’a rien de strictement européen. Les mondialistes ruinent les nations, les mettent sous tutelle… et appliquent ensuite les mêmes « solutions mondialistes » qui ont provoqué leur ruine. Quant au passif de la BCE, il est depuis des années rempli de bons du trésor pourris. Il en est de même pour la FED. Ces agissements conduiront inéluctablement à une nouvelle crise, ce qui permettra aux mondialistes de réclamer encore davantage d’intégration européenne et mondiale. Dans ce jeu particulièrement machiavélique, il faut préciser que la Troïka constitue l’embryon d’un exécutif budgétaire européen (gouvernement européen), avec la BCE comme bras monétaire.

Les Ukrainiens contre l’UE

Christine Lagarde, directrice du FMI, et l’« ancien » communiste maoïste José Manuel Barroso, président de la Commission de l’UE, ont déjà préparé une série d’aides de plusieurs milliards pour l’Ukraine. De nombreux Ukrainiens craignent que leur pays ne soit mis sous le contrôle de la Troïka. Ils ne veulent pas passer de Viktor Ianoukovytch (président destitué par le nouveau parlement ukrainien, le 22 février 2014) à un gouvernement sous le joug de l’UE et du FMI. Un sondage demandé par le département d’Etat américain révèle que seulement 37 % des Ukrainiens sont favorables à l’adhésion de leur pays à l’UE.
Michael Roberts, qui se définit comme un économiste marxiste, affirme dans un article du 27 février, Ukraine : Hobson’s choice (Ukraine : le choix d’Hobson), posté sur son site : « Aux Ukrainiens, il est donné le choix illusoire d’opter pour le capitalisme des anciens pontes du KGB ou de s’engager avec les corrompus de l’Union européenne. » Il avertit que la dette extérieure de l’Ukraine doublera rapidement si elle accepte le prêt du FMI. La population sera oppressée par une dette insoutenable. « L’Ukraine est devant un écroulement financier et une faillite bancaire. Dans les prochains mois, le nouveau gouvernement sera aidé par des emprunts dans l’attente de la signature de l’accord avec le FMI. Des temps difficiles commenceront. Dès l’acceptation du nouvel endettement par le FMI, la dette doublera d’un seul coup. Il s’ensuivra une dévaluation par rapport au dollar et à l’euro. Cet endettement pourrait encore doubler et peser pendant plus d’une génération sur les Ukrainiens, asservis par un endettement perpétuel. »

L’écrivain bosniaque Andrej Nikolaidis, qui partage cette analyse, pense que, sous la Troïka, l’Ukraine enregistrera un endettement abyssal et un accroissement massif de la pauvreté. Il rappelle qu’« au début de la dissolution de l’ancienne Yougoslavie, la dette extérieure était de 9,5 milliards de livres. Actuellement, après l’aide reçue par la Troïka, celle-ci est supérieure à 107 milliards de livres. La Bosnie est devenue un pays plus pauvre et plus divisé qu’en 1992. Des soldats affamés et malades, qui s’étaient rassemblés pour protester, expliquaient : « Pendant que nous versons notre sang, ils sont en train de nous voler… ». Certains Bosniaques imaginaient alors l’avenir de leur pays sous la bannière de l’UE, de la Croatie ou sous celle de la Grande Serbie : plusieurs bannières, mais une pauvreté unique pour tous ».

N’y a-t-il donc pas d’autres possibilités pour l’Ukraine que d’entrer dans l’UE ou dans l’union douanière du Kremlin ? Ne pourrait-elle pas adopter une position pacifique, indépendante et neutre, tout en respectant ces deux entités supranationales ? Dans ce schéma, les Russes et l’Union européenne bénéficieraient tous d’une Ukraine pacifique. À l’inverse des oligarques russes, de ceux de l’Union européenne et de leurs homologues mondialistes atlantistes, les Ukrainiens n’ont par conséquent aucun avantage à choisir l’une ou l’autre des deux formations. Pour quelle raison les Américains et les Européens devraient-ils opter pour la propagande pro-européenne de Soros, d’Obama, de Kerry, de Clinton, de John McCain ou d’autres mondialistes ?

Les arcanes du mondialisme

Soros et son grand troupeau d’intellectuels du Project Syndicate travaillent dans ce sens. En novembre 2010, il a reçu du Canadian International Council (CIC) le Globalist of the Year Award. Le Project Syndicate comprend 500 journaux, dans plus de 150 pays, avec un tirage mondial de 70 millions d’exemplaires. La vraie force de Soros ne provient pas de sa mainmise sur la presse, mais avant tout de son appartenance à une élite défendant la gouvernance mondiale. D’ailleurs, il est un des principaux financiers du Council on Foreign Relations (CFR), le think tank le plus influent de la politique étrangère américaine3. Il s’agit d’une force qui, depuis le milieu du XXe siècle, dirige le gouvernement américain, la Réserve Fédérale, ainsi que les partis Démocrate et Républicain. Soros en a été le directeur, de 1995 à 2004. À ce poste, il a présidé, en 2000, la conférence Latin America : Sustaining Economic & Political Reform (Amérique latine : soutien économique et réforme politique), promouvant la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). Par ailleurs, Soros a été un activiste au sein d’importantes organisations mondialistes, dont certaines fondées par lui-même, comme Brookings Institution, Carnegie Endowment for International Peace, World Policy Conference, World Economic Forum, International Crisis Group, Clinton Global Initiative, Bilderberg Group, U.S. State Department, Gorbachev Foundation, The Good Club (un club exclusif de milliardaires fréquenté par Bill Gates, Warren Buffett, David Rockefeller, Ted Turner, Michael Bloomberg et Oprah Winfrey).

Ce club prône le contrôle de la population. Soros fait partie de nombreux groupes de consultation - sous l’égide de l’ONU – projetant l’instauration d’une Tobin Tax, pour limiter la volatilité du taux de change en taxant les transactions monétaires internationales, mais aussi pour permettre le contrôle mondial sur les émanations de CO2 soi-disant liées à un pseudo-réchauffement climatique. Ce mensonge a permis à son auteur, Edmund de Rothschild, en 1991, de recevoir de la part de 179 États membres de l’ONU 30 % des terres riches en minerais, en garantie des prêts contractés pour les réformes écologiques. Pour étendre de manière indicible son pouvoir et l’action du FMI, sous prétexte d’une lutte contre l’extrême pauvreté, la mortalité infantile ou le Sida, Soros a aussi fait adopter, en 2000, les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
Beaucoup de détracteurs de Soros, aussi bien à droite qu’à gauche, ignorent ces faits et voient seulement le milliardaire comme un agitateur indépendant agissant pour son propre compte.

Les oligarques dirigent Kiev

Le 10 décembre 1995, Ukrainian Weekly écrivait : « L’American-Ukrainian Advisory Committee (AUAC), qui s’est réuni à New York les 17 et 18 novembre [1995], a confirmé qu’une Ukraine ouverte et dynamique irait dans les intérêts de la stabilité de l’Europe et de la sécurité des États-Unis ». L’AUAC avait alors demandé l’intervention du Congrès américain, de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), du FMI, de la Banque mondiale et de l’UE, pour faire pression sur l’Ukraine et son président d’alors, Leonid Kouchma. Sur les doléances des États-Unis et du reste de l’Occident, cet ancien communiste engagea son pays dans une vague de privatisations, en bradant aux investisseurs privés des paquets entiers d’actions et en consolidant les avoirs des nouveaux oligarques, lesquels devinrent les vrais maîtres de l’Ukraine. En outre, au sein de l’UAUC, siègent aux côtés de Soros, des membres du CFR, comme Zbigniew Brzezinski, Henry Kissinger, Frank Carlucci et Richard Burt. Ce sont les mêmes qui, aujourd’hui, forcent l’Ukraine à entrer dans l’Europe.

Victor Pintchouk est un des oligarques qui a bénéficié du programme frauduleux des privatisations ukrainiennes. Soros et la Victor Pintchouk Foundation collaborent dans le financement de plusieurs ONG et de projets en Ukraine. Soros participe aux conférences du Yalta european Strategy (Yes), think tank de Pintchouk, qui se trouve en Crimée, au palais de Livadia. Comme pour le groupe Bilderberg, dont David Rockefeller est un des fondateurs, les réunions du Yes se déroulent à huis clos. Elles accueillent des présidents, des Premiers ministres, des magnats de l’industrie et de la finance, ainsi que des dirigeants de multinationales. Les participants américains qui y adhèrent, outre Soros, sont notamment Bill Clinton, William Daley (chef de l’équipe Obama), Robert Zoellick (représentant de Bush pour le commerce et président de la Banque mondiale de 2007 à 2012), aussi bien que Newt Gingrich, président de la Chambre des représentants des États-Unis et Condoleezza Rice.
Pintchouk, ami et financier de Bill Clinton et de Hillary Clinton, n’a pas seulement financé la Clinton Global Initiative, il a aussi versé 13 millions de dollars à la Bill, Hillary and Chelsea Clinton Foundation. Douglas E. Schoen (CFR), conseiller des Clinton, a été embauché, en 2000, par Pintchouk, avec des émoluments à hauteur de 40 000 dollars par mois.

Une des initiatives communes de Soros et Pintchouk est le financement de l’Ukraine Crisis Media Center (CMC). Ce groupe, qui propose une collaboration entre des entreprises ukrainiennes évoluant dans le secteur des relations publiques et des journalistes, a ses quartiers généraux dans l’Hotel Ucraina de Kiev. Le CMC a été officiellement créé pour se distinguer de la propagande émanant des médias russes, en produisant soi-disant une information indépendante, avec l’imprimatur du couple Pintchouk/Soros.

Dans le champ politique, le nouveau gouvernement de Kiev n’est rien d’autre qu’une représentation oligarchique, composée d’anciens communistes amis de Pintchouk. Ce dernier est membre du Peterson Institute for International Economics, think tank atlantiste basé à Washington D.C. Il siège avec Soros au Brookings Institution, un autre think tank, dont le siège est aussi à Washington D.C.

L’Ukraine et la Rothschild Connexion

Soros et Pintchouk ont également des connexions avec la dynastie des Rothschild. En 2011, George C. Karlweis, conseiller du baron Edmond de Rothschild, révélait que Rothschild avait fourni à Soros des capitaux pour fonder la banque d’investissement Quantum group of Funds.

L’étendue des liens entre Pintchouk et l’empire des Rothschild se vérifie également par le rôle de Jean-Pierre Saltiel, qui a travaillé au ministère des Affaires étrangères, à Paris. Il siège au conseil du Yalta European Strategy de Pintchouk et au conglomérat ukrainien du secteur mondial de l’acier et de la métallurgie, Interpipe group. Saltiel est depuis longtemps consultant des Rothschild. De 1999 à 2004, il a d’ailleurs été président du Rothschild Conseil International, une des branches principales qui gèrent les affaires de la famille. Saltiel siège aussi au conseil du Pik group, la plus grande entreprise de bâtiment russe, fondée en 1994 par les oligarques Yuri Zhukov et Kirill Pisaerev.
Comme Soros et Rothschild, l’oligarque ukrainien Pintchouk travaille avec plusieurs oligarques russes. Les réunions du Yes accueillent régulièrement de nombreux oligarques de l’entourage de Poutine : des politiciens et des cadres nommés par ses soins.

Alfa Bank, la plus grande banque privée russe, est un sponsor du Yes. Son président, Michael Fridman, est un allié de Poutine. Cet oligarque « russe », qui siège à l’International Advisory Board du CFR, a subventionné la création du Russia and Russian-American Relations Lecture, programme du CFR pour le développement des relations entre les États-Unis et la Russie. Qui plus est, Rinat Akhmetov, le plus riche oligarque ukrainien, à présent membre du nouveau gouvernement, est un allié de Poutine et de Ianoukovytch.

Poutine, le pion dans l’échiquier mondialiste

Comme Fridman et Soros, Rinat Akhmetov, chargé des affaires avec la Russie, l’UE et les États-Unis, est un financier du Yes. Malgré les apparences, la Russie est devenue une alliée des affaires de Soros, pendant qu’Angela Merkel (ancienne communiste de l’Allemagne de l’Est, qui dirige maintenant l’Allemagne unifiée) sert de médiatrice avec la Russie.

Dans l’article déjà cité de Project Syndicate, Soros avance : « L’Allemagne doit prendre la situation en main. La chancelière Angela Merkel doit rencontrer le président Poutine et garantir que la Russie est une partenaire, et non une adversaire, du processus de renaissance de l’Ukraine ». William F. Jasper pense que la politique de Poutine a pour objectif de jeter l’Ukraine dans les bras des Occidentaux. Dans ses livres New Lies for Old et The Perestroika Deception, Anatoliy Mikhaïlovitch Golitsyne, ancien espion du KGB passé à l’Ouest en 1961, affirme que la Russie a toujours entrepris une stratégie de convergence avec les États-Unis. (en 1967, le KGB tenta de l’assassiner). Ensuite, quand tout se sera calmé, Poutine et ses oligarques feront des affaires, comme d’habitude, avec le nouveau gouvernement ukrainien et ses oligarques.

Un plan Marshall pour Kiev

Dans The Wise Men (les hommes sages), les auteurs Walter Isaacson (CFR) et Evan Thomas rapportent une conversation où John J. McCloy - important membre du CFR et architecte du plan Marshall - explique comment il a fait croire au peuple américain qu’il était nécessaire de combattre le communisme et de développer le plan Marshall. Dean Acheson, secrétaire d’État américain de 1949 à 1953, un autre soi-disant sage du CFR, concluait « que la rhétorique anticommuniste est nécessaire pour gagner l’appui de la politique britannique. » Acheson et les membres du CFR n’avaient aucune intention de combattre le communisme et savaient pertinemment que le Plan Marshall n’était pas un programme anti-communiste, mais un procédé utile pour établir les prémices de l’Europe à travers la Communauté européenne du Charbon et de l’Acier, premier germe de la future UE, au prix, bien entendu, de milliards de dollars provenant des contribuables américains. En fait, bien loin d’être anti-communistes, McCloy, Acheson, Averill Harriman, Charles Bohlen, Robert Lovett, étaient d’ardents anti-anti-communistes.

En outre, pendant que McCloy et ses alliés promouvaient le plan Marshall, officiellement pour combattre le communisme, sous l’influence du CFR, l’Occident fournissait à l’Union soviétique des aides colossales, financières ou technologiques, comme l’expose en détail le Pr Antony Sutton, dans The best enemy money can buy (le meilleur ennemi que l’argent peut acheter), National Suicide, et Western Technology and Soviet Economic Development. Dans Russia from the American Embassy (la Russie vue de l’ambassade américaine) (1921), l’ambassadeur américain à Moscou, David Francis, affirme que la révolution bolchévique a été soutenue par les Rockefeller et les financiers américains, par l’intermédiaire de la Fabian Society. Dans Les sacrifiés du Danube (1957), Virghil Gheorghiu, prêtre, puis évêque orthodoxe roumain ayant officié à Paris, écrit que, dans les années 1950 les Américains finançaient l’édification de prisons en Bulgarie. Dans L’holocauste des âmes (1997), Grégoire Dumitrescu, rescapé de la prison communiste de Pitesti (Bucarest), qui avait pour but de rééduquer les esprits par la torture, sous la direction d’Ana Pauker (fille de rabbin, élue modèle de la femme communiste par Staline), affirmait que Radio Free Europe servait à entretenir une opposition stérile contre le bloc de l’Est.

Le CFR savait qu’il serait plus facile de faire adopter ses programmes mondialistes dans un imbroglio anti-communiste. Le fait que, aujourd’hui, George Soros & Co. envisagent un nouveau plan Marshall et utilisent une rhétorique typique de la Guerre froide, n’est pas une banale coïncidence. Il s’agit d’une manœuvre ayant pour but ultime de réaliser la convergence UE-FMI. Ce procédé usé jusqu’à la corde est encore utilisé pour vendre l’Ukraine aux charognards que sont Manuel Barroso, Mario Draghi et Christine Lagarde… et pour faire payer l’addition de cet effort aux contribuables américains, européens et ukrainiens.

Laurent Glauzy

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Message par l123 Mer 16 Avr 2014 - 17:24

Merci pour cet article très intéressant

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