Viande clonée
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Viande clonée
Les Américains pourront manger de la viande clonée
Les autorités américaines ont donné leur feu vert à la consommation de produits clonés, et n'imposent aucune mesure d'étiquetage.
« La viande et les laitages provenant de bovins, de porcs et de chèvres (clonés) sont aussi sûrs que la nourriture que nous consommons tous les jours ». Tel est le verdict final de l'agence américaine de réglementation des produits alimentaires (FDA), une décision qui ouvre la voie à la commercialisation de ces produits.
Les producteurs observaient depuis 2001 un moratoire sur les ventes de produits clonés depuis 2001, à la demande de la FDA. Même si celle-ci demande la prolongation de cette restriction volontaire « durant une période de transition pour que le marché s'adapte », la vente de produits issus du clonage est théoriquement ouverte. A l'exception des ovins, pour lesquels la FDA estime n'avoir pas suffisamment d'informations pour trancher, même si le tout premier animal cloné était la brebis Dolly.
Pour motiver sa décision, la FDA souligne avoir mené des recherches intenses, et passé en revue toute la littérature scientifique mondiale sur le sujet depuis des années. Sans y trouver la moindre preuve d'un risque. Dans le détail, la création d'un animal par clonage produit quelques anomalies, mais aucune qui n'ait déjà été produite par reproduction naturelle ou par une autre technique de reproduction assistée. La fréquence de ces anomalies est certes plus importante avec le clonage, mais la FDA estime que, comme pour les techniques de procréation plus anciennes, celle-ci diminuera avec la pratique.
Réservé aux riches ?
Ce feu vert n'implique pas pour autant l'arrivée massive de steack de bœuf cloné sur les étals. Ce serait aujourd'hui un met réservé aux plus riches, un animal cloné coûtant à l'heure actuelle entre 7.000 et 14.000 euros. Les clones seront plus probablement utilisés comme reproducteurs d'élites. Un cheptel de vaches laitières très performantes pourrait être engendré par reproduction naturel entre plusieurs couples de bovins clonés présentant les caractéristiques idéales.
Comme les produits clonés et leur descendance ne présentent aux yeux des autorités américaines aucun risque par rapport à la viande que nous mangeons aujourd'hui, la FDA a également décidé de n'imposer aucun étiquetage particulier sur les produits de cette filière à leur mise en vente. Une décision qui ne satisfait pas tous les producteurs, qui craignent de ce fait une suspicion générale du public et des acheteurs à l'étranger.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/01/16/01008-20080116ARTFIG00328-les-americains-pourront-manger-de-la-viande-clonee.php
Les autorités américaines ont donné leur feu vert à la consommation de produits clonés, et n'imposent aucune mesure d'étiquetage.
« La viande et les laitages provenant de bovins, de porcs et de chèvres (clonés) sont aussi sûrs que la nourriture que nous consommons tous les jours ». Tel est le verdict final de l'agence américaine de réglementation des produits alimentaires (FDA), une décision qui ouvre la voie à la commercialisation de ces produits.
Les producteurs observaient depuis 2001 un moratoire sur les ventes de produits clonés depuis 2001, à la demande de la FDA. Même si celle-ci demande la prolongation de cette restriction volontaire « durant une période de transition pour que le marché s'adapte », la vente de produits issus du clonage est théoriquement ouverte. A l'exception des ovins, pour lesquels la FDA estime n'avoir pas suffisamment d'informations pour trancher, même si le tout premier animal cloné était la brebis Dolly.
Pour motiver sa décision, la FDA souligne avoir mené des recherches intenses, et passé en revue toute la littérature scientifique mondiale sur le sujet depuis des années. Sans y trouver la moindre preuve d'un risque. Dans le détail, la création d'un animal par clonage produit quelques anomalies, mais aucune qui n'ait déjà été produite par reproduction naturelle ou par une autre technique de reproduction assistée. La fréquence de ces anomalies est certes plus importante avec le clonage, mais la FDA estime que, comme pour les techniques de procréation plus anciennes, celle-ci diminuera avec la pratique.
Réservé aux riches ?
Ce feu vert n'implique pas pour autant l'arrivée massive de steack de bœuf cloné sur les étals. Ce serait aujourd'hui un met réservé aux plus riches, un animal cloné coûtant à l'heure actuelle entre 7.000 et 14.000 euros. Les clones seront plus probablement utilisés comme reproducteurs d'élites. Un cheptel de vaches laitières très performantes pourrait être engendré par reproduction naturel entre plusieurs couples de bovins clonés présentant les caractéristiques idéales.
Comme les produits clonés et leur descendance ne présentent aux yeux des autorités américaines aucun risque par rapport à la viande que nous mangeons aujourd'hui, la FDA a également décidé de n'imposer aucun étiquetage particulier sur les produits de cette filière à leur mise en vente. Une décision qui ne satisfait pas tous les producteurs, qui craignent de ce fait une suspicion générale du public et des acheteurs à l'étranger.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/01/16/01008-20080116ARTFIG00328-les-americains-pourront-manger-de-la-viande-clonee.php
Dernière édition par le Jeu 17 Jan 2008 - 12:44, édité 1 fois
Re: Viande clonée
Bientôt du steak cloné
Plus rien n’empêche les agriculteurs américains de commercialiser de la viande et du lait provenant d’animaux clonés. La Food and Drug Administration des États-Unis a publié hier un rapport de 900 pages établissant une fois pour toutes que la viande de porcs et le lait de vaches et de chèvres clonés ou de leurs descendants ne posent pas de risques pour la santé humaine.
«Ils sont aussi bons (safe) que la nourriture que nous mangeons tous les jours», a résumé Stephen F. Sundlof, le directeur du Centre sur la sécurité alimentaire et la nutrition appliquée de la FDA.
Des doutes subsistent toutefois autour des sous-produits du mouton et des autres races d’élevage. L’organisme propose donc de les garder hors de la chaîne alimentaire.
Cette conclusion n’a surpris personne puisque la FDA avait annoncé ses couleurs dans une ébauche d’analyse de risque publiée en décembre 2006. Après une année de validation scientifique et de consultations publiques, les fonctionnaires américains se disent plus convaincus que jamais qu’il n’y a aucune différence entre un clone adulte et un animal élevé de façon traditionnelle.
La vente de viande clonée n’a jamais été légalement interdite aux États-Unis, mais un moratoire volontaire était respecté par l’industrie agroalimentaire. Le U.S. Department of Agriculture proposera sous peu une transition «douce et ordonnée» vers l’ouverture des marchés. Les groupes de défense des consommateurs y étant généralement opposés, plusieurs entreprises agroalimentaires hésitent à se lancer dans l’aventure.
La FDA a fait savoir hier qu’elle n’exigerait aucune mention spéciale sur l’étiquette des produits issus de clones. Ceux qui voudront s’afficher clone-free, ou sans clone, pourront le faire à condition de respecter la réglementation en vigueur, qui exige des allégations publicitaires qu’elles soient vraies et non trompeuses. Cela dit, il y a peu de chances que de vrais clones se retrouvent sur les tablettes des supermarchés. Très coûteux — entre 10 000 $ et 20 000 $ pièce minimum —, ces animaux sont destinés à la reproduction. C’est donc de leurs descendants dont il est question.
Pression sur le Canada
La viande et le lait de ces bêtes pourraient-ils traverser la frontière canado-américaine? Santé Canada devra d’abord faire sa propre évaluation de risque. L’organisme promet des conclusions «aussitôt que possible», mais s’est montré très prudent sur la question jusqu’à maintenant.
Par exemple, la semence des clones du célèbre taureau Starbuck, dupliqué à Saint-Hyacinthe, a toujours été interdite de commercialisation. Justement pour éviter que la progéniture ne se retrouve dans la chaîne alimentaire.
«À l’heure actuelle, il n’y a aucun aliment provenant d’animaux clonés vendu au Canada», insiste Paul Duchesne, porte-parole de Santé Canada.
François Pothier, professeur au département des sciences animales de l’Université Laval, croit que la décision américaine vient mettre de la pression sur le Canada. «On peut bloquer l’entrée de produits… si on est capable de les identifier», dit-il, faisant remarquer que le jeu du commerce entre les deux pays est très complexe.
M. Pothier est convaincu du sérieux de l’exercice mené par la FDA. Il mangerait lui-même un steak cloné sans rechigner. «Ça ne m’inquiéterait pas. Mais en bon scientifique, je ne peux pas dire qu’il n’y a absolument aucune différence (avec la viande ordinaire). On trouve là où on regarde.»
L’Autorité européenne pour la sécurité des aliments (AESA), l’équivalent de la FDA, est aussi en voie de donner son accord à la commercialisation de nourriture issue d’animaux clonés. Une série d’autorisations seront toutefois nécessaires pour ce faire.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080116/CPSOLEIL/80115289/6730/CPACTUALITES
Plus rien n’empêche les agriculteurs américains de commercialiser de la viande et du lait provenant d’animaux clonés. La Food and Drug Administration des États-Unis a publié hier un rapport de 900 pages établissant une fois pour toutes que la viande de porcs et le lait de vaches et de chèvres clonés ou de leurs descendants ne posent pas de risques pour la santé humaine.
«Ils sont aussi bons (safe) que la nourriture que nous mangeons tous les jours», a résumé Stephen F. Sundlof, le directeur du Centre sur la sécurité alimentaire et la nutrition appliquée de la FDA.
Des doutes subsistent toutefois autour des sous-produits du mouton et des autres races d’élevage. L’organisme propose donc de les garder hors de la chaîne alimentaire.
Cette conclusion n’a surpris personne puisque la FDA avait annoncé ses couleurs dans une ébauche d’analyse de risque publiée en décembre 2006. Après une année de validation scientifique et de consultations publiques, les fonctionnaires américains se disent plus convaincus que jamais qu’il n’y a aucune différence entre un clone adulte et un animal élevé de façon traditionnelle.
La vente de viande clonée n’a jamais été légalement interdite aux États-Unis, mais un moratoire volontaire était respecté par l’industrie agroalimentaire. Le U.S. Department of Agriculture proposera sous peu une transition «douce et ordonnée» vers l’ouverture des marchés. Les groupes de défense des consommateurs y étant généralement opposés, plusieurs entreprises agroalimentaires hésitent à se lancer dans l’aventure.
La FDA a fait savoir hier qu’elle n’exigerait aucune mention spéciale sur l’étiquette des produits issus de clones. Ceux qui voudront s’afficher clone-free, ou sans clone, pourront le faire à condition de respecter la réglementation en vigueur, qui exige des allégations publicitaires qu’elles soient vraies et non trompeuses. Cela dit, il y a peu de chances que de vrais clones se retrouvent sur les tablettes des supermarchés. Très coûteux — entre 10 000 $ et 20 000 $ pièce minimum —, ces animaux sont destinés à la reproduction. C’est donc de leurs descendants dont il est question.
Pression sur le Canada
La viande et le lait de ces bêtes pourraient-ils traverser la frontière canado-américaine? Santé Canada devra d’abord faire sa propre évaluation de risque. L’organisme promet des conclusions «aussitôt que possible», mais s’est montré très prudent sur la question jusqu’à maintenant.
Par exemple, la semence des clones du célèbre taureau Starbuck, dupliqué à Saint-Hyacinthe, a toujours été interdite de commercialisation. Justement pour éviter que la progéniture ne se retrouve dans la chaîne alimentaire.
«À l’heure actuelle, il n’y a aucun aliment provenant d’animaux clonés vendu au Canada», insiste Paul Duchesne, porte-parole de Santé Canada.
François Pothier, professeur au département des sciences animales de l’Université Laval, croit que la décision américaine vient mettre de la pression sur le Canada. «On peut bloquer l’entrée de produits… si on est capable de les identifier», dit-il, faisant remarquer que le jeu du commerce entre les deux pays est très complexe.
M. Pothier est convaincu du sérieux de l’exercice mené par la FDA. Il mangerait lui-même un steak cloné sans rechigner. «Ça ne m’inquiéterait pas. Mais en bon scientifique, je ne peux pas dire qu’il n’y a absolument aucune différence (avec la viande ordinaire). On trouve là où on regarde.»
L’Autorité européenne pour la sécurité des aliments (AESA), l’équivalent de la FDA, est aussi en voie de donner son accord à la commercialisation de nourriture issue d’animaux clonés. Une série d’autorisations seront toutefois nécessaires pour ce faire.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080116/CPSOLEIL/80115289/6730/CPACTUALITES
Re: Viande clonée
petit extrait de:
MESSAGE DE JÉSUS
via Henri de Belgique
~ Nouveau Messager ~
Reçu le 15 janvier 2008
Message de Jésus:
Mon tout petit Henri, Mon coeur saigne aujourd'hui devant les choix de Mes enfants.
Vous vous détruisez et vous afaiblissez de plus en plus par vos comportements.
Ayez une vie saine, Mes petits; combien de fois vous ai-je avertis ?
Votre monde est rempli d'idées et de convictions qui sont liées à vos sociétés commerciales et n'ont donc d'autres soucis que de produire de l'argent.
Mais d'un autre côté cela vous tue et tue vos enfants !
Vous hésitez ? Mes touts petits, Mon saint Pape Karol vous a guidés de nombreuses années et il vous a donné Sainte Hildegarde pour sainte.
Dans Mon Coeur, elle est sainte depuis si longtemps.
Par elle, je vous ai communiqué des consignes sur votre hygiène de vie, sur votre santé, sur votre nourriture et sur la façon de vous soigner.
Renseignez-vous et tenez en compte !!!
Je vous le répète et particulièrement pour ceux qui doutes que Ma voix puisse vous donner ces conseils: Votre Seigneur Jésus, Fils du Dieu vivant vous presse en ces derniers temps de faire attention à votre alimentation et de suivre les conseils de Sainte Hildegarde.
N'en venez pas à manger la nourriture clonée ! Faites bien attention, Mes enfants !
J'ai mis sur votre chemin des personnes à suivre afin de vous guider et éviter les pièges du malin !
Le professeur Lejeune était de ces personnes !..............
MESSAGE DE JÉSUS
via Henri de Belgique
~ Nouveau Messager ~
Reçu le 15 janvier 2008
Message de Jésus:
Mon tout petit Henri, Mon coeur saigne aujourd'hui devant les choix de Mes enfants.
Vous vous détruisez et vous afaiblissez de plus en plus par vos comportements.
Ayez une vie saine, Mes petits; combien de fois vous ai-je avertis ?
Votre monde est rempli d'idées et de convictions qui sont liées à vos sociétés commerciales et n'ont donc d'autres soucis que de produire de l'argent.
Mais d'un autre côté cela vous tue et tue vos enfants !
Vous hésitez ? Mes touts petits, Mon saint Pape Karol vous a guidés de nombreuses années et il vous a donné Sainte Hildegarde pour sainte.
Dans Mon Coeur, elle est sainte depuis si longtemps.
Par elle, je vous ai communiqué des consignes sur votre hygiène de vie, sur votre santé, sur votre nourriture et sur la façon de vous soigner.
Renseignez-vous et tenez en compte !!!
Je vous le répète et particulièrement pour ceux qui doutes que Ma voix puisse vous donner ces conseils: Votre Seigneur Jésus, Fils du Dieu vivant vous presse en ces derniers temps de faire attention à votre alimentation et de suivre les conseils de Sainte Hildegarde.
N'en venez pas à manger la nourriture clonée ! Faites bien attention, Mes enfants !
J'ai mis sur votre chemin des personnes à suivre afin de vous guider et éviter les pièges du malin !
Le professeur Lejeune était de ces personnes !..............
Lecha T- J'adore l'Eucharistie
- Messages : 262
Inscription : 06/12/2007
Re: Viande clonée
J'ai demandé à qelqu'un ce qu'il en pensait et il m'a dit:
"Tant mieux si cela a le même goût, c'est pas grave..."
"Tant mieux si cela a le même goût, c'est pas grave..."
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