@ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
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Henri Dubois
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Lotfi
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@ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Mis à jour le 01-11-2012 à 03h05
Tunisie: l'état d'urgence prolongé de 3 mois après des violences salafistes
TUNIS (AFP) - La présidence tunisienne a prolongé mercredi de trois mois, jusqu'en janvier 2013, l'état d'urgence, semblant signifier une détérioration des conditions de sécurité dans le pays, au lendemain d'affrontements entre forces de l'ordre et islamistes radicaux.
"Le président de la république provisoire Moncef Marzouki a décidé mercredi de prolonger de trois mois l'état d'urgence à compter du 1er novembre 2012", a indiqué l'agence officielle TAP.
L'état d'urgence, qui confère des pouvoirs d'intervention accrus aux forces de l'ordre et à l'armée, est en vigueur en Tunisie depuis janvier 2011 et la fuite du président Zine El Abidine Ben Ali à l'issue d'une révolution.
Depuis juillet, il n'était prolongé que par tranche d'un mois. Les autorités assuraient que cela témoignait d'une amélioration des conditions de sécurité.
Cette décision intervient au lendemain d'affrontements entre les forces de l'ordre et des militants islamistes radicaux qui avaient attaqué deux postes de la garde nationale dans un quartier de la banlieue de Tunis de La Manouba.
Selon le bilan officiel, un assaillant a été tué par balles et deux agents ont été blessés. Une source policière interrogée par l'AFP et plusieurs médias tunisiens font cependant état de deux morts.
Le gouvernement, dominé par les islamistes d'Ennahda, assure être déterminé à lutter contre ce type de violences, alors que l'opposition l'accuse de faire preuve de laxisme voire de complaisance à l'égard des salafistes jihadistes.
Le ministère de l'Intérieur a averti mercredi que les forces de sécurité allait recourir à "tous les outils permis par la loi", laissant entendre que des balles réelles seraient utilisées le cas échéant.
Il a aussi affirmé avoir déployé de vastes renforts dans le quartier de Douar Hicher, où les violences ont eu lieu mardi.
Cependant, sur le terrain, aucun dispositif de sécurité renforcé n'était visible dans la journée et des dizaines de personnes semblant appartenir à la mouvance salafiste, certains armés de couteaux, étaient rassemblés dans les rues selon une journaliste de l'AFP.
Certains ont assuré se préparer à de nouveaux affrontements. "On ne va pas laisser le meurtre d'hier sans réaction", a affirmé l'un d'eux.
Un autre, âgé d'une vingtaine d'années, a reconnu que les violences avaient été déclenchées par l'interpellation de plusieurs salafistes, estimant "que ce n'est pas une raison pour tirer dans la tête d'un Tunisien".
Ennahda, qui se pose en partisan d'un islamisme politique modéré, a pour sa part réagi à ces heurts de manière ambiguë.
Il a appelé "au calme" et noté que "l'Etat a le droit de faire face à toute menace à la paix sociale" tout en disant "prier" pour "le citoyen tunisien" mort dans l'attaque des postes de police.
Les salafistes jihadistes, une branche rigoriste de l'islam sunnite, sont considérées comme responsables de nombreux coups d'éclats, certains sanglants, depuis la révolution de 2011.
Les évènements de mardi sont les plus graves impliquant cette mouvance depuis l'attaque le 14 septembre de l'ambassade des Etats-Unis (quatre morts parmi les assaillants, des dizaines de blessés).
Une centaine de personnes suspectées d'avoir participé à ces heurts en représailles à un film islamophobe diffusé sur internet ont été arrêtés depuis, mais leur chef présumé, Abou Iyadh, est toujours en fuite.
La Tunisie peine à se stabiliser depuis la révolution. Des manifestations motivées politiquement, religieusement ou par des revendications économiques et sociales dégénèrent régulièrement en violences.
Ainsi le 18 octobre, un responsable du parti d'opposition Nidaa Tounès à Tataouine (sud) est mort en marge d'affrontements entre ses partisans et des manifestants proches des islamistes au pouvoir.
Tunisie: l'état d'urgence prolongé de 3 mois après des violences salafistes
TUNIS (AFP) - La présidence tunisienne a prolongé mercredi de trois mois, jusqu'en janvier 2013, l'état d'urgence, semblant signifier une détérioration des conditions de sécurité dans le pays, au lendemain d'affrontements entre forces de l'ordre et islamistes radicaux.
"Le président de la république provisoire Moncef Marzouki a décidé mercredi de prolonger de trois mois l'état d'urgence à compter du 1er novembre 2012", a indiqué l'agence officielle TAP.
L'état d'urgence, qui confère des pouvoirs d'intervention accrus aux forces de l'ordre et à l'armée, est en vigueur en Tunisie depuis janvier 2011 et la fuite du président Zine El Abidine Ben Ali à l'issue d'une révolution.
Depuis juillet, il n'était prolongé que par tranche d'un mois. Les autorités assuraient que cela témoignait d'une amélioration des conditions de sécurité.
Cette décision intervient au lendemain d'affrontements entre les forces de l'ordre et des militants islamistes radicaux qui avaient attaqué deux postes de la garde nationale dans un quartier de la banlieue de Tunis de La Manouba.
Selon le bilan officiel, un assaillant a été tué par balles et deux agents ont été blessés. Une source policière interrogée par l'AFP et plusieurs médias tunisiens font cependant état de deux morts.
Le gouvernement, dominé par les islamistes d'Ennahda, assure être déterminé à lutter contre ce type de violences, alors que l'opposition l'accuse de faire preuve de laxisme voire de complaisance à l'égard des salafistes jihadistes.
Le ministère de l'Intérieur a averti mercredi que les forces de sécurité allait recourir à "tous les outils permis par la loi", laissant entendre que des balles réelles seraient utilisées le cas échéant.
Il a aussi affirmé avoir déployé de vastes renforts dans le quartier de Douar Hicher, où les violences ont eu lieu mardi.
Cependant, sur le terrain, aucun dispositif de sécurité renforcé n'était visible dans la journée et des dizaines de personnes semblant appartenir à la mouvance salafiste, certains armés de couteaux, étaient rassemblés dans les rues selon une journaliste de l'AFP.
Certains ont assuré se préparer à de nouveaux affrontements. "On ne va pas laisser le meurtre d'hier sans réaction", a affirmé l'un d'eux.
Un autre, âgé d'une vingtaine d'années, a reconnu que les violences avaient été déclenchées par l'interpellation de plusieurs salafistes, estimant "que ce n'est pas une raison pour tirer dans la tête d'un Tunisien".
Ennahda, qui se pose en partisan d'un islamisme politique modéré, a pour sa part réagi à ces heurts de manière ambiguë.
Il a appelé "au calme" et noté que "l'Etat a le droit de faire face à toute menace à la paix sociale" tout en disant "prier" pour "le citoyen tunisien" mort dans l'attaque des postes de police.
Les salafistes jihadistes, une branche rigoriste de l'islam sunnite, sont considérées comme responsables de nombreux coups d'éclats, certains sanglants, depuis la révolution de 2011.
Les évènements de mardi sont les plus graves impliquant cette mouvance depuis l'attaque le 14 septembre de l'ambassade des Etats-Unis (quatre morts parmi les assaillants, des dizaines de blessés).
Une centaine de personnes suspectées d'avoir participé à ces heurts en représailles à un film islamophobe diffusé sur internet ont été arrêtés depuis, mais leur chef présumé, Abou Iyadh, est toujours en fuite.
La Tunisie peine à se stabiliser depuis la révolution. Des manifestations motivées politiquement, religieusement ou par des revendications économiques et sociales dégénèrent régulièrement en violences.
Ainsi le 18 octobre, un responsable du parti d'opposition Nidaa Tounès à Tataouine (sud) est mort en marge d'affrontements entre ses partisans et des manifestants proches des islamistes au pouvoir.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Oui enfin libre........
Les Elections libres ont eu lieu pour la première fois dans histoire.
Une Justice libre,un conseil constitutif élu et une nouvelle constitution en préparation.
Les Elections libres ont eu lieu pour la première fois dans histoire.
Une Justice libre,un conseil constitutif élu et une nouvelle constitution en préparation.
Lotfi- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Vous appelez cela libre ???
Tunisie: l'état d'urgence prolongé de 3 mois après des violences salafistes
Tunisie: l'état d'urgence prolongé de 3 mois après des violences salafistes
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
L'Etat d'urgence est momentané...çà peut durer sans altérer le fonctionnement des pouvoirs publics et l'économie du pays......
La Presse aussi est libre......On n'est plus sous les bottes des dictateurs
La Presse aussi est libre......On n'est plus sous les bottes des dictateurs
Lotfi- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Lotfi a écrit: L'Etat d'urgence est momentané... çà peut durer sans altérer le fonctionnement des pouvoirs publics et l'économie du pays......
La Presse aussi est libre......On n'est plus sous les bottes des dictateurs
Et bien, je souhaite qu'il en soit ainsi pour vous et votre peuple.
Toute nation a droit à la liberté, à la paix et à la démocratie.
Gilles de Québec.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Non, la presse n'est absolument pas libre du tout!Lotfi a écrit:L'Etat d'urgence est momentané...çà peut durer sans altérer le fonctionnement des pouvoirs publics et l'économie du pays......
La Presse aussi est libre......On n'est plus sous les bottes des dictateurs
Manifestation le 22 août à Tunis (AFP / FETHI BELAID)
Ras-le-bol des journalistes en Tunisie ! Nominations contestées à la tête de médias publics, poursuites en justice de patrons de presse ou journalistes, absence de liberté de la presse dans la Constitution... le syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a décidé d'appeler les journalistes à observer une journée de grève générale mercredi 17 octobre. Une première dans l'histoire de la Tunisie qui devrait être soutenue par une grève d'une heure décidée par 320 médias arabes en signe de solidarité aux revendications des journalistes tunisiens, a indiqué un membre du bureau exécutif du SNJT Aymen Rezgui.
Pour le Bureau, cette grève apparaît comme la seule voie "après épuisement de toutes les voies de dialogue avec le gouvernement" et le "piétinement" des négociations engagées.
Alors que le texte de la prochaine Constitution est encore en négociation, le SNJT demande que la liberté d'expression, de la presse et de la création y soit inscrite, qu'une instance nationale indépendante de l'information audiovisuelle soit enfin créée et s'oppose à tout projet de loi qui prévoirait des sanctions pénales à l'encontre des journalistes et porterait atteinte à la liberté de presse et d'expression.
Le SNJT appelle en outre à reconsidérer les récentes "nominations unilatérales" et "parachutées" à la tête des médias publics.
Crise profonde
Cela fait des semaines qu'une crise dure entre le gouvernement dominé par les islamistes d'Ennahda et les journalistes tunisiens.
"Le gouvernement a essayé de toutes les manières de mettre la main sur le secteur à travers des nominations arbitraires à la tête des médias étatiques, arguant d'un vide juridique alors que nous avons voté deux grands décrets qui réglementent la profession : le 115 – nouveau code de la presse – et le 116 qui crée l'instance indépendante pour la communication audiovisuelle, une sorte de CSA à la tunisienne. Les organisations professionnelles ne cessent de demander leur application et le gouvernement s'y refuse", expliquait déjà il y a six semaines au "Nouvel Observateur" la journaliste tunisienne Hanène Zbiss.
Depuis, rien n'a changé. Nouvelle étape dans la confrontation, une crise a éclaté au sein du journal privé "Assabah" où des journalistes ont entamé une grève de la faim. Ils exigent le départ de leur directeur, Lotfi Touati, un ancien policier reconverti dans le journalisme, qui a été désigné à la tête du journal par le gouvernement devenu propriétaire du titre.
Mercredi, donc, les journalistes sont appelés à observer une grève sur leur lieu de travail avant de se rassembler à 13h30 au siège du SNJT. Il est convenu que la presse écrite et électronique ne couvrira aucune actualité, tandis que les journaux télévisés et des radios se contenteront des titres de l’actualité avec une seule édition pour toute la journée pour les radios.
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121017.OBS5912/greve-generale-des-medias-en-tunisie-ce-mercredi.html
Mais ce n'est pas tout:Le vrai visage des Islamistes
Rached Ghannouchi, le 20 septembre 2012. (FETHI BELAID / AFP)
Sur le même sujet
» TUNISIE. Le blasphème ne figurera pas dans la Constitution
Les vidéos volées sont des instruments redoutables en politique. Rached Ghannouchi, leader du parti Ennahda, qui domine le gouvernement tunisien depuis les élections d’il y a un an, vient de l’apprendre à ses dépens. Sur le Net circule depuis quelques jours un film édifiant qui révèle la véritable pensée de Rached Ghannouchi, très éloignée de son discours public. La chose serait comique si les propos tenus par le chef des "islamistes modérés" ne jetaient une lumière sinistre sur le processus en cours en Tunisie.
Manifestement réalisé à l’insu du leader islamiste "modéré", l’enregistrement date du printemps dernier. Ghannouchi reçoit un groupe de jeunes militants salafistes, du nom de ce courant extrême et souvent violent dont les exactions ont émaillé la vie politique tunisienne à de multiples reprises.
Que dit Ghannouchi ? Loin de sermonner ou même de critiquer ces extrémistes, il discute avec eux pour défendre l’action de son parti. Le parti Ennahda, explique-t-il, ne peut réaliser son programme aussi vite qu’on pourrait le souhaiter : les "laïques", dit-il, opposent encore une forte résistance, dans la presse, dans l’armée et même dans l’appareil d’Etat. Il faut du temps, ajoute-t-il, aux islamistes pour contrôler l’administration et les médias.
Alors que son parti est censé préparer une nouvelle constitution démocratique, Ghannouchi parle de toute évidence comme si lui et ses interlocuteurs salafistes partageaient les mêmes buts politiques, pour ne diverger que sur le calendrier et les moyens.
Il s’agit bien, à l’écouter, d’instaurer une république islamique, ou islamiste, où la laïcité aurait disparu et où les lois seraient inspirées de la charia. Ghannouchi va jusqu’à expliquer au jeunes salafistes que le mot "charia" n’a pas une importance décisive (les laïques ont empêché qu’il soit inclus dans le texte de la future constitution). C’est la chose qui compte et celle-ci sera mise en œuvre dès que les oppositions auront été surmontées. Ghannouchi poursuit en encourageant ses interlocuteurs au prosélytisme dans les mosquées et dans la société, pensant de toute évidence que l’islamisation de celle-ci par le bas convergera avec l’action qu’il compte mener à la tête de l’Etat.
Un utile avertissement
La vidéo a suscité un énorme scandale en Tunisie. Les autres partis ont aussitôt dénoncé le double langage d’Ennahda, qui se répand en protestations légalistes, qui condamne les violences des salafistes, mais qui souscrit en fait à leur programme et se répartit discrètement les rôles avec eux : les bons islamistes dans le gouvernement, les méchants à l’extérieur, les premiers se démarquant en apparence des seconds pour mieux imposer leurs vues à la coalition qui gouverne.
Pour les démocrates tunisiens, la menace est redoutable : ils ont en face d’eux un parti duplice, qui prétend respecter les libertés publiques mais qui conspire en secret à leur abolition au profit d’un régime inspiré du Coran qui confinera, comme dans les pays du Golfe ou en Iran, à un régime totalitaire. Rien n’est perdu, bien sûr, et la vidéo sauvage fait résonner un utile avertissement. Mais personne ne doit s’y tromper : l’ennemi est bien dans la place. La majorité des citoyens, qui récuse tout projet d’islamisation et tient aux conquêtes historiques du peuple tunisien, doit en prendre conscience et agir en conséquence.
http://tempsreel.nouvelobs.com/laurent-joffrin/20121011.OBS5475/tunisie-le-vrai-visage-des-islamistes.html
Pauvre Tunisie: une dictature chasse l'autre!
AZUR- Combat avec Sainte Marie
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
3 points évoqués:
1-Liberté de la Presse
2-Rapport avec le Salafisme radical
3-Inspiration par le Coran
1-La Constitution est en cours et la liberté de la presse est un principe fondamental.
Ceci dit toute personne peut recourir à la justice pour attaquer une diffamation ou une insulte faite par un journaliste.....En occident c'est pareil.
2-Le dialogue entre Ennahdha et les Salafistes avait pour but de dire aux Salafistes qu'ils ne peuvent pas utiliser les libertés pour attaquer les principes de la Société Civile dominée à 50% par des Laics...Voilà ce que Ghannouchi Leader d'Ennahdha voulait dire aux Salafistes....
Ils leur a dit que s'ils sont libre d'interpréter l'Islam comme ils veulent,ni lui ni les Laics ne partagent avec eux les mêmes principes.
Ces mêmes Salafistes qui sont dans l'erreur par leurs faux dogmes vivent même en occident et controlent des mosquets sous le regard de tout l'occident.....Ce sont une menace pour nous tous.
3-De l'Inspiration Coranique:
Chacun est inspiré par ce qu'il pense être la Vérité.......
Un Catholique est un Catholique un Juif est un Juif un Laic est un laic un Athé est un Athé et un musulman est un musulman......
Au nom de la liberté chacun est libre de choisir son camp.
1-Liberté de la Presse
2-Rapport avec le Salafisme radical
3-Inspiration par le Coran
1-La Constitution est en cours et la liberté de la presse est un principe fondamental.
Ceci dit toute personne peut recourir à la justice pour attaquer une diffamation ou une insulte faite par un journaliste.....En occident c'est pareil.
2-Le dialogue entre Ennahdha et les Salafistes avait pour but de dire aux Salafistes qu'ils ne peuvent pas utiliser les libertés pour attaquer les principes de la Société Civile dominée à 50% par des Laics...Voilà ce que Ghannouchi Leader d'Ennahdha voulait dire aux Salafistes....
Ils leur a dit que s'ils sont libre d'interpréter l'Islam comme ils veulent,ni lui ni les Laics ne partagent avec eux les mêmes principes.
Ces mêmes Salafistes qui sont dans l'erreur par leurs faux dogmes vivent même en occident et controlent des mosquets sous le regard de tout l'occident.....Ce sont une menace pour nous tous.
3-De l'Inspiration Coranique:
Chacun est inspiré par ce qu'il pense être la Vérité.......
Un Catholique est un Catholique un Juif est un Juif un Laic est un laic un Athé est un Athé et un musulman est un musulman......
Au nom de la liberté chacun est libre de choisir son camp.
Lotfi- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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AZUR- Combat avec Sainte Marie
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Un Catholique doit prêcher le Christianisme et jamais la laicité....
Au cas où il prêche la religion laique Il sera chatié par le seigneur ici et dans l'audelà
Au cas où il prêche la religion laique Il sera chatié par le seigneur ici et dans l'audelà
Lotfi- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
La laïcité n'est absolument pas une religion! Être favorable à la laïcité n'implique absolument pas l'adhésion obligatoire à une doctrine religieuse, bien au contraire: C'est une disposition neutre et généreuse qui permet à toutes les convictions philosophiques et spirituelles de s'exprimer dans un respect mutuel. Vous confondez avec l'athéisme, il me semble. Lequel, au demeurant, a lui aussi tout à fait le droit de s'exprimer. Au nom de quoi l'interdirait-on, ou interdirait-on l'expression de telle ou telle autre sensibilité? Qui s'auto-désignerait le droit étatique de faire le tri entre les "bonnes" et les "mauvaises" croyances? Le mélange du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel est un poison mortifère pour les âmes, et je rappelle les paroles du Christ: "Il faut rendre à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu." (Matthieu, XXII,21) Les catholiques peuvent-ils être moins laïcs que le Christ?Lotfi a écrit:Un Catholique doit prêcher le Christianisme et jamais la laicité....
Au cas où il prêche la religion laique Il sera chatié par le seigneur ici et dans l'audelà
Henri Dubois- Avec Saint Benoit
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Les catholiques peuvent-ils être moins laïcs que le Christ?
Vous n'avez rien compris au Christ ! Reprenez le Nouveau Testament en main, méditez dans le silence, seule recommandation qu'on puisse vous faire suite à vos partages de pensées. Il n'est pas étonnant que vous ne puissiez saisir notre leitmotiv, vous êtes aux antipodes de ce que le Christ nous a enseigné et donné, Lui Qui est Dieu Incarné, l'opposé du laïc.
Invité- Invité
Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Henri a écrit
La laïcité n'est absolument pas une religion!
Les catholiques peuvent-ils être moins laïcs que le Christ?
Quelle contradiction
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations
l43275- Combat l'antechrist
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Bonjour et bon Dimanche,
Sans vouloir interpréter les propos de Lotfi, il me semble que la notion de "religion laïque" évoquée plus haut renvoie en fait au laïcisme, c'est-à-dire au glissement progressif d'une conception laïque de l'Etat vers une conception laïque de la société.
En se donnant pour objectif de réduire l’expression sociale et publique des religions au sein de la société française, cette conception nouvelle de la laïcité souhaiterait enfermer le religieux dans le domaine du privé et de l’intime et lui interdire toute forme d’expression dans l’espace public.
Proposer sa Foi à d'autres, manifester dans l'espace public pour la défense de ses principes, ou encore intervenir dans le débat politique, voilà autant de droits constitutifs de la liberté d'expression et de la liberté religieuse qui sont désormais fréquemment remis en cause, et que certains décrivent, à tort, comme autant d'atteintes "au principe de laïcité".
Cette dérive actuelle mérite d'être dénoncée, combattue, et les Catholiques français ne doivent sous aucun prétexte s'y conformer, comme l'a rappelé récemment Mgr Ricard, Archevêque de Bordeaux.
L'Etat est laïc, la société ne l'est pas.
Rendons donc à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu : que l'Etat garantisse le libre exercice de tous les cultes dans le strict respect de l'ordre public, et qu'il n'interfère pas dans le Devoir qui est le notre, à nous, Catholiques français, non de défendre (ou d'attaquer) la laïcité de l'Etat, mais de rendre Grâce à Dieu, d'annoncer Sa Parole, et d'en témoigner toujours, en privé ou en public, par nos dires ou par nos actes.
Ce n'est que par notre témoignage d'Amour que demain, si Dieu le veut, refleurira en France un Etat confessionnel.
La fin du Concordat a libéré l'Eglise de son devoir de réserve envers l'Etat. A nous d'en tirer avantage.
En union de prières,
Fabrice
Sans vouloir interpréter les propos de Lotfi, il me semble que la notion de "religion laïque" évoquée plus haut renvoie en fait au laïcisme, c'est-à-dire au glissement progressif d'une conception laïque de l'Etat vers une conception laïque de la société.
En se donnant pour objectif de réduire l’expression sociale et publique des religions au sein de la société française, cette conception nouvelle de la laïcité souhaiterait enfermer le religieux dans le domaine du privé et de l’intime et lui interdire toute forme d’expression dans l’espace public.
Proposer sa Foi à d'autres, manifester dans l'espace public pour la défense de ses principes, ou encore intervenir dans le débat politique, voilà autant de droits constitutifs de la liberté d'expression et de la liberté religieuse qui sont désormais fréquemment remis en cause, et que certains décrivent, à tort, comme autant d'atteintes "au principe de laïcité".
Cette dérive actuelle mérite d'être dénoncée, combattue, et les Catholiques français ne doivent sous aucun prétexte s'y conformer, comme l'a rappelé récemment Mgr Ricard, Archevêque de Bordeaux.
L'Etat est laïc, la société ne l'est pas.
Rendons donc à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu : que l'Etat garantisse le libre exercice de tous les cultes dans le strict respect de l'ordre public, et qu'il n'interfère pas dans le Devoir qui est le notre, à nous, Catholiques français, non de défendre (ou d'attaquer) la laïcité de l'Etat, mais de rendre Grâce à Dieu, d'annoncer Sa Parole, et d'en témoigner toujours, en privé ou en public, par nos dires ou par nos actes.
Ce n'est que par notre témoignage d'Amour que demain, si Dieu le veut, refleurira en France un Etat confessionnel.
La fin du Concordat a libéré l'Eglise de son devoir de réserve envers l'Etat. A nous d'en tirer avantage.
En union de prières,
Fabrice
Fabrice Remy- Avec le Pape François
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
@ notre cher Fabrice
La République laïque a sa religion
Quand Dieu est «banni de la vie publique» il n'y a plus de « tolérance », mais de « l'hypocrisie »..... en ouvrant la 11e Assemblée ordinaire du Synode des évêques dans la basilique Saint-Pierre, Benoît XVI est revenu sur un thème qui lui est cher, celui du laïcisme et du relativisme des sociétés contemporaines [1]
La République laïque n'a pas de religion entendons-nous partout. Cette idée vient spontanément à l'esprit depuis que la loi de 1905 a séparé l'Etat de l'Eglise et qu'un formatage idéologique s'est mis en place. Mais d'où nous vient cette loi ? Quelle en est l'origine ?
La loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat, est le fruit du libéralisme maçonnique, le fruit de l'action sourde, tout au long du XIXe s., des Révolutionnaires.
La nouveauté apparaît peut-être là.
Ne voulant plus voir l'Eglise Catholique aussi active dans l'établissement des règles sociales, il faut la dissoudre au milieu des autres croyances et faire de l'Etat, l'arbitre des religions, le tuteur des religions, et donc le chef de la religion. L'Etat qui soit-disant était incompétent en matière de religion est chargé de gérer toutes les religions au travers de la Loi suprême de la (fausse) laïcité... Fi des anges et autre créatures invisibles. Seule les lois mûrement expérimentées font autorité. Le rationalisme et la tolérance, voilà en quelque sorte le credo des défenseurs de la laïcité.
Le désir haineux d'effacer le catholicisme en France redevient violent après la défaite de 1870 et surtout à l'installation de la troisième République en 1875. Les déclarations de Léon Gambetta et de Jules Ferry sont là pour nous le rappeler.
Au moins depuis Platon, nous savons qu'il est plus facile de bâtir une ville dans les nuages qu'une société sans religion.
Aujourd'hui, pour assurer une certaine quiétude dans nos cité, Le pouvoir républicain accorde un espace spirituel équivalent à tout les mouvements dès l'instant que ceux-ci ne cherchent pas à s'exprimer à l'extérieur, ne cherchent pas à orienter la vie sociale et surtout ne remettent pas en cause la loi suprême : la (fausse) laïcité.
Pourquoi ce choix ?
La principale erreur du Démon, et la seule assurément, est une faute ( un péché) d'orgueil. Il s'est voulu comme DIEU. Pour être comme, il suffit généralement d'imiter.
Le démon suscite Marianne dans l'histoire sociale de la France. Elle est une personne virtuelle. Ses traits sont passagers, variant au gré du modèle qui les lui fixe. Aucun des modèles ne peut faire état d'une activité propre particulièrement signalée.
Donc nous pouvons être certain que la personne révélée par DIEU, sera réelle, d'une efficacité foudroyante et son personnage sera trans-historique.
Recherchons dans le passé de notre pays un personnage féminin accompagné par un archange et dont l'action particulièrement extraordinaire tout autant que réelle, fait toujours couler de l'encre.
Conclusion
Après ce rapide exposé, il est visible que la «République laïque» n'est pas si au dessus des religions que cela. Bien au contraire, elle s'affirme par un caractère très proche de l'antithèse du catholicisme. Le dictionnaire LAROUSSE édité en 1905, donne cette définition du mot «laïque» : «Qui n'appartient pas à l'Eglise». Il n'est pas dit «aux religions», mais à l'Eglise. Or l'Eglise, en 1905, c'est l'Eglise catholique apostolique et romaine et pas autre chose.
1905 est l'année de la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Celle-ci est pour une bonne part l'œuvre du Grand Orient, l'obédience la plus farouchement anticléricale. Le Grand Maître du G.O., Alain Baueur en démissionnant (pour des raisons de "querelles de personnes, des clans et des structures dépassées"...) le dit dans un article du Monde en parlant de "la centenaire loi de séparation des Eglises et de l'Etat, son grand œuvre laïque....." "[...] le Grand Orient a été l'Eglise et le parti de la République et a construit la boîte à outil de la citoyenneté. Franc-maçonnerie rime avec démocratie....." (Pourquoi j'ai démissionné du Grand Orient, par Alain Bauer LE MONDE | 05.09.05 | 13h54 • Mis à jour le 05.09.05 | 13h54).
http://www.christ-roi.net/index.php/La_R%C3%A9publique_la%C3%AFque_a_sa_religion
La République laïque a sa religion
Quand Dieu est «banni de la vie publique» il n'y a plus de « tolérance », mais de « l'hypocrisie »..... en ouvrant la 11e Assemblée ordinaire du Synode des évêques dans la basilique Saint-Pierre, Benoît XVI est revenu sur un thème qui lui est cher, celui du laïcisme et du relativisme des sociétés contemporaines [1]
La République laïque n'a pas de religion entendons-nous partout. Cette idée vient spontanément à l'esprit depuis que la loi de 1905 a séparé l'Etat de l'Eglise et qu'un formatage idéologique s'est mis en place. Mais d'où nous vient cette loi ? Quelle en est l'origine ?
La loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat, est le fruit du libéralisme maçonnique, le fruit de l'action sourde, tout au long du XIXe s., des Révolutionnaires.
La nouveauté apparaît peut-être là.
Ne voulant plus voir l'Eglise Catholique aussi active dans l'établissement des règles sociales, il faut la dissoudre au milieu des autres croyances et faire de l'Etat, l'arbitre des religions, le tuteur des religions, et donc le chef de la religion. L'Etat qui soit-disant était incompétent en matière de religion est chargé de gérer toutes les religions au travers de la Loi suprême de la (fausse) laïcité... Fi des anges et autre créatures invisibles. Seule les lois mûrement expérimentées font autorité. Le rationalisme et la tolérance, voilà en quelque sorte le credo des défenseurs de la laïcité.
Le désir haineux d'effacer le catholicisme en France redevient violent après la défaite de 1870 et surtout à l'installation de la troisième République en 1875. Les déclarations de Léon Gambetta et de Jules Ferry sont là pour nous le rappeler.
Au moins depuis Platon, nous savons qu'il est plus facile de bâtir une ville dans les nuages qu'une société sans religion.
Aujourd'hui, pour assurer une certaine quiétude dans nos cité, Le pouvoir républicain accorde un espace spirituel équivalent à tout les mouvements dès l'instant que ceux-ci ne cherchent pas à s'exprimer à l'extérieur, ne cherchent pas à orienter la vie sociale et surtout ne remettent pas en cause la loi suprême : la (fausse) laïcité.
Pourquoi ce choix ?
La principale erreur du Démon, et la seule assurément, est une faute ( un péché) d'orgueil. Il s'est voulu comme DIEU. Pour être comme, il suffit généralement d'imiter.
Le démon suscite Marianne dans l'histoire sociale de la France. Elle est une personne virtuelle. Ses traits sont passagers, variant au gré du modèle qui les lui fixe. Aucun des modèles ne peut faire état d'une activité propre particulièrement signalée.
Donc nous pouvons être certain que la personne révélée par DIEU, sera réelle, d'une efficacité foudroyante et son personnage sera trans-historique.
Recherchons dans le passé de notre pays un personnage féminin accompagné par un archange et dont l'action particulièrement extraordinaire tout autant que réelle, fait toujours couler de l'encre.
Conclusion
Après ce rapide exposé, il est visible que la «République laïque» n'est pas si au dessus des religions que cela. Bien au contraire, elle s'affirme par un caractère très proche de l'antithèse du catholicisme. Le dictionnaire LAROUSSE édité en 1905, donne cette définition du mot «laïque» : «Qui n'appartient pas à l'Eglise». Il n'est pas dit «aux religions», mais à l'Eglise. Or l'Eglise, en 1905, c'est l'Eglise catholique apostolique et romaine et pas autre chose.
1905 est l'année de la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Celle-ci est pour une bonne part l'œuvre du Grand Orient, l'obédience la plus farouchement anticléricale. Le Grand Maître du G.O., Alain Baueur en démissionnant (pour des raisons de "querelles de personnes, des clans et des structures dépassées"...) le dit dans un article du Monde en parlant de "la centenaire loi de séparation des Eglises et de l'Etat, son grand œuvre laïque....." "[...] le Grand Orient a été l'Eglise et le parti de la République et a construit la boîte à outil de la citoyenneté. Franc-maçonnerie rime avec démocratie....." (Pourquoi j'ai démissionné du Grand Orient, par Alain Bauer LE MONDE | 05.09.05 | 13h54 • Mis à jour le 05.09.05 | 13h54).
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Lotfi- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Monarque94- J'adore l'Eucharistie
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Le président tunisien félicite Barack Obama pour son deuxième mandat
TUNIS (Xinhua) - Le président tunisien Mohamed Moncef Marzouki a félicité son homologue américain Barack Obama à l'occasion de sa réélection pour un second mandat à la présidence des Etats-Unis d'Amérique.
M. Marzouki a adressé à cette occasion un message au président américain réélu lui félicitant "pour la confiance renouvelée placée en sa politique par le peuple américain", selon un communiqué de presse.
Le chef d'Etat tunisien a mis en évidence dans son message "les étroites relations établies entre les deux pays et les deux peuples qui se sont confortées après la révolution de la liberté et de la dignité".
Source: afriquinfos.com
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Bonjour ou bonsoir "Lotfi" !
On voit ici que le président de votre pays me semble bien pacifique et qu'il semble bien apprécier Monsieur Obama.
"Le chef d'Etat tunisien a mis en évidence dans son message "les étroites relations établies entre les deux pays et les deux peuples qui se sont confortées après la révolution de la liberté et de la dignité."
Je remercie et je félicite votre président Monsieur Marzouki pour son appui au Président des États-Unis au nom du peuple tunisien... Qu'il soit béni !
Fraternellement...
Gilles de Québec.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Je ne crois pas que M.Marzouki ait beaucoup de pouvoirs face aux islamistes.
A mon avis quand les gens se rendront compte que ce type d islam politique est incapable de
resoudre leur soucis quotidiens, ils perdront les elections.
Je pense que le nouveau president laisse faire dans l espoir que les islamistes se plantent completement...
allah a'lam?
A mon avis quand les gens se rendront compte que ce type d islam politique est incapable de
resoudre leur soucis quotidiens, ils perdront les elections.
Je pense que le nouveau president laisse faire dans l espoir que les islamistes se plantent completement...
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sainttenma- Pour le roi
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Re: @ "Lotfi" : La Tunisie... Un pays libre comme vous l'affirmez ???
Je suis conscient de ceci:
Celui qui va contre les enseignements du Christ est perdant.....
Dieu est Amour et miséricorde avant tout mais il Châtie terriblement ici et au ciel.
Celui qui ne condamne pas l'abomination est semblable à celui qui le fait....
Et celui qui se tait devant l'Injustice c'est comme s'il est Actionnaire du Mal.
Je préfère être crucifié la tête en bas puis coupée et jetée aux chiens que voir s’asseoir le temple du mal dans mon pays qui s'étend sur 13 millions de Km2 de Tanger jusqu'à Bagdad........
Celui qui va contre les enseignements du Christ est perdant.....
Dieu est Amour et miséricorde avant tout mais il Châtie terriblement ici et au ciel.
Celui qui ne condamne pas l'abomination est semblable à celui qui le fait....
Et celui qui se tait devant l'Injustice c'est comme s'il est Actionnaire du Mal.
Je préfère être crucifié la tête en bas puis coupée et jetée aux chiens que voir s’asseoir le temple du mal dans mon pays qui s'étend sur 13 millions de Km2 de Tanger jusqu'à Bagdad........
Lotfi- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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