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La date/heure actuelle est Lun 13 Mai 2024 - 22:25

1 résultat trouvé pour 06

Science:Urmie Ray, "Quel virus ? Quelle Pandémie ? Grand Mensonge

Interview menée par Urmie Ray avec un médecin et scientifique, comme Urmie les aime : qui considère les faits et non les dogmes !
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SCIENCE EN CONSCIENCE #06 🗣 Dr. Andrew KAUFMAN 🎯 Théorie virale, maladies, bactéries et Covid-19... 📆 10-01-2022


comique


https://odysee.com/@AKINA:7/2021-12-16-SC6-Andrew-KAUFMAN-HD4:8

Quelques extraits car l'interview est très long et riche :

"Commençons par la non-identification de Sars-cov2, la contre-vérité de base sur laquelle toute la plandémie est basée. Fondamentalement cette hypothèse que de minuscules entités transmissibles d'organismes à organismes, et qui ne sont pas observables au microscope optique mais sont la cause de maladies, a été faite par Pasteur, car il n'a pas pu trouver de cause bactérienne associée à la rage.  Depuis lors, un certain nombre de maladies ont été attribuées à ces entités mais elles n'étaient pas concluantes puisque de toute manière, avant le microscope électronique, cela ne pouvait rester qu'une hypothèse parmi tant d'autres hypothèses. Mais même après l'avènement du microscope électronique en 1931, les seules entités qui ont été observées et que l'on pensait être des tueurs de bactéries, sont les bactériophages comme je l'ai dit, cela a donc renforcé la croyance dans l'hypothèse de virus pathogènes.
Et ce n'est que plus tard que l'on a découvert expérimentalement, que ces bactériophages sont des transformations des bactéries elles-mêmes. Mais la croyance a persisté.

Ma question donc est la suivante : a t-on jamais observé un virus pathogène ? En d'autres termes l'a t-on isolé, séparé du matériel cellulaire environnant, du patient ?

Dr Kaufman : je vous remercie pour cet excellent résumé, Urmie. Et bien sûr vous savez, la réponse est tout simplement non. Mais je veux donner un peu des aspects scientifiques du récit historique que vous avez donné. Parce que à l'origine le mot virus vient du latin signifiant poison (...) cela vient de certaines expériences sur des plantes, avec la mosaïque du tabac par exemple, où ils ont un certain type de maladie, et ce qu'ils peuvent faire, c'est écraser la plante malade, et la filtrer de façon à ce que rien de la taille d'une bactérie ou plus, ne puisse passer à travers le filtre, donc aucun micro-organisme connu. Et ensuite ils peuvent prendre ce filtrat et provoquer la maladie de la mosaïque du tabac, dans un autre plant de tabac.
Et alors, ils ont dit la chose évidente à l'époque : c'est un poison. La plante  s'est empoisonnée et nous pouvons filtrer le poison et rendre une autre plante malade de ce poison. Et puis le mot virus signifiait poison.
Et comme vous l'avez souligné, ce n'est qu'après l'invention du microscope électronique, et la découverte de choses comme les bactériophages et aussi la découverte de l'ADN à double hélice (...) que soudain il est passé du statut de poison, que l'on croyait être un poison protéique, à celui d'une sorte de chose contenant du matériel génétique,  et les microscopistes bien sûr, ont essayé fébrilement de le trouver (...) ils disent que ces virus causant des maladies sont nos particules nanoscopiques, ils sont à l'échelle nanométrique, on ne peut donc les voir qu'au microscope électronique, s'ils existent. D'autres particules à l'échelle nanométrique, ont été découvertes correctement, notamment les bactériophages, comme vous l'avez mentionné. (...) Mais dans ces expériences avec des bactériophages, exosomes et autres, comme les virus d'algues marines, ils l'ont fait sans problème. Ces techniques existent depuis près de cent ans, et consistent à utiliser une ultra-centrifugeuse à gradient de densité, pour séparer ces minuscules particules en fonction de leur densité. Et avec toutes ces choses que j'ai mentionnées, ils peuvent obtenir un échantillon pur. En fait, avec les exosomes, ils ont développé des techniques de purification beaucoup plus sophistiquées, comme la chromatographie d'affinité et d'autres techniques. Vous pouvez trouver des articles de synthèse qui vous expliquent toutes les façons dont vous pouvez purifier les exosomes.

Donc je n'ai aucun doute que ces choses sont réelles. Mais ils ont essayé de le faire avec les virus responsables de maladies, dès que le microscope électronique a été disponible. Or nous sommes incapables de purifier la moindre particule d'un individu malade (...) c'est très difficile de cultiver des cellules de moelle épinière, Anders a donc découvert que si l'on mettait de la moelle épinière écrasée provenant d'une personne atteinte de polio, dans une culture de cellules étrangères - pas des cellules de moelle épinière ; il a d'abord utilisé des cellules foetales embryonnaires, provenant d'un foetus - il a découvert qu'il était capable de créer une soupe toxique avec cette recette. Et ensuite, parce que ces cellules étaient faciles à cultiver en laboratoire, d'utiliser cette soupe toxique pour fabriquer le vaccin contre la polio.
Cette technique de fabrication, l'industrie du vaccin y a vu une énorme opportunité. Ils avaient ce moyen de fabriquer des vaccins qui étaient beaucoup plus faciles que les méthodes précédentes. En fait, il a gagné un prix Nobel pour ça.
Mais d'un autre côté, tous les scientifiques qui ont essayé de montrer qu'il s'agissait bien de particules virales, n'ont rien trouvé.
Donc vous avez en quelque sorte eu cette opportunité commerciale, mais vous aviez aussi cette science sous-jacente, qui ne montrait pas les preuves.
Ce qu'il s'est passé c'est qu'il y eu un changement soudain dans le paradigme, où cette technique de fabrication des vaccins a soudainement été utilisée pour prouver l'existence de ces virus.
Et c'est essentiellement une expérience pour laquelle vous pouvez obtenir un résultat positif à chaque fois, parce que les résultats qui disent montrer un virus, sont en fait créés par les conditions expérimentales elles-mêmes.

(...)

Urmie : en fait pour résumer, ils prennent la mort cellulaire comme une preuve de la présence de virus. Cependant la mort cellulaire peut être due à de multiples causes, comme vous l'avez dit (...)

Dr Kaufman : Urmie il est important de noter que même si on pouvait dire que les dommages cellulaires sont causés par un virus, on ne peut pas savoir s'il y a un virus dans l'échantillon qu'on ajoute à la culture. Donc le "covid", et je vais mettre ça entre guillemets, c'est encore pire. Parce que ce qu'on a, c'est qu'initialement Drosten a développé un test PCR qui était basé sur des séquences génétiques publiées d'un autre virus, Sars1 ou Sars-cov1, n'est-ce pas ? Il l'a utilisé pour développer un test, avant de savoir si les personnes malades en Chine avaient même un virus causant la maladie. Il a développé un test basé sur le Sars-cov1 et ensuite ils utilisent ce test pour identifier les personnes dont le fluide pulmonaire devait être examiné en vue d'une expérience pour isoler le virus. Vous comprenez ? En d'autres termes, ils ont inventé la preuve qu'il y avait un virus dans cette personne, donc ils supposent, à cause d'un test pour un virus différent, qu'il y a maintenant un tout nouveau virus qu'ils n'ont jamais découvert dans l'échantillon.
Mais c'est basé sur un raisonnement circulaire. Parce qu'ensuite ils vont montrer les dommages cellulaires et dire que cela doit être dû à ce nouveau virus.
Commen savons-nous qu'il y avait ce nouveau virus ?! Parce qu'on a testé pour un ancien virus, vous voyez ? Donc il n'y a pas de début où ils disent : regardez, voici le virus dans un cube à essai. On va en extraire les séquences génétiques et faire un test basé sur ça. Et puis nous allons comparer les résultats à la découverte de ces particules virales, chez la personne. Ça n'a jamais même été tenté. Il n'y a eu seulement que ce raisonnement circulaire imaginaire qui a créé l'apparence de l'existence de ce nouveau virus, mais en fait ça n'existe pas.

Urmie : oui, exactement. Et c'est basé sur un virus précédent dont l'existence n'a pas été prouvée.

Dr Kaufman : la vérité est que ce que je décris, vous savez pour le Sars-cov2, c'est en fait le cas pour tous les virus dont on dit qu'ils causent des maladies. Maintenant je n'ai pas regardé chaque article pour chacun d'entre eux. Mais j'en ai regardé un certain nombre et je n'en ai pas trouvé un seul qui l'ait démontré de manière concluante. Et même les gens de la virologie sont d'accord avec ça, quand on leur pose la bonne question, comme par exemple Luc Montagnier qui je pense devrait être bien connu de votre public : un prix Nobel. Quand il a été interviewé - j'ai la vidéo que je peux partager avec vous si vous voulez la voir - on lui a demandé pourquoi il fallait purifier les particules virales, et sa réponse était : pour montrer qu'elles sont réelles. Parce que sinon on ne peut pas savoir qu'elles sont réelles. Et ils n'ont jamais purifié aucune de ces particules virales, y compris le VIH.

Urmie : et il n'y a absolument aucune preuve que ces particules viennent de l'extérieur.

Dr Kaufman : si c'était le cas on devrait être en mesure de les capturer d'où qu'elles viennent ; par exemple, si vous croyez que ces masques fonctionnent - on peut soit prendre un masque de quelqu'un qui a été testé positif, soit de quelqu'un qui a été exposé à des personnes malades - il devrait y avoir une tonne de ces particules dans le masque. Vous nous dites que nous devons le porter pour filtrer ces particules, donc on devrait être capable, même si on doit prendre mille masques, de les mettre dans l'eau et de laisser les particules se déposer. Ça devrait être facile de les trouver. Comment se fait-il que personne ne l'ait fait ?

(...)

Urmie : vous avez parlé de l'expérience de contrôle. En gros j'avais expliqué à mon public français avant, que la causalité exige en fait qu'en l'absence d'un évènement préalable, à savoir la cause présumée, l'effet s'arrête. Dans notre cas cela signifie qu'en l'absence de virus, aucune mort cellulaire ne devrait être observée avec la méthode utilisée. Or dans les expériences de contrôle, que vous avez mentionnées - l'échantillon qui provient d'une personne supposément non infectée - ... vous obtenez quand même la mort cellulaire ! Normalement vous ne devriez pas !    
             
Dr K : (...) si l'on met du liquide pulmonaire d'une personne saine dans la culture cellulaire, qu'on utilise les mêmes antibiotiques, la même alimentation, qu'on l'observe pendant la même durée, obtient-on les mêmes résultats ? Quand cette expérience a été faite, la réponse a été oui. Donc ça vous dit tout de suite que les résultats que vous voyez proviennent de l'expérience elle-même, et non de la présence ou de l'absence d'un virus.

(...)

Urmie : oui, donc en résumé jusqu'à présent, aucun virus n'a été en fait isolé,  donc identifié, observé, ou quoi que ce soit.

Dr K. : c'est exact.

Urmie :dans ce cas, quelles sont ces images colorées de virus qui sont constamment montrées ?


Dr Kaufman : eh bien toute image en couleur est soit à l'origine d'une véritable image microscopique en noir et blanc, et elle a été colorisée par quelqu'un, ou plus communément ces images en couleur sont en fait entièrement réalisées par un artiste.

Urmie : Ok !

Dr Kaufman : (...)  vous ne savez pas si ces choses sont faites par un artiste, ou faites par une expérience. Vous n'avez aucune idée de la façon dont elles ont été produites. Mais ils les diffusent en disant qu'ils sont cette chose. Alors que beaucoup d'entre elles sont simplement de l'art.
Tag 06 sur Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX Corona11

Urmie : alors pouvez-vous nous dire comment ils construisent le génome, c'est une simulation par ordinateur ?

Dr Kaufman : absolument. Absolument. Vous savez, il y a différentes façons de voir les choses. Parce qu'il y a des chercheurs comme David Martin, qui ont étudié les brevets étudiés aux Etats-Unis, et ont découvert que ce qu'ils disent être la séquence du génome, de ce qu'ils disent être un nouveau virus, a en fait été breveté, avant que ce virus n'existe.

Urmie : c'est le cas du Sars-cov2 ?

Oui (...) la façon dont ils produisent ces génomes simulés (...) c'est qu'ils prennent une fois de plus le fluide pulmonaire d'un seul patient, qu'ils disent avoir ce virus en raison d'un test PCR qui a été conçu à partir d'un virus différent, jamais validé avec un échantillon clinique qui n'a pas de taux d'erreur connu, etc. etc. Et puis ils ne montrent pas qu'il y a un virus là-dedans. En fait ils ne le font même pas dans la même expérience que celles où ils isolent les cultures de tissus. En d'autres termes, ils ne prennent pas un patient, font cette isolation pour montrer qu'il y a là un virus, puis reviennent à l'échantillon, et font un génome. Ils le prennent d'un patient totalement différent, dont ils n'ont même pas fait leur culture tissulaire. Il n'y a donc aucun moyen de savoir si cette personne a même le virus en elle.
Et ils prélèvent le liquide pulmonaire, et qui sait ce qu'il contient n'est-ce pas ? Il y a certainement plus ; même s'il y a un virus dedans, il y a beaucoup d'autres choses, il y a des cellules bactériennes, fongiques etc. des particules que la personnne a inspirées quelques minutes avant que l'échantillon soit prélevé, n'est-ce pas ? Donc ils ne savent pas ce qui est quoi. Puis ils prennent n'importe quel ARN qui s'y trouve, mais ils coupent les longues séquences (...)  ils ne prennent que les séquences courtes, 150 bases ou plus courtes (...) Ils le réarrangent, il remplissent les trous, ils créent des espaces pour le faire ressembler à cette autre chose. Puis ils jouent un peu avec les extrémités en revenant en arrière et en faisant quelques combines avec le PCR sur l'échantillon original. Et puis voilà. Ils disent : voici le génome de ce nouveau virus, que nous n'avons jamais découvert.

Urmie : donc c'est comme si en fait, ils prenaient un livre et s'arrêtaient juste aux lettres ou quelque chose de plus petit ?

Dr Kaufman : en fait j'ai fait une analogie à ce sujet. Ce serait plutôt comme si on avait cent livres. Et que vous les coupiez tous en petits morceaux de papiers où il y aurait 150 lettres ou moins sur chaque morceau de papier. Et puis l'un de ces livres parmi les cents, était un livre qui n'avait jamais été découvert auparavant, il était caché dans une ancienne bibliothèque, donc on ne connaissait pas le titre, on ne savait pas de quoi il parlait.
Maintenant, prenez tous les morceaux de papiers des cent livres, et reconstituez le livre dont vous n'avez jamais entendu parler et qui a été perdu.
Pensez-vous pouvoir faire ça avec précision ?!!

Urmie : oui, et ils obtiennent cette chose : ils ne savent même pas ce que c'est, parce que nous ne savons pas ce qu'est le livre n'est-ce pas ?

Dr Kaufman : tout cela est vraiment une tautologie. Les gens tombent malades, ok. Ça doit être un virus, donc on cherche un virus. On a inventé quelque chose qui ressemble à un virus, donc c'est un virus, d'accord ?  Vous commencez en haut : c'est un virus, et vous faites le tour du cercle pour revenir en haut : ça doit être un virus.

Mais la façon dont on aborderait ça d'un point de vue scientifique, serait : les gens sont malades, je me demande ce qui en est la cause. Trouvons chaque détail de la preuve de ce qui s'est passé avec ces gens, puis nous élaborerons une théorie, puis on concevra une expérience pour tester cette théorie et voir si elle est vraie.
Mais au lieu de ça, ils disent : c'est un virus. Développons un test basé sur un autre virus, et puis lorsque c'est positif, on dira que ça veut dire que c'est un virus. Vous pouvez continuer à tourner en rond.

Ils n'ont pas conçu un test pour chercher un champignon. Ils n'ont pas conçu un test pour chercher une toxine. Ils n'ont pas conçu un test pour chercher une bactérie. Ils ont seulement conçu un test pour rechercher une sorte de virus, lié au Sars, et bien sûr ils ont fait en sorte que l'ordinateur en génère un qui donne ce résultat, en utilisant certaines procédures ou peut-être qu'ils l'ont fait de la même façon qu'ils l'ont fait avec d'autres personnes malades.
Et il s'avère que c'est juste un marqueur pour une maladie. Et ça n'a rien à voir avec le virus. Mais personne n'a envisagé cette possibilité parce qu'ils avaient déjà décidé quelle était la cause de la maladie, avant de commencer à faire des expériences.

Urmie : donc en fait comme vous le dites, pour déterminer ce qui cause la maladie, on essaie d'abord de trouver ce qu'elle est cliniquement ; c'est par des méthodes cliniques que vous essayez d'identifier les symptômes et puis de la différencier d'autres maladies. C'est à ce moment là que vous pouvez en savoir quelque chose.

Dr Kaufman : c'est un point très important. Et en fait toutes les nations du monde ont une politique de santé spécifique pour les urgences sanitaires. Pour faire exactement ce dont vous parlez.
Et ce qu'ils sont censés faire, c'est que pour tous ceux qui meurent de cette maladie nouvelle, ils sont censés faire une autopsie. Parce que c'est là qu'on découvre généralement les choses dont vous parlez, parce que vous voyez un modèle unique de pathologie. La pathologie est la maladie, donc par exemple vous regardez si c'est une maladie qui affecte les poumons, eh bien vous regardez les poumons au microscope, et vous observez certains motifs distincts, si c'est une nouvelle chose distinctive. Et à partir de là, on peut vraiment générer de bonnes hypothèses sur ce qui pourrait en être la cause. Car cela pourrait être similaire à ce que l'on voit dans d'autres processus pathologiques. Vous auriez donc des indices et vous pourriez ensuite développer d'autres expériences pour tester ces hypothèses.

Mais l'une des façons dont toute cette situation a été obscurcie, et dont tout le monde a été trompé sur la science, c'est qu'il y a eu un effort concerté pour inverser immédiatement cette politique pendant cette prétendue pandémie.
Donc en d'autres termes, pratiquement aucune autopsie n'a été faite. Tout ce que vous avez, ce sont quelques très petites séries de cas qui ont été publiées et bien sûr dans ces séries de cas, il n'y avait pas de résultats inhabituels, ou distinctifs. Il y avait simplement des résultats de pneumonies, de pneumonies bactériennes essentiellement. Donc il n'y a jamais eu d'aspect distinctif que vous pourriez appeler covid. Tous les symptômes sont les mêmes, vous savez, que ceux du rhume et de la grippe. Ou d'autres choses. Parce qu'ils ont essayé d'attribuer toutes sortes de symptômes au covid.
Mais aucun d'entre eux n'a publié de séries de cas, avec une analyse statistique ou d'autres expériences. Ce ne sont que des ouï-dire, ici et là.
Donc si vous ne pouvez même pas donner une définition d'une maladie comme étant distincte des autres maladies, alors il n'y a pas de nouvelle maladie. C'est aussi simple que cela.

Urmie : oui et ils semblent avoir ajouté des symptômes au fur et à mesure.

Dr Kaufman : oui maintenant ils ajoutent des symptômes qui pourraient expliquer les problèmes dus aux vaccins. Par exemple j'ai vu qu'il a été publié que le faux variant omicron causerait des problèmes cardiaques. Et nous savons que les vaccins causent des problèmes cardiaques. Donc c'est juste, vous savez, de la poudre aux yeux pour vous faire croire que ces choses sont causées par des virus qui n'existent pas, plutôt que par les injections toxiques, qu'ils essaient d'imposer à tout le monde.

Urmie : (...) nous savons qu'ils n'ont pas identifié le virus, alors que font réellement les tests ?!! :

Dr Kaufman :  essentiellement c'est la même chose que de jouer à la roulette. Et vraiment il n'y a aucune validation scientifique d'aucun des tests du tout. Vous savez la façon dont ils disent qu'ils ont validé le test PCR est de faire des séquences synthétiques d'ARN en laboratoire, et ensuite de montrer qu'ils peuvent effectivement les amplifier avec la PCR. Bien sûr c'est ce que fait la PCR. Vous pouvez choisir n'importe quelle séquence que vous pouvez imaginer et obtenir des résultats positifs en faisant cela. Cela n'a rien à voir avec un test de diagnostic. (...) Il n'y a tout simplement jamais eu de test de diagnostic pour le covid. Parce qu'ils savent qu'il reviendrait négatif. Car il n'y a pas de covid.
Donc ils utilisent les lois d'urgence, aux États-Unis ça s'appelle l'autorisation d'utilisation d'urgence, qui ne nécessite pas de prouver que c'est valide. Et après ils peuvent le vendre, parce que c'est une urgence, avant de prouver que c'est valide.
Mais ils abusent de la loi, parce qu'ils n'ont pas l'intention d'essayer de prouver qu'il est valide. Parce qu'ils savent qu'il ne l'est pas. Et ils vont faire autant d'argent qu'ils peuvent en le vendant, parce que le gouvernement leur permet de le vendre.
Et en fait ce sont les tests qui sont à l'origine de tout, parce que vous savez, vous n'avez pas besoin d'être malade pour être compté comme un cas, n'est-ce pas ? Il suffit d'un test. Et vous savez je pense que plus de 90% au minimum, probablement plus de 99% des cas dont nous entendons parler dans les nouvelles, sont juste des tests qui sont positifs et qui n'ont jamais été validés. Donc c'est la même chose qu'un jeu de hasard.

(...)

Urmie : maintenant j'aimerais revenir sur une question qui est très déroutante pour la plupart des gens.
Si nous parlons de manière plus générale, des microbes, donc des bactéries, pouvez-vous nous dire si les bactéries peuvent devenir dangereuses dans certaines circonstances ? Je veux dire : nous savons tous qu'elles sont essentielles à la vie et font partie de notre système immunitaire, mais les bactéries peuvent-elles réellement provoquer des maladies ? Et dans certaines circonstances, peuvent-elles devenir dangereuses ?
 

Dr Kaufman : c'est une bonne question, et une question très importante. Et laissez-moi vous dire que les bactéries ne sont ni bonnes, ni mauvaises. Ce sont des organismes qui essaient de survivre tout comme nous, et ça dépend de la façon dont elles sont traitées. Si on traite mal les organismes, ils adoptent parfois une mauvaise attitude pour survivre. Et la même chose peut être vraie pour les bactéries. Mais je veux aussi dire que les bactéries ne sont jamais la cause d'une maladie à ce que je sache.
Ceci bien sûr semble très radical pour les gens qui ont grandi en croyant que les bactéries causent des maladies ou qui ont même pris des antibiotiques et dont les symptômes se sont cliniquement améliorés. Et je suis d'accord que ça arrive. C'est juste que ce n'est pas ce que vous pensez qu'il se passe. Et donc le rôle général des bactéries dans la nature, est d'être les recycleurs de la nature. Ou ce qu'on appelle des saprophytes. Quand il y a du matériel biologique mort, elles le mangent et le transforment pour qu'il puisse retourner à ses formes élémentaires, pour soutenir une nouvelle vie et une nouvelle croissance comme nous le voyons dans la forêt. C'est assez évident.
On le voit dans un tas de compost si on a du compost. Et ils font la même chose dans notre corps.
Et donc les déchets ou les produits d'excrétion des bactéries peuvent être toxiques, tout comme les produits d'excrétion des humains le sont. Mais vous ne diriez pas que les humains causent des maladies. Parce que si vous mangiez les excréments de quelqu'un et tombiez malade, vous ne diriez pas que c'est une infection avec un humain, n'est-ce pas ? Bien sûr vous réaliseriez que ce sont les déchets d'un humain qui contiennent ces toxines. C'est pourquoi le corps s'en débarasse.
Donc quand les bactéries viennent manger vos tissus morts, comme quand vous avez un rhume ou une angine, elles vont produire des déchets, qui peuvent avoir une certaine toxicité. Et ce que ça fait c'est que ça provoque une inflammation, et c'est le processus de guérison. Cette inflammation, les sécrétions qu'on a, permettent aux toxines et aux déchets d'être évacués de notre corps. L'inflammation apporte davantage d'approvisionnement en sang, parfois elle a même d'autres rôles. L'inflammation, par exemple si vous avez une fracture, et que vous avez un oedème, c'est essentiellement un plâtre biologique qui maintient vos os en place pour qu'ils puissent guérir. C'est la sagesse du corps.
Et quand on prend des antibiotiques, on tue ces bactéries, et elles arrêtent d'excréter leurs déchets. Donc notre inflammation disparaît, et on se sent soulagé. Mais ce que nous avons vraiment fait, c'est interrompre le processus de guérison. C'est pourquoi beaucoup de gens lorsqu'ils prennent des antibiotiques, attrapent des infections à répétition comme des otites, des angines, beaucoup de ces choses. Les gens les attrapent encore et encore. Et prendre des antibiotiques à chaque fois interrompt la guérison, donc le corps doit produire la maladie à nouveau, pour compléter la guérison.
Or il y a deux cas où vous pourriez penser à tort que les bactéries causent une maladie. Mais en fait elles ne sont pas la cause. Elles sont prises dans l'engrenage..."

Le Dr Kaufman s'exprime aussi à propos de l'ivermectine ; sans méconnaître ses effets positifs dans beaucoup de maladies dans lesquelles les parasites sont impliqués, il estime que ce médicament peut présenter le même inconvénient que les antibiotiques.

Faut-il s'inquiéter que des injectés puissent infecter les non injectés, demande ensuite Urmie. Non, pour le Dr Kaufman qui n'a pas constaté de retour de cet ordre. Concernant les transfusions sanguines, pour lui elles ne sont de toute façon pas très souhaitables pour l'organisme et il y aurait d'autres moyens de reconstituer le sang.  

Dernière question d'Urmie :


"Comment voyez-vous l'évolution de cette situation maintenant, je veux dire vous pensez qu'elle va s'arrêter cette plandémie ou continuer encore et encore parce qu'ils inventent toutes sortes de virus ?

Dr K : elle ne s'arrêtera que lorsque nous cesserons d'obéir à toutes les fausses informations et fausses politiques. Et il est crucial de le faire. Surtout les passeports numériques (...) les passeports numériques sont le principal objectif qu'ils ont. Quand ils auront enregistré tout le monde, ce sera terminé. On est dans une version cauchemardesque de la Russie communiste, l'Allemagne nazie, la Chine maoïste, vous savez, dans la bulle technocratique.

Urmie : oui, c'est aussi la raison pour laquelle il ne faut pas même essayer d'obtenir un de ces tests ou quoi que ce soit, parce que vous êtes immédiatement mis dans la base de données.

Dr Kaufman : chaque acte de participation dans lequel vous vous engagez, chaque fois que vous mettez un masque, chaque fois que vous passez un test, que vous acceptez une injection, que vous scannez un QR code, que vous vous enregistrez pour une application, n'importe quel acte de ce genre, vous les aidez essentiellement à nous asservir. Et il est temps que vous en preniez la responsabilité. Si vous voulez être asservis, et si vous voulez nous asservir par tous les moyens, surtout continuez. Mais je ne pense pas que ce soit ce que vous voulez. Et donc vous devez prendre la décision d'arrêter. Et ça doit être maintenant, si vous êtes en France. Vous savez, aux EU, nous avons gagné du temps parce que tout le monde a acheté des armes et des munitions et le gouvernement ne veut pas y faire face. Mais ils sont en avance dans leur plan pour vous contrôler. Et de nombreux pays européens évidemment, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, de nombreuses nations en Amérique du Sud. Donc vous devez agir maintenant. Arrêtez de vous aligner sur cela, parce que vous êtes déjà au bord du contrôle totalitaire."
par Isabelle-Marie
le Jeu 24 Fév 2022 - 13:53
 
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Sujet: Science:Urmie Ray, "Quel virus ? Quelle Pandémie ? Grand Mensonge
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