Songe partagé : 11 au 12 mai 2011
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Songe partagé : 11 au 12 mai 2011
Expression libre :
Mercredi 11 au jeudi 12 mai 2011
J’ai rêvé que j’arrivais dans une sorte de parc avec des amis m’accompagnant (et plus grands que moi), et devant ce parc rectangulaire, sur notre gauche il y avait un autel avec le Tabernacle. Cela était comme l’intérieur d’une église en plein air, et au lieu des bancs c’était des jardins de fleurs et de plantes. Le parc était à peu près de la superficie d’une église.
En parcourant les allées je découvre avec surprise un morceau de grande hostie par terre, comme s’il provenait de la principale hostie de la Messe.
Nous avions conscience de nous trouver dans un endroit de négligences spirituelles, là où il n’y avait plus de respect pour Dieu et sa présence réelle : les prêtres s’étaient relâchés.
J’ai pensé que ce morceau avait dû tomber durant une Messe.
Je décide d’appeler immédiatement le prêtre du lieu pour qu’il le ramasse lui-même et le remette à sa place avec les hosties. En effet je n’ai pas le droit moi-même de toucher la Sainte Hostie, même dans mes songes.
Le prêtre arrivé instantanément était en habits civils de couleur gris et noir avec un pull, un homme ordinaire d’une soixantaine d’années, mince, aux cheveux gris, et sans aucune distinction sacerdotale, et nous l’avons regardé de loin, en nous mettant à l’écart à plusieurs mètres, en train de ramasser le morceau de Sainte Hostie au moyen d’un grand outil, dont je ne me souviens plus l’aspect.
A ce moment, grande est ma surprise lorsque je vois le morceau d’hostie, lorsqu’il était soulevé par cet homme, s’illuminer de l’intérieur, d’un flash blanc magnifique, et cette lumière blanche éclatante était entourée d’une autre lumière de couleur dorée cette fois qui jaillissait même sur la terre du chemin.
Emerveillée, je tourne la tête vers la droite pour regarder les quelques amis (trois ?) à mes côtés et leur dire avec mon enthousiasme d’enfant : “est-ce que vous avez vu que la terre est toute jaune ? C’est incroyable !” et je remarque alors qu’ils sont sérieux et immobiles, et concentrés sur l’action, ils ne me répondent pas. Leurs visages (dont je ne me rappelle plus, je me doute que c’était encore des anges) étaient devenus graves, tournés vers cet homme en train de ramasser le morceau de Sainte-Hostie.
(C’est d’ailleurs à ce moment que je m’aperçois que les amis sont grands puisque je levais la tête)
Ils observaient droit devant eux, comme s’ils savaient mieux que personne ce qui se passait à plusieurs mètres.
Ensuite, alors que nous remontions notre allée gauche à proximité de l’autel, je m’aperçois qu’un autre morceau se trouve par terre, mais il est beaucoup plus abîmé : il a été carrément piétiné et il se trouve fortement sali. J’appelle encore ce prêtre pour lui ordonner de le ramasser pour le joindre aussi au Tabernacle ; je vois qu’il est hésitant cette fois parce que le gros morceau d’hostie a été piétiné. Je l’encourage à le faire par une pensée volontaire (il était obéissant parce que nous faisions autorité), je le vois ramasser lentement puis le tenir entre ses mains tout en montant les marches de l’autel. Il disait en même temps quelque parole de formule que j’ai oubliée ou que je n’ai pas entendue distinctement.
Le matin en me réveillant, une pensée forte me vient à l’esprit : il s’agit du Premier Commandement
“Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces et de tout ton esprit”
Je ne savais pas pourquoi il était prononcé. J’ai donc essayé de me concentrer pour l’appliquer.
Ensuite comme à l’habitude j’ouvre ma Bible au hasard dans mon salon et je tombe sur l’Ecclésiastique VII,29-36 :
Crains le Seigneur de toute ton âme, et tiens ses prêtres en grand honneur.
Aime de toutes tes forces Celui qui t’a fait, et ne délaisse pas ses ministres.
Crains le Seigneur et honore le prêtre (Vulgate : honore Dieu de toute ton âme, et honore les prêtres) ; donne-lui sa part, comme il a été prescrit dès l’origine...
Tends aussi la main au pauvre, afin que ta bénédiction soit complète.
Donne gracieusement à tout vivant, et ne refuse pas ton bienfait au mort.
Ne fais pas défaut à ceux qui pleurent, et afflige-toi avec les affligés.
Ne néglige pas de prendre soin des malades ; pour de tels actes de charité tu seras aimé de Dieu.
Dans toutes tes actions souviens-toi de ta fin, et tu ne pécheras jamais.
Mercredi 11 au jeudi 12 mai 2011
J’ai rêvé que j’arrivais dans une sorte de parc avec des amis m’accompagnant (et plus grands que moi), et devant ce parc rectangulaire, sur notre gauche il y avait un autel avec le Tabernacle. Cela était comme l’intérieur d’une église en plein air, et au lieu des bancs c’était des jardins de fleurs et de plantes. Le parc était à peu près de la superficie d’une église.
En parcourant les allées je découvre avec surprise un morceau de grande hostie par terre, comme s’il provenait de la principale hostie de la Messe.
Nous avions conscience de nous trouver dans un endroit de négligences spirituelles, là où il n’y avait plus de respect pour Dieu et sa présence réelle : les prêtres s’étaient relâchés.
J’ai pensé que ce morceau avait dû tomber durant une Messe.
Je décide d’appeler immédiatement le prêtre du lieu pour qu’il le ramasse lui-même et le remette à sa place avec les hosties. En effet je n’ai pas le droit moi-même de toucher la Sainte Hostie, même dans mes songes.
Le prêtre arrivé instantanément était en habits civils de couleur gris et noir avec un pull, un homme ordinaire d’une soixantaine d’années, mince, aux cheveux gris, et sans aucune distinction sacerdotale, et nous l’avons regardé de loin, en nous mettant à l’écart à plusieurs mètres, en train de ramasser le morceau de Sainte Hostie au moyen d’un grand outil, dont je ne me souviens plus l’aspect.
A ce moment, grande est ma surprise lorsque je vois le morceau d’hostie, lorsqu’il était soulevé par cet homme, s’illuminer de l’intérieur, d’un flash blanc magnifique, et cette lumière blanche éclatante était entourée d’une autre lumière de couleur dorée cette fois qui jaillissait même sur la terre du chemin.
Emerveillée, je tourne la tête vers la droite pour regarder les quelques amis (trois ?) à mes côtés et leur dire avec mon enthousiasme d’enfant : “est-ce que vous avez vu que la terre est toute jaune ? C’est incroyable !” et je remarque alors qu’ils sont sérieux et immobiles, et concentrés sur l’action, ils ne me répondent pas. Leurs visages (dont je ne me rappelle plus, je me doute que c’était encore des anges) étaient devenus graves, tournés vers cet homme en train de ramasser le morceau de Sainte-Hostie.
(C’est d’ailleurs à ce moment que je m’aperçois que les amis sont grands puisque je levais la tête)
Ils observaient droit devant eux, comme s’ils savaient mieux que personne ce qui se passait à plusieurs mètres.
Ensuite, alors que nous remontions notre allée gauche à proximité de l’autel, je m’aperçois qu’un autre morceau se trouve par terre, mais il est beaucoup plus abîmé : il a été carrément piétiné et il se trouve fortement sali. J’appelle encore ce prêtre pour lui ordonner de le ramasser pour le joindre aussi au Tabernacle ; je vois qu’il est hésitant cette fois parce que le gros morceau d’hostie a été piétiné. Je l’encourage à le faire par une pensée volontaire (il était obéissant parce que nous faisions autorité), je le vois ramasser lentement puis le tenir entre ses mains tout en montant les marches de l’autel. Il disait en même temps quelque parole de formule que j’ai oubliée ou que je n’ai pas entendue distinctement.
Le matin en me réveillant, une pensée forte me vient à l’esprit : il s’agit du Premier Commandement
“Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces et de tout ton esprit”
Je ne savais pas pourquoi il était prononcé. J’ai donc essayé de me concentrer pour l’appliquer.
Ensuite comme à l’habitude j’ouvre ma Bible au hasard dans mon salon et je tombe sur l’Ecclésiastique VII,29-36 :
Crains le Seigneur de toute ton âme, et tiens ses prêtres en grand honneur.
Aime de toutes tes forces Celui qui t’a fait, et ne délaisse pas ses ministres.
Crains le Seigneur et honore le prêtre (Vulgate : honore Dieu de toute ton âme, et honore les prêtres) ; donne-lui sa part, comme il a été prescrit dès l’origine...
Tends aussi la main au pauvre, afin que ta bénédiction soit complète.
Donne gracieusement à tout vivant, et ne refuse pas ton bienfait au mort.
Ne fais pas défaut à ceux qui pleurent, et afflige-toi avec les affligés.
Ne néglige pas de prendre soin des malades ; pour de tels actes de charité tu seras aimé de Dieu.
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MYMYSTIC- Combat avec Sainte Marie
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Localisation : hors du monde
Inscription : 11/10/2008
Re: Songe partagé : 11 au 12 mai 2011
Le songe a un lien aussi avec l'Evangile de ce jour : Saint Jean VI,44
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